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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

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    Post Radar de Maghreb-Sat 19/12/2014

    FLASH INFOS : 19/12/2014

    A la une/Actualité

    La baisse du pétrole et la problématique du crédit à la consommation en Algérie
    Algerie,Pétrole,Rente,économie,Développement,PME/PMI,Crédit à La Consommation.


    Certains responsables qui vivent de la rente poussent à généraliser le crédit à la consommation. Cette mesure permettra-t-elle de relancer la production nationale et ralentir la valeur des importations ou avoir l’effet contraire ?

    Le crédit à la consommation a fait exploser les importations notamment de voitures.


    1.- Rappelons que la sortie de devises a été en 2013 de 55 milliards de dollars de biens plus 12 milliards de dollars d’importation de services soit 67 milliards de dollars, montant auquel il faut ajouter 5 à 7 milliards de dollars de transferts légaux de capitaux des sociétés étrangères soit 72 à 74 milliards de dollars. La loi de finances 2015 prévoit 60 milliards de dollars d’importations de biens ce qui nous donnerait 80 milliards de dollars de sorties de devises. Or Sonatrach qui représente 98% des exportations a eu une recette de 73 milliards de dollars entre 2010/2011, 63 milliards de dollars en 2013 et certainement comme je l’ai annoncé depuis plusieurs mois entre 55/56 milliards de dollars fin 2014 et non 60 milliards de dollars comme annoncé par certains responsables. Avec un cours moyen de 70 dollars les recettes de Sonatrach seront inférieures à 50 milliards de dollars et pour 60 dollars approcheront les 40 milliards de dollars. Or que la loi de finances prévisionnelle 2015 fonctionne sur un cours supérieur à 125 dollars, encore qu’il faille tenir compte des restes à réaliser importants du fait du divorce entre les objectifs et les moyens de réalisation source de surcoûts.2.- Environ 70% des besoins des ménages et des entreprises publiques et privées proviennent des importations et le taux d’intégration de toutes les entreprises ne dépassent pas 15%, fonctionnant avec des matières premières et des équipements importés. C’est que le tissu économique global est représenté par 83% de petits commerce et services. Le secteur industriel représente moins de 5% du produit intérieur brut et à l’intérieur de ces 5%, plus de 95% sont des PMI-PME peu initiées au management stratégique et non compétitives par rapport aux normes internationales en matière de coût et de qualité. Dès lors la généralisation du crédit à la consommation gonflera la rubrique matières premières importées et donc une accélération de la sorite devises et constituera une rente pour ceux qui en bénéficieront. Elle ne devrait concerner que les entreprises dont le taux d’intégration réel (matières premières et équipement) dépasse les 50%.3.- Donc, attention aux effets pervers et aux impacts négatifs de la crise de 1986, bien qu’à la différence de cette période, l’Algérie a une dette extérieure faible et des réserves de change permettant des anti-chocs de court terme. Mais, avec un cours de 60/70 dollars, l’on ne peut tenir au-delà de 4 années au rythme de l’actuelle dépense souvent sans contreparties productives où transferts sociaux et subventions généralisées et sans ciblage, représentent 60 milliards de dollars soit 27/28% du PIB, ce qui est intenable dans le temps. L’on ne doit pas gaspiller ces réserves qui doivent être utilisées pour réaliser cette nécessaire transition d’une économie de rente à une économie hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales, passant par une nouvelle gouvernance, la réhabilitation de l’entreprise créatrice de richesse et son fondement l’économie de la connaissance. Mais avant tout, la mobilisation de toutes les forces de la Nation reposant sur la morale de ceux qui dirigent la Cité, avec un discours de vérité, ni autosatisfaction, ni sinistrose, devant donner l’exemple afin de rétablir la confiance, sans laquelle aucun développement ne peut se réaliser, face à l’austérité qui s’annonce est stratégique. Car, ceux qui avaient un autre discours d’autosatisfaction et aujourd’hui un discours de sinistrose pour voiler leurs incompétences ne sont pas crédibles.Dr Abderrahmane Mebtoul, professeur des universités et expert international



    L’Observatoire contre l’islamophobie condamne les propos d’Eric Zemmour
    Il appelle à la déportation des musulmans hors de France






    L’Observatoire national contre l’islamophobie a réagi aux propos du journaliste français, Eric Zemmour, dans le journal italien Corriere della Serra, en les qualifiant de “scandaleux”. “Monsieur Zemmour prône la déportation des musulmans hors de France sous prétexte que leur présence entraînerait le chaos national”, lit-on dans un communiqué de l’ONCI signé par son président, Abdellah Zekri. “Ces propos viennent s’ajouter à une litanie de déclarations abjectes et sans fondement de ce prêcheur de haine patenté à l’encontre de l’islam et des musulmans, qui cultive l’amalgame entre islam et terrorisme”, ajoute Abdellah Zekri, qui décrit le journal proche des thèses de l’extrême droite en France comme un “adepte du choc des civilisations (…) qui ne cherche qu’à dresser les composantes de la nation les unes contre les autres”. L’Observatoire national contre l’islamophobie rappelle au passage les déclarations controversées de ce journaliste sur le régime de Vichy, l’accusant de récidiver avec cette proposition de déportation. “En bon nostalgique de l’Algérie française, M. Zemmour nous a habitués à le considérer comme un cracheur de venin. En imaginant possible la déportation de 5 millions de musulmans, il prône désormais l’avènement d’une nouvelle solution finale. Il oublie juste que des centaines de ses compatriotes de confession juive doivent la vie à des centaines d’autres de confession musulmane. M. Zemmour a la mémoire courte et il n’hésite même plus à renier son histoire communautaire pour pouvoir exister”, lit-on encore dans le communiqué qui interpelle les pouvoirs publics français contre ce “déferlement de tant de haine”. À l’heure où est mise en œuvre toute une série de mesures pour enrayer l’obscurantisme dans l’esprit des jeunes, doit-on laisser un petit soldat de la haine continuer à mener son combat antirépublicain sur les ondes et dans les médias ? Ou alors, nous fait-on la démonstration du “deux poids, deux mesures”, s’interroge l’Observatoire contre l’islamophobie. Et ce dernier de conclure que “par leur silence devant ses attaques permanentes contre les musulmans citoyens français, nos hommes politiques cautionnent et encouragent de tels propos”.

    Polémique sur les musulmans : Eric Zemmour dénonce une "manipulation fantastique"
    Pour la première fois, le polémiste s'est expliqué ce matin sur RTL à propos de la polémique créée par son interview publiée dans "Il Corriere della Sera" le 30 octobre dernier.

    Éric Zemmour s'exprime face à la polémique - Vidéo Dailymotion

    L'heure de la contre-attaque a sonné pour Eric Zemmour. Après plusieurs jours de polémique autour de son interview donnée au journal italien "Il Corriere della Sera", le polémiste a pris la parole sur RTL ce matin, dénonçant "une manipulation fantastique". "On m'a accusé d'avoir prononcé un mot que je n'ai pas prononcé. On m'a accusé ensuite de ne pas avoir contredit un mot qui n'a même pas été prononcé (sous-entendu même pas par le journaliste italien, ndlr). C'est une histoire extraordinaire, on a là une manipulation fantastique. On m'accuse de ne pas avoir dit quelque chose mais de l'avoir pensé" a lâché le polémiste.
    Eric Zemmour a ensuite été invité à préciser sa pensée sur le fond de l'affaire. "Vous ne souhaitez pas, ne demandez pas, le départ des musulmans ou des Maghrébins de notre pays ?" a ainsi interrogé Yves Calvi. "De toute façon, je ne souhaite ni ne demande rien du tout, vous comprenez ? C'est ridicule. Il y a des citoyens français. On ne va pas faire partir des citoyens français. Il y a des étrangers. Un Etat a le droit de dire aux étrangers : 'non maintenant vous rentrez chez vous'. Entre les deux, il n'y a rien. C'est tout, c'est simple" a expliqué l'intervenant de "Ça se dispute" sur iTELE.
    Interrogé ensuite sur les réactions du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve et de Bruno Le Roux à son interview, Eric Zemmour n'a pas caché son atterrement. "C'est la vieille phrase de Saint-Just : 'Pas de liberté pour les ennemis de la liberté'. La gauche en est toujours là. C'était la Terreur, je vous le rappelle Yves (Calvi, ndlr). Quand Bruno Le Roux dit ça, c'est vraiment l'héritier de Saint-Just" a-t-il taclé, très remonté.
    "Leçons de morale" et "bûcher médiatique"

    Avant de poursuivre : "Et quand le ministre de l'Intérieur vient dire qu'il faut manifester contre moi, se mobiliser contre moi... Vous vous rendez compte ! Un ministre de l'Intérieur ! Qui est chargé de faire respecter l'ordre et la sécurité des citoyens qui appelle à manifester contre un citoyen français...." s'est-il offusqué. "On a déjà un Premier ministre qui a dit que mon livre n'était pas digne d'être lu. On a maintenant un ministre de l'Intérieur qui appelle à manifester contre moi. Mais la prochaine fois, qu'est-ce qu'ils vont faire ? Ils vont envoyer mes lecteurs en prison ?"
    Questionné enfin sur la haine contre les musulmans que certains lui reprochent de propager, Eric Zemmour a balayé ces accusations. "Il n'y a aucune incitation à la haine. J'essaye d'analyser rationellement une situation" a-t-il expliqué. Avant de revenir sur l'interview du "Corriere della Sera" : "Il faut revenir à l'origine. C'est Jean-Luc Mélenchon qui a traduit une interview alors qu'il reconnaît lui-même qu'il ne parle pas italien. Et qui a fait monter ça avec des médias complaisants qui n'ont même pas vérifié leurs sources, qui ont préféré les leçons de morale, me mettre sur le bûcher médiatique plutôt que de simplement vérifier" a-t-il dénoncé. Avant de lâcher : "Ce sont des méthodes staliniennes !".




    Les ministres de la Justice et de l’Intérieur interpellés
    Après l’appel au meurtre contre le journaliste Kamel Daoud







    Cette action intervient au lendemain de la publication, sur facebook, d’une lettre virulente d’Abdelfattah Hamadache, imam actif au sein de la mosquée de Belcourt du temps de l’ex-FIS.
    Une pétition de solidarité à Kamel Daoud, intitulée “Non à l’obscurantisme”, vient d’être publiée sur le réseau social facebook, dans trois langues (arabe, français et anglais), pour interpeller la responsabilité des ministres de la Justice et de l'Intérieur. Les signataires condamnent “avec force les appels au meurtre public” d’Abdelfattah Hamadache, autoproclamé chef salafiste, contre le chroniqueur et écrivain. Ils relèvent que cette dérive “n’est pas surprenante” devant “la démission” de l’État face aux “aventuriers pseudoreligieux qui distillent la haine”. Ils appellent, en outre, les deux ministres à enclencher des “poursuites” contre les promoteurs de ces appels qui rappellent “les pires moments de l’Algérie face au GIA”.
    Cette action intervient au lendemain de la publication, sur facebook, d'une lettre virulente d’Abdelfattah Hamadache, imam actif au sein de la mosquée de Belcourt du temps de l'ex-FIS. Dans son invitation au meurtre, rendue publique le 16 décembre, le fondateur du Front de la sahwa islamique salafiste libre, formation non agréée, vise Kamel Daoud, qu'il qualifie d’“apostat”, d’“ennemi de la religion” et de “sionisé”. Il appelle le pouvoir à “appliquer la charia” et à “le condamner à mort, en le tuant publiquement pour la guerre qu’il mène contre Dieu et le Prophète”. La sortie de Hamadache fait suite à l’émission télévisée “On n’est pas couché” (France 2), transmise le 13 décembre, qui a reçu le journaliste-écrivain algérien pour parler de son livre Meursault, contre-enquête. Réagissant sur le réseau social, Daoud a écrit : “Fetwa pour me tuer émise par le mouvement salafiste algérien. Signée par Abd El-Fettah Hamadache. Voilà où mène le sentiment d'impunité chez ces gens-là.” Il a néanmoins fait savoir qu’il craint pour sa vie et qu’il déposera une plainte contre l’auteur de la “fetwa”, “parce que c’est un appel au meurtre”. Quant à Hamadache, interrogé par TSA, il ne s’est pas rétracté, si ce n’est d’assumer sa “responsabilité” et d’observer qu’il n’a pas dit qu’il allait “le tuer” et qu’il n’a pas appelé “les musulmans à le faire”. Seulement, expliquera-t-il, Daoud “est impardonnable en disant : “Je lis leur livre’’, en s’excluant, avant de réitérer son appel au pouvoir algérien, afin d’appliquer “al-had” (la condamnation à mort).
    Abdelfattah Hamadache n’est pas à sa première sortie du genre. Il s’en est déjà pris à des responsables de partis politiques et du mouvement social, avec qui il ne partageait pas les mêmes positions politiques et idéologiques, sans que cela inquiète les pouvoirs publics. C’est le cas, notamment, du porte-parole du MDS, Hamid Ferhi, d’Amara Benyounès, secrétaire général du MPA, et de la porte-parole du mouvement Barakat, Amira Bouraoui. Il a même accusé le “renégat” Ferhat Mehenni d’“impie” et de “traître”, et dénoncé, en 2013, les cadenas d’amour accrochés par des couples amoureux sur les grillages du pont de Télemly, à Alger, qualifiant d’acte intolérable et de “sorcellerie”. À la veille de la dernière élection présidentielle, cet individu a confié à la chaîne qatarie Al-Jazeera que s’il était élu président en 2014, il instituerait “une police islamique”.
    Faut-il alors dénoncer les déclarations violentes et extrémistes de Hamadache ? Bien entendu ! Au nom du devoir de mémoire, il n’est pas question de cautionner les appels aux meurtres contre des citoyens, encore moins d’être les complices du laxisme ambiant. Même si les opinions de Kamel Daoud dérangent ou ne sont pas toujours partagées. Le salafiste Hamadache doit rendre des comptes !



    Une jeune fille se jette d’un véhicule pour échapper à un viol à Aflou
    Le conducteur a été appréhendé par des usagers de la route

    Un signalement donné par un citoyen sur le numéro vert 10 55 faisait état de la chute d’une jeune fille d'un véhicule sur la route reliant Aflou à El-Bayadh, à 7 km à l’ouest de la localité d'Aflou, avec des blessures diverses ; le conducteur a pu être appréhendé par des usagers de la route. En fait, la jeune fille, se sentant menacée de viol, s’est carrément jetée du véhicule qui roulait. Alertés, les gendarmes de la brigade d'Aflou se sont aussitôt déplacés sur les lieux, où ils ont arrêté le conducteur et secouru la victime qui a été évacuée vers l'établissement sanitaire d'Aflou, où elle est gardée en observation médicale.

    Régions Est Skikda

    Sidi Mezghiche : Le secret de la commune la plus propre de Skikda


    le 18.12.14 | 10h00

    Une salubrité qui devrait créer l’émulation dans d’autres villes


    La ville attend toujours les équipements qu’elle a gagnés avec le premier prix de la propreté.
    Sidi-Mezghiche n’est plus ce bourg quelconque qu’on traversait autrefois sans garder de ses panoramas le moindre souvenir. Il y a seulement quelques années, ce chef-lieu de commune se limitait à quelques maisonnettes coloniales ceinturant une route toujours boueuse, quelques cafés et autant de gargotes.
    Aujourd’hui, Sidi-Mezghiche vit une véritable mue, contrairement à plusieurs autres communes de la wilaya de Skikda. Des logements sont en construction, deux salles de sport, une piscine de proximité, mais ce qui frappe le visiteur reste incontestablement la propreté des lieux. En 2013 déjà, cette paisible commune avait obtenu le prix de la commune la plus proprede la wilaya. Une année après, le même rythme est maintenu et Sidi-Mezghiche reste encore propre. «La propreté a fini par devenir un fait-accompli» dira M. Bouhajla, vice-président à l’APC.
    Quand le citoyen adhère…
    Cette réussite est à mettre à l’actif des élus et des citoyens aussi. La commune met ses maigres moyens au service des habitants et ces derniers lui rendent la pareille en respectant les règles. «Vous pouvez faire le tour de la commune vous ne trouverez aucune trace des déchets ménagers et c’est grâce à la contribution de nos concitoyens qui respectent les horaires du ramassage».
    En effet, le réflexe de sortir ses déchets à des heures fixes est devenu une tradition citoyenne. L’hiver, les habitants de Sidi Mezghiche sortent leurs ordures de 19h à 21h et durant l’été, l’heure est repoussée jusqu’à 22h. En dehors de ces horaires, aucun habitant ne se permet de laisser ses déchets ménagers à l’air libre. Un véritable réflexe citoyen s’est ainsi incrusté dans les mœurs des habitants pour devenir une habitude.
    Pour les déchets des commerçants longeant la rue principale, le problème ne s’est jamais posé. «Il faut savoir que Sidi Mezghiche vit beaucoup la nuit. Ici les cafés ne ferment qu’à minuit, tout comme les épiceries et autres restaurants. Un fait qui permet à ces commerçants de ne faire sortir leurs déchets qu’à la vue du camion de ramassage de la commune», explique M. Bouhajla. Mais ce réflexe n’est en fait qu’une réponse aux efforts consentis par l’équipe dirigeante de l’APC qui est à son deuxième mandat.
    «Nous n’avons pas suffisamment de moyens mais nous parvenons tout de même à optimiser ce dont nous disposons pour une meilleure efficience», dira le maire. Ainsi, 20 agents, entre contractuels et permanents, se relayent chaque jour pour balayer toutes les routes de la commune. Pour les 16 mechtas dépendantes de la commune, chaque semaine des opérations de nettoyage sont organisées.
    L’APC qui fait tout !
    En sillonnant les lotissements et quartiers de Sidi Mezghiche, on remarque la présence de corbeilles à papier à chaque coin de rue, même dans les lotissements les plus éloignés. On remarquera aussi que l’état des routes est impeccable et vous ne trouverez aucun nid de poule sur l’ensemble des chemins de la commune. Un fait que les élus expliquent par l’implication de la municipalité dans tous les travaux de voiries: «Si une fuite d’eau se déclare dans le périmètre urbain, on fait appel aux agents de l’ADE pour l’aspect technique mais pour remettre la chaussée en son état initiale, c’est la commune qui s’en charge».
    Et le même élu de préciser : «Nous accompagnons les techniciens de l’ADE et dès qu’ils terminent de colmater leur fuite, on prend le relais pour bitumer le jour même l’espace concerné. Nous avons anticipé en mettant en place une régie communale qui nous permet de palier aux urgences et d’éviter à nos concitoyens de vivre le calvaire des routes défoncées». L’autre point fort de cette commune, c’est incontestablement l’attention réservée à l’éclairage public.
    Ici, tout le réseau fonctionne à 100%. «Vous ne trouverez aucune lampe grillée que ce soit au chef-lieu de commune ou dans les 16 mechtas. Là aussi, les citoyens jouent le jeu en nous informant à chaque fois qu’une lampe est hors service», rajoute un autre. «A Sidi-Mezghiche, les soirées des fêtes de mariage se font dans la rue grâce à l’étendue de l’éclairage public», témoigne un habitant. Mais tout ceci ne doit pas cacher un manque criard en moyens. La municipalité, dont le budget ne dépasse jamais les 05 milliards de centimes, ne dispose que de trois camions pour la gestion des déchets. «Nous rêvons de bénéficier d’un camion balayeur.
    Il nous permettra de faire face au manque du personnel, car avec 20 agents de nettoyage, il nous devient difficile des fois d’accomplir nos actions convenablement», dira M. Bouhajla. Puisse cette doléance parvenir à qui de droit car il reste à relever que cette commune qui a raflé le premier prix de la commune la plus propre n’a toujours pas reçu les dividendes de ce même prix. Au départ, on avait laissé comprendre que les trois premières communes allaient bénéficier d’équipements réservés à la gestion des déchets. Plus d’une année après, ces mêmes communes attendent encore et Sidi Mezghiche encore plus au vu des efforts palpables consentis sur le terrain et non dans les salons politiciens.



    Le point noir de Sidi Mezghiche : «Cachez-moi cette décharge sauvage»

    A moins de deux kilomètres seulement de Sidi Mezghiche, la verdure du paysage agricole est subitement altérée par une immense tâche noire. Une vaste étendue, servant de décharge municipale est là, exposée, sur la route et donnant un aspect des plus hideux aux lieux.
    «On n’a pas le choix. On déverse nos déchets ménagers dans ces lieux car nous ne disposons pas d’autres décharges contrôlées. Le salut ne viendra que lorsqu’on ouvrira la décharge intercommunale de Tamalous », explique l’un des élus.
    Approchée, Mlle Beririche, directrice de l’environnement dira: «Effectivement, on ne pourra éradiquer cette décharge que lorsque le centre d’enfouissement technique (CET)deTamalous ouvrira ses portes. Actuellement, ce centre est en phase d’achèvement. Le casier principal est déjà achevé à 100 %, et il nous reste encore à parachever l’accès ainsi que quelques aménagements légers.
    Ce CET sera fonctionnel dans quelques mois et c’est alors qu’on engagera des travaux d’éradication des décharges sauvages, dont celle de Sidi Mezghiche». Une bonne nouvelle qui fera certainement plaisir aux élus et aux habitants de la commune. K .O.



    Khider Ouahab

    A la une/Culture
    Grande participation étrangère
    Festival International de la musique andalouse et des musiques anciennes



    le 18.12.14 | 10h00

    La neuvième édition du Festival international de la musique andalouse et des musiques anciennes est de retour, du 20 au 29 décembre 2014, à la salle Ibn Zeydoun de Riad El Feth.



    Quatorze pays étrangers se produiront aux côtés d’associations et d’orchestres algériens spécialisés dans la musique andalouse et des musiques anciennes. Parmi les participants internationaux, citons entre autres la France, la Grèce, la Chine, le Portugal, l’Irak, l’Egypte, la Syrie, la Tunisie et la Turquie.
    Ainsi, durant dix jours, trois spectacles seront à l’honneur à titre gracieux, et ce, chaque soir dès 20h. Les grandes lignes de cette programmation 2014 ont été dévoilées, mercredi, au niveau du théâtre National d’Alger, lors d’un point de presse animé par le commissaire du festival, Aïssa Rahmaoui. Ce dernier a souligné que cette neuvième édition s’inscrit dans le cadre de la célébration du soixantième anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne.
    Pour le commissaire, le festival en question se veut «un lien où chacun s’enrichit de la culture de l’autre, prend conscience du fabuleux trésor qu’il doit à l’autre. C’est également un lieu où le langage universel prend son sens et son envol au-delà de ses limites». Cette neuvième édition regroupera outre les pays étrangers, des associations lauréates du premier prix de la musique algérienne arabo-andalouse et des fusions de genre musical.
    A titre d’exemple, on retiendra la prestation de la fusion d’Andalou Project (Allemagne, Maroc, Espagne), la fusion de «Séville à Tunis» proposée par un ensemble de musiciens venus de Tunisie, d’Espagne, d’Algérie et l’Ensemble Mezdj de Marseille et la musique d’Orient et du Moyen-Orient, tels que l’Irak, la Syrie, l’Iran, la Turquie et la Chine.
    De même que ce festival verra la participation de l’Ensemble national ainsi que les trois Ensembles régionaux d’Alger, de Constantine et de Tlemcen. La nouba classique algérienne occupera une place de choix : façon singulière de mieux vulgariser et de préserver ce pan de notre patrimoine musical ancestral.
    Le festival rendra cette année un vibrant hommage, dans la soirée du 22 décembre, à l’une des figures de proue de la chanson algérienne, à savoir l’artiste Seloua. En marge des soirées qui seront données au quotidien, les organisateurs ont maintenu le planning des conférences qui seront données du 22 au 28 décembre, à partir de 10h, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma.
    Parmi les thèmes qui seront débattus, citons entre autres «L’histoire de la musique andalouse dans les pays du Maghreb», «La structure du mode de la nouba Zidane». Une rencontre également prévue avec les luthiers en Algérie. Le hall de la salle Ibn Zeydoun abritera, tout au long de la durée du festival, une exposition consacrée aux instruments de musique ayant appartenu à de grands maîtres de la musique andalouse. Il est à noter qu’un concours national de violon et d’alto pour les écoles çanna d’Alger, gharnati de Tlemcen et malouf de Constantine sera lancé en direction des jeunes âgés entre 12 et 17 ans.


    Pages hebdo/ Portrait

    «Le MCA a perdu son âme et ses repères»
    Zoubir Bachir. Ancien capitaine du MCA, dirigeant démissionnaire du Doyen




    le 18.12.14 | 10h00


    Il est moins grave de perdre que de se perdre.

    «L’homme a son avenir devant lui, mais il l’aura dans le dos chaque fois qu’il fera demi-tour.»
    Pierre Dac



    Dans le milieu passionné, passionnel et tourmenté du Mouloudia, la démission d’un membre important du conseil d’administration, l’ancien capitaine du Doyen, est venue encore compliquer les choses. La rumeur s’est saisie de ce fait pour en faire tout un plat en expliquant ce départ, dû selon certains à l’intransigeance du président qui n’aurait pas accédé au vœu de Bachi de voyager avec l’équipe en Espagne ; selon d’autres, Zoubir aurait mal pris l’éventuelle venue de Serrar qui briguerait le poste de manager général du Doyen.
    Ces rumeurs font sourire Bachi qui ne se voit pas quémander un voyage : «J’en ai largement les moyens et ce serait mesquin de ma part de solliciter le club pour cela.» Quant à Serrar, Bachi n’a pas souvenir que son cas a été posé un jour au conseil d’administration du club. Plus sérieusement et cela transparaît dans ses propos, ce départ, expérience inaboutie, est vécu comme une profonde frustration. La posture du club l’attriste, mais il ne jette l’anathème sur personne, car il ne s’est pas trompé de colère.
    C’est lorsqu’il revisite les différentes étapes de sa carrière qui couvre deux décennies que Bachi est le plus saisissant : «J’ai été fidèle à moi-même et à mes convictions, et c’est peut-être cela l’honneur de ma vie.»
    Plutôt du genre taiseux, Zoubir se lâche quand il s’agit de foot, de surcroît lorsque l’entretien bifurque sur l’état lamentable de son club de toujours, le Mouloudia.

    Débuts à El Biar
    Pas du tout le genre à se noyer dans le bavardage et la gesticulation, ce qui à l’évidence a été pris pour de la faiblesse par ses contempteurs. La mode étant au populisme et à la démagogie. La vie a calibré Zoubir pour atterrir au MCA, l’un des prestigieux clubs d’Algérie, mais qui n’en est pas moins un géant aux pieds d’argile. Alors, c’est quoi cette démission ? La question lui fait lever les yeux au ciel. «En mon âme et conscience et malgré le fait que je suis ancien joueur avec un vécu et une expérience non négligeables, j’estimais que je n’étais pas utile. J’ai remis en cause mon rôle au sein du conseil d’administration. J’ai donné des avis qui n’ont pas été pris en compte. Et comme le club traverse une crise assez aiguë, je n’ai pas envie d’en rajouter.» «Depuis la réforme sportive de 1977, le MC Alger a perdu ses repères et son âme», explique-il. «En 1976, le club crée l’exploit en remportant un triplé historique — coupe, championnat et coupe d’Afrique des clubs champions. L’année d’après, le club se retrouve dirigé par un staff qui n’avait pas le profil pour prendre en charge un club d’une telle envergure. C’est une décision qui devait grandement porter préjudice au développement du Mouloudia, soumis par ailleurs à une forte pression. Il n’y a pas eu de continuité.
    C’est le résultat d’une démarche qui perdure depuis des décennies. Pis, le club est passé entre les mains de gens qui se sont servis du MCA comme tremplin pour fructifier leurs affaires et non pour aider à son épanouissement. Cela dure depuis que Sonatrach s’est débarrassée d’une manière non conforme ni à la règlementation, ni au respect de l’éthique, du sigle et des couleurs en 1988. La famille mouloudéenne n’a pas été conviée à la récupération de ce sigle et l’assemblée générale était amputée d’une grande majorité d’authentiques Mouloudéens au profit de gens qui n’avaient rien à voir avec le Mouloudia. Donc, le problème est un problème de légitimité. A partir du moment où il y a eu une rupture il y a 40 ans avec l’environnement naturel du club, s’est posé le problème de leadership du club qui, hélas, en a lourdement subi les conséquences», constate l’ancien leader de l’équipe.
    Zoubir, qui n’a plus tout à fait la silhouette de ses 20 ans, en garde malgré tout l’élégance. Dans ses propos mesurés, on sent qu’il ne veut ni blesser, ni attenter à quiconque.«Lorsque j’ai été contacté par le P-DG de Sonatrach de l’époque, M. Zerguine en l’occurrence, après le sacre de la coupe d’Algérie, en 2013, j’estimais que c’était pour moi un honneur d’être sollicité en tant qu’ancien joueur. Il était de mon devoir d’y répondre favorablement, ce que j’ai fait. Je me suis aperçu pendant plusieurs réunions que mon rôle au sein du conseil était purement formel. Les décisions importantes étaient prises sans moi. Par exemple, je n’ai pas été informé du recrutement et du choix de Charef et de son staff et des larges prérogatives qui lui ont été accordées dès son installation. Malgré cela, je n’ai pas voulu faire de vagues pour préserver l’équilibre du groupe.»
    Au creux de la vague
    Bref, Bachi estime se sentir de trop, alors il a quitté la table prenant à son compte cette maxime de Descartes. «C’est proprement ne valoir rien que de n’être utile à personne.»Considérant qu’on a perdu bien peu quand on garde l’honneur ! Y a-t-il espoir de voir un sursaut pour ne pas dire un sauvetage du club ? «Cela dépendra de la réaction des joueurs qui se retrouvent au pied du mur. C’est à eux de trouver l’énergie nécessaire et la volonté pour sortir de cette impasse. Les responsables se démènent comme ils peuvent et essaient de faire ce qui, à leurs yeux, est susceptible de déclencher le déclic, mais comme je l’ai dit, le dernier mot revient toujours aux joueurs.»
    Choyés, sécurisés sur le plan pécuniaire, les joueurs jouissent d’une stabilité certaine que beaucoup leur envient. La notoriété du club qui ne la tient pas seulement de ses titres et de son droit d’aînesse étant le doyen, mais aussi de sa garde rapprochée, assurée par la plus grande entreprise nationale qui fait jaser dans les chaumières des autres clubs, font que le MCA est un club pas comme les autres. Même sa mauvaise passe actuelle si elle chagrine ses fans, intrigue les plus irréductibles.
    L'euphorie de la coupe d'Afrique
    Est-ce que l’environnement du club n’y est-il pas pour quelque chose ? «Peut-être, s’interroge Bachi, qui met aussi en avant le rôle néfaste d’une certaine presse qui ne s’est pas contentée de rester dans son rôle d’informer, mais est allée au-delà en s’immisçant dans les affaires internes du club, créant parfois des situations troubles. Tout se sait, même ce qui est censé être du domaine du secret. Certaines décisions prises au conseil n’ayant même pas franchi la salle de réunion qu’elles sont colportées à l’extérieur», révèle l’ancien capitaine qui ajoute qu’«il est inconcevable que certains extrapolent autour de déclarations supposées ou avérées de joueurs et de dirigeants en ajoutant une couche à la polémique, cela crée un malaise et n’est pas très bon pour la stabilité de l’équipe.»
    Plus généralement, Bachi qui fonde des espoirs sur notre équipe nationale, n’en émet pas moins des réserves sur le «pourvoyeur» de cette équipe. «L’équipe nationale ne reflète pas le niveau du football en Algérie dont les responsables ont opté pour la constitution d’une formation composée quasiment de joueurs algériens évoluant à l’étranger. C’est peut-être une solution de rechange puisqu’il n’y a pas pour le moment d’alternative sérieuse», admet Bachi qui ajoute que «la formation au niveau de nos clubs est pratiquement absente, sans parler des jeunes catégories délaissées par leurs dirigeants, obnubilés par le résultat immédiat et son corollaire, le maintien des responsables en place pour perpétuer leur pouvoir. On est en train de vivre un simulacre de mauvaise copie», soutient-il.
    Pour lui, «le professionnalisme reste au stade de simple slogan avec lequel certains se gargarisent. On en est loin, car le professionnalisme ne se décrète pas. Il faut créer les bases en s’appuyant sur une organisation impeccable, tant au plan des mentalités, des infrastructures ou de la gestion. Comme tout le monde le sait, ce n’est pas le cas chez nous où c’est plutôt le bricolage qui prime. La situation frôle l’anarchie. Les institutions chargées du contrôle et du respect de la réglementation s’en accommodent malheureusement.»
    Bachi, avec une brochette de joueurs, aura su allier sport et études. «Maintenant, c’est impossible. Si on fait des statistiques, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup qui mènent de concert une carrière sportive et universitaire. A notre époque, c’était possible car le rythme des entraînements (2 fois par semaine entre midi et quatorze heures) le permettait. On peut citer les Aïssaoui, Fergani, Abdouche, Atoui, Lalla, des joueurs brillants qui ont réussi leur carrière professionnelle ! La décision de la limite d’âge de ne pas s’expatrier nous a coupé les jambes. On était des retraités bien avant l’heure. C’était un beau gâchis. C’était, faut-il le préciser, des décisions arbitraires qui n’avaient rien à voir avec le sport !»
    Bachi avait été convoqué pour la première fois au MCA à 17 ans. «A Aïn M’lila, je n’ai pas joué, mais Omar Betrouni si, il a reçu un caillou sur la tête pendant le match, ironise-t-il. Moi, je n’ai commencé à jouer qu’à la phase retour.» C’était l’année où le MCA avait rétrogradé par décision du ministre chargé des Sports après les échauffourées contre le MCO. «J’ai joué mon premier match seniors contre l’OMR avec comme entraîneur Omar Hahad. On a accédé cette saison-là ; je me rappelle que les dirigeants avaient décidé de mettre dans le bain des jeunes : Betrouni, Maloufi, Zenir, Amrous, Bachta… Puis, ce fut l’ère Khabatou, l’entraîneur qui m’a le plus marqué car il a toujours été en avance sur son temps. Il avait le souci de former et voyait toujours loin.»
    Bachi garde dans un coin de sa mémoire le triomphe de la coupe d’Afrique en 1976, «aboutissement de toute une carrière.» Le plus mauvais souvenir ? «Paradoxalement, ce sont les deux titres que nous avions remportés sous la bannière du… MPA après la réforme dans l’indifférence quasi totale du public et de la direction du club. Cela m’avait grandement choqué à l’époque ! C’était comme une greffe qui n’a pas pris, une sorte de rejet de la part de ceux qui se sont indûment accaparés du club. Je l’ai ressenti comme cela. Mais je reste toujours un fidèle supporter, un fervent Mouloudéen ! Ça me collera à la peau jusqu’à la fin de ma vie. Il est de l’intérêt du MCA de tout faire pour ne pas l’enfoncer davantage. Je dis cela sans vouloir me disculper.»
    Adepte du grand large
    Bachi est père de deux filles et un garçon, ce dernier a fait des études en chirurgie cardio-vasculaire et effectue son service à Tamanrasset. Sa fille a été championne d’Algérie de tennis. «Elle l’a pratiqué pour son propre plaisir dans les jeunes catégories. Elle a fait le choix des études». Nous ne pouvions nous quitter après ce passionnant face-à-face sans évoquer l’autre passion de Zoubir : la mer. «Après le foot, c’est en effet la grande bleue qui m’attire et me fascine. Peut-être cela est-il dû à mes origines de Dellys et à mon père, Ahmed, qui était un pêcheur à Ras El Moul. Tous les week-ends, j’allais avec lui ; cette passion m’a poursuivi jusqu’à ma retraite. J’ai acheté un petit bateau et lorsqu’il fait beau je vais me ressourcer au large, loin des fureurs, des rumeurs de la ville et de la foule déchaînée…». Un climat apaisé dont le MCA a grandement besoin par les mauvais temps qui courent...


    A la une/Sport_Foot-Ball
    Mondial des clubs. ESS 2 - Wanderers FC 2


    Sétif arrache la 5e place

    Cueillis à froid, les Ententistes entament mal une rencontre jouée dans un stade presque vide. Secoués par le but de Castelen qui profite d’une balle perdue, les Sétifiens tentent de se refaire, mais n’arrivent pas à perturber l’adversaire évoluant en bloc.


    A la reprise, les Noir et Blanc, ambitieux, reviennent avec de meilleures intentions. Le centre de Younès (50’) oblige l’arrière gauche australien à tromper son gardien, au grand bonheur des Sétifiens, qui remettent ainsi les pendules à l’heure. Sept minutes après, Ziaya profite d’un beau centre de Gasmi pour donner l’avantage à son équipe.
    Cette réalisation ne décourage pas les Australiens, qui laissent des espaces qui ne sont pas exploités par les Noir et Blanc. Au lieu de presser un adversaire émoussé physiquement, les Ententistes se replient, commettent des fautes non loin de leur surface, ce qui permet aux Australiens d’égaliser à trois minutes de la fin et d’aller vers les tirs au but qui sourient aux champions d’Afrique, arrachant ainsi la 5e place et un chèque de 1,5 million de dollars.

    Fiche technique

    Grand stade de Marrakech
    - Arbitres : Norbert Huata (Tahiti), Tevita Makasini (Tonga) et Paul Ahupu (Tahiti)
    - Buts : Castelen (5’) Saba (87’) Wanderers - Mullen (50’ csc) Ziaya (57’) ESS
    - Averts : Haliti, Mullen, Poljak (Wanderers) - Aroussi (ESS)
    - ESS : Khedairia, Megatli, Ze Ondo, Aroussi, Mellouli, Zerara, Gasmi, Ziaya, Younès (Belaimeri 75’), Djahnit, Lamri (Lagraa 64’)
    - Entr. : Madoui
    - Wanderers FC : Bouzanis, Mullen, Golec, L. Haliti, Poljak (Fofanah 78’), Sotirio (Saba 66’), Castelen, Adeleke, Trifiro, Alessi, Baccus (Juric 68’)
    - Entr. : Tony Popovic


    Real Madrid 4 - Cruz Azul 0 : Madrid, sans forcer

    Candidats à la succession du Bayern Munich, détenteurs du dernier titre mondial, les Madrilènes ont, sans trop appuyer sur l’accélérateur, pris le meilleur sur une bonne formation mexicaine d’Azul Cruz.


    Dominant son sujet, la bande à Ancelloti a pointé quatre buts bien construits. Profitant d’une hasardeuse sortie du gardien mexicain, Ramos (15’), de la tête, matérialise le coup franc, bien botté par Kroos. Le retrait du latéral droit Carvajal (36’) prenant de vitesse la défense, permet à Karim Benzema de corser l’addition. A quatre minutes de la fin de la première mi-temps, Marcelo descend un attaquant mexicain. Chargé de l’exécution du penalty, Gerardo Torrado échoue face à un Casillas impérial.
    Le même scénario se reproduit lors de la seconde manche. Jouant juste et à l’économie, le champion d’Europe, bien emmené par un Christian Ronaldo jouissant, à l’instar de son club, d’une très grande popularité au Maroc, sert Bale (50’) qui, d’une tête, plie la rencontre jouée devant 45 152 spectateurs aux anges. Le jeune Isco (72’) scelle définitivement le sort d’une partie dominée par un Real qui file tout droit vers un autre titre.








    Dernière modification par zadhand ; 19/12/2014 à 00h25. Motif: Radar de Maghreb-Sat 19/12/2014
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