FLASH INFOS : 12/09/2014Regain d’hostilités entre le RCD et le FFS
Par Farouk Djouadi le 11/09/14 à 18h06 | mis à jour le 11/09/14 à 22h53
« Le FFS n’a pas d’initiative. Il n'a que des paroles, un discours vide... », a déclaré Mohcine Belabbes à la presse. la suite
L’opposition passe à l’offensive
Le plan d’action du comité de suivi installé hier devrait être décliné aujourd’hui par un communiqué sanctionnant la rencontre.
Il y avait du beau monde hier au siège national du RCD à El Biar. L’installation du solennel Comité de suivi, prévu par la conférence nationale pour la transition démocratique tenue le 10 juin dernier, a attiré les opposants politiques de tous poils, au propre et au figuré.
L’ambiance au siège du RCD, caractérisée par un carrousel de voitures rutilantes déposant les leaders politiques, rappelait au bon souvenir les luttes démocratiques des années 1990.
Les reporters et les photographes présents en force s’en étaient donné à cœur joie. Dès que la voiture d’un leader politique franchit le portail d’entrée, de nombreux journalistes l’accueillent (ou plutôt le cueillent) l’obligeant à improviser un point de presse avant même le début de la réunion. Particulièrement actif au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le chef du parti Jil Jadid, Soufiane Djilali, est le premier à pointer. Il rejoint directement le bureau de son homologue du RCD, Mohcine Belabbas, situé au premier étage.
Annoncée initialement à 14h, la réunion tant attendue est reportée, nous dit-on, à 15h. La presse s’impatiente dans la petite cour du siège du RCD sous une chaleur étouffante. Mais l’arrivée (14h20) de Ali Benflis à bord d’un bolide allemand noir a réveillé tout le monde. «Ça commence à être sérieux apparemment… », glisse un confrère, un brin refroidi comme beaucoup par l’annonce de la défection de Sid Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche pour des raisons «d’indisponibilité».
Tout le monde est là
En complet noir, chemise blanche et cravate bleu nuit striée de points blancs, Ali Benflis répond avec beaucoup d’entrain aux nombreuses sollicitations des journalistes. Faisant face à une forêt de microphones, l’ex-chef de gouvernement a fait le tour de la question, l’air plutôt serein. Il débarque à cette réunion avec ses proches collaborateurs au sein du Front du changement que sont Djahid Younsi, Nourredine Bahbouh, Tahar Benbaibeche et Djamel Ben Abdesslam. «C’est une bonne chose que les partis d’opposition se rencontrent pour échanger des points de vue sur le meilleur moyen de régler la crise de légitimité dans notre pays», commente, d’emblée, l’ex-candidat à la présidentielle.
Les questions fusent de toutes parts et sur tous les sujets. Il est même interrogé si Belkhadem allait rejoindre ce Comité de suivi, maintenant qu’il est en rupture de ban avec le pouvoir. «Il n’y a rien à signaler à ce sujet pour l’instant», balaie Ali Benflis. Mais il ne se prive pas de décliner sa vision du «changement politique en Algérie» et la solution de la «crise de légitimité qui passe, enchaîne-t-il, par un retour au processus électoral supervisé par une instance de surveillance indépendante». Sur sa présence à cette réunion, Ali Benflis estime que «pour le Pôle du changement, l’unité de l’opposition nationale constitue un objectif stratégique majeur pour l’ensemble de ses composantes soucieuses de hâter le dépassement de la grave crise de régime à laquelle notre pays est confronté». Visiblement à l’aise face à la presse, Benflis ravit la vedette à tous les autres leaders et a pratiquement improvisée une conférence de presse in situ.
Benflis ravit la vedette
Pendant ce temps, Ahmed Benbitour, également ancien chef de gouvernement, voulant visiblement éviter le «faux barrage» des journalistes, rejoint lui aussi furtivement Mohcine Belabbas et Soufiane Djilali au 1er étage. Mustapha Bouchachi, en rupture de ban avec le FFS, se dirige tout droit vers la salle de réunion. Benflis poursuit son speech dans la cour en embrayant sur la nécessité pour l’opposition de «souder ses rangs autour d’une vision rassembleuse de sortie de la crise politique actuelle».
Ali Benflis sera ainsi happé par les journalistes jusqu’à ce que Kamel Guemazi, membre fondateur du FIS, vêtu d’un qamis blanc, la barbe bien fournie, fait son entrée dans les locaux du RCD en compagnie de Ali Djeddi lui aussi en qamis marron. Les journalistes tentent de leur soutirer une déclaration alors que le duo se dirige tout droit vers la salle de réunion. «Comme nous avons participé à la conférence de Zéralda le 10 juin dernier, nous sommes ici pour essayer de trouver la meilleure voie à un changement pour le bien de l’Algérie», déclare Kamel Guemazi.
«Qu’est-ce que cela vous fait de vous retrouver au siège du RCD qui a toujours été votre adversaire politique ?» interroge un journaliste. «C’est une preuve que nous avons évolué dans notre réflexion et ce genre de rencontres permet d’échanger des points de vue entre partis et personnalités algériens sur ce qu’il faut faire pour sortir le pays de la crise», répond l’ex-maire FIS, d’Alger-Centre. Mokdad Sifi qui vient d’arriver dit à peu près la même chose : «Je suis ici pour participer à cette initiative politique et d’autres encore pour peu qu’elles visent à changer l’Algérie dans le bon sens.» 15h tapantes.
Les organisateurs invitent les participants à rejoindre la salle pour une rencontre à huis clos. Les derniers arrivants, dont Abdelaziz Rahabi, Abderrazak Mokri et Karim Younes, pressent le pas vers le lieu de rencontre, échangeant des saluts avec des journalistes. Une petite photo de famille puis la porte de la salle se referme, laissant les leaders de l’opposition peaufiner leur plan de bataille face à un pouvoir qui ne leur fait pas de cadeau. Une feuille de route devrait faire l’objet d’un communiqué qui sera rendu public aujourd’hui, promet-on.
Le FFS fait machine arrièreComme il fallait bien s’y attendre, le Front des forces socialistes (FFS) a fini par décliner l’invitation de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de participer à l’installation du Comité de suivi. Dans un communiqué publié sur son site web, ce parti dirigé désormais par Mohamed Nebbou justifie sa décision par son choix de «privilégier les contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales». «En application des résolutions de notre 5e congrès qui visent la reconstruction d’un consensus national, nous avons adopté une feuille de route en conséquence. Dans ce cadre, nous privilégions actuellement des contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales, en vue de réunir une conférence de consensus avant la fin de l’année. Nous ne souhaitons donc pas intégrer cette instance de suivi et de concertation», lit-on dans le communiqué du FFS.
Et comme pour ne pas se fâcher avec tous ces partis et personnalités de l’opposition réunis au grand complet, ce parti les invite à «croire que nous continuons de suivre avec attention, respect et intérêt vos initiatives». Pas de quoi convaincre et l’opposition et l’opinion publique de la pertinence politique de cette décision qui privilégie curieusement une démarche en solo au lieu d’un front unitaire à même de créer un vrai rapport de forces au pouvoir. Question à un dinar symbolique : avec qui le FFS compte-t-il amorcer son «consensus national» alors qu’il joue le dissensus au sein de l’opposition ? (H. M.)
Des partisans de Abdelaziz Belkhadem ont révélé l’information : Amar Saadani aurait été auditionné par la police française
11 septembre 2001, 13 ans après
Cette date qui a changé notre façon de voyager
Par : Kezzar MouradAujourd’hui, 13 ans après les événements du 11 Septembre 2001, cette date reste comme une grande blessure dont les séquelles marquent toujours le quotidien des voyageurs par voie aérienne, dont les Algériens. Depuis cet événement, à l’instar des citoyens des autres pays, les Algériens, qui se déplacent par avion, sont astreints à des mesures de sûreté plus draconiennes que celles déjà introduites par les autorités algériennes à la suite du détournement de l’Airbus d’Air France en 1994 à l’aéroport d’Alger.
En effet, sous la pression des USA, mais aussi dans le cadre de la concertation entre les pays menacés par le terrorisme ou engagés dans sa lutte, les Algériens qui prennent l’avion, que ce soit pour un vol domestique ou pour un vol international, sont astreints au respect de certaines règles et procédures sévères dites de sûreté.
Déjà, lors de la réservation d’un billet d’avion, le passager est obligé de communiquer aux agents de la billetterie des informations considérées par le passé et avant cette date du 11 Septembre comme étant d’ordre privé. C’est la fameuse procédure Apis. Une fois à l’aéroport, le passager est soumis à une fouille systématique de ses bagages et une autre corporelle.
Dans certains aéroports, la fouille corporelle devient quasi humiliante avec l’obligation de se déchausser, de retirer sa ceinture… Son enregistrement au vol ne devient effectif qu’une fois le contrôle des documents effectué. Une compagnie qui émet à titre d’exemple un billet à un Algérien à destination de la France sera soumise à des pénalités si le passager en question ne possède pas les preuves matérielles de son éligibilité d’entrée dans le territoire français.
À partir de 2006, la nomenclature des objets admis dans le bagage en cabine a été réduite à sa plus simple expression. Désormais, sur la liste des produits prohibés, on retrouve, aussi, des liquides, à l’instar du miel et de l’huile d’olive. Les shampooings et même les biberons pour bébés sont concernés. Désormais, seuls les flacons de moins de 100 ml et contenant un liquide sont admis en cabine. Conséquences de ces mesures, les passagers sont obligés de suivre de longues files d’attente devant les portiques de sécurité ou même à l’entrée des aérogares, avant leur embarquement. Ils sont dans l’obligation d’expédier dans le bagage allant en soute des liquides précieux, tels que les parfums et les médicaments, ainsi que des équipements électroniques. Une situation qui fait exploser le nombre de vols lors de la manutention des bagages. À noter que les Algériens, par rapport aux citoyens d’autres pays, ont découvert les mesures de sûreté aérienne qui diffèrent des procédures de la sécurité aérienne au lendemain du détournement de l’Airbus d’Air France, soit le 26 décembre 1994, à l’aéroport d’Alger. Fouille corporelle, portiques de sécurité, reconnaissance des bagages, stérilisation des cockpits, soit leur fermeture une fois l’embarquement terminé, et la présence éventuelle de policiers en civil sur certains vols ont été découverts par les Algériens dès 1995. Mais à partir de 2001, ils seront astreints de vivre ces mesures, et d’autres plus sévères, dans des aéroports jusqu’ici réputés pour leur gestion fluide des passagers et des bagages.
Révélé la semaine dernière à l’IFA de Berlin
Le Galaxy Note 4 : une nouvelle dimension technologique
Par : Nabila SAIDOUNLe n°1 mondial du mobile confirme sa suprématie sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note” qui sera commercialisé à partir d’octobre prochain.
Le show ! Samsung soigne de plus en plus son image et met les petits plats dans les grands pour séduire technologiquement, mais aussi visuellement. Sa participation à l’IFA de Berlin, le rendez-vous annuel de la grande messe high-tech européenne qui s’est tenue la semaine dernière en Allemagne, prend des allures futuristes de celui qui pousse le défi à son paroxysme, notamment en cette période qui coïncide avec la révélation de l’Iphone 6 d’Apple et de sa phablette Iphone 6 plus. C’est indéniable, les yeux du monde sont encore fois braqués sur ces constructeurs qui osent, sans limites, mettre au défi le génie technologique et ne rien se refuser pour surprendre… pour séduire, et c’est loin d’être un jeu. L’industrie mobile rapporte et rapporte gros pour celui qui impose sa suprématie. Le géant sud-coréen ne s’embarrasse pas, d’ailleurs, pour placer la barre très haut et confirmer son leadership sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note”. Celui-ci sera commercialisé au niveau mondial à partir d’octobre prochain pour être introduit, un peu plus tard, en Algérie.
La phablette : un segment en forte croissance
Aux attributs technologiques des plus impressionnants, le Galaxy Note 4 se présente comme une véritable bête de course réunissant tout l'héritage de Samsung en matière d’expérience mobile Galaxy. Ses concepteurs l’ont doté de nouveautés de manière à se distinguer des versions précédentes présentant des arguments irréfutables pour son acquisition. DJ Lee, exécutive vice-président Samsung division Mobile, en a fait d’ailleurs la démonstration en conquérant. Si visuellement, le Galaxy Note 4 affiche peu de différences par rapport au Note 3, en réalité, un détail diffère et pas des moindres. La phablette 2014 de Samsung s’équipe d’un solide cadre en métal dans la veine de ce que propose déjà le Galaxy Alpha. Un matériau attendu depuis très longtemps chez Samsung et qui, à terme, pourrait bien remplacer totalement le plastique sur certains modèles. Le Galaxy Note 4 offre aussi des couleurs plus naturelles par rapport aux versions précédentes avec son extraordinaire écran Quad HD (2560x1440) Super Amoled de 5,7 pouces permettant de meilleurs angles de vue et des temps de réponse d’une vitesse d'un millionième de seconde. La fonctionnalité multi-fenêtres est à son tour améliorée et en mesure de maximiser l'expérience de l'utilisateur en lui fournissant la clé pour faciliter le multitâche. Il peut choisir la façon d’accéder à ses applications en mode plein écran, en écrans fractionnés ou instantanés, et de changer facilement la taille et le positionnement des applications sur l'écran avec une fonction “glisser” intuitive.
Ce bijou technologique totalement irrésistible arbore également un système de caméra de pointe qui est capable de reproduire des images plus éclatantes et plus claires.
L'appareil est équipé d'une caméra orientée vers l'arrière de 16 mégapixels avec un stabilisateur d'image optique intelligent qui contrebalance le tremblement de la caméra et prolonge automatiquement le temps d'exposition dans des endroits sombres. En outre, une caméra de face de 3,7 mégapixels dotée d’un F1.9 offre un angle de prise de vue de 90 degrés par défaut et un angle plus grand jusqu'à 120 degrés afin que les utilisateurs puissent prendre les meilleures photos de groupe avec des amis.
Le Galaxy Note 4 propose également un Fingerprint Scanner amélioré, afin de sécuriser les données personnelles et le premier capteur UV au monde dans un appareil mobile. L’ultra haut de gamme de Samsung offre également aux utilisateurs un choix de plusieurs méthodes de prise de notes intégrées avec l’application S Note de Samsung, qui permet d’effectuer les tâches quotidiennes plus rapidement et plus facilement.
Après le coup de jarnac de son ex-compagne Valérie Trierweiler
L’avenir politique de François Hollande plus sombre que jamais !
Par : Djamel BouattaClimat de rentrée calamiteux pour le chef de l'Etat français : croissance en berne, majorité divisée, fracturée même. Aucune de ses initiatives ne parvient à redresser la barre.
Cerise sur le gâteau, le livre-brûlot de son ex-compagne qui dévoile un François Hollande pas du tout “normal” et même méprisant à l’égard de l’électorat populaire. Devenu le président le plus impopulaire de la Ve République française, donné comme battu au second tour de la présidentielle face à tous ses rivaux et même surtout Marine Le Pen, François Hollande pourra-t-il se représenter en 2017 ? Clairement non, affirme un sondage Ifop selon lequel 85% des Français ne souhaitent pas que le président postule à un second mandat. Ce serait la première fois qu'un président sortant ne serait pas en position de solliciter une deuxième fois la confiance des électeurs. Même chez les sympathisants socialistes, 65% ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Plus de la moitié des Français (55%) pensent qu’il ne sera d'ailleurs même pas candidat. En première ligne des reproches qui lui sont adressés viennent les promesses non tenues de sa campagne présidentielle, puis dans l'ordre décroissant le manque de résultats obtenus sur le plan économique, la manière dont il exerce la fonction présidentielle, la progression du nombre de chômeurs et l'exposition de sa vie privée.
Le livre de son ex-campagne, Valérie Trierweiler, l’a encore enfoncé, décrivant un socialiste “bourgeois”, n'aimant pas les pauvres, qu'il appelle des “sans-dents”. Mais, hier François Hollande, a réfuté ces assertions en affirmant qu’il a vécu cela comme “un coup porté àvie tout entière” et dénoncé un “mensonge qui (le) blesse”, selon des confidences faites au Nouvel Observateur, à paraître aujourd’hui. “Cette attaque sur les pauvres, les plus démunis, je l'ai vécue comme un coup portée à ma vie tout entière (...). Dans toutes mes fonctions, dans tous mes mandats, je n'ai pensé qu'à aider, qu'à représenter ceux qui souffrent. Je n'ai jamais été du côté des puissants, même si je ne suis pas leur ennemi, mais je sais d'où je viens”, a déclaré le chef de l'Etat français. “Vous croyez que j'ai oublié d'où je viens ? Mon grand-père maternel, petit tailleur d'origine savoyarde, vivait avec sa famille dans un modeste deux-pièces à Paris. Mon grand-père paternel, lui, était instituteur, issu d'une famille de paysans pauvres du nord de la France. Et vous croyez que je pourrais mépriser le milieu d'où je tiens mes racines, ma raison de vivre ?”, s’est-il indigné. Lors de la conférence de presse qu'il a donnée à Newport (pays de Galles), à l’issue du sommet extraordinaire de l’Otan consacré à la coalition internationale sous le panache américain pour combattre le califat islamiste en Irak et en Syrie, il a martelé qu'il gouvernera jusqu'au bout et n'était qu'à la moitié du mandat que lui a confié le peuple français en mai 2012. Selon les politologues français, bien que protégé par les institutions, François Hollande devra néanmoins devoir prendre des initiatives politiques rapides pour éviter de sombrer dans la spirale d'impopularité qui le tire actuellement vers des niveaux d'impopularité jamais connus.
La conférence de presse semestrielle prévue le 18 septembre sera-t-elle un moyen pour lui de reprendre l'offensive, comme l’assurent ses proches ? A regarder de prés le président français est le nez au mur. Outre l’offensive de la droite et du Front national dont la patronne est persuadée que son heure à elle est arrivée, François Hollande s’est mis à dos les verts de l’EELV, le Front de gauche et une bonne partie des militants du PS. Pour les plus optimistes, François hollande dispose encore assez de mou pour ne pas envisager des solutions extrêmes genre dissolution de l’Assemblée.
PROJECTION DE AT (HOME) DE ELISABETH LEUVREY AUX RC DE BÉJAÏA
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