Sante

[soltan009]

des lentilles de contact qui zooment

Des chercheurs suisses ont mis au point des lentilles de contact t�lescopiques qui permettent de "zoomer" jusqu'� 2.8 fois. Un v�ritable espoir pour les personnes atteintes de d�g�n�rescence maculaire li�e � l'�ge (DMLA).



L'innovation qu'un chercheur de l'Ecole polytechnique f�d�rale de Lausanne vient de mettre au point repr�sente un v�ritable espoir pour les personnes atteintes de d�g�n�rescence maculaire li�e � l'�ge(DMLA). Premi�re cause de c�cit� chez les personnes de plus de 60 ans, la DMLA est due � un vieillissement de la zone centrale de la r�tine appel�e macula. Il s'agit d'une maladie d�g�n�rative qui peut conduire � une perte totale de la vision centrale.

Pour rem�dier � cela, Eric Tremblay, sp�cialiste de l'optique � l'Ecole Polytechnique F�d�rale de Lausanne (EPFL) et des chercheurs de l'Universit� de San Diego (Californie) ont imagin� des lentilles de contact "qui zooment" jusqu'� 2,8 fois. Combin�es � des lunettes "intelligentes" (mais qui ressemblent � des lunettes normales), elles s'activent d'un simple clignement d'oeil.

Depuis le premier prototype pr�sent� en 2013, les d�veloppeurs ont peaufin� le mat�riau de la lentille de sorte qu'elles peuvent �tre port�es confortablement sur de longues p�riodes. Ils ont �galement mis au point des accessoires de lunettes attrayants de fa�on � ce que personne n'h�site � les porter. "Un de nos d�fis a �t� de travailler sur la lentille afin de la rendre plus respirable et faire en sorte que l'œil ait un approvisionnement r�gulier en oxyg�ne" explique le Eric Tremblay. "La lentille fait 1,55 mm d'�paisseur : elle est plus grande et plus �paisse que les lentilles que l'on conna�t habituellement. Elle poss�de un t�lescope de r�flexion tr�s mince � l'int�rieur. De minuscules miroirs refl�tent la lumi�re et magnifient les objets : ce que vous voyez avec ces lentilles est similaire � ce que vous pourriez voir � travers des jumelles de faible grossissement".

Ces lentilles, qui ont �t� pr�sent�es � San Jos�, en Californie, lors d'un congr�s de l'Association Am�ricaine pour l'Avanc�e de la Science (AAAS), devraient bient�t entrer dans un essai clinique.

[phoenix62]

c est merveilleux bravo aux chercheurs chapeau bas et un grand merci

[soltan009]

Piq�res d��t� : comment les �viter et les soigner ?

Rien de pire qu'une nuit g�ch�e par un bzzzzz incessant, qu'une baignade dans la grande bleue interrompue par une m�duse ind�licate, ou qu'une soir�e � la belle �toile entre amis s'achevant en concours de gratouilles ! Car si nous attendons tous l'�t� avec impatience, nous nous passerions bien de toutes ces petites b�tes qui piquent et mordent d�s que l'air se fait plus chaud et que le thermom�tre fait la grimpette. Heureusement, gr�ce aux 10 recommandations avis�es de Kait et MiedePaingue, vous passerez peut-�tre un �t� serein sans (trop) vous gratter.



1. Plantes r�pulsives�
Les moustiques craignent les odeurs fortes. Et comme la nature est (parfois) bien faite, certaines plantes sont d�excellents repoussoirs � insectes. � Moi, explique Kait,je suspends chez moi un g�ranium citronnelle qui diffuse une forte odeur de citron, c�est tr�s efficace. � Vous pouvez aussi, comme le fait MiedePaingue tous les �t�s, disposer des plants de basilic, de thym citron ou de menthe en pot sur les rebords de vos fen�tres ou votre balcon. � Ce sont d�excellents r�pulsifs, et je peux m�en servir aussi pour cuisiner ! �

2. � et huiles essentielles
Citronnelle, citron, basilic, lavande, gen�vrier, myrrhe, bois de c�dre, pin, g�ranium, ylang-ylang, romarin� Utiliser un diffuseur � huiles essentielles est particuli�rement adapt� si vous ne pouvez pas suspendre de plantes � vos fen�tres.
Quand elle est invit�e � un barbecue, Kait s�applique sur les chevilles, le cou et les bras � une goute d�huile essentielle* de lavande, de citronnelle, de c�dre ou d�eucalyptus �, quand Miedepaingue, elle, pr�f�re � se frotter un peu de citron sur la nuque, les poignets et les chevilles �. Et sur un conseil de rebecca, � versez quelques gouttes d�huile essentielle de lavande dans votre eau quand vous lavez votre sol �.

3. Sortez couverts !
Quand vous saurez que 40 % des piq�res de moustique se font � travers les v�tements, vous comprendrez mieux pourquoi bien choisir ses habits avant d�aller danser au bal du 14 Juillet est primordial pour passer une bonne soir�e� A l�image deNORA, qui � privil�gie des v�tements clairs et amples tr�s couvrants. � Alors m�me si les soir�es sont douces, �vitez l�ensemble short + d�bardeur. Pr�f�rez � les manches longues et les mailles serr�es �, sugg�re MiedePaingue.

4. Fabriquer une moustiquaire
Simple, m�me si vous n��tes pas le plus grand bricoleur du monde, et � surtout � pas cher � r�aliser, Seven vous explique comment proc�der : � Prenez quatre tasseaux de bois dont vous taillez les pointes en biseau, et assemblez-les pour en faire un cadre de la taille de votre fen�tre. Fixez ensuite votre voilage anti-insectes et encastrez votre encadrement sur votre fen�tre. � Facile, non ?

5. Clim ou ventilo ?
lahmidi le clame haut et fort : � Je d�teste l��t� � cause des moustiques ! Alors je m�enferme dans ma chambre et j�allume la clim�, les moustique d�testent le froid. � Moins radical, et recommand� par la tr�s s�rieuse American Mosquito Control Association, le ventilateur deviendra peut-�tre le meilleur ami de vos nuits et le pire ennemi de votre ennemi. L�air propuls� emp�che en effet le moustique de localiser les particules de carbone que nous rejetons dans l�air et dont il est tr�s friand. S�il ne les rep�re pas, vous le l�int�resserez pas, et il ne vous piquera pas !

6. Gare � l�eau !
Les moustiques pondent leurs �ufs dans les eaux stagnantes. Evitez par cons�quent de trop arroser vos plantes et, surtout, ne laissez pas de surplus d�eau dans les coupelles, sous les pots. � Pensez �galement � changer r�guli�rement l�eau des fleurs, ajoute Kait, vous �liminerez ainsi les larves en suspension. �

7. Les vertus de l�oignon�
Malgr� toutes les pr�cautions prises, un volant non identifi�, plus malin que les autres, pourrait n�anmoins vous causer du tracas. Apr�s avoir vant� les vertus du g�ranium citronnelle pour �loigner les moustiques, MiedePaingue, fid�le aux recettes de sa grand-m�re, pr�conise l�utilisation d�un oignon en cas, cette fois, de piq�re de gu�pe. Elle explique : � Frottez la piq�re avec une moiti� d�oignon � sans la peau � pendant une dizaine de minutes. Cela estompera l�impression de br�lure et att�nuera la douleur. �

8. � du vinaigre�
Kait, elle, toujours pour soulager les piq�res de gu�pe, est une adepte du vinaigre. �Imbibez de vinaigre une compresse ou un petit morceau de coton et frottez vigoureusement votre piq�re avec. C�est tr�s efficace. �

9. � et de l�aspirine
Une m�thode peu connue, utilis�e par lahmidi : � R�duisez deux aspirines en poudre, que vous m�langez avec un peu d�eau. Comme un empl�tre, appliquez ensuite le m�lange sur votre piq�re de gu�pe. �

10. Mais encore�
� Ail �cras�, sachet de th� humide, savon de Marseille, cigarette allum�e dont vous approchez le bout incandescent au plus pr�s de la piq�re, s�choir, et m�me un marqueur de couleur claire� � A en croire MiedePaingu, jamais en mal d�id�es, il existe une multitude d�autres moyens pour soulager une piq�re. Et si vous �tes en contact avec une m�duse, � rincez la zone touch�e avec de l�eau de mer, recouvrez de sable, et laissez s�cher �, recommande Kait.

* Les personnes allergiques et les femmes enceintes doivent toujours se renseigner sur les propri�t�s des huiles essentielles avant de les utiliser. Avec les piq�res d�insecte, les risques d�allergies sont r�els. Soyez vigilants et courez voir un m�decin ou un pharmacien � la moindre alerte !

Et vous, quels sont vos rem�des pr�f�r�s pour lutter efficacement contre les piq�res ?

[phoenix62]

Reconna�tre les maladies provoqu�es par la chaleur et les maladies sensibles � la chaleur

• L'exposition � la chaleur peut entra�ner des maladies directes, notamment : l'œd�me de chaleur, les miliaria rubra, les crampes de chaleur, la syncope due � la chaleur (�vanouissement) et l'�puisement d� � la chaleur. Elles peuvent �tre auto-limitatives, mais doivent toujours �tre trait�es.
• Le coup de chaleur � l'effort et le coup de chaleur classique sont des urgences m�dicales et n�cessitent des mesures imm�diates d'un travailleur de la sant� et une hospitalisation.
• L'exposition � la chaleur peut aussi exacerber les maladies cardiovasculaires, r�nales, pulmonaires ou psychiatriques.

Mesures cl�s

• Reconna�tre et identifier la chaleur comme facteur dans la maladie ou le d�c�s.
• Reconna�tre le coup de chaleur et d�clencher les services m�dicaux d'urgence.
• Noter la chaleur comme facteur de contribution � la maladie pour am�liorer la reconnaissance et la surveillance.

	�puisement d� � la chaleur	Coup de chaleur
Temp�rature	Temp�rature corporelle �lev�e mais <40 �C (104 �F)	Temp�rature corporelle ≥ 40 �C (104 �F)
Neurologiques	Anxi�t� et confusion �tourdissements et vertiges Maux de t�te	Alt�rations de l'�tat mental : D�lire et hallucinations Ataxie (manque de coordination indiquant une dysfonction neurologique) Confusion, irritabilit�, instabilit� �motionnelle, agressivit�, convulsions Perte de conscience
Cardiaques	Tachycardie	Arythmie cardiaque et tachycardie
Peau	Bouff�es vasomotrices (peau chaude et rouge) Pr�sence de sudation	Coup de chaleur classique : peau chaude, rouge et s�che, touche habituellement les personnes vuln�rables s�dentaires Coup de chaleur � l'effort : forte sudation g�n�ralement associ�e � une activit� physique intense
Autres	Naus�es, vomissements Hypotension	�tat de choc Tachypn�e
R�sultats	Si non trait� et que l'exposition � la chaleur se poursuit, l'�puisement d� � la chaleur peut s'empirer et devenir un coup de chaleur.	Dans les derni�res �tapes : œd�me pulmonaire, insuffisance h�patique, insuffisance r�nale, rhabdomyolyse (destruction des fibres musculaires), d�c�s

Facteurs de risque cl�s associ�s aux maladies et aux d�c�s li�s � la chaleur en cas de chaleur accablante

• Adultes plus �g�s (en particulier >75 ans)
• Conditions de vie (confinement au lit, isolement social, faible revenu, malnutrition)
• Les personnes atteintes de maladie chronique, notamment :
  
  • Maladie cardiovasculaire (hypertension, coronaropathie, troubles de circulation cardiaque)
  • Conditions mentaux et comportementaux (dus � la consommation de substances psychoactives, l'alcoolisme)
  • Maladie mentale (d�mence, d�pression, schizophr�nie, maladie d'Alzheimer)
  • Maladie neurologique (maladie de Parkinson)
  • Maladie respiratoire (maladie pulmonaire obstructive chronique [MPOC])
  • Maladie r�nale (insuffisance r�nale)
  • Conditions m�taboliques (diab�te, ob�sit�)
  
  

M�dicament	M�canisme
Agents antiadr�nergiques et β-bloquants (p. ex. At�nolol, M�toprolol)	Peuvent diminuer le d�bit cardiaque, et donc le d�bit du sang chaud � partir du centre du corps vers la p�riph�rie, ce qui limite le refroidissement.
Anticholinergiques (p. ex. Scopolamine)	Peuvent emp�cher les glandes sudoripares de fonctionner correctement (c.-�-d. inhibe le taux de sudation et donc le refroidissement).
Antid�presseurs (p. ex. Prozac, Zoloft, autres ISRS)	Plusieurs ont des propri�t�s anticholinergiques (voir ci-dessus) et certains peuvent faire augmenter le point de thermor�gulation du cerveau faisant ainsi diminuer la thermor�gulation centrale induite. Les ISRS peuvent augmenter le risque d'hyponatr�mie.
Antihistamines (p. ex. Brompheniramine)	Peuvent inhiber le m�canisme de sudation.
Agents Antiparkinsoniens (p. ex. Benztropine, Levodopa, Trihexyphenidyl)	Peuvent inhiber le m�canisme de sudation.
Antipsychotiques (p. ex. Olanzapine)	Peuvent inhiber le m�canisme de sudation. Peuvent induire un syndrome d'hyperthermie (syndrome malin des neuroleptiques) sans �tre expos� � la chaleur, ce qui aggraverait les effets li�s � la chaleur.
Sympathomim�tiques (p. ex. Pseudo�ph�drine)	Peuvent emp�cher la dilatation des vaisseaux sanguins de la peau et de la p�riph�rie (les mains, les pieds, le visage) r�duisant la capacit� � dissiper la chaleur par convection.
Diur�tiques (p. ex. Lasix)	Peuvent entra�ner la d�shydratation et l'hyponatr�mie.
Plusieurs classes de m�dicaments (p. ex. inhibiteur de cholinest�rase, antiarrythmiques, obstructeurs calciques)	Peuvent provoquer le diarrh�e et le vomissement, ce qui entra�ne la d�shydratation.

Mesures cl�s pour traiter les facteurs de risque

• �duquer et sensibiliser davantage sur les facteurs de risque, les signes et les sympt�mes ainsi que les traitements des maladies li�es � la chaleur, � la fois pour les patients et pour les fournisseurs de soins et les travailleurs de la sant�.
• Aider les patients � �valuer leurs risques et discuter des mesures pr�ventives qu'ils peuvent prendre pour r�duire les risques avant et pendant une p�riode de chaleur accablante. (Se r�f�rer � la s�rie des Fiches de renseignements de Sant� Canada.)

Priorit�s en mati�re de traitement

Refroidir et hydrater

• Le coup de chaleur est une urgence m�dicale et n�cessite une hospitalisation.
• Refroidir le corps rapidement, surveiller les signes vitaux. Cela peut pr�venir des dommages ult�rieurs voire la mort.
• Coup de chaleur � l'effort - refroidir rapidement avec des bains d'eau glac�e.
• Coup de chaleur classique - se produit plus souvent chez les personnes atteintes d'une autre maladie chronique; rafra�chir progressivement, afin de ne pas exacerber ces maladies.
• Traiter la d�shydratation.
• Surveiller la surhydratation, en particulier chez les athl�tes; �valuer les activit�s physiques r�centes du patient.

Pour des renseignements suppl�mentaires, r�f�rez-vous au document de Sant� Canada intitul� Lignes directrices � l'intention des travailleurs de la sant� pendant les p�riodes de chaleur accablante : Un guide technique

[soltan009]

Cellulite : quel sport est efficace?

Pour d�loger la cellulite install�e sur les cuisses et les fesses, il faut bouger un maximum !

e classique � Jumping Jack � est un exercice hyper efficace pour br�ler un maximum de calories, muscler les cuisses et les fesses tout en faisant travailler le c�ur. Facile � ex�cuter, m�me dans un petit espace, vous n'avez pas besoin de grand-chose si ce n'est une bonne paire de baskets.



L'exercice :

- Debout, t�te et dos bien droit, bras le long du corps, jambes et pieds serr�es, fl�chir l�g�rement les genoux.

- Sur l'expiration, fl�chir l�g�rement les genoux, prendre son �lan et sauter en �cartant les jambes et en levant les bras sur le c�t� jusqu'au-dessus de la t�te.

- Sur l'inspiration, sauter � nouveau pour revenir en position initiale.

- Recommencer 3 s�ries de 20 sauts, 3 fois par semaine.

Les conseils :

- Attention � garder le dos droit et les abdominaux contract�s pendant tout l'exercice.

- Garder les �paules abaiss�es lors de la mont�e des bras.

- Pour bien travailler les fessiers et les cuisses, fl�chir les genoux � chaque r�ception de saut en veillant � atterrir sur toute la surface du pied.

- Pour sauter, pousser fort sur les talons.

[zadhand]

MaghrebSat Sant� du 26 Juillet 2015
La sant�

Pourquoi le verre d�eau laiss� sur votre table de nuit a un dr�le de go�t le matin

Si vous buvez un verre d'eau laiss� toute la nuit sur votre table de chevet, vous trouverez que son go�t est bizarre, comme l�g�rement acide. Un siteSuite...

Le saviez-vous...?

Les moustiques ont horreur de l'ail. Des chercheurs indiens ont d�couvert que les moustiques ne piquent jamais les personnes ayant appliqu� une pommade Suite... Sachez que... Le chou contient de la vitamine K, qui serait b�n�fique � la densit� osseuse et pr�viendrait les fractures de la hanche. Les habitants de l��le Suite... Pr�paration de la semaine Lotion au persil pour blanchir la peau Lotion maison pour blanchir la peau, �liminer les taches de rousseur et les taches sombres� Vous aurez besoin de : � 1 verre d�eau (200 ml). Suite... Maladies respiratoires Le rem�de de grand-m�re pour soigner l�asthme Ce rem�de naturel est connu pour �tre une formule tr�s ancienne utilis�e par les grands-m�res pour contr�ler les probl�mes de sant� en lien avecSuite...

[edenmartine]

Ces pratiques m�dicales vintages compl�tement folles, ou ing�nieuses.....

Quand on faisait de la pub pour la coca�ne, utilis�e pour soulager les rages de dents






Cet objet de torture avait pour but de soigner les scolioses






Quand on faisait de la pub pour l'h�ro�ne, utilis�e pour soigner la toux






Voici ce qui �tait utilis� � une �poque lointaine pour les transfusions de sang








L'anc�tre (horrifique) du d�ambulateur ?...







Ceci �tait apparemment la tenue "officielle" d'un radiologue, histoire de rassurer les patients







Une jeune femme �quip�e d'une proth�se et qui souhaitait rester anonyme








Une chaise d'accouchement






A l'�poque o� les propri�t�s anti-douleur de la morphine n'�taient pas connues, on utilisait de l'�ther pour endormir le patient... une substance extr�mement toxique










les poumons d'acier qui permettait � certaines personnes de respirer malgr� des insuffisances pulmonaires

[phoenix62]

heureusement que la science a bien evoluer bonne guerison a tout les malades de la planete

[rachidbeo55]

M�galomanie
La m�galomanie correspond � un trait de la personnalit� et, plus pr�cis�ment, � une surestimation de soi plus ou moins prononc�e. Dans certains cas, elle peut devenir g�nante au quotidien et �tre difficile � supporter par l�entourage du m�galomane. Notamment lorsqu�elle se manifeste par und�lire de toute puissance.
La m�galomanie ou l'orgueil � l'exc�s
Le m�galomane est d�un orgueil excessif, d�une ambition injustifi�e. Si nombre d�individus pr�sentent ce trait de caract�re de fa�on plus ou moins pr�gnante, certains p�tissent clairement d�un trouble que l�on peut qualifier de maniaque. En effet, toute manie se caract�rise par un comportement r�p�titif et irr�pressible. Or le m�galomane se comporte en toutes circonstances excessivement s�r de lui.
Cet orgueil d�mesur� peut faire souffrir son entourage et parfois constituer un obstacle � son �volution, par exemple, dans la recherche d�un emploi. La m�galomanie est souvent le signe d�un manque affectif ressenti par le patient. Un traitement par th�rapie cognitive et comportementale peut am�liorer le comportement du m�galomane, si celui-ci souhaite �tre soign� de son trouble.
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Le pouvoir peut favoriser la m�galomanie

[edenmartine]

Le placebo soulage m�me si le patient sait qu�il ne sert � rien





Des chercheurs ont provoqu� une douleur sur le bras de volontaires qu�ils ont soulag�e avec un soi-disant � m�dicament �. Quand les patients ont su, au bout de quatre jours, qu�il s�agissait d�un placebo sans principes actifs, l�effet analg�sique a persist� malgr� tout�

Imaginez un m�dicament que vous savez inutile et qui fonctionne quand m�me, n�est-ce pas d�routant ? Pourtant, un tel effet a bien �t� mis en �vidence dans une exp�rience r�alis�e � l�universit� de Colorado Boulder, aux �tats-Unis, qui permet de mieux comprendre certains aspects de l�effet placebo.

Dans un article paru dans The Journal of Pain, les scientifiques d�crivent l�exp�rience qu�ils ont men�e sur 40 volontaires. Les chercheurs leur ont expliqu� qu�ils participaient � une �tude comparant les effets d�une cr�me contenant un composant analg�sique (en r�alit� c��tait un placebo) et d�une cr�me sans ingr�dient analg�sique (contr�le). Les deux cr�mes �taient identiques, la seule diff�rence �tait l�ajout d�un colorant bleu dans la cr�me placebo. Pour leur faire croire qu�il s�agissait d�un vrai m�dicament, les chercheurs ont fait lire aux participants la composition du � m�dicament � ; ils leur ont aussi donn� des informations sur les pr�cautions � prendre et les effets secondaires possibles. L�emballage du faux m�dicament ressemblait � celui d�un vrai m�dicament.

Lors de l�exp�rience, les scientifiques ont provoqu� une douleur par la chaleur sur l�avant-bras des participants, sans br�ler la peau. Cette douleur devait �tre soulag�e par la cr�me fournie. Chez 20 participants, l�exp�rience a �t� renouvel�e sur quatre sessions, sur quatre jours diff�rents au cours desquels les participants ne savaient pas qu�ils utilisaient un placebo. Les chercheurs ont compar� les effets de ce conditionnement long de quatre jours � un conditionnement court d�un jour. Ensuite, lors de la phase de test, les scientifiques ont r�v�l� aux volontaires qu�en r�alit� ils prenaient un placebo.







Un effet placebo li� au conditionnement du patient

R�sultat : l�analg�sie due au placebo persistait m�me quand les sujets savaient qu�ils recevaient un placebo, mais seulement dans le groupe qui avait �t� conditionn� pendant quatre jours. La cl� de la r�ussite est donc que les patients doivent avoir suffisamment de temps (ici quatre sessions) pour �tre conditionn�s au fonctionnement du placebo. Ensuite, m�me apr�s que les chercheurs leur ont r�v�l� qu�ils prenaient en fait un placebo, leur douleur �tait toujours soulag�e. Ces r�sultats sugg�rent qu�il existe un effet placebo bas� sur le conditionnement, plus que sur l�attente du patient d��tre soulag�. Cela montre l�importance de l�exp�rience v�cue par le patient.

L�explication, pour Tor Wager, un des auteurs de l��tude, est que le conditionnement permet au cerveau d�apprendre � r�pondre au traitement, puis : � Une fois que l�apprentissage a eu lieu, votre cerveau r�pond toujours au placebo m�me si vous n�y croyez plus �. Le principal auteur, Scott Schafer, ajoute que � les placebos induisent la lib�ration de substances qui soulagent la douleur dans le cerveau, mais nous ne savons pas encore si cet effet placebo d�pendant des attentes utilise le m�me syst�me ou des syst�mes diff�rents �.

Ces r�sultats pourraient trouver des applications pour le traitement et la pr�vention des addictions aux m�dicaments. En effet, des patients qui ont subi une op�ration continuent parfois de prendre des antidouleurs puissants et pouvant entra�ner une d�pendance. Si un patient a fait l�exp�rience qu�un m�dicament fonctionne, il serait possible de le sevrer en utilisant un effet placebo.