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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

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    Post Radar de Maghreb-Sat 31/10/2014

    FLASH INFOS : 31/10/2014

    Bouteflika met en garde contre des menaces sur la sécurité de l’Algérie




    le 31.10.14 | 17h24
    Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika a évoqué ce vendredi dans un message adressé au peuple algérien, à l'occasion du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954, des menaces sur l’unité et la sécurité du pays.



    Le peuple algérien « n'hésitera pas à se dresser contre toute velléité d'attenter à son unité et à ses constantes » et « repoussera toute menace à sa sécurité », a indiqué Bouteflika, selon l’agence APS. Le peuple algérien, lit-on encore dans le message, oeuvre à « la mise en place des règles d'une démocratie véritable, d'une justice globale et d'un développement durable qui renforceront son immunité ».
    Le message présidentiel a souligné le fait que l’Algérie évolue dans un « contexte marqué par un bouleversement des valeurs et dans lequel la discorde a frappé bien des nations et des peuples en proie aujourd'hui à la division et au déchirement ».
    D’après la même source, Bouteflika considère que « Le peuple algérien (…) est en droit de se féliciter de son rang parmi les nations, qui lui permet d'aller vers de plus grandes ambitions ».

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    60 ans après la Révolution
    L’Algérie est libre, les Algériens pas encore







    le 31.10.14 | 10h00
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    L?Algérie est libre, les Algériens pas encore - Actualité - El Watan

    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle



    le 31.10.14 | 10h00
    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle - Actualité - El Watan


    Loi de finances 2015 :Le timbre pour le passeport passe à 6000 DA


    Le projet de loi de Finances pour l’exercice 2015 a été adopté hier à la majorité absolue par l’Assemblée populaire nationale. Comme attendu aucun amendement majeur n’a été introduit au texte initial, si ce n’est une révision à la baisse du prix du timbre passeport.


    Le différent entre les Parlementaires et le gouvernement à ce sujet a induit l’introduction d’un amendement oral en pleine plénière hier et ce dans le cadre des dispositions du règlement intérieur de l’APN. C’est ainsi que le timbre passeport est passé de 10 000 DA tel qu’initialement proposé par le projet de LF 2015 à 8000 DA dans un premier temps tel que validé par la commission des finances et du budget de l’APN, et finalement à 6000 DA en plénière.
    Trois autres amendements ont été introduits. Le premier institue un taux de TVA réduit de 7% pour l’aviculture et la mise sous contrôle de l’OAIC du marché des intrants, en attendant la création d’une autorité de régulation dédiée. Le second concerne la suppression d’une prime à la recherche et au développement. Le dernier amendement concerne la prise en charge par le Fonds national de solidarité des frais liés au rapatriement des ressortissants algériens décédés à l’étranger.
    Enfin, la plénière a passé à la trappe la majorité des 62 amendements examinés par la commission des finances et du budget de l’APN, parmi lesquels on peut compter des propositions liées à l’annulation d’avantages fiscaux et d’exonération au profit d’investisseurs, l’instauration d’un impôt sur la fortune, l’instauration des licences d’importation (déjà prise en charge par un projet de décret du ministère du Commerce), des dispositions relatives au SNMG, les retraites des rappelés de l’ANP, des députés, ainsi que des amendements relatifs à l’attribution d’un crédit sans intérêt de 10 millions de dinars au profit des députés.

    Belaiz veut créer sa propre police, Sellal dit niet

    Ainsi donc celui qui a échoué à faire main basse sur la police nationale en fomentant une sédition criminelle parce que porteuse de graves dangers pour la République et ses institutions, se met à faire des caprices.
    En effet, lors du dernier Conseil interministériel, le ministre de l’intérieur a interloqué ses collègues du gouvernement en proposant ni plus ni moins de créer sa propre …..police comme on en fait dans les républiques bananières.
    Une « direction générale de la police municipale » sous son auguste autorité a t-il préconisé, prenant ainsi soin d’enrober dans un papier cadeau sa dangereuse proposition. Le Premier ministre a d’emblée rejeté cette proposition arguant que si police municipale il y a, elle serait sous la coupe de la DGSN ce qu’ont approuvé tous les autres ministres présents lors de ce Conseil.
    Que des mairies qui en ont les moyens créent une police municipale, sans armes, chargée de faire respecter la loi dans les domaines de l’environnement, de la construction illicite etc… n’est pas en soit une mauvaise chose, encore faut-il encadrer cette disposition par un arsenal juridique conséquent pour éviter des dérives à l’instar de la tristement célèbre milice dirigée par le commandant Mahmoud Guennez du temps de la présidence d’Ahmed Benbella. Mais de là à vouloir une nouvelle Direction générale de la police municipale sous les ordres directs de Tayeb Belaiz est une dérive aussi inacceptable que dangereuse.
    Le Premier ministre, a immédiatement rejeté, à juste titre, cette proposition incongrue qui va à l’encontre des principes républicains régissant un État moderne.
    A la lumière de cette dernière bévue, il apparait de plus en plus que la nomination de Belaiz comme ministre de l’intérieur est un choix malheureux car son parcours pour arriver à cette consécration est des plus bizarres dans l’histoire de la République algérienne.
    En effet, nous confie un haut magistrat à la retraite, « ce monsieur a tiré grand profit de sa parenté avec l’ex ministre de la justice, Lahcène Soufi, nommé en 1979 à ce poste dans le premier gouvernement de feu le président Chadli Bendjeddid et dirigé par feu Mohamed Ben Ahmed Abdelghani ».
    La fameuse promotion des 400
    « Lahcène Soufi, qui voulait, en ce temps là, suppléer au manque de magistrats a recruté 400 personnes non bacheliers donc inaccessibles à l’université, qui ont suivi des cours du soir à la faculté de droit et se sont retrouvés bombardés de diplômes universitaires délivrés dans des conditions aussi rocambolesques que burlesques » précise notre interlocuteur.
    « Cette fameuse promotion des 400, après avoir suivi les cours du soir, s’est retrouvée auréolée de licences en droit et la particularité de cette fournée c’est d’être composée de nouveaux magistrats unilingues, plus connus sous le sobriquet « les intrus » dans le monde de la magistrature parce que ne maitrisant que la langue arabe et dont les connaissance en droit étaient aussi approximatives qu’insuffisantes » ajoute notre source.
    « Ce qui a eu pour conséquences de provoquer des incidents à répétition avec les avocats de l’époque, bardés de diplômes prestigieux et qui maniaient la langue de Molière avec grande dextérité ce qui n’a pas été du goût de ces nouveaux « magistrats » qui ont fait dégringoler la justice algérienne à son plus bas niveau et dont les conséquences catastrophiques se font jusqu’à nos jours » s’insurge la même source.
    Un gâté de la république
    « Tayeb Belaiz était le plus favorisé et pour cause c’était le chou chou du ministre de la justice, un proche parent. Aussitôt son diplôme de licence en droit en main, il fait son service national au niveau de l’OPGI d’Oran, et à sa sortie postulera pour la CNAN mais son dossier a été rejeté parce que unilingue. L’aubaine se présentera lorsque Lahcen Soufi, est nommé wali de Tiaret il en devient naturellement son chef de cabinet ».
    « Lahcene Soufi devenu en 1979 ministre de la justice, il est recruté dans son cabinet, puis proposé comme directeur des ressources humaines mais l’enquête d’habilitation se révèle négative parce que Belaiz ne remplissait pas les critères idoines pour ce poste nommé par décret. Qu’à cela ne tienne, Lahcène soufi le nomme par arrêté Conseiller à la cour d’Oran brûlant ainsi les trois étapes obligatoires pour accéder à ce poste qui est une consécration. Ces trois étapes qui sont miraculeusement sautées sont juge du siège, vice président du tribunal et président de tribunal » affirmera ce haut magistrat.
    « Un grand boulevard s’est donc ouvert devant lui et il sera tour à tour président de chambre, président des cours de Saida, Oran, Sidi Bel Abbes, conseiller à la cour suprême et tire le gros lot, comme dans un conte de fée, en devenant grâce au miracle algérien ministre de l’emploi en 2002 et ministre de la justice en 2003. Et pour l’histoire c’est feu l’ex président Ahmed Benbella, natif de Maghnia comme Belaiz, qui intervient auprès de Ali Benflis, chef du gouvernement d’alors qui accède aux désidératas de l’ex président de la république revenu entre-temps dans les bonnes grâces du président Bouteflika » ajoutera notre interlocuteur.
    On mesure ainsi le parcours professionnel d’un gâté de la république qui se met aujourd’hui à faire des caprices en voulant pour lui tout seul une armée de policiers. Pour quel usage et quel but ?

    Ligue des champions


    Sétif à 90 minutes du «60e ciel»





    C’est demain, au stade Mustapha de Tchaker, à partir de 19h15, que l’Entente de Sétif tentera d’accrocher sa première Coupe, version Ligue des Champions, face au Vita Club du Congo.


    Après avoir bien négocié le difficile virage de Tata Raphaël, où il n’est pas donné au premier venu de mener à deux reprises, les Sétifiens remettent le compteur à zéro. Puisque rien n’est encore joué. Avec deux buts inscrits à l’extérieur, les hommes de Madoui se trouvent, certes, en bonne posture pour retrouver les cimes de l’Afrique, une première depuis 26 ans, mais le plus dur reste à faire. D’autant plus que l’adversaire qui voyage bien n’a plus rien à perdre. Pour éviter toute mauvaise surprise, les Algériens qui devront composer avec la pesante pression propre à un tel événement devront non seulement mettre dans la balance le score piège de l’aller, mais avoir à l’œil la bande à Florent Ibenge qui a, faut-il le rappeler, créé la sensation à Sfax lors de la demi-finale retour.
    Il ne faut pas non plus passer sous silence le coup d’éclat d’Abidjan réalisé dernièrement, où les Léopards (surnom de l’équipe nationale congolaise), sous la houlette du coach de Vita Club, ont damé le pion à la Côte d’Ivoire d’Hervé Renard. Ne devant surtout pas dormir sur leurs oreillers, les Sétifiens sont donc avertis. Prévue initialement à Kinshasa, la «finale» de la 18e édition de la Ligue des champions se jouera finalement à Blida, où l’Entente de Sétif devra relever un défi, grand comme les non moins célèbres monts des Aurès et du Djurdjura. S’ils veulent emboîter le pas à leurs aînés (Osmani, Nabti, Adjas, Serrar, Bernaoui, Boulehdjilet, (Doudou) Bendjaballah, Zorgane (Raïs), Gherib, Adjissa, Rahmani) ayant, un certain 9 décembre 1988, décroché la première étoile sous la férule de Aribi-Khalfa, deux grands noms du football algérien – ingrat envers ses meilleurs fils, les camarades de Djahnit doivent faire un match de «guerriers».



    Penser à un score de zéro partout ou à un score semblable serait suicidaire pour les Noir et Blanc qui portent les espoirs de tout un pays avide de fête. Comme l’on fait un 1er Novembre 1954, 22 preux, le onze ententiste qui n’a pas le droit à l’erreur devra en ce jour anniversaire s’armer de foi, de volonté de fer, de la concentration de grands compétiteurs, et d’une incommensurable détermination, les moyens idoines devant le conduire vers le sacre tant attendu. En pareilles circonstances, qu’importe la manière car en fin de compte on ne retiendra que le nom du vainqueur. L’Entente d’Algérie se trouve désormais à 90 minutes du «60e ciel» où résident les glorieux bâtisseurs de Novembre, l’éternel…












    Dernière modification par zadhand ; 14/11/2014 à 21h29. Motif: Radar de Maghreb-Sat 31/10/2014
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