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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

Vue hybride

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    FLASH INFOS : 12/09/2014

    Regain d’hostilités entre le RCD et le FFS

    Par Farouk Djouadi le 11/09/14 à 18h06 | mis à jour le 11/09/14 à 22h53


    « Le FFS n’a pas d’initiative. Il n'a que des paroles, un discours vide... », a déclaré Mohcine Belabbes à la presse. la suite


    L’opposition passe à l’offensive


    Le plan d’action du comité de suivi installé hier devrait être décliné aujourd’hui par un communiqué sanctionnant la rencontre.

    Il y avait du beau monde hier au siège national du RCD à El Biar. L’installation du solennel Comité de suivi, prévu par la conférence nationale pour la transition démocratique tenue le 10 juin dernier, a attiré les opposants politiques de tous poils, au propre et au figuré.
    L’ambiance au siège du RCD, caractérisée par un carrousel de voitures rutilantes déposant les leaders politiques, rappelait au bon souvenir les luttes démocratiques des années 1990.

    Les reporters et les photographes présents en force s’en étaient donné à cœur joie. Dès que la voiture d’un leader politique franchit le portail d’entrée, de nombreux journalistes l’accueillent (ou plutôt le cueillent) l’obligeant à improviser un point de presse avant même le début de la réunion. Particulièrement actif au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le chef du parti Jil Jadid, Soufiane Djilali, est le premier à pointer. Il rejoint directement le bureau de son homologue du RCD, Mohcine Belabbas, situé au premier étage.
    Annoncée initialement à 14h, la réunion tant attendue est reportée, nous dit-on, à 15h. La presse s’impatiente dans la petite cour du siège du RCD sous une chaleur étouffante. Mais l’arrivée (14h20) de Ali Benflis à bord d’un bolide allemand noir a réveillé tout le monde. «Ça commence à être sérieux apparemment… », glisse un confrère, un brin refroidi comme beaucoup par l’annonce de la défection de Sid Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche pour des raisons «d’indisponibilité».
    Tout le monde est là
    En complet noir, chemise blanche et cravate bleu nuit striée de points blancs, Ali Benflis répond avec beaucoup d’entrain aux nombreuses sollicitations des journalistes. Faisant face à une forêt de microphones, l’ex-chef de gouvernement a fait le tour de la question, l’air plutôt serein. Il débarque à cette réunion avec ses proches collaborateurs au sein du Front du changement que sont Djahid Younsi, Nourredine Bahbouh, Tahar Benbaibeche et Djamel Ben Abdesslam. «C’est une bonne chose que les partis d’opposition se rencontrent pour échanger des points de vue sur le meilleur moyen de régler la crise de légitimité dans notre pays», commente, d’emblée, l’ex-candidat à la présidentielle.
    Les questions fusent de toutes parts et sur tous les sujets. Il est même interrogé si Belkhadem allait rejoindre ce Comité de suivi, maintenant qu’il est en rupture de ban avec le pouvoir. «Il n’y a rien à signaler à ce sujet pour l’instant», balaie Ali Benflis. Mais il ne se prive pas de décliner sa vision du «changement politique en Algérie» et la solution de la «crise de légitimité qui passe, enchaîne-t-il, par un retour au processus électoral supervisé par une instance de surveillance indépendante». Sur sa présence à cette réunion, Ali Benflis estime que «pour le Pôle du changement, l’unité de l’opposition nationale constitue un objectif stratégique majeur pour l’ensemble de ses composantes soucieuses de hâter le dépassement de la grave crise de régime à laquelle notre pays est confronté». Visiblement à l’aise face à la presse, Benflis ravit la vedette à tous les autres leaders et a pratiquement improvisée une conférence de presse in situ.
    Benflis ravit la vedette
    Pendant ce temps, Ahmed Benbitour, également ancien chef de gouvernement, voulant visiblement éviter le «faux barrage» des journalistes, rejoint lui aussi furtivement Mohcine Belabbas et Soufiane Djilali au 1er étage. Mustapha Bouchachi, en rupture de ban avec le FFS, se dirige tout droit vers la salle de réunion. Benflis poursuit son speech dans la cour en embrayant sur la nécessité pour l’opposition de «souder ses rangs autour d’une vision rassembleuse de sortie de la crise politique actuelle».
    Ali Benflis sera ainsi happé par les journalistes jusqu’à ce que Kamel Guemazi, membre fondateur du FIS, vêtu d’un qamis blanc, la barbe bien fournie, fait son entrée dans les locaux du RCD en compagnie de Ali Djeddi lui aussi en qamis marron. Les journalistes tentent de leur soutirer une déclaration alors que le duo se dirige tout droit vers la salle de réunion. «Comme nous avons participé à la conférence de Zéralda le 10 juin dernier, nous sommes ici pour essayer de trouver la meilleure voie à un changement pour le bien de l’Algérie», déclare Kamel Guemazi.
    «Qu’est-ce que cela vous fait de vous retrouver au siège du RCD qui a toujours été votre adversaire politique ?» interroge un journaliste. «C’est une preuve que nous avons évolué dans notre réflexion et ce genre de rencontres permet d’échanger des points de vue entre partis et personnalités algériens sur ce qu’il faut faire pour sortir le pays de la crise», répond l’ex-maire FIS, d’Alger-Centre. Mokdad Sifi qui vient d’arriver dit à peu près la même chose : «Je suis ici pour participer à cette initiative politique et d’autres encore pour peu qu’elles visent à changer l’Algérie dans le bon sens.» 15h tapantes.
    Les organisateurs invitent les participants à rejoindre la salle pour une rencontre à huis clos. Les derniers arrivants, dont Abdelaziz Rahabi, Abderrazak Mokri et Karim Younes, pressent le pas vers le lieu de rencontre, échangeant des saluts avec des journalistes. Une petite photo de famille puis la porte de la salle se referme, laissant les leaders de l’opposition peaufiner leur plan de bataille face à un pouvoir qui ne leur fait pas de cadeau. Une feuille de route devrait faire l’objet d’un communiqué qui sera rendu public aujourd’hui, promet-on.

    Le FFS fait machine arrière
    Comme il fallait bien s’y attendre, le Front des forces socialistes (FFS) a fini par décliner l’invitation de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de participer à l’installation du Comité de suivi. Dans un communiqué publié sur son site web, ce parti dirigé désormais par Mohamed Nebbou justifie sa décision par son choix de «privilégier les contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales». «En application des résolutions de notre 5e congrès qui visent la reconstruction d’un consensus national, nous avons adopté une feuille de route en conséquence. Dans ce cadre, nous privilégions actuellement des contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales, en vue de réunir une conférence de consensus avant la fin de l’année. Nous ne souhaitons donc pas intégrer cette instance de suivi et de concertation», lit-on dans le communiqué du FFS.
    Et comme pour ne pas se fâcher avec tous ces partis et personnalités de l’opposition réunis au grand complet, ce parti les invite à «croire que nous continuons de suivre avec attention, respect et intérêt vos initiatives». Pas de quoi convaincre et l’opposition et l’opinion publique de la pertinence politique de cette décision qui privilégie curieusement une démarche en solo au lieu d’un front unitaire à même de créer un vrai rapport de forces au pouvoir. Question à un dinar symbolique : avec qui le FFS compte-t-il amorcer son «consensus national» alors qu’il joue le dissensus au sein de l’opposition ? (H. M.)


    Des partisans de Abdelaziz Belkhadem ont révélé l’information : Amar Saadani aurait été auditionné par la police française

    11 septembre 2001, 13 ans après

    Cette date qui a changé notre façon de voyager

    Par : Kezzar MouradAujourd’hui, 13 ans après les événements du 11 Septembre 2001, cette date reste comme une grande blessure dont les séquelles marquent toujours le quotidien des voyageurs par voie aérienne, dont les Algériens. Depuis cet événement, à l’instar des citoyens des autres pays, les Algériens, qui se déplacent par avion, sont astreints à des mesures de sûreté plus draconiennes que celles déjà introduites par les autorités algériennes à la suite du détournement de l’Airbus d’Air France en 1994 à l’aéroport d’Alger.
    En effet, sous la pression des USA, mais aussi dans le cadre de la concertation entre les pays menacés par le terrorisme ou engagés dans sa lutte, les Algériens qui prennent l’avion, que ce soit pour un vol domestique ou pour un vol international, sont astreints au respect de certaines règles et procédures sévères dites de sûreté.
    Déjà, lors de la réservation d’un billet d’avion, le passager est obligé de communiquer aux agents de la billetterie des informations considérées par le passé et avant cette date du 11 Septembre comme étant d’ordre privé. C’est la fameuse procédure Apis. Une fois à l’aéroport, le passager est soumis à une fouille systématique de ses bagages et une autre corporelle.
    Dans certains aéroports, la fouille corporelle devient quasi humiliante avec l’obligation de se déchausser, de retirer sa ceinture… Son enregistrement au vol ne devient effectif qu’une fois le contrôle des documents effectué. Une compagnie qui émet à titre d’exemple un billet à un Algérien à destination de la France sera soumise à des pénalités si le passager en question ne possède pas les preuves matérielles de son éligibilité d’entrée dans le territoire français.
    À partir de 2006, la nomenclature des objets admis dans le bagage en cabine a été réduite à sa plus simple expression. Désormais, sur la liste des produits prohibés, on retrouve, aussi, des liquides, à l’instar du miel et de l’huile d’olive. Les shampooings et même les biberons pour bébés sont concernés. Désormais, seuls les flacons de moins de 100 ml et contenant un liquide sont admis en cabine. Conséquences de ces mesures, les passagers sont obligés de suivre de longues files d’attente devant les portiques de sécurité ou même à l’entrée des aérogares, avant leur embarquement. Ils sont dans l’obligation d’expédier dans le bagage allant en soute des liquides précieux, tels que les parfums et les médicaments, ainsi que des équipements électroniques. Une situation qui fait exploser le nombre de vols lors de la manutention des bagages. À noter que les Algériens, par rapport aux citoyens d’autres pays, ont découvert les mesures de sûreté aérienne qui diffèrent des procédures de la sécurité aérienne au lendemain du détournement de l’Airbus d’Air France, soit le 26 décembre 1994, à l’aéroport d’Alger. Fouille corporelle, portiques de sécurité, reconnaissance des bagages, stérilisation des cockpits, soit leur fermeture une fois l’embarquement terminé, et la présence éventuelle de policiers en civil sur certains vols ont été découverts par les Algériens dès 1995. Mais à partir de 2001, ils seront astreints de vivre ces mesures, et d’autres plus sévères, dans des aéroports jusqu’ici réputés pour leur gestion fluide des passagers et des bagages.


    Révélé la semaine dernière à l’IFA de Berlin

    Le Galaxy Note 4 : une nouvelle dimension technologique

    Par : Nabila SAIDOUNLe n°1 mondial du mobile confirme sa suprématie sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note” qui sera commercialisé à partir d’octobre prochain.

    Le show ! Samsung soigne de plus en plus son image et met les petits plats dans les grands pour séduire technologiquement, mais aussi visuellement. Sa participation à l’IFA de Berlin, le rendez-vous annuel de la grande messe high-tech européenne qui s’est tenue la semaine dernière en Allemagne, prend des allures futuristes de celui qui pousse le défi à son paroxysme, notamment en cette période qui coïncide avec la révélation de l’Iphone 6 d’Apple et de sa phablette Iphone 6 plus. C’est indéniable, les yeux du monde sont encore fois braqués sur ces constructeurs qui osent, sans limites, mettre au défi le génie technologique et ne rien se refuser pour surprendre… pour séduire, et c’est loin d’être un jeu. L’industrie mobile rapporte et rapporte gros pour celui qui impose sa suprématie. Le géant sud-coréen ne s’embarrasse pas, d’ailleurs, pour placer la barre très haut et confirmer son leadership sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note”. Celui-ci sera commercialisé au niveau mondial à partir d’octobre prochain pour être introduit, un peu plus tard, en Algérie.

    La phablette : un segment en forte croissance
    Aux attributs technologiques des plus impressionnants, le Galaxy Note 4 se présente comme une véritable bête de course réunissant tout l'héritage de Samsung en matière d’expérience mobile Galaxy. Ses concepteurs l’ont doté de nouveautés de manière à se distinguer des versions précédentes présentant des arguments irréfutables pour son acquisition. DJ Lee, exécutive vice-président Samsung division Mobile, en a fait d’ailleurs la démonstration en conquérant. Si visuellement, le Galaxy Note 4 affiche peu de différences par rapport au Note 3, en réalité, un détail diffère et pas des moindres. La phablette 2014 de Samsung s’équipe d’un solide cadre en métal dans la veine de ce que propose déjà le Galaxy Alpha. Un matériau attendu depuis très longtemps chez Samsung et qui, à terme, pourrait bien remplacer totalement le plastique sur certains modèles. Le Galaxy Note 4 offre aussi des couleurs plus naturelles par rapport aux versions précédentes avec son extraordinaire écran Quad HD (2560x1440) Super Amoled de 5,7 pouces permettant de meilleurs angles de vue et des temps de réponse d’une vitesse d'un millionième de seconde. La fonctionnalité multi-fenêtres est à son tour améliorée et en mesure de maximiser l'expérience de l'utilisateur en lui fournissant la clé pour faciliter le multitâche. Il peut choisir la façon d’accéder à ses applications en mode plein écran, en écrans fractionnés ou instantanés, et de changer facilement la taille et le positionnement des applications sur l'écran avec une fonction “glisser” intuitive.
    Ce bijou technologique totalement irrésistible arbore également un système de caméra de pointe qui est capable de reproduire des images plus éclatantes et plus claires.
    L'appareil est équipé d'une caméra orientée vers l'arrière de 16 mégapixels avec un stabilisateur d'image optique intelligent qui contrebalance le tremblement de la caméra et prolonge automatiquement le temps d'exposition dans des endroits sombres. En outre, une caméra de face de 3,7 mégapixels dotée d’un F1.9 offre un angle de prise de vue de 90 degrés par défaut et un angle plus grand jusqu'à 120 degrés afin que les utilisateurs puissent prendre les meilleures photos de groupe avec des amis.
    Le Galaxy Note 4 propose également un Fingerprint Scanner amélioré, afin de sécuriser les données personnelles et le premier capteur UV au monde dans un appareil mobile. L’ultra haut de gamme de Samsung offre également aux utilisateurs un choix de plusieurs méthodes de prise de notes intégrées avec l’application S Note de Samsung, qui permet d’effectuer les tâches quotidiennes plus rapidement et plus facilement.


    Après le coup de jarnac de son ex-compagne Valérie Trierweiler

    L’avenir politique de François Hollande plus sombre que jamais !

    Par : Djamel BouattaClimat de rentrée calamiteux pour le chef de l'Etat français : croissance en berne, majorité divisée, fracturée même. Aucune de ses initiatives ne parvient à redresser la barre.
    Cerise sur le gâteau, le livre-brûlot de son ex-compagne qui dévoile un François Hollande pas du tout “normal” et même méprisant à l’égard de l’électorat populaire. Devenu le président le plus impopulaire de la Ve République française, donné comme battu au second tour de la présidentielle face à tous ses rivaux et même surtout Marine Le Pen, François Hollande pourra-t-il se représenter en 2017 ? Clairement non, affirme un sondage Ifop selon lequel 85% des Français ne souhaitent pas que le président postule à un second mandat. Ce serait la première fois qu'un président sortant ne serait pas en position de solliciter une deuxième fois la confiance des électeurs. Même chez les sympathisants socialistes, 65% ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Plus de la moitié des Français (55%) pensent qu’il ne sera d'ailleurs même pas candidat. En première ligne des reproches qui lui sont adressés viennent les promesses non tenues de sa campagne présidentielle, puis dans l'ordre décroissant le manque de résultats obtenus sur le plan économique, la manière dont il exerce la fonction présidentielle, la progression du nombre de chômeurs et l'exposition de sa vie privée.
    Le livre de son ex-campagne, Valérie Trierweiler, l’a encore enfoncé, décrivant un socialiste “bourgeois”, n'aimant pas les pauvres, qu'il appelle des “sans-dents”. Mais, hier François Hollande, a réfuté ces assertions en affirmant qu’il a vécu cela comme “un coup porté à vie tout entière” et dénoncé un “mensonge qui (le) blesse”, selon des confidences faites au Nouvel Observateur, à paraître aujourd’hui. “Cette attaque sur les pauvres, les plus démunis, je l'ai vécue comme un coup portée à ma vie tout entière (...). Dans toutes mes fonctions, dans tous mes mandats, je n'ai pensé qu'à aider, qu'à représenter ceux qui souffrent. Je n'ai jamais été du côté des puissants, même si je ne suis pas leur ennemi, mais je sais d'où je viens”, a déclaré le chef de l'Etat français. “Vous croyez que j'ai oublié d'où je viens ? Mon grand-père maternel, petit tailleur d'origine savoyarde, vivait avec sa famille dans un modeste deux-pièces à Paris. Mon grand-père paternel, lui, était instituteur, issu d'une famille de paysans pauvres du nord de la France. Et vous croyez que je pourrais mépriser le milieu d'où je tiens mes racines, ma raison de vivre ?”, s’est-il indigné. Lors de la conférence de presse qu'il a donnée à Newport (pays de Galles), à l’issue du sommet extraordinaire de l’Otan consacré à la coalition internationale sous le panache américain pour combattre le califat islamiste en Irak et en Syrie, il a martelé qu'il gouvernera jusqu'au bout et n'était qu'à la moitié du mandat que lui a confié le peuple français en mai 2012. Selon les politologues français, bien que protégé par les institutions, François Hollande devra néanmoins devoir prendre des initiatives politiques rapides pour éviter de sombrer dans la spirale d'impopularité qui le tire actuellement vers des niveaux d'impopularité jamais connus.
    La conférence de presse semestrielle prévue le 18 septembre sera-t-elle un moyen pour lui de reprendre l'offensive, comme l’assurent ses proches ? A regarder de prés le président français est le nez au mur. Outre l’offensive de la droite et du Front national dont la patronne est persuadée que son heure à elle est arrivée, François Hollande s’est mis à dos les verts de l’EELV, le Front de gauche et une bonne partie des militants du PS. Pour les plus optimistes, François hollande dispose encore assez de mou pour ne pas envisager des solutions extrêmes genre dissolution de l’Assemblée.

    PROJECTION DE AT (HOME) DE ELISABETH LEUVREY AUX RC DE BÉJAÏA

    L'être et le néant...

    Après la Traversée, film documentaire qui suit par bateau des milliers d'Algériens entre Alger et Marseille, la réalisatrice française quitte la mer Méditerranée en direction du Grand Sud algérien. ... Lire
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    FLASH INFOS : 17/09/2014

    «De nouvelles étapes dans la construction d?un Etat civil...» - Actualité - El Watan

    Le ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi, à Mostaganem

    “La chute du cours du baril inquiète le gouvernement !”

    Selon lui, la chute enregistrée depuis le mois de juin s’est déjà traduite par un manque à gagner de 13%.

    La tendance baissière des cours du baril sur le marché international, qui semble s’installer dans la durée, inquiète, outre mesure, le gouvernement algérien. “C’est là une grande préoccupation ! Et ce qui nous préoccupe davantage réside en cette tendance particulièrement rapide de ce cours du baril”, a affirmé, à ce propos, le ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi, en
    marge de la visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée à Mostaganem. “Nous suivons avec une très grande attention cette évolution et nous sommes en train d’étudier les répercussions potentielles de cette chute qui ‘s’entretient’ dans la durée, alors que l’équilibre entre l’offre et la demande en pétrole est demeuré entre-temps relativement maintenu. Depuis le mois de juin, nous enregistrons des chutes qui culminent à 13% de manque à gagner. C’est là une très grande préoccupation dont nous nous attelons à étudier les tenants et aboutissants”, a-t-il précisé.
    Au sujet de la distribution de l’énergie électrique, le ministre a affirmé que “tous les moyens ont été mobilisés afin que nous passions un été sans grande difficulté”. Au même titre, d’ailleurs, que la production, dont l’offre fut assurée au point de couvrir largement la demande. En ce sens, la demande maximale, équivalente à 10 900 mégawatts, a été amplement satisfaite, malgré des difficultés relevées en certaines régions du pays, notamment dans le Sud où la mise en service des équipements a été retardée.
    Une satisfaction à la lumière de laquelle le représentant du gouvernement anticipe pour prédire un bon été 2015.
    Interrogé sur les priorités arrêtées par son secteur au titre des prochains plans de développement, le ministre a indiqué qu’elles consistent en l’augmentation des capacités de production, en la modernisation et la rénovation du réseau de distribution, et en la réalisation du colossal programme de l’interconnexion des deux réseaux du Sud et du Nord, consistant en la pose de centaines de kilomètres de lignes HT.
    Concernant la visite consacrée à la wilaya de Mostaganem, le ministre de l’Énergie dira que “la centrale électrique dont nous avons lancé aujourd’hui les travaux sera la plus grande d’Algérie. Elle sera livrée à la fin de l’année 2015.
    Elle aura une capacité de production de 1 450 mégawatts. Je souligne qu’elle sera la plus grande centrale de production d’électricité en Algérie. La pose de la canalisation de gaz naturel devant l’alimenter est en cours, presque totalement achevé, tout comme l’est, d’ores et déjà, le réseau de lignes de transport de l’électricité à produire.
    À sa réception, elle va confortablement renforcer le potentiel de production d’électricité du pays”. “En matière de couverture énergétique, la situation est satisfaisante à Mostaganem. La desserte en énergie électrique est assurée à plus de 98%. Le programme de l’électrification rurale sera parachevé dans les 2 ou 3 prochaines années. Le raccordement au gaz de ville, actuellement à hauteur de 18 communes desservies parmi les 32 communes de la wilaya, connaît, malheureusement, un retard relatif qu’on tente de rattraper”, conclut le ministre.

    L?Enfant de la haute plaine, premier roman de Hamid Benchaar - Culture - El Watan

    NASSIMA CHABANE, INTERPRÈTE DE CHANT ET MUSIQUE ANDALOUS, À L'EXPRESSION
    "Je suis un électron libre"n électron libre"

    «La scène est mon milieu naturel»
    La chanteuse et instrumentiste algérienne retrouve sa verve aux côtés des siens, elle qui se considère comme ambassadrice de la chanson arabo-andalouse et de la musique classique algérienne. Avant la sortie de son nouvel album Hommage à l'Emir Abdelkader, L'Expression l'a rencontrée à Alger.


    L'Expression: Racontez-nous Nassima Chabane... d'où est-elle venue et comment est-elle arrivée dans le monde de la chanson?
    Nassima Chabane: Je dirais tout simplement que je suis venue de Blida, cette ville fondée par des Andalous. Bien sûr, ces populations venues s'y réfugier après la chute de Grenade en 1492. Ces Andalous, quand ils sont venus, ont laissé derrière eux tous leurs biens, leur fortune. Ils n'ont ramené que leurs trésors immatériels: les arts et métiers, le savoir, la peinture, la musique... Déjà, le lieu où je suis née à Blida est une rue qui porte le nom d'un métier, «Douirates», qui veut dire les maisonnettes.
    Moi, j'ai eu la chance de naître dans cette ville. J'ai eu la chance d'avoir été à l'école de très grands maîtres de la musique, de la poésie... et de plus, des maîtres qui m'ont fait connaître et enseigné les secrets de cet art.
    Parce qu'il est vrai qu'il faut parler de secrets. Des maîtres qui, avant de transmettre les secrets de cet art, s'assurent d'abord que la personne peut réceptionner ce qu'ils lui transmettent.

    A quel moment avez-vous décidé d'intégrer ce monde de la musique et de la chanson?
    Moi, je n'ai pas décidé d'intégrer ce monde... je n'ai rien programmé. Même ma carrière, je ne l'ai pas programmée. Je suis une passionnée d'art et de musique. Nous sommes des mélomanes, chez nous, à la maison.
    Ma mère chantait merveilleusement bien,... mais à la maison! Ma soeur aussi chantait très bien. La musique, il faut dire que je l'ai tétée du sein de ma mère.
    Ma grand-mère, même quand elle parle, elle le fait en poésie. Il fallait voir comment elle s'exprimait! C'est tout un art! C'est dire que même si nos grand-mères ne savaient peut-être pas lire et écrire, elles savaient comment transmettre le patrimoine oral. Moi, depuis mon enfance je chantais. C'était ma manière de m'exprimer. J'aime chanter, j'ai commencé à imiter le muezzin quand il lançait son appel à la prière.
    Je disais à ma grand-mère: «Même si le muezzin a une belle et forte voix,moi je vais le dépasser en faisant mieux.»
    Alors, je n'arrêtais pas de l'imiter à longueur de journée, jusqu'à ce que ma grand-mère me dise un jour: «Ma fille, mais ce n'est pas encore l'heure de la prière!»
    Et moi, je continuais à le faire...
    j'étais dans le jeu, mais réellement, je faisais mes premières vocalises. Enfant, je ne faisais que chanter, lors des récréations à l'école, au hammam, dans les couloirs, dans la chambre... je ne faisais que ça; je testais en fait l'acoustique!
    Tout le monde avait constaté que j'étais une passionnée de chant... Comme disait saint Augustin: «Celui qui se perd dans sa passion perd moins que celui qui perd sa passion!». Et comme nous avions des maîtres dans la ville de Blida, ils avaient constaté que j'avais une belle voix, alors ils ont dit: «Faites la venir!». J'ai commencé donc avec El Hadj Medjber, Dahmane Ben Achour... J'ai eu une formation classique au Conservatoire, c'est-à-dire la lecture des notes...le solfège, le solfège rythmique,... J'ai étudié les bases universelles de la musique. J'ai appris aussi notre patrimoine dans la pure tradition, c'est-à-dire avec les «chouyoukh».
    Et après, j'ai intégré la doyenne des associations El-Widadia, fondée en 1932 par Mohammed Khodja, Ben Guergoura,... la liste est longue.

    Vous étiez cette petite fille de sept ans qui a rejoint le monde des grands maîtres... Comment avez vous vécu cela?
    C'est vrai, à cet âge, je ne réalisais pas à l'époque. J'étais une mélomane, une passionnée, j'aimais chanter, je montais sur scène normalement! C'était les gens qui se posaient cette question-là. Les Blidéens même m'appelaient: «Planète de la Mitidja» ou le «Rossignol»... ils m'adoraient! Ceux qui étaient avec moi dans le groupe me voyaient sous l'angle de la «musique», «voix», ou du «patrimoine». Ils étaient fiers de moi. D'ailleurs, les maîtres me soutenaient. Les Blidéens qui ne vivaient pas avec nous, demandaient aux musiciens et aux maîtres: «Comment se fait-il qu'elle soit avec vous?».
    En fait, quand je monte sur scène, dès que j'entends les premières notes, je suis déjà dedans, je suis transportée.
    La scène, c'est l'endroit où je me sens le mieux, plus que ma chambre, plus que ma maison. La scène est mon milieu naturel. C'est comme la mer pour le poisson!... D'ailleurs, je suis du signe astrologique «poisson»! (sourire)

    Les oeuvres du répertoire andalou, des merveilles artistiques, c'est aussi un travail de mémoire...
    En effet, c'est un travail de mémoire! Pour preuve, quand on parle de ce patrimoine, j'ai cité, mis en valeur combien de maîtres qui ont fait notre histoire.
    Et puis, pas seulement la mémoire... parce que ce patrimoine déjà, au temps de la colonisation française, les maîtres de l'époque, à travers la chanson, avaient montré que nous avions notre culture, notre patrimoine, notre identité et notre personnalité. Ce n'était pas propre au domaine artistique, nous avions prouvé que nous n'étions pas français et nous ne pouvions pas l'être et ce, dans tous les domaines. Nous avions livré à la France, en plus d'une guèrre militaire, une guerre artistique, littéraire, sportive...
    A l'époque, tous nos maîtres avaient sur leurs instruments gravé une étoile et un croissant, symboles liés au drapeau algérien.
    Aujourd'hui, même quand je monte sur scène dans un pays étranger, j'exige que le décor soit algérien: un tapis sobre algérien. Je joue avec un instrument algérien, je porte une tenue algérienne... Même mes pensées à l'étranger sont algériennes. Je fais voyager les étrangers dans les profondeurs de la culture algérienne.

    Vous avez dédié un album aux femmes, non seulement algériennes, mais du monde entier. Vous considérez-vous comme féministe?
    Non! Moi, je suis plutôt féminine que féministe. Je reste un électron libre et quand quelque chose me fait mal ou me donne de la joie, je l'exprime. J'ai interpellé effectivement toutes les femmes algériennes et les femmes du monde entier. J'ai écrit un texte parce que je ne pouvais plus voir la violence. J'ai dit que quand mes semblables sont touchés, je suis touchée. Ce n'est pas seulement quand c'est une femme qui est touchée.
    Un homme, quand il est touché, je suis aussi touchée. Quand l'humain est touché, je le suis aussi!
    J'ai des enfants, parmi eux des garçons! L'homme pour moi, c'est mon maître d'abord, c'est le père, c'est mon fils...

    Qu'est-ce que c'est que d'être une femme-artiste en Algérie?
    Il faut être la meilleure par la maîtrise. C'est ainsi qu'on se fait respecter tout simplement. Dans l'art comme dans tout autre domaine.
    Quand une femme maîtrise bien son domaine, les hommes la respectent. Quand je monte sur scène et je dirige un orchestre d'hommes, ils me respectent parce que je maîtrise mon domaine.

    Vous avez fait une incursion dans le chant kabyle, français... Comment expliquez-vous ces changements de genre?
    Ce n'est pas un changement de genre, parce que je reste toujours dans mon genre. Spécialiste de la musique arabo-andalous algérienne, mais j'ai toujours, dans mes répertoires, chanté le hawzi, el aroubi, le chaâbi... Ce sont des dérivés. Le-Medh aussi.. un répertoire spirituel, voire religieux.
    Ce sont les dérivés de la musique classique algérienne. A côté, et comme j'aime innover et créer, j'apporte ma touche. Moi, je vis ce temps, je chante les textes andalous médiévaux, mais il y a des textes d'aujourd'hui que j'ai exprimé, aujourd'hui. A titre d'exemple:l'exil, la disparition d'êtres chers...

    Considérez-vous que vous êtes valorisée ou pas dans votre pays?
    Je vais vous dire une chose! C'est la première fois que nous avons des festivals institutionnalisés en Algérie.
    Depuis près de 12 ans, c'est la première fois que j'inaugure un festival de musique au niveau de la salle Ibn Zeydoun de Riad El Feth, dans la capitale. C'est la première fois qu'en tant qu'ambassadrice de la chanson algérienne je rentre dans cette salle.
    Donc, ça vous dit quelque chose! D'ailleurs, je tiens à remercier Maâmmar Guenna, directeur de l'Oref qui a assuré d'excellentes conditions de travail.
    Le ministère de la Culture, avant, a «bien» ignoré le talent algérien. Dieu merci il y a eu la venue de l'actuelle ministre et je la salue. Je lui souhaite la bienvenue. L'actuelle ministre, Nadia Labidi, est d'abord issue d'une famille de la culture. C'est une femme d'innovation. Elle a tendu la main à tous les vrais acteurs de la culture algérienne.
    Personnellement, elle m'a accueillie merveilleusement, elle m'a écoutée comme il le faut. Moi, je lui fait confiance et je la soutiens. Vraiment, elle m'a rendu l'espoir.

    Quand vous vous rendez à Blida, votre ville natale, comment la trouvez-vous aujourd'hui?
    Blida aujourd'hui... La ville ne possède même pas un théâtre! Je suis partie la dernière fois, j'ai eu le coeur déchiré. Ce n'est plus la ville que j'ai connue. Celle qui m'a vu naître et grandir. Il y a de la matière, il y a des artistes, il y a encore des gens passionnés... mais il y a quelque chose qui ne va pas. Prenez l'exemple de ce petit théâtre au centre-ville, au niveau de la place des Mûriers, appelé «le Capitole» il y a très longtemps, aujourd'hui baptisé du nom de «Mohammed Touri». C'était une oeuvre d'art! C'est là-bas que j'ai fait mes premiers pas. Il faut voir comme il était beau ce théâtre avec ses beaux balcons. Doté d'une belle acoustique. En 1914, ce théâtre a abrité un festival international. Puis le premier Festival de la musique arabo-andalouse a eu lieu après l'indépendance dans cette même salle. Un héritage historique et culturel incroyable. Je suis revenue pour enregistrer un film documentaire dans ce théâtre. J'étais contente de retrouver ce lieu qui m'a vu grandir. A peine rentrée, je trouve le plafond sur le point de s'effondrer, les fauteuils complètement abimés,... Je ne veux pas être très dure dans mon propos, mais j'aimerais juste dire qu'il y a quand même des choses dont il faut prendre soin. C'est une oeuvre d'art qu'il faut au moins restaurer...

    Votre pays, l'Algérie, comment le trouve aujourd'hui Nassima Chabane?
    Quand je chante à l'étranger, je fais beaucoup d'efforts pour transmettre mon message. Dans mon pays, tout ce qui sort de ma bouche touche le coeur des Algériens! Je me sens bien dans mon pays.
    Qui n'aime pas son pays? Même si il y a des manques, nous devons oeuvrer pour les rattraper. Nous n'avons pas d'autres pays que l'Algérie.
    Je suis prête aujourd'hui, avec ma formation, avec mon expérience, avec tout ce que j'ai appris, à mettre mes connaissances à la disposition de mon pays, de nos artistes, de nos enfants pour contribuer à l'épanouissement de notre culture.

    Quels sont les projets de Nassima Chabane?
    Déjà, le 1er novembre, je serai ici en Algérie pour assister aux commémorations de cette journée historique. Nous allons rendre hommage à tous les martyrs de l'Algérie... tous les martyrs. Par la même occasion, il y aura la sortie du nouvel album Hommage à l'Emir Abdelkader. Un album qui compte 13 titres. Et il y aura aussi Les chants des femmes d'Algérie.

    En un mot, qu'aimez-vous le plus?
    La sincérité

    Qu'est-ce que vous regrettez le plus?
    Ne pas être à la hauteur de quelque chose

    Votre plat préféré
    La «rechta».

    L’Enfant de la haute plaine, premier roman de Hamid Benchaar

    Une guerre sans images n’en est pas une et ne serait qu’un vague souvenir englouti par l’oubli. C’est pour échapper à cette fatalité que Hamid Benchaar a écrit son premier roman qui raconte la guerre de l’indépendance de l’Algérie à travers les yeux d’un petit garçon de sept ans, Zine, qui pourrait être lui,enfant.





    « La Guerre d'Algérie demeure une inconnue pour les générations post-indépendance pour qui, elle n'existe simplement pas, car sans images », dit l’auteur dans le blog qu’il tient sur le site du journal français Le Monde.

    L’Enfant de la haute plaine, commence en 1958 au moment où« la guerre d'Algérie entre dans sa quatrième année. Tortures, viols et tueries s'abattent du jour au lendemain sur de paisibles paysans de cette région qui fut à la pointe de la lutte pour l'indépendance », peut-on lire en quatrième de couverture de ce roman publié récemment chez l’Harmattan.

    L’enjeu de raconter cette guerre ? Ne pas la raconter « fait l'affaire des bourreaux d'hier qui peuvent ainsi nier l'existence des exactions commises et notamment la torture. Heureusement, il y a les écrits qui témoignent et qui accusent », ajoute l’auteur.

    « J'ai voulu, dans ce livre, rappeler combien ce conflit fut atroce et complexe, et combien il était difficile, sur le moment, de faire la distinction entre les bourreaux et les victimes », dit ce diplômé de l’Institut polytechnique national de Grenoble (France).

    Hamid Benchaar vit entre Montréal et Ottawa où il exerceactuellement comme consultant en systèmes informatiques pour le gouvernement canadien.

    Natif des Aurès en Algérie, il a déjà publié à compte d’auteur un essai, Liberté choisie et appartenance subie: Réflexions de nature politique et philosophique sur l'exil, la mémoire et l'histoire des sociétés, qui est une compilation de textes postés sur le même blog.

    Le doyen des entraîneurs algériens n?est plus - Sports - El Watan

    SMAÎN KHABATOU A ÉTÉ ENTERRÉ HIER À SIDI YAHIA

    Une autre légende s'en va


    Un sportif au long cours
    C'est un authentique patrimoine du football algérien qui vient de nous quitter avant-hier, à l'âge de 94 ans.
    Celui que tout le monde sans exception appelait communément Aâmi Smaïn, vouait une passion sans limite au ballon rond et surtout pour le doyen des clubs algériens, en l'occurrence l'ancestral MCA. Peut-être que le nom de Smaïn Khabatou n'évoque rien de particulier pour les jeunes d'aujourd'hui, mais celui qui avait offert à l'Algérie du foot en 1976 son premier titre africain des clubs champions, sous les couleurs du Mouloudia d'Alger, était en réalité un véritable monument du football algérien. Tous ceux qui ont eu le grand privilège de côtoyer de près cet homme qui respirait le football sont légion et vouaient tous un très profond respect à celui qui a de son vivant, forcé admiration et fierté partout où il est passé. Malgré une silhouette qui ne payait pas de mine, le défunt Smaïn Khabatou portait en lui cette voix rauque que beaucoup de joueurs, notamment ceux du Mouloudia, craignaient vraiment. Certes, Aâmi Smaïn n'était pas plus haut que trois pommes, mais il en imposait bigrement grâce à sa connaissance du football. Smaïn Khabatou symbolisait à lui seul toute une science du ballon rond et, surtout une école qui avait permis à l'Algérie post-indépendance, de poser ses premiers jalons, avant de connaître par la suite, ses premières consécrations d'après- guerre coloniale.
    Celui qui avait été le tout premier entraîneur algérien à obtenir avec brio son diplôme en 1948, dans la ville française de Reims, a surtout brillé de mille feux avec le MCA, durant les années 1960-1970. Adepte du football offensif et surtout bien léché, grâce auquel toute une génération de joueurs a souvent crevé l'écran sous les couleurs du Mouloudia, Smaïn Khabatou et le football représentaient tout un état d'esprit, malheureusement complètement révolu aujourd'hui. Celui qui vibrait souvent pour le MCA, avec lequel il a longtemps écumé la plupart des stades de football algériens, avait été aussi l'un des premiers sélectionneurs de l'EN, avec laquelle il avait battu en janvier 1963 au stade du 20-Août 1955 (ex-les Anassers), la très grande RFA de l'époque, sur le score de 2 à 0. Un match mémorable qui s'était joué à cette époque sous la pluie et sur un terrain en tuf, celui-là même sur lequel Smaïn Khabatou avait entamé sa carrière de footballeur à 15 ans, sous les couleurs du Stade algérien de Belcourt, avant d'opter pour le MCA.
    Le défunt Aâmi Smaïl portera aussi par la suite en 1951, les couleurs de l'USM Blida. En tant qu'entraîneur, il dirigera plusieurs équipes du Centre, en l'occurrence l'OM Ruisseau, et le WA Boufarik. Mais, c'est surtout sous les couleurs du Mouloudia d'Alger que Smaïn Khabatou s'est avéré comme le véritable artisan du grand succès du Doyen en 1976, et que drivait à l'époque Hamid Zouba. Smaïn Khabatou et aussi Abdelkader Drif, avaient grandement contribué à la belle époque au cours de laquelle le Mouloudia d'Alger avait longtemps marqué de son empreinte le football algérien, avant la mise en place de la réforme sportive, et suite à laquelle le MCA était passé sous tutelle de la Sonatrach.
    Mais jamais le défunt Aâmi Smaïl que nous avons tant de fois rencontré de son vivant, semblait «rassasié» de football, encore moins de son Mouloudia à cause duquel il lui arrivait parfois de pleurer.
    Celui qui avait l'oeil vif et le verbe bien «algérois», nous laisse aujourd'hui combien de souvenirs et d'anecdotes au plus profond de notre mémoire, et que beaucoup d'anciens joueurs du Mouloudia ne vont pas manquer d'évoquer, pour ne jamais oublier celui qui prenait un sincère plaisir à «chanter» parfois en public le Mouloudia d'Alger, et qui avait fini avec le temps, par se retirer du football d'aujourd'hui, avant de nous quitter à son tour. Adieu Aâmi Smaïn! Tu faisais incontestablement partie de ces hommes authentiques, partis avant toi et qui respiraient le vrai football que l'Algérie du foot a toujours évoqués, et souvent cités avec beaucoup de fierté. Tu rejoins à ton tour le défunt Ali Doudou, celui-là même que tu avais aligné un jour face à la grande Allemagne des années 1960. Mais ton nom et celui du Mouloudia sont indissociables pour l'éternité. C'est un véritable autre pan de l'histoire du football algérien qui vient de nous quitter.


    EN

    Gourcuff fait taire la rumeur

    La récente sortie de Charles Biétry, vice-président en charge des programmes de BeIn Sports, selon laquelle, l’actuel sélectionneur national, Christian Gourcuff, pourrait quitter l’équipe nationale pour revenir au club Rennais, a été vite démentie par Christian Gourcuff lui-même ...


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    Projet de la loi de finances (PLF) pour 2015

    Des mesures pour améliorer la trésorerie des clubs professionnels de football

    L'amélioration de la trésorerie des clubs professionnels de football (sociétés par actions) ainsi que l'augmentation des potentialités d'investissement de ces derniers figurent en bonne place dans le projet de la loi de finances (PLF) pour 2015. ...
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    ORGANISATION DE LA CAN 2017 À LA PLACE DE LA LIBYE

    L'Algérie va-t-elle postuler?



    La décision sera prise en concertation entre la FAF et le MJS
    Le samedi 23 août dernier, la Libye se désistait de l'organisation de la CAN 2017 pour raisons sécuritaires, annonçait la CAF alors que la FAF avait indiqué être prête une vingtaine de jours avant, à prendre le relais.
    Reste donc à savoir si vraiment l'Algérie est prête à remplacer la Libye ou pas, car les faits indiquent que le doute subsiste sur le sujet. A 15 jours de la clôture du délai fixé par la CAF (30 septembre) pour la présentation de la candidature à cette édition et lors de sa visite au Centre sportif de Ghermoul en marge de la réunion avec les DJS, représentant 23 wilayas du pays, le quotidien El Watan a rapporté que le ministre des Sports, Tahmi, avait annoncé que «l'Algérie ne se portera pas candidate pour l'organisation de la CAN de football 2017. Cette décision n'est pas liée à la mort tragique du joueur Albert Ebossé, mais parce que nous sommes candidats à l'organisation des éditions de la Coupe d'Afrique des nations 2019 et 2021», a déclaré le professeur Tahmi. Ce qui contredit la déclaration du président de la FAF, au début du mois d'août dernier.
    En effet, lors du forum de l'Organisation nationale des journalistes sportifs algériens (Onjsa), le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, avait annoncé au début du mois d'août dernier que «l'Algérie est prête à remplacer la Libye dans l'organisation de la CAN 2017, je pense que nous avons tous les moyens d'abriter un tel événement.
    D'ailleurs, la dernière visite d'inspection de la CAF en Algérie a été positive. Mais nous n'en sommes pas encore là, puisque le Comité exécutif de la CAF se penchera sur la question lors de sa prochaine réunion», avait alors fait remarquer le premier responsable de la FAF.
    Pays hôte de la CAN 2017, la Libye qui traverse depuis quelque temps une crise sécuritaire a décidé de se désister. Ce qui pousse le Comité exécutif de la CAF, lors de sa prochaine réunion, le 19 septembre prochain à Addis-Abeba (Ethiopie), à lui retirer l'organisation. «Il s'agit d'une réunion annuelle où il sera question également de l'attribution de la CAN 2019 et 2021, pour lesquelles l'Algérie est candidate. Si la CAF retire l'organisation de la CAN 2017 à la Libye, l'Algérie ne sera pas logiquement en lice pour les éditions de 2019 et 2021.
    Je tiens à préciser que pour la CAN 2017, le suppléant de la Libye doit être un pays membre de l'UNAF (Union nord-africaine de football).» Il est important de signaler qu'un nouveau pays-hôte sera désigné par la CAF au cours de l'année 2015. Et aux dernières nouvelles, le quotidien Echourrouk a rapporté dans son édition d'hier, une déclaration de Tahmi à Bordj Bou Arréridj annonçant qu'il attendait le retour de la délégation de la FAF de l'Éthiopie pour se réunir et être fixé officiellement sur ce dossier. Il faut savoir que les dossiers de la CAN 2019 et de la CAN 2021 ont été déposés se basant sur cinq stades (5-Juillet, Baraki, Douéra, Annaba et Oran) alors qu'en réserve il y a le stade Tchaker à Blida et le stade Chahid Hamlaoui de Constantine. Il faut juste savoir que la CAF a déjà prévenu qu'en raison du court délai, elle sélectionnera «un pays hôte possédant déjà l'essentiel des infrastructures et facilités requises (stades, terrains d'entraînement, hébergement, voies de communication...)».
    Reste donc d'abord à savoir si l'Algérie est intéressée par l'idée de remplacer la Libye ou maintiendrait-elle ses deux candidatures pour l'une des éditions 2019 ou 2021?...



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    FLASH INFOS : 26/09/2014

    Tizi Ouzou : Rassemblement en hommage à Hervé Gourdel




    Un rassemblement a été organisé ce jeudi, 25 septembre, devant l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou par des citoyens, des étudiants et des militants du MAK (Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie) pour rendre hommage à Hervé Gourdel, exécuté, hier, par un groupe terroriste appartenant à la nébuleuse de Etat Islamique (EI).


    A 11H00, des manifestants se sont rassemblés devant l’entrée de l’université. Ils ont brandi des photos du défunt et sur lesquelles on pouvait lire « Hommage à Hervé Gourdel !». De nombreux jeunes se sont accroupis par terre et allumé des bougies à sa mémoire. Deux manifestants ont tenu une large banderole faisant face à la rue principale, sur laquelle est écrit : «Halte aux kidnappings et à l’insécurité en Kabylie !», pour dénoncer les nombreux actes d’enlèvement perpétrés dans la région depuis 2005.

    Le commun des citoyens a tenu à dénoncer l’assassinat ignoble du touriste français. «Les terroristes qui ont commis cet acte infâme veulent salir la Kabylie et l’Algérie. Nous condamnons fermement cette sale besogne perpétrée par des criminels qui sont étrangers à la région. Nous sommes ici pour nous recueillir sur sa mémoire et présenter nos condoléances à sa famille», a clamé un jeune manifestant à travers d’un mégaphone. «Plus de 80 kidnappings ont été enregistré dans la wilaya de Tizi Ouzou et aucune affaire n’a été élucidée jusqu’à aujourd’hui», renchérit un autre.
    Vers 12H30, les manifestants se sont dispersés dans la calme.


    La France maintient ses opérations militaires contre l’EI

    Après la décapitation d’Hervé Gourdel


    Un pilote français aux commandes d’un Rafale lors d’une mission en Irak.

    La France continuera ses frappes aériennes et ses opérations militaires contre les positions de l’Etat islamique (Daech). C’est la réponse du président français au groupe terroriste Jund Al Khilafah, qui a décapité Hervé Gourdel.


    Paris
    De notre correspondant
    «Notre compatriote a été assassiné lâchement, cruellement, honteusement», a déclaré, ému, François Hollande, hier soir depuis New York, où il participe à un sommet de l’ONU sur le climat. «Hervé Gourdel a été victime d’un crime odieux dont les auteurs devront être châtiés», a-t-il ajouté. Il a pris ensuite un ton plus ferme pour affirmer que «cette agression contribue à renforcer notre détermination, la France ne cédera jamais au terrorisme».Il a assuré ses alliés américains que «les opérations menées par la France vont se poursuivre le temps nécessaire» pour atteindre leurs objectifs. Il a ensuite confirmé cette position dans une tribune aux Nations unies.
    La classe politique française, tous courants confondus, a réagi solennellement pour dénoncer les images épouvantables et effroyables de la décapitation d’Hervé Gourdel, diffusées sur YouTube par les terroristes de Jund Al Khilafah.

    Pour sa part, le maire de Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes), commune où vivait le défunt, a reproché au gouvernement français de ne pas avoir négocié la libération de son concitoyen. Tout en se disant «effondré par la barbarie des terroristes», Henri Giuge s’est emporté devant la presse qui lui demandait s’il mettrait les drapeaux en berne. «On ne peut pas mettre des drapeaux en berne et ne rien avoir fait pour qu’Hervé Gourdel subsiste. Je suis en colère contre tout le monde. La négociation n’est pas la voie choisie par le gouvernement français. J’ai peur pour la France. Peut-être qu’il ne fallait pas s’engager dans ce conflit», a-t-il martelé.Du côté de la communauté musulmane de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a rendu public un communiqué de presse où il se dit «horrifié par l’annonce dramatique», indiquant qu’«Hervé Gourdel vient d’être odieusement exécuté par ses ravisseurs».
    Le parquet de Paris s’est saisi de cette affaire et a ouvert une enquête qui portera sur les faits d’assassinat en lien avec une entreprise terroriste.


    L’Algérie dénonce un «acte abject et odieux»

    Comme première réaction à l’assassinat du touriste français, Hervé Gourdel, le gouvernement a qualifié cet acte d’«odieux et abject», ajoutant que c’est avec «beaucoup de peine et de tristesse» qu’il avait appris l’assassinat de l’otage.


    «Dès l’enlèvement (dimanche) du ressortissant français, les autorités algériennes ont mobilisé toutes les énergies et tous les moyens humains et matériels pour libérer l’otage», a indiqué, dans un communiqué, le gouvernement en réitérant sa «détermination à poursuivre lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes». Avant la réaction du gouvernement, le ministère de la Défense avait diffusé un communiqué pour rappeler sa détermination à «poursuivre la lutte» contre le terrorisme. «Depuis que des informations sont parvenues portant sur l’enlèvement d’un ressortissant étranger par un groupe terroriste au niveau de la zone de Djurdjura, les forces de l’Armée nationale populaire (ANP) ont déclenché des opérations de ratissage et de recherche de grande envergure, en déployant tous les moyens humains et matériels nécessaires en coordination et en coopération avec les différents services de sécurité, en vue de retrouver le ressortissant enlevé et neutraliser ces criminels», a indiqué le MDN dans un communiqué. «Le MDN affirme une nouvelle fois que les opérations de lutte antiterroriste et la poursuite de ces criminels où qu’ils se trouvent, demeurent toujours en vigueur avec abnégation et détermination, jusqu’à leur élimination totale et la purification du pays de leurs actes abjects», ajoute le ministère, qui n’a cependant pas évoqué l’exécution de l’otage français.

    Relogement de 589 familles

    Bidonville de Bouabbaz (Skikda)



    Cinq-cents quatre-vingt-neuf familles (589) du bidonville de Bouabbaz, dans la ville de Skikda, ont finalement bénéficié de logements après plusieurs décennies d’attente et de fausses promesses.


    L’opération de recasement a été entamée hier pour concerner un premier quota de 200 logements. Selon un cadre de l’OPGI,
    cette opération devra immédiatement se poursuivre pour comprendre les 589 familles concernées. «L’opération s’achèvera dans cinq jours » précise-t-il.Au sujet des lenteurs enregistrées dans la distribution de ces logements, la même source rapporte qu’elles (les lenteurs) ont été essentiellement causées par l’engagement de plusieurs opérations d’aménagement du site. «On ne pouvait pas donner les clés aux bénéficiaires pour les laisser par la suite dans la gadoue et dans l’obscurité», explique-t-on.
    Le recasement a touché, dans sa grande majorité, les habitants du site dit Front de mer, qui domine le bidonville de Bouabbaz. L’assiette dégagée a déjà été retenue pour abriter le projet du lycée de Bouabbaz, ainsi que d’une bibliothèque. L’opération, qui a mobilisé des moyens humains et matériels, n’a cependant pas fait que des heureux. Une partie des habitants du bidonville, qui n’a pas été concernée, a tenté dans la matinée d’hier de dresser des barricades pour entraver les opérations de démolition des gourbis, et quelques jeunes ont même jeté des pierres sur les policiers présents sur les lieux. Mais globalement, le recasement s’est poursuivi sans heurts particuliers.
    A relever que Bouabbaz est l’un des plus anciens bidonvilles de Skikda. Son implantation remonte aux années 1950, quand les militaires français avaient décidé de «déporter» les habitants de Oued Bibi, à l’ouest de Skikda et de les entasser dans des baraquements à Bouabbaz, pour couper le lien que ces algériens entretenaient avec les moudjahidine. A ce jour, on trouve à Bouabbaz plusieurs générations qui se sont succédées et vécu dans le même gourbi construit en 1955. Avec l’éradication d’une grande partie de ces gourbis, Skikda vient de se défaire d’une tache noire, qui a de tout temps enlaidi son paysage urbain. Puissent ces efforts se poursuivre pour redorer le blason d’une ville dite, méditerranéenne.




    Après une disparition de 4 jours Une fille de 16 ans retrouvée réfugiée sur… un arbreN. B. O., une fille âgée de 16 ans, disparue depuis samedi dans la commune d’Illiltène, à 70 km au sud de Tizi Ouzou, a été miraculeusement retrouvée vivante, mardi soir vers 21h30, après avoir passé 4 jours sur un arbre, perchée à plusieurs mètres du sol. Selon ses parents, elle a été retrouvée vivante, mais très faible et déshydratée. Transférée par la Protection civile d’Aïn El-Hammam vers le centre de santé d’Iferhounène, elle a été placée en observation. N. B. O. a été retrouvée à 2 kilomètres de chez elle par un villageois qui avait entendu la fille tousser en haut d’un arbre, avant d’alerter les villageois et la Protection civile qui ont procédé à son évacuation.

    Pour des raisons qui restent inconnues
    Le site du Cned français inaccessible depuis l’Algérie


    Le site Internet du Centre national français d'enseignement à distance (Cned), un établissement public du ministère de l'Éducation nationale français, est inaccessible depuis l’Algérie alors qu’il est consultable partout dans le monde, ont relevé des utilisateurs qui s’interrogent sur l’origine de “ce blocage énigmatique !”

    Mouloud Hamrouche interdit de conférence à Tlemcen


    La section Chlef de la Ligue algérienne des droits de l'Homme nous a fait parvenir le communiqué dans lequel elle s'élève contre l'interdiction par le pouvoir de la conférence de Mouloud Hamrouche.
    La conférence de Hamrouche interdite par les autorités.
    Le pouvoir n'aime pas la liberté d'expression et le débat public. A preuve ? l'ancien chef de gouvernement vient de subir une interdiction de parler en public. Dans un communiqué la LADDH Chlef "dénonce des mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh dont les objectifs vont à l’encontre du discours officiel. Après le service de la Direction de la réglementation et des affaires générales (D.R.A.G) de la wilaya de Tlemcen vient de refuser verbalement la demande d'autorisation pour le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen, pour la tenue d’une conférence sur le thème «L’Etat algérien et les défis de la mondialisation", animée par l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, à l’hôtel Pomaria".Le pouvoir est dans les déclarations dithyrambiques sur la liberté de la pression et la démocration mais pas dans les faits. Bien au contraire. La Laddh rappelle que les contradictions des autorités du pays. "Ces mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh (...) vont à l’encontre du discours officiel.", écrit cette organisation.Par ailleurs écrit Houari Kadour, "la Laddh Chlef exprime sa totale solidarité avec le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen dans ce combat quotidiennement pour enraciner la culture des droits humains et des valeurs universelles". Et "demande aux autorités de mettre fin à ces agissement contraires aux dispositions du Pacte International pour les droits civils et politiques et de la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples ratifiées par l’Algérie."


    L’orientalisme d’Edward Saïd

    Culture

    Depuis la parution du livre-phare du professeur de littérature comparée, Edward Said, L’Orientalisme, réagissant aux discours trop marqués par les jeux de l’exclusion de Bernard Lewis, Huntington et Fukuyama, le monde de la pensée a entamé de sérieuses et nouvelles réflexions sur la question de l’altérité perçue autrement, c’est-à-dire passée au crible fin de la critique et de l’interrogation
    Edward Saïd




    Ce livre est tout d’abord une critique d’un certain orientalisme qui crée l’Orient pour en faire un espace marqué par la barbarie et la sauvagerie. C’est d’ailleurs cette manière de faire et de voir qui a toujours caractérisé la littérature coloniale, mais également le discours de certains auteurs autochtones ou d’autres écrivains extrêmement controversés comme Albert Camus par exemple. Said s’insurge contre ce discours réducteur et propose une redéfinition de l’appareillage conceptuel ciblant les anciennes colonies. C’est dans ce sens que son livre fait date, déconstruisant le regard de l’ « Occident » sur un « Orient » schématisé, stéréotypé , une création de l’imaginaire « occidental », produit d’une vision du « dehors », faisant de l’Autre, un bloc singulièrement pauvre, qui ne pourrait retrouver une certaine humanité que s’il acceptait de se fondre dans l’instance européenne. Mohamed Arkoun va également dans ce sens en évoquant le cas de l’Algérie : "Les Français modernes, représentants des Lumières laïques, ont créé en Algérie le droit de l’indigénat conçu et géré par l’État républicain. L’Autre est ainsi vraiment l’étranger radical, qui ne peut entrer dans mon espace citoyen ou dans mon espace de valeurs religieuses et/ou démocratiques que s’il se convertit ou s’assimile, comme on dit encore à propos des immigrés".Nourri des textes fondateurs de Fanon (Les damnés de la terre ; Peau noire, masques blancs), de Césaire (Cahier d’un retour au pays natal ; Discours sur le colonialisme) et d’Albert Memmi (Portrait du colonisateur) et d’une certaine littérature anglo-saxonne rejetant l’Autre, Edward Said propose une relecture du monde, démontant les mécanismes du fonctionnement du discours colonial traversant les contrées des pratiques sociales, politiques, littéraires et artistiques. Le postcolonialisme qui va par la suite s’enrichir des travaux de Bhabha et de Spivak, apportant une autre manière de lire les réalités coloniales, notamment, à partir des expériences asiatiques et indiennes, propose certes une nouvelle exploration du discours colonial, mais peut tomber dans les pièges du rejet de l’"Occident" considéré comme un bloc, une totalité dépouillée de ses contradictions et de ses luttes, d’ailleurs non défini, ni délimité et du particularisme qui engendrerait une lecture essentialiste du monde, loin des jeux libérateurs et opératoires de l’Histoire. Une lecture fondée sur les jeux de polarités pourrait neutraliser toute lecture sérieuse et altérer la réalité. Avec l’émergence d’idées nouvelles et de débats nouveaux caractérisés par la présence d’interrogations puisées dans les propositions de Deleuze, Foucault, Derrida et Ibn Khaldoun, Ibn Rochd ou Abed el Jabiri, de sérieux positionnements sont possibles, nourris de la positionalité chère à Foucault, de la dissémination (Derrida) ou de la notion de rhizome, mais surtout de Glissant, Said, Mroua et d’Arkoun et de l’idée de transculturalité de Fernado Ortiz rendant désormais obsolète cette histoire d’interculturalité, trop peu engageante.Une autre critique, plus ou moins libérée des canons dominants est-elle possible ? N’y a-t-il pas risque d’une nostalgie et de la célébration d’un passé mythique ?
    Ce livre d’Edward Said est essentiel, fondamental.Et si nous tous, nous nous mettions à discuter de ces questions importantes mettant en jeu les territoires méthodologiques et épistémologiques…












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    FLASH INFOS : 10/09/2014


    L'ANP annonce la destruction du campement du groupe terroriste qui a enlevé Gourdel


    Le campement qui servait d'abri pour le groupe de terroristes lors de l'exécution en septembre de l'otage français, Hervé Gourdel, a été détruit et les équipements qui étaient en leur possession ont été récupérés, indique jeudi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.


    "Le campement qui servait d'abri pour ce groupuscule terroriste, lors de l'exécution de son acte abject a été détruit et les équipements qui étaient en sa possession ont été récupérés", lit-on dans le communiqué.
    Une opération de recherche et de ratissage de "grande envergure" a été engagée par l'Armée nationale populaire (ANP), suite à l'enlèvement, du ressortissant français, le 21 septembre, en "déployant tous les moyens nécessaires afin de retrouver et neutraliser le groupe terroriste qui a commis cet acte odieux", a rappelé la même source.
    Dans sa première phase, cette "opération a permis aux Forces de l'ANP de trouver l'endroit où l'enlèvement du ressortissant français a eu lieu, sur les hauteurs du mont Djurdjura, dans la wilaya de Tizi Ouzou", a-t-on ajouté.
    L'ANP a réitéré sa détermination et sa volonté de poursuivre ces "criminels" jusqu'à leur élimination totale, et précisé que l'opération de recherche et de ratissage était toujours en cours.

    Bouteflika reçoit Lakhdar Brahimi
    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu, hier à Alger, le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi. Cette sortie médiatique du président de la République intervient après des rumeurs persistantes sur son état de santé et des interrogations sur sa disparition des écrans radars. Cette réapparition vise, selon toute vraisemblance, à mettre un terme aux incertitudes et aux spéculations suscitées par son absence sur la scène médiatique.

    Le taux d'intérêt du crédit à la consommation sera
    "très faible"
    Le taux d'intérêt applicable au crédit à la consommation dont la réintroduction est prévue pour 2015 sera "très faible", a annoncé, jeudi à Alger, le ministre de l'Industrie et des mines, M. Abdesselam Bouchouareb.


    S'exprimant en marge de la 18ème Journée nationale de la métrologie, le ministre a déclaré que si le gouvernement a décidé du retour du crédit à la consommation, "c'est pour alléger ce que vit le consommateur au quotidien, donc vous pensez bien que le taux d'intérêt sera très faible".
    Le retour du crédit à la consommation dès 2015 avait été décidé en février dernier dans le cadre de la tripartite afin d'encourager la production nationale, améliorer le pouvoir d'achat des citoyens et contribuer à réduire la facture des importations.
    Accordé par un établissement de financement, ce type de crédit bénéficiera aux ménages pour leur permettre de financer leurs achats de biens à usage domestique mais à condition qu'ils soient issus de la production nationale tels que les produits électroménagers, électroniques, les articles d'ameublement et des matériaux de construction.


    La voix des Hauts-Plateaux s’est tue

    Décès de Samir StaÏfi




    Après avoir lutté contre le diabète des années durant, le téméraire Abdelkrim Belkhier, communément appelé Samir Staïfi, n’a pu résister à la Faucheuse, qui a fini par l’emporter.


    Après un court séjour au CHU de Sétif, le chanteur, âgé de 66 ans, a regagné lundi le domicile familial dans un état critique. Véritable porte-flambeau de la chanson sétifienne, l’artiste a rendu l’âme hier vers 5h, chez lui. La nouvelle de la mort de l’interprète de célèbres tubes, tels que Medi-yeddek, Moul Chech, Khatem Sobaia, N’touma El Amriat, Ouanik ya Aïn Fouara, Fatma, El-Aazbaa Staïfia, s’est répandue comme une traînée de poudre à travers la capitale des Hauts-Plateaux, qui vient de perdre un de ses meilleurs fils.


    Les cœurs sont brisés. La douleur envahit les fans et amis qui pleurent le rossignol. Né en 1948 à Sétif, où il a étudié et grandi, le chanteur avait deux passions, le football et la musique. Avant d’entamer une longue et riche carrière artistique à la fin des années 1960, Samir porta les couleurs de l’ESS, où il occupera par la suite le poste de dirigeant. Samir se fera remarquer par sa belle voix.


    Il se distingua à l’intérieur du pays comme à l’extérieur où il possède des centaines, pour ne pas dire des milliers de fans, par un incommensurable répertoire puisé du terroir. Défenseur acharné de la chanson sétifienne authentique, il avait horreur du «plagiat», des «amalgames» et des «opportunistes». Passionné jusqu’à la moelle, l’ombre de Samir qu’on rencontrait presque chaque matin au centre-ville, plus précisément à côté du café de l’ex-cinéma Variétés, va planer sur les lieux.

    «J’ai le s’taïfi dans les veines. Il vit en moi», tenait à préciser, à chaque occasion, Samir, un grand ami de la presse.
    Ne pouvant vivre loin de la scène et des feux des projecteurs, l’artiste, qui a chanté l’amour, la patrie, la famille et divers autres thèmes, honnissait le mot retraite. En dépit de son état de santé précaire, il a continué à monter sur scène et à répondre aux sollicitations des organisateurs de manifestations culturelles. Avec sa mort, c’est un pilier spécial de la chanson sétifienne qui disparaît.

    Pour nous parler davantage de Samir, on a joint par téléphone en France, où il vit, son ami et complice Bekakchi Khier, qui a trouvé moult difficultés à contenir sa peine et sa tristesse : «Généreux aussi bien sur qu’en dehors de la scène, Samir, que j’ai connu à la Jeunesse du Front de libération nationale (JFLN) dans les années 1960, respectait son art et son public. Je ne trouve pas de mots pour exprimer mon chagrin et ma douleur, car je viens de perdre un frère. La mort de Samir est une grosse perte pour la chanson algérienne, car il se distinguait par un s’taïfi propre à lui. Que Dieu ait son âme.»
    Ami de longue date de Samir, le comédien Nouri Reguim, plus connu sous le surnom de «Camacho», qui a gardé le contact avec le défunt, évoque l’homme : «Malgré les affres de la maladie, Samir est resté courageux et égal à lui-même. Faisant un avec le s’taïfi, il manquera à son public, mais restera à travers son riche et indémodable répertoire, éternel. Il m’est impossible d’effacer de ma mémoire le visage de Samir à l’hôpital.»
    «La chanson sétifienne vient de perdre un géant qu’on ne peut aussi facilement remplacer. Qu’on le veuille ou non, Samir occupait une place spéciale dans le st’aïfi. Allah ya rehmou», témoigne cheb Arras.L’interprète du fameux tube Sid El Khier Aamar lahrar, Tchier Abdelghani, perd sa voix : «On doit tout entreprendre pour continuer l’œuvre de Samir qui a donné une autre dimension à la chanson sétifienne, désormais orpheline.» Bref, Samir, qui avait cumulé plus de 45 ans de scène, a quitté ce bas-monde sur la pointe des pieds. Il repose depuis hier à Si El Khier où une foule nombreuse est venue lui rendre un dernier et vibrant hommage. Repose en paix Ya moul echech…

    Dur, dur d’être au lycée

    Ramdane Djamel et Béni Béchir (Skikda)


    1700 élèves poursuivent leur scolarité dans un établissement conçu pour accueillir 800 élèves seulement l Sans surveillant général, le lycée emploie 91 professeurs, qui se partagent 47 classes et d’autres soucis encore.

    Il est midi. L’unique lycée de la daïra de Ramdane Djamel ouvre son portail pour «libérer» ses 1800 élèves. Chrono en main, il a fallu plus d’un quart d’heure pour faire «évacuer» ce monde juvénile qui, en plus, doit impérativement reprendre les cours à… 13h tapante ! A midi trente, on assiste, médusé, à un étrange carrousel: des dizaines de petites lycéennes reviennent à l’établissement portant toutes un sachet en plastique à la main.
    «C’est mon déjeuner. Dans ce sachet il y a une boite de jus, un paquet de gaufrettes, deux pizzas et une bouteille d’eau minérale», explique une élève inscrite en première année secondaire. Elle habite à Béni-Béchir et ne peut se permettre le ‘luxe’ de rentrer chez elle pour manger au risque de rater ses cours de l’après-midi. Plus de la moitié des élèves de ce lycée habitent en dehors de Ramdane Djamel, à Béni-Béchir et dans d’autres agglomérations secondaires comme Béni-Kbouche, Guessaba, Bontouss et d’autres encore. «Chaque jour, je débourse exactement 110 DA pour manger sans parler des frais du transport», rajoute une autre lycéenne.
    D’autres élèves dépensent moins ou plus, c’est selon les bourses. Certains se contentent d’une simple demi- baguette de pain et de deux portions de fromage. D’autres encore, on les rencontre chez les restaurateurs du coin. Entre un casse-croûte «omelette-frites», facturé à 100 DA et une «Loubia» bien chaude à 200 DA, les lycéens n’ont malheureusement que l’embarras. Jamais le choix ! Le lycée de Ramdane Djamel est pourtant doté d’une cantine gérée par un seul cuisinier et qui parvient à peine à assurer un repas pour quelques 500 élèves. Les autres doivent se débrouiller. «On a pensé à opter pour le double service afin de subvenir aux besoins d’un maximum d’élèves mais le temps imparti, une heure seulement de répit (de midi à 13h-ndlr-), ne nous permet pas de mener à bien ce service», explique un employé du lycée. Normal ! Même avec toute la bonne volonté du monde, personne ne pourrait «subvenir» aux besoins des élèves d’un lycée conçu pour accueillir 800 élèves et qui se retrouve à en abriter 1700. Plus du double de sa capacité.
    Cette surcharge ne concerne pas uniquement la restauration. On retrouve ses répercussions dans d’autres infrastructures et touche même le volet de l’encadrement. «Tout le monde, élèves, administration et enseignants souffrent de cette situation. On a l’impression qu’on a incorporé les élèves de deux lycées dans un seul établissement sans se soucier des volets relatifs à la pédagogie, aux commodités et au potentiel humain.» juge une enseignante. Et elle disait vrai. La preuve : dans ce lycée, encore sans surveillant général, ils ne sont que 11 adjoints d’éducation à encadrer 1700 élèves.
    Par ailleurs, cet établissement emploi à lui seul 91 professeurs qui se partagent 47 classes. Ils se partagent aussi la même entrée des sanitaires. «Il nous arrive de recourir aux toilettes des élèves pour ne pas gêner nos collègues femmes», reconnaît un enseignant. Pour les salles de cours, on est parvenu cette année à procéder à une opération d’extension assez singulière, nous confie un professeur. «On a en effet scindé quatre salles de cours en deux pour en faire huit. C’était indispensable, même si les nouvelles petites salles ne disposent que d’une porte et d’une seule fenêtre», explique un membre du bureau de wilaya du Cnapest, et d’ajouter : «ceux qui souffrent le plus de cette situation sont les élèves qui passent souvent quatre heures dans ces salles.»
    Le Cnapest avait, selon ses dires, proposé il y a une année à ce qu’une annexe au lycée soit ouverte à Béni Béchir, «pour permettre d’atténuer un tant soit peu la pression sur Ramdane Djamel. On attend toujours même si nous considérons que l’implantation de deux nouveaux lycées dans ces deux communes est devenue une urgence», conclut-il. Il est vraiment temps car cette situation n’a que trop duré. On sait que par ‘régionalisme’ de bas étage, des lycées ont été construits dans des contrées où le besoin n’était pas si évident.
    Les lycéens de Ramdane Djamel, de Béni Béchir et de leurs agglomérations secondaires ne doivent en aucun cas payer le prix de l’insouciance. Il s’agit de l’avenir de nos enfants et au diable tous les «apôtres» du nombrilisme régionaliste qui voudraient construire un lycée dans chacun de leurs douars alors qu’à moins de 30 km seulement de Skikda, des milliers de lycéens s’entassent les uns sur les autres.


    Équipe nationale de football

    Les Verts à pied d’œuvre dès aujourd’hui à Blantyre

    La sélection nationale s’envolera aujourd’hui pour la capitale Blantyre (Malawi) en prévision du match de la troisième journée des éliminatoires de la CAN 2015 face au Malawi, prévu samedi après-midi. C’est à bord d’un avion spécial que les coéquipiers de Madjid Bougherra décolleront de l’aéroport d’Alger en fin de matinée pour arriver à Blantyre le soir du jour même. Pour ce qui est de la préparation, et en plus des trois jours de stage effectué au Centre technique de Sidi-Moussa, le coach national a programmé une séance d’adaptation sur le terrain synthétique du stade Kamuzu, demain, à l’heure du match, en prévision de la rencontre qui se déroulera le lendemain.
    Un terrain qui préoccupe le technicien français, puisque les joueurs, et en plus du climat continental, seront appelés à tester leurs capacités sur un terrain synthétique, mais qui ne s’emble pas perturber les camarades du gardien Zemmamouche qui, lui, évolue à longueur de saison avec son club sur un terrain du genre : “Je ne pense pas que le terrain soit un handicap pour nous les joueurs. Personnellement, j’ai l’habitude d’évoluer sur du gazon artificiel et je suis même prêt à jouer si le coach fait appel à moi lors de cette rencontre face au Malawi. Pour ce qui est du reste des joueurs, je peux vous assurer que tout le monde s’est bien débrouillé sur le synthétique lors des séances d’entraînement que nous avons effectuées jusque-là. La plupart se sont bien adaptés”, a déclaré le gardien usmiste, lors d’un point de presse animé avant leur départ. De son côté, l’arrière droit Mesbah affirme que le terrain ne peut pas être un handicap et que cela ne changera pas l’objectif des Verts d’aller chercher les trois points de la victoire : “Il est vrai que nous ne sommes pas habitués à ce genre de terrain, mais ce n’est nullement un prétexte pour justifier une probable contre-performance. Nous allons jouer comme nous l’avons toujours fait, c'est-à-dire pour gagner”, a-t-il précisé.
    Un terrain qui obligera probablement le coach national à porter des rectifications dans son onze rentrant : “Je n’ai pas encore une idée sur les joueurs que je vais titulariser, mais la pelouse synthétique pourrait influencer mes choix”, a laissé entendre Gourcuff lors de sa dernière sortie médiatique. Il faut ajouter à cela la défection de deux joueurs hier lors de la séance d’entraînement, à savoir l’attaquant Hilal Soudani et le milieu de terrain Ryad Boudebouz qui ont déclaré forfait même pour le match retour prévu le 15 octobre prochain face à la même formation du Malawi.
    Gourcuff était d’ailleurs obligé de rappeler le milieu de terrain du Mouloudia d’Alger, Gourmi, pour pallier l’absence de ces deux éléments. Pour ce qui est du reste, Gourcuff a laissé entendre qu’il comptera bien évidemment sur le duo Brahimi-Slimani en attaque. “Brahimi et Slimani sont complémentaires. Ce sont deux joueurs de qualités différentes, mais très complémentaires”, a fait savoir l’ex-entraîneur de Lorient. Ce dernier ne cache d’ailleurs pas son souci pour la composition de son compartiment défensif : “Je reconnais qu’il y a encore des lacunes en défense, mais je dirais que la paire Belkalem-Medjani se débrouille bien. Mandi, de son côté, s’en sort bien aussi. Le retour de Ghoulam pourrait aussi constituer un renfort de qualité.”
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    FLASH INFOS : 17/10/2014

    Face au mouvement des policiers : Sellal n’a pas convaincu


    Les révoltés du Bounty version CRS. La mutinerie aux allures de mouvement social, secouant les rangs de la police, est décidément promise à complications.


    «Pas de marche arrière», criaient hier soir des agents des Compagnies républicaines de sécurité (CRS), dont des centaines étaient venues d’Alger et des wilayas limitrophes, dont Blida, battre le pavé à El Mouradia. Manifestation surréaliste sur ce parvis de la Présidence, dont les abords du palais et les espaces verts alentour sont pris d’assaut, pour la première fois de son histoire, par des centaines de policiers antiémeute chauffés à blanc et décidés à ne rien concéder. «Nous occuperons la place jusqu’à satisfaction de nos revendications, dont le départ de Hamel», fulmine ce policier qui égrène un long chapelet de reproches à l’endroit du Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Hamel Abdelghani, accusé entre autres de «hogra», de répandre les injustices et les brimades au sein du corps de la police.
    Catalogué de «transfuge» (de la gendarmerie), de «Brani», le général Hamel cristallise tout le ressentiment et le malaise au sein des effectifs. «Pour un rien, on vous confisque la carte», se plaint-on. «Imaginez un DGSN qui menace ses éléments de mutation à Ghardaïa. Wach maânatha ? Qu’est-ce que ça veut dire ?» La réunion ayant regroupé, à la Présidence (sic), une quarantaine de délégués des CRS avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, n’a pas entraîné les résultats espérés par la troupe. «Même à Evian (négociations), ce n’était pas aussi long», devisent des CRS parqués, pare-choc contre pare-choc à l’entrée de la Présidence.
    A 18h30, après plus de 4 heures de conclave, le Premier ministre arrive, après deux tentatives non concluantes, à s’extraire des bâtiments de la présidence de la République. L’issue était littéralement submergée par les CRS et des reporters. «Hamel Irhal» (Hamel dégage), entonnent les policiers manifestants. Les slogans des révoltes arabes arrivant à El Mouradia par fourgons cellulaires de la police. Prévue par le protocole, la prise de parole de Sellal a finalement été annulée. La voiture du Premier ministre et son escorte légère démarrent en trombe, sur les chapeaux de roue, laissant les policiers à leurs vagues supputations. Pas de trace de leurs délégués.
    Un conseiller auprès du ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz (en déplacement à Ghardaïa), rencontré sur le site, affirme que 12 points sur les 19 que comporte la plateforme de revendications émises par les CRS avaient été acceptés par le Premier ministre, «y compris ceux en rapport avec la revalorisation du salaire de base à hauteur de 100% et/ou les primes et indemnités exigées». Les négociations ont toutefois buté sur plusieurs points, dont le premier, exigeant le départ du patron de la police. «Cette revendication est d’ordre politique», leur a signifié le Premier ministre.
    Vers 19h, les autobus alignés sur l’avenue de Pekin, à hauteur du rond-point d’El Mouradia, sont renvoyés sans leurs passagers. Les dizaines d’agents qui s’apprêtaient à regagner leurs unités ont été invités, sous les huées et avec force noms d’oiseaux proférés par leurs collègues, à descendre illico presto. Ce qu’ils firent. La circulation automobile est interrompue. Une foule de curieux perplexes regardent se dérouler ce vaudeville. Il fait nuit, l’avenue de Pékin grouille de CRS et la Présidence projette sur Alger ses ombres de palais hanté.


    Trois policiers assassinés à Bordj Bou Arreridj

    Deux policiers ont été assassinés et un troisième a été blessé par un groupe terroriste ce jeudi dans la région de Zemmoura, à 30km au nord de Bordj Bou Arreridj, sur la RN 75. Le troisième policier a succombé à ses blessures quelques instants après son admission à l'hopital.


    Selon notre correspondant à Bordj Bou Arreridj, les policiers en patrouille avait dressé un barrage routier à Zemourra, une région que surplombe une foret. Ils ont été surpris par des tirs nourris d'armes à feu, provenant de la foret qui surplombe la route. Deux des policiers sont morts sur le coup et un troisième a été blessé et évacué à l'hopital de Bordj Bou Arreridj. Il a succombé à ses blessures moins de 2h plus tard.
    Une opération de recherche a été immédiatement déclenché pour tenter de retrouver les assaillants.


    Skikda : Un bus «sauterelle» fait deux blessés



    Un invraisemblable accident s’est produit hier, à la gare routière Mohamed Boudiaf de Skikda. Un bus de marque Toyota et alors qu’il était stationné au niveau du quai de la ligne Constantine-Skikda a subitement démarré, gravi trois marches, escaladé le trottoir et est allé heurter de plein fouet l’enceinte vitrée de la gare routière.


    Des témoins oculaires rapportent que le bus était à moitié plein à cet instant. «Heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde en face, sinon on aurait assisté à un authentique carnage, vu l’importance du choc», témoignent les mêmes sources. La Protection civile a pour sa part enregistré deux blessés légers. «Il s’agit de deux personnes, des voyageurs certainement, qui se trouvaient dans le bus au moment de l’accident», apprend-on.
    Quelles seraient les causes de cet accident pour le moins singuliers ? Des personnes présentes sur les lieux avancent que le conducteur se serait certainement trompé en appuyant sur l’accélérateur et pris de panique, il aurait alors perdu le contrôle de son véhicule qui est allé escalader les marches. Les dégâts matériels occasionnés restent plus ou moins importants et la gare Mohamed Boudiaf, déjà très délabrée est, aujourd’hui, carrément ouverte aux quatre vents.



    Colloque national sur Mostefa Lacheraf à Médéa

    Retour sur le parcours d’un militant du progrès


    C’est la première fois que l’auteur de L’Algérie, nation et société est l’objet d’un colloque national organisé du 14 au 16 octobre par l’université Yahia-Farès de Médéa, suite à des propositions insistantes de nombreux intellectuels et hommes de culture. Une vingtaine de conférenciers algériens, de Tunisie et des Émirats arabes unis ont tenté des approches d’analyse et de lecture diversifiées sur l’œuvre du penseur, homme de lettres et militant de la cause nationale, en livrant des témoignages sur ses positions et son engagement intellectuels en faveur des idées de progrès et de justice. La pensée de Mostefa Lacheraf a toujours suscité des réactions antinomiques qui ont alimenté les débats universitaires et académiques eu égard à la profondeur des idées qu’elle véhicule et à son apport aux problématiques contemporaines des sciences sociales et humaines.
    Mostefa Lacheraf est le fondateur de la critique littéraire et de cinéma, selon le docteur Mustapha Madi, maître de conférences en sociologie à l’université d’Alger et consultant aux éditions Casbah.
    Contrairement à ce que certains ont voulu faire accroire à propos de l’arabisation de l’école, il dira que Mostefa Lacheraf a été contre une certaine catégorie d’arabisants négatifs et idéologues. D’ailleurs, poursuivra-t-il, l’homme avait une vision prophétique et craignait la survenue de certains événements qui, malheureusement, se sont réalisés. La mauvaise arabisation n’a fait que l’affaire de l’élite francophone, généralement bilingue, au détriment de la masse qui ne maîtrise plus aucune langue étrangère. L’orateur rapportera que Mostefa Lacheraf est le premier à avoir analysé La Colline oubliée de Mouloud Mammeri, et rappellera quelques remarques émises par l’Égyptien Taha Hussein à propos de l’œuvre et de l’auteur. Livrant ses témoignages sur Mostefa Lacheraf, il évoquera la polémique provoquée par le choix entre les notions “nation” et “société” qui a atteint son paroxysme lors de la rédaction de la Charte nationale de 1976 et dont Mostefa Lacheraf était membre du comité de rédaction.
    Le choix du terme nation proposé par lui qui n’avait pas reçu l’adhésion des autres membres, hormis Mouloud Kassim et Rédha Malek, a nécessité l’arbitrage du président Houari Boumediene, qui a tranché en faveur de l’emploi du terme “nation”.
    Pour le professeur Salah Alouaoui de l’université de Tunis, Mostefa Lacheraf, qui tenait beaucoup à son algérianité, ne voulait pas que celle-ci reste en vase clos, mais s’ouvre sur l’universalité à travers la maîtrise de plusieurs langues. Mostefa Lacheraf prend l’exemple des grands noms qui, dans leur majorité, utilisent plusieurs langues. Pendant la courte période de sa nomination à la tête du ministère de l’Éducation nationale, il est allé dans les écoles assister aux cours pour dresser un diagnostic de la réalité de l’enseignement à travers le pays. Il s’est rendu compte que les enseignants n’étaient pas, dans la majorité des cas, à la hauteur de leur mission, alors que les élèves étaient vifs et avides de savoir. Il n’a pu mettre en marche son projet, bloqué dans sa démarche par les attaques et les critiques de ses détracteurs qui l’ont taxé d’anti-arabisme. D’ailleurs, il ne cessait d’opposer à ses détracteurs l’argument que “l’arabisme se construit à travers l’effort et non pas par l’idéologie”. On rappellera que Mostefa Lacheraf (7 mars 1917-13 janvier 2007) est originaire de la ville de Chellalet El-Adhaoura, partie sud de la wilaya de Médéa. Il milita au Parti du peuple algérien (PPA) et au Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Il est arrêté en même temps que les autres membres de la délégation des dirigeants de la “Révolution algérienne”, dont l’avion est détourné en 1956 par l’armée coloniale. Emprisonné, il est libéré en 1961 pour des raisons de santé. Il occupera plusieurs fonctions diplomatiques.


    Objet d'un colloque au Sénat français

    “Le 17 Octobre dans tous ses états” à… Paris


    Un important colloque intitulé “Le 17 Octobre dans tous ses états” se tiendra demain au Sénat français. La rencontre se veut également un hommage à Mouloud Aounit, Henri Alleg, Jean-Luc Einaudi, Jean-Louis Hurst et Elie Kagan. Parmi les intervenants, on peut citer, notamment, Benjamin Stora, Edwy Plénel, Gilles Manceron, Farid Aïchoune, Mehdi Lallaoui, Chafia Mentalecheta, Patrick Le Hyaric, Pascal Blanchard, François Durpaire, Samia Messaoudi et Hassen Zerhaoui. Si l'ouverture du colloque échoira à Mme Esther Benbassa, sénatrice membre des Verts, la clôture, quant à elle, sera confiée à Mme Bariza Khiari, sénatrice PS.

    Fellag, un nouveau livre, une vieille histoire
    France, écrivain, Algérien, Fellag, Humoriste



    "Un espoir, des espoirs", c'est ainsi qu'il intitule son dernier livre qui ne ressemble à aucun genre littéraire connu. Peut-être n'est-ce que de la divagation justifiée par des années de douleurs jamais encaissées ?
    Comédien, écrivain, metteur en scène et surtout gourou pour lui-même, Mohand Fellag erre dans ce texte qui n'accepte aucune catégorie littéraire au creux de l'histoire de l'Algérie contemporaine. Il n'a raté que l'équipe nationale de foot, la JSK et le meurtre d'Ebossé.
    Cette chronique qui révèle un vrai, un bon chroniqueur, traverse un demi-siècle d'existence de ce pays si aimé, tant honni : l’Algérie.Nous voici, embarqués dans ce court réquisitoire publié chez Jean-Claude Lattès, dans le bateau Algérie qui a commencé à tanguer à l'époque du GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne). Fellag semble vouloir dire que ce pays qu'on aime est resté dans le provisoire, le précaire. Il dénonce sans pérorer "l'insoutenable légèreté" de nos gouvernants.A et B, les deux seuls personnages de cette grosse séquence théâtrale qui n'est sans doute pas un roman semblaient vouloir s'entre-déchirer d'emblée. Ils finissent par se calmer et par se parler. L'occasion faisant le larron, Fellag s'envole dans un délire juste qui s'en va récurer notre boîte à souvenirs, ce cerveau tant de fois maltraité. Nous voici embarqués dans cette histoire si douloureusement ressentie qui démarre au cessez-le-feu du 19 Mars 1962 et qui n'est pas, qui ne veut pas se terminer.Nos présidents successifs se sont tous ressemblé. Une anecdote rapportée par Fellag : "La cinémathèque d'Alger qui était à l'époque l'un des rares lieux de culture underground avait projeté le film "Aguirre ou la colère de Dieu" en présence du réalisateur, Werner Herzog. Nous avions, j'y étais ce jour-là, fortement ovationné le film et Werner Herzog nous avait déclaré: "J'aime ce film comme vous l'avez aimé. J'aime la prestation de Klaus Kinski, mais il aurait été meilleur si le rôle principal avait été interprété par Boumédiene. Je suis fasciné par le regard de votre président."Qui peut jurer qu'en ce temps-là, il n'était pas ébloui ? La dictature, en ce temps-là, avait des airs d'un doucereux protectorat. Boumédiene était le papa et la maman. C'est bien plus tard, sous le règne de Chadli, notamment que les Algériens vont commencer à se rendre compte que la révolution a été trahie, qu'ils ont été, eux aussi, trahis.Ce sont toutes ces sales histoires, plus les graves, les crimes commis par les intégristes durant la décennie noire et les milliards détournés ces dernières années que met en scène Fellag, mine de rien.Fellag ne fait pas de politique, il vomit sans vouloir faire de vagues.
    Mohand Fellag, le clown fait du rire un acte grave.
    Meziane Ourad



    Algérie 3 - Malawi 0

    Les Verts compostent leur billet pour la CAN


    À la faveur d’un facile succès hier à Tchaker face à un faible Malawi, l’Algérie a composté son billet qualificatif pour la Coupe d’Afrique des nations 2015 pour ce qui aura été une balade de santé dans une poule qu’elle surclasse. Cerise sur le gâteau, l’EN mondialiste est le tout premier gros bras du continent qualifié.
    À l’image de son entrée fracassante dans ces éliminatoires, la sélection nationale a rapidement mis le Malawi à genou hier, ouvrant le score après seulement 49 secondes de jeu grâce à un petit bijou de son nouveau maître à jouer, Yacine Brahimi.
    Après avoir donné le tournis à cinq défenseurs adverses en pivotant sur lui-même à l’entrée de la surface avant de trouver appui sur Slimani qui lui a bien remis la balle, la nouvelle étoile portista est allée de son subtile extérieur du gauche pour trouver la lucarne droite d’un keeper malawite devenu spectateur sur cette action de toute beauté.
    Pour avoir d’emblée pris cet avantage décisif, tout est devenu plus facile pour les poulains de Christian Gourcuff. À l’instar d’un Brahimi de gala, les Verts régaleront par moments sans pour autant être inquiétés par un Malawi stérile et sans imagination.
    En roue libre, l’EN tombera même dans la facilité à l’approche des bois adverses, comme cet emmêlement des pinceaux d’Islam Slimani après pourtant un service parfait de l’intenable Brahimi.
    Mais comme animés par l’ardent désir d’en finir au plus vite avec cet adversaire et cette qualification, les Verts doubleront la mise dans les ultimes secondes de ce premier half à sens unique par Ryad Mahrez qui, superbement servi dans l’intervalle par Feghouli, éliminera son vis-à-vis avant de tromper Arawa d’un enveloppé du droit.
    Le sociétaire de Leicester City manquera, au retour des vestiaires, de peu d’inscrire son premier doublé en sélection, enlevant trop sa tentative de près à la suite d’une géniale inspiration d’un irrésistible Brahimi (48’).
    La sentence ne tardera, toutefois, pas puisqu’après avoir fait le ménage dos au but puis décalé le même Mahrez sur sa gauche, Islam Slimani profitera d’un centre millimétré de son coéquipier de la Premier League pour placer une tête piquée imparable, signer le 3 à 0 et apporter sa pierre à l’édifice (55’).
    Etouffée, assommée et complètement mise hors d’état de nuire par une écrasante Algérie, la sélection de Chimodzi n’aura que ce coup franc cadré de Kamwendo, dévié en corner par une claquette d’un vigilant M’bolhi, à se mettre sous la dent (64’), avant un autre essai du même joueur vingt minutes plus tard, encore annihilé par l’impassable gardien algérien (84’).
    Trop peu pour inquiéter une EN déjà sur orbite, intouchable et visiblement décidée à ne certainement pas s’arrêter en si bon chemin, surtout que la belle démonstration de force d’hier aura confirmé, si besoin l’était encore, que cette sélection monte irrésistiblement en puissance et adopte, de plus en plus ostensiblement, des aptitudes d’un futur patron du continent.




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    Post Radar de Maghreb-Sat 24/10/2014

    FLASH INFOS : 24/10/2014

    L’ANP DÉTERMINÉE À ÉRADIQUER LE TERRORISME



    Amed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a réitéré, hier la « détermination » des éléments de l’ANP à « éradiquer » les terroristes dans le pays.
    Dans une allocution à l’occasion d’un colloque historique sous le thème « l’Armée de libération nationale : arme de l’information et de la diplomatie », Gaïd Salah a affirmé que « l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), consentira tous les efforts pour défendre nos frontières nationales et éradiquer les résidus terroristes dans notre pays ». « La préservation du fonds riche révolutionnaire et national, dont les événements phares ont été gravés dans la mémoire collective du peuple algérien, est une responsabilité qui incombe aux générations de l’indépendance.
    Cette responsabilité qui s’accentue davantage avec ces campagnes virulentes successives visant à porter atteinte à notre histoire nationale, menées par les partisans du terrorisme en Algérie et particulièrement dans la région arabo-africaine, ainsi que par leurs complices criminels », a-t-il souligné, relevant que « leurs procédés sont identiques à ceux du colonialisme d’hier, et c’est ce qui prouve la convergence des intérêts hostiles ».
    Ainsi, « nous faisons aujourd’hui face aux même défis, comme nous menons le même combat, et nous, au sein de l’Armée nationale populaire, demeurons fidèles au sacré serment et nous poursuivrons sur le même droit chemin, couronnés, grâce à Dieu, par la victoire, comme ce fut le cas par le passé », a-t-il ajouté.

    « Telle est l’histoire de la glorieuse guerre du 1er Novembre qui est une source de fierté et d’inspiration, ainsi qu’une étape décisive dans notre histoire militaire et nationale, que nous ne ménagerons aucun effort, sous le commandement et le soutien de son excellence le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, pour répandre ses nobles enseignements et valeurs parmi les rangs de l’Armée nationale populaire, digne héritière de l’Armée de libération nationale, de manière à garantir l’accomplissement de nos missions constitutionnelles avec abnégation, détermination, compétence et force, tout en étant loyaux envers le serment de nos valeureux martyrs et en préservant éternellement l’acquis que représente la souveraineté, la liberté de l’Algérie, son indépendance nationale, son unité populaire et son intégrité territoriale », a-t-il dit.


    Le pari difficile du FFS




    Pouvoir-opposition


    Le Front des forces socialistes a engagé, en cette fin de semaine, la première série de consultations en vue de la tenue de la conférence de consensus national.


    Un rendez-vous que le plus vieux parti de l’opposition a inscrit sur son agenda à l’issue de la tenue de son 5e congrès, en mai 2013, comme un objectif majeur à atteindre. Des mois se sont écoulés, d’autres initiatives ont vu le jour, adoptant le même slogan de refondation du consensus, preuve s’il en est que la société algérienne est véritablement à la recherche d’un projet fédérateur.
    L’enjeu principal, aujourd’hui, pour trouver une issue à la crise nationale et préserver l’avenir pour toutes les Algériennes et tous les Algériens, est la reconstruction d’un consensus national fondamental qui pourrait s’organiser autour de la démocratie politique, de la citoyenneté, du développement économique et de l’équité sociale. Concrètement, il s’agit du respect des pluralismes politique, linguistique, syndical et des libertés fondamentales pour permettre l’autodétermination individuelle de chaque Algérienne et Algérien et l’autodétermination collective du peuple algérien», soulignait déjà la résolution du 5e congrès du FFS.

    Partant des expériences des transitions politiques engagées dans de nombreux pays du monde, le FFS s’est attaché, au risque de s’attirer de nombreuses critiques, au principe qu’un consensus se doit d’être inclusif et ne se limitant pas aux seules forces de l’opposition. «Les régimes autoritaires présentent des spécificités nationales, mais tous, d’une manière ou d’une autre, vont négocier leur sortie à un moment où le statu quo s’avère intenable compte tenu du contexte local», affirmait Mohand Amokrane Cherifi, membre de l’instance présidentielle, lors d’une conférence sur les transitions.
    Ce qui explique aujourd’hui que d’anciens membres du régime se retrouvent dans l’opposition ou que d’autres sont en attente de le devenir. Dans sa résolution politique du 5e congrès, le FFS fait référence à cette présence de parties ouvertes au dialogue au sein du régime : «Les forces du changement sont là ; elles sont à l’œuvre dans le pays. Non seulement dans la société, mais probablement aussi dans les institutions, nous en avons la ferme conviction.» L’ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, l’a d’ailleurs encensé quelques mois plus tard en disant que le changement ne se fera pas sans le pouvoir.
    Le FFS, qui frappe aujourd’hui aux portes de tous les partis, de l’opposition comme du pouvoir, dit ne pas y aller pour imposer une feuille de route mais pour proposer une écoute. Les points de convergence seront à la base de la tenue de la conférence nationale. Rachid Halet, membre de l’instance présidentielle du FFS, qualifie ce moment de vrai défi pour le parti : «Nous voulons réussir une mission difficile car le consensus est nécessaire (…) Ce sera laborieux, on ne peut pas ignorer que certaines conditions ont été posées d’emblée, alors que nous sommes au début (…). Mais fondamentalement, il n’y a pas d’engagement précis, ce sont des consultations préliminaires et il n’y a pas de refus catégorique de poursuivre le dialogue.» Et de noter que c’est dans l’action que sera jugée la sincérité des uns et des autres.
    Outre les partis et personnalités politiques, le FFS fait appel aussi à toute la population pour apporter sa contribution au débat. L’esprit fondamental de la conférence est de sensibiliser tous les Algériens sur la nécessité de prendre l’avenir du pays en main, comme à la veille du 1er Novembre, mais en optant pour une dynamique politique pacifique, concertée et plurielle.


    Célébration de la journée nationale de la presse


    Hamid Grine : “Nous voulons une presse responsable et professionnelle”


    La responsabilité et la professionnalisation de la presse sont au centre des préoccupations du nouveau ministre de la Communication. “Nous voulons une presse responsable qui assume son rôle d’information, mais aussi sa responsabilité morale de donner une information bourcée au citoyen”, a déclaré, hier, Hamid Grine, sur les ondes de la Chaîne 3, en ce jour de célébration de la Journée nationale de la presse. Pourtant, il évoquera plus loin les difficultés d’accès à l’information, notamment au niveau des administrations, reconnaissant ainsi l’existence d’obstacles rencontrés par les journalistes, dans l’exercice de leur métier. Le ministre a également déploré que “certains journaux (…) empruntent des chemins de travers et de la diffamation”, justifiant cette situation par la période passée, celle de la décennie du terrorisme, durant laquelle la presse aurait construit “une opinion consommatrice d’attaques et de sensationnel”. La professionnalisation de la presse est tributaire de “l'adhésion des journalistes et des principaux acteurs, notamment les responsables de presse”, finira-t-il par lâcher, en insistant sur l’“engagement”, l’“élan” et la “sincérité” des journalistes, ainsi que sur les questions de “la déontologie et l’éthique”. M. Grine, par ailleurs, a annoncé l’installation prochaine d’une autorité de régulation et d’un conseil de l’éthique et de la déontologie, tout en signalant que la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite interviendra dans 6 à 9 mois, “en fonction du rythme de délivrance de la carte professionnelle de journaliste”. Sans rassurer le gros de la corporation des journalistes qui craint l’instrumentalisation des instances de régulation, à des fins de verrouillage du paysage médiatique.
    Le ministre de la Communication a toutefois indiqué que sur les
    1 100 dossiers déposés (pour la délivrance de la carte de presse), quelque 1 003 sont déjà traités, tout en rappelant que le gouvernement “ne fait pas de différence entre les journalistes de la presse privée et ceux de la presse publique”. “Nous ferons tout ce qu’il faut pour arriver à instaurer les mêmes standards, dans le cadre de la professionnalisation de la presse”, a-t-il ajouté. Sur le registre de la publicité, M. Grine a expliqué qu’il ne s’immisce jamais dans la gestion de la régie publicitaire publique Anep. “L’Anep est libre de donner la publicité, pas comme elle le veut, mais selon notre politique”, a soutenu le ministre de la Communication, avant d’appeler les médias à “sortir de leur mentalité d’assistés”. Plus explicite, il soutiendra que l’Anep se base sur deux critères : “la déontologie et l’éthique, et le tirage”. Mais, il admettra que le dernier mot revient aux annonceurs, en notant que ces derniers “ne sont pas obligés de leur (les médias, ndlr) donner de la publicité”. Une manière de contraindre les médias à être “inventifs et (…) créatifs”.
    Concernant les créances des imprimeries publiques sur des journaux, le ministre les a estimées à 4 milliards de dinars (400 milliards de centimes). Il a affirmé que 50 à 60 milliards de centimes ont été récupérés, depuis sa nomination à la tête du département de la Communication, puis appelé les imprimeries publiques à n’accorder de crédits qu’aux journaux solvables.




    Une émission «spécial SILA»


    Mohamed Kaci, le présentateur vedette de l’émission Maghreb Orient Express

    A l’occasion du 19e Salon international du livre à Alger, TV5Monde délocalise «Maghreb Orient Express», l’émission en connexion avec le monde notamment arabe. Elle sera enregistrée le 31 octobre et diffusée le 2 novembre à 20h.


    Installé au cœur du Salon du livre, Mohamed Kaci réalisera une émission spéciale, en accueillant des personnalités de l’actualité culturelle algérienne, parmi lesquelles des auteurs francophones comme Hajar Bali auteure de Trop tard (Editions Barzakh), Les sœurs Safia et Soumeya Ouarezki, bédéistes ayant signé Fatma N’parapli, en collaboration avec Mahmoud Benameur (éditions Dalimen), Prix du meilleur album en langue nationale au Festival international de la bande dessinée à Alger. Ou encore Zola auteure de l’album de manga intitulé The Devil’s Dream (éditions Lazhari Labter).
    Mohamed Kaci rencontrera l’écrivain Samir Toumi, initiateur de «La Baignoire», un lieu artistique devenu incontournable à Alger, dont la prochaine exposition est prévue mi-novembre.

    Abderrezak Makri, président du MSP, l’a déclaré hier

    “Rien ne va plus au sommet de l’État”

    La sortie des policiers dans la rue et la crise qui persiste encore à Ghardaïa constituent, aux yeux du président du MSP, des preuves qu’“un conflit couve au sommet de l’État”.

    Le président du MSP, Abderrezak Makri, a brossé, hier, un tableau peu reluisant sur la situation du pays, lors d’une conférence de presse au siège de son parti, à Alger. Au volet politique, le leader du MSP a, d’abord, réitéré la position de son parti quant au dernier mouvement de protestation mené par des éléments de la Sûreté nationale :
    “Je tiens à vous rappeler que la direction de notre parti s’est déjà exprimée sur ce mouvement de protestation à travers deux déclarations rendues publiques. La sortie des policiers dans la rue suivie d’un sit-in devant la première institution du pays suscite plusieurs lectures. Notre parti se solidarise, par principe, avec tout Algérien qui revendique ses droits légitimes.” Se voulant plus explicite, M. Makri estimera que “cette contestation des policiers, qui reste une première, signifie tout simplement que rien ne va plus au sommet de l’État”. Sur sa lancée, le président du MSP ne manquera pas de tirer à boulets rouges sur la politique du gouvernement quant à la gestion de la crise de Ghardaïa. Pour lui, cette crise a sérieusement ébranlé la vallée de M’zab dans ses fondements.
    Cette crise constitue un autre indicateur qui corrobore la thèse qu’un conflit couve au sommet de l’État. “La population de la vallée du M’zab est prise en otage par le gouvernement qui persiste dans sa politique d’échec. Le conflit a atteint un point de non-retour.
    Une purification ethnique n’est pas exclue”, lâchera, sans ambages, Abderrezak Makri, avant de rappeler que “les deux communautés, les Ibadites et les Malékites, ont toujours cohabité par le passé, sans aucun problème”. Avant de clore le volet politique, le conférencier rappellera que sa formation continue d’œuvrer avec les membres de la CNLTD. Tout en se réclamant de l’opposition, il annoncera une rencontre prévue, aujourd’hui jeudi, avec la direction du FFS, et ce, dans le cadre des démarches de ce dernier qui envisage de réunir prochainement une “conférence nationale du consensus”.

    Abrogation du 87 bis : “Un mensonge flagrant”
    Au sujet de la situation économique du pays, M. Makri ne mâchera pas ses mots quand il abordera la chute “inattendue” des cours du pétrole : “La chute brutale des cours du pétrole et la baisse de la production nationale constituent de véritables dangers qui guettent le pays. On craint vraiment pour l’avenir de l’Algérie en raison des problèmes de gouvernance et de la corruption qui a rongé tous les secteurs.” En guise d’arguments, le président du MSP fera remarquer qu’“il est impensable de bâtir une économie uniquement sur le pétrole, alors que les leviers du marché international sont entre les mains de l’Arabie saoudite et des États-Unis”. “Le cours du baril a atteint les 87 ou 88 dollars, alors qu’il y a quelques années, le gouvernement prévoyait qu’il ne descendra pas en dessous des 100 dollars. Aujourd’hui, nous sommes en droit de demander des comptes au gouvernement qui n’a pas prévu cette baisse des prix”, ajoute M. Makri, qui signalera, sur sa lancée, que même la production nationale du pétrole a connu une baisse de 6%. “Ce qui induira, du coup, une baisse des recettes pétrolières. Selon les chiffres officiels fournis par les autorités compétentes, les revenus du pétrole entre l’année 2013 jusqu’à septembre 2014 ont baissé de 1%. Et le Fonds de régulation connaîtra, pour sa part, une diminution de 2%”, lancera-t-il. Et de poursuivre : “Au moment où les recettes pétrolières sont en baisse, le gouvernement ne se gêne pas pour augmenter les budgets consacrés à l’importation. Entre 2008 et 2014, les importations ont augmenté de 52,27%. Et ce sont les produits de consommation qui se sont taillé la part du lion, alors que l’importation des équipements a baissé de 79% durant la même période.”
    Plus loin, l’intervenant reviendra sur les débats suscités après l’annonce, en grande pompe, de l’abrogation de l’article 87 bis. “L’abrogation de l’article
    87 bis est un mensonge flagrant. Ils ont abrogé l’article en question, mais ils ont laissé l’article 87 tel quel, qui ne donne aucune indication sur la définition du salaire. Ils ont laissé au gouvernement le soin de définir le salaire par voie réglementaire”, conclura-t-il.




    SOUFFLES

    Le parfum et la littérature !


    J’ai toujours imaginé que le parfum est une partie intégrante du corps féminin ! Je ne peux imaginer une femme sans un parfum ! De même la littérature. Ce soir-là à Tunis, novembre 2013, sur les trottoirs du boulevard Habib-Bourguiba, l’écrivain Hamid Grine et moi, nous faisions les cent pas, parlant, comme à chacune de nos rencontres, de littérature, cinéma, théâtre, architecture et sport. Hamid Grine aime parler de ce monde des grandes compétitions.
    Mais ce qui m’a surpris, ce soir-là, dans le discours spontané de cet écrivain prolifique, ce n’est pas sa culture livresque, ses diverses lectures ou son roman en chantier Une femme qui voulait se transformer en homme (je ne suis pas sûr du titre), mais c’est sa profonde connaissance du monde magique des parfums.
    Un monde resté marginalisé pour les littérateurs, ou presque ! En arrivant devant la vitrine d’une belle parfumerie, Hamid s’est arrêté un instant comme pour se souvenir d’une chose lointaine. Je me suis dis : il a besoin d’un parfum pour en faire cadeau à quelqu’un ! En franchissant la porte du magasin, il a commencé à me parler des marques de parfums.
    Les parfums orientaux, occidentaux, américains, italiens et français, les chauds, les fruités, les forts, les sauvages, les doux, les maritimes, les forestiers, ceux pour l’été, ceux pour l’hiver… Une jeune vendeuse, en nous voyant entrer, nos premiers pas entre les allées en vitrines hautement présentables, pleines de flacons et de pubs, s’est approchée de nous, sur un ton de professionnelle chevronnée, elle nous a dit : avez-vous besoin d’aide ou de conseil ? Hamid Grine a commencé à lui poser des questions sur les origines de quelques parfums. Sur les composants d’autres ? Les origines d’autres ? À peine une petite phrase en guise de réponse de la part de la vendeuse et Hamid n’a pas tardé à lui corriger ses informations. La vendeuse, bien parfumée, s’est retournée vers une autre pour demander aide, et comme avec la première Hamid a continué à déverser sa culture odoriférante ! En quittant la parfumerie, une fois sur le boulevard Habib-Bourguiba, Hamid a poursuivi son discours parfumé, sur les parfums qu’il possède… une douzaine de marques de parfums. Cela m’a fait rappeler quelques détails de son roman Un parfum d’absinthe, dont l’odorat est présent plus que son personnage Albert Camus, ou les monuments de Tipasa.
    En ce soir-là à Tunis, le discours de l’écrivain Hamid Grine à propos des parfums m’a rappelé aussi un beau roman algérien considéré comme le premier roman dans l’histoire du roman arabe, écrit dans un arabe algérien (le dzaïri) intitulé Hikayat el Ochchaq Histoire des amants. Ce texte unique a été écrit par un certain Mohamed Benbrahim (1806-1886) peu connu dans l’histoire de la littérature algérienne, maghrébine ou arabe.
    Dans ce roman, annoté et publié par le doyen des historiens algériens feu Docteur Aboulkacem Saâdallah, on découvre Alger, une cité fascinante par ses ruelles, ses musiques, ses fleuristes, ses droguistes et ses vendeurs d’eau de rose.
    Dans Histoire des amants nous sommes dans une ville d’arômes, d’odeurs d’épices et de parfum d’amour ! Comme dans les Mille et Une Nuits, la bonne littérature a besoin d’être parfumée et parfumeuse.
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    Post Radar de Maghreb-Sat 31/10/2014

    FLASH INFOS : 31/10/2014

    Bouteflika met en garde contre des menaces sur la sécurité de l’Algérie




    le 31.10.14 | 17h24
    Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika a évoqué ce vendredi dans un message adressé au peuple algérien, à l'occasion du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954, des menaces sur l’unité et la sécurité du pays.



    Le peuple algérien « n'hésitera pas à se dresser contre toute velléité d'attenter à son unité et à ses constantes » et « repoussera toute menace à sa sécurité », a indiqué Bouteflika, selon l’agence APS. Le peuple algérien, lit-on encore dans le message, oeuvre à « la mise en place des règles d'une démocratie véritable, d'une justice globale et d'un développement durable qui renforceront son immunité ».
    Le message présidentiel a souligné le fait que l’Algérie évolue dans un « contexte marqué par un bouleversement des valeurs et dans lequel la discorde a frappé bien des nations et des peuples en proie aujourd'hui à la division et au déchirement ».
    D’après la même source, Bouteflika considère que « Le peuple algérien (…) est en droit de se féliciter de son rang parmi les nations, qui lui permet d'aller vers de plus grandes ambitions ».

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    60 ans après la Révolution
    L’Algérie est libre, les Algériens pas encore







    le 31.10.14 | 10h00
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    L?Algérie est libre, les Algériens pas encore - Actualité - El Watan

    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle



    le 31.10.14 | 10h00
    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle - Actualité - El Watan


    Loi de finances 2015 :Le timbre pour le passeport passe à 6000 DA


    Le projet de loi de Finances pour l’exercice 2015 a été adopté hier à la majorité absolue par l’Assemblée populaire nationale. Comme attendu aucun amendement majeur n’a été introduit au texte initial, si ce n’est une révision à la baisse du prix du timbre passeport.


    Le différent entre les Parlementaires et le gouvernement à ce sujet a induit l’introduction d’un amendement oral en pleine plénière hier et ce dans le cadre des dispositions du règlement intérieur de l’APN. C’est ainsi que le timbre passeport est passé de 10 000 DA tel qu’initialement proposé par le projet de LF 2015 à 8000 DA dans un premier temps tel que validé par la commission des finances et du budget de l’APN, et finalement à 6000 DA en plénière.
    Trois autres amendements ont été introduits. Le premier institue un taux de TVA réduit de 7% pour l’aviculture et la mise sous contrôle de l’OAIC du marché des intrants, en attendant la création d’une autorité de régulation dédiée. Le second concerne la suppression d’une prime à la recherche et au développement. Le dernier amendement concerne la prise en charge par le Fonds national de solidarité des frais liés au rapatriement des ressortissants algériens décédés à l’étranger.
    Enfin, la plénière a passé à la trappe la majorité des 62 amendements examinés par la commission des finances et du budget de l’APN, parmi lesquels on peut compter des propositions liées à l’annulation d’avantages fiscaux et d’exonération au profit d’investisseurs, l’instauration d’un impôt sur la fortune, l’instauration des licences d’importation (déjà prise en charge par un projet de décret du ministère du Commerce), des dispositions relatives au SNMG, les retraites des rappelés de l’ANP, des députés, ainsi que des amendements relatifs à l’attribution d’un crédit sans intérêt de 10 millions de dinars au profit des députés.

    Belaiz veut créer sa propre police, Sellal dit niet

    Ainsi donc celui qui a échoué à faire main basse sur la police nationale en fomentant une sédition criminelle parce que porteuse de graves dangers pour la République et ses institutions, se met à faire des caprices.
    En effet, lors du dernier Conseil interministériel, le ministre de l’intérieur a interloqué ses collègues du gouvernement en proposant ni plus ni moins de créer sa propre …..police comme on en fait dans les républiques bananières.
    Une « direction générale de la police municipale » sous son auguste autorité a t-il préconisé, prenant ainsi soin d’enrober dans un papier cadeau sa dangereuse proposition. Le Premier ministre a d’emblée rejeté cette proposition arguant que si police municipale il y a, elle serait sous la coupe de la DGSN ce qu’ont approuvé tous les autres ministres présents lors de ce Conseil.
    Que des mairies qui en ont les moyens créent une police municipale, sans armes, chargée de faire respecter la loi dans les domaines de l’environnement, de la construction illicite etc… n’est pas en soit une mauvaise chose, encore faut-il encadrer cette disposition par un arsenal juridique conséquent pour éviter des dérives à l’instar de la tristement célèbre milice dirigée par le commandant Mahmoud Guennez du temps de la présidence d’Ahmed Benbella. Mais de là à vouloir une nouvelle Direction générale de la police municipale sous les ordres directs de Tayeb Belaiz est une dérive aussi inacceptable que dangereuse.
    Le Premier ministre, a immédiatement rejeté, à juste titre, cette proposition incongrue qui va à l’encontre des principes républicains régissant un État moderne.
    A la lumière de cette dernière bévue, il apparait de plus en plus que la nomination de Belaiz comme ministre de l’intérieur est un choix malheureux car son parcours pour arriver à cette consécration est des plus bizarres dans l’histoire de la République algérienne.
    En effet, nous confie un haut magistrat à la retraite, « ce monsieur a tiré grand profit de sa parenté avec l’ex ministre de la justice, Lahcène Soufi, nommé en 1979 à ce poste dans le premier gouvernement de feu le président Chadli Bendjeddid et dirigé par feu Mohamed Ben Ahmed Abdelghani ».
    La fameuse promotion des 400
    « Lahcène Soufi, qui voulait, en ce temps là, suppléer au manque de magistrats a recruté 400 personnes non bacheliers donc inaccessibles à l’université, qui ont suivi des cours du soir à la faculté de droit et se sont retrouvés bombardés de diplômes universitaires délivrés dans des conditions aussi rocambolesques que burlesques » précise notre interlocuteur.
    « Cette fameuse promotion des 400, après avoir suivi les cours du soir, s’est retrouvée auréolée de licences en droit et la particularité de cette fournée c’est d’être composée de nouveaux magistrats unilingues, plus connus sous le sobriquet « les intrus » dans le monde de la magistrature parce que ne maitrisant que la langue arabe et dont les connaissance en droit étaient aussi approximatives qu’insuffisantes » ajoute notre source.
    « Ce qui a eu pour conséquences de provoquer des incidents à répétition avec les avocats de l’époque, bardés de diplômes prestigieux et qui maniaient la langue de Molière avec grande dextérité ce qui n’a pas été du goût de ces nouveaux « magistrats » qui ont fait dégringoler la justice algérienne à son plus bas niveau et dont les conséquences catastrophiques se font jusqu’à nos jours » s’insurge la même source.
    Un gâté de la république
    « Tayeb Belaiz était le plus favorisé et pour cause c’était le chou chou du ministre de la justice, un proche parent. Aussitôt son diplôme de licence en droit en main, il fait son service national au niveau de l’OPGI d’Oran, et à sa sortie postulera pour la CNAN mais son dossier a été rejeté parce que unilingue. L’aubaine se présentera lorsque Lahcen Soufi, est nommé wali de Tiaret il en devient naturellement son chef de cabinet ».
    « Lahcene Soufi devenu en 1979 ministre de la justice, il est recruté dans son cabinet, puis proposé comme directeur des ressources humaines mais l’enquête d’habilitation se révèle négative parce que Belaiz ne remplissait pas les critères idoines pour ce poste nommé par décret. Qu’à cela ne tienne, Lahcène soufi le nomme par arrêté Conseiller à la cour d’Oran brûlant ainsi les trois étapes obligatoires pour accéder à ce poste qui est une consécration. Ces trois étapes qui sont miraculeusement sautées sont juge du siège, vice président du tribunal et président de tribunal » affirmera ce haut magistrat.
    « Un grand boulevard s’est donc ouvert devant lui et il sera tour à tour président de chambre, président des cours de Saida, Oran, Sidi Bel Abbes, conseiller à la cour suprême et tire le gros lot, comme dans un conte de fée, en devenant grâce au miracle algérien ministre de l’emploi en 2002 et ministre de la justice en 2003. Et pour l’histoire c’est feu l’ex président Ahmed Benbella, natif de Maghnia comme Belaiz, qui intervient auprès de Ali Benflis, chef du gouvernement d’alors qui accède aux désidératas de l’ex président de la république revenu entre-temps dans les bonnes grâces du président Bouteflika » ajoutera notre interlocuteur.
    On mesure ainsi le parcours professionnel d’un gâté de la république qui se met aujourd’hui à faire des caprices en voulant pour lui tout seul une armée de policiers. Pour quel usage et quel but ?

    Ligue des champions


    Sétif à 90 minutes du «60e ciel»





    C’est demain, au stade Mustapha de Tchaker, à partir de 19h15, que l’Entente de Sétif tentera d’accrocher sa première Coupe, version Ligue des Champions, face au Vita Club du Congo.


    Après avoir bien négocié le difficile virage de Tata Raphaël, où il n’est pas donné au premier venu de mener à deux reprises, les Sétifiens remettent le compteur à zéro. Puisque rien n’est encore joué. Avec deux buts inscrits à l’extérieur, les hommes de Madoui se trouvent, certes, en bonne posture pour retrouver les cimes de l’Afrique, une première depuis 26 ans, mais le plus dur reste à faire. D’autant plus que l’adversaire qui voyage bien n’a plus rien à perdre. Pour éviter toute mauvaise surprise, les Algériens qui devront composer avec la pesante pression propre à un tel événement devront non seulement mettre dans la balance le score piège de l’aller, mais avoir à l’œil la bande à Florent Ibenge qui a, faut-il le rappeler, créé la sensation à Sfax lors de la demi-finale retour.
    Il ne faut pas non plus passer sous silence le coup d’éclat d’Abidjan réalisé dernièrement, où les Léopards (surnom de l’équipe nationale congolaise), sous la houlette du coach de Vita Club, ont damé le pion à la Côte d’Ivoire d’Hervé Renard. Ne devant surtout pas dormir sur leurs oreillers, les Sétifiens sont donc avertis. Prévue initialement à Kinshasa, la «finale» de la 18e édition de la Ligue des champions se jouera finalement à Blida, où l’Entente de Sétif devra relever un défi, grand comme les non moins célèbres monts des Aurès et du Djurdjura. S’ils veulent emboîter le pas à leurs aînés (Osmani, Nabti, Adjas, Serrar, Bernaoui, Boulehdjilet, (Doudou) Bendjaballah, Zorgane (Raïs), Gherib, Adjissa, Rahmani) ayant, un certain 9 décembre 1988, décroché la première étoile sous la férule de Aribi-Khalfa, deux grands noms du football algérien – ingrat envers ses meilleurs fils, les camarades de Djahnit doivent faire un match de «guerriers».



    Penser à un score de zéro partout ou à un score semblable serait suicidaire pour les Noir et Blanc qui portent les espoirs de tout un pays avide de fête. Comme l’on fait un 1er Novembre 1954, 22 preux, le onze ententiste qui n’a pas le droit à l’erreur devra en ce jour anniversaire s’armer de foi, de volonté de fer, de la concentration de grands compétiteurs, et d’une incommensurable détermination, les moyens idoines devant le conduire vers le sacre tant attendu. En pareilles circonstances, qu’importe la manière car en fin de compte on ne retiendra que le nom du vainqueur. L’Entente d’Algérie se trouve désormais à 90 minutes du «60e ciel» où résident les glorieux bâtisseurs de Novembre, l’éternel…












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    Ce qu’il faut retenir du cas burkinabé


    le 07/11/14 à 10h00

    Ce qu?il faut retenir du cas burkinabé - A la une - El Watan

    Après les policiers, les pompiers veulent aussi investir Alger

    le 07.11.14 | 10h00


    Les agents de la Protection civile, affiliés au Snapap, prévoient un sit-in le 18 novembre devant leur direction générale à Hydra. Le syndicat, affilié à l’UGTA, qualifie le mouvement de «non-événement». La direction générale, elle, rappelle qu’ils n’ont «aucune» représentativité. El Watan Week-end est allé à leur rencontre.


    Cette fois-ci, ils ne revendiquent pas le départ d’un général-major, mais celui d’un colonel. Ils sont vêtus de bleu, mais ne sont pas policiers. Songent-ils à refaire le même coup ? Les pompiers voudraient désormais défier leur direction générale (DGPC) en organisant un rassemblement devant son siège, le 18 novembre prochain. C’est ce qui a été décidé lors d’une réunion qui a regroupé, mardi dernier, 15 délégués des neuf wilayas participantes au siège du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), à Bab Ezzouar.

    Skikda :L’agresseur des jeunes femmes ne sévira plus


    Les services de police viennent de mettre fin aux agissements d’un jeune délinquant récidiviste qui, en l’espace d’un mois et sous la menace de l’arme blanche, a subtilisé différents objets de valeur à trois jeunes femmes.

    L’agresseur, âgé à peine de 25 ans, a commencé ses agissements le 29 septembre dernier, en s’attaquant à une lycéenne qui rentrait chez elle au quartier du Mont-Plaisant. Muni d’un couteau de type Opinel, il l’a abordé pour lui enlever son portable. En voulant le pousser, elle reçut un coup de couteau qui la blessa à la main.
    Profitant de cet instant, l’agresseur saisit le portable et prend la fuite. La jeune demoiselle s’en est sortie avec un certificat d’incapacité de 9 jours et décida d’aller porter plainte au commissariat du 2ème arrondissement. Quelques jours après, le 14 octobre plus exactement, une autre femme de 20 ans se présente au même commissariat pour porter plainte pour «agression et vol». Elle a été surprise au niveau de la cité des Frères Saker par le jeune délinquant qui lui a collé un couteau au ventre et la menacé de la tuer si elle oserait crier. Pour avoir la vie sauve, elle accepte alors de se défaire de trois bagues en or et de les lui remettre.
    Prenant goût à ses agissements sur le **** faible, le délinquant poursuit sa besogne tout en faisant cette fois-ci dans l’horreur en s’attaquant, le 27 octobre dernier, à une mère de famille. Cette dernière portait son bébé qu’elle venait juste de vacciner à la polyclinique des Frères Saker et s’apprêtait à rentrer chez-elle.
    Le délinquant la suit et en longeant la muraille d’un établissement du primaire de la cité, il l’aborde. Il pointe alors son couteau sur le bébé et exige qu’elle lui remette le seul bien qu’elle portait ; sa bague de fiançailles. Les signalements donnés par les trois victimes permettent alors d’identifier l’agresseur qui sera interpellé. Il a été présenté mardi dernier devant le magistrat instructeur près le tribunal de Skikda qui a ordonné sa mise en détention.


    Lancement officiel de la campagne de sensibilisation contre toutes
    les formes de violence




    Une large campagne de sensibilisation contre toutes les formes de violence a été lancée officiellement jeudi à Ouargla par le ministre de la communication, Hamid Grine.Lors de la cérémonie de lancement de cette compagne sur les ondes de la radio locale de Ouargla, le ministre a expliqué que cette initiative concerne toutes les formes de violence en Algérie, notamment la violence verbale et les agissements inciviques.

    Sous le thème «Agissons sans violence», cette campagne porte sur des actions de sensibilisation diffusées et animées sur les divers canaux d’information dont les supports audiovisuels, les réseaux sociaux et l’affichage public. Décidée à l’issue d'un conseil interministériel tenu le 31 août 2014 sous la présidence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, cette campagne est animée également par des figures de marque du monde de l'art et du sport, en vue de faire adhérer les citoyens à ce grand défi national qu'est la lutte contre la violence. Par ailleurs, Hamid Grine, a affirmé que le lancement du nouveau journal électronique Sud-Horizons à partir d’Ouargla traduit l’intérêt qu’accorde l’Etat au Sud du pays. Le ministre qui a procédé à l’inauguration de ce nouveau-né de la presse publique a souligné que «l’inauguration du premier journal électronique Sud-Horizons, relevant du quotidien francophone Horizons, à partir de la wilaya d’Ouargla, traduit l’intérêt grandiose qu’accorde l’Etat aux régions du Sud». Précisant que ce projet médiatique, un modèle à suivre, constitue un nouvel et prometteur élan à promouvoir la presse nationale, tout en faisant savoir que ce projet s’occupe de la couverture des préoccupations des populations du Sud et du suivi de l’action de développement que connaissent ces régions. Il a, dans ce cadre, mis l’accent sur le nécessaire rapprochement de différentes institutions et sources locales pour obtenir une information sourcée crédible et confirmée. Le PDG du quotidien Horizons, Larbi Timizar, a fourni des explications sur les objectifs assignés à ce journal électronique dont l’inauguration s’est effectuée au niveau du siège de la direction régionale d’Algérie Presse Service (APS) à Ouargla. Il a passé en revue les champs de couverture médiatique assurée par le journal électronique et ses perspectives. Hamid Grine s’est rendu, également, à l’entreprise de la télédiffusion algérienne (TDA) dans la région de Berkaoui, (40 km du chef lieu de la wilaya), où des explications sur les activités de cette entreprise et son programme d’action pour l’amélioration des prestations de diffusion, ont été fournies à la délégation ministérielle.

    Principaux garde-fous de l'édition en Algérie


    La ligne éditoriale de la maison d'édition, les exigences du marché et les subventions accordées aux éditeurs constituent les trois pivots sur lesquels roule le choix par les éditeurs algériens de tel ou tel titre à présenter au lecteur.

    En effet, le lecteur ne peut à lui seul définir les orientations des éditeurs qui obéissent, selon nombre d'éditeurs participant à la 19e édition du Salon international du livre d'Alger (SILA), à plusieurs facteurs dont le coût de l'ouvrage et le domaine de spécialisation. Intervenant à cette occasion, Assia Ali Moussa, des éditions Mim, souligne que «la ligne éditoriale se veut l'unique critère qui oriente les choix des éditions Mim et si l'on venait à tenir compte des demandes du lectorat, le livre scolaire serait notre premier choix».«Le lecteur n'oriente pas nos choix. Bien au contraire, les éditions Mim s'emploient à susciter l'intérêt du lectorat pour chacune de leurs publications et refusent d'obéir à la loi du marché», a-t-elle indiqué, rappelant que ses éditions «ont défini, depuis le début, leur propre orientation littéraire et intellectuelle dont ils ne comptent nullement dévier».A contrario, Rachid Khettab, des éditions Dar Khettab, défend un autre point de vue: «Mon statut d'écrivain et de lecteur dirige grandement mes choix en tant que responsable des éditions Dar Khettab».«Tout ce qui va en droite ligne avec mes aspirations et mes centres d'intérêt m'incite à assouvir les besoins du lecteur qui me ressemble», précise M. Khettab qui avoue que «la logique du marché joue aussi un rôle déterminant dans mes choix d'édition. C'est pourquoi nous tenons compte de ses exigences, pour peu qu'elles ne s'opposent pas aux principes des éditions Dar Khettab».De son côté, Mounir Ben M'hidi, directeur de Joussour Editions, précise que sa maison s'est spécialisée dans le livre universitaire, évoquant «une relation harmonieuse entre ses choix et les exigences de l'Université».Quant aux éditions APIC qui s'intéressent davantage à la littérature africaine, Karim Cheikh indique que «ce choix n'est nullement commercial. Nous publions des titres sur la littérature africaine par choix et conviction et non parce qu'elle représente un grand marché».«L'édition est une entreprise de longue haleine et un important enjeu», a-t-il estimé.Selon Hassan Ben Naamane, directeur des éditions Dar El-Oumma, le choix de ses éditions obéit au coût d'édition de l'ouvrage, précisant toutefois que la principale orientation de sa maison d'édition est essentiellement centrée sur la publication de «livres académiques, intellectuels et politiques s'inscrivant dans la colonne de la Proclamation du 1er Novembre».Kamel Yahiaoui, directeur de l'Entreprise nationale des arts graphiques (ENAG), précise que son entreprise publie des titres dans tous les domaines. «L'écrivain qui ne trouve pas d'éditeur nous sollicite pour que nous soumettions son travail aux comités de lecture», a-t-il précisé.Libérer la littérature algérienne du cadre conjoncturelPour Assia Ali Moussa, «l'édition qui n'est qu'occasionnellement sous les feux de la rampe constitue une occasion pour certains éditeurs de se faire connaître et bénéficier de subventions. Cependant, elle ne devrait pas commettre l'erreur de confiner la littérature algérienne dans un cadre conjoncturel». Abondant dans le même sens, Karim Cheikh, des Editions APIC, pense que «les éditeurs conjoncturels courent après les subventions et sont loin de s'intéresser à la teneur du livre. Pour eux, chaque livre susceptible de faire l'objet d'une quelconque subvention, est bon».L'édition de circonstance a «permis l'émergence de plusieurs maisons qui nagent malheureusement à contre-courant», estime Mounir Ben M'hidi.De son côté, Kamel Yahyaoui voit en l'édition «de circonstance, un signe récurrent de bonne santé qui permet de subventionner l'industrie du livre», précisant toutefois que son entreprise est présente à tous les rendez-vous.Sur les 500 éditeurs ayant déposé leurs titres auprès de la Bibliothèque nationale, 267 seulement prennent part au SILA dans l'attente d'une restructuration du secteur de l'édition en Algérie à la faveur de la promulgation de la loi sur le livre.

    Fabius lundi à Oran pour inaugurer avec Sellal l’usine Renault

    07/11/2014 | 15:11

    Le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius, est attendu lundi, à Oran puis à Alger pour participer à l’inauguration de l’usine Renault de Oued Tlelat et coprésider avec M. Emmanuel Macron, ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique, le deuxième comité mixte économique franco-algérien.
    « Ce déplacement illustre le partenariat stratégique fort et confiant que nous avons construit avec l’Algérie. Il concerne les relations bilatérales comme notre coopération sur les questions régionales, par exemple sur le Mali et la Libye à déclaré le chef de la diplomatie française en ajoutant que « notre ambition est aujourd’hui de renforcer notre partenariat économique, notamment en encourageant les projets industriels franco-algériens ».

    « M. Laurent Fabius soulignera en particulier à l’occasion de sa visite nos quatre priorités dans ce domaine : le développement des infrastructures et des transports ; la promotion de projets de villes nouvelles aux normes internationales ; le développement de la coopération en matière de tourisme ; l’innovation en matière d’énergie. Plusieurs entreprises et opérateurs français accompagneront à cette fin les deux ministres ».
    Du côté algérien, c’est Abdélmalek Sellal qui fera le déplacment à Oran. On dit même dans son entourage que c’est lui qui aura l’insigne honneur de conduire la première voiture Algérienne sur un circuit aménagée pour l’occasion. Les préparatifs en vue de l’inauguration de cette usine vont bon train à Oran, où le wali est à la manœuvre depuis plusieurs jours.
    Le réalisation de cette usine en un temps relativement court est un des exemples les plus aboutis de ce « partenariat privilégié » entre l’Algérie et la France. Et les relations entre les deux pays, généralement soumises à une logique de météo, alternant embellies et orages, ne se sont jamais si bien portées que depuis l’arrivée de François Hollande aux affaires. Jeudi soir encore , lors de son passage sur l’émission de TF1, le président Hollande a rendu hommage pour les autorités algériennes pour les efforts faits après l’assassinat de l’alpiniste Hervé Gourdel en Kabylie.

    Gaz de schiste:L’Algérie a juste signé des contrats d’exploration

    05/06/2014 | 20:17
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    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal a affirmé, jeudi à Alger, que l’Algérie n’a signé aucun contrat concernant l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels.
    Il a précisé, en réponse aux députés de l’Assemblée populaire nationale (APN), au terme du débat sur le plan d’action du gouvernement précisant, que les contrats signés récemment concernent le seul volet de l’exploration.
    Sellal a, dans le même sillage, assuré que « la nouvelle loi sur les hydrocarbures comporte toutes les dispositions requises concernant la protection de l’environnement » tout en soulignant que la loi en question prévoit des dispositions en vue de la protection et de la préservation des ressources aquifères.
    Le Premier ministre a demandé aux députés de ne pas demeurer prisonniers de visions économiques erronées, précisant que l’exploitation du gaz de schiste doit se faire dans une perspective de long terme et que l’Algérie s’attelle à former la ressource humaine nécessaire à l’exploitation de cette source énergétique.

    18 mois avec sursis pour le fils d’un député et dirigeant du FLN
    qui a agressé des gendarmes

    Novembre 7, 2014 4:42



    Le tribunal de Cheraga, dans la wilaya d’Alger, a traité, hier, une affaire impliquant un certain Zakaria Bouguettaya, fils du député et membre du Comité central du FLN, Sadek Bouguettaya.

    Le concerné, dans le procès qui s’est tenu à huis clos, s’en est pris à des gendarmes, par des insultes et mêmes coups, et s’en est sorti quand même qu’avec une peine de 18 mois de prison avec sursis. Il a été relâché durant la même l’après-midi.

    L’affaire remonte, selon le quotidien arabophone «El Khabar» au 28 octobre dernier, lorsque une patrouille de la gendarmerie a arrêté, dans la région de Bouchaoui, le concerné en compagnie d’une fille, pour un délit d’ «atteinte à la pudeur». Mais lorsque les gendarmes lui ont demandé ses papiers, celui-ci a sèchement refusé avant de proférer des insultes à l’endroit de l’un d’eux et d’asséner un coup de tête à un autre gendarme. Zakaria Bouguettaya s’est, par la suite, bagarré avec l’ensemble des gendarmes présents, avant qu’il ne soit maîtrisé. Il a aussitôt été arrêté et mis en détention, avec la fille qui l’accompagne et un autre ami à lui, à la prison d’El harrach.

    Le procureur de la République avait requis deux ans de prison ferme contre le principal accusé. Mais lors de son passage, hier, devant la juge du tribunal de Cheraga, qui, a décidé que le procès se tienne à huis-clos, loin des regards des journalistes présents. L’accusé s’en est sorti avec une condamnation de 18 mois de prison avec sursis. Une peine qui semble, pour beaucoup d’observateurs, vraiment clémente par rapport aux accusations portée au fils du député FLN, et membre du Comité central de ce même parti, d’atteinte à corps constitué.

    Le cinéma algérien n’existe pas en tant que cinématographie nationale
    Cherif Aggoune. Réalisateur



    le 07.11.14 | 10h00




    Lauréat du meilleur scénario de la 11e édition du Festival marocain international du film transsaharien de Zagora pour son film L’héroïne, Cherif Aggoune porte un regard critique sur le cinéma algérien .


    -Votre film L’Héroïne a reçu le Prix du meilleur scénario à la 11e édition du Festival international du film transsaharien de Zagora organisé au Maroc. Vous attendiez-vous à une telle consécration ?


    Suite:
    CAN-2015:La CAF accentue la pression sur le Maroc


    le 07.11.14 | 10h00



    La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé, hier sur son site, le début de l’opération d’accréditation pour les médias souhaitant couvrir la compétition de la CAN, prévue du 17 janvier au 8 février prochain au Maroc.
    Une manière de forcer encore plus la main au gouvernement marocain, qui avait émis le vœu, le 10 octobre dernier, de reporter cette compétition à une date ultérieure en raison de sa crainte de la propagation de l’épidémie du virus Ebola qui a coûté la vie à 5000 personnes à ce jour. L’instance suprême du football africain n’a pas attendu l’expiration de l’ultimatum, prévu demain, 8 novembre. Dans son communiqué mis en ligne, hier vers les coups de 12h, la CAF annonçait que «La Confédération africaine de football (CAF) a le plaisir d’annoncer que le processus d’accréditation des médias souhaitant couvrir la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations Orange, Maroc 2015, est ouvert du 6 novembre au 7 décembre 2014.»
    Le communiqué a même confirmé que la compétition, prévue du 17 janvier au 8 février 2015, aura bel et bien lieu au «Maroc dans les villes d’Agadir, Marrakech, Rabat et Tanger.» Du côté marocain, on n’a toujours pas annoncé si oui ou non le Maroc abritera la CAN 2015. Le ministre des Sports marocain, Mohamed Ouzzine, avait déclaré mercredi à Rabat que son gouvernement prendra le temps de la réflexion avant de répondre. «C’est une décision stratégique et importante qui demande de la patience et une réflexion profonde», a-t-il dit. Lundi dernier, la Confédération africaine de football avait adressé un ultimatum au Maroc, le sommant de se prononcer sur son engagement à organiser ou non la 30e édition de la CAN. La CAF avait envisagé, en cas de désistement du Maroc, de faire jouer cette compétition dans un autre pays à la même date, ou de son annulation pure et simple.
    Le Tunisien Tarek Bouchammaoui, membre du comité exécutif de la CAF avait annoncé, hier, à partir de Tunis, sur Radio Mosaïque FM, que deux pays étaient prêts pour l’organisation de la CAN en cas de désistement du Maroc, mais il a pris soin de ne pas dévoiler leurs noms. Une réunion du comité exécutif de la CAF est programmée pour le 11 de ce mois au Caire afin de clore définitivement le dossier de l’organisation de la CAN-2015. Pour l’heure, le tirage au sort de la compétition est toujours fixé au 26 de ce mois à Rabat.




































































































    Dernière modification par zadhand ; 14/11/2014 à 21h31. Motif: Radar de Maghreb-Sat 07/11/2014
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    FLASH INFOS : 14/11/2014

    A la une/Actualité

    Bouteflika serait hospitalisé en France





    Selon le site du journal français "Le Dauphiné libéré" («ledauphine.com»), le président Abdelaziz Bouteflika serait hospitalisé dans une clinique de la ville de Grenoble (sud-est de la France). Toujours selon la même source, le chef d’Etat aurait été admis, depuis quelques jours, à la clinique d’Alembert « qui fait partie du Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble ».


    Photo de la clinique d'Alembert (©D.R)

    Il y est précisé qu’ « qu’un étage entier de la clinique a été réservé à son usage, très probablement pour des raisons de sécurité ». « ledauphine.com » indiquera également qu’une compagnie de CRS s’est déployée ce vendredi, à 15h (GMT+1), autour de la clinique.

    Vidéo publiée par "ledauphine.com"


    18 h 25 : le responsable du service de cardiologie et maladies vasculaires dans lequel Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé exerçait au Val de Grâce avant d’arriver à Grenoble il y a quelques mois. Pour mémoire, le président algérien a été hospitalisé au Val de Grâce pendant deux mois et demi à l’été 2013 à la suite d’un accident vasculaire cérébral.

    18h15 : Interrogée au sujet de ces informations, la présidence algérienne ne les a pas confirmées, se bornant à indiquer qu’un communiqué serait publié dans la soirée.
    18 heures : c’est dans un service de cardiologie et de maladie vasculaire qu’Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé à Grenoble.
    17H25 : De sources concordantes, le Dauphiné Libéré vient d’obtenir confirmation que Abdelaziz Bouteflika a été admis jeudi au sein du groupe hospitalier mutualiste. Par ailleurs, des renforts de police sont arrivés devant la clinique il y a quelques minutes et des barrières métalliques sont mises en place actuellement pour constituer un périmètre inaccessible au public et aux journalistes.

    16H00: Selon nos informations, M. Bouteflika a été admis en milieu de semaine à la clinique d’Alembert, qui fait partie du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble. La pathologie pour laquelle a été admis le président algérien n’est pas connue, mais on sait qu’un étage entier de la clinique a été réservé à son usage, très probablement pour des raisons de sécurité. Vers 15 heures aujourd’hui, une compagnie de CRS était déployée autour du bâtiment et dans le quartier, a constaté un photographe du Dauphiné Libéré.
    Contactée, la direction du Groupe hospitalier mutualiste n’a pas fait de commentaires : «Nous n’avons rien à dire sur aucun patient », a déclaré un responsable.
    Abdelaziz Bouteflika est âgé de 77 ans et a été réélu pour un quatrième mandat le 17 avril dernier. Victime d’ennuis de santé à répétition depuis qu’il avait frôlé la mort à la suite d’un ulcère hémorragique en 2005, le président algérien a notamment été victime d’un accident vasculaire cérébral en avril 2013. A l’été 2013, il a été hospitalisé pendant deux mois et demi en France (au Val de Grâce et aux Invalides).
    La santé du président Bouteflika fait l’objet de continuelles supputations et controverses en Algérie. Aujourd’hui, il ne se déplace plus qu’en chaise roulante. « Je vais beaucoup mieux », a-t-il confié le 7 octobre à un ami diplomate qu’il a reçu dans son nouveau quartier général, équipé d’une clinique, ainsi que le rapportaient nos confrères de Jeune Afrique le 12 novembre.
    Lundi, il a reçu à Alger Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères.

    Par Denis MASLIAH, Vanessa LAIME et Benoît BOUY | Publié le 14/11/2014 à 17:30 Vu


    Politique


    Loi de finances pour 2015:l’exécutif et le législatif ont-ils négocié?
    Pouvoir,Algerie,Gouvernement,Assemblée,Députés,Loi De Finances 2015,Gouvernement Sellal



    Avant de passer au vote d’adoption de la loi de finances pour 2015, les députés ont voulu y inscrire une augmentation de leur pension de retraite et la possibilité, pour eux, de bénéficier de logements promotionnels et de crédits sans intérêts.



    Il y a longtemps que le citoyen ne croit plus à l'indépendance des députés algériens.



    On leur a promis le privilège de crédits sans intérêts, mais celui-ci ne sera pas intégré à la loi de finances ; cette concession résulte du souhait de motiver les élus et de s’assurer de leur présence aux débats (Mustapha Hammouche-quotidien Liberté).
    Normal, disent les citoyens : "Ces gens-là sont là pour se servir et non pas servir !". D’ailleurs, les débats se déroulant dans l’hémicycle, retransmis ou pas à la télévision, n’intéressent que les députés ou leurs familles proches, ravis de "leurs effets de robe". Quoique. En effet, et c’est du jamais vu à l’Assemblée Populaire Nationale : lors de l’examen de projet de loi de finances pour 2015, le député indépendant, Habib Zagad c’est son nom, s’en est pris, violemment, au Président de l’APN, Larbi Ould Khelifa qui, selon ledit député, n’a rien de démocrate.
    Poussant plus loin "son coup de gueule", le député, entré décidément en dissidence, a brossé lors de la séance plénière de l’Assemblée, un tableau, plutôt sans complaisance, de la situation actuelle du pays, caractérisée a-t-il tenu à le rappeler "par l’absence remarquée du président de la République !".

    Suite :
    h**p://www.lematindz.net/news/15653-loi-de-finances-pour-2015-lexecutif-et-le-legislatif-ont-ils-negocie.html

    Baisse des recettes pétrolières:le gouvernement Sellal tourne en rond Bouteflika,Algerie,Hydrocarbures,Récession,Rente,P étrolière,Gouvernement Sellal,Dépendance Aux Hydrocarbures

    Les pays exportateurs de pétrole se réuniront fin novembre 2014 pour examiner les conséquences de la baisse du cours du pétrole sur les économies des membres, estimée à prés de 25% en moins de six mois. En effet, leur rencontre du 11 juin dernier n’a semble-t-il pas su prévoir une telle chute des cours en si peu de temps. Ils avaient estimé que les prix du brut sont à un niveau confortable pour les pays producteurs et consommateurs ainsi que pour l’industrie pétrolière avait déclaré à l’époque Ali al-Nouaïmi, qui ne s’attendait dorénavant à aucune décision sur le plafond de production, fixé à 30 millions de barils par jour (mb/j) depuis fin 2011.


    Le gouvernement Sellal est en train de conduire l'Algérie droit dans le mur


    En dépit des assurances données par son ministre des Finances, l’Algérie avait dépêché des émissaires auprès du royaume saoudien, croyant encore à son leadership pétrolier. Bien que de nombreux experts tentent d’imputer cette situation à la récession de l’économie mondiale notamment aux pays émergents avec à leur tête la Chine qui a perdu beaucoup en croissance, près de 7%, Les manœuvres politiques ont joué à tirer les prix du brut vers le bas. Qui tire les ficelles de cette stratégie baissière ? A-t-elle un caractère structurel ? Quelles sont les conséquences immédiates sur les pays fortement dépendant des recettes pétrolières ?


    Suite:
    h**p:Baisse des recettes pétrolières: le gouvernement Sellal tourne en rond | Analyse

    Culture
    Lounis Aït Menguellet:toujours aussi sculpteur des mots
    Algerie,Chanson Kabyle,Ait Menguellet


    Lounis Aït Menguellet est un fou. Il parle au jour, il parle à la nuit. Il a dépassé la soixantaine, il est presque vieux, il continue tout de même à s’intéresser à toutes les générations. La sienne et celles de ses enfants. Il s'intéresse, bien entendu, au devenir de ses concitoyens. Ça, c'est Lounis, le politique. Ce qu'il haït.

    Lounis Aït Menguellet


    Lounis Aït Menguellet a commencé à nous enquiquiner à la fin des années 1960. Depuis, il n'a jamais dévié de son sentier qui mène de Ighil Bwamas à son cerveau. Cette tête inégalable, cet esprit si affûté, qui nous fait partir, qui nous emmène vers les herbes, les ruisseaux, la vie.Dans l’album "Isefra", sorti en 2014, Lounis cultive l’ambigüité. Dans la chanson "Eddine amchum". Parle-t-il de Dieu, de la religion ou des dettes ? Il est ainsi Lounis, il nous livre à chaque nouvel album des questions insurmontables. Il nous met au bord d’une falaise ou d’un mont à escalader. Ses dernières chansons, enregistrées en Algérie ont déferlé sur le web. Pour démêler l’écheveau d’Aït Menguellet, le Matindz tente de le faire parler.Le Matindz: Tu as annoncé plusieurs fois ton retrait, ta retraite. Tu arrêtes de chanter ?
    Lounis Aït Menguellet : Je n'y pense pas. Tu veux que je te dise, lorsque j’écris une chanson, je n’imagine jamais la suivante. Lorsque je me produit en gala, je ne suis jamais certain d’en organiser un prochain. Les rumeurs et les polémiques peuvent toujours courir les rues du pays."Nedjayawen amkan", "on vous a laissé la place"…
    Eh bien oui…Lounis, C’est peut-être ton lot, les coups durs, ça te connaît. Quelques-uns t’ont valu beaucoup de déboires…
    Beaucoup de monde est dans une logique d’affrontement. Je ne le suis pas. Je peux me bagarrer quand cela s’avère nécessaire, pour une cause, pas pour me faire voir.Tu es quand même tiède. Tu n’es pas réputé pour être un grand militant….
    Quand un combat s’impose, j’y vais. Je n’ai jamais dévié ni fait machine arrière. S'il faut prendre un fusil pour défendre les libertés ou la dignité, je le ferai, pourquoi pas ? En réalité, c’est presqu’un axiome : Tous les militants qui ont permis aux peuples de glaner quelques droits sont restés et sont morts dans l’ombre.Lounis, pourquoi chantes-tu souvent les fous ?
    Parce qu’il n’y a pas plus lucides que les fous. Un fou dans un village de gens lucides restera un fou. Un homme lucide dans un village de fous sera considéré comme fou. Où se situe la frontière entre la lucidité et la folie ?
    On a dit de Slimane Azem que son don pour la chanson était immanent. Dieu t’a-t-il donné quelque chose ?
    C’est possible mais ce qui me semble plus vrai c’est la transcendance, le vivant, la curiosité, ce qui alimente le quotidien…Qu’arrive-t-il à la chanson kabyle, pourquoi elle ne dit plus rien ?
    Elle est victime du syndrome de la croissance. Je ne me prétends pas universel, poète, mais on ne peut pas m’empêcher de m’alimenter. L’intertextualité est une nécessité créative vitale. Toute chanson renouvelant une précédente apporte quelque chose de nouveau.Le web et les pirates vont finir par avoir ta peau…
    Le piratage massif, ces choses que le fan ne voit pas, c’est notre lot.Tu te fais souvent produire par les organismes d’Etat. Ça te convient ?
    J’ai le sens de l’Etat, je respecte cela. Beaucoup de producteurs de spectacle de bonne volonté se lance dans l’organisation de galas qui ramènent trois chats. Ils n’ont pas les mêmes reins que l’Etat. L’Etat peut organiser un spectacle à perte.Lounis, tu seras retraité un jour ?
    Si après chaque album, il y en a autre. Si après chaque gala il y en a un autre, où vois-tu la retraite ?Quand on s’appelle Aït Menguellet, on est souvent sollicité voire obligé de faire dans l’humanitaire. Te sens-tu impliqué par les grandes causes ?
    Bien sûr. J’ai même consacré des années aux actions de bienfaisance. Je le fais encore, quand je peux, mais je le fais moins qu’avant, mes possibilités n’étant plus les mêmes.Il me semble que ton choix, ton nom fait obligatoirement de toi un militant, un leader.
    Je ne suis pas un leader, prendre un fusil, pourquoi pas si c’est pour une cause juste ? Les vrais militants, les gens qui se sont battus pour de bonnes causes se sont toujours tus, sont restés dans l’ombre.Qui sera avec toi, le 11 janvier 2015 au Zénith de Paris ?
    Mon fils Djaffar. On se comprend et on se complète. Je crois qu’il serait déraisonnable de chercher ailleurs ou autre chose.Entretien réalisé par Meziane Ourad


    "Foot et immigration,100 ans d'histoire commune": le regard lucide d'Eric Cantona
    France,Football,Immigration



    Le football nous apprend toujours des choses. Albert Camus ne se trompait quand il avouait qu'une bonne partie de ce qu'il avait assimilé sur la vie, il l'avait glané sur les terrains de football.

    Zineddine Zidane et Eric Cantona.


    Le film que vient de réaliser l'ancien footballeur, Eric Contana, intitulé, "Foot et immigration, 100 ans d'histoire commune", confirme les propos de l'auteur inspiré du texte poétique, Noces. Projeté au musée de l'Histoire de l'immigration du Palais de la Porte dorée que dirige le grand historien Benjamin Stora, le 12 novembre 2014, le film d'Eric Cantona passera sur Canal Plus le dimanche 16 novembre 2014 à 20h 50. Le mérite de ce documentaire c'est celui de nous expliquer les problèmes actuels par une belle plongée dans l'Histoire. Oui, l'immigration a beaucoup apporté à la France ; oui, on a toujours stigmatisé cette immigration qui réussit, dans bien des cas, la prouesse de se surpasser pour exister. De Raymond Kopa à Mamadou Sakho, tant de footballeurs d'origine étrangère ont porté le maillot tricolore, souvent avec bonheur. Naturalisé à 21 ans, le Polonais Kopaszewski a beaucoup contribué à l'obtention de la troisième place de la France durant la coupe du monde 1958. Les footballeurs algériens avaient raté de peu cette coupe du monde ; ils avaient rejoint, peu auparavant, l'équipe du FLN. En 1954, l'Algérien Bentifour avait joué le mondial avec l'équipe de France ; il était dans l'équipe de France qui avait battu à Genève, le 19 juin 1954, le Mexique 3 à 2. Kopa avait, comme les siens, même travaillé à la mine avant de devenir un grand footballeur qui a marqué l'histoire de ce sport. Roger Pantioni, un autre héros de la coupe du monde 1958, lui, est né dans la Meuse ; ses parents viennent d'Italie, comme Michel Platini. Italiens et Polonais ont souvent joué au football dans les cités pour passer le temps, nous explique le film.Jean Tigana, né au Mali, construit un discours impressionnant dans ce documentaire : tout en revenant sur une longue histoire familiale, il pointe le doigt sur tout ce qui ne marche pas aujourd'hui. Luis Fernandez raconte avec émotion et humour, ses origines espagnoles et son amour de la France. Zineddine Zidane se souvient de ses entraîneurs généreux qui l'avaient aidé à devenir une idole. Pour lui, les racines sont importantes. Mais c'est surtout son père Smaïl qui sait trouver les mots justes pour aller à l'essentiel. Après avoir travaillé près de dix ans, à Saint Denis, dans la région parisienne, Smaïl Zidane avait décidé de rentrer en Algérie durant l'été 1962. Mais à Marseille, il devait attendre trois jours avant le départ du bateau. Et c'est là qu'il rencontre la femme de sa vie ; il reste donc à Marseille et fonde une famille. Smaïl Zidane insiste beaucoup dans ce documentaire sur l'importance de la Kabylie, de l'Algérie. Témoignage extraordinaire, la mère d'Eric Cantona, dit en pleurs, l'histoire de sa famille de résistants à la dictature en Espagne ; ainsi est racontée, avec lucidité, cette tragédie des camps installés en France pour les nombreux réfugiés espagnols. Autrefois, on ne chantait pas l'hymne national ; le film nous apprend que chanter l'hymne national sur un terrain de football est une pratique toute récente. Pendant 90 minutes, Eric Cantona, dont le père vient de Sardaigne, nous fait voyager ; son documentaire est une ode au partage, au vivre-ensemble, aux valeurs humaines qui arrivent toujours à vaincre la haine.
    Youcef Zirem

    A la une/Sports
    Éliminatoires CAN 2015



    La CAF trouve enfin le remplaçant du Maroc

    La Guinée Equatoriale désignée pays hôte de la CAN ORANGE 2015




    novembre 2014 11:35



    Le Caire, 14 novembre 2014. Le Chef de l’Etat et Président de la République de Guinée Equatoriale, M. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, a reçu en audience le Président de la CAF M. Issa Hayatou ce vendredi 14 Novembre concernant la possibilité pour la Guinée Equatoriale d’abriter la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015.



    Suite à des échanges fraternels et fructueux, le Chef de l’Etat Equato-Guinéen a donné son accord pour l’organisation de la compétition du 17 janvier au 8 février 2015.




    Par conséquent, le Comité Exécutif de la CAF confirme que la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015 aura lieu en Guinée Equatoriale aux dates arrêtées, et que l’équipe nationale de Guinée Equatoriale est qualifiée pour le tournoi final en tant que représentante du pays hôte.



    Les 4 sites retenus pour la phase finale sont Malabo, Bata, Mongomo et Ebebiyin.



    Le tirage au sort de la phase finale sera effectué le mercredi 03 Décembre 2014 à Malabo, en Guinée Equatoriale.



    Le Comité Exécutif de la CAF et son Président Issa Hayatou saisissent cette solennelle opportunité pour exprimer leurs sincères remerciements et leur profonde reconnaissance au peuple Equato-Guinéen, à son gouvernement, et particulièrement à Son Excellence le Chef de l’Etat et Président de la République de Guinée Equatoriale, M. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

    La CAN-2015 maintenue:le Maroc disqualifié





    Dans un communiqué publié hier sur son site Internet en marge de la réunion de son bureau exécutif, la CAF a officialisé la délocalisation de la CAN-2015 et la disqualification du Maroc de cette épreuve. “Ayant notifié le 3 novembre dernier sa décision ferme et unanime de maintenir la compétition aux dates indiquées, le Comité exécutif confirme que la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015 n’aura pas lieu au Maroc. Aussi et suite au refus de la partie marocaine, le Comité exécutif décide que l’équipe nationale du Maroc est automatiquement disqualifiée et ne pourra prendre part à la 30e édition de la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015”, indique le communiqué. Et d’ajouter : “Le Comité exécutif a pris note de la réception, le 10 novembre 2014, de quelques candidatures d’associations nationales confirmant leur souhait d’organiser la compétition 2015 aux dates arrêtées.
    Ces candidatures sont actuellement à l’étude et le Comité exécutif finalisera la sélection de l’association nationale retenue sous peu, et confirmera le lieu et la date du tirage au sort de la phase finale par la même occasion.” En outre, la CAF promet des sanctions contre le Maroc. “La Commission d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations Orange appliquera ultérieurement les dispositions règlementaires qui s’imposent, suite au non-respect par la Fédération royale marocaine de football des clauses réglementaires et contractuelles, dont celles stipulées dans l’accord-cadre signé entre la CAF et la Fédération royale marocaine de football en avril 2014.”
    Par ailleurs, le communiqué de la CAF indique que “le Comité exécutif confirme donc le maintien des journées éliminatoires 5 et 6 qui auront lieu au courant du mois (14/15 novembre et 19 novembre), permettant la qualification des 15 équipes qui se joindront à la sélection nationale du pays hôte”.
    Reste à connaître maintenant le pays qui va abriter la CAN-2015 ? L’Égypte, le Nigeria, le Gabon ou encore l’Angola ? La CAF étudie les possibilités, mais hier, au moment où nous mettions sous presse, aucune décision n’avait été prise mais il semblerait qu’en raison de la situation sécuritaire au Nigeria, ce pays paraît out déjà.
    L’Égypte serait le favori pour remplacer le Maroc d’autant plus que le président de la CAF, Issa Hayatou, a déclaré que ce pays était capable d’accueillir la CAN.





    La Tunisie qualifiée



    La Tunisie est officiellement qualifié pour la prochaine Coupe d'Afrique

    des Nations (CAN-2015) de football. C'est le quatrième pays qualifié après l'Algérie, le Cap Vert et le pays organisateur, la Guinée Equatoriale. La Tunisie a obtenu son billet grâce au nul obtenu, ce vendredi, face au Botswana (0-0) à Gaborone en match de la cinquième journée des éliminatoires, groupe G. Avec ce point récolté, la Tunisie consolide sa place de leader du groupe avec 11 points devant le Sénégal (7 pts) , l'Egypte (6 pts) alors que le Botswana reste dernier avec un seul point . L'autre match de ce groupe opposera l'Egypte au Sénégal samedi au Caire.

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