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Discussion: Economie

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    Les courses de SELLAL en europe pour nourrir le peuple*

    Importation des produits alimentaires en 2015 : Recul quasi général des prixLa facture d'importation des céréales (blé, maïs, orge) a baissé à 200,4 millions de dollars en janvier 2016 contre 327,64 millions usd en janvier 2015, soit un recul de 38,84% sur une année.PUBLIE LE : 02-03-2016 | 0:00Les prix moyens des produits alimentaires importés par l'Algérie ont, dans l'ensemble, diminué durant l'année 2015 par rapport à 2014, a appris l'APS auprès du ministère du CommerceCette baisse s'explique par le recul des prix à l'importation des poudres de lait (-42%), suivies des sucres roux et blanc (-18%), des viandes (-15%), des différentes huiles (entre -3% et -22%), des céréales, semoule et farine (-3,7%). Ainsi, le prix moyen à l'importation de la poudre de lait a baissé à 2.775 dollars/tonne en 2015 (contre 4.817 dollars en 2014). Le prix d'achat du blé tendre a reculé à 239 dollars/tonne (contre près de 292 dollars/t), tandis que le maïs a baissé à 197 dollars/t (contre 237 dollars). Par contre, le prix à l'importation du blé dur a augmenté à 444 dollars/t (contre 396 dollars/t). Outre le blé dur et certaines catégories d'huiles brutes, les autres produits alimentaires qui ont connu une hausse des prix à l'importation sont essentiellement les amandes (+47%), les lentilles (+29%), le double concentré de tomate (+22%), le café torréfié (+22%), l'ail (+18%), les crustacés congelés (+9%), les viandes bovines congelées (+8%), le thé (+3%) et les pâtes alimentaires (+14%). L'analyse des prix élaborée par le ministère du Commerce aborde également les prix à l'importation du ciment. Il est constaté que le prix moyen de ce produit de construction a enregistré des baisses oscillant entre -3% et -20% selon les catégories de ciment. L'ONIL a importé 189.910 tonnes de poudre de lait destinées à la transformation (53% des quantités globales importées), tandis que les 47% restants ont été répartis entre 13 principaux importateurs privés. Les pays fournisseurs de l'Algérie en poudre de lait sont au nombre de 20 dont les 5 premiers sont la Nouvelle-Zélande (42,4% des importations), la France (17,8%), la Belgique (9,5%), la Pologne (7,7%) et l'Uruguay (5,8%). Pour les blés dur et tendre, l'OAIC a réalisé la quasi totalité des quantités importées avec l'achat de plus de 8 millions de tonnes en 2015 (94,7% du volume global importé). Quant aux importations du maïs, elles ont été effectuées principalement par 10 sociétés privées à hauteur de 90% du total importé, tandis que l'Office national de régulation (ONAB) est intervenu sur le marché du maïs avec 3% seulement des importations globales. Pour les huiles alimentaires brutes dont les importateurs sont au nombre de six, une société privée est demeurée en position dominante avec 54% du total importé en 2015. En matière d'importation de sucre, sur les 11 principaux importateurs, la même société privée est demeurée dominante à la fois pour le sucre roux en assurant 91,2% du total importé pour une quantité de plus de 1,5 million de tonnes (523 millions de dollars), ainsi que pour le sucre blanc avec 43% des importations pour une quantité de 100.310 tonnes (50 millions de dollars).Six autres principaux importateurs ont couvert 76% des importations de café torréfié, estimées à 394 tonnes pour plus de 5,2 millions de dollars. Pour ce qui concerne les importations du ciment, établies à près de 6,6 millions de tonnes pour un montant de 473,5 millions de dollars en 2015, elles ont été réalisées à hauteur de 38% par 10 opérateurs privés dont 5 ont effectué 31% de ces importations (2 millions de tonnes). En ce qui concerne les importations de fruits frais, constituées essentiellement de 4 produits, elles se sont chiffrées à près de 284 millions de dollars : 181 millions de dollars pour les bananes, 99,5 millions de dollars pour les pommes, de 1,8 million de dollars pour le raisin frais et 1,6 million de dollars pour le citron. Quant à la facture des principaux fruits secs, elle s'est établie à plus de 144 millions de dollars : 62 millions de dollars d'arachides, 41 millions de dollars d'amandes, 25 millions de dollars de raisins secs, de 10,5 millions de dollars de pruneaux secs et 6,1 millions de dollars d'abricots secs. Par ailleurs, l'Algérie a importé pour près de 16 millions de dollars de légumes frais dont 15,7 millions de dollars d'ail et 40.350 dollars d'oignon.Céréales : Baisse de près de 40% de la factureLa facture d'importation des céréales (blé, maïs, orge) a baissé à 200,4 millions de dollars (millions usd) en janvier 2016 contre 327,64 millions usd en janvier 2015, soit un recul de 38,84% sur une année. La baisse a également touché les quantités importées (sauf pour le blé tendre) mais à un moindre rythme, en s'établissant à 946.671 tonnes contre 1,13 million tonnes, soit un recul de 16,04%, précise le Centre national de l'information et des statistiques des douanes (CNIS). La facture d'importation des blés (tendre et dur), qui a représenté près de 67,23% du coût des importations des céréales en janvier dernier, a chuté à 134,74 millions usd contre 232,76 millions usd (-42,11%), pour des quantités ayant atteint 584.973 t contre 694.802 t (-15,81%). Par catégorie de blés, la facture d'importation du blé tendre a baissé à 103,13 millions usd contre 113,92 millions usd (-9,48%). La facture du blé tendre a représenté plus de la moitié des importations des céréales et plus de 75% des importations des blés en janvier dernier. Quant aux quantités importées de ce blé, elles ont grimpé à 506.224 t contre 441.534 t (+14,65%). Pour le blé dur, la facture a reculé à 31,61 millions usd contre 118,83 millions usd (-73,4%) pour une quantité de 78.750 t contre 253.268 t (-69%). Concernant le maïs, les importations se sont chiffrées à 55,97 millions usd contre 79,78 millions usd (-29,85%) avec un volume de 310.447 t contre 370.386 t (-16,2%). Quant à l'orge, l'Algérie en a importé pour 9,67 millions usd contre 15,1 millions usd (-36%) avec une quantité de 51.250 t contre 62.307 t (-17,75%). Si la facture des céréales a baissé à un rythme plus important par rapport aux quantités et en dépit de la hausse du volume importé pour le blé tendre, cela s'explique par le recul des cours sur les marchés mondiaux des céréales depuis 2015.
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    Re : Economie

    Assurances: Encore une augmentation ?Auteur : Benmahmoud Kamel Publié le : 03 Mars 2016L’année 2016 sera-t-elle celle de l’inflation généralisée pour les automobilistes ? Après une hausse substantielle des prix des carburants ainsi que de ceux des voitures, neuves et d’occasion, voilà que l’on reparle d’une augmentation des tarifs d’assurances.C’est la baisse des ventes de voitures neuves qui est mise en avant pour convaincre le ministère des Finances d’accepter une hausse des tarifs. Baisse du marché égale baisse du chiffre d’affaire suggèrent les compagnies et le seul moyen de remédier à cette situation serait d’augmenter les tarifs. Ces mêmes compagnies n’avaient pourtant pas baisé leurs tarifs à l’époque de la hausse du marché.Les ventes de voitures neuves ont régressé de près de 25% dans notre pays en 2015. L’année précédente avait également connu une baisse importante du marché. Ces situations de baisse des ventes de voitures n’ont pas empêché les compagnies d’assurances de voir le chiffre d’affaire de leur branche automobile augmenter. En 2014, la branche automobile des assurances avait vu son chiffre d’affaire augmenter de 3%. L’an dernier, sur les neuf premiers mois de l’année, une augmentation du chiffre d’affaire a également été constatée, +3,4%.Pour les compagnies d’assurance, l’automobile est une activité essentielle. Plus de la moitié de leur chiffre d’affaire provient de cette branche. Aucune compagnie ne peut se passer de cette activité et elles dégagent toutes d’énormes bénéfices. La partie responsabilité est peut être déficitaire, mais la branche automobile dans sa globalité est excédentaire.La branche automobile dégage une marge d’exploitation de près de 30%. Un tel niveau de marge est tout simplement énorme. En 2014, la marge globale des compagnies dans la branche automobile était supérieure à 16,5 milliards de dinars. Les résultats partiels de l’année 2015 permettent de situer la marge globale au même niveau.Malgré ces marges phénoménales, les compagnies d’assurances continuent à « maltraiter » leurs clients. Les sinistres sont souvent remboursés avec beaucoup de retard. L’Union Algérienne des Sociétés d'Assurance et de Réassurance (UAR) reconnait, elle-même, que des dossiers de recours déposés depuis 2010 trainent encore en attendant un règlement.
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    L'Algérie des "nouveaux riches"

    Selon une enquête réalisée par l'Office national des statistiques, les dépenses annuelles globales des ménages algériens en produits ou services liés à l'éducation, la culture et aux loisirs sont de l'ordre de 143 milliards de dinars, soit 3,2% de la totalité de leurs dépenses annuelles de consommation. Certes, minimes, mais en dix ans ces dépenses ont plus que doublé. Elles étaient de 59 milliards DA (mds DA) en 2000 pour passer à 142,7 mds DA en 2011, selon les résultats de la même enquête de l'ONS.Cette «inflation» dépensière des ménages algériens comporte une réalité: la classe moyenne laminée durant une décennie du terrorisme a été ressuscitée. Le contexte économique aidant durant la période allant de 2000 à 2011, cette classe longtemps oubliée a bénéficié d'une redistribution des richesses. Offres de logement dans ses différentes variantes du logement social, locatif ou «participatif. Il était donc évident que les ménages s'occupent de leur bien-être une fois la question cruciale du logement réglée. En témoigne d'ailleurs la nature des dépenses. Elle se compose des biens électroniques, des frais d'éducation et articles scolaires, des instruments de musique, articles de sport et de camping, des achats de livres, journaux et revues, des frais de spectacle, culture et loisirs, des dépenses de voyages et des frais de réparation des équipements relevant de cette catégorie de consommation. Observées de plus près, ces dépenses varient selon le lieu de résidence.L'enquête de l'ONS révèle qu'en milieu urbain ces dépenses ont atteint 113,61 mds DA. Tandis que dans le milieu rural, elles ont été de 29,06 mds DA. Ce qui confirme également ce souci de confort chez les ménages algériens est indiqué par la nature des produits achetés. Ce sont en effet les biens électroniques (téléphones portables, TV, micro-ordinateurs...) qui viennent en tête de liste avec 41,3% de la totalité des dépenses éducation-culture-loisirs. Léger pincement au coeur regrettable dans cette «renaissance» sociale, les frais consacrés à l'éducation et aux articles scolaires viennent en seconde position avec 31,6%, des dépenses. Plus troublant encore, ce sont les frais consacrés à la culture et aux loisirs. Ils représentent 7,5% des dépenses des ménages.Quant à la lecture, les ménages algériens semblent en faire leur seconde priorité en réservant à l'achat de livres, journaux et revues, la modique part de 5,3 mds DA. Il est constaté que les achats de journaux en ont absorbé plus de 80% avec un montant de 4,76 mds DA, suivis des livres de culture générale (223 millions DA), des livres de catégories romans, nouvelles et contes (166 millions DA), des dictionnaires et encyclopédies (150 millions DA), des revues et périodiques (36 millions DA) et des livres pour enfants (29 millions DA). Il est également observé que sur ces 5,3 mds DA, les dépenses des ménages des catégories sociales les plus défavorisées ont représenté seulement 6,2% (336 millions DA) contre 38% (2 mds DA) pour les ménages les plus aisés. Selon les catégories sociales que l'ONS répartit en cinq groupes, le niveau des dépenses augmente, évidemment, avec l'évolution du niveau de vie des ménages.Ainsi, les dépenses des ménages les plus défavorisés ne représentent que 6,3% des dépenses totales des ménages en éducation culture et loisirs, alors que les plus aisés ont dépensé 48,4% de la totalité. Cela étant, comparé aux dépenses liées à l'alimentation, ce chiffre est dérisoire. Les Algériens consacrent une part importante de leurs revenus à l'alimentation.Selon les chiffres d'une étude menée par l'ONS, les Algériens consacrent 42% de leurs revenus à l'alimentation. Ces dépenses ont triplé durant la période allant de 2000 à 2011 passant de 683 milliards DA en 2000 à 1875 milliards DA en 2011.
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    Post Les banques publiques peu intéressées

    A la une Actualité/Commerce_Le crédit à la consommation
    le 12.03.16 | 10h00
    Les banques publiques peu intéressées

    Le crédit à la consommation ne suscite pas encore l’intérêt.
    La formule «magique» dont le gouvernement, le patronat
    et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) ont fait la promotion
    tarde à convaincre les producteurs et les consommateurs.


    Lancé officiellement en janvier dernier après une longue hésitation des autorités,
    le crédit à la consommation est «noyé» entre une demande encore timide
    et des banques qui n’en font pas, pour le moment, une priorité. Une virée
    dans plusieurs agences bancaires de la capitale permet d’avoir un aperçu sur
    l’avancement de ce concept présenté comme le sauveur de l’économie nationale.
    Les demandes de renseignements sur cette formule tant vantée par le gouvernement
    et encouragée par l’UGTA pour booster la consommation du produit «made in Algeria»
    ne sont portées que sur le crédit véhicule.

    «Nous recevons énormément de demandes de renseignements et de détails sur les modalités
    de l’acquisition de la Renault Symbol, mais nous sommes désolés de répéter la même réponse.
    Toutes les banques ne fournissent pas l’accès au crédit à la consommation. Nous n’avons reçu
    aucune instruction de notre hiérarchie», précise le chargé de crédit dans une agence de
    la Banque nationale d’Algérie (BNA) d’Alger-Centre.

    La même réponse est produite par le représentant d’Arab Bank qui explique que bien que
    la Banque d’Algérie ait donné son autorisation à l’ensemble des banques pour ouvrir
    ce segment (crédit à la consommation), les modalités de l’octroi et l’offre de ce produit bancaire
    ne sont pas encore proposées par tous ces établissements financiers. «Chaque banque ayant
    sa propre politique d’investissement et ses centres d’intérêt», explique-t-on au niveau
    d’une agence Arab Bank, à Alger. A la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP),
    on nous explique que la formule sera lancée très prochainement.

    «Probablement à la fin de ce mois», explique un employé du service crédit aux personnes
    venues se renseigner sur les modalités d’acquisition du véhicule algérien, qui reste ainsi
    le seul produit qui semble intéresser ces «demandeurs de renseignements». Seules donc
    deux banques privées, à savoir BNP Paribas El Djazaïr et Société Générale Algérie, offrent
    la possibilité de contracter un crédit à la consommation. Pour ces deux établissements financiers,
    des guichets sont mis en place au niveau des points de vente du constructeur. «Une fois sur place,
    l’intéressé est accompagné dans le processus de l’octroi du crédit, de sa simulation jusqu’à
    la signature du contrat», explique-t-on au niveau d’une agence BNP Paribas.

    Les producteurs aux abonnés absents
    A la lenteur de la procédure du lancement de cette formule de crédit au niveau des banques
    s’ajoute l’absence de l’offre de produits. Ainsi, mis à part les produits Condor (électroménager,
    informatique et électronique…), aucun show-room de produits locaux ou montés ne présente
    ce genre d’offre. Au niveau des magasins de Condor de la capitale, il est possible de retirer
    des factures proforma. Ce document est à présenter par les clients intéressés au niveau
    des deux banques, qui offrent pour le moment cette formule, avant de contracter le crédit.
    «Nous n’avons encore vu aucune demande d’achat validée. Les gens demandent la facture,
    regardent les prix et partent… La formule n’est pas encore bien lancée», précise un responsable
    d’un magasin Condor.
    En plus des véhicules, les cycles et motocycles, la liste des produits éligibles
    au crédit à la consommation est étendue aux produits électroménagers, les ordinateurs,
    les téléphones et les smartphones, les meubles et les tissus d’ameublement ainsi que les tapis,
    les matériaux de construction et la céramique. Les commerçants spécialisés dans ces créneaux
    évoquent l’aspect informel d’une grande partie de la production.

    «Une partie de ma clientèle se dit intéressée par certains produits d’ameublement, de l’installation
    des cuisines équipées fabriquées localement, mais le fait que les fournisseurs ne disposent pas
    des documents attestant la traçabilité des produis et la situation vis-à-vis du fisc empêche
    ce genre de transaction», explique le gérant d’un grand magasin de meubles installé dans
    la périphérie est d’Alger. Sur ce registre, Amar Takdjout, secrétaire général de la Fédération textile
    et cuir à l’UGTA, souligne que bien que des conventions officielles aient été signées entre plusieurs
    ministères et les banques, un travail de sensibilisation doit être mené avec les entreprises pour
    les inciter à se mettre à jour concernant cette formule.

    «Même si tous les blocages seront levés au niveau de toutes les banques, le résultat ne sera pas
    reluisant si, en contrepartie, les entreprises ne proposent pas leurs produits. C’est aux producteurs
    de mener également campagne pour booster leurs ventes», explique notre interlocuteur.

    A rappeler que le crédit à la consommation, suspendu en 2009, a été réinstauré par la loi
    de finances 2015. Il est destiné exclusivement aux produits fabriqués ou assemblés localement.
    Selon les textes législatifs, ce prêt est assorti d’un taux d’intérêt non bonifié (près de 9% pour
    le véhicule Renault par exemple). Les revenus de l’emprunteur devront assurer le remboursement
    du crédit durant les délais fixés par le décret exécutif relatif au crédit à la consommation, dont
    la durée est supérieure à 3 mois et n’excédant pas les 60 mois.

    Fatima Aït Khaldoun-Arab

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    Post Le brent au-dessus des 42 dollars

    A la une/Economie_Reprise des cours de l’Or noir
    le 19.03.16 | 10h00


    Le brent au-dessus des 42 dollars

    Les prix du pétrole ont largement franchi, hier, la barre des 42 dollars
    à Londres, place de cotation du pétrole algérien, poursuivant une

    La baisse de la monnaie américaine a contribué à....jpg


    remontée enclenchée depuis quelques semaines suite, notamment, aux informations faisant état
    d’une entente possible entre producteurs OPEP et non OPEP sur le gel de la production.
    L’optimisme était ainsi de mise sur les marchés américain et londonien, où de nouveaux records
    de cotation ont été enregistrés en comparaison avec les valeurs négatives ayant caractérisé le prix
    du baril il y a trois mois.Les cours de l’or noir vont ainsi boucler une quatrième semaine consécutive
    dans le vert, apportant enfin des nouvelles quelque peu réconfortantes pour les producteurs dont
    les finances fondent à vue d’œil depuis plus d’une année, dans le sillage de la chute des prix du pétrole.
    Il est à noter que la baisse de la monnaie américaine a contribué également à hisser les cours du brut
    sur le marché mondial, lesquels ont largement bénéficié, depuis jeudi, de la faiblesse du dollar,
    qui pâtit de l'attentisme manifesté mercredi par la Banque centrale américaine quant à la normalisation
    de sa politique monétaire, signale l’AFP.Or, toute dépréciation du dollar profite en effet au marché du pétrole,
    car les échanges y sont libellés en dollars et deviennent donc plus intéressants pour les investisseurs.
    «L'espoir que les principaux pays producteurs de pétrole de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole
    et la Russie s'entendront sur des plafonds de production contraignants le 17 avril apporte aux prix un dynamisme
    supplémentaire», ont ajouté des experts cités par les agences de presse.
    L'or noir, qui avait atteint des plus bas en près de 13 ans en février, reprend en effet des couleurs
    ces derniers temps, suite notamment à l’annonce faite cette semaine par le Qatar que des pays producteurs
    de pétrole, membres et non membres de l'OPEP, se réuniraient le 17 avril à Doha pour tenter de stabiliser
    la production et soutenir les prix du brut.
    La réunion rassemblera 15 pays dont la production représente environ les trois quarts de l'offre mondiale.
    Certains analystes doutaient toutefois que l'actuel rebond observé sur les marchés pétroliers soit durable
    à moyen terme en raison de fondamentaux de l'offre et de la demande toujours baissiers.
    Zhor Hadjam







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    Post Les prix à l’importation poursuivent leur baisse en janvier

    A la une/Actualité_Produits alimentaires
    3 avril 2016 | 10:59
    LES PRIX À L’IMPORTATION POURSUIVENT LEUR BAISSE EN JANVIER

    Les prix moyens des principaux produits alimentaires importés par l’Algérie ont enregistré
    une forte baisse en janvier dernier par rapport à la même période de l’année 2015,
    poursuivant le repli constaté depuis déjà plusieurs mois, relève un rapport du ministère du Commerce.

    Groupe de produits.jpg

    En janvier 2016, la valeur des sept principaux produits constituant l’essentiel du groupe alimentaire
    représentant plus de 76% des biens alimentaires importés- ont connu une baisse de 39,7%
    à 315 millions de dollars. Selon la note d’analyse du ministère, dont l’APS a obtenu une copie, les prix
    à l’importation des matières premières destinées à l’industrie de transformation ont, sans exception,
    reculé. Dans ce groupe de produits, les prix d’achat du blé tendre a baissé à 204 dollars la tonne (-21%),
    celui du blé dur, en hausse constante auparavant, a reculé à 401 dollars/t (-14%), le prix de la poudre
    de lait à 2 594 dollars/t (-17%), du sucre roux à 324 dollars/t (-17%) et du maïs à 401 dollars/t (-16%).
    Les prix de cinq variétés d’huiles brutes, figurant dans la même catégorie de produits, ont également diminué
    l’huile brute pour l’industrie à 554 dollars/t (-35%), l’huile de coco à 1 249 dollars/t (-34%), l’huile de palme
    à 558 dollars/t (-29%) et l’huile de soja à 719 dollars/t (-12%). Les prix à l’importation des produits de large
    consommation ont connu des baisses oscillant entre 7 et 39%, montre cette analyse des prix.
    Les prix des cafés torréfiés a diminué à 14.105 dollars/t soit une baisse de 39%, du triple concentré de tomate
    à 928 dollars/t, (-26%), du sucre blanc à 476 dollars/t (-16%) et celui du lait infantile à 6.606 dollars/t (-9%).
    Cependant, les prix moyens du double concentré de tomate et des pâtes alimentaires ont enregistré des hausses
    respectives de 7% et 40% à 1.346 et 2.094 dollars/t.
    La tendance des prix moyens à l’importation des légumes secs et frais était mitigée : une baisse de 37%
    et de 22% pour les haricots secs (951 dollars/t) et les pois secs (587 dollars/t) et une hausse de 43% et de 12%
    pour l’ail (1.589 dollars/t) et les lentilles (1.032 dollars/t) respectivement. Les prix des pommes et bananes
    ont augmenté de 14% et de 1% respectivement à 772 dollars/t et 743 dollars/t. Côté viandes, la baisse a concerné
    toutes les variétés de ce produit. Les prix d’achat des viandes bovines réfrigérées ont reculé de 28% à 3.582 dollars/t,
    des viandes congelées de 15% à 3.102 dollars/t, des crustacés congelés de 33% à 4.151 dollars/t et des poissons congelés
    de 16% à 1.365 dollars/t. L’analyse des prix élaborée par le ministère du Commerce aborde également
    les prix à l’importation du ciment. Les prix des produits de ciment ont enregistré des baisses sensibles allant de 12% à 92%.
    Plus de 32 millions de dollars d’importations de fruits frais et secs en un mois
    La facture des importations de fruits a augmenté de 10% à 32,7 millions de dollars au mois de janvier comparativement
    au même mois de l’année 2015. Les importations de fruits frais, constituées de pommes et de bananes, se sont chiffrées
    à 24,2 millions de dollars dont 18,4 millions de dollars de bananes.
    Quant à la facture des principaux fruits secs, elle s’est établie à quelque de 8,4 millions de dollars : 6,4 millions de dollars
    d’arachides, 1,2 million de dollars de raisins secs, 382.083 dollars d’abricots secs, 237.500 dollars d’amandes et 139.913 dollars
    de pruneaux secs. En ce qui concerne les importations de légumes, l’Algérie a importé pour 30 millions de dollars de ces produits
    en janvier 2016 contre 37 millions en janvier 2015. Les importations d’ail ont coûté près de 3 millions de dollars en ce mois
    contre près de 2 millions dans la même période de comparaison. Les importations de lentilles se sont chiffrées à plus
    de 10 millions de dollars (+58%), celles de haricots secs à plus de 9 millions (-44%), de pois chiches à 6 millions
    (-36%) et de pois secs à 73.384 dollars (-89%).

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    Re : Economie

    L'emprunt obligataire de l'État sera lancé le 17 avril, a affirmé lundi à Alger le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, en précisant que les souscriptions à cette opération seront ouvertes à la fois aux particuliers et aux entreprises. La souscription sera ouverte sur une durée de six mois. Le "montant plafond escompté" n'a pas été précisé.Les souscriptions se feront à travers près de 4 300 points habilités qui sont composés des agences bancaires et postales, des succursales de la Banque d’Algérie et des trésoreries principales, centrales et de wilaya, a fait savoir le ministre lors d’une conférence de presse consacrée à cette opération financière, selon l’APS.Baptisé « Emprunt national pour la croissance économique » (ENCE), ce dispositif vise, selon Abderrahmane Benkhalfa, la « mobilisation des ressources disponibles et endormies dans les tiroirs » pour le financement des projets d’investissements et économiques de l’État.La souscription à cet emprunt est ouverte « à tout le monde sans exception, que ce soit pour les particuliers, entreprises publiques ou privées », a-t-il poursuivi.Cette souscription sera proposée sous deux formes : titre nominatif ou au porteur (anonyme).Six mois ou moins pour atteindre le montant plafond escomptéS’agissant de la durée de souscription, elle est fixée à 6 mois mais l’État pourra clôturer l’opération une fois que les souscriptions atteignent le montant plafond escompté, a fait savoir Abderrahmane Benkhalfa qui s’est gardé, toutefois, de faire connaître ce montant.Les obligations sont d’une valeur de 50 000 dinars chacune (403,8 euros) et assorties de deux taux d’intérêts fixés en fonction du délai de remboursement : les obligations de 3 ans avec un taux d’intérêt de 5% et celles de 5 ans avec un taux d’intérêt de 5,75%.Un emprunt à des fins d’investissementLe ministre a expliqué que l’objectif de cet emprunt était de financer les projets économiques des investissements publics et qu’il ne s’agissait nullement de financer les dépenses de l’État.Les revenus pétroliers de l’Algérie ont baissé de 70% en moins de deux ans. Les hydrocarbures rapportent à l’Algérie plus de 95% de ses revenus extérieurs et contribuent pour 40% au budget de l’État.Fin décembre, le gouverneur de la Banque d’Algérie Mohamed Laksaci s’alarmait de la forte détérioration des finances publiques. Selon lui, les réserves de change ont fondu de 32 milliards de dollars entre septembre 2014 et juillet 2015. Elles se situaient à 152,7 milliards de dollars fin septembre 2015.
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    Post Une centaine d’hommes d’affaires algériens prospectent au Sénégal

    A LA UNE/Actualité_ECONOMIE
    le 22.04.16|16h55

    Une centaine d’hommes d’affaires algériens prospectent au Sénégal

    Une centaine d’opérateurs économiques algériens sont attendus,
    à partir de demain samedi à Dakar, a annoncé l’ambassade d’Algérie au Sénégal.



    La mission économique algérienne est composée d’hommes d’affaires
    opérant dans plusieurs secteurs dont l’agroalimentaire,
    l’industrie pharmaceutique, le bâtiment et les services.

    Des rencontres B to B sont prévues entre les hommes d’affaires des deux pays,
    dans le cadre d’un forum d’échange sur le cadre législatif et
    les investissements.Les travaux du forum se tiendront, du 23 au 27 avril prochains,
    au siège de la chambre du commerce et d’industrie à Dakar,
    a précisé la même source.
    Elwatan.com


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  10. #109
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    Post Sonatrach face à ses engagements commerciaux

    A LA/UNE/ECONOMIE_Les réserves stagnent, la demande explose
    le 25.04.16|10h00


    Sonatrach face à ses engagements commerciaux

    Les engagements économiques et commerciaux du groupe Sonatrach durant
    le quinquennat 2015-2020 étant sans commune mesure avec les réserves d’hydrocarbures
    réellement disponibles, il est à craindre que nombreuses commandes ne soient pas honorées
    et que la viabilité économique de certains gros investissements (nouveaux gazoducs vers
    l’Espagne et l’Italie, construction de deux complexes GNL à Skikda et Arzew,
    acquisition de méthaniers, etc.) soit compromise.Les 70 à 80 milliards de dollars que le Groupe
    pétrolier algérien compte investir durant cette période étant essentiellement destinés à l’aval
    pétrolier et gazier (construction de gazoducs, acquisition de gros méthaniers, réalisation d’usines
    de liquéfaction de gaz naturel, construction de nouvelles raffineries, etc.), il y a fort à craindre que
    l’amont (découvertes et exploitation de nouveaux gisements) ne soit pas à la hauteur des demandes
    croissantes en provenance de l’étranger et de l’Algérie où on consomme de plus en plus d’énergie.

    Toutes les quantités d’hydrocarbures supplémentaires générées par les récents investissements ont
    déjà trouvé preneurs, mais la crainte est d’assister, à plus ou moins brève échéance, à une saturation
    de la production par rapport aux commandes additionnelles endossées et aux gros investissements
    qui avaient été lancés dans l’euphorie de la hausse des prix du pétrole.

    Exporté dans à peu près les mêmes proportions, le gaz naturel, transporté au moyen de gazoducs et
    ou de méthaniers verra son volume augmenter sensiblement, pour atteindre 85 milliards de mètres
    cubes dans les toutes prochaines années, sans pour autant atteindre le volume des commandes
    contractuellement engagées.
    Ce volume sur lequel a tablé Sonatrach, sans avoir la certitude de l’atteindre,
    serait déjà totalement casé et il resterait encore de clients à satisfaire. En effet, tout en augmentant
    les quantités de gaz naturel livrées à l’Europe à travers les 4 gazoducs en service à l’horizon 2020,
    la compagnie pétrolière algérienne compte également promouvoir l’industrie du gaz naturel liquéfié avec,
    à la clé, la construction de deux complexes GNL à Skikda et Arzew devant porter la capacité globale
    de production supplémentaire du groupe à 40 milliards de m3 par an à l’échéance sus-indiquée.

    Il est par ailleurs question d’acquérir cinq gros méthaniers pour desservir des contrées lointaines d’Asie
    et d’Amérique fortement demandeuses en gaz naturel liquéfié.

    Les grosses quantités de gaz supplémentaires escomptées sont en grande partie destinées à l’exportation
    grâce au surcroît de capacités de transport développées par Sonatrach (gazoducs et méthaniers) devant
    dépasser, une fois mises en service, 420 millions de tonnes équivalent pétrole (Tep).

    Des objectifs que ne corrobore malheureusement pas l’état actuel des réserves disponibles, estimées à à peine
    140 milliards de barils équivalent pétrole (Bep). Les objectifs d’exportations ont-ils pris en compte
    la consommation intérieure de gaz naturel dont la Commission de régulation de l’électricité et
    du gaz (CREG) estimait, en 2014 déjà, à plus de 40 milliards de m3 ? Rien n’est moins sûr !
    Des voix s’élèvent çà et là pour promouvoir les énergies renouvelables et non conventionnelles dans
    le but de faire face à cette demande intérieure en constante progression.

    Se pose alors avec acuité la question de la rentabilité des nouveaux investissements programmés et,
    notamment, celle des équipements de transport (gazoducs et méthaniers) acquis à grands frais sans
    qu’ils n’aient la garantie d’une utilisation optimale, les quantités de gaz à transporter n’étant
    pas suffisantes au regard des réserves disponibles et des maigres découvertes (en volume) tirées de
    la centaine de découvertes effectuées durant la dernière décennie.
    Pour que Sonatrach puisse tenir
    ses engagements commerciaux, notamment avec ses clients étrangers avec lesquels de gros contrats
    ont déjà été signés, mais également avec ses partenaires locaux en pleine phase d’investissement
    pour augmenter leurs capacités de raffinage, développer la pétrochimie et satisfaire des besoins
    énergétiques croissants de la population, il est à espérer que ce groupe fasse un effort gigantesque à
    l’amont du secteur pour découvrir de nouveaux gisements et accélérer l’entrée en production de ceux
    qui ont déjà été mis en évidence.
    Ce n’est qu’à ces conditions que le groupe Sonatrach pourra tenir
    les ambitieux engagements économiques et commerciaux qu’il s’est fixés dans un évident excès d’optimisme.
    A défaut, il sera contraint de se tourner plus résolument vers l’exploitation de gaz de schiste avec toutes
    les conséquences que Sonatrach pourrait subir en termes de rentabilité aujourd’hui que les prix sont bas.

    Cette option n’est, en tout cas, pas à exclure au regard des quantités importantes que Sonatrach doit
    absolument livrer aux clients liés par des contrats fermes.Au sein des associations opposées à l’exploitation
    de gaz de schiste, on susurre même que l’ex-ministre de l’Energie Chakib Khelil, connu pour ses accointances
    avec les milieux texans, serait en mission commandée par les Américains pour précisément mettre à leur service
    les immenses réserves algériennes de gaz de schiste classées, de par leur importance, au troisième rang mondial .
    Nordine Grim




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  11. #110
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    Re : Economie

    Dans un monde où la pollution et le changement climatique sont en profondes relations avec les abominations climatiques qui se produisent de plus en plus fréquemment il est possible de ralentir tout ça mais en mettant en faillite plusieurs gros de ce monde.
    Je vous propose de prendre connaissance de ça:
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    Dans un monde où la pollution et le changement climatique sont en profondes relations avec les abominations climatiques qui se produisent de plus en plus fréquemment il est possible de ralentir tout ça mais en mettant en faillite plusieurs gros de ce monde.
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    [HIDE-THANKS][/https://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_MeyerHIDE-THANKS]

    Désolé il s'est mis en double.
    Carte DVB Technisat S2

    Progdvb mais pas de démo
    Connection internet fibre 2Go

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