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Discussion: Rugby

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    Re : Rencontre Résultats Classement

    Le Racing fait tomber Toulon 17:10





    Toulon a concédé sa première défaite de la saison, samedi sur la pelouse du Racing-Métro 92 (17-10). Les champions de France n'ont jamais mené au score, revenant seulement à 7-7 sur un essai de James O'Connor (28e). Le polyvalent trois-quart, qui rentrera en Australie en janvier prochain, a débordé sur l'aile à la suite d'un bon travail de Tuisova et résisté au retour de Machenaud.

    Ouvreur titulaire pour la première fois de la saison, afin de faire souffler Matt Giteau, Frédéric Michalak s'est lui montré très inspiré.

    Mais ce sont donc les Franciliens qui avaient ouvert la marque, en force par Van Der Merwe (19e). Un réveil survenu après un début d'échauffourée et un carton jaune pour Burden (17e). En seconde période, Maxime Machenaud a filé au ras du ruck pour conclure une action initiée depuis les 22 mètres des locaux (
    17-7, 49e). Et dans les dernières minutes, le RCT a essayé d'arracher le bonus défensif sans y parvenir.

    Battu
    6-16 en demi-finale du dernier Championnat au mois de mai, le Racing tient sa revanche. Toulon reste tout de même en tête du classement avec 9 points, accompagné de Montpellier, Toulouse et Clermont.


    Après avoir élevé la voix toute la semaine à l'entraînement, afin de sensibiliser ses partenaires sur leur manque récurrent d'agressivité, Dimitri Szarzewski a montré l'exemple sur le terrain. Le talonneur du Racing-Métro, opéré de la cheville en avril, a fait son retour comme titulaire et a été le leader de la défense. En jambes, il s'est même permis quelques percées (44e, 47e). Il a été remplacé par Jérémie Maurouard à l'heure de jeu, un peu sonné à la suite d'un choc avec le Sud-Africain Juan Smith qui, fair-play, a immédiatement pris de ses nouvelles.

    «J'étais un peu secoué, j'ai le genou qui s'est un peu tordu et les cervicales... Plus de peur que de mal», a rassuré l'ancien joueur du Stade Français











    Castres - Bayonne : 30-6



    Pour sa première victoire de la saison, Castres y a mis la manière, passant trois essais aux Bayonnais et s'octroyant le bonus offensif au passage (30-6).

    Les Castrais ont fait le travail et récité leur rugby ce samedi après-midi à
    Pierre-Antoine en s’imposant 30-6. Dominateurs en première mi-temps mais scorant peu, les Castrais sont revenus des vestiaires avec un tout autre visage marquant coup sur coup les deux essais restants du bonus offensif. Les Basques n’ont pourtant pas démérité en première période avec une grosse défense notamment mais se sont effondrés moralement en seconde mi-temps face à des Castrais de plus en plus agressifs.

    Les Bayonnais ont été inexistants du côté de la possession et se sont contentés de défendre.Castres a tenu ses promesses

    Contents de retrouver pour la première fois de la saison un stade Pierre-Antoine en travaux et amputé d'une tribune, les Tarnais ont bombé le torse comme ils l'avaient promis après deux défaites face au
    Stade français (25-22) et à Toulouse (35-6).
    Priés de renouer avec leur agressivité, les coéquipiers de
    Rémi Tales entamaient bien le match mais étaient sanctionnés dès la quatrième minute pour une faute au sol, qui permettait à l'ouvreur bayonnais Blair Stewart de mettre les trois premiers points de l'Aviron. Kockott revenait rapidement au score (11e) après un hors-jeu bayonnais. Pendant plus d'un quart d'heure, le CO campait ensuite à quelques mètres de l'en-but bayonnais mais se heurtait à une équipe de Bayonne très solide défensivement, qui s'est reprise samedi dernier face à Oyonnax (38-12) après avoir été concassée par l'ogre toulonnais (15-29).

    Une séquence de domination castraise haletante marquée par plusieurs essais refusés avant que
    Marcel Garvey ne finisse par enfin trouver la faille (29e) après un nouvel arbitrage vidéo. Les Bayonnais montraient toutefois vite une belle réaction récompensée par une pénalité de Stewart (38e), juste avant la pause.

    Mais dès la reprise, la domination castraise du premier acte pesait et faisait craquer Bayonne qui subissait les attaques du CO. Servi par Tales, après une belle percée entamée par
    Lamerat, Julien Dumora creusait l'écart (51) avant que Brice Mach ne conclue dans l'en-but bayonnais une nouvelle offensive des Tarnais (58e), synonyme de bonus offensif pour le CO. Avides de revanche, le CO a tenu ses promesses avant un déplacement à haut risque vendredi à Montpellier, l'un de ses concurrents à la qualification en phases finales.









    ASR-Toulouse (37-25) - La Rochelle, c'est surtout la victoire du panache





    Devant son public de Marcel-Deflandre, le Stade rochelais s'est offert un succès de prestige face à Toulouse en marquant trois essais au passage (37-25).

    Après deux très lourdes défaites pour son retour en Top 14, La Rochelle s’offre, à domicile la peau du Stade toulousain sur le score de 37 à 25. Un succès acquis en seconde mi-temps, grâce à une mêlée et un pack souverains qui ont mis les Toulousains sur le reculoir en permanence.

    Un match de rugby superbe, six essais au total dont trois de chaque côté, et un stade Marcel-Deflandre plein comme un œuf avec un public chaud bouillant. C’était vraiment l’été à La Rochelle ce samedi. Les Maritimes viennent d’enfin lancer leur saison et d'adresser un avertissement à ceux qui voudraient les renvoyer d’avance en Pro D2…
    La Rochelle tient donc enfin son premier succès.

    Il va faire un bien fou à des joueurs Rochelais vaillants, enthousiastes et qui ont parfaitement rempli leur mission ce samedi après-midi. Pourtant, en première mi-temps, les Maritimes se sont heurtés à un Stade toulousain solide sur les bases, réaliste et exploitant bien les ballons de récupération pour mener à la pause d’un point grâce à deux essais, inscrits par Flynn (8e,
    0-7) etTekori (17e, 7-14). Mais La Rochelle a trouvé les ressources et un Bobo toujours insaisissable pour rester dans le match (16-17, score à la mi-temps).

    Un carton jaune fatal

    En deuxième mi-temps, La Rochelle mettait une grosse pression d’entrée sur son adversaire du jour et accélérait tous les ballons pour déstabiliser la défense toulousaine.

    Une stratégie payante, additionnée à une domination en mêlée fermée qui a eu raison des velléités offensive du Stade toulousain. Un Toulouse qui a clairement, et chèrement, payé le carton jaune de son talonneur
    Corey Flynn pour une obstruction évidente.

    Malgré l’essai de
    Luke McAlister après une très belle séquence de jeu debout (55e, 19-22), c’est La Rochelle qui terminait en trombe le match avec un doublé de son ailier Alofa Alofa, et à un jeu chatoyant fait de passes dans la défense. Avec un score final de 37-25 pour son club, le président Vincent Merling pouvait enfin exulter en tribune.
    Un gros match de la part des Rochelais, qui ont montré qu’ils avaient définitivement l’étoffe du Top 14 et qu’il faudrait compter avec eux cette saison. Côté toulousain, certes la défaite est là. Elle est lourde. Mais sur certaines des séquences entrevues, il est clair que le jeu semble en progrès.

    Il reste toutefois à retrouver une mêlée fiable sur 80 minutes pour éviter ce genre de correction dans la suite de la saison.









    Lou-CABCL (24-6): Lyon a parfaitement profité de l'indiscipline briviste






    Le match

    En onze minutes, les premières, le Stade Français avait inscrit dix points et Porical, l’ancien parisien, manqué un but dans ses cordes. Alors, quand le centre Sinzelle, bien lancé par des courses et des passes de Dupuy, Plisson et Ioane, inscrivit son essai (22e), Paris avait creusé l’écart, 17-0. Certes, le plongeon du demi de mêlée international sud-africain du LOU, Januarie (26e) dans l’en-but du Stade Français et un but de l’ouvreur kiwi Lachie Monro (31e), remplaçant Porical, malheureux dans les tirs aux buts, comblèrent en partie l’écart (17-8), mais ce n’était pas suffisant, d’autant que Plisson (20-8, 43e) ajoutait un but.

    En seconde période, alors qu’une pluie fine tombait sur le stade Jean-Bouin qui sonnait creux, le score restait un long moment en l’état. Le rythme de la première période avait disparu dans les vestiaires. Les envies ne manquaient pas, les initiatives aussi, mais elles échouaient faute de précision technique. La mêlée lyonnaise ne parvenait pas à se stabiliser en poussée et permettait à Paris de profiter de ce point d’appui.

    Enfin, à la 55e, Plisson passait un but pour creuser l’écart mais on était loin du bonus offensif. Promu la saison dernière, Lyon faisait preuve de densité et de pugnacité autour de ses leaders, Nallet, G. Smith et Januarie, et allait même jusqu’à inscrire son deuxième essai (61e,
    23-13), pour remonter à dix points. Enhardis, les Lyonnais repartaient de plus belle, perçaient, percutaient, entraient deux fois dans l’en-but (64e et 65e). A chaque fois, l’essai, à juste titre, n’était pas accordé, mais Lyon, même en infériorité numérique, revenait en force et inscrivait son troisième essai grâce à un ballon porté (72e, 23-20) pour décrocher le bonus défensif, son premier point en Top 14.


    La phrase

    Alors qu’il était en train de se chamailler, en fin de première période, avec la première ligne du LOU au sortir d’une mêlée, le deuxième ligne du Stade Français, Pascal Papé, s’est vu rappeler à l’ordre par son ancien coéquipier de Bourgoin et du XV de France, Lionel Nallet, d’une phrase bien sentie : «Tu n’es pas pilier, alors arrête un peu…»

    Le joueur

    En l’absence du Springbok Morné Steyn, remplaçant dans le Four Nations, l’ouvreur international français Jules Plisson (23 ans, 4 sél.) a marqué des points au pied (3 buts et 2 transformations), et s’est exprimé balle la main, œuvrant parfaitement en défense et en attaque. On l’a vu «gratter» au sol un ballon crucial (69e) au cœur d’un temps fort lyonnais. Ses seuls déchets ? Deux buts longue portée en fin de partie (75e et 78e).








    FCG-UBB (37-16) - Dans son jardin, Grenoble a assuré le spectacle






    A domicile, les Grenoblois ont réalisé un véritable festival offensif contre les Bordelo-Béglais (37-23). Point de bonus à la clé et premier succès pour le FCG.

    Après avoir ramené les points du bonus défensif lors de leurs deux premiers matchs chez deux ténors du championnat, Clermont et Montpellier, les Grenoblois prennent ce samedi le point du bonus offensif avec cette belle victoire contre l’Union Bordeaux-Bègles, pourtant invaincue jusqu’alors (37-23).

    Cinq essais dont trois du même
    Alipate Ratini sont venus récompenser des Isérois très entreprenants et réalistes. Les spectateurs du stade des Alpes se sont régalés en regardant ce très beau match de Top 14. Les absents (12 528 spectateurs sur 20 000 possibles) ont eu tort

    .
    Cette rencontre a eu deux visages. Une première mi-temps plutôt controlée par les Grenoblois avec une mêlée conquérante et une domination rapide au score (essai de Hunt à la 4e minute). L’UBB tentait de se rebeller mais des fautes de mains et des mauvais choix permettaient aux Isérois d’accentuer leur domination. Et le point de bonus offensif était déjà dans la poche des joueurs de Fabrice Landreau à la mi-temps avec deux nouveaux essais de Grice et Ratini qui commençait alors son festival.

    Ratini s'offre un triplé


    Le deuxième acte et les changements effectués en mêlée par les Bordelo-Béglais nous donnaient lieu à un autre match. Très conquérants en mêlée fermée dès lors, les joueurs de l’UBB n’en profitaient pourtant pas, leurs vagues d’attaque se fracassant contre la défense grenobloise. Ils se faisaient même cueillir en contre par un nouvel essai de Ratini. Mais on connait l’état d’esprit des hommes de Raphaël Ibanez qui ont continué d’attaquer et ont été enfin récompensés par un essai de Lesgourgues.Voyant leur point de bonus offensif en danger, les Grenoblois répondaient dans la foulée par un essai de l’incroyable Ratini, qui franchissait la ligne pour la troisième fois.

    Le match devenait fou pour le plus grand plaisir de tous. L’essai sur la sirène du Bordelais
    Sofiane Guitoune ne changeait rien mais le récompensait pour ces nombreuses tentatives. Sept essais pour ce match de très bon niveau, dirigé par un arbitre très sûr de son fait… on en redemande ! En tout cas, les Grenoblois confirment leur excellente forme.










    Oyonnax - Stade Français: 33-6 toute la ville en parle






    Quatre essais et un bonus offensif face au
    Stade français : les Oyonnaxiens ne pouvaient pas espérer mieux sur leur pelouse à Charles-Mathon (33-6).

    Ce samedi, Oyonnax avait à coeur de réagir après deux défaites à l'extérieur et surtout de débuter sa saison à domicile par une victoire. En 2013-14, le Stade français était venu s'imposer à Charles-Mathon mais cette fois les Parisiens ont trouvé un véritable mur devant eux et la botte de
    Benjamin Urdapilleta, auteur de 11 points et d'un essai (33-6).

    Dans les rangs parisiens, c'est une rencontre complètement ratée, mais c'est aussi, un véritable échec sur le turnover. La défaite est lourde et Oyonnax décroche le point du bonus offensif avec quatre essais inscrits.La mêlée d'Oyonnax royale

    Charles Mathon la voulait cette victoire et du coup, le public d'Oyonnax a été le 16e homme de cette rencontre. De plus, l'occasion était belle pour Oyonnax, car le Stade français se présentait sans de nombreux titulaires comme
    Slimani, Van der Merwe, Flanquart, Guillemain, Burban, Lyons, Rabadan, Steyn, Williams,Arias, Camara et Bonneval.

    D'entrée de match, les Oyomen se sont installés dans le camp parisien et au bout de vingt minutes de jeu,
    Yves Donguy avait déjà inscrit deux essais, après des erreurs d'appréciation de l'ailier Digby Ioane.

    La clé de la rencontre, c'était l'entame et
    Christophe Urios, qui souhaitait une révolte, a été servi, malgré quelques ratés au pied de Benjamin Urdapilleta. Oyonnax a réussi sa première mi-temps, mais les partenaires d'Hansell Pune, véritable homme du match et auteur d'un essai en fin de partie, ont été aussi bien aidés par les joueurs du Stade français. En effet, les Parisiens ont été approximatifs et ils ont commis énormément de fautes de mains dans leurs lancées de jeu. Gonzalo Quesada avait rajeunie l'équipe et effectué un gros turnover et du coup, les Parisiens n'ont pas réussi à trouver leur rythme dans cette rencontre. D'ailleurs, ils n'ont jamais franchi la ligne d'en-but des Oyomen.

    A la pause, le score était de
    13-3 pour Oyonnax et il aura fallu attendre les 10 dernières minutes pour que la folie revienne dans ce match. Les Parisiens ont commis deux grosses erreurs individuelles à la suite de la poussée des avants d'Oyonnax et Urdapilleta et Pune ont inscrit les essais du bonus offensif. Charles Mathon a donc retrouvé une équipe solide et efficace ! De plus, Christophe Urios pouvait être heureux à l'issue des 80 minutes, car la mêlée d'Oyonnax a été impressionnante.

    Oyonnax s'impose
    33-6 et décroche le points du bonus. La semaine prochaine, le Stade français retrouvera ses titulaires pour la réception de Bayonne. Après deux succès, à Castres et devant Lyon, c'est un petit coup d'arrêt sans incident pour les Parisiens. Dans les rangs d'Oyonnax, la semaine va être longue, car les supporters, le groupe et le staff attendent avec impatience le derby face à Lyon.
    Cela risque d'être chaud au Matmut Stadium.
    Dernière modification par edenmartine ; 31/08/2014 à 08h34.


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