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Discussion: Radar de Maghreb-Sat

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    Post Radar de Maghreb-Sat 02 Janvier 2015

    FLASH INFOS : 02 Janvier 2015

    A la une/Actualité
    Des manifestants bloquent l’accès au premier forage de gaz de schiste en Algérie

    le 02.01.15 | 18h32
    Des dizaines de citoyens d’In Salah ont poursuivi vendredi leur mouvement de protestation entamé le 31 décembre. Après quelques heures d’ouverture, la transsaharienne, sur le carrefour des deux Sahla et à 35 Km de la ville,
    a encore été fermée à la circulation.


    Beaucoup de jeunes, des étudiants universitaires qui ne veulent pas quitter leur région en ce moment crucial de son histoire ou son avenir se joue à quelque kilomètres seulement de la zone urbaine et des exploitations agricoles ancestrales et nouvelles mais aussi des membres actifs de la société civile locale se sont postés toute la journée en face du premier forage de gaz de schiste algérien. Le PK 35 de la RN 1 s’étalant d’Alger jusqu’aux frontières sud et au-delà compte la station de gaz conventionnel de Hassi Moumene mais aussi toutes les entreprises d’exploration et d’exploitation du gaz dont Petrofac, qui est la joint-venture British Petroleum et Sonatrach, la plus importante de la région.

    Une manif et des slogans

    Les banderoles et slogans brandis par les manifestants depuis deux jours sont en arabe et en français. On y lit en gros caractère : « oui au solaire thermique, non au gaz de schiste », « non à l'extermination du sud par le gaz de schiste », « In Salah agonise ». Les jeunes semblent déterminés, la délégation qui s’est entretenue jeudi avec le chef de daïra a expressément demandé que ces doléances soient transmises directement au président de la République. Ce courrier signé par les représentants d’une vingtaine de quartiers de In Salah demande un moratoire contre le gaz de schiste. Prenant la parole à tour de roles, les présidents des associations locales de protection de l'environnement se disent choqués par l’attitude hautaine du ministre de l'énergie à In Salah. "Il est arrivé et il est parti comme un voleur" disent-ils. Il a constaté que le forage fonctionnait et il est reparti. Aucune consultation de la population, aucun contact avec le maire, le chef de daïra ou les élus locaux.

    In Salah, à quoi sert le gaz ?

    Pour des membres actifs de la société civile, In Salah renaît de ses cendres et compte peser sur cette décision aussi brusque que méprisante de commencer l’exploitation du gaz de schiste avant la date annoncée par le gouvernement l’été dernier, à savoir l’horizon 2020. « Le Tidikelt fait le décompte de ses acquis : rien », écrit une activiste de la région. In Salah c’est le gisement ouvert à toutes sortes de pompage. Le gaz vers l'étranger, l'eau vers Tamanrasset, l'électricité vers d’autres région et rien pour In Salah ou le vent de sable, la canicule et le néant mettent la population dans une situation que personne ne leur envie. Parce que à In Salah, la situation est tellement invivable que les habitants ressentent cette offense gouvernementale comme une humiliation de trop.

    Conjuguée à l’oubli et à la négligence des décideurs depuis l’indépendance, la capitale du Tidikelt, cette paume de la main ouverte et hospitalière, l’humiliation donne des idées de tout fermer et d’attendre de voir venir. Les habitants donnent un ultimatum au gouvernement.

    Moratoire

    Le gouvernement est devant un exercice difficile de communication et de conviction. Les gens d’In Salah veulent de vrais arguments. « Si l'Etat veut forer pour extraire le gaz de schiste, il faudra qu'il nous démontre via des experts au dessus de tout soupçon que cette activité est sans danger pour l’humain, la faune et la flore », disent-ils.

    Un député a dit qu’il a voté contre la loi des hydrocarbures mais que les voix des élus restent insignifiantes dans une configuration qui pousse à l’unanimisme. Certains citoyens ont réalisé cette semaine qu'ils travaillaient pour l'entreprise qui compte les assassiner. Quelques intervenants ont été plus radicaux : c’est un non définitif au gaz de schiste, une fermeture immédiate du forage qu’ils exigent.

    Et devant l’absence de réaction des autorités, les manifestants occupent toujours la route nationale n° 1 qui reste bloquée.


    Il faut se préparer à des années de disette
    Ahmed Benbitour. Ancien chef de gouvernement



    le 02.01.15 | 10h00

    Il est né le 20 juin 1946 à Metlili, Ghardaïa. Diplômé en sciences économiques, titulaire aussi d’une licence en sciences mathématiques appliquées de l’université d’Alger, d’un diplôme d’études approfondies en statistiques et d’une maîtrise en administration des affaires. Sénateur au Conseil de la nation (1998-1999), il est désigné chef de gouvernement en 1999, avant de démissionner,
    neuf mois plus tard.

    Plusieurs fois ministre de 1992 à 1996, il se présente comme candidat à l’élection présidentielle de 2014, avant de se retirer le 3 mars, et d’appeler au boycott du scrutin. Il est aujourd’hui membre de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNTLD).


    La suite : http://www.elwatan.com/actualite/il-faut-se-preparer-a-des-annees-de-disette-02-01-2015-283681_109.php

    A la une/Economie
    L’Algérie exportera 750.000 m3 de GNL vers l'Egypte en 2015
    le 30.12.14 | 16h49


    L'Algérie et l'Egypte ont signé lundi un accord d'approvisionnement de l'Egypte en 2015 de 750.000 mètres cubes de GNL répartis sur six cargaisons.


    Le document a été signé par des responsables de Sonatrach et le holding égyptien du gaz (Egas) en présence du ministre de l'Energie, Youcef Yousfi et du ministre égyptien du pétrole et des ressources minières, Chérif Ismaïl en visite de travail en Algérie.
    Les six cargaisons (125.000 mètres cubes chacune) sont destinées à consolider la couverture de la demande interne de l'Egypte estimée entre 45 et 50 cargaisons selon les explications fournies par M. Ismail dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de signature.
    Les deux parties, devront entamer, la troisième semaine de janvier 2015, de nouvelles négociations sur la contribution de l'Algérie à la couverture de la demande égyptienne en gaz entre 2016 et 2020. Les négociations débuteront au Caire et devront s'achever en février à Alger, ajoute M. Ismaïl.
    Le responsable égyptien a tenu à signaler que son pays "préfère traiter avec l'Algérie en matière d'approvisionnement en gaz naturel du fait qu'elle compte parmi les plus grands exportateurs au monde".
    Les négociations prévues le mois prochain s'inscrivent dans le cadre de l'appel d'offres lancé par le gouvernement égyptien pour l'approvisionnement en gaz entre 2016 et 2020, selon M. Ismaïl lequel a précisé que l'Egypte a reçu, à ce jour, six (06) offres sans donner de détails sur la nationalité des parties.
    Pour sa part, M. Yousfi a fait savoir que les cargaisons algériennes sont "faibles par rapport aux capacités de Sonatrach" ajoutant que les prochaines négociations permettront au groupe algérien de hisser ses approvisionnements vers l'Egypte.
    Par ailleurs, la rencontre ayant réuni les deux ministres avant la signature de l'accord leur a permis d'évoquer le renforcement de la coopération énergétique entre les deux pays notamment en matière d'hydrocarbures.
    Il a été question de la possible création d'une joint-venture d'exploration et de prospection et l'échange d'expériences dans le domaine de l'exploitation du gaz de schiste.
    Les deux parties sont revenues sur l'expérience égyptienne en forage offshore et la possibilité de la mettre au profit de l'Algérie. Ils ont également passé en revue l'expérience égyptienne en matière de production du GNC utilisé comme carburant pour les véhicules et la possibilité pour l'Algérie d'exporter les gaz de propane et butane vers l'Egypte, selon M. Yousfi.
    Le document a été signé par des responsables de Sonatrach et le holding égyptien du gaz (Egas) en présence du ministre de l'Energie, Youcef Yousfi et du ministre égyptien du pétrole et des ressources minières, Chérif Ismaïl en visite de travail en Algérie.

    Les six cargaisons (125.000 mètres cubes chacune) sont destinées à consolider la couverture de la demande interne de l'Egypte estimée entre 45 et 50 cargaisons selon les explications fournies par M. Ismail dans une déclaration à la presse en marge de la cérémonie de signature.

    Les deux parties, devront entamer, la troisième semaine de janvier 2015, de nouvelles négociations sur la contribution de l'Algérie à la couverture de la demande égyptienne en gaz entre 2016 et 2020. Les négociations débuteront au Caire et devront s'achever en février à Alger, ajoute M. Ismaïl.

    Le responsable égyptien a tenu à signaler que son pays "préfère traiter avec l'Algérie en matière d'approvisionnement en gaz naturel du fait qu'elle compte parmi les plus grands exportateurs au monde".
    Les négociations prévues le mois prochain s'inscrivent dans le cadre de l'appel d'offres lancé par le gouvernement égyptien pour l'approvisionnement en gaz entre 2016 et 2020, selon M. Ismaïl lequel a précisé que l'Egypte a reçu, à ce jour, six (06) offres sans donner de détails sur la nationalité des parties.

    Pour sa part, M. Yousfi a fait savoir que les cargaisons algériennes sont "faibles par rapport aux capacités de Sonatrach" ajoutant que les prochaines négociations permettront au groupe algérien de hisser ses approvisionnements vers l'Egypte.
    Par ailleurs, la rencontre ayant réuni les deux ministres avant la signature de l'accord leur a permis d'évoquer le renforcement de la coopération énergétique entre les deux pays notamment en matière d'hydrocarbures.
    Il a été question de la possible création d'une joint-venture d'exploration et de prospection et l'échange d'expériences dans le domaine de l'exploitation du gaz de schiste.

    Les deux parties sont revenues sur l'expérience égyptienne en forage offshore et la possibilité de la mettre au profit de l'Algérie. Ils ont également passé en revue l'expérience égyptienne en matière de production du GNC utilisé comme carburant pour les véhicules et la possibilité pour l'Algérie d'exporter les gaz de propane et butane vers l'Egypte, selon M. Yousfi.

    A la une/Culture
    5ème Festival international des arts de l'Ahaggar : la fête sous les étoiles du Tidessi


    le 31.12.14 | 15h48


    Groupe musical Issouder



    Tamanrasset
    De notre envoyé spécial
    L'Asouf ou « le blues des Touareg » était à l'honneur mardi soir au campement de Tidessi, à 12 km au nord de Tamanrasset, à l'ouverture du 5ème Festival international des arts de l'Ahaggar. L'équipe de Ahmed Aouali, commissaire du festival, a choisi d'offrir la première grande scène aux groupes locaux. Il s'agit de Issouder de In Guezzam et de Aguenar, Imazourag ainsi que Issekta de Tamanrasset.
    Les quatre groupes, crées ces cinq dernières années, développent des projets musicaux construits autour de la guitare, de la basse, de la batterie et du jembé . « Nous faisons de la musique pour exprimer ce que nous vivons. Nous évoquons la vie du targui et toutes les choses qui lui manquent dans le sahara. Nous avons appris le jeu de la guitare et la composition sans avoir étudié la musique. Nous avons appris sur le tas. Cette musique s'adapte parfaitement à ce que nous voulons dire » , a expliqué Othamne Chikhaoui, leader de Issouder.
    Pour ce groupe, comme pour d'autres, les maliens de Tinariwen ont montré la voie à suivre Othamne Chikhaoui et d'autres artistes en herbe parlent aussi de Ali Farka Touré. Le groupe Imazourag a introduit le tazamart, la flûte targuie, dans ses compositions, donnant un touche roots au chant. « Pour nous, tazamart s'adapte parfaitement à ce que nous faisons. La guitare électrique dialogue bien avec cette flûte. Nous voulons également introduire l'imzad dans le futur », a relevé Iddaoui Mohmed Hiballah connu par le sobriquet de « Belou », leader de Imazourag.
    Le campement de Tidessi, qui est situé non loin de l'aéroport de Tamanrasset, accueille plusieurs activités durant le festival comme les jeux traditionnels targuis (tidas et karad), des ateliers d'animations artistiques coordonnés par Arezki Larbi, des espaces contes animés par Seddik Meslem, un atelier calligraphie tifinagh par Smail Metmati et Mohamed Hamza et un espace musiques et danses africaines tenu par Sabine Pakora et Astou Faye assistées de Moussa Koita et Souleymane Dembele.
    « Je ne parle ni l'arabe ni le tamachaq. J'essaie donc de trouver des activités qui me permettent de communiquer avec les enfants et avec les gens d'ici. La musique et la danse me permettent de le faire. Nous allons animer un atelier d'expression corporelle. Nous allons proposer des chorégraphies Mandingues et laisser les enfants et les adultes s'exprimer comme ils l'entendent. Ils s'agit de danses qu'on peut trouver dans la tradition africaine », a expliqué l'ivoirienne Sabine Pakora.

    Danse Mandingue

    « L'empire Mandingue correspondait à un grand territoire qui est divisé aujourd'hui entre le Mali, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, la Guinée. La culture Mandingue existe toujours. Il y a donc des rythmes et des expressions corporelles communs à ces différents pays. Les bases rythmiques sont identiques pour tous ces pays mais avec des adaptations différentes. Pour les percussions, le djembé est à la base avec le doum », a-t-elle ajouté.

    L'artiste-peintre Djahida Houadef s'occupe de l'atelier dessin et peinture. « Cette année, j'ai choisi le thème de la géométrie. J'ai déroulé un papier Kraft pour que les participants puissent dessiner des formes géométriques qui rappelle les dunes ou les maisons où l'on peut trouver des signes amazighs. Je suggère notamment aux enfants de rajouter des choses dans leurs dessins. Ils sont libres de faire ce qu'ils veulent, mais je leur donne des conseils. Les enfants adorent cela. Chaque année, c'est le même intérêt qui est montré. C'est un atelier qui leur permet de s'exprimer, de se rencontrer, d'échanger. Il est important que chaque enfant voit ce que son voisin fait. Ils regardent, se partagent des choses », a souligné Djahida Houadef.
    Plusieurs artisans de bijoux, de vannerie et de cuir présentent leurs produits aux visiteurs, certains fabriquent des oeuvre sur place. Le campement de Tidessi accueille aussi deux expositions de photographie, l'une consacrée aux quatre précédentes éditions du festival et l'autre à l'artiste et photographe, Fayçal Mohamed Abdelaziz, disparu cette année.
    Parallèlement, les festivaliers sont invités à visiter le monument de Tin Hinan et le Centre d'interprétation de l'Office national du parc de l'Ahaggar (OPNA). Un concours de contes et légendes sahariens sera organisé, à l'initiative, de janvier à mars 2015. Les prix seront remis aux lauréats durant le mois du patrimoine (à partir du 18 avril 2015) à Tamanrasset. Le jeudi 1 janvier, une soirée sera consacrée à Othmane Baly avec des concerts du fils du défunt artiste, Nabil Baly, de Choughli, de Toumast Ténéré qui font le déplacement de Djanet ainsi que de Rezkaoui d'Abalessa.
    Lors de la cérémonie officielle d'ouverture à la Maison de la culture de Tamanrasset, Ahmed Aouali a évoqué l'idée de « l'échange culturel » que défend et porte le festival. Un événement ouvert sur l'Afrique et ses richesses artistiques. Il a souligné aussi la nécessité de protéger, de sauvegarder et promouvoir le patrimoine matériel et immatériel de la région saharienne.
    «Beaucoup d'algériens ignorent ce patrimoine et la richesse qu'il porte. Le festival contribue à le faire connaître. Cet héritage culturel et historique a toute son importance dans la promotion du tourisme dans le sud du pays. Il en est de même pour l'artisanat », a déclaré, pour sa part, le wali de Tamanrasset, Mahmoud Djamaa. Fayçal Métaoui


    A la une/CAN_2015-E.N
    Equipe nationale : La bande à Gourcuff se remet au travail


    le 02.01.15 | 10h00

    Les Algériens déjà dans l’ambiance de la CAN

    C’est aujourd’hui que les choses sérieuses vont commencer pour la sélection algérienne de football, avec le début du stage prévu au Centre technique national de Sidi Moussa.


    Les poulains du sélectionneur national, Christian Gourcuff, vont devoir se remettre au travail pour préparer la phase finale de la CAN, programmée du 17 janvier au 8 février prochains en Guinée équatoriale. Versés dans le groupe C, les Verts s’attendent à une mission délicate face au Ghana, à l’Afrique du Sud et au Sénégal. Le staff technique avait publié le 15 décembre dernier la liste des 23 éléments qui devraient faire la campagne continentale.
    Mais des doutes subsistent toujours sur la présence d’Essaïd Belkalem et le joueur de Newcastle, Mehdi Abeid. Les deux joueurs risquent fort bien de déclarer forfait pour la CAN en raison de blessures. D’ailleurs, Ahmed Kashi est pressenti pour suppléer le milieu de terrain de Newcastle, alors que Liassine Cadamuro devrait remplacer Belkalem si la gravité de la blessure de ce dernier se confirmait. Même si le stage de la sélection algérienne débute aujourd’hui, le technicien français ne pourra avoir tous ses éléments sous la main que lundi prochain.
    En effet, les joueurs évoluant en Espagne et au Portugal, à savoir Sofiane Feghouli, Foued Kadir, Medhi Lacen, Islam Slimani et Yassine Brahimi ont été autorisés par la FAF à prendre part aux matches de championnat prévus ce week-end. Du coup, le vrai travail ne pourra commencer qu’à partir du 6 janvier. Le staff technique aura cinq jours pour préparer son premier test amical face à la Tunisie, prévu le 11 février prochain à Radès.
    De retour à Alger juste après le match, la délégation algérienne s’envolera le 15 janvier pour la Guinée équatoriale. Sur place, le staff technique devrait effectuer les derniers réglages dans la ville de Mongomo avant le coup d’envoi de la CAN. Les Algériens seront certainement sous pression. Car si l’équipe est considérée comme la nation n°1 en Afrique, elle devra le prouver lors de cette CAN. Et pour cela, elle devra éviter le moindre le faux pas dans le groupe de la mort. Le premier match face à l’Afrique du Sud, prévu le 19 janvier prochain, sera révélateur quant à la capacité des coéquipiers de Raïs M’bolhi d’aller jusqu’au bout dans cette compétition.


    30 000 spectateurs pour le match amical Tunisie-Algérie

    Quelque 30 000 spectateurs devraient être autorisés à assister au match amical entre les sélections tunisienne et algérienne de football, le 11 janvier, à 18h au stade Radès à Tunis, a rapporté hier la presse locale.
    Les rencontres de football en Tunisie se jouent depuis quelques années devant un nombre limité de spectateurs pour des raisons sécuritaires.
    Aucune précision n’a encore été donnée à propos du nombre de billets qui seront réservés aux supporters de la sélection algérienne qui désirent assister à cette seule joute amicale dans le programme des Verts avant le rendez-vous africain qui aura lieu entre le 17 janvier et le 8 février en Guinée équatoriale.


    A la une/Angleterre/Liverpool_Foot-Ball


    Angleterre: Gerrard, l'îcone de Liverpool, s'en va
    Par AFPil y a 5 heures


    Steven Gerrard, l'icône de Liverpool, a annoncé vendredi qu'il quitterait à la fin de la saison les Reds qu'il a menés aux plus hautes récompenses, hormis le titre de champion d'Angleterre, cruel manque au formidable palmarès de ce géant du football anglais.
    Perché au sommet d'une tour, même le Liverbird, l'oiseau mythique emblème de la ville, n'avait pas vu le coup venir.
    "Stevie G", comme le surnomment affectueusement les fans des Reds, a décidé de partir en juin prochain alors que son contrat avec le club de la Mersey prendra fin.
    "Ça a été la décision la plus difficile de ma vie", a indiqué dans un communiqué le milieu de terrain anglais qui a passé seize saisons, soit toute sa carrière professionnelle, à Liverpool.
    Ancien capitaine de l'Angleterre (114 sélections jusqu'à sa retraite internationale après le Mondial-2014), arrivé à l'âge de neuf ans chez les "Reds", Gerrard a ajouté qu'il avait l'intention "de continuer à jouer" sans préciser où.


    Steven Gerrard après avoir marqué contre Leicester City en championnat, le 1er janvier 2015 à Liverp …

    "Ce ne sera pas un club concurrent et je ne jouerai pas contre Liverpool, je ne peux pas l'envisager", a simplement indiqué celui qui aura alors 35 ans.
    Il ne pouvait en être autrement pour Gerrard, l'âme et le souffle du Liverpool des années 2000, un des rares joueurs de football de l'époque moderne à n'avoir pas changé de boutique en cours de carrière.
    - Glissade fatale pour le titre -
    De fait, Gerrard, ce +Scouser+ pure souche, natif de Whiston dans la banlieue Est de la ville, représente bien plus que son seul club.
    Il symbolise à lui seul sa ville, Liverpool, jadis grande cité prospère du Nord de l'Angleterre, décimée par le déclin industriel dans les années 70 et qui retrouve peu à peu sa gloire d'antan.


    Graphique sur la carrière et le palmarès de Steven Gerard

    Lancé par Gérard Houllier dans le grand bain à 18 ans en novembre 1998, Gerrard a depuis disputé près de 500 matches de Premier League et 129 de Coupes d'Europe.
    Dans la ville qui a vu grandir les Beatles, Gerrard a longtemps fait croire, par son talent, que le titre de champion qui échappe au club depuis 1990 pouvait redevenir un tube à la mode.
    Vainqueur de la Ligue des Champions en 2005, au terme d'une finale ahurissante face au Milan AC, de la Coupe de l'UEFA en 2001, ainsi que des Coupes d'Angleterre (2001 et 2006) et de la Ligue (2001, 2003 et 2012), Gerrard a également soulevé deux Supercoupes d'Europe (2001 et 2005).
    Sa qualité de passe longue phénoménale, son engagement sans faille et ses qualités de buteur (180 buts en club, 21 en sélection) l'ont propulsé au rang des meilleurs milieu de terrain du monde (3e au Ballon d'or 2005).
    Au point que les sirènes des plus grands clubs ont souvent résonné à ses oreilles avant que Gerrard ne réaffirme à chaque fois son attachement à ses couleurs.
    Les fans de Liverpool ont évidemment composé un hymne à sa gloire, sur l'air de +Que sera, sera+.
    Mais, douleur suprême, le titre national s'est toujours dérobé à lui, comme une malédiction qui colle à la peau.
    Le pire aura été l'épilogue de la saison dernière.
    Alors que jamais Liverpool n'avait été aussi proche de retrouver le titre, c'est Gerrard, seul au milieu de terrain, qui glissa et offrit à Chelsea un but qui fit basculer le championnat. Quelques semaines plus tard, c'est Manchester City qui fut sacré...
    Géant dans son club, comme dans son pays, Gerrard s'en va donc. Mais fidèle à l'hymne des Reds, il ne marchera jamais seul.








    Dernière modification par zadhand ; 03/01/2015 à 01h09. Motif: Radar de Maghreb-Sat 02 Janvier 2015
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