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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

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    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 04/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .

    La décision prise en Conseil des ministres de supprimer le fameux article 87 bis du code du travail, ce qui devra permettre la redéfinition du salaire national minimum garanti (SNMG), est saluée par les fédérations de l’UGTA. Réunies, hier au siège de la Centrale syndicale pour débattre du projet du nouveau code du travail, les 30 fédérations ont applaudi, à travers une motion spécifique, à la décision du chef de l’Etat.
    Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le secrétariat national de la Centrale syndicale n’a pas manqué, il faut le dire, l’opportunité de cette réunion de travail associant les représentants des structures verticales de l’organisation pour louer le geste de Bouteflika. Les fédéraux, convoqués pour débattre du projet du nouveau code du travail, se sont vu proposés, dès l’exposé liminaire, d’exprimer leur satisfaction de la suppression annoncée du 87 bis. Une satisfaction somme toute naturelle, tant est que l’abrogation de l’article en question fait partie des points saillants de la revendication syndicale depuis des années. L’abrogation du 87 bis, dont l’incidence financière sera, selon les calculs de l’UGTA, de l’ordre de 2 400 milliards de dinars, pourrait cependant ne pas profiter à l’ensemble des travailleurs. Si, en effet, la redéfinition du SNMG est aisément applicable dans la Fonction publique, il n’en est pas de même pour le secteur économique. D’ailleurs, le secrétaire national à l’UGTA chargé des questions socio-économiques, Telli Achour, qui a présidé la réunion d’hier, a reconnu qu’il y aura assurément des difficultés d’application dans le secteur économique. Selon lui, l’impact de la suppression du 87 bis sera fonction de la situation des entreprises. Des experts économistes prévoient en effet la hausse jusqu’à 15% des masses salariales des entreprises du fait de cette suppression du 87 bis. M. Telli a parlé d’une hausse oscillant entre 5 et 15%. Une situation qui ne sera supportable pour toutes les entreprises. Cela étant, les fédéraux UGTA ont eu, par ailleurs, à s’imprégner des dispositions du projet du nouveau code du travail. Riche de 661 articles, le document devra faire l’objet d’un débat au sein de ces structures de l’UGTA, lesquelles auront à mettre des propositions que le secrétariat national de l’UGTA devra synthétiser. La copie, finalisée en juillet, du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale propose, entre autres dispositions qui ne devraient pas agréer les syndicats, la généralisation du contrat à durée déterminée (CDD). Une disposition, si elle devait être ainsi votée, consacrera, de l’avis de nombreux syndicalistes, la précarité de l’emploi. Il est fort à s’attendre à un bras de fer entre d’un côté les syndicats et de l’autre le patronat et le gouvernement.
    S. A. I.

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    «IL NE FAUT PAS SE PRÉCIPITER DANS CETTE AFFAIRE DE RÉVISION DE LA CONSTITUTION»
    Surprenante sortie de Amar Ghoul
    Amar Ghoul appelle à «une conférence nationale sur la nouvelle Constitution». C’est ce qu’il a annoncé hier mercredi, à l’occasion d’une réunion du bureau politique de son parti, le TAJ, tenue dans son nouveau siège sis à Dely Brahim à Alger Suite...

    Pendant qu’Alger préfère honorer les artistes égyptiens

    Une place Slimane-Azem à Paris

    Par : Rubrique RadarLa reconnaissance à nos artistes vient toujours d’ailleurs. Cela s’est confirmé avec l’annonce de l'inauguration d’une place à Paris au nom d’un des piliers de la chanson algérienne, Slimane Azem, en l’occurrence. L’initiative revient à la ville de Paris, la mairie du 14e arrondissement, la CBF et l’association Ameslay. Au programme, des stands d'expositions avec des objets ayant appartenu à l’artiste, des originaux de disques, des photos de famille inédites, des poèmes récités par des enfants, un stand librairie, une projection-débat autour du documentaire Slimane Azem, une légende de l'exil de Rachid Merabet, et beaucoup d’autres surprises. Pour la petite précision, la place Slimane-Azem se situe dans le 14e, près de la place de Catalogne, au pied de l'église Notre-Dame-du-Travail, sur la rue Vercingétorix (M° Pernety, Gaîté ou Montparnasse). Forcé à l’exil par le régime de Boumediene, Slimane Azem avait été adopté par la ville de Paris où il est enterré. “Dhaghriv dhavarrani” (l’étranger ou l’exilé), chantait-il.




    Index de “vivabilité”

    Alger classée à la 135e place sur 140

    Par : Rubrique RadarAlger reste à la 135e place sur 140 dans le classement de l’index de vivabilité 2014 établi chaque année par The Economist Intelligence Unit. La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e). La capitale libyenne a un score en stabilité de 45, mais dépasse Alger aussi en matière d’infrastructures (51,8 contre 30,4). Le classement est dominé par les villes australiennes, notamment Melbourne qui décroche la première place pour la quatrième année consécutive. La dernière place est occupée par Damas, capitale de la Syrie. Ce classement de vivabilité du Economist détermine, comme l’explique le rapport, les endroits autour du monde qui offrent les meilleures et les pires conditions de vie. Les critères considérés incluent la stabilité, l’infrastructure, la santé, l’éducation, l’environnement et la culture. De nombreux mauvais élèves se situent dans des zones de conflit. Cela est dû à un mauvais score en stabilité, mais aussi, car les facteurs déterminant cette stabilité, indique le rapport, affectent d’autres critères comme l’infrastructure ou la santé.


    Mobilis

    La 3G, le sport et l’action citoyenne

    Par : Nabila SAIDOUNL’opérateur public fait parler de lui et s’impose sur l’échiquier de la téléphonie mobile.
    Il promet de couvrir les 48 wilayas en 3G en l’espace de 2 ans.

    Décidément Mobilis est sur tous les fronts et ne ménage aucun effort pour séduire le maximum de clients. C’est du moins le message que Saâd Damma, P-DG d’ATM Mobilis, a tenu à transmettre, lundi, à l’hôtel Hilton, lors de la cérémonie de signature d’un partenariat le liant au Comité olympique algérien (COA) jusqu’à 2020. Mobilis pénètre ainsi le monde du sport par la grande porte sans perdre de vue son métier de base. “Tout est lié”, nous a déclaré M. Damma en marge de la rencontre expliquant que “cette stratégie de vouloir occuper la scène n’est pas seulement pour le plaisir de faire parler de soi, mais aussi pour faire fructifier les énormes investissements consentis dans le cadre du développement de l’entreprise”.
    En d’autres termes, chaque sou dépensé par l’opérateur doit être récupéré et cela ne saurait arriver sans investir également sur l’image même de l’entreprise. Il s’agit là des règles de base de toutes les économies réussies que Damma veut “une réalité” et non “une simple chimère”. “Nous sommes une entreprise économique publique qui se donne les moyens pour être à la hauteur dans un domaine à très forte concurrence”, a-t-il insisté, soulignant avec force la pertinence de l’action citoyenne dont l’opérateur ne peut se défaire.
    Il semble que l’ambition affichée par l’équipe dirigeante actuelle porte ses fruits au regard des résultats financiers obtenus, mais aussi et surtout par rapport à l’image que renvoie l’opérateur public ces derniers mois, mais pas seulement. Mobilis arrive à s’imposer sur le marché comme un opérateur fort et vise, pourquoi pas, d’être leader. Selon le dernier rapport de l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile (GSMA) publié, il y a quelques jours, Mobilis est leader dans la 3G au 2e trimestre 2014. Quoi qu’il en soit, M. Damma promet que “le jour J, à savoir en l’espace de 2 ans et 1 jour depuis son lancement, Mobilis couvrira les 48 wilayas du pays et offrira la 3G à tous les Algériens et il sera le seul opérateur à pouvoir le faire. En attendant le 16 décembre prochain, nous allons rajouter à notre liste de couverture 16 wilayas pour arriver à un total de 35”.


    Des cartables scolaires, des ambulances et un espace pour le service pédiatrie de l’hôpital d’Hussein-Dey

    Il n’y a pas que le sport. L’aspect solidarité prime aussi chez l’opérateur qui se lance, dès la semaine prochaine, dans l’action citoyenne consacrant à certaines villes des Hauts-Plateaux une attention somme toute particulière.
    Aussi, Saâd Damma, qui ne perd pas le Nord, enchaîne sur une stratégie tout aussi payante et annonce le parrainage au profit de plusieurs associations qui activent dans le domaine de l’enfance, de la femme, de la jeunesse, etc. il réédite aussi des opérations menées l’année dernière et marque la rentrée scolaire à partir de Djelfa pour distribuer des cartables pleins d’articles scolaires au bénéfice des enfants démunis. L’autre action, qui mérite d’être soulignée avec force, émane des abonnés de l’opérateur (plus de 13 millions de clients) qui, au cours du Ramadhan dernier, ont été très sensibles à l’appel de solidarité lancé par l’opérateur pour y adhérer totalement. Cela consistait à retenir 10 DA sur chaque opération menée par le client.
    Résultat des courses, le gain obtenu permet aujourd’hui à Mobilis d’être en mesure d’offrir quatre ambulances équipées de matériel médical ainsi que l’aménagement d’un espace dédié au service pédiatrique de l’hôpital d’Hussein-Dey (Parnet). “Je suis très fier de mes clients pour lesquels je suis très redevable”, dira humblement M. Damma, annonçant dans la foulée : “Nous allons lancer pas mal de projets avec le Comité olympique pour mener une campagne de sensibilisation et lutter contre la violence dans les stades notamment après la perte tragique de l’attaquant de la JSK : Albert Ebossé.”
    N. S.

    À la mémoire de Mohamed Salah MENTOURI

    Cérémonie de recueillement vendredi 5 septembre

    Par : Rédaction Nationale
    Le 5 septembre 2010, notre cher et regretté Mohamed Salah Mentouri était ravi à l’affection de sa famille et de ses amis.
    L’engagement passionné pour l’Algérie tout au long de sa vie, et ce, dès son plus jeune âge, sa droiture et sa générosité restent à jamais gravés dans les mémoires. En ce jour de commémoration, la famille Mentouri demande à tous ceux qui l’ont connu et apprécié pour son intégrité, son patriotisme, sa compétence, son courage, mais également pour sa discrétion, sa disponibilité, d’avoir une pensée à sa mémoire. Repose en paix, Mohamed Salah, toi qui es mort debout comme tu as vécu.
    Tu n’es pas mort dès lors que tu es présent dans les mémoires de ceux qui restent attachés aux idéaux que tu as, avec d’autres, portés d’une Algérie forte, libre, attachée à ses racines et fière de son histoire, et résolument moderne.
    Une cérémonie de recueillement est prévue le vendredi 5 septembre à 10h au cimetière d’El-Alia.




    Crise politique : Pourquoi l’armée est-elle sollicitée






    Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons interpellent l’armée pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.


    Fortement sollicitée pour peser de tout son pouvoir en faveur d’un changement démocratique, le commandement militaire cristallise tous les regards. En raison du flou politique dominant et surtout d’un chef d’Etat absent renforçant une périlleuse impasse, alors que les rumeurs font rage au sein du sérail, l’armée est de plus en plus sollicitée pour assumer son rôle historique. Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons l’interpellent pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.
    La grande muette, dont le rôle a été de tout temps déterminant dans les choix politiques comme dans la désignation des chefs d’Etat, est ainsi mise aujourd’hui face à ses responsabilités en tant que dépositaire du pouvoir réel car c’est elle qui «donne la légitimité aux civils pour gouverner», dixit l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Et c’est précisément ce dernier qui, depuis la campagne pour reconduire Abdelaziz Bouteflika au poste de président de la République pour un quatrième mandat qui fait peser sur l’armée une forte pression pour rappeler sa mission historique. «Faire allégeance au pays et à l’Etat de droit en non pas aux hommes», l’invite-t-il.
    Le chef de file des réformateurs ne cesse depuis d’appeler à forger «un nouveau consensus national» dont l’armée serait un acteur majeur car, selon lui, sans elle «rien ne pourra se faire». M. Hamrouche, au double parcours militaire et politique, fait la démonstration qu’il n’est «pas dans l’intérêt de l’armée de rester figée dans la situation actuelle». D’autres acteurs politiques se rallient également à l’idée de s’appuyer sur l’institution militaire pour amorcer un processus de changement politique démocratique.
    De nombreuses formations politiques travaillent à l’élaboration d’un compromis historique et convient le pouvoir à aller vers un changement de régime. Mokrane Aït Larbi a ainsi apporté sa contribution au débat sur le rôle de l’armée dans «une transition démocratique et pacifique».
    Pour l’ancien dirigeant du RCD, il ne s’agit pas d’appeler à un coup d’Etat militaire, mais face à « un dialogue de sourds qui s’est installé entre le pouvoir et l’opposition, l’armée détient la clé de la solution». En rappelant que l’armée a eu depuis l’indépendance « un rôle politique qui a pesé dans les évènements à commencer par l’élection de l’assemblée nationale constituante en 1993 jusque au quatrième mandat.

    C’est le commandement militaire qui a fabriqué les présidents, de Ben-Bella à Bouteflika et c’est le même commandement qui a fixé les grandes lignes de l’Etat. L’armée a pesé dans les grands évènements positivement ou négativement et c’est elle qui déteint les moyens matériels et humains et les compétences capables de contribuer efficacement à un changement démocratique (…)».
    L’avocat poursuit son analyse en considérant que l’armée qui devrait être au « service de l’Etat, du peuple et de la nation en non pas au profit de d’un pouvoir, d’un groupe ou d’un système ne peut retourner aisément dans les casernes alors que l’Algérie est dans une crise multiformes. Dans le contexte actuel, son rôle est de convaincre le président de la république de la nécessité de parvenir à un accord impérieux entre le pouvoir et l’opposition autour d’un plate forme adoptée par tout le monde dans la perspective d’un changement pacifique et éviter une nouvelle tragédie».
    La grande muette restera-elle sourde ?
    Ces appels seront-ils entendus? La grande muette restera-elle sourde aux «appels patriotiques» ? S’il est admis que durant la période post-octobre 1988 l’armée était soudée autour d’un groupe de généraux puissants qui se sont jetés dans l’arène et façonné le paysage politique, aujourd’hui, après quinze ans de règne de Bouteflika c’est le paysage de l’institution militaire qui a sensiblement changé. La guerre que se sont livrée des segments du pouvoir à la veille du scrutin présidentiel du 17 avril a vigoureusement révélé les dissensions, les divisions et surtout les tensions qui caractérisent le pouvoir et son épicentre militaire.
    Une escalade qui avait dévoilé les désaccords entre les centres de décision. Le Département du renseignement et de la sécurité a été violemment secoué et son patron, le général Toufik, a été mis en cause et en «difficulté» par le clan présidentiel via le FLN. Des analystes estiment que le commandement militaire n’est plus un bloc homogène et hégémonique. «En trois mandats, Bouteflika et son clan ont réussi à asseoir leur pouvoir et l’élargir à mesure que les puissants chefs militaires quittaient leurs fonctions».
    Les rapports de force dans le sérail ne sont pas restés figés. Le règne de Bouteflika a donné naissance à d’autres groupes influents au sein du pouvoir s’appuyant sur l’informel dominant et surtout sur l’accumulation de grosses fortunes qui contrebalancent le poids des militaires et des politiques. L’apparition de cette «nouvelle force» à une capacité de nuisance certaine qui évolue en neutralisant d’autres forces et à leur tête celle de l’armée. Cette dernière faut-il le souligner est fortement sollicitée militairement en raison du contexte sécuritaire régional.
    Ses chefs sont pour la plupart au crépuscule de leur carrière. Les acteurs politiques les appellent à accomplir leur denier acte. «Sauver» le pays d’un chaos menaçant ! Les généraux- majors, Toufik et Gaïd Salah interpellés par Mouloud Hamrouche ont-ils la volonté et la possibilité de le faire, eux qui étaient «forcés à maintenir le statu quo» ?
    N’est-il pas illusoire d’accorder des vertus démocratiques à des prétoriens qui ont façonné un ordre autoritaire ? Ceux qui exhortent l’armée à assumer son rôle dans le changement démocratique tablent sur une situation d’urgence nationale. «Les décideurs militaire sont enclins à l’ouverture quand le danger se fait imminent», proclame un connaisseur du sérail. En somme, à court terme, une succession devrait s’ «organiser» à des niveaux différents au sein du pouvoir.
    L’inéluctable départ à la retraite des patrons du DRS, Mohamed Mediène, et du chef d’état-major, Ahmed Gaïd-Salah. Reste le chef de l’Etat dont l’état de santé est incertain, et qui focalise toutes les incertitudes. Ces départs vont-ils alors induire des changements profonds dans la nature du régime politique? En tout état de cause, la classe politique ,comme le reste de la société l’espèrent ardemment.

    Hacen Ouali

    Dernière modification par zadhand ; 04/09/2014 à 00h54. Motif: Radar de Maghreb-Sat
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