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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

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    FLASH INFOS : 26/09/2014

    Tizi Ouzou : Rassemblement en hommage à Hervé Gourdel




    Un rassemblement a été organisé ce jeudi, 25 septembre, devant l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou par des citoyens, des étudiants et des militants du MAK (Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie) pour rendre hommage à Hervé Gourdel, exécuté, hier, par un groupe terroriste appartenant à la nébuleuse de Etat Islamique (EI).


    A 11H00, des manifestants se sont rassemblés devant l’entrée de l’université. Ils ont brandi des photos du défunt et sur lesquelles on pouvait lire « Hommage à Hervé Gourdel !». De nombreux jeunes se sont accroupis par terre et allumé des bougies à sa mémoire. Deux manifestants ont tenu une large banderole faisant face à la rue principale, sur laquelle est écrit : «Halte aux kidnappings et à l’insécurité en Kabylie !», pour dénoncer les nombreux actes d’enlèvement perpétrés dans la région depuis 2005.

    Le commun des citoyens a tenu à dénoncer l’assassinat ignoble du touriste français. «Les terroristes qui ont commis cet acte infâme veulent salir la Kabylie et l’Algérie. Nous condamnons fermement cette sale besogne perpétrée par des criminels qui sont étrangers à la région. Nous sommes ici pour nous recueillir sur sa mémoire et présenter nos condoléances à sa famille», a clamé un jeune manifestant à travers d’un mégaphone. «Plus de 80 kidnappings ont été enregistré dans la wilaya de Tizi Ouzou et aucune affaire n’a été élucidée jusqu’à aujourd’hui», renchérit un autre.
    Vers 12H30, les manifestants se sont dispersés dans la calme.


    La France maintient ses opérations militaires contre l’EI

    Après la décapitation d’Hervé Gourdel


    Un pilote français aux commandes d’un Rafale lors d’une mission en Irak.

    La France continuera ses frappes aériennes et ses opérations militaires contre les positions de l’Etat islamique (Daech). C’est la réponse du président français au groupe terroriste Jund Al Khilafah, qui a décapité Hervé Gourdel.


    Paris
    De notre correspondant
    «Notre compatriote a été assassiné lâchement, cruellement, honteusement», a déclaré, ému, François Hollande, hier soir depuis New York, où il participe à un sommet de l’ONU sur le climat. «Hervé Gourdel a été victime d’un crime odieux dont les auteurs devront être châtiés», a-t-il ajouté. Il a pris ensuite un ton plus ferme pour affirmer que «cette agression contribue à renforcer notre détermination, la France ne cédera jamais au terrorisme».Il a assuré ses alliés américains que «les opérations menées par la France vont se poursuivre le temps nécessaire» pour atteindre leurs objectifs. Il a ensuite confirmé cette position dans une tribune aux Nations unies.
    La classe politique française, tous courants confondus, a réagi solennellement pour dénoncer les images épouvantables et effroyables de la décapitation d’Hervé Gourdel, diffusées sur YouTube par les terroristes de Jund Al Khilafah.

    Pour sa part, le maire de Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes), commune où vivait le défunt, a reproché au gouvernement français de ne pas avoir négocié la libération de son concitoyen. Tout en se disant «effondré par la barbarie des terroristes», Henri Giuge s’est emporté devant la presse qui lui demandait s’il mettrait les drapeaux en berne. «On ne peut pas mettre des drapeaux en berne et ne rien avoir fait pour qu’Hervé Gourdel subsiste. Je suis en colère contre tout le monde. La négociation n’est pas la voie choisie par le gouvernement français. J’ai peur pour la France. Peut-être qu’il ne fallait pas s’engager dans ce conflit», a-t-il martelé.Du côté de la communauté musulmane de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a rendu public un communiqué de presse où il se dit «horrifié par l’annonce dramatique», indiquant qu’«Hervé Gourdel vient d’être odieusement exécuté par ses ravisseurs».
    Le parquet de Paris s’est saisi de cette affaire et a ouvert une enquête qui portera sur les faits d’assassinat en lien avec une entreprise terroriste.


    L’Algérie dénonce un «acte abject et odieux»

    Comme première réaction à l’assassinat du touriste français, Hervé Gourdel, le gouvernement a qualifié cet acte d’«odieux et abject», ajoutant que c’est avec «beaucoup de peine et de tristesse» qu’il avait appris l’assassinat de l’otage.


    «Dès l’enlèvement (dimanche) du ressortissant français, les autorités algériennes ont mobilisé toutes les énergies et tous les moyens humains et matériels pour libérer l’otage», a indiqué, dans un communiqué, le gouvernement en réitérant sa «détermination à poursuivre lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes». Avant la réaction du gouvernement, le ministère de la Défense avait diffusé un communiqué pour rappeler sa détermination à «poursuivre la lutte» contre le terrorisme. «Depuis que des informations sont parvenues portant sur l’enlèvement d’un ressortissant étranger par un groupe terroriste au niveau de la zone de Djurdjura, les forces de l’Armée nationale populaire (ANP) ont déclenché des opérations de ratissage et de recherche de grande envergure, en déployant tous les moyens humains et matériels nécessaires en coordination et en coopération avec les différents services de sécurité, en vue de retrouver le ressortissant enlevé et neutraliser ces criminels», a indiqué le MDN dans un communiqué. «Le MDN affirme une nouvelle fois que les opérations de lutte antiterroriste et la poursuite de ces criminels où qu’ils se trouvent, demeurent toujours en vigueur avec abnégation et détermination, jusqu’à leur élimination totale et la purification du pays de leurs actes abjects», ajoute le ministère, qui n’a cependant pas évoqué l’exécution de l’otage français.

    Relogement de 589 familles

    Bidonville de Bouabbaz (Skikda)



    Cinq-cents quatre-vingt-neuf familles (589) du bidonville de Bouabbaz, dans la ville de Skikda, ont finalement bénéficié de logements après plusieurs décennies d’attente et de fausses promesses.


    L’opération de recasement a été entamée hier pour concerner un premier quota de 200 logements. Selon un cadre de l’OPGI,
    cette opération devra immédiatement se poursuivre pour comprendre les 589 familles concernées. «L’opération s’achèvera dans cinq jours » précise-t-il.Au sujet des lenteurs enregistrées dans la distribution de ces logements, la même source rapporte qu’elles (les lenteurs) ont été essentiellement causées par l’engagement de plusieurs opérations d’aménagement du site. «On ne pouvait pas donner les clés aux bénéficiaires pour les laisser par la suite dans la gadoue et dans l’obscurité», explique-t-on.
    Le recasement a touché, dans sa grande majorité, les habitants du site dit Front de mer, qui domine le bidonville de Bouabbaz. L’assiette dégagée a déjà été retenue pour abriter le projet du lycée de Bouabbaz, ainsi que d’une bibliothèque. L’opération, qui a mobilisé des moyens humains et matériels, n’a cependant pas fait que des heureux. Une partie des habitants du bidonville, qui n’a pas été concernée, a tenté dans la matinée d’hier de dresser des barricades pour entraver les opérations de démolition des gourbis, et quelques jeunes ont même jeté des pierres sur les policiers présents sur les lieux. Mais globalement, le recasement s’est poursuivi sans heurts particuliers.
    A relever que Bouabbaz est l’un des plus anciens bidonvilles de Skikda. Son implantation remonte aux années 1950, quand les militaires français avaient décidé de «déporter» les habitants de Oued Bibi, à l’ouest de Skikda et de les entasser dans des baraquements à Bouabbaz, pour couper le lien que ces algériens entretenaient avec les moudjahidine. A ce jour, on trouve à Bouabbaz plusieurs générations qui se sont succédées et vécu dans le même gourbi construit en 1955. Avec l’éradication d’une grande partie de ces gourbis, Skikda vient de se défaire d’une tache noire, qui a de tout temps enlaidi son paysage urbain. Puissent ces efforts se poursuivre pour redorer le blason d’une ville dite, méditerranéenne.




    Après une disparition de 4 jours Une fille de 16 ans retrouvée réfugiée sur… un arbreN. B. O., une fille âgée de 16 ans, disparue depuis samedi dans la commune d’Illiltène, à 70 km au sud de Tizi Ouzou, a été miraculeusement retrouvée vivante, mardi soir vers 21h30, après avoir passé 4 jours sur un arbre, perchée à plusieurs mètres du sol. Selon ses parents, elle a été retrouvée vivante, mais très faible et déshydratée. Transférée par la Protection civile d’Aïn El-Hammam vers le centre de santé d’Iferhounène, elle a été placée en observation. N. B. O. a été retrouvée à 2 kilomètres de chez elle par un villageois qui avait entendu la fille tousser en haut d’un arbre, avant d’alerter les villageois et la Protection civile qui ont procédé à son évacuation.

    Pour des raisons qui restent inconnues
    Le site du Cned français inaccessible depuis l’Algérie


    Le site Internet du Centre national français d'enseignement à distance (Cned), un établissement public du ministère de l'Éducation nationale français, est inaccessible depuis l’Algérie alors qu’il est consultable partout dans le monde, ont relevé des utilisateurs qui s’interrogent sur l’origine de “ce blocage énigmatique !”

    Mouloud Hamrouche interdit de conférence à Tlemcen


    La section Chlef de la Ligue algérienne des droits de l'Homme nous a fait parvenir le communiqué dans lequel elle s'élève contre l'interdiction par le pouvoir de la conférence de Mouloud Hamrouche.
    La conférence de Hamrouche interdite par les autorités.
    Le pouvoir n'aime pas la liberté d'expression et le débat public. A preuve ? l'ancien chef de gouvernement vient de subir une interdiction de parler en public. Dans un communiqué la LADDH Chlef "dénonce des mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh dont les objectifs vont à l’encontre du discours officiel. Après le service de la Direction de la réglementation et des affaires générales (D.R.A.G) de la wilaya de Tlemcen vient de refuser verbalement la demande d'autorisation pour le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen, pour la tenue d’une conférence sur le thème «L’Etat algérien et les défis de la mondialisation", animée par l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, à l’hôtel Pomaria".Le pouvoir est dans les déclarations dithyrambiques sur la liberté de la pression et la démocration mais pas dans les faits. Bien au contraire. La Laddh rappelle que les contradictions des autorités du pays. "Ces mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh (...) vont à l’encontre du discours officiel.", écrit cette organisation.Par ailleurs écrit Houari Kadour, "la Laddh Chlef exprime sa totale solidarité avec le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen dans ce combat quotidiennement pour enraciner la culture des droits humains et des valeurs universelles". Et "demande aux autorités de mettre fin à ces agissement contraires aux dispositions du Pacte International pour les droits civils et politiques et de la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples ratifiées par l’Algérie."


    L’orientalisme d’Edward Saïd

    Culture

    Depuis la parution du livre-phare du professeur de littérature comparée, Edward Said, L’Orientalisme, réagissant aux discours trop marqués par les jeux de l’exclusion de Bernard Lewis, Huntington et Fukuyama, le monde de la pensée a entamé de sérieuses et nouvelles réflexions sur la question de l’altérité perçue autrement, c’est-à-dire passée au crible fin de la critique et de l’interrogation
    Edward Saïd




    Ce livre est tout d’abord une critique d’un certain orientalisme qui crée l’Orient pour en faire un espace marqué par la barbarie et la sauvagerie. C’est d’ailleurs cette manière de faire et de voir qui a toujours caractérisé la littérature coloniale, mais également le discours de certains auteurs autochtones ou d’autres écrivains extrêmement controversés comme Albert Camus par exemple. Said s’insurge contre ce discours réducteur et propose une redéfinition de l’appareillage conceptuel ciblant les anciennes colonies. C’est dans ce sens que son livre fait date, déconstruisant le regard de l’ « Occident » sur un « Orient » schématisé, stéréotypé , une création de l’imaginaire « occidental », produit d’une vision du « dehors », faisant de l’Autre, un bloc singulièrement pauvre, qui ne pourrait retrouver une certaine humanité que s’il acceptait de se fondre dans l’instance européenne. Mohamed Arkoun va également dans ce sens en évoquant le cas de l’Algérie : "Les Français modernes, représentants des Lumières laïques, ont créé en Algérie le droit de l’indigénat conçu et géré par l’État républicain. L’Autre est ainsi vraiment l’étranger radical, qui ne peut entrer dans mon espace citoyen ou dans mon espace de valeurs religieuses et/ou démocratiques que s’il se convertit ou s’assimile, comme on dit encore à propos des immigrés".Nourri des textes fondateurs de Fanon (Les damnés de la terre ; Peau noire, masques blancs), de Césaire (Cahier d’un retour au pays natal ; Discours sur le colonialisme) et d’Albert Memmi (Portrait du colonisateur) et d’une certaine littérature anglo-saxonne rejetant l’Autre, Edward Said propose une relecture du monde, démontant les mécanismes du fonctionnement du discours colonial traversant les contrées des pratiques sociales, politiques, littéraires et artistiques. Le postcolonialisme qui va par la suite s’enrichir des travaux de Bhabha et de Spivak, apportant une autre manière de lire les réalités coloniales, notamment, à partir des expériences asiatiques et indiennes, propose certes une nouvelle exploration du discours colonial, mais peut tomber dans les pièges du rejet de l’"Occident" considéré comme un bloc, une totalité dépouillée de ses contradictions et de ses luttes, d’ailleurs non défini, ni délimité et du particularisme qui engendrerait une lecture essentialiste du monde, loin des jeux libérateurs et opératoires de l’Histoire. Une lecture fondée sur les jeux de polarités pourrait neutraliser toute lecture sérieuse et altérer la réalité. Avec l’émergence d’idées nouvelles et de débats nouveaux caractérisés par la présence d’interrogations puisées dans les propositions de Deleuze, Foucault, Derrida et Ibn Khaldoun, Ibn Rochd ou Abed el Jabiri, de sérieux positionnements sont possibles, nourris de la positionalité chère à Foucault, de la dissémination (Derrida) ou de la notion de rhizome, mais surtout de Glissant, Said, Mroua et d’Arkoun et de l’idée de transculturalité de Fernado Ortiz rendant désormais obsolète cette histoire d’interculturalité, trop peu engageante.Une autre critique, plus ou moins libérée des canons dominants est-elle possible ? N’y a-t-il pas risque d’une nostalgie et de la célébration d’un passé mythique ?
    Ce livre d’Edward Said est essentiel, fondamental.Et si nous tous, nous nous mettions à discuter de ces questions importantes mettant en jeu les territoires méthodologiques et épistémologiques…












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    FLASH INFOS : 10/09/2014


    L'ANP annonce la destruction du campement du groupe terroriste qui a enlevé Gourdel


    Le campement qui servait d'abri pour le groupe de terroristes lors de l'exécution en septembre de l'otage français, Hervé Gourdel, a été détruit et les équipements qui étaient en leur possession ont été récupérés, indique jeudi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.


    "Le campement qui servait d'abri pour ce groupuscule terroriste, lors de l'exécution de son acte abject a été détruit et les équipements qui étaient en sa possession ont été récupérés", lit-on dans le communiqué.
    Une opération de recherche et de ratissage de "grande envergure" a été engagée par l'Armée nationale populaire (ANP), suite à l'enlèvement, du ressortissant français, le 21 septembre, en "déployant tous les moyens nécessaires afin de retrouver et neutraliser le groupe terroriste qui a commis cet acte odieux", a rappelé la même source.
    Dans sa première phase, cette "opération a permis aux Forces de l'ANP de trouver l'endroit où l'enlèvement du ressortissant français a eu lieu, sur les hauteurs du mont Djurdjura, dans la wilaya de Tizi Ouzou", a-t-on ajouté.
    L'ANP a réitéré sa détermination et sa volonté de poursuivre ces "criminels" jusqu'à leur élimination totale, et précisé que l'opération de recherche et de ratissage était toujours en cours.

    Bouteflika reçoit Lakhdar Brahimi
    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu, hier à Alger, le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi. Cette sortie médiatique du président de la République intervient après des rumeurs persistantes sur son état de santé et des interrogations sur sa disparition des écrans radars. Cette réapparition vise, selon toute vraisemblance, à mettre un terme aux incertitudes et aux spéculations suscitées par son absence sur la scène médiatique.

    Le taux d'intérêt du crédit à la consommation sera
    "très faible"
    Le taux d'intérêt applicable au crédit à la consommation dont la réintroduction est prévue pour 2015 sera "très faible", a annoncé, jeudi à Alger, le ministre de l'Industrie et des mines, M. Abdesselam Bouchouareb.


    S'exprimant en marge de la 18ème Journée nationale de la métrologie, le ministre a déclaré que si le gouvernement a décidé du retour du crédit à la consommation, "c'est pour alléger ce que vit le consommateur au quotidien, donc vous pensez bien que le taux d'intérêt sera très faible".
    Le retour du crédit à la consommation dès 2015 avait été décidé en février dernier dans le cadre de la tripartite afin d'encourager la production nationale, améliorer le pouvoir d'achat des citoyens et contribuer à réduire la facture des importations.
    Accordé par un établissement de financement, ce type de crédit bénéficiera aux ménages pour leur permettre de financer leurs achats de biens à usage domestique mais à condition qu'ils soient issus de la production nationale tels que les produits électroménagers, électroniques, les articles d'ameublement et des matériaux de construction.


    La voix des Hauts-Plateaux s’est tue

    Décès de Samir StaÏfi




    Après avoir lutté contre le diabète des années durant, le téméraire Abdelkrim Belkhier, communément appelé Samir Staïfi, n’a pu résister à la Faucheuse, qui a fini par l’emporter.


    Après un court séjour au CHU de Sétif, le chanteur, âgé de 66 ans, a regagné lundi le domicile familial dans un état critique. Véritable porte-flambeau de la chanson sétifienne, l’artiste a rendu l’âme hier vers 5h, chez lui. La nouvelle de la mort de l’interprète de célèbres tubes, tels que Medi-yeddek, Moul Chech, Khatem Sobaia, N’touma El Amriat, Ouanik ya Aïn Fouara, Fatma, El-Aazbaa Staïfia, s’est répandue comme une traînée de poudre à travers la capitale des Hauts-Plateaux, qui vient de perdre un de ses meilleurs fils.


    Les cœurs sont brisés. La douleur envahit les fans et amis qui pleurent le rossignol. Né en 1948 à Sétif, où il a étudié et grandi, le chanteur avait deux passions, le football et la musique. Avant d’entamer une longue et riche carrière artistique à la fin des années 1960, Samir porta les couleurs de l’ESS, où il occupera par la suite le poste de dirigeant. Samir se fera remarquer par sa belle voix.


    Il se distingua à l’intérieur du pays comme à l’extérieur où il possède des centaines, pour ne pas dire des milliers de fans, par un incommensurable répertoire puisé du terroir. Défenseur acharné de la chanson sétifienne authentique, il avait horreur du «plagiat», des «amalgames» et des «opportunistes». Passionné jusqu’à la moelle, l’ombre de Samir qu’on rencontrait presque chaque matin au centre-ville, plus précisément à côté du café de l’ex-cinéma Variétés, va planer sur les lieux.

    «J’ai le s’taïfi dans les veines. Il vit en moi», tenait à préciser, à chaque occasion, Samir, un grand ami de la presse.
    Ne pouvant vivre loin de la scène et des feux des projecteurs, l’artiste, qui a chanté l’amour, la patrie, la famille et divers autres thèmes, honnissait le mot retraite. En dépit de son état de santé précaire, il a continué à monter sur scène et à répondre aux sollicitations des organisateurs de manifestations culturelles. Avec sa mort, c’est un pilier spécial de la chanson sétifienne qui disparaît.

    Pour nous parler davantage de Samir, on a joint par téléphone en France, où il vit, son ami et complice Bekakchi Khier, qui a trouvé moult difficultés à contenir sa peine et sa tristesse : «Généreux aussi bien sur qu’en dehors de la scène, Samir, que j’ai connu à la Jeunesse du Front de libération nationale (JFLN) dans les années 1960, respectait son art et son public. Je ne trouve pas de mots pour exprimer mon chagrin et ma douleur, car je viens de perdre un frère. La mort de Samir est une grosse perte pour la chanson algérienne, car il se distinguait par un s’taïfi propre à lui. Que Dieu ait son âme.»
    Ami de longue date de Samir, le comédien Nouri Reguim, plus connu sous le surnom de «Camacho», qui a gardé le contact avec le défunt, évoque l’homme : «Malgré les affres de la maladie, Samir est resté courageux et égal à lui-même. Faisant un avec le s’taïfi, il manquera à son public, mais restera à travers son riche et indémodable répertoire, éternel. Il m’est impossible d’effacer de ma mémoire le visage de Samir à l’hôpital.»
    «La chanson sétifienne vient de perdre un géant qu’on ne peut aussi facilement remplacer. Qu’on le veuille ou non, Samir occupait une place spéciale dans le st’aïfi. Allah ya rehmou», témoigne cheb Arras.L’interprète du fameux tube Sid El Khier Aamar lahrar, Tchier Abdelghani, perd sa voix : «On doit tout entreprendre pour continuer l’œuvre de Samir qui a donné une autre dimension à la chanson sétifienne, désormais orpheline.» Bref, Samir, qui avait cumulé plus de 45 ans de scène, a quitté ce bas-monde sur la pointe des pieds. Il repose depuis hier à Si El Khier où une foule nombreuse est venue lui rendre un dernier et vibrant hommage. Repose en paix Ya moul echech…

    Dur, dur d’être au lycée

    Ramdane Djamel et Béni Béchir (Skikda)


    1700 élèves poursuivent leur scolarité dans un établissement conçu pour accueillir 800 élèves seulement l Sans surveillant général, le lycée emploie 91 professeurs, qui se partagent 47 classes et d’autres soucis encore.

    Il est midi. L’unique lycée de la daïra de Ramdane Djamel ouvre son portail pour «libérer» ses 1800 élèves. Chrono en main, il a fallu plus d’un quart d’heure pour faire «évacuer» ce monde juvénile qui, en plus, doit impérativement reprendre les cours à… 13h tapante ! A midi trente, on assiste, médusé, à un étrange carrousel: des dizaines de petites lycéennes reviennent à l’établissement portant toutes un sachet en plastique à la main.
    «C’est mon déjeuner. Dans ce sachet il y a une boite de jus, un paquet de gaufrettes, deux pizzas et une bouteille d’eau minérale», explique une élève inscrite en première année secondaire. Elle habite à Béni-Béchir et ne peut se permettre le ‘luxe’ de rentrer chez elle pour manger au risque de rater ses cours de l’après-midi. Plus de la moitié des élèves de ce lycée habitent en dehors de Ramdane Djamel, à Béni-Béchir et dans d’autres agglomérations secondaires comme Béni-Kbouche, Guessaba, Bontouss et d’autres encore. «Chaque jour, je débourse exactement 110 DA pour manger sans parler des frais du transport», rajoute une autre lycéenne.
    D’autres élèves dépensent moins ou plus, c’est selon les bourses. Certains se contentent d’une simple demi- baguette de pain et de deux portions de fromage. D’autres encore, on les rencontre chez les restaurateurs du coin. Entre un casse-croûte «omelette-frites», facturé à 100 DA et une «Loubia» bien chaude à 200 DA, les lycéens n’ont malheureusement que l’embarras. Jamais le choix ! Le lycée de Ramdane Djamel est pourtant doté d’une cantine gérée par un seul cuisinier et qui parvient à peine à assurer un repas pour quelques 500 élèves. Les autres doivent se débrouiller. «On a pensé à opter pour le double service afin de subvenir aux besoins d’un maximum d’élèves mais le temps imparti, une heure seulement de répit (de midi à 13h-ndlr-), ne nous permet pas de mener à bien ce service», explique un employé du lycée. Normal ! Même avec toute la bonne volonté du monde, personne ne pourrait «subvenir» aux besoins des élèves d’un lycée conçu pour accueillir 800 élèves et qui se retrouve à en abriter 1700. Plus du double de sa capacité.
    Cette surcharge ne concerne pas uniquement la restauration. On retrouve ses répercussions dans d’autres infrastructures et touche même le volet de l’encadrement. «Tout le monde, élèves, administration et enseignants souffrent de cette situation. On a l’impression qu’on a incorporé les élèves de deux lycées dans un seul établissement sans se soucier des volets relatifs à la pédagogie, aux commodités et au potentiel humain.» juge une enseignante. Et elle disait vrai. La preuve : dans ce lycée, encore sans surveillant général, ils ne sont que 11 adjoints d’éducation à encadrer 1700 élèves.
    Par ailleurs, cet établissement emploi à lui seul 91 professeurs qui se partagent 47 classes. Ils se partagent aussi la même entrée des sanitaires. «Il nous arrive de recourir aux toilettes des élèves pour ne pas gêner nos collègues femmes», reconnaît un enseignant. Pour les salles de cours, on est parvenu cette année à procéder à une opération d’extension assez singulière, nous confie un professeur. «On a en effet scindé quatre salles de cours en deux pour en faire huit. C’était indispensable, même si les nouvelles petites salles ne disposent que d’une porte et d’une seule fenêtre», explique un membre du bureau de wilaya du Cnapest, et d’ajouter : «ceux qui souffrent le plus de cette situation sont les élèves qui passent souvent quatre heures dans ces salles.»
    Le Cnapest avait, selon ses dires, proposé il y a une année à ce qu’une annexe au lycée soit ouverte à Béni Béchir, «pour permettre d’atténuer un tant soit peu la pression sur Ramdane Djamel. On attend toujours même si nous considérons que l’implantation de deux nouveaux lycées dans ces deux communes est devenue une urgence», conclut-il. Il est vraiment temps car cette situation n’a que trop duré. On sait que par ‘régionalisme’ de bas étage, des lycées ont été construits dans des contrées où le besoin n’était pas si évident.
    Les lycéens de Ramdane Djamel, de Béni Béchir et de leurs agglomérations secondaires ne doivent en aucun cas payer le prix de l’insouciance. Il s’agit de l’avenir de nos enfants et au diable tous les «apôtres» du nombrilisme régionaliste qui voudraient construire un lycée dans chacun de leurs douars alors qu’à moins de 30 km seulement de Skikda, des milliers de lycéens s’entassent les uns sur les autres.


    Équipe nationale de football

    Les Verts à pied d’œuvre dès aujourd’hui à Blantyre

    La sélection nationale s’envolera aujourd’hui pour la capitale Blantyre (Malawi) en prévision du match de la troisième journée des éliminatoires de la CAN 2015 face au Malawi, prévu samedi après-midi. C’est à bord d’un avion spécial que les coéquipiers de Madjid Bougherra décolleront de l’aéroport d’Alger en fin de matinée pour arriver à Blantyre le soir du jour même. Pour ce qui est de la préparation, et en plus des trois jours de stage effectué au Centre technique de Sidi-Moussa, le coach national a programmé une séance d’adaptation sur le terrain synthétique du stade Kamuzu, demain, à l’heure du match, en prévision de la rencontre qui se déroulera le lendemain.
    Un terrain qui préoccupe le technicien français, puisque les joueurs, et en plus du climat continental, seront appelés à tester leurs capacités sur un terrain synthétique, mais qui ne s’emble pas perturber les camarades du gardien Zemmamouche qui, lui, évolue à longueur de saison avec son club sur un terrain du genre : “Je ne pense pas que le terrain soit un handicap pour nous les joueurs. Personnellement, j’ai l’habitude d’évoluer sur du gazon artificiel et je suis même prêt à jouer si le coach fait appel à moi lors de cette rencontre face au Malawi. Pour ce qui est du reste des joueurs, je peux vous assurer que tout le monde s’est bien débrouillé sur le synthétique lors des séances d’entraînement que nous avons effectuées jusque-là. La plupart se sont bien adaptés”, a déclaré le gardien usmiste, lors d’un point de presse animé avant leur départ. De son côté, l’arrière droit Mesbah affirme que le terrain ne peut pas être un handicap et que cela ne changera pas l’objectif des Verts d’aller chercher les trois points de la victoire : “Il est vrai que nous ne sommes pas habitués à ce genre de terrain, mais ce n’est nullement un prétexte pour justifier une probable contre-performance. Nous allons jouer comme nous l’avons toujours fait, c'est-à-dire pour gagner”, a-t-il précisé.
    Un terrain qui obligera probablement le coach national à porter des rectifications dans son onze rentrant : “Je n’ai pas encore une idée sur les joueurs que je vais titulariser, mais la pelouse synthétique pourrait influencer mes choix”, a laissé entendre Gourcuff lors de sa dernière sortie médiatique. Il faut ajouter à cela la défection de deux joueurs hier lors de la séance d’entraînement, à savoir l’attaquant Hilal Soudani et le milieu de terrain Ryad Boudebouz qui ont déclaré forfait même pour le match retour prévu le 15 octobre prochain face à la même formation du Malawi.
    Gourcuff était d’ailleurs obligé de rappeler le milieu de terrain du Mouloudia d’Alger, Gourmi, pour pallier l’absence de ces deux éléments. Pour ce qui est du reste, Gourcuff a laissé entendre qu’il comptera bien évidemment sur le duo Brahimi-Slimani en attaque. “Brahimi et Slimani sont complémentaires. Ce sont deux joueurs de qualités différentes, mais très complémentaires”, a fait savoir l’ex-entraîneur de Lorient. Ce dernier ne cache d’ailleurs pas son souci pour la composition de son compartiment défensif : “Je reconnais qu’il y a encore des lacunes en défense, mais je dirais que la paire Belkalem-Medjani se débrouille bien. Mandi, de son côté, s’en sort bien aussi. Le retour de Ghoulam pourrait aussi constituer un renfort de qualité.”
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    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 17/10/2014

    Face au mouvement des policiers : Sellal n’a pas convaincu


    Les révoltés du Bounty version CRS. La mutinerie aux allures de mouvement social, secouant les rangs de la police, est décidément promise à complications.


    «Pas de marche arrière», criaient hier soir des agents des Compagnies républicaines de sécurité (CRS), dont des centaines étaient venues d’Alger et des wilayas limitrophes, dont Blida, battre le pavé à El Mouradia. Manifestation surréaliste sur ce parvis de la Présidence, dont les abords du palais et les espaces verts alentour sont pris d’assaut, pour la première fois de son histoire, par des centaines de policiers antiémeute chauffés à blanc et décidés à ne rien concéder. «Nous occuperons la place jusqu’à satisfaction de nos revendications, dont le départ de Hamel», fulmine ce policier qui égrène un long chapelet de reproches à l’endroit du Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Hamel Abdelghani, accusé entre autres de «hogra», de répandre les injustices et les brimades au sein du corps de la police.
    Catalogué de «transfuge» (de la gendarmerie), de «Brani», le général Hamel cristallise tout le ressentiment et le malaise au sein des effectifs. «Pour un rien, on vous confisque la carte», se plaint-on. «Imaginez un DGSN qui menace ses éléments de mutation à Ghardaïa. Wach maânatha ? Qu’est-ce que ça veut dire ?» La réunion ayant regroupé, à la Présidence (sic), une quarantaine de délégués des CRS avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, n’a pas entraîné les résultats espérés par la troupe. «Même à Evian (négociations), ce n’était pas aussi long», devisent des CRS parqués, pare-choc contre pare-choc à l’entrée de la Présidence.
    A 18h30, après plus de 4 heures de conclave, le Premier ministre arrive, après deux tentatives non concluantes, à s’extraire des bâtiments de la présidence de la République. L’issue était littéralement submergée par les CRS et des reporters. «Hamel Irhal» (Hamel dégage), entonnent les policiers manifestants. Les slogans des révoltes arabes arrivant à El Mouradia par fourgons cellulaires de la police. Prévue par le protocole, la prise de parole de Sellal a finalement été annulée. La voiture du Premier ministre et son escorte légère démarrent en trombe, sur les chapeaux de roue, laissant les policiers à leurs vagues supputations. Pas de trace de leurs délégués.
    Un conseiller auprès du ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz (en déplacement à Ghardaïa), rencontré sur le site, affirme que 12 points sur les 19 que comporte la plateforme de revendications émises par les CRS avaient été acceptés par le Premier ministre, «y compris ceux en rapport avec la revalorisation du salaire de base à hauteur de 100% et/ou les primes et indemnités exigées». Les négociations ont toutefois buté sur plusieurs points, dont le premier, exigeant le départ du patron de la police. «Cette revendication est d’ordre politique», leur a signifié le Premier ministre.
    Vers 19h, les autobus alignés sur l’avenue de Pekin, à hauteur du rond-point d’El Mouradia, sont renvoyés sans leurs passagers. Les dizaines d’agents qui s’apprêtaient à regagner leurs unités ont été invités, sous les huées et avec force noms d’oiseaux proférés par leurs collègues, à descendre illico presto. Ce qu’ils firent. La circulation automobile est interrompue. Une foule de curieux perplexes regardent se dérouler ce vaudeville. Il fait nuit, l’avenue de Pékin grouille de CRS et la Présidence projette sur Alger ses ombres de palais hanté.


    Trois policiers assassinés à Bordj Bou Arreridj

    Deux policiers ont été assassinés et un troisième a été blessé par un groupe terroriste ce jeudi dans la région de Zemmoura, à 30km au nord de Bordj Bou Arreridj, sur la RN 75. Le troisième policier a succombé à ses blessures quelques instants après son admission à l'hopital.


    Selon notre correspondant à Bordj Bou Arreridj, les policiers en patrouille avait dressé un barrage routier à Zemourra, une région que surplombe une foret. Ils ont été surpris par des tirs nourris d'armes à feu, provenant de la foret qui surplombe la route. Deux des policiers sont morts sur le coup et un troisième a été blessé et évacué à l'hopital de Bordj Bou Arreridj. Il a succombé à ses blessures moins de 2h plus tard.
    Une opération de recherche a été immédiatement déclenché pour tenter de retrouver les assaillants.


    Skikda : Un bus «sauterelle» fait deux blessés



    Un invraisemblable accident s’est produit hier, à la gare routière Mohamed Boudiaf de Skikda. Un bus de marque Toyota et alors qu’il était stationné au niveau du quai de la ligne Constantine-Skikda a subitement démarré, gravi trois marches, escaladé le trottoir et est allé heurter de plein fouet l’enceinte vitrée de la gare routière.


    Des témoins oculaires rapportent que le bus était à moitié plein à cet instant. «Heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde en face, sinon on aurait assisté à un authentique carnage, vu l’importance du choc», témoignent les mêmes sources. La Protection civile a pour sa part enregistré deux blessés légers. «Il s’agit de deux personnes, des voyageurs certainement, qui se trouvaient dans le bus au moment de l’accident», apprend-on.
    Quelles seraient les causes de cet accident pour le moins singuliers ? Des personnes présentes sur les lieux avancent que le conducteur se serait certainement trompé en appuyant sur l’accélérateur et pris de panique, il aurait alors perdu le contrôle de son véhicule qui est allé escalader les marches. Les dégâts matériels occasionnés restent plus ou moins importants et la gare Mohamed Boudiaf, déjà très délabrée est, aujourd’hui, carrément ouverte aux quatre vents.



    Colloque national sur Mostefa Lacheraf à Médéa

    Retour sur le parcours d’un militant du progrès


    C’est la première fois que l’auteur de L’Algérie, nation et société est l’objet d’un colloque national organisé du 14 au 16 octobre par l’université Yahia-Farès de Médéa, suite à des propositions insistantes de nombreux intellectuels et hommes de culture. Une vingtaine de conférenciers algériens, de Tunisie et des Émirats arabes unis ont tenté des approches d’analyse et de lecture diversifiées sur l’œuvre du penseur, homme de lettres et militant de la cause nationale, en livrant des témoignages sur ses positions et son engagement intellectuels en faveur des idées de progrès et de justice. La pensée de Mostefa Lacheraf a toujours suscité des réactions antinomiques qui ont alimenté les débats universitaires et académiques eu égard à la profondeur des idées qu’elle véhicule et à son apport aux problématiques contemporaines des sciences sociales et humaines.
    Mostefa Lacheraf est le fondateur de la critique littéraire et de cinéma, selon le docteur Mustapha Madi, maître de conférences en sociologie à l’université d’Alger et consultant aux éditions Casbah.
    Contrairement à ce que certains ont voulu faire accroire à propos de l’arabisation de l’école, il dira que Mostefa Lacheraf a été contre une certaine catégorie d’arabisants négatifs et idéologues. D’ailleurs, poursuivra-t-il, l’homme avait une vision prophétique et craignait la survenue de certains événements qui, malheureusement, se sont réalisés. La mauvaise arabisation n’a fait que l’affaire de l’élite francophone, généralement bilingue, au détriment de la masse qui ne maîtrise plus aucune langue étrangère. L’orateur rapportera que Mostefa Lacheraf est le premier à avoir analysé La Colline oubliée de Mouloud Mammeri, et rappellera quelques remarques émises par l’Égyptien Taha Hussein à propos de l’œuvre et de l’auteur. Livrant ses témoignages sur Mostefa Lacheraf, il évoquera la polémique provoquée par le choix entre les notions “nation” et “société” qui a atteint son paroxysme lors de la rédaction de la Charte nationale de 1976 et dont Mostefa Lacheraf était membre du comité de rédaction.
    Le choix du terme nation proposé par lui qui n’avait pas reçu l’adhésion des autres membres, hormis Mouloud Kassim et Rédha Malek, a nécessité l’arbitrage du président Houari Boumediene, qui a tranché en faveur de l’emploi du terme “nation”.
    Pour le professeur Salah Alouaoui de l’université de Tunis, Mostefa Lacheraf, qui tenait beaucoup à son algérianité, ne voulait pas que celle-ci reste en vase clos, mais s’ouvre sur l’universalité à travers la maîtrise de plusieurs langues. Mostefa Lacheraf prend l’exemple des grands noms qui, dans leur majorité, utilisent plusieurs langues. Pendant la courte période de sa nomination à la tête du ministère de l’Éducation nationale, il est allé dans les écoles assister aux cours pour dresser un diagnostic de la réalité de l’enseignement à travers le pays. Il s’est rendu compte que les enseignants n’étaient pas, dans la majorité des cas, à la hauteur de leur mission, alors que les élèves étaient vifs et avides de savoir. Il n’a pu mettre en marche son projet, bloqué dans sa démarche par les attaques et les critiques de ses détracteurs qui l’ont taxé d’anti-arabisme. D’ailleurs, il ne cessait d’opposer à ses détracteurs l’argument que “l’arabisme se construit à travers l’effort et non pas par l’idéologie”. On rappellera que Mostefa Lacheraf (7 mars 1917-13 janvier 2007) est originaire de la ville de Chellalet El-Adhaoura, partie sud de la wilaya de Médéa. Il milita au Parti du peuple algérien (PPA) et au Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Il est arrêté en même temps que les autres membres de la délégation des dirigeants de la “Révolution algérienne”, dont l’avion est détourné en 1956 par l’armée coloniale. Emprisonné, il est libéré en 1961 pour des raisons de santé. Il occupera plusieurs fonctions diplomatiques.


    Objet d'un colloque au Sénat français

    “Le 17 Octobre dans tous ses états” à… Paris


    Un important colloque intitulé “Le 17 Octobre dans tous ses états” se tiendra demain au Sénat français. La rencontre se veut également un hommage à Mouloud Aounit, Henri Alleg, Jean-Luc Einaudi, Jean-Louis Hurst et Elie Kagan. Parmi les intervenants, on peut citer, notamment, Benjamin Stora, Edwy Plénel, Gilles Manceron, Farid Aïchoune, Mehdi Lallaoui, Chafia Mentalecheta, Patrick Le Hyaric, Pascal Blanchard, François Durpaire, Samia Messaoudi et Hassen Zerhaoui. Si l'ouverture du colloque échoira à Mme Esther Benbassa, sénatrice membre des Verts, la clôture, quant à elle, sera confiée à Mme Bariza Khiari, sénatrice PS.

    Fellag, un nouveau livre, une vieille histoire
    France, écrivain, Algérien, Fellag, Humoriste



    "Un espoir, des espoirs", c'est ainsi qu'il intitule son dernier livre qui ne ressemble à aucun genre littéraire connu. Peut-être n'est-ce que de la divagation justifiée par des années de douleurs jamais encaissées ?
    Comédien, écrivain, metteur en scène et surtout gourou pour lui-même, Mohand Fellag erre dans ce texte qui n'accepte aucune catégorie littéraire au creux de l'histoire de l'Algérie contemporaine. Il n'a raté que l'équipe nationale de foot, la JSK et le meurtre d'Ebossé.
    Cette chronique qui révèle un vrai, un bon chroniqueur, traverse un demi-siècle d'existence de ce pays si aimé, tant honni : l’Algérie.Nous voici, embarqués dans ce court réquisitoire publié chez Jean-Claude Lattès, dans le bateau Algérie qui a commencé à tanguer à l'époque du GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne). Fellag semble vouloir dire que ce pays qu'on aime est resté dans le provisoire, le précaire. Il dénonce sans pérorer "l'insoutenable légèreté" de nos gouvernants.A et B, les deux seuls personnages de cette grosse séquence théâtrale qui n'est sans doute pas un roman semblaient vouloir s'entre-déchirer d'emblée. Ils finissent par se calmer et par se parler. L'occasion faisant le larron, Fellag s'envole dans un délire juste qui s'en va récurer notre boîte à souvenirs, ce cerveau tant de fois maltraité. Nous voici embarqués dans cette histoire si douloureusement ressentie qui démarre au cessez-le-feu du 19 Mars 1962 et qui n'est pas, qui ne veut pas se terminer.Nos présidents successifs se sont tous ressemblé. Une anecdote rapportée par Fellag : "La cinémathèque d'Alger qui était à l'époque l'un des rares lieux de culture underground avait projeté le film "Aguirre ou la colère de Dieu" en présence du réalisateur, Werner Herzog. Nous avions, j'y étais ce jour-là, fortement ovationné le film et Werner Herzog nous avait déclaré: "J'aime ce film comme vous l'avez aimé. J'aime la prestation de Klaus Kinski, mais il aurait été meilleur si le rôle principal avait été interprété par Boumédiene. Je suis fasciné par le regard de votre président."Qui peut jurer qu'en ce temps-là, il n'était pas ébloui ? La dictature, en ce temps-là, avait des airs d'un doucereux protectorat. Boumédiene était le papa et la maman. C'est bien plus tard, sous le règne de Chadli, notamment que les Algériens vont commencer à se rendre compte que la révolution a été trahie, qu'ils ont été, eux aussi, trahis.Ce sont toutes ces sales histoires, plus les graves, les crimes commis par les intégristes durant la décennie noire et les milliards détournés ces dernières années que met en scène Fellag, mine de rien.Fellag ne fait pas de politique, il vomit sans vouloir faire de vagues.
    Mohand Fellag, le clown fait du rire un acte grave.
    Meziane Ourad



    Algérie 3 - Malawi 0

    Les Verts compostent leur billet pour la CAN


    À la faveur d’un facile succès hier à Tchaker face à un faible Malawi, l’Algérie a composté son billet qualificatif pour la Coupe d’Afrique des nations 2015 pour ce qui aura été une balade de santé dans une poule qu’elle surclasse. Cerise sur le gâteau, l’EN mondialiste est le tout premier gros bras du continent qualifié.
    À l’image de son entrée fracassante dans ces éliminatoires, la sélection nationale a rapidement mis le Malawi à genou hier, ouvrant le score après seulement 49 secondes de jeu grâce à un petit bijou de son nouveau maître à jouer, Yacine Brahimi.
    Après avoir donné le tournis à cinq défenseurs adverses en pivotant sur lui-même à l’entrée de la surface avant de trouver appui sur Slimani qui lui a bien remis la balle, la nouvelle étoile portista est allée de son subtile extérieur du gauche pour trouver la lucarne droite d’un keeper malawite devenu spectateur sur cette action de toute beauté.
    Pour avoir d’emblée pris cet avantage décisif, tout est devenu plus facile pour les poulains de Christian Gourcuff. À l’instar d’un Brahimi de gala, les Verts régaleront par moments sans pour autant être inquiétés par un Malawi stérile et sans imagination.
    En roue libre, l’EN tombera même dans la facilité à l’approche des bois adverses, comme cet emmêlement des pinceaux d’Islam Slimani après pourtant un service parfait de l’intenable Brahimi.
    Mais comme animés par l’ardent désir d’en finir au plus vite avec cet adversaire et cette qualification, les Verts doubleront la mise dans les ultimes secondes de ce premier half à sens unique par Ryad Mahrez qui, superbement servi dans l’intervalle par Feghouli, éliminera son vis-à-vis avant de tromper Arawa d’un enveloppé du droit.
    Le sociétaire de Leicester City manquera, au retour des vestiaires, de peu d’inscrire son premier doublé en sélection, enlevant trop sa tentative de près à la suite d’une géniale inspiration d’un irrésistible Brahimi (48’).
    La sentence ne tardera, toutefois, pas puisqu’après avoir fait le ménage dos au but puis décalé le même Mahrez sur sa gauche, Islam Slimani profitera d’un centre millimétré de son coéquipier de la Premier League pour placer une tête piquée imparable, signer le 3 à 0 et apporter sa pierre à l’édifice (55’).
    Etouffée, assommée et complètement mise hors d’état de nuire par une écrasante Algérie, la sélection de Chimodzi n’aura que ce coup franc cadré de Kamwendo, dévié en corner par une claquette d’un vigilant M’bolhi, à se mettre sous la dent (64’), avant un autre essai du même joueur vingt minutes plus tard, encore annihilé par l’impassable gardien algérien (84’).
    Trop peu pour inquiéter une EN déjà sur orbite, intouchable et visiblement décidée à ne certainement pas s’arrêter en si bon chemin, surtout que la belle démonstration de force d’hier aura confirmé, si besoin l’était encore, que cette sélection monte irrésistiblement en puissance et adopte, de plus en plus ostensiblement, des aptitudes d’un futur patron du continent.




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    Post Radar de Maghreb-Sat 24/10/2014

    FLASH INFOS : 24/10/2014

    L’ANP DÉTERMINÉE À ÉRADIQUER LE TERRORISME



    Amed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a réitéré, hier la « détermination » des éléments de l’ANP à « éradiquer » les terroristes dans le pays.
    Dans une allocution à l’occasion d’un colloque historique sous le thème « l’Armée de libération nationale : arme de l’information et de la diplomatie », Gaïd Salah a affirmé que « l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), consentira tous les efforts pour défendre nos frontières nationales et éradiquer les résidus terroristes dans notre pays ». « La préservation du fonds riche révolutionnaire et national, dont les événements phares ont été gravés dans la mémoire collective du peuple algérien, est une responsabilité qui incombe aux générations de l’indépendance.
    Cette responsabilité qui s’accentue davantage avec ces campagnes virulentes successives visant à porter atteinte à notre histoire nationale, menées par les partisans du terrorisme en Algérie et particulièrement dans la région arabo-africaine, ainsi que par leurs complices criminels », a-t-il souligné, relevant que « leurs procédés sont identiques à ceux du colonialisme d’hier, et c’est ce qui prouve la convergence des intérêts hostiles ».
    Ainsi, « nous faisons aujourd’hui face aux même défis, comme nous menons le même combat, et nous, au sein de l’Armée nationale populaire, demeurons fidèles au sacré serment et nous poursuivrons sur le même droit chemin, couronnés, grâce à Dieu, par la victoire, comme ce fut le cas par le passé », a-t-il ajouté.

    « Telle est l’histoire de la glorieuse guerre du 1er Novembre qui est une source de fierté et d’inspiration, ainsi qu’une étape décisive dans notre histoire militaire et nationale, que nous ne ménagerons aucun effort, sous le commandement et le soutien de son excellence le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, pour répandre ses nobles enseignements et valeurs parmi les rangs de l’Armée nationale populaire, digne héritière de l’Armée de libération nationale, de manière à garantir l’accomplissement de nos missions constitutionnelles avec abnégation, détermination, compétence et force, tout en étant loyaux envers le serment de nos valeureux martyrs et en préservant éternellement l’acquis que représente la souveraineté, la liberté de l’Algérie, son indépendance nationale, son unité populaire et son intégrité territoriale », a-t-il dit.


    Le pari difficile du FFS




    Pouvoir-opposition


    Le Front des forces socialistes a engagé, en cette fin de semaine, la première série de consultations en vue de la tenue de la conférence de consensus national.


    Un rendez-vous que le plus vieux parti de l’opposition a inscrit sur son agenda à l’issue de la tenue de son 5e congrès, en mai 2013, comme un objectif majeur à atteindre. Des mois se sont écoulés, d’autres initiatives ont vu le jour, adoptant le même slogan de refondation du consensus, preuve s’il en est que la société algérienne est véritablement à la recherche d’un projet fédérateur.
    L’enjeu principal, aujourd’hui, pour trouver une issue à la crise nationale et préserver l’avenir pour toutes les Algériennes et tous les Algériens, est la reconstruction d’un consensus national fondamental qui pourrait s’organiser autour de la démocratie politique, de la citoyenneté, du développement économique et de l’équité sociale. Concrètement, il s’agit du respect des pluralismes politique, linguistique, syndical et des libertés fondamentales pour permettre l’autodétermination individuelle de chaque Algérienne et Algérien et l’autodétermination collective du peuple algérien», soulignait déjà la résolution du 5e congrès du FFS.

    Partant des expériences des transitions politiques engagées dans de nombreux pays du monde, le FFS s’est attaché, au risque de s’attirer de nombreuses critiques, au principe qu’un consensus se doit d’être inclusif et ne se limitant pas aux seules forces de l’opposition. «Les régimes autoritaires présentent des spécificités nationales, mais tous, d’une manière ou d’une autre, vont négocier leur sortie à un moment où le statu quo s’avère intenable compte tenu du contexte local», affirmait Mohand Amokrane Cherifi, membre de l’instance présidentielle, lors d’une conférence sur les transitions.
    Ce qui explique aujourd’hui que d’anciens membres du régime se retrouvent dans l’opposition ou que d’autres sont en attente de le devenir. Dans sa résolution politique du 5e congrès, le FFS fait référence à cette présence de parties ouvertes au dialogue au sein du régime : «Les forces du changement sont là ; elles sont à l’œuvre dans le pays. Non seulement dans la société, mais probablement aussi dans les institutions, nous en avons la ferme conviction.» L’ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, l’a d’ailleurs encensé quelques mois plus tard en disant que le changement ne se fera pas sans le pouvoir.
    Le FFS, qui frappe aujourd’hui aux portes de tous les partis, de l’opposition comme du pouvoir, dit ne pas y aller pour imposer une feuille de route mais pour proposer une écoute. Les points de convergence seront à la base de la tenue de la conférence nationale. Rachid Halet, membre de l’instance présidentielle du FFS, qualifie ce moment de vrai défi pour le parti : «Nous voulons réussir une mission difficile car le consensus est nécessaire (…) Ce sera laborieux, on ne peut pas ignorer que certaines conditions ont été posées d’emblée, alors que nous sommes au début (…). Mais fondamentalement, il n’y a pas d’engagement précis, ce sont des consultations préliminaires et il n’y a pas de refus catégorique de poursuivre le dialogue.» Et de noter que c’est dans l’action que sera jugée la sincérité des uns et des autres.
    Outre les partis et personnalités politiques, le FFS fait appel aussi à toute la population pour apporter sa contribution au débat. L’esprit fondamental de la conférence est de sensibiliser tous les Algériens sur la nécessité de prendre l’avenir du pays en main, comme à la veille du 1er Novembre, mais en optant pour une dynamique politique pacifique, concertée et plurielle.


    Célébration de la journée nationale de la presse


    Hamid Grine : “Nous voulons une presse responsable et professionnelle”


    La responsabilité et la professionnalisation de la presse sont au centre des préoccupations du nouveau ministre de la Communication. “Nous voulons une presse responsable qui assume son rôle d’information, mais aussi sa responsabilité morale de donner une information bourcée au citoyen”, a déclaré, hier, Hamid Grine, sur les ondes de la Chaîne 3, en ce jour de célébration de la Journée nationale de la presse. Pourtant, il évoquera plus loin les difficultés d’accès à l’information, notamment au niveau des administrations, reconnaissant ainsi l’existence d’obstacles rencontrés par les journalistes, dans l’exercice de leur métier. Le ministre a également déploré que “certains journaux (…) empruntent des chemins de travers et de la diffamation”, justifiant cette situation par la période passée, celle de la décennie du terrorisme, durant laquelle la presse aurait construit “une opinion consommatrice d’attaques et de sensationnel”. La professionnalisation de la presse est tributaire de “l'adhésion des journalistes et des principaux acteurs, notamment les responsables de presse”, finira-t-il par lâcher, en insistant sur l’“engagement”, l’“élan” et la “sincérité” des journalistes, ainsi que sur les questions de “la déontologie et l’éthique”. M. Grine, par ailleurs, a annoncé l’installation prochaine d’une autorité de régulation et d’un conseil de l’éthique et de la déontologie, tout en signalant que la mise en place de l'Autorité de régulation de la presse écrite interviendra dans 6 à 9 mois, “en fonction du rythme de délivrance de la carte professionnelle de journaliste”. Sans rassurer le gros de la corporation des journalistes qui craint l’instrumentalisation des instances de régulation, à des fins de verrouillage du paysage médiatique.
    Le ministre de la Communication a toutefois indiqué que sur les
    1 100 dossiers déposés (pour la délivrance de la carte de presse), quelque 1 003 sont déjà traités, tout en rappelant que le gouvernement “ne fait pas de différence entre les journalistes de la presse privée et ceux de la presse publique”. “Nous ferons tout ce qu’il faut pour arriver à instaurer les mêmes standards, dans le cadre de la professionnalisation de la presse”, a-t-il ajouté. Sur le registre de la publicité, M. Grine a expliqué qu’il ne s’immisce jamais dans la gestion de la régie publicitaire publique Anep. “L’Anep est libre de donner la publicité, pas comme elle le veut, mais selon notre politique”, a soutenu le ministre de la Communication, avant d’appeler les médias à “sortir de leur mentalité d’assistés”. Plus explicite, il soutiendra que l’Anep se base sur deux critères : “la déontologie et l’éthique, et le tirage”. Mais, il admettra que le dernier mot revient aux annonceurs, en notant que ces derniers “ne sont pas obligés de leur (les médias, ndlr) donner de la publicité”. Une manière de contraindre les médias à être “inventifs et (…) créatifs”.
    Concernant les créances des imprimeries publiques sur des journaux, le ministre les a estimées à 4 milliards de dinars (400 milliards de centimes). Il a affirmé que 50 à 60 milliards de centimes ont été récupérés, depuis sa nomination à la tête du département de la Communication, puis appelé les imprimeries publiques à n’accorder de crédits qu’aux journaux solvables.




    Une émission «spécial SILA»


    Mohamed Kaci, le présentateur vedette de l’émission Maghreb Orient Express

    A l’occasion du 19e Salon international du livre à Alger, TV5Monde délocalise «Maghreb Orient Express», l’émission en connexion avec le monde notamment arabe. Elle sera enregistrée le 31 octobre et diffusée le 2 novembre à 20h.


    Installé au cœur du Salon du livre, Mohamed Kaci réalisera une émission spéciale, en accueillant des personnalités de l’actualité culturelle algérienne, parmi lesquelles des auteurs francophones comme Hajar Bali auteure de Trop tard (Editions Barzakh), Les sœurs Safia et Soumeya Ouarezki, bédéistes ayant signé Fatma N’parapli, en collaboration avec Mahmoud Benameur (éditions Dalimen), Prix du meilleur album en langue nationale au Festival international de la bande dessinée à Alger. Ou encore Zola auteure de l’album de manga intitulé The Devil’s Dream (éditions Lazhari Labter).
    Mohamed Kaci rencontrera l’écrivain Samir Toumi, initiateur de «La Baignoire», un lieu artistique devenu incontournable à Alger, dont la prochaine exposition est prévue mi-novembre.

    Abderrezak Makri, président du MSP, l’a déclaré hier

    “Rien ne va plus au sommet de l’État”

    La sortie des policiers dans la rue et la crise qui persiste encore à Ghardaïa constituent, aux yeux du président du MSP, des preuves qu’“un conflit couve au sommet de l’État”.

    Le président du MSP, Abderrezak Makri, a brossé, hier, un tableau peu reluisant sur la situation du pays, lors d’une conférence de presse au siège de son parti, à Alger. Au volet politique, le leader du MSP a, d’abord, réitéré la position de son parti quant au dernier mouvement de protestation mené par des éléments de la Sûreté nationale :
    “Je tiens à vous rappeler que la direction de notre parti s’est déjà exprimée sur ce mouvement de protestation à travers deux déclarations rendues publiques. La sortie des policiers dans la rue suivie d’un sit-in devant la première institution du pays suscite plusieurs lectures. Notre parti se solidarise, par principe, avec tout Algérien qui revendique ses droits légitimes.” Se voulant plus explicite, M. Makri estimera que “cette contestation des policiers, qui reste une première, signifie tout simplement que rien ne va plus au sommet de l’État”. Sur sa lancée, le président du MSP ne manquera pas de tirer à boulets rouges sur la politique du gouvernement quant à la gestion de la crise de Ghardaïa. Pour lui, cette crise a sérieusement ébranlé la vallée de M’zab dans ses fondements.
    Cette crise constitue un autre indicateur qui corrobore la thèse qu’un conflit couve au sommet de l’État. “La population de la vallée du M’zab est prise en otage par le gouvernement qui persiste dans sa politique d’échec. Le conflit a atteint un point de non-retour.
    Une purification ethnique n’est pas exclue”, lâchera, sans ambages, Abderrezak Makri, avant de rappeler que “les deux communautés, les Ibadites et les Malékites, ont toujours cohabité par le passé, sans aucun problème”. Avant de clore le volet politique, le conférencier rappellera que sa formation continue d’œuvrer avec les membres de la CNLTD. Tout en se réclamant de l’opposition, il annoncera une rencontre prévue, aujourd’hui jeudi, avec la direction du FFS, et ce, dans le cadre des démarches de ce dernier qui envisage de réunir prochainement une “conférence nationale du consensus”.

    Abrogation du 87 bis : “Un mensonge flagrant”
    Au sujet de la situation économique du pays, M. Makri ne mâchera pas ses mots quand il abordera la chute “inattendue” des cours du pétrole : “La chute brutale des cours du pétrole et la baisse de la production nationale constituent de véritables dangers qui guettent le pays. On craint vraiment pour l’avenir de l’Algérie en raison des problèmes de gouvernance et de la corruption qui a rongé tous les secteurs.” En guise d’arguments, le président du MSP fera remarquer qu’“il est impensable de bâtir une économie uniquement sur le pétrole, alors que les leviers du marché international sont entre les mains de l’Arabie saoudite et des États-Unis”. “Le cours du baril a atteint les 87 ou 88 dollars, alors qu’il y a quelques années, le gouvernement prévoyait qu’il ne descendra pas en dessous des 100 dollars. Aujourd’hui, nous sommes en droit de demander des comptes au gouvernement qui n’a pas prévu cette baisse des prix”, ajoute M. Makri, qui signalera, sur sa lancée, que même la production nationale du pétrole a connu une baisse de 6%. “Ce qui induira, du coup, une baisse des recettes pétrolières. Selon les chiffres officiels fournis par les autorités compétentes, les revenus du pétrole entre l’année 2013 jusqu’à septembre 2014 ont baissé de 1%. Et le Fonds de régulation connaîtra, pour sa part, une diminution de 2%”, lancera-t-il. Et de poursuivre : “Au moment où les recettes pétrolières sont en baisse, le gouvernement ne se gêne pas pour augmenter les budgets consacrés à l’importation. Entre 2008 et 2014, les importations ont augmenté de 52,27%. Et ce sont les produits de consommation qui se sont taillé la part du lion, alors que l’importation des équipements a baissé de 79% durant la même période.”
    Plus loin, l’intervenant reviendra sur les débats suscités après l’annonce, en grande pompe, de l’abrogation de l’article 87 bis. “L’abrogation de l’article
    87 bis est un mensonge flagrant. Ils ont abrogé l’article en question, mais ils ont laissé l’article 87 tel quel, qui ne donne aucune indication sur la définition du salaire. Ils ont laissé au gouvernement le soin de définir le salaire par voie réglementaire”, conclura-t-il.




    SOUFFLES

    Le parfum et la littérature !


    J’ai toujours imaginé que le parfum est une partie intégrante du corps féminin ! Je ne peux imaginer une femme sans un parfum ! De même la littérature. Ce soir-là à Tunis, novembre 2013, sur les trottoirs du boulevard Habib-Bourguiba, l’écrivain Hamid Grine et moi, nous faisions les cent pas, parlant, comme à chacune de nos rencontres, de littérature, cinéma, théâtre, architecture et sport. Hamid Grine aime parler de ce monde des grandes compétitions.
    Mais ce qui m’a surpris, ce soir-là, dans le discours spontané de cet écrivain prolifique, ce n’est pas sa culture livresque, ses diverses lectures ou son roman en chantier Une femme qui voulait se transformer en homme (je ne suis pas sûr du titre), mais c’est sa profonde connaissance du monde magique des parfums.
    Un monde resté marginalisé pour les littérateurs, ou presque ! En arrivant devant la vitrine d’une belle parfumerie, Hamid s’est arrêté un instant comme pour se souvenir d’une chose lointaine. Je me suis dis : il a besoin d’un parfum pour en faire cadeau à quelqu’un ! En franchissant la porte du magasin, il a commencé à me parler des marques de parfums.
    Les parfums orientaux, occidentaux, américains, italiens et français, les chauds, les fruités, les forts, les sauvages, les doux, les maritimes, les forestiers, ceux pour l’été, ceux pour l’hiver… Une jeune vendeuse, en nous voyant entrer, nos premiers pas entre les allées en vitrines hautement présentables, pleines de flacons et de pubs, s’est approchée de nous, sur un ton de professionnelle chevronnée, elle nous a dit : avez-vous besoin d’aide ou de conseil ? Hamid Grine a commencé à lui poser des questions sur les origines de quelques parfums. Sur les composants d’autres ? Les origines d’autres ? À peine une petite phrase en guise de réponse de la part de la vendeuse et Hamid n’a pas tardé à lui corriger ses informations. La vendeuse, bien parfumée, s’est retournée vers une autre pour demander aide, et comme avec la première Hamid a continué à déverser sa culture odoriférante ! En quittant la parfumerie, une fois sur le boulevard Habib-Bourguiba, Hamid a poursuivi son discours parfumé, sur les parfums qu’il possède… une douzaine de marques de parfums. Cela m’a fait rappeler quelques détails de son roman Un parfum d’absinthe, dont l’odorat est présent plus que son personnage Albert Camus, ou les monuments de Tipasa.
    En ce soir-là à Tunis, le discours de l’écrivain Hamid Grine à propos des parfums m’a rappelé aussi un beau roman algérien considéré comme le premier roman dans l’histoire du roman arabe, écrit dans un arabe algérien (le dzaïri) intitulé Hikayat el Ochchaq Histoire des amants. Ce texte unique a été écrit par un certain Mohamed Benbrahim (1806-1886) peu connu dans l’histoire de la littérature algérienne, maghrébine ou arabe.
    Dans ce roman, annoté et publié par le doyen des historiens algériens feu Docteur Aboulkacem Saâdallah, on découvre Alger, une cité fascinante par ses ruelles, ses musiques, ses fleuristes, ses droguistes et ses vendeurs d’eau de rose.
    Dans Histoire des amants nous sommes dans une ville d’arômes, d’odeurs d’épices et de parfum d’amour ! Comme dans les Mille et Une Nuits, la bonne littérature a besoin d’être parfumée et parfumeuse.
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    FLASH INFOS : 31/10/2014

    Bouteflika met en garde contre des menaces sur la sécurité de l’Algérie




    le 31.10.14 | 17h24
    Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika a évoqué ce vendredi dans un message adressé au peuple algérien, à l'occasion du 60e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954, des menaces sur l’unité et la sécurité du pays.



    Le peuple algérien « n'hésitera pas à se dresser contre toute velléité d'attenter à son unité et à ses constantes » et « repoussera toute menace à sa sécurité », a indiqué Bouteflika, selon l’agence APS. Le peuple algérien, lit-on encore dans le message, oeuvre à « la mise en place des règles d'une démocratie véritable, d'une justice globale et d'un développement durable qui renforceront son immunité ».
    Le message présidentiel a souligné le fait que l’Algérie évolue dans un « contexte marqué par un bouleversement des valeurs et dans lequel la discorde a frappé bien des nations et des peuples en proie aujourd'hui à la division et au déchirement ».
    D’après la même source, Bouteflika considère que « Le peuple algérien (…) est en droit de se féliciter de son rang parmi les nations, qui lui permet d'aller vers de plus grandes ambitions ».

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    60 ans après la Révolution
    L’Algérie est libre, les Algériens pas encore







    le 31.10.14 | 10h00
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    L?Algérie est libre, les Algériens pas encore - Actualité - El Watan

    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle



    le 31.10.14 | 10h00
    Le général Medienne gère encore la direction de la protection présidentielle - Actualité - El Watan


    Loi de finances 2015 :Le timbre pour le passeport passe à 6000 DA


    Le projet de loi de Finances pour l’exercice 2015 a été adopté hier à la majorité absolue par l’Assemblée populaire nationale. Comme attendu aucun amendement majeur n’a été introduit au texte initial, si ce n’est une révision à la baisse du prix du timbre passeport.


    Le différent entre les Parlementaires et le gouvernement à ce sujet a induit l’introduction d’un amendement oral en pleine plénière hier et ce dans le cadre des dispositions du règlement intérieur de l’APN. C’est ainsi que le timbre passeport est passé de 10 000 DA tel qu’initialement proposé par le projet de LF 2015 à 8000 DA dans un premier temps tel que validé par la commission des finances et du budget de l’APN, et finalement à 6000 DA en plénière.
    Trois autres amendements ont été introduits. Le premier institue un taux de TVA réduit de 7% pour l’aviculture et la mise sous contrôle de l’OAIC du marché des intrants, en attendant la création d’une autorité de régulation dédiée. Le second concerne la suppression d’une prime à la recherche et au développement. Le dernier amendement concerne la prise en charge par le Fonds national de solidarité des frais liés au rapatriement des ressortissants algériens décédés à l’étranger.
    Enfin, la plénière a passé à la trappe la majorité des 62 amendements examinés par la commission des finances et du budget de l’APN, parmi lesquels on peut compter des propositions liées à l’annulation d’avantages fiscaux et d’exonération au profit d’investisseurs, l’instauration d’un impôt sur la fortune, l’instauration des licences d’importation (déjà prise en charge par un projet de décret du ministère du Commerce), des dispositions relatives au SNMG, les retraites des rappelés de l’ANP, des députés, ainsi que des amendements relatifs à l’attribution d’un crédit sans intérêt de 10 millions de dinars au profit des députés.

    Belaiz veut créer sa propre police, Sellal dit niet

    Ainsi donc celui qui a échoué à faire main basse sur la police nationale en fomentant une sédition criminelle parce que porteuse de graves dangers pour la République et ses institutions, se met à faire des caprices.
    En effet, lors du dernier Conseil interministériel, le ministre de l’intérieur a interloqué ses collègues du gouvernement en proposant ni plus ni moins de créer sa propre …..police comme on en fait dans les républiques bananières.
    Une « direction générale de la police municipale » sous son auguste autorité a t-il préconisé, prenant ainsi soin d’enrober dans un papier cadeau sa dangereuse proposition. Le Premier ministre a d’emblée rejeté cette proposition arguant que si police municipale il y a, elle serait sous la coupe de la DGSN ce qu’ont approuvé tous les autres ministres présents lors de ce Conseil.
    Que des mairies qui en ont les moyens créent une police municipale, sans armes, chargée de faire respecter la loi dans les domaines de l’environnement, de la construction illicite etc… n’est pas en soit une mauvaise chose, encore faut-il encadrer cette disposition par un arsenal juridique conséquent pour éviter des dérives à l’instar de la tristement célèbre milice dirigée par le commandant Mahmoud Guennez du temps de la présidence d’Ahmed Benbella. Mais de là à vouloir une nouvelle Direction générale de la police municipale sous les ordres directs de Tayeb Belaiz est une dérive aussi inacceptable que dangereuse.
    Le Premier ministre, a immédiatement rejeté, à juste titre, cette proposition incongrue qui va à l’encontre des principes républicains régissant un État moderne.
    A la lumière de cette dernière bévue, il apparait de plus en plus que la nomination de Belaiz comme ministre de l’intérieur est un choix malheureux car son parcours pour arriver à cette consécration est des plus bizarres dans l’histoire de la République algérienne.
    En effet, nous confie un haut magistrat à la retraite, « ce monsieur a tiré grand profit de sa parenté avec l’ex ministre de la justice, Lahcène Soufi, nommé en 1979 à ce poste dans le premier gouvernement de feu le président Chadli Bendjeddid et dirigé par feu Mohamed Ben Ahmed Abdelghani ».
    La fameuse promotion des 400
    « Lahcène Soufi, qui voulait, en ce temps là, suppléer au manque de magistrats a recruté 400 personnes non bacheliers donc inaccessibles à l’université, qui ont suivi des cours du soir à la faculté de droit et se sont retrouvés bombardés de diplômes universitaires délivrés dans des conditions aussi rocambolesques que burlesques » précise notre interlocuteur.
    « Cette fameuse promotion des 400, après avoir suivi les cours du soir, s’est retrouvée auréolée de licences en droit et la particularité de cette fournée c’est d’être composée de nouveaux magistrats unilingues, plus connus sous le sobriquet « les intrus » dans le monde de la magistrature parce que ne maitrisant que la langue arabe et dont les connaissance en droit étaient aussi approximatives qu’insuffisantes » ajoute notre source.
    « Ce qui a eu pour conséquences de provoquer des incidents à répétition avec les avocats de l’époque, bardés de diplômes prestigieux et qui maniaient la langue de Molière avec grande dextérité ce qui n’a pas été du goût de ces nouveaux « magistrats » qui ont fait dégringoler la justice algérienne à son plus bas niveau et dont les conséquences catastrophiques se font jusqu’à nos jours » s’insurge la même source.
    Un gâté de la république
    « Tayeb Belaiz était le plus favorisé et pour cause c’était le chou chou du ministre de la justice, un proche parent. Aussitôt son diplôme de licence en droit en main, il fait son service national au niveau de l’OPGI d’Oran, et à sa sortie postulera pour la CNAN mais son dossier a été rejeté parce que unilingue. L’aubaine se présentera lorsque Lahcen Soufi, est nommé wali de Tiaret il en devient naturellement son chef de cabinet ».
    « Lahcene Soufi devenu en 1979 ministre de la justice, il est recruté dans son cabinet, puis proposé comme directeur des ressources humaines mais l’enquête d’habilitation se révèle négative parce que Belaiz ne remplissait pas les critères idoines pour ce poste nommé par décret. Qu’à cela ne tienne, Lahcène soufi le nomme par arrêté Conseiller à la cour d’Oran brûlant ainsi les trois étapes obligatoires pour accéder à ce poste qui est une consécration. Ces trois étapes qui sont miraculeusement sautées sont juge du siège, vice président du tribunal et président de tribunal » affirmera ce haut magistrat.
    « Un grand boulevard s’est donc ouvert devant lui et il sera tour à tour président de chambre, président des cours de Saida, Oran, Sidi Bel Abbes, conseiller à la cour suprême et tire le gros lot, comme dans un conte de fée, en devenant grâce au miracle algérien ministre de l’emploi en 2002 et ministre de la justice en 2003. Et pour l’histoire c’est feu l’ex président Ahmed Benbella, natif de Maghnia comme Belaiz, qui intervient auprès de Ali Benflis, chef du gouvernement d’alors qui accède aux désidératas de l’ex président de la république revenu entre-temps dans les bonnes grâces du président Bouteflika » ajoutera notre interlocuteur.
    On mesure ainsi le parcours professionnel d’un gâté de la république qui se met aujourd’hui à faire des caprices en voulant pour lui tout seul une armée de policiers. Pour quel usage et quel but ?

    Ligue des champions


    Sétif à 90 minutes du «60e ciel»





    C’est demain, au stade Mustapha de Tchaker, à partir de 19h15, que l’Entente de Sétif tentera d’accrocher sa première Coupe, version Ligue des Champions, face au Vita Club du Congo.


    Après avoir bien négocié le difficile virage de Tata Raphaël, où il n’est pas donné au premier venu de mener à deux reprises, les Sétifiens remettent le compteur à zéro. Puisque rien n’est encore joué. Avec deux buts inscrits à l’extérieur, les hommes de Madoui se trouvent, certes, en bonne posture pour retrouver les cimes de l’Afrique, une première depuis 26 ans, mais le plus dur reste à faire. D’autant plus que l’adversaire qui voyage bien n’a plus rien à perdre. Pour éviter toute mauvaise surprise, les Algériens qui devront composer avec la pesante pression propre à un tel événement devront non seulement mettre dans la balance le score piège de l’aller, mais avoir à l’œil la bande à Florent Ibenge qui a, faut-il le rappeler, créé la sensation à Sfax lors de la demi-finale retour.
    Il ne faut pas non plus passer sous silence le coup d’éclat d’Abidjan réalisé dernièrement, où les Léopards (surnom de l’équipe nationale congolaise), sous la houlette du coach de Vita Club, ont damé le pion à la Côte d’Ivoire d’Hervé Renard. Ne devant surtout pas dormir sur leurs oreillers, les Sétifiens sont donc avertis. Prévue initialement à Kinshasa, la «finale» de la 18e édition de la Ligue des champions se jouera finalement à Blida, où l’Entente de Sétif devra relever un défi, grand comme les non moins célèbres monts des Aurès et du Djurdjura. S’ils veulent emboîter le pas à leurs aînés (Osmani, Nabti, Adjas, Serrar, Bernaoui, Boulehdjilet, (Doudou) Bendjaballah, Zorgane (Raïs), Gherib, Adjissa, Rahmani) ayant, un certain 9 décembre 1988, décroché la première étoile sous la férule de Aribi-Khalfa, deux grands noms du football algérien – ingrat envers ses meilleurs fils, les camarades de Djahnit doivent faire un match de «guerriers».



    Penser à un score de zéro partout ou à un score semblable serait suicidaire pour les Noir et Blanc qui portent les espoirs de tout un pays avide de fête. Comme l’on fait un 1er Novembre 1954, 22 preux, le onze ententiste qui n’a pas le droit à l’erreur devra en ce jour anniversaire s’armer de foi, de volonté de fer, de la concentration de grands compétiteurs, et d’une incommensurable détermination, les moyens idoines devant le conduire vers le sacre tant attendu. En pareilles circonstances, qu’importe la manière car en fin de compte on ne retiendra que le nom du vainqueur. L’Entente d’Algérie se trouve désormais à 90 minutes du «60e ciel» où résident les glorieux bâtisseurs de Novembre, l’éternel…












    Dernière modification par zadhand ; 14/11/2014 à 21h29. Motif: Radar de Maghreb-Sat 31/10/2014
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    Post Radar de Maghreb-Sat 07/11/2014

    FLASH INFOS : 07/11/2014

    Ce qu’il faut retenir du cas burkinabé


    le 07/11/14 à 10h00

    Ce qu?il faut retenir du cas burkinabé - A la une - El Watan

    Après les policiers, les pompiers veulent aussi investir Alger

    le 07.11.14 | 10h00


    Les agents de la Protection civile, affiliés au Snapap, prévoient un sit-in le 18 novembre devant leur direction générale à Hydra. Le syndicat, affilié à l’UGTA, qualifie le mouvement de «non-événement». La direction générale, elle, rappelle qu’ils n’ont «aucune» représentativité. El Watan Week-end est allé à leur rencontre.


    Cette fois-ci, ils ne revendiquent pas le départ d’un général-major, mais celui d’un colonel. Ils sont vêtus de bleu, mais ne sont pas policiers. Songent-ils à refaire le même coup ? Les pompiers voudraient désormais défier leur direction générale (DGPC) en organisant un rassemblement devant son siège, le 18 novembre prochain. C’est ce qui a été décidé lors d’une réunion qui a regroupé, mardi dernier, 15 délégués des neuf wilayas participantes au siège du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), à Bab Ezzouar.

    Skikda :L’agresseur des jeunes femmes ne sévira plus


    Les services de police viennent de mettre fin aux agissements d’un jeune délinquant récidiviste qui, en l’espace d’un mois et sous la menace de l’arme blanche, a subtilisé différents objets de valeur à trois jeunes femmes.

    L’agresseur, âgé à peine de 25 ans, a commencé ses agissements le 29 septembre dernier, en s’attaquant à une lycéenne qui rentrait chez elle au quartier du Mont-Plaisant. Muni d’un couteau de type Opinel, il l’a abordé pour lui enlever son portable. En voulant le pousser, elle reçut un coup de couteau qui la blessa à la main.
    Profitant de cet instant, l’agresseur saisit le portable et prend la fuite. La jeune demoiselle s’en est sortie avec un certificat d’incapacité de 9 jours et décida d’aller porter plainte au commissariat du 2ème arrondissement. Quelques jours après, le 14 octobre plus exactement, une autre femme de 20 ans se présente au même commissariat pour porter plainte pour «agression et vol». Elle a été surprise au niveau de la cité des Frères Saker par le jeune délinquant qui lui a collé un couteau au ventre et la menacé de la tuer si elle oserait crier. Pour avoir la vie sauve, elle accepte alors de se défaire de trois bagues en or et de les lui remettre.
    Prenant goût à ses agissements sur le **** faible, le délinquant poursuit sa besogne tout en faisant cette fois-ci dans l’horreur en s’attaquant, le 27 octobre dernier, à une mère de famille. Cette dernière portait son bébé qu’elle venait juste de vacciner à la polyclinique des Frères Saker et s’apprêtait à rentrer chez-elle.
    Le délinquant la suit et en longeant la muraille d’un établissement du primaire de la cité, il l’aborde. Il pointe alors son couteau sur le bébé et exige qu’elle lui remette le seul bien qu’elle portait ; sa bague de fiançailles. Les signalements donnés par les trois victimes permettent alors d’identifier l’agresseur qui sera interpellé. Il a été présenté mardi dernier devant le magistrat instructeur près le tribunal de Skikda qui a ordonné sa mise en détention.


    Lancement officiel de la campagne de sensibilisation contre toutes
    les formes de violence




    Une large campagne de sensibilisation contre toutes les formes de violence a été lancée officiellement jeudi à Ouargla par le ministre de la communication, Hamid Grine.Lors de la cérémonie de lancement de cette compagne sur les ondes de la radio locale de Ouargla, le ministre a expliqué que cette initiative concerne toutes les formes de violence en Algérie, notamment la violence verbale et les agissements inciviques.

    Sous le thème «Agissons sans violence», cette campagne porte sur des actions de sensibilisation diffusées et animées sur les divers canaux d’information dont les supports audiovisuels, les réseaux sociaux et l’affichage public. Décidée à l’issue d'un conseil interministériel tenu le 31 août 2014 sous la présidence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, cette campagne est animée également par des figures de marque du monde de l'art et du sport, en vue de faire adhérer les citoyens à ce grand défi national qu'est la lutte contre la violence. Par ailleurs, Hamid Grine, a affirmé que le lancement du nouveau journal électronique Sud-Horizons à partir d’Ouargla traduit l’intérêt qu’accorde l’Etat au Sud du pays. Le ministre qui a procédé à l’inauguration de ce nouveau-né de la presse publique a souligné que «l’inauguration du premier journal électronique Sud-Horizons, relevant du quotidien francophone Horizons, à partir de la wilaya d’Ouargla, traduit l’intérêt grandiose qu’accorde l’Etat aux régions du Sud». Précisant que ce projet médiatique, un modèle à suivre, constitue un nouvel et prometteur élan à promouvoir la presse nationale, tout en faisant savoir que ce projet s’occupe de la couverture des préoccupations des populations du Sud et du suivi de l’action de développement que connaissent ces régions. Il a, dans ce cadre, mis l’accent sur le nécessaire rapprochement de différentes institutions et sources locales pour obtenir une information sourcée crédible et confirmée. Le PDG du quotidien Horizons, Larbi Timizar, a fourni des explications sur les objectifs assignés à ce journal électronique dont l’inauguration s’est effectuée au niveau du siège de la direction régionale d’Algérie Presse Service (APS) à Ouargla. Il a passé en revue les champs de couverture médiatique assurée par le journal électronique et ses perspectives. Hamid Grine s’est rendu, également, à l’entreprise de la télédiffusion algérienne (TDA) dans la région de Berkaoui, (40 km du chef lieu de la wilaya), où des explications sur les activités de cette entreprise et son programme d’action pour l’amélioration des prestations de diffusion, ont été fournies à la délégation ministérielle.

    Principaux garde-fous de l'édition en Algérie


    La ligne éditoriale de la maison d'édition, les exigences du marché et les subventions accordées aux éditeurs constituent les trois pivots sur lesquels roule le choix par les éditeurs algériens de tel ou tel titre à présenter au lecteur.

    En effet, le lecteur ne peut à lui seul définir les orientations des éditeurs qui obéissent, selon nombre d'éditeurs participant à la 19e édition du Salon international du livre d'Alger (SILA), à plusieurs facteurs dont le coût de l'ouvrage et le domaine de spécialisation. Intervenant à cette occasion, Assia Ali Moussa, des éditions Mim, souligne que «la ligne éditoriale se veut l'unique critère qui oriente les choix des éditions Mim et si l'on venait à tenir compte des demandes du lectorat, le livre scolaire serait notre premier choix».«Le lecteur n'oriente pas nos choix. Bien au contraire, les éditions Mim s'emploient à susciter l'intérêt du lectorat pour chacune de leurs publications et refusent d'obéir à la loi du marché», a-t-elle indiqué, rappelant que ses éditions «ont défini, depuis le début, leur propre orientation littéraire et intellectuelle dont ils ne comptent nullement dévier».A contrario, Rachid Khettab, des éditions Dar Khettab, défend un autre point de vue: «Mon statut d'écrivain et de lecteur dirige grandement mes choix en tant que responsable des éditions Dar Khettab».«Tout ce qui va en droite ligne avec mes aspirations et mes centres d'intérêt m'incite à assouvir les besoins du lecteur qui me ressemble», précise M. Khettab qui avoue que «la logique du marché joue aussi un rôle déterminant dans mes choix d'édition. C'est pourquoi nous tenons compte de ses exigences, pour peu qu'elles ne s'opposent pas aux principes des éditions Dar Khettab».De son côté, Mounir Ben M'hidi, directeur de Joussour Editions, précise que sa maison s'est spécialisée dans le livre universitaire, évoquant «une relation harmonieuse entre ses choix et les exigences de l'Université».Quant aux éditions APIC qui s'intéressent davantage à la littérature africaine, Karim Cheikh indique que «ce choix n'est nullement commercial. Nous publions des titres sur la littérature africaine par choix et conviction et non parce qu'elle représente un grand marché».«L'édition est une entreprise de longue haleine et un important enjeu», a-t-il estimé.Selon Hassan Ben Naamane, directeur des éditions Dar El-Oumma, le choix de ses éditions obéit au coût d'édition de l'ouvrage, précisant toutefois que la principale orientation de sa maison d'édition est essentiellement centrée sur la publication de «livres académiques, intellectuels et politiques s'inscrivant dans la colonne de la Proclamation du 1er Novembre».Kamel Yahiaoui, directeur de l'Entreprise nationale des arts graphiques (ENAG), précise que son entreprise publie des titres dans tous les domaines. «L'écrivain qui ne trouve pas d'éditeur nous sollicite pour que nous soumettions son travail aux comités de lecture», a-t-il précisé.Libérer la littérature algérienne du cadre conjoncturelPour Assia Ali Moussa, «l'édition qui n'est qu'occasionnellement sous les feux de la rampe constitue une occasion pour certains éditeurs de se faire connaître et bénéficier de subventions. Cependant, elle ne devrait pas commettre l'erreur de confiner la littérature algérienne dans un cadre conjoncturel». Abondant dans le même sens, Karim Cheikh, des Editions APIC, pense que «les éditeurs conjoncturels courent après les subventions et sont loin de s'intéresser à la teneur du livre. Pour eux, chaque livre susceptible de faire l'objet d'une quelconque subvention, est bon».L'édition de circonstance a «permis l'émergence de plusieurs maisons qui nagent malheureusement à contre-courant», estime Mounir Ben M'hidi.De son côté, Kamel Yahyaoui voit en l'édition «de circonstance, un signe récurrent de bonne santé qui permet de subventionner l'industrie du livre», précisant toutefois que son entreprise est présente à tous les rendez-vous.Sur les 500 éditeurs ayant déposé leurs titres auprès de la Bibliothèque nationale, 267 seulement prennent part au SILA dans l'attente d'une restructuration du secteur de l'édition en Algérie à la faveur de la promulgation de la loi sur le livre.

    Fabius lundi à Oran pour inaugurer avec Sellal l’usine Renault

    07/11/2014 | 15:11

    Le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius, est attendu lundi, à Oran puis à Alger pour participer à l’inauguration de l’usine Renault de Oued Tlelat et coprésider avec M. Emmanuel Macron, ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique, le deuxième comité mixte économique franco-algérien.
    « Ce déplacement illustre le partenariat stratégique fort et confiant que nous avons construit avec l’Algérie. Il concerne les relations bilatérales comme notre coopération sur les questions régionales, par exemple sur le Mali et la Libye à déclaré le chef de la diplomatie française en ajoutant que « notre ambition est aujourd’hui de renforcer notre partenariat économique, notamment en encourageant les projets industriels franco-algériens ».

    « M. Laurent Fabius soulignera en particulier à l’occasion de sa visite nos quatre priorités dans ce domaine : le développement des infrastructures et des transports ; la promotion de projets de villes nouvelles aux normes internationales ; le développement de la coopération en matière de tourisme ; l’innovation en matière d’énergie. Plusieurs entreprises et opérateurs français accompagneront à cette fin les deux ministres ».
    Du côté algérien, c’est Abdélmalek Sellal qui fera le déplacment à Oran. On dit même dans son entourage que c’est lui qui aura l’insigne honneur de conduire la première voiture Algérienne sur un circuit aménagée pour l’occasion. Les préparatifs en vue de l’inauguration de cette usine vont bon train à Oran, où le wali est à la manœuvre depuis plusieurs jours.
    Le réalisation de cette usine en un temps relativement court est un des exemples les plus aboutis de ce « partenariat privilégié » entre l’Algérie et la France. Et les relations entre les deux pays, généralement soumises à une logique de météo, alternant embellies et orages, ne se sont jamais si bien portées que depuis l’arrivée de François Hollande aux affaires. Jeudi soir encore , lors de son passage sur l’émission de TF1, le président Hollande a rendu hommage pour les autorités algériennes pour les efforts faits après l’assassinat de l’alpiniste Hervé Gourdel en Kabylie.

    Gaz de schiste:L’Algérie a juste signé des contrats d’exploration

    05/06/2014 | 20:17
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    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal a affirmé, jeudi à Alger, que l’Algérie n’a signé aucun contrat concernant l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels.
    Il a précisé, en réponse aux députés de l’Assemblée populaire nationale (APN), au terme du débat sur le plan d’action du gouvernement précisant, que les contrats signés récemment concernent le seul volet de l’exploration.
    Sellal a, dans le même sillage, assuré que « la nouvelle loi sur les hydrocarbures comporte toutes les dispositions requises concernant la protection de l’environnement » tout en soulignant que la loi en question prévoit des dispositions en vue de la protection et de la préservation des ressources aquifères.
    Le Premier ministre a demandé aux députés de ne pas demeurer prisonniers de visions économiques erronées, précisant que l’exploitation du gaz de schiste doit se faire dans une perspective de long terme et que l’Algérie s’attelle à former la ressource humaine nécessaire à l’exploitation de cette source énergétique.

    18 mois avec sursis pour le fils d’un député et dirigeant du FLN
    qui a agressé des gendarmes

    Novembre 7, 2014 4:42



    Le tribunal de Cheraga, dans la wilaya d’Alger, a traité, hier, une affaire impliquant un certain Zakaria Bouguettaya, fils du député et membre du Comité central du FLN, Sadek Bouguettaya.

    Le concerné, dans le procès qui s’est tenu à huis clos, s’en est pris à des gendarmes, par des insultes et mêmes coups, et s’en est sorti quand même qu’avec une peine de 18 mois de prison avec sursis. Il a été relâché durant la même l’après-midi.

    L’affaire remonte, selon le quotidien arabophone «El Khabar» au 28 octobre dernier, lorsque une patrouille de la gendarmerie a arrêté, dans la région de Bouchaoui, le concerné en compagnie d’une fille, pour un délit d’ «atteinte à la pudeur». Mais lorsque les gendarmes lui ont demandé ses papiers, celui-ci a sèchement refusé avant de proférer des insultes à l’endroit de l’un d’eux et d’asséner un coup de tête à un autre gendarme. Zakaria Bouguettaya s’est, par la suite, bagarré avec l’ensemble des gendarmes présents, avant qu’il ne soit maîtrisé. Il a aussitôt été arrêté et mis en détention, avec la fille qui l’accompagne et un autre ami à lui, à la prison d’El harrach.

    Le procureur de la République avait requis deux ans de prison ferme contre le principal accusé. Mais lors de son passage, hier, devant la juge du tribunal de Cheraga, qui, a décidé que le procès se tienne à huis-clos, loin des regards des journalistes présents. L’accusé s’en est sorti avec une condamnation de 18 mois de prison avec sursis. Une peine qui semble, pour beaucoup d’observateurs, vraiment clémente par rapport aux accusations portée au fils du député FLN, et membre du Comité central de ce même parti, d’atteinte à corps constitué.

    Le cinéma algérien n’existe pas en tant que cinématographie nationale
    Cherif Aggoune. Réalisateur



    le 07.11.14 | 10h00




    Lauréat du meilleur scénario de la 11e édition du Festival marocain international du film transsaharien de Zagora pour son film L’héroïne, Cherif Aggoune porte un regard critique sur le cinéma algérien .


    -Votre film L’Héroïne a reçu le Prix du meilleur scénario à la 11e édition du Festival international du film transsaharien de Zagora organisé au Maroc. Vous attendiez-vous à une telle consécration ?


    Suite:
    CAN-2015:La CAF accentue la pression sur le Maroc


    le 07.11.14 | 10h00



    La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé, hier sur son site, le début de l’opération d’accréditation pour les médias souhaitant couvrir la compétition de la CAN, prévue du 17 janvier au 8 février prochain au Maroc.
    Une manière de forcer encore plus la main au gouvernement marocain, qui avait émis le vœu, le 10 octobre dernier, de reporter cette compétition à une date ultérieure en raison de sa crainte de la propagation de l’épidémie du virus Ebola qui a coûté la vie à 5000 personnes à ce jour. L’instance suprême du football africain n’a pas attendu l’expiration de l’ultimatum, prévu demain, 8 novembre. Dans son communiqué mis en ligne, hier vers les coups de 12h, la CAF annonçait que «La Confédération africaine de football (CAF) a le plaisir d’annoncer que le processus d’accréditation des médias souhaitant couvrir la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations Orange, Maroc 2015, est ouvert du 6 novembre au 7 décembre 2014.»
    Le communiqué a même confirmé que la compétition, prévue du 17 janvier au 8 février 2015, aura bel et bien lieu au «Maroc dans les villes d’Agadir, Marrakech, Rabat et Tanger.» Du côté marocain, on n’a toujours pas annoncé si oui ou non le Maroc abritera la CAN 2015. Le ministre des Sports marocain, Mohamed Ouzzine, avait déclaré mercredi à Rabat que son gouvernement prendra le temps de la réflexion avant de répondre. «C’est une décision stratégique et importante qui demande de la patience et une réflexion profonde», a-t-il dit. Lundi dernier, la Confédération africaine de football avait adressé un ultimatum au Maroc, le sommant de se prononcer sur son engagement à organiser ou non la 30e édition de la CAN. La CAF avait envisagé, en cas de désistement du Maroc, de faire jouer cette compétition dans un autre pays à la même date, ou de son annulation pure et simple.
    Le Tunisien Tarek Bouchammaoui, membre du comité exécutif de la CAF avait annoncé, hier, à partir de Tunis, sur Radio Mosaïque FM, que deux pays étaient prêts pour l’organisation de la CAN en cas de désistement du Maroc, mais il a pris soin de ne pas dévoiler leurs noms. Une réunion du comité exécutif de la CAF est programmée pour le 11 de ce mois au Caire afin de clore définitivement le dossier de l’organisation de la CAN-2015. Pour l’heure, le tirage au sort de la compétition est toujours fixé au 26 de ce mois à Rabat.




































































































    Dernière modification par zadhand ; 14/11/2014 à 21h31. Motif: Radar de Maghreb-Sat 07/11/2014
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    FLASH INFOS : 14/11/2014

    A la une/Actualité

    Bouteflika serait hospitalisé en France





    Selon le site du journal français "Le Dauphiné libéré" («ledauphine.com»), le président Abdelaziz Bouteflika serait hospitalisé dans une clinique de la ville de Grenoble (sud-est de la France). Toujours selon la même source, le chef d’Etat aurait été admis, depuis quelques jours, à la clinique d’Alembert « qui fait partie du Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble ».


    Photo de la clinique d'Alembert (©D.R)

    Il y est précisé qu’ « qu’un étage entier de la clinique a été réservé à son usage, très probablement pour des raisons de sécurité ». « ledauphine.com » indiquera également qu’une compagnie de CRS s’est déployée ce vendredi, à 15h (GMT+1), autour de la clinique.

    Vidéo publiée par "ledauphine.com"


    18 h 25 : le responsable du service de cardiologie et maladies vasculaires dans lequel Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé exerçait au Val de Grâce avant d’arriver à Grenoble il y a quelques mois. Pour mémoire, le président algérien a été hospitalisé au Val de Grâce pendant deux mois et demi à l’été 2013 à la suite d’un accident vasculaire cérébral.

    18h15 : Interrogée au sujet de ces informations, la présidence algérienne ne les a pas confirmées, se bornant à indiquer qu’un communiqué serait publié dans la soirée.
    18 heures : c’est dans un service de cardiologie et de maladie vasculaire qu’Abdelaziz Bouteflika est hospitalisé à Grenoble.
    17H25 : De sources concordantes, le Dauphiné Libéré vient d’obtenir confirmation que Abdelaziz Bouteflika a été admis jeudi au sein du groupe hospitalier mutualiste. Par ailleurs, des renforts de police sont arrivés devant la clinique il y a quelques minutes et des barrières métalliques sont mises en place actuellement pour constituer un périmètre inaccessible au public et aux journalistes.

    16H00: Selon nos informations, M. Bouteflika a été admis en milieu de semaine à la clinique d’Alembert, qui fait partie du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble. La pathologie pour laquelle a été admis le président algérien n’est pas connue, mais on sait qu’un étage entier de la clinique a été réservé à son usage, très probablement pour des raisons de sécurité. Vers 15 heures aujourd’hui, une compagnie de CRS était déployée autour du bâtiment et dans le quartier, a constaté un photographe du Dauphiné Libéré.
    Contactée, la direction du Groupe hospitalier mutualiste n’a pas fait de commentaires : «Nous n’avons rien à dire sur aucun patient », a déclaré un responsable.
    Abdelaziz Bouteflika est âgé de 77 ans et a été réélu pour un quatrième mandat le 17 avril dernier. Victime d’ennuis de santé à répétition depuis qu’il avait frôlé la mort à la suite d’un ulcère hémorragique en 2005, le président algérien a notamment été victime d’un accident vasculaire cérébral en avril 2013. A l’été 2013, il a été hospitalisé pendant deux mois et demi en France (au Val de Grâce et aux Invalides).
    La santé du président Bouteflika fait l’objet de continuelles supputations et controverses en Algérie. Aujourd’hui, il ne se déplace plus qu’en chaise roulante. « Je vais beaucoup mieux », a-t-il confié le 7 octobre à un ami diplomate qu’il a reçu dans son nouveau quartier général, équipé d’une clinique, ainsi que le rapportaient nos confrères de Jeune Afrique le 12 novembre.
    Lundi, il a reçu à Alger Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères.

    Par Denis MASLIAH, Vanessa LAIME et Benoît BOUY | Publié le 14/11/2014 à 17:30 Vu


    Politique


    Loi de finances pour 2015:l’exécutif et le législatif ont-ils négocié?
    Pouvoir,Algerie,Gouvernement,Assemblée,Députés,Loi De Finances 2015,Gouvernement Sellal



    Avant de passer au vote d’adoption de la loi de finances pour 2015, les députés ont voulu y inscrire une augmentation de leur pension de retraite et la possibilité, pour eux, de bénéficier de logements promotionnels et de crédits sans intérêts.



    Il y a longtemps que le citoyen ne croit plus à l'indépendance des députés algériens.



    On leur a promis le privilège de crédits sans intérêts, mais celui-ci ne sera pas intégré à la loi de finances ; cette concession résulte du souhait de motiver les élus et de s’assurer de leur présence aux débats (Mustapha Hammouche-quotidien Liberté).
    Normal, disent les citoyens : "Ces gens-là sont là pour se servir et non pas servir !". D’ailleurs, les débats se déroulant dans l’hémicycle, retransmis ou pas à la télévision, n’intéressent que les députés ou leurs familles proches, ravis de "leurs effets de robe". Quoique. En effet, et c’est du jamais vu à l’Assemblée Populaire Nationale : lors de l’examen de projet de loi de finances pour 2015, le député indépendant, Habib Zagad c’est son nom, s’en est pris, violemment, au Président de l’APN, Larbi Ould Khelifa qui, selon ledit député, n’a rien de démocrate.
    Poussant plus loin "son coup de gueule", le député, entré décidément en dissidence, a brossé lors de la séance plénière de l’Assemblée, un tableau, plutôt sans complaisance, de la situation actuelle du pays, caractérisée a-t-il tenu à le rappeler "par l’absence remarquée du président de la République !".

    Suite :
    h**p://www.lematindz.net/news/15653-loi-de-finances-pour-2015-lexecutif-et-le-legislatif-ont-ils-negocie.html

    Baisse des recettes pétrolières:le gouvernement Sellal tourne en rond Bouteflika,Algerie,Hydrocarbures,Récession,Rente,P étrolière,Gouvernement Sellal,Dépendance Aux Hydrocarbures

    Les pays exportateurs de pétrole se réuniront fin novembre 2014 pour examiner les conséquences de la baisse du cours du pétrole sur les économies des membres, estimée à prés de 25% en moins de six mois. En effet, leur rencontre du 11 juin dernier n’a semble-t-il pas su prévoir une telle chute des cours en si peu de temps. Ils avaient estimé que les prix du brut sont à un niveau confortable pour les pays producteurs et consommateurs ainsi que pour l’industrie pétrolière avait déclaré à l’époque Ali al-Nouaïmi, qui ne s’attendait dorénavant à aucune décision sur le plafond de production, fixé à 30 millions de barils par jour (mb/j) depuis fin 2011.


    Le gouvernement Sellal est en train de conduire l'Algérie droit dans le mur


    En dépit des assurances données par son ministre des Finances, l’Algérie avait dépêché des émissaires auprès du royaume saoudien, croyant encore à son leadership pétrolier. Bien que de nombreux experts tentent d’imputer cette situation à la récession de l’économie mondiale notamment aux pays émergents avec à leur tête la Chine qui a perdu beaucoup en croissance, près de 7%, Les manœuvres politiques ont joué à tirer les prix du brut vers le bas. Qui tire les ficelles de cette stratégie baissière ? A-t-elle un caractère structurel ? Quelles sont les conséquences immédiates sur les pays fortement dépendant des recettes pétrolières ?


    Suite:
    h**p:Baisse des recettes pétrolières: le gouvernement Sellal tourne en rond | Analyse

    Culture
    Lounis Aït Menguellet:toujours aussi sculpteur des mots
    Algerie,Chanson Kabyle,Ait Menguellet


    Lounis Aït Menguellet est un fou. Il parle au jour, il parle à la nuit. Il a dépassé la soixantaine, il est presque vieux, il continue tout de même à s’intéresser à toutes les générations. La sienne et celles de ses enfants. Il s'intéresse, bien entendu, au devenir de ses concitoyens. Ça, c'est Lounis, le politique. Ce qu'il haït.

    Lounis Aït Menguellet


    Lounis Aït Menguellet a commencé à nous enquiquiner à la fin des années 1960. Depuis, il n'a jamais dévié de son sentier qui mène de Ighil Bwamas à son cerveau. Cette tête inégalable, cet esprit si affûté, qui nous fait partir, qui nous emmène vers les herbes, les ruisseaux, la vie.Dans l’album "Isefra", sorti en 2014, Lounis cultive l’ambigüité. Dans la chanson "Eddine amchum". Parle-t-il de Dieu, de la religion ou des dettes ? Il est ainsi Lounis, il nous livre à chaque nouvel album des questions insurmontables. Il nous met au bord d’une falaise ou d’un mont à escalader. Ses dernières chansons, enregistrées en Algérie ont déferlé sur le web. Pour démêler l’écheveau d’Aït Menguellet, le Matindz tente de le faire parler.Le Matindz: Tu as annoncé plusieurs fois ton retrait, ta retraite. Tu arrêtes de chanter ?
    Lounis Aït Menguellet : Je n'y pense pas. Tu veux que je te dise, lorsque j’écris une chanson, je n’imagine jamais la suivante. Lorsque je me produit en gala, je ne suis jamais certain d’en organiser un prochain. Les rumeurs et les polémiques peuvent toujours courir les rues du pays."Nedjayawen amkan", "on vous a laissé la place"…
    Eh bien oui…Lounis, C’est peut-être ton lot, les coups durs, ça te connaît. Quelques-uns t’ont valu beaucoup de déboires…
    Beaucoup de monde est dans une logique d’affrontement. Je ne le suis pas. Je peux me bagarrer quand cela s’avère nécessaire, pour une cause, pas pour me faire voir.Tu es quand même tiède. Tu n’es pas réputé pour être un grand militant….
    Quand un combat s’impose, j’y vais. Je n’ai jamais dévié ni fait machine arrière. S'il faut prendre un fusil pour défendre les libertés ou la dignité, je le ferai, pourquoi pas ? En réalité, c’est presqu’un axiome : Tous les militants qui ont permis aux peuples de glaner quelques droits sont restés et sont morts dans l’ombre.Lounis, pourquoi chantes-tu souvent les fous ?
    Parce qu’il n’y a pas plus lucides que les fous. Un fou dans un village de gens lucides restera un fou. Un homme lucide dans un village de fous sera considéré comme fou. Où se situe la frontière entre la lucidité et la folie ?
    On a dit de Slimane Azem que son don pour la chanson était immanent. Dieu t’a-t-il donné quelque chose ?
    C’est possible mais ce qui me semble plus vrai c’est la transcendance, le vivant, la curiosité, ce qui alimente le quotidien…Qu’arrive-t-il à la chanson kabyle, pourquoi elle ne dit plus rien ?
    Elle est victime du syndrome de la croissance. Je ne me prétends pas universel, poète, mais on ne peut pas m’empêcher de m’alimenter. L’intertextualité est une nécessité créative vitale. Toute chanson renouvelant une précédente apporte quelque chose de nouveau.Le web et les pirates vont finir par avoir ta peau…
    Le piratage massif, ces choses que le fan ne voit pas, c’est notre lot.Tu te fais souvent produire par les organismes d’Etat. Ça te convient ?
    J’ai le sens de l’Etat, je respecte cela. Beaucoup de producteurs de spectacle de bonne volonté se lance dans l’organisation de galas qui ramènent trois chats. Ils n’ont pas les mêmes reins que l’Etat. L’Etat peut organiser un spectacle à perte.Lounis, tu seras retraité un jour ?
    Si après chaque album, il y en a autre. Si après chaque gala il y en a un autre, où vois-tu la retraite ?Quand on s’appelle Aït Menguellet, on est souvent sollicité voire obligé de faire dans l’humanitaire. Te sens-tu impliqué par les grandes causes ?
    Bien sûr. J’ai même consacré des années aux actions de bienfaisance. Je le fais encore, quand je peux, mais je le fais moins qu’avant, mes possibilités n’étant plus les mêmes.Il me semble que ton choix, ton nom fait obligatoirement de toi un militant, un leader.
    Je ne suis pas un leader, prendre un fusil, pourquoi pas si c’est pour une cause juste ? Les vrais militants, les gens qui se sont battus pour de bonnes causes se sont toujours tus, sont restés dans l’ombre.Qui sera avec toi, le 11 janvier 2015 au Zénith de Paris ?
    Mon fils Djaffar. On se comprend et on se complète. Je crois qu’il serait déraisonnable de chercher ailleurs ou autre chose.Entretien réalisé par Meziane Ourad


    "Foot et immigration,100 ans d'histoire commune": le regard lucide d'Eric Cantona
    France,Football,Immigration



    Le football nous apprend toujours des choses. Albert Camus ne se trompait quand il avouait qu'une bonne partie de ce qu'il avait assimilé sur la vie, il l'avait glané sur les terrains de football.

    Zineddine Zidane et Eric Cantona.


    Le film que vient de réaliser l'ancien footballeur, Eric Contana, intitulé, "Foot et immigration, 100 ans d'histoire commune", confirme les propos de l'auteur inspiré du texte poétique, Noces. Projeté au musée de l'Histoire de l'immigration du Palais de la Porte dorée que dirige le grand historien Benjamin Stora, le 12 novembre 2014, le film d'Eric Cantona passera sur Canal Plus le dimanche 16 novembre 2014 à 20h 50. Le mérite de ce documentaire c'est celui de nous expliquer les problèmes actuels par une belle plongée dans l'Histoire. Oui, l'immigration a beaucoup apporté à la France ; oui, on a toujours stigmatisé cette immigration qui réussit, dans bien des cas, la prouesse de se surpasser pour exister. De Raymond Kopa à Mamadou Sakho, tant de footballeurs d'origine étrangère ont porté le maillot tricolore, souvent avec bonheur. Naturalisé à 21 ans, le Polonais Kopaszewski a beaucoup contribué à l'obtention de la troisième place de la France durant la coupe du monde 1958. Les footballeurs algériens avaient raté de peu cette coupe du monde ; ils avaient rejoint, peu auparavant, l'équipe du FLN. En 1954, l'Algérien Bentifour avait joué le mondial avec l'équipe de France ; il était dans l'équipe de France qui avait battu à Genève, le 19 juin 1954, le Mexique 3 à 2. Kopa avait, comme les siens, même travaillé à la mine avant de devenir un grand footballeur qui a marqué l'histoire de ce sport. Roger Pantioni, un autre héros de la coupe du monde 1958, lui, est né dans la Meuse ; ses parents viennent d'Italie, comme Michel Platini. Italiens et Polonais ont souvent joué au football dans les cités pour passer le temps, nous explique le film.Jean Tigana, né au Mali, construit un discours impressionnant dans ce documentaire : tout en revenant sur une longue histoire familiale, il pointe le doigt sur tout ce qui ne marche pas aujourd'hui. Luis Fernandez raconte avec émotion et humour, ses origines espagnoles et son amour de la France. Zineddine Zidane se souvient de ses entraîneurs généreux qui l'avaient aidé à devenir une idole. Pour lui, les racines sont importantes. Mais c'est surtout son père Smaïl qui sait trouver les mots justes pour aller à l'essentiel. Après avoir travaillé près de dix ans, à Saint Denis, dans la région parisienne, Smaïl Zidane avait décidé de rentrer en Algérie durant l'été 1962. Mais à Marseille, il devait attendre trois jours avant le départ du bateau. Et c'est là qu'il rencontre la femme de sa vie ; il reste donc à Marseille et fonde une famille. Smaïl Zidane insiste beaucoup dans ce documentaire sur l'importance de la Kabylie, de l'Algérie. Témoignage extraordinaire, la mère d'Eric Cantona, dit en pleurs, l'histoire de sa famille de résistants à la dictature en Espagne ; ainsi est racontée, avec lucidité, cette tragédie des camps installés en France pour les nombreux réfugiés espagnols. Autrefois, on ne chantait pas l'hymne national ; le film nous apprend que chanter l'hymne national sur un terrain de football est une pratique toute récente. Pendant 90 minutes, Eric Cantona, dont le père vient de Sardaigne, nous fait voyager ; son documentaire est une ode au partage, au vivre-ensemble, aux valeurs humaines qui arrivent toujours à vaincre la haine.
    Youcef Zirem

    A la une/Sports
    Éliminatoires CAN 2015



    La CAF trouve enfin le remplaçant du Maroc

    La Guinée Equatoriale désignée pays hôte de la CAN ORANGE 2015




    novembre 2014 11:35



    Le Caire, 14 novembre 2014. Le Chef de l’Etat et Président de la République de Guinée Equatoriale, M. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, a reçu en audience le Président de la CAF M. Issa Hayatou ce vendredi 14 Novembre concernant la possibilité pour la Guinée Equatoriale d’abriter la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015.



    Suite à des échanges fraternels et fructueux, le Chef de l’Etat Equato-Guinéen a donné son accord pour l’organisation de la compétition du 17 janvier au 8 février 2015.




    Par conséquent, le Comité Exécutif de la CAF confirme que la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015 aura lieu en Guinée Equatoriale aux dates arrêtées, et que l’équipe nationale de Guinée Equatoriale est qualifiée pour le tournoi final en tant que représentante du pays hôte.



    Les 4 sites retenus pour la phase finale sont Malabo, Bata, Mongomo et Ebebiyin.



    Le tirage au sort de la phase finale sera effectué le mercredi 03 Décembre 2014 à Malabo, en Guinée Equatoriale.



    Le Comité Exécutif de la CAF et son Président Issa Hayatou saisissent cette solennelle opportunité pour exprimer leurs sincères remerciements et leur profonde reconnaissance au peuple Equato-Guinéen, à son gouvernement, et particulièrement à Son Excellence le Chef de l’Etat et Président de la République de Guinée Equatoriale, M. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

    La CAN-2015 maintenue:le Maroc disqualifié





    Dans un communiqué publié hier sur son site Internet en marge de la réunion de son bureau exécutif, la CAF a officialisé la délocalisation de la CAN-2015 et la disqualification du Maroc de cette épreuve. “Ayant notifié le 3 novembre dernier sa décision ferme et unanime de maintenir la compétition aux dates indiquées, le Comité exécutif confirme que la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015 n’aura pas lieu au Maroc. Aussi et suite au refus de la partie marocaine, le Comité exécutif décide que l’équipe nationale du Maroc est automatiquement disqualifiée et ne pourra prendre part à la 30e édition de la Coupe d’Afrique des Nations Orange 2015”, indique le communiqué. Et d’ajouter : “Le Comité exécutif a pris note de la réception, le 10 novembre 2014, de quelques candidatures d’associations nationales confirmant leur souhait d’organiser la compétition 2015 aux dates arrêtées.
    Ces candidatures sont actuellement à l’étude et le Comité exécutif finalisera la sélection de l’association nationale retenue sous peu, et confirmera le lieu et la date du tirage au sort de la phase finale par la même occasion.” En outre, la CAF promet des sanctions contre le Maroc. “La Commission d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations Orange appliquera ultérieurement les dispositions règlementaires qui s’imposent, suite au non-respect par la Fédération royale marocaine de football des clauses réglementaires et contractuelles, dont celles stipulées dans l’accord-cadre signé entre la CAF et la Fédération royale marocaine de football en avril 2014.”
    Par ailleurs, le communiqué de la CAF indique que “le Comité exécutif confirme donc le maintien des journées éliminatoires 5 et 6 qui auront lieu au courant du mois (14/15 novembre et 19 novembre), permettant la qualification des 15 équipes qui se joindront à la sélection nationale du pays hôte”.
    Reste à connaître maintenant le pays qui va abriter la CAN-2015 ? L’Égypte, le Nigeria, le Gabon ou encore l’Angola ? La CAF étudie les possibilités, mais hier, au moment où nous mettions sous presse, aucune décision n’avait été prise mais il semblerait qu’en raison de la situation sécuritaire au Nigeria, ce pays paraît out déjà.
    L’Égypte serait le favori pour remplacer le Maroc d’autant plus que le président de la CAF, Issa Hayatou, a déclaré que ce pays était capable d’accueillir la CAN.





    La Tunisie qualifiée



    La Tunisie est officiellement qualifié pour la prochaine Coupe d'Afrique

    des Nations (CAN-2015) de football. C'est le quatrième pays qualifié après l'Algérie, le Cap Vert et le pays organisateur, la Guinée Equatoriale. La Tunisie a obtenu son billet grâce au nul obtenu, ce vendredi, face au Botswana (0-0) à Gaborone en match de la cinquième journée des éliminatoires, groupe G. Avec ce point récolté, la Tunisie consolide sa place de leader du groupe avec 11 points devant le Sénégal (7 pts) , l'Egypte (6 pts) alors que le Botswana reste dernier avec un seul point . L'autre match de ce groupe opposera l'Egypte au Sénégal samedi au Caire.

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    ]FLASH INFOS : 21/11/2014

    A la une/Actualité
    Le problème en Algérie,ce ne sont pas les textes mais leur application
    25e anniversaire des droits de l’enfant.



    le 21.11.14 | 10h00
    Une édition spéciale pour un événement exceptionnel. A l’occasion du 25e anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant, El Watan Week-end a confié ses pages à un rédacteur en chef tout particulier : l’Unicef Algérie.


    L’enfant a des droits. Il y a 25 ans, le monde les inscrivait dans le texte d’une convention pour les défendre et les promouvoir. L’Algérie a ratifié, le 19 décembre 1992, cette Convention relative aux droits de l’enfant (CDE) adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 20 novembre 1989, considérant dorénavant l’enfant comme un sujet de droit. Cette Convention cerne les principaux droits de l’enfant qui s’articulent essentiellement sur la paix, la dignité, la tolérance, la liberté, l’égalité et la solidarité ainsi que sur la garantie du droit à l’opinion, à l’expression, à la participation et à la prise de décision. Aujourd’hui, une question légitime se pose : que fait réellement l’Algérie pour ses enfants ?
    Face à l’impasse politique : L’urgence d’une sortie de crise


    Pour l’opposition,le quatrième mandat de Bouteflika n’a fait qu’aggraver la crise politique dans le pays.
    La dernière hospitalisation cachée du président Bouteflika à Grenoble et l’image de l’ambulance qui le ramenait à l’aéroport ont achevé de détruire les arguments de ceux qui nous serinent, sans rire, que notre «raïs» se porte comme un charme et que son cerveau «fonctionne mieux» que les nôtres…


    Les Algériens en sont réduits à épier cette image inamovible d’un Président presque immobile, agitant péniblement sa main droite et bafouillant quelques mots à peine audibles à des diplomates et responsables étrangers plus gênés que charmés. La tournée qu’effectue depuis hier une délégation de l’Union européenne, présidée par Bernard Savage, chez les partis de l’opposition n’est certainement pas fortuite. En d’autres circonstances, le pouvoir et ses porte-voix auraient crié à l’ingérence dans les affaires internes. Souvenons–nous de la salve de Belkhadem, alors ministre des Affaires étrangères, contre l’ex-ambassadeur des Etats-Unis, Robert Ford, qui s’était permis d’aller écouter certains leaders de l’opposition. Il faut croire que Bouteflika et son clan ne sont désormais plus en mesure de gronder les diplomates étrangers dont ils ont grandement besoin pour, espèrent-ils, transformer par la magie du verbe leur immobilisme en «stabilité».
    L’opposition franchit le pas
    Que les Européens aillent écouter les propositions de la CNLTD, du Pôle du changement et du FFS est signe de conviction que la durée de vie du régime Bouteflika est arrivée à expiration. Et ce ne sont pas les propos railleurs du chef du MPA, Amara Benyounès, sur le bulletin de santé du Président qui vont convaincre du contraire ; surtout pas nos partenaires étrangers.
    Ou encore ce déni des réalités de son alter ego du FLN, Amar Saadani, pour qui «il n’y a pas de crise politique» en Algérie. La situation prête vraiment à rire, si ce n’est qu’il est question du destin de la nation mis en sursis au grand dam d’un peuple qui a légitimement peur de l’avenir.

    Mais cette forme d’idolâtrie ne s’accommode pas avec la pratique politique, pas plus qu’il n’est sain de superposer le destin d’un homme, fut-il Président, à celui de l’Algérie. Il n’est pas possible non plus de sauver Bouteflika, le régime et l’Algérie en même temps. L’impasse étant intégrale, qu’elle ne peut se résoudre par un discours incantatoire. Le régime, qui s’est appuyé quinze années durant sur la rente pétrolière pour s’acheter la paix sociale, les soutiens internes et externes, fait face aujourd’hui à un retour de flammes. Le baril du pétrole, qui lui permettait un règne «étincelant» sans consentir le moindre effort, risque de lui exploser à la figure, à présent que les cours du brut frisent la ligne rouge.
    Les Européens veulent savoir…
    Ironie du sort, le pétrole qui était le meilleur allié de Bouteflika est en passe de devenir son pire ennemi. Pris dans une boulimie dépensière et ayant ouvert la voie à une corruption épidémique, qui est l’œuvre de ses collaborateurs, Bouteflika a «oublié» de construire une économie alternative. Du coup, son bilan constitue son boulet, au-delà de la glaciation politique qu’il a imprimée au pays. Précisément, la chape de plomb que le régime a imposée aux partis et aux médias commence à se lézarder. Il n’est plus possible à l’Algérie de se suffire d’un Président malade dont les rares apparitions sont forcément accompagnées de commentaires aigres-doux des médias étrangers.
    En osant réclamer une présidentielle anticipée, les animateurs de la CNLTD expriment tout haut ce que beaucoup d’Algériens pensent tout bas. Ils ont le mérite d’abattre leurs cartes et d’ouvrir un débat sérieux sur l’avenir du pays loin des considérations sentimentales. C’est ce que fait aussi Mouloud Hamrouche qui sillonne le pays et sensibilise l’opinion sur l’impérieuse nécessité d’un consensus national.
    En face, et comme par instinct de survie, les «béquilles» politiques de Bouteflika battent en retraite en décidant de créer une sorte de «front de refus» du changement pour s’opposer à l’initiative du FFS et celle de la CNLTD.

    Un appel qui sonne comme un cri de panique des partisans du statu quo mortifère pour le pays. En effet, la pilule du quatrième mandat s’étant finalement avérée beaucoup plus dure à avaler. On doit reconnaître avec Noureddine Boukrouh : «Quand il s’agit du sort d’une nation, d’un peuple, d’un Etat, le sentimentalisme et le moralisme bon marché ne sont pas de mise ; ils doivent laisser place à l’analyse froide, objective et rationnelle, et parfois même à la colère et à la révolte quand elles sont largement justifiées.»
    Il y a donc urgence de trouver une solution, négociée de préférence, à l’impasse actuelle et ne pas foncer tête baissée droit dans le mur…





    L'ancien chef du gouvernement Ali Benflis, coordonnateur du Pôle des Forces du Changement, a reçu le 19 novembre au siège de sa permanence la délégation européenne.
    Ali Benflis


    La délégation européenne était conduite par M. Bernard Savage, chef du Département Maghreb, accompagné de SEM. M. Marek Slolil, ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, et de MM Dirk Buda, Conseiller à la Délégation, Luis Miguel Buenopadilla, Chef du bureau Algérie et Ilie Calin, Conseiller.Outre Ali Benflis, il y avait à cette première rencontre Mohamed Djahid Younsi, président du Mouvement El Islah, Djamel Benabdesselam, président du Front de l’Algérie nouvelle, Tahar Benbaibeche, président du Parti El Fadjr El jadid Noureddine Bahbouh, président du Parti Union des forces démocratiques et sociales.La Délégation européenne a voulu connaître la position et la vision de l’opposition à l’égard de la crise politique dans laquelle se débat l’Algérie. M. Benflis a procédé à une présentation de sa proposition d’un "processus global de règlement de la crise politique". Un ensemble de proposition qu’il a déjà porté à la connaissance du peuple algérien. Il a par ailleurs remis au chef de la Délégation de l’Union européenne un Aide-mémoire portant sur la transition démocratique.

    La prochaine réunion de l’OPEP n’influencera pas le cours du pétrole

    Le cours du pétrole continue sa chute depuis plus de deux mois, niveau jamais atteint depuis plus de quatre années. Le 17 novembre en fin de clôture il est coté à 79,11 dollars le brent et 75,64 dollars le WIT américain, l’once d’or à 1185 et l’euro à 124,50 pour un dollar et au début de l'ouverture le 18 novembre 2014 pas de changements notables.


    La suite :
    h**p ://www.lematindz.net/news/15684-la-prochaine-reunion-de-lopep-ninfluencera-pas-sur-le-cours-du-petrole.html




    A la une /Culture

    La grande fête indienne à Alger
    le 21.11.14



    Alger jusqu'au 27. Un mariage exceptionnel des couleurs artistiques arabes et indiennes est au rendez-vous avec la 2e édition du Festival culturel arabo indien, organisé par l’Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel en partenariat avec la Ligue Arabe.


    Pendant huit jours, neuf wilayas algériennes accueilleront plusieurs pays de la ligue arabe qui seront eux-mêmes représentés par des films, des groupes de danse, des musiciens… Quant à l’Inde, le pays des épices et des couleurs, fera découvrir son cinéma et sa culture à travers plusieurs spectacles. Au programme de cet événement, des projections cinématographiques accompagnées de concerts musicaux et des spectacles de danse. Vendredi 21. A 18h. Spectacle de danse indienne Sufi Kathak. A la salle El Mouggar. A 20h. Spectacle du folklore soudanais et la troupe algérienne Ahalil. A la salle Ibn Zeydoun. Samedi 22. A 20h. Soirée musicale avec Djakmi de Tamanrasset et le groupe égyptien Nil.


    A la salle El Mouggar. Concert de la musique populaire mauritanienne. Au palais de la culure Moufdi Zakaria. Dimanche 23. A 20h. Spectacle du folklore palestinien et la musique tunisienne. A la salle El Mouggar. Le ballet algérien de l’onci donnera un spectacle. Au palais de la culture. Et les groupes musicaux Oum Kalthoum d’Egypte et Freeklane d’Algérie animeront la soirée. Lundi 24. A 20h. Soirée musicale animée par l’association Nadjm Kortoba et la troupe Mohamed El Houari du Maroc. A la salle El Mouggar. Soirée musicale avec les artistes algériens Mohamed Zegni et Rym Hakiki.


    Au Palais de la culture. Mardi 25. A 18h. Spectacle des troupes Enama d’Algérie et Ahouach du Maroc. Au Palais de la culture. A 20h. Concert musical de Lamia Maadini et Abderrahmane El Koubi. A la salle Ibn Zeydoun. Mercredi 26. A 20h. Soirée musicale animée par le chanteur algérien Abdelkader El Khaldi. Au Palais de la culture. A 20h. Soirée musicale animée par l’artiste algérienne Souad Assla. A la sallle Ibn Zeydoun. Jeudi 27. A 20h. Spectacle de clôture du festival arabo-indien animé par l’Orchestre symphonique algérien. Au palais de la culture Moufdi Zakaria. Boumerdes. Vendredi 21. A 18h. Spectacle de la danse palestinienne. A la maison de la culture. Dimanche 23.


    A 18h. Spectacle de danse indienne Sufi Kathak. Tizi Ouzou. Lundi 24. A 18h. Spectacle de danse indienne Sufi Kathak. A la Maison de la culture. Tlemcen. Samedi 22. A 18h. Spectacle de danse avec la troupe indienne Sadhia Triniti. Au palais Imama. Annaba. Mardi 25. A 18h. Spectacle de danse avec la troupe indienne Sadhia Triniti. Au palais Imama. Ain defla. Mercredi 26. A 18h. Soirée de musique égyptienne avec la troupe Nil. A la maison de la culture. Médéa. Lundi 24. A 18h. Soirée de musique égyptienne avec la troupe Nil. A la maison de la culture.

    «L'Oranais», ce film algérien «appuie là où cela fait mal»



    « L’Oranais », film algérien de Lyes Salem, avec Djemel Barek, Khaled Benaissa, Lyes Salem, Najib Oudghiri.





    Amitié, trahison, désillusion. « L'Oranais » de Lyes Salem sort ce mercredi 19 novembre sur les écrans français. Ce film sans concession s'intéresse à la période qui suit l'indépendance de l'Algérie et il fait déjà polémique, en Algérie même.

    Dans L'Oranais, Lyes Salem filme le désenchantement. Une époque, de l'après-indépendance aux années 1980, rarement explorée par le cinéma algérien. « J’ai la sensation que c’est quasiment l’une des seules périodes où, en Algérie, la vie avait un sens, affirme le réalisateur. Il y avait un avenir, un rêve, une réelle volonté de construire. »
    Djaffar, « l’Oranais », entrainé un peu malgré lui dans la guerre d'indépendance, va devenir un héros. Hamid, son compagnon d'armes, sera ministre, mais leur amitié ne résistera pas aux compromissions, et à la corruption.
    Lors des avant-premières en Algérie, le film de Lyes Salem a été ovationné, mais aussi critiqué par des associations dites « d'anciens combattants » et par des religieux. « Je ne suis pas certain que ce soit des anciens combattants qui se manifestent, avance Lyes Salem. Je pense que le film appuie à des endroits où cela fait mal. Et de la même manière qu’il y a des gens pour lesquels cela fait du bien, c’est une bouffée d’air frais, c’est normal aussi que, de l’autre côté, il y ait des gens qui se sentent heurtés par la vision de ces hommes. »
    À la différence de beaucoup d'autres films algériens, L'Oranais a obtenu un visa d'exploitation. Il doit sortir dans les cinémas algériens début décembre.


    Source:
    h**p ://www.rfi.fr/afrique/20141119-l-oranais-film-algerien-lyes-salem-appuie-fait-mal/


    Snatch Guy de Ritchie (2000)
    Profusion des genres


    le 21.11.14


    Mascara, Maison de la Culture Abi Ras Ennaciri. à 17h. Le 21. Tout commence par le vol d’un diamant à Anvers, cité des diamantaires, en Belgique.


    L’objet du délit doit alors transiter par Londres avant d’arriver à New York, entre les mains du boss. Seulement, une bande concurrente de mafieux entend parler de ce succès et cherche à s’emparer du diamant. Tout cela se passe dans le cadre de matchs de boxe londoniens auxquels les membres de chaque bande s’adonnent. Ce second long métrage de Guy Ritchie est fidèle à ce que le réalisateur maitrise, des ambiances dystopiques où la tension des milieux mafieux est toujours cassée par une touche d’humour, un détail dans la reconstitution des endroits où se déroulent les intrigues et une préférence prononcée pour la multitude des endroits, des intrigues, des personnages. La profusion, telle est la marque de fabrique de l’ex-mari de Madonna, alors forcément on a tendance à s’y perdre. Les histoires se mêlent, se démêlent et, parfois, on a l’impression de visionner deux films parfaitement autonomes. La concentration est de mise pour apprécier l’étendue de ce film au demeurant agréable notamment grâce aux jeux des acteurs, à l’immersion architecturale proposée et à la collision des genres : film de gangsters, film psychologique, un cocktail intéressant.




    A la une /Sport/Afrique/Can 2015

    Sans le Nigeria et l’Egypte






    Le Nigeria et l’Egypte seront les grands absents de la 30e édition de la CAN, prévue en Guinée équatoriale à partir de janvier 2015.


    Le Nigeria, détenteur de la Coupe d’Afrique des nations 2013, et l’Egypte, sept fois vainqueur du trophée africain, ont été officiellement éliminés au terme de la dernière journée des éliminatoires disputée mercredi. La sortie des Super Eagles a été «officialisée» après le nul concédé, à domicile, à l’Afrique du Sud (2-2). Cette élimination prématurée, due à une très mauvaise entame de compétition, est bien mal vécue à Lagos et risque d’emporter plusieurs «têtes» du football nigérian.
    Pour l’Egypte, c’est la troisième fois de suite que l’équipe ne parvient pas à se qualifier à une phase finale, depuis 2010 où elle a été sacrée en Angola. Battus deux fois (par la Tunisie et le Sénégal) à domicile, les Pharaons ont essuyé une quatrième défaite mercredi devant la Tunisie (1-2) à Tunis, qui a mis fin à tout espoir en tant que meilleur troisième. Sinon, tous les «gros bras» du continent seront présents lors de la prochaine CAN, à commencer par le Ghana, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et aussi l’Algérie, qui fait figure de favori en puissance pour cette 30e CAN, qui aura lieu du 17 janvier au 8 février. Il y aura également des outsiders, à l’instar du Sénégal et du Burkina Faso.
    Ce dernier avait atteint la finale en 2013 et ira à Malabo avec de grandes ambitions. Le tirage au sort de la phase finale de la CAN-2015 aura lieu le 3 décembre prochain à Malabo. Pour rappel, la Guinée équatoriale remplace le Maroc, qui avait demandé de reporter la compétition à 2016 en raison de l’épidémie d’Ebola. Ce que la CAF a catégoriquement refusé.

    Pitroipa meilleur buteur des éliminatoires de la CAN-2015

    Le Burkinabé Jonathan Pitroipa, auteur de 6 buts, a fini meilleur buteur des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2015), qui ont pris fin mercredi. Le maître à jouer des Etalons a inscrit son sixième but mercredi, à Ouagadougou, contre l’Angola (1-1). Jonathan Pitroipa a marqué à tous les matchs où il a pris part. «C’est grâce à mes coéquipiers. Il faut maintenant que je continue à progresser. J’espère qu’à la CAN, je vais faire gagner mon équipe», a-t-il confié à la presse locale. (AFP).








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    A la une/Actualité

    Victime d'un infarctus, le wali de Annaba transféré à l’institut Montsouris de Paris


    le 28.11.14

    M. Sendid Mohamed Mounib, le wali de Annaba a été transféré jeudi, selon des sources proches de sa famille, à bord d’un avion sanitaire d’Europe Assistance depuis l’aéroport international Rabah Bitat de Annaba à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) de Paris, un hôpital privé à but non lucratif


    Il est actuellement alité au 5ème étage du département de pathologie cardiaque. Sa femme qui l’a accompagné est à son chevet. Selon des sources médicales locales, son état nécessite un pontage coronarien.
    C’est dans la soirée de mardi à mercredi, que le wali de Annaba a été victime d’un infarctus ayant nécessité son hospitalisation rapide au service de cardiologie à l’unité Ibn Sina du CHU Ibn Rochd de Annaba.
    Immédiatement, il a été pris en charge par l’équipe médicale en place qui a pu lui éviter temporairement une récidive avant de le placer au service de réanimation sous soins intensifs et surveillance médicale.
    Informé, le ministère de l’Intérieur a tout fait, dans un temps record, pour préparer le dossier de sa prise en charge médicale, nécessaire pour son transfert en France conventionné avec l’Algérie.
    Depuis plusieurs semaines, le wali souffre, selon son entourage, d’un stress permanent.
    En effet, face à des problèmes administratifs insolubles qui caractérisent la wilaya de Annaba, l’insuffisance professionnelle de son exécutif, le trafic foncier et les pressions exercées par les hautes personnalités militaires, politiques et civiles, il n’a pas résisté.



    Le pétrole passe en dessous des 70 dollars le baril
    Algerie, Pétrole, Rente, Hydrocarbures, Opep


    Les cours du brut plongeaient jeudi, perdant plus de 5 dollars à Londres comme à New York, la référence américaine de l'or noir passant même sous la barre des 70 dollars pour la première fois depuis 2010, après le statu quo de l'Opep.

    Quelle réaction des autorités algériennes devant l'inquiétante baisse du pétrole ?


    Depuis 2012, le baril du pétrole est passé de 126 dollars à moins de 70 dollars. Une chute qui risque de coûter cher aux économies dépendant de l'or noir comme l'Algérie. Ainsi, vers 16h30 GMT, le WTI a chuté jusqu'à 67,75 dollars le baril dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), son plus bas niveau depuis le 25 mai 2010, tandis que le Brent s'est enfoncé sous les 72 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, atteignant un plus bas depuis le 7 juillet 2010 (à 71,25 dollars).L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé jeudi de maintenir son plafond de production à 30 millions de barils par jour (mbj), niveau auquel il est fixé depuis trois ans, et ce malgré la très forte chute des cours du brut depuis l'été. Le ministre koweïtien du pétrole, Ali al-Omair a déclaré : "Pas de changement".
    Les membres du cartel s'étaient montrés divisés dans les semaines précédant la réunion, certains souhaitant ardemment une réduction du plafond de production de l'Opep pour freiner la chute des cours du brut tandis que d'autres étaient partisans de laisser faire le marché.Ainsi, le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, dont le pays était opposé à une réduction de la production, a estimé jeudi que le cartel avait pris une bonne décision. En revanche, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, qui militait pour une importante baisse, a quitté la réunion le visage fermé et refusant de répondre à la presse.Le résultat de cette réunion est baissier au possible. Il n'y a aucun changement de l'objectif de production et aucune attention portée au respect du plafond de production, constatait Torbjorn Kjus, analyste de DNB. Sans diminution du plafond de production des pays de l'Opep, les prix du Brent pourrait atteindre les 60-70 dollars avant Noël, estimait-il.Les cours du pétrole ont chuté de plus de 35% depuis la mi-juin, plombés par le ralentissement de la croissance de la demande mondiale combinée à une offre surabondante, alimentée notamment par le pétrole de schiste américain.


    A la une/Politique

    Effacement de dettes des pays africains : l'autre décision insensée de Bouteflika
    Bouteflika, Algerie, APN, Dettes De Pays Africains, Créances

    Parmi les nombreux drames et scandales qui auront marqué le long et ennuyeux règne de Bouteflika, débuté en avril 1999 et poursuivi depuis, dans les conditions scandaleuses que l'on sait, la décision qu'il a prise unilatéralement pour effacer les créances que l'Algérie détenait sur des pays arabes et africains, figurera en bonne place. Et pour cause.


    Abdelaziz Bouteflika.



    L'ampleur de cette "affaire" est de loin supérieure à celle du détournement des reliquats des ambassades et des consulats algériens, qui s'élevaient à des dizaines de millions et non pas à des centaines de millions de dollars américains, comme dans le cas des créances en question.En effet, sans, comme l'exige la loi, consulter préalablement l'Assemblée populaire nationale, dont l'une des missions majeures est de veiller à la bonne gestion des finances publiques, Abdelaziz Bouteflika, sans doute sur la base de dossiers et rapports complaisants émanant des ministères des affaires étrangères et des finances, avait décidé, à partir de 2010, d'effacer ces créances, évaluées à plus de 900 millions de dollars américains, pour 14 pays africains (Bénin, Burkina Faso, Congo-Brazzaville, Ethiopie, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Mozambique, Niger, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Seychelles et Tanzanie ) et à plus de 500 millions de dollars américains, pour deux pays arabes (Irak et Yémen).


    Loi de finances pour 2015 : l’exécutif et le législatif ont-ils négocié ?
    Pouvoir, Algerie, Gouvernement, Assemblée, Députés, Loi De Finances 2015, Gouvernement Sellal



    Avant de passer au vote d’adoption de la loi de finances pour 2015, les députés ont voulu y inscrire une augmentation de leur pension de retraite et la possibilité, pour eux, de bénéficier de logements promotionnels et de crédits sans intérêts.

    Il y a longtemps que le citoyen ne croit plus à l'indépendance des députés algériens.


    On leur a promis le privilège de crédits sans intérêts, mais celui-ci ne sera pas intégré à la loi de finances ; cette concession résulte du souhait de motiver les élus et de s’assurer de leur présence aux débats (Mustapha Hammouche-quotidien Liberté).Normal, disent les citoyens : "Ces gens-là sont là pour se servir et non pas servir !". D’ailleurs, les débats se déroulant dans l’hémicycle, retransmis ou pas à la télévision, n’intéressent que les députés ou leurs familles proches, ravis de "leurs effets de robe". Quoique. En effet, et c’est du jamais vu à l’Assemblée Populaire Nationale : lors de l’examen de projet de loi de finances pour 2015, le député indépendant, Habib Zagad c’est son nom, s’en est pris, violemment, au Président de l’APN, Larbi Ould Khelifa qui, selon ledit député, n’a rien de démocrate.
    Poussant plus loin "son coup de gueule", le député, entré décidément en dissidence, a brossé lors de la séance plénière de l’Assemblée, un tableau, plutôt sans complaisance, de la situation actuelle du pays, caractérisée a-t-il tenu à le rappeler "par l’absence remarquée du président de la République !".Commentant son intervention, certains de ses collègues ont dit "qu’il s’était tiré une balle dans le pied". D’autres, lui ont trouvé du courage mais en pensant, tout de même, qu’il aurait dû aller au terme de sa logique et démissionner de l’Institution Parlementaire.


    A la une/Culture

    Abdelkader Alloula raconté par Médiène Benamar



    le 28.11.14 | 10h00

    Oran . samedi 29. a partir de 18H. Conférence autour de thème «Alloula des deux côtés de la scène».



    La rencontre, qui sera animée par le docteur en sociologie Médiène Benamar, tracera la ligne de crête qui dessine la vie du grand dramaturge algérien, Abdelkader Alloula, victime d’un attentat terroriste un certain 10 mars 1994. A travers sa conférence, le professeur de sociologie, philosophie et l’histoire de l’art, Médiène Benamar, vise à marquer quelques arrêts sur le parcours d’Alloula, le situer dans son roman familial, dans sa filiation artistique et dans l’espace-temps de sa société et du monde.

    Selon lui, l’image d’Abdelkader Alloula ne jaunit pas, sa parole reste vive et résonnera encore et toujours dans celle des siens, dans la nôtre et celle des comédiens qui le continuent et le continueront. Il est reste le jeune homme qu’il n’a jamais cessé d’être, élégant dans l’être et le paraître, dans le geste large et franc, dans la voix de baryton ou de celle du conteur qui murmure à l’oreille d’un enfant malade, dans le rire en staccato, et toujours cette pointe d’humour en embuscade. Alloula est considéré comme l’un des plus populaires dramaturges algériens.
    Ses pièces sont écrites en arabe populaire, langue et culture qu’il défendait. Il a mis en scène des pièces de Bertolt Brecht, Molière ou Goldoni et adapté pour la télévision de nombreuses nouvelles. Ce dernier est également l’auteur de deux scénarios réalisés par Mohamed Ifticène, Gorinne en 1972 et Djalti en 1980. La conférence aura lieu à l’Institut français. 112, rue Larbi Ben M’hidi. Tél. : 041.403.541.



    Lounis Aït Menguellet: toujours aussi sculpteur des mots
    Algerie, Chanson Kabyle, Ait Menguellet



    Lounis Aït Menguellet est un fou. Il parle au jour, il parle à la nuit. Il a dépassé la soixantaine, il est presque vieux, il continue tout de même à s’intéresser à toutes les générations. La sienne et celles de ses enfants. Il s'intéresse, bien entendu, au devenir de ses concitoyens. Ça, c'est Lounis, le politique. Ce qu'il haït.

    Lounis Aït Menguellet
    143 2
    Lounis Aït Menguellet a commencé à nous enquiquiner à la fin des années 1960. Depuis, il n'a jamais dévié de son sentier qui mène de Ighil Bwamas à son cerveau. Cette tête inégalable, cet esprit si affûté, qui nous fait partir, qui nous emmène vers les herbes, les ruisseaux, la vie.Dans l’album "Isefra", sorti en 2014, Lounis cultive l’ambigüité. Dans la chanson "Eddine amchum". Parle-t-il de Dieu, de la religion ou des dettes ? Il est ainsi Lounis, il nous livre à chaque nouvel album des questions insurmontables. Il nous met au bord d’une falaise ou d’un mont à escalader. Ses dernières chansons, enregistrées en Algérie ont déferlé sur le web. Pour démêler l’écheveau d’Aït Menguellet, le Matindz tente de le faire parler.Le Matindz: Tu as annoncé plusieurs fois ton retrait, ta retraite. Tu arrêtes de chanter ?
    Lounis Aït Menguellet : Je n'y pense pas. Tu veux que je te dise, lorsque j’écris une chanson, je n’imagine jamais la suivante. Lorsque je me produit en gala, je ne suis jamais certain d’en organiser un prochain. Les rumeurs et les polémiques peuvent toujours courir les rues du pays."Nedjayawen amkan", "on vous a laissé la place"…
    Eh bien oui…Lounis, C’est peut-être ton lot, les coups durs, ça te connaît. Quelques-uns t’ont valu beaucoup de déboires…
    Beaucoup de monde est dans une logique d’affrontement. Je ne le suis pas. Je peux me bagarrer quand cela s’avère nécessaire, pour une cause, pas pour me faire voir.Tu es quand même tiède. Tu n’es pas réputé pour être un grand militant….
    Quand un combat s’impose, j’y vais. Je n’ai jamais dévié ni fait machine arrière. S'il faut prendre un fusil pour défendre les libertés ou la dignité, je le ferai, pourquoi pas ? En réalité, c’est presqu’un axiome : Tous les militants qui ont permis aux peuples de glaner quelques droits sont restés et sont morts dans l’ombre.Lounis, pourquoi chantes-tu souvent les fous ?
    Parce qu’il n’y a pas plus lucides que les fous. Un fou dans un village de gens lucides restera un fou. Un homme lucide dans un village de fous sera considéré comme fou. Où se situe la frontière entre la lucidité et la folie ?
    On a dit de Slimane Azem que son don pour la chanson était immanent. Dieu t’a-t-il donné quelque chose ?
    C’est possible mais ce qui me semble plus vrai c’est la transcendance, le vivant, la curiosité, ce qui alimente le quotidien…Qu’arrive-t-il à la chanson kabyle, pourquoi elle ne dit plus rien ?
    Elle est victime du syndrome de la croissance. Je ne me prétends pas universel, poète, mais on ne peut pas m’empêcher de m’alimenter. L’intertextualité est une nécessité créative vitale. Toute chanson renouvelant une précédente apporte quelque chose de nouveau.Le web et les pirates vont finir par avoir ta peau…
    Le piratage massif, ces choses que le fan ne voit pas, c’est notre lot.Tu te fais souvent produire par les organismes d’Etat. Ça te convient ?
    J’ai le sens de l’Etat, je respecte cela. Beaucoup de producteurs de spectacle de bonne volonté se lance dans l’organisation de galas qui ramènent trois chats. Ils n’ont pas les mêmes reins que l’Etat. L’Etat peut organiser un spectacle à perte.Lounis, tu seras retraité un jour ?
    Si après chaque album, il y en a autre. Si après chaque gala il y en a un autre, où vois-tu la retraite ?Quand on s’appelle Aït Menguellet, on est souvent sollicité voire obligé de faire dans l’humanitaire. Te sens-tu impliqué par les grandes causes ?
    Bien sûr. J’ai même consacré des années aux actions de bienfaisance. Je le fais encore, quand je peux, mais je le fais moins qu’avant, mes possibilités n’étant plus les mêmes.Il me semble que ton choix, ton nom fait obligatoirement de toi un militant, un leader.
    Je ne suis pas un leader, prendre un fusil, pourquoi pas si c’est pour une cause juste ? Les vrais militants, les gens qui se sont battus pour de bonnes causes se sont toujours tus, sont restés dans l’ombre.
    Qui sera avec toi, le 11 janvier 2015 au Zénith de Paris ?
    Mon fils Djaffar. On se comprend et on se complète. Je crois qu’il serait déraisonnable de chercher ailleurs ou autre chose.


    A la une/Sports

    En Afrique, l’Algérie reste la meilleure équipe





    le 28.11.14 | 10h00
    La sélection algérienne de football a été rétrogradée de trois places dans le dernier classement FIFA, établi hier à Zurich, en Suisse.

    Les Verts sont désormais classés à la dix-huitième position du classement mondial avec un total de 948 points, après avoir occupé au mois d’octobre dernier la quinzième place —leur meilleur classement— avec de 989 points. Toutefois, la sélection drivée par le technicien français Christian Gourcuff demeure toujours l’équipe n°1 d’Afrique et continue de dominer également le classement des meilleures nations arabes. Les trois places perdues lors du dernier classement étaient quelque peu prévisibles après le revers subi par les coéquipiers de Sofiane Feghouli, le 19 novembre dernier à Bamako devant le Mali, sur le score de 2 buts à 0. Ce jour-là, le coach algérien avait modifié sensiblement son team pour voir d’autres joueurs à l’œuvre. Cela a influé négativement sur le rendement de l’équipe, au grand bonheur des Maliens qui ont, grâce à leur important succès sur les Algériens, validé leur billet pour la phase finale de la CAN, qui se déroulera du 17 janvier au 8 février prochain en Guinée équatoriale.

    Au niveau africain, l’Algérie devance désormais de quatre places la Tunisie qu’elle devra rencontrer en amical au mois de janvier prochain. Les Aigles de Carthage, qui ont brillamment arraché leur ticket pour la phase finale de la CAN, ont pris la seconde place du classement africain, en se hissant à la 22e place mondiale, devançant ainsi la Côte d’Ivoire 24e, et qui a tout de même gagné une place par rapport à son dernier classement du mois d’octobre. Le Sénégal, le Ghana et la Guinée suivent le trio composé de l’Algérie, la Tunisie et la Côte d’Ivoire, en occupant respectivement les 35e, 37e et 38e places.
    Par ailleurs, l’Egypte complète le podium arabe après l’Algérie et la Tunisie, mais cette sélection a été reléguée à la 60e place après avoir perdu 22 places, consécutivement à son élimination de la CAN en se classant dans son groupe derrière la Tunisie et le Sénégal. Sur le plan mondial, l’Allemagne conserve toujours sa première place du classement avec de 1725 points, suivie de l’Argentine et la Colombie. L’Angleterre, qui était 20e lors du dernier classement FIFA, a gagné sept places pour se retrouver en 13e position
    Dernière modification par zadhand ; 28/11/2014 à 22h03. Motif: Radar de Maghreb-Sat 28/11/2014
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