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    Post Droit à la retraite & Libre débat & Retraites de misère & Courrier lecteur

    Les retraités
    Le 15 Septembre 2015

    Droit à la retraite
    Peut-on encore racheter des années manquantes ?
    Pour ouvrir droit à une pension de retraite, sur le minimum exigé de quinze (15) ans,
    vous devez obligatoirement justifier d’un travail effectif
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    Libre débat
    Retraites de misère pour les travailleurs de l’EDGB de Tizi Ouzou
    Encore une fois des travailleurs mis à la retraite avec une petite pension
    ils faisaient partie des unités de l’EDGB. Ils s’estiment victimes
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    Courrier des lecteurs
    Calcul de la pension
    Je vous prie de répondre à cette question, et ce, pour convaincre mon ami Belkacem.
    Quand une personne part en retraite, est-ce que
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    Post De la dévalorisation généralisée des pensions complémentaires de retraite MIP & C.L

    Les retraités
    Le 22 Septembre 2015
    Libre débat
    De la dévalorisation généralisée des pensions complémentaires de retraite MIP
    Je voudrais, par le biais du Soir d'Algérie, apporter ma modeste contribution au sujet
    de la diminution de la pension de retraite complémentaire de la
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    Courrier des lecteurs
    Deux années de service national
    Je suis retraité depuis fin 2012, je viens de bénéficier d'une révision de ma pension
    concernant mon service national
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    Post Sonatrach, ses retraités et la loi & Courrier des lecteurs

    Les retraités
    Le 29 Septembre 2015
    Libre débat
    Sonatrach, ses retraités et la loi
    De tous les beaux dictons, proverbes et autres adages dont nous aïeux
    passementent leurs contes au coin du feu, nous n’en connaissons pas un plus
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    Courrier des lecteurs
    Dossier de départ à la retraite
    Quel est le dossier à fournir pour demander la retraite à 60 ans à la Cnas
    avec un complément des versements fait à
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    Post La pérennité du système de retraite « est sauvegardée »

    A LA UNE/ACTUALITE/ Les retraités _Slimane Melouka_DG de la caisse nationale de retraite
    Le 07 Octobre 2015
    La pérennité du système de retraite « est sauvegardée »
    7 Octobre 2015
    Le contexte économique défavorable auquel est confrontée l’Algérie menace-t-il la pérennité du système de retraite ? D’autre part, l’âge pour les travailleurs de prétendre à une pension de retraite sera-t-il révisé ?
    Ce sont là quelques unes des questions auxquelles a été amené à répondre le directeur général de la Caisse nationale de retraite (CNR), Slimane Melouka, présent hier à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne.

    L’intervenant précise en préambule que la CNR verse annuellement 70 milliards de dinars sous forme de pensions à quelque 1,7 million de retraités et des allocations de reversion ou post-décès à environ 1 million de bénéficiaires. Il tient en outre à assurer les pensionnés de la Caisse de retraite que la pérennité du système est « sauvegardée » et que les retraites « ne sont nullement en danger».

    Citant les 7 millions de travailleurs cotisants activant dans divers secteurs d’activités, il affirme, de plus, que le système financier de la Caisse va rester avantageux « pour les années à venir ». Pour renforcer les moyens financiers de son organisme et, par là même, sa pérennité, M. Melouka signale qu’il est prévu de mettre à contribution des taxes à prélever, notamment sur la consommation de tabac et au bénéfice de la protection de l’environnement.

    L’autre moyen d’augmenter substantiellement les recettes de la CNR va consister, dit-il encore, à amener les entrepreneurs économiques, « en les sensibilisant », à déclarer leurs employés à la Caisse nationale de sécurité sociale. Pour ce qui concerne une éventuelle remise en cause du système de mise à la retraite anticipée, le DG de la CNR indique que tout comme pour ce qui a trait au départ à la retraite à l’âge de 60 ans, « il n’y a rien de nouveau» à ce propos.

    Il signale, par ailleurs, que la CNR s’attache actuellement à mieux organiser les prestations au bénéfice de ses pensionnés, en améliorant notamment les conditions de leur accueil, en développant l’assistance à domicile, pour ceux parmi eux qui ne peuvent se mouvoir, et en créant des structures de proximité à leur intention. Il annonce, d’autre part, que ces derniers n’auront plus désormais à présenter des extraits de naissance, ni de décès pour justifier le versement de leur pension, ces document pouvant dorénavant être obtenus par la CNR directement auprès des services d’état civil.

    Par : CHAHINE ASTOUATI
    Dernière modification par zadhand ; 07/10/2015 à 12h51. Motif: La pérennité du système de retraite « est sauvegardée »
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    Post La CNR a enfreint la loi relative à la retraite avec la complicité de l’Etat, de la F

    A LA UNE/ACTUALITE/ Les retraités
    Le 13 Octobre 2015

    La CNR a enfreint la loi relative à la retraite avec la complicité de l’Etat,
    de la FNTR et de l’UGTA


    La présente contribution se rapporte aux infractions à la loi 83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite commises par la Caisse nationale de retraite (CNR) avec la complicité de l’Etat représenté par le ministère du Travail et également celle des représentants des travailleurs retraités, la FNTR, fédération unique affiliée à l’UGTA, syndicat unique dérivé du FLN, parti unique qui gère toujours un gouvernement unique, issu de…, de…, de…,etc.
    Dans cette première contribution, il sera fait état de la première infraction constatée qui dure dans le temps, soit depuis plusieurs années déjà. Elle porte sur l’application (sélective ou mauvaise, mais préméditée) de l’article 15 non conforme à sa teneur qui stipule expressément : «Le retraité qui a un ou plusieurs conjoints à charge a droit au bénéfice d’une majoration de pension dont le montant annuel est fixé à 600 fois le montant horaire du salaire national minimum garanti.» Fin de citation.
    De ce fait, le montant mensuel de la majoration pour conjoint à charge est calculé comme suit :
    - 18 000,00 DA (SNMG depuis plusieurs années)/173,33 heures (volume horaire mensuel légal) = 103,85 DA l’heure/SNMG en cours.
    - 103,85x600 fois = 62 310,00 DA/an, ramené au mois/12= 5 192,50 DA/mois (ce que perçoivent les retraités du ministère de la Défense nationale et autres secteurs, donc en totale conformité avec la loi 83-12 du 02 juillet 1983).
    - Actuellement la CNR attribue à ses retraités le montant de 2 500 DA/mois, ce qui représente 600 fois le taux horaire d’un SNMG de 8 666,50 DA ou 48,15% du montant légal en vigueur (montant inférieur à la moitié)
    - Par conséquent, la majoration pour conjoint à charge est indexée au SNMG, et devra impérativement évoluer avec celui-ci. Quelle arnaque de la CNR !
    «…Les retraités sont disposés à faire valoir leurs droits légaux...»
    Cette infraction à la loi 83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite est commise au vu et au su de l’Etat dont le ministre du Travail approuve, avec la complicité de l’UGTA (et de la FNTR de l’UGTA) –, membre du Conseil d’administration de la CNR qui propose. Pour cette première infraction à la loi, en attendant les autres, une seule question est posée : pourquoi la FNTR, qui se dit représentant des travailleurs retraités, aile déplumée du vieux corbeau UGTA, n’a pas saisi la justice pour faire valoir les droits de ses membres ?
    La FNTR pourra vivre encore quelques semaines en attendant l’annonce de la création d’une association, de grande ampleur et multisectorielle (mineurs, pétroliers, gens de mer, gens de l’air, douaniers, policiers, militaires, pompiers, dockers, etc.) qui est en cours de création.
    La prochaine contribution portera sur une autre infraction à ladite loi sur la retraite par cette même caisse CNR, et cette fois-ci l’infraction sera étayée par une pièce officielle enregistrée au bureau d’ordre de la direction générale de la CNR dans le courant de l’année en cours. Ce n’est ni aumône ni supplice, la CNR est «sommée» de procéder aux régularisations nécessaires pour toutes les périodes concernées et est informée que les travailleurs retraités sont disposés à faire valoir leurs droits légaux par tous les moyens légaux en leur possession, de manière collective sous les auspices de la nouvelle association et elle peut être aussi individuelle. Quant à l’impôt sur les pensions et allocations de retraite, il est demandé au ministère des Finances d’éplucher ses archives du temps où celui-ci s’appelait «ITS» (Impôt sur les traitements et les salaires) et de plagier, au moins, ce qui se fait autour de nous, de même que les considérations (à l’est, au nord, à l’ouest) sauf cette pègre d’Algériens retraités humiliés par l’aumône de 5% d’un ministre qui défie le «Conseil d’administration CNR» qui,
    logiquement, est l’organe ‘décideur’ à partir de résultats, excepté dans un pays
    comme le nôtre semblable au point et à la virgule au pays de Kim Il Sung (Corée du Nord).
    Ahmed Ayachi

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    Post La FNTR & L'OMS & Courrier des lecteurs

    A LA UNE/ACTUALITE/ Les retraités
    Le 20 Octobre 2015

    La FNTR précise
    Nous avons été étonnés de lire dans Le Soir d’Algérie, espace «Retraite», l’article d’un lecteur dont les connaissances en matière juridique Suite...

    Selon l’OMS
    Vieillir en bonne santé est un objectif réalisable
    C’est une tendance lourde depuis la fin des années 2000 : pour la première fois dans l’histoire, la majorité des personnes peuvent espérer vivre Suite...

    Courrier des lecteurs
    Cotisations et travail effectif
    Je vous prie de m’éclairer sur le point suivant. J’ai travaillé dans une société privée pendant six mois, j’ai
    Suite...

    Dernière modification par zadhand ; 20/10/2015 à 13h33. Motif: La FNTR & L'OMS & Courrier des lecteurs
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    Post La période du Service national prise en compte

    A LA UNE/ACTUALITE/ Les retraités
    Le 26 Octobre 2015


    La période du Service national prise en compte

    La période d'accomplissement du Service national sera prise en compte dans le calcul de la retraite, quelle que soit la nature de la retraite (proportionnelle ou sans condition d'âge), a indiqué hier la Direction générale de la Caisse nationale de retraite (CNR).
    Les responsables des agences de la CNR sont appelés à tenir compte désormais de la période du Service national pour le calcul de la pension dans les cas de départ à la retraite, selon les instructions de l'ordonnance n°97/13 du 31 mai 1997, et ce à compter de la date de parution de la loi relative au Service national n°14/06 du 9 août 2014, selon une instruction de la CNR adressée à ses différentes agences.
    Cette loi intervient pour mettre un terme à «la différence dans le traitement entre les dossiers de retraite quelle qu'en soit la forme, et ce, à la faveur des dispositions de son article 70 qui précise que “le temps du Service national est compté pour sa durée effective dans le calcul de l'ancienneté de service exigée pour l'avancement et la retraite”», relève la même source. En effet, la législation en matière de retraite, telle qu'appliquée depuis 1983 à ce jour, «ne tient pas compte de la période d'accomplissement des obligations du Service national pour le calcul de la pension de retraite, que dans le cas du départ à l'âge légal (60 ans)». «Les départs à la retraite proportionnelle ou sans condition d'âge en étaient exclus», souligne-t-on .
    La mesure prend effet à compter de la date de parution de cette loi pour les nouveaux dossiers et les responsables en charge de l'application de cette décision, sont instruits de procéder à la révision des dossiers déjà liquidés en prenant cette même date comme date d'effet de la révision, ajoute encore la même source qui insiste sur «la stricte application de la présente instruction».
    APS
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    Post Les dispositifs de départ à la retraite avant l’âge légal de 60 ans sont budgétivores

    A LA UNE/ACTUALITÉ_La CNR au bord de la cessation de paiement !
    27 Octobre 2015


    Les dispositifs de départ à la retraite avant l’âge légal de 60 ans sont budgétivores

    Le Premier ministre Sellal a mis les pieds dans le plat : il a osé publiquement s’attaquer aux dispositifs des retraites proportionnelle et sans condition d’âge, dispositifs qu’il appelle par erreur «retraite anticipée» : «Il est inconcevable que des travailleurs partent à la retraite à 50 ans ou moins car ils ont accompli 32 ans de service, alors que la Caisse nationale de retraite (CNR) prend en charge leurs pensions», a-t-il déclaré, lors de la clôture de la tripartite (gouvernement - UGTA - patronat) , le mercredi 14 octobre 2015 à Biskra.
    Tout d’abord, il est utile de lever une confusion en terme sémantique : le Premier ministre est dans l’erreur quand il utilise la formule de «retraite anticipée», alors qu’il fait allusion aux «retraites proportionnelles et sans condition d’âge».
    Nous devons nous en tenir aux définitions qui sont contenues dans la loi relative à la retraite. La retraite anticipée — datant de 1994 —, concerne uniquement les salariés victimes de licenciements économiques à qui elle est imposée : elle a été mise en place sur instructions du FMI et de la Banque mondiale dans le cadre du Programme d’ajustement structurel et du rééchelonnement de la dette.
    En l’espace d’à peine 3 années, il y eut plus de 500 000 «retraités anticipés», issus essentiellement des entreprises publiques. En 2015, la formule de la retraite anticipée s’est asséchée. Quant aux «retraites proportionnelles et sans condition d’âge», elles obéissent à des départs volontaires. Le dispositif a été mis en place en 1997, toujours sur instructions des institutions financières internationales : pour la proportionnelle, départ possible à 50 ans et le montant de la pension est calculé selon le nombre d’années cotisées. Pour la retraite sans condition d’âge, il faut avoir cumulé 32 années de cotisation à la retraite, ce qui permet de bénéficier d’une pension à taux plein (sont concernés les salariés qui ont commencé à travailler très jeunes, à 16-17 ans). L’«idée» assassine de la Banque mondiale était que ce dispositif allait libérer des postes de travail au profit des jeunes, ce qui n’a pas du tout été le cas.

    Le gouvernement demande à la Cnas de renflouer la cnr
    Pour la retraite anticipée, le législateur a défini une source de financement, à savoir des cotisations sociales particulières, cofinancées par l’ensemble des salariés et des employeurs, et globalement cette branche de la retraite est en équilibre financier. Il en va tout autrement pour les «retraites proportionnelles et sans condition d’âge» : leur financement est à la charge uniquement de la CNR !!!!! Depuis sa mise en place il y a près de 20 ans, ce dispositif a vidé la trésorerie de la CNR.
    Actuellement cet organisme qui verse des pensions à plus de 2,7 millions de retraités est en cessation de paiement : vous imaginez la catastrophe au plan social !!! Il a fallu que le gouvernement demande à la cnas de renflouer la CNR pour pouvoir payer les pensions en juillet dernier. Plus grave encore, ce dispositif a eu notamment pour conséquences de voir le nombre de bénéficiaires chaque année dépasser le nombre de départs à la retraite à l’âge légal de 60 ans. Autre effet pervers, nombre d’heureux «élus» de ce dispositif budgétivore reprenne du service dans la même entreprise ou ailleurs — sous forme de CDD, cumulant ainsi emploi et retraite, car autre paradoxe qui dénote du laxisme du législateur, voire de sa complicité : le cumul emploi-retraite n’est pas interdit par la loi, ce qui vaut autorisation.

    Une seule solution, arrêter les départs à la retraite avant 60 ans
    Quelle est la solution ? Il y en a une seule : les dispositifs des retraites proportionnelles et sans condition d’âge doivent être supprimés. Et c’est là que le bât blesse : tant pour le gouvernement que pour son partenaire syndical l’UGTA, personne ne veut assumer cette lourde décision, tant ce très mauvais «acquis social» est populaire. Pour la petite histoire, il y a 5 ou 6 ans, la tripartite avait pris la décision de mettre fin à ce dispositif, mais le gouvernement avait fini par céder aux pressions de l’UGTA. D’une manière plus globale, il faut faire un bilan rigoureux et sans complaisance de l’actuel système de retraite : tout mettre sur la table, dire la vérité des chiffres aux Algériens, car il y a péril en la demeure. Peut-on se permettre de laisser s’effondrer un système de protection sociale qui protège des millions d’Algériens ?
    Djilali Hadjadj

    Pendant que la CNR «brûle», son directeur général considère que tout va… bien !
    «La pérennité du système de retraite est sauvegardée», a assuré le DG de la Caisse nationale de retraite (CNR), Slimane Melouka, à la Radio Chaîne III le 6 octobre. Face au désastre financier qui fait courir à la CNR une mise en faillite, comment qualifier ces propos ? Immatures ? Irresponsables ? Une chose est certaine, ces propos en disent long sur les critères qui ont prévalu quant à la nomination de ce directeur général, en place depuis à peine quelques mois. Pourtant les questions posées par la journaliste ne manquaient pas de pertinence et contenaient une partie de la réponse : «Le contexte économique défavorable auquel est confrontée l’Algérie menace-t-il la pérennité du système de retraite ? D’autre part, l’âge pour les travailleurs de prétendre à une pension de retraite sera-t-il révisé ?»…Selon la Chaîne III, «l’intervenant précise en préambule que la CNR verse annuellement 70 milliards de dinars sous forme de pensions à quelque 1,7 million de retraités et des allocations de réversion ou post-décès à environ 1 million de bénéficiaires… Il tient en outre à assurer les pensionnés de la Caisse de retraite que la pérennité du système est ‘sauvegardée’ et que les retraites ne sont nullement en danger». Citant les 7 millions de travailleurs cotisants activant dans divers secteurs d’activités, il affirme, de plus, que le système financier de la Caisse va rester avantageux «pour les années à venir» (fin de citation). Comment peut-on dire des choses pareilles ? A-t-il été instruit par son ministre pour pratiquer la politique du «tout va bien !» ?
    Quelques jours plus tard, lors de la tripartite qui s’est tenue à Biskra, le Premier ministre tiendra d’autres propos, plus en phase avec la situation très précaire que vit la CNR…


    Pour la FNTR, supprimer les départs avant 60 ans ou les financer par l’État
    Dans le «Rapport moral d’activité» de son secrétariat fédéral, rapport pour la période de juin 2014 à mai 2015, la FNTR rappelait la position qui a toujours été la sienne concernant les dispositifs des retraites proportionnelles et sans condition d’âge.
    Extrait du rapport «L’évolution vertigineuse des dépenses de retraite engendrée par l’ordonnance n° 97-13 de 1997 relative aux retraites proportionnelle et sans condition d’âge»: «Depuis 1997, la CNR a pris en charge l’ordonnance 97-13, relative à la retraite proportionnelle et sans condition d’âge. Pour la seule année 2013 l’effectif des retraités proportionnelle et sans condition d’âge sortis en retraite s’élevait à 74 500 pour un nombre de retraités à 60 ans de 42 116, (soit 6,3 retraités proportionnelle pour 3,7 retraités normaux sur 10).
    Près de 50% du budget sont nécessaires pour couvrir leurs dépenses de prestation. Il y a lieu de souligner qu’avec cette somme (environ 250 à 300 milliards de dinars) la caisse des retraites aura toute latitude de réaliser tous ses objectifs et prévoir une revalorisation de 15%. Cette situation, si elle venait à perdurer, provoquera un déséquilibre financier dans un avenir très proche. Les retraités sont conscients de cette situation alarmante mais ne peuvent rester les bras croisés et attendre la fin du système de retraite par répartition, patiemment conçu pour servir de génération en génération.
    Pour cela, ils demandent l’abrogation de l’ordonnance 97-13 ou la compensation financière de ce type de retraites.» (Fin de citation).
    D. H.

    C’est tout le financement de la sécurité sociale qui est menacé
    Dans «Le Soir retraite» du 10 mars 2015, nous avions publié un article intitulé «La sécurité sociale est en danger/Tassement des recettes, cotisations en souffrance et explosion du salariat non déclaré». Extrait : «Le Soir retraite d’aujourd’hui traite d’un problème qui ne cesse de s’aggraver, celui de la situation financière très précaire des organismes de Sécurité sociale, notamment la Cnas, la CNR et la Casnos, organismes dont la trésorerie est presque nulle et dont les dépenses dépassent les recettes.
    Oui, le système de sécurité sociale est en danger et cette crise financière menace l’avenir de la protection sociale. Personne ne semble s’en soucier : ni les assurés sociaux, incapables de s’organiser, ni les caisses elles-mêmes qui continuent de fonctionner au-dessus de leurs moyens, encore moins les pouvoirs publics qui proposent de fausses solutions (voir ci-dessous) face à de vrais problèmes…»
    Autre extrait : «Prenons, par exemple, une des facettes de ce désastre financier : les organismes de Sécurité sociale sont impuissants à recouvrer les cotisations dues par les employeurs, tant du secteur privé (principalement) que du secteur public ! Le montant – gardé secret — des cotisations non encore récupérées se chiffre à plusieurs dizaines de milliards de dinars, voire même quelques centaines de milliards de dinars... Le ministère de tutelle — Travail, Emploi et Sécurité sociale — semble sortir de son inertie depuis quelques mois : c’est que le péril est en la demeure. «Le ministère prévoit d’établir un échéancier et de geler les pénalités afin de faciliter aux entreprises qui accusent un retard en matière de cotisations de payer leurs dettes», telle est la décision qui prévoit également que «des échéanciers seront fixés pour faciliter aux entreprises le paiement de leurs dettes en matière de cotisations à la Sécurité sociale». Fin de citation.

    D. H.

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    Post Départs massifs à la retraite

    A LA UNE/ACTUALITÉ_200 000 DEMANDES ONT ÉTÉ ENREGISTRÉES
    12 Novembre 2015

    200000 DEMANDES ONT ÉTÉ ENREGISTRÉES.jpg

    Départs massifs à la retraite

    Près d’un mois après, le flou total entoure la déclaration faite par le Premier ministre en date du 14 octobre dernier au sujet de la suppression de la retraite anticipée. C’était devant les participants aux travaux de la 18e tripartite, qui a eu lieu dans la wilaya de Biskra. Pendant ce temps, et en l’absence d’une information officielle, on apprend que près de 200 000 personnes sont à l’affût de la moindre réaction pour procéder au dépôt de leurs dossiers de retraite.
    Près d’un mois après, le flou total entoure la déclaration faite par le Premier ministre en date du 14 octobre dernier au sujet de la suppression de la retraite anticipée. C’était devant les participants aux travaux de la 18e tripartite, qui a eu lieu dans la wilaya de Biskra. Pendant ce temps, et en l’absence d’une information officielle, on apprend que près de 200 000 personnes sont à l’affût de la moindre réaction pour procéder au dépôt de leurs dossiers de retraite.

    Abder Bettache - Alger (Le Soir)

    Suppression ou pas de la retraite anticipée ? Le départ en retraite dans le cadre de l’ordonnance 97-13 du 31 mai 1997, en l’occurrence le départ à la retraite sans condition d’âge ou la proportionnelle est-il aussi concerné par la déclaration faite par Abdelmalek Sellal ? «C’est le flou total», commente-t-on du côté de la Centrale syndicale. Même son de cloche chez les syndicalistes de la Fédération nationale des travailleurs retraités (FNTR), affiliée à l’UGTA.

    «Rien d’officiel n’est porté à notre connaissance», nous apprend le secrétaire général de ladite fédération, M. Smaïl Boukhris. Ce dernier nous dira par ailleurs,
    que «le dernier discours prononcé par le secrétaire général de la Centrale syndicale

    M. Abdelmadjid Sidi-Saïd sur la question de retraite, devant les secrétaires généraux des fédérations et des Unions de wilaya le 5 novembre dernier constitue notre position de principe».
    Lors de cette rencontre, le premier responsable de l’UGTA a soulevé la problématique de la retraite en déclarant, que «rien de concret n’a été porté à la connaissance de la Centrale syndicale par le gouvernement». Toutefois, Sidi-Saïd a plaidé «pour l’engagement d’une réflexion sur le devenir du système de retraite dans notre pays, en consolidant davantage les moyens de sa pérennité».
    En d’autres termes, le 5 novembre dernier, le secrétaire général de l’UGTA a évité d’exprimer définitivement la moindre position de son organisation sur la question, préférant sans aucun doute voir «le gouvernement s’expliquer davantage», d’autant qu’entre le chef de l’exécutif et son ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, un cafouillage a vu le jour sur la question.

    En attendant la réunion de la CEF de la FNTR

    La position de la Centrale syndicale sur une éventuelle révision des différentes dispositions
    régissant le départ à la retraite ne sera connue qu’au lendemain
    de la réunion de la commission exécutive fédérale (CEF) de la FNTR.

    La tenue des travaux de cette dernière est annoncée pour fin décembre prochain. Une réunion dont l’ouverture des travaux sera assurée par Abdelmadjid Sidi-Saïd,
    en sa qualité de premier responsable de la Centrale syndicale.

    Lors de cette rencontre, il est attendu à la fois un «important» discours de Sidi-Saïd, mais aussi un hommage qui sera rendu par les syndicalistes de la FNTR aux défunts secrétaires généraux de la fédération des retraités, en l’occurrence Mrs Smaïl Alaouchiche et Ahmed Gadiri. Mais, il n’en demeure que
    cette instance organique de la Fédération nationale des retraités
    aura à exprimer son point de vue sur la question.

    Lors des travaux de la dernière session de la CEF, les syndicalistes de la FNTR avaient débattu de la problématique de retraite, en plaidant lors des différentes interventions «pour la pérennité de la CNR
    et une meilleure prise en charge des doléances des retraités».

    La position qu’aura à adopter la FNTR dans la résolution finale des travaux de la CEF tracera en définitive les contours des «réformes» et autres «révisions» des dispositions régissant le départ à la retraite. Il est évident aussi, que de par la présidence assurée par l’un de ses secrétaires nationaux du conseil d’administration de la Caisse nationale de retraite (CNR), l’UGTA devait en tirer profit et disposer de suffisamment d’informations pour cerner les enjeux de cette «réforme». Sur un autre plan, il est important de noter qu’au jour d’aujourd’hui, «ni commission et ni groupe de travail» n’ont été mis en place par les initiateurs de cette «révision».
    Suppression de la retraite anticipée et sans condition d’âge ?
    Selon des sources sûres, les premiers «aménagements»
    que le gouvernement veut introduire dans le cadre de la révision des dispositions régissant le départ à la retraite ciblent notamment la retraite anticipée et la retraite sans condition d’âge.

    D’après nos sources, l’idée de la suppression de ces deux dispositions pourrait intervenir au premier trimestre de l’année 2016, soit à deux mois de la revalorisation annuelle des pensions de retraite. Ainsi, une fois, ces deux dispositions abrogées, le gouvernement par le biais
    de son département du travail, de l’emploi et de la sécurité sociale passera à la seconde étape,
    soit l’installation de la commission nationale de la révision du système de retraite.

    Une «révision» qui inclura également une éventuelle «refondation» du système de la Sécurité sociale, dont les conséquences ont «causé un préjudice sans précédent à la caisse de retraite».
    «Avant d’engager la moindre réforme sur la question, il est primordial,
    voire indispensable de procéder à une évaluation de tout ce qui a été fait jusqu’au jour d’aujourd’hui.

    Une évaluation de la situation actuelle du système de la Sécurité sociale dans notre pays est un passage obligé avant l’entame d’une quelconque réforme», nous a confié un spécialiste de la question sociale.
    Il est important de rappeler que les différentes dispositions mises en place pour le départ à la retraite ont vu le jour au lendemain des accords conclus entre le gouvernement algérien et le Fonds monétaire international et la Banque mondiale dans le cadre du plan d’ajustement structurel (PAS).
    Ainsi, la retraite anticipée a vu le jour par le décret 94-10 du 26 mai 1994, qui stipule que l’intéressé doit avoir au minimum 50 ans d’âge (45 ans pour les femmes) et réunir un minimum de 20 ans d’activité.
    Quant à l’ordonnance 97-13 du 31 mai 1997, elle avait pour objectifs l’assouplissement des conditions d’octroi de la retraite. Il s’agit de la retraite sans condition d’âge, qui stipule que le travailleur salarié doit accomplir une durée de travail effectif ayant donné lieu à 32 ans de cotisations au moins, alors que la retraite proportionnelle stipule que le travailleur salarié doit réunir une durée de travail effectif ayant donné lieu à versement de cotisations sur 20 ans au moins.
    Rappelons que l’admission à la retraite proportionnelle ou sans condition d’âge n’intervient qu’à la demande express de l’intéressé. La phrase lâchée le 14 octobre dernier par le Premier ministre à Biskra a suscité des interrogations dans le monde du travail, notamment ceux comptant partir à la retraite dans le cadre de ces dispositions,
    mais qui ne semblent pas réunir
    dans l’immédiat les conditions exigées par la loi.

    C’est ainsi qu’on indique de source sûre, qu’ils sont près de 200 000 personnes à avoir retiré auprès des agences de la CNR des formulaires de départ à la retraite. Lors de sa dernière sortie médiatique, le directeur général de la Caisse nationale de retraite, M. Melouka avait déclaré que pour le moment, l’organisme qu’il dirige «n’a pas été instruit pour revoir l’âge de départ à la retraite. Il reste à 60 ans, tout comme seront maintenues la retraite anticipée,
    celle sans conditions d’âge (32 ans de service)
    et enfin la retraite proportionnelle».

    Il a, par ailleurs, soutenu que «le système de retraite en Algérie est l’un des meilleurs au monde. En ce sens que l’assiette de calcul de la retraite se fait sur les 5 années, voire sur les 5 meilleures années de salaires». Il ajoutera qu’aucun retraité classique ne perçoit en deçà du SNMG.
    A. B.
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    Post Système de sécurité sociale & Quelle retraite pour l’agent du Sud et posté ? & C.L

    A LA UNE/ACTUALITÉ_Les Retraités17 Novembre 2015


    Système de sécurité sociale
    Un équilibre financier «fragile»
    Le système national de Sécurité sociale se caractérise
    depuis plusieurs années par un équilibre financier «fragile»,
    a indiqué, jeudi 5 novembre Suite...

    http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/11/17/article.php?sid=187229&cid=12


    Libre débat
    Quelle retraite pour l’agent du Sud et posté ?
    Selon l’auteur de ce «libre débat»,«la rumeur
    sur la probable décision d’abroger l’ordonnance
    n°97/13 du 31 mai 1997 instituant les retraites Suite...
    http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/11/17/article.php?sid=187230&cid=12


    Courrier des lecteurs
    2 ans du service national non comptabilisés dans la retraite
    pour moins de 15 ans d'activité

    Etant en retraite et âgé de 63 ans,
    la CNR a refusé de me Suite...
    http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/11/17/article.php?sid=187228&cid=12


    A nos lecteurs
    «Le Soir retraite» des mardi 3 et 10 novembre 2015
    ne sont pas parus pour des raisons d’abondance
    de matière. Toutes nos excuses à nos lecteurs.
    Par Suite...
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