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Discussion: Economie

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    Laksasci : le retour au crédit à la consommation au cours du 2ème semestre 2015.




    Le retour au crédit à la consommation sera accompagné par l’entrée en service de la centrale des risques prévue dès le deuxième semestre de 2015, a indiqué dimanche à Alger le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksasci.


    "La centrale des risques sera opérationnelle au deuxième semestre de 2015", a indiqué le gouverneur en marge d’une conférence du gouverneur de l’Autorité monétaire palestinienne sur l’expérience de son pays dans le développement des centrales des risques. "On va créer une centrale entièrement nouvelle sous tutelle de la Banque d’Algérie", a-t-il précisé avant d’ajouter qu’une opération de modernisation touche la centrale déjà existante.
    "Le lancement de la centrale des risques est précédé par des préparatifs intenses", a encore indiqué le gouverneur qui a souligné que l’Algérie peut bénéficier de l’expérience palestinienne dans ce domaine. Pour M. Laksaci, la Banque d’Algérie est prête pour la gestion des risques induits par le retour prévu au crédit à la consommation dans le cadre de la loi de finances de 2015.
    Le retour du crédit à la consommation avait été décidé par la tripartie de février dernier après avoir été suspendu en 2009 pour ne pas alourdir la facture des importations et encourager la production nationale.
    A une question sur le Foreign Account Tax Compliance act (FATCA), signée le 18 mars 2010 par le président Barack Obama et applicable à compter du 1er janvier 2013 par toutes les banques étrangères, M. Laksaci a indiqué que l’Algérie se plie à cette législation.
    Ce texte extraterritorial s'impose hors du territoire américain à des groupes non américains et contraint les banques, partout dans le monde, à traquer les fraudeurs au fisc américain dans la totalité de leurs filiales et à les sanctionner pour le compte de l'administration fiscale des Etats-Unis.


    Dernière modification par zadhand ; 20/06/2015 à 20h04. Motif: Economie
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    A la une Economie
    le 24.02.15 | 10h0
    Laboratoires Vénus
    Cap vers l’exportation


    kamel-moula_2601258_465x348.jpg
    Kamel Moula, DG des Laboratoires Vénus

    Pour les laboratoires Vénus, l’année 2015 sera celle de l’exportation. Le chiffre d’affaires de ce groupe enregistre annuellement une croissance de 8 à 9%.


    La marque algérienne de cosmétique Vénus s’est offert une jolie progression de ses résultats en 2014. L’année 2015 sera celle de l’exportation. Le cap est fixé résolument vers l’export, bien que l’entreprise ait blanchi sous le harnais dans le métier. Sur le marché algérien, l’évolution des indicateurs financiers des Laboratoires Vénus est très encourageante : le chiffre d’affaires a évolué de 8% en 2014, soutenant ainsi une constante croissance amorcée depuis maintenant plusieurs années. C’est dire que les machines tournent à plein régime pour Vénus qui enregistre ainsi annuellement une croissance de 8 à 9% de son chiffre d’affaires.
    Dans les prochains mois, ce fabricant algérien de produits cosmétiques et de beauté entend appuyer davantage sur le champignon de l’export, en orientant le gouvernail notamment vers le continent africain, réputé à grand potentiel. Vénus n’en est pas à son coup d’essai, puisque l’entreprise est déjà présente sur certains marchés.
    Son patron, Kamel Moula, rencontré dans les locaux des Laboratoires Vénus, fait de l’ambition du redéploiement de la marque à l’international son cheval de bataille pour 2015. Cet objectif suit un long travail de prospection et d’études mené sur certains marchés africains, très fortement demandeurs en produits cosmétiques et de beauté. Pour se frayer un chemin et imposer sa marque, Kamel Moula a une stratégie : adapter les produits Vénus aux spécificités africaines.
    Fort de son unité Recherche et Développement, il fait converger qualité et acclimatement des produits à la culture, au climat et aux besoins des différentes populations du continent africain. Il part du principe selon lequel les spécificités du marché africain, voire des attentes des consommateurs, ne sont guère semblables à la demande du marché algérien.
    C’est dire que l’entreprise algérienne des produits cosmétiques anticipe la différence des tendances de consommation sur certains marchés de l’Afrique noire de celles connues en Algérie. Vénus se targue d’avoir atteint ses objectifs sur le marché national, en se dotant d’une assise solide qui lui permettra de se fixer désormais les opportunités qu’offrent les autres marchés du continent africain.
    «D’ici la fin de l’année en cours, je pense que l’entreprise parviendra à parfaire ses recherches d’adaptation des produits aux spécificités des autres marchés et consommateurs du continent africain, une étape fondamentale pour mieux aborder et réussir le déploiement de Vénus sur les autres marchés africains», explique Kamel Moula, directeur général des Laboratoires Vénus.
    Outre le travail de recherche et de développement des produits, il a fixé deux autres priorités à son entreprise : maintenir la croissance des indicateurs sur le marché national, tout en renforçant l’investissement dans le facteur humain qu’il qualifie de l’un des paramètres solides sur lesquels est fondée la réussite de la marque. Dotée d’une marge opérationnelle appréciable, Vénus va à la conquête des marchés du Maghreb, de l’Afrique, tout en renforçant sa présence dans certains pays, dont la Syrie.
    Dans le courant de l’année, l’entreprise aura ficelé l’ébauche de sa nouvelle feuille de route. La hausse des capacités de production, des effectifs et de la proportion des bénéfices réinvestis est à même d’accompagner les nouvelles ambitions de l’entreprise à l’international.

    Dernière modification par zadhand ; 05/03/2015 à 11h34. Motif: Economie
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    Post Economie_Les Polonais veulent investir en Algérie


    Actualités :A la une Economie
    le 05 Mars 2015


    Leur ministre de l’Économie est à Alger
    Les Polonais veulent investir en Algérie

    La possibilité de livraison du GNL algérien au terminal polonais de Swinoujscie et la coopération dans le domaine du photovoltaïque peuvent constituer des opportunités pour le développement, la consolidation de la coopération économique algéro-polonaise.

    «Nous ne sommes pas venus en Algérie pour vendre mais pour investir», déclarait hier le vice-Premier ministre, ministre de l’Economie de Pologne, Janusz Piechocinski, en visite officielle dans notre pays.
    Intervenant hier à l’hôtel El Aurassi lors d’un forum économique algéro-polonais, le dirigeant polonais a assuré, lors d’un point de presse ponctuant la rencontre, de la volonté de son pays de booster la coopération avec l’Algérie, un pays considéré comme un «partenaire stratégique» et un marché pivot dans la stratégie polonaise de pénétration des marchés arabes et africains. Conduisant une mission économique de trois jours (menée par une quarantaine d’institutionnels et d’opérateurs économiques), le dirigeant polonais exprimera l’objectif de doubler les échanges commerciaux bilatéraux dont le volume a certes triplé durant les dernières années, atteignant un volume de l’ordre de 700 millions de dollars, mais qui reste encore en deçà des attentes. Mais aussi de développer les opportunités de coopération concrète, d’implantation et de participation des entreprises polonaises dans les programmes de développement infrastructurel, industriel et agroalimentaire impulsés en Algérie. En ce sens, Janusz Piechocinski évoque l’expertise polonaise notamment dans les secteurs de la mécanique (montage de bus et camions), des technologies de la communication, les matériaux de construction, dont l’Algérie pourrait bénéficier.
    Soit, développer la synergie, la convergence et la complémentarité entre l’économie algérienne et celle polonaise, une économie leader en Europe et qui a réussi sa période de transition comme relèvera le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb qui a co-présidé avec le dirigeant polonais les travaux de ce forum économique. «La Pologne est un exemple d’une transition réussie parce qu’elle a su construire une économie productive et diversifiée dans des branches industrielles», constatera ainsi le ministre de l’Industrie. Abdesselam Bouchouareb invitera ainsi l’establishment polonais à s’engager en Algérie, «un véritable relais de croissance pour les entreprises polonaises en dehors de l’Europe», s’intéresser à la production locale et à la mise en place de «plateformes industrielles orientées vers l’Afrique».
    Des opportunités, de «vrais chantiers de partenariats industriels et technologiques» sont ainsi potentiels dans le domaine de la construction et de l’ingénierie, la pharmaceutique et la santé, la sidérurgie, la sous-traitance et le machinisme agricole, l’agriculture, l’hydraulique… Mais aussi dans les secteurs de l’énergie et des hydrocarbures, le ministre polonais de l’Economie évoquant l’opportunité, la possibilité de livraison du gaz naturel liquéfié algérien (GNL) au terminal de Swinoujscie, situé dans le nord-ouest de la Pologne et réalisé avec le Qatar, dans le cadre d’une «coopération multilatérale».
    Comme le vice-Premier ministre polonais évoquera l’intérêt pour la coopération dans le domaine de la recherche et de la valorisation énergétique et dans les hydrocarbures, mais aussi la maîtrise de l’énergie (réduction de la consommation d’énergie) et le développement des énergies renouvelables, notamment le photovoltaïque.
    Des opportunités dont Janusz Piechocinski devra certainement discuter aujourd’hui avec le ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, qui sera certainement «séduit», anticipera son collègue à l’Industrie.
    Notons qu’un mémorandum d’entente entre la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) et la Chambre polonaise de commerce (KIG) ainsi qu’une déclaration conjointe pour le développement économique et industriel entre le ministère de l’Industrie et des Mines et le ministère polonais de l’Economie ont été signés lors de ce forum économique.
    Des accords voulus pour booster la coopération bilatérale, contribuer à la sécuriser et «pérenniser» en attendant la finalisation du cadre juridique.
    Récusant l’existence de problèmes ou de contraintes entre les deux économies, le ministre de l’Industrie laissera entendre que des avancées sont escomptées concernant la mise en vigueur d’accords de non-double imposition et de protection et promotion des investissements entre les deux pays.
    C. B.


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    Post LOI DE FINANCES 2015_Ces autres exonérations qu’il faut connaître

    Actualités :A la une Economie
    le 11 Mars 2015

    LOI DE FINANCES 2015
    Ces autres exonérations qu’il faut connaître

    Par Sarrab Larbi,Economiste-financier.
    Expert judiciaire agréé

    Depuis que le projet de loi de finances pour 2015 a été adopté par le Conseil des ministres et jusqu’au vote de cette loi puis à sa promulgation en date du 30 décembre 2014, les débats se sont focalisés sur l’unification du taux de l’impôt sur les bénéfices des sociétés – IBS — à 23%, applicables aux producteurs et aux importateurs, et sur le droit de timbre du passeport fixé à 6 000 DA. Alors que des dispositions fiscales qui engendreront, sans aucun doute, de profonds bouleversements dans les pratiques commerciales ainsi que dans la structure des contributions fiscales demeurent insuffisamment débattues, voire même occultées à ce jour à l’image des commissaires aux comptes qui ont choisi de traiter plutôt le thème du contrôle interne lors de leurs assises tenues les 25 et 26 février 2015.
    La loi de finances pour 2015 a, d’un côté, introduit des exonérations tous azimuts, et d’un autre, relevé le seuil de l’IFU à un chiffre d’affaires de 30 000 000 DA et élargi son champ d’application aux professions libérales, aux personnes des sociétés en nom collectif (SNC) et des sociétés civiles, aux sociétés assujetties à l’impôt sur le bénéfice des sociétés, SARL et SPA, ainsi qu’à tout contribuable qui exploite simultanément plusieurs établissements, boutiques, magasins et ateliers dès lors que le chiffre d’affaires total réalisé au titre de l’ensemble des activités exercées n’excède pas le seuil de 30 000 000 DA. Tous ces contribuables auront un impôt unique à verser une fois par an, au cours du mois de septembre, et qui regroupe TVA, TAP, IRG ou IBS.
    Notre contribution concernera les nouvelles exonérations devant être communiquées aux personnes concernées, afin qu’elles ne soient pas lésées dans leurs droits. Et face à la multitude et la diversité des avantages fiscaux octroyés au fil des années et même par la loi de finances pour 2015, nous nous limiterons aux nouvelles exonérations de la TAP et de l’IRG ou de l’IBS, aux exclusions du champ d’application de la TVA et à l’exclusion des professions libérales du champ d’application de l’IRG.

    1- Exonérations de la TAP, de l’IRG ou de l’IBS
    Les dispositions relatives aux exonérations fiscales sont introduites chaque année par chaque loi de finances. Compte tenu de la diversité des activités et des opérateurs économiques concernés, nous nous contenterons d’énumérer que certaines des dernières exonérations introduites dans la loi de finances pour 2015.
    D’abord, commençons par une nouveauté unique dans les annales de la fiscalité algérienne : les nouveaux contribuables sont dispensés du paiement de l’impôt durant la première année d’exploitation. Ils ne deviennent redevables de l’impôt qu’à partir de la deuxième année d’exercice de leur activité.
    Ensuite, ils bénéficient d’exonérations de la TAP, de l’IRG ou de l’IBS pour une période variant entre 3 et 10 ans, en fonction des conditions à remplir, les activités et les opérateurs économiques suivants :
    - Les activités exercées par les jeunes promoteurs d’investissements, d’activités ou de projets, éligibles à l’aide du Fonds national de soutien à l’emploi des jeunes, du Fonds national de soutien au micro-crédit ou de la Caisse nationale d’assurance-chômage (dispositifs Ansej, Cnac et Angem).
    - Les clubs professionnels de football constitués en sociétés par actions.
    - Les investissements déclarés auprès de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI).
    - Les investissements réalisés dans certaines activités relevant des filières industrielles suivantes : sidérurgiques et métallurgiques, liants hydrauliques, électriques et électroménagers, chimie industrielle, mécanique et automobile, pharmaceutiques, aéronautique, construction et réparation navales, technologies avancées, industrie agroalimentaire, textiles et habillement, cuirs et produits dérivés, bois et industrie du meuble.

    2- Réduction du champ d’application de la TVA
    L’institution de l’IFU par la loi de finances pour 2007 a réduit le champ d’application de la TVA, puisque celle-ci est comprise dans cet impôt unique auquel étaient assujettis, jusqu’en 2014, les personnes physiques commerçantes de détail, les prestataires de services et les artisans relevant de la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux, lorsque leur chiffre d’affaires annuel n’excède pas 10 000 000 DA. Mais, conformément à l’article 30 de la loi de finances pour 2015, les affaires faites par les personnes dont le chiffre d’affaires global est inférieur ou égal à 30 000 000 DA sont exclues du champ d’application de la TVA. Que les personnes soient physiques ou soumises au régime du réel ou du forfait. La seule condition prescrite est de ne pas dépasser le seuil du chiffre d’affaires de 30 000 000 DA. Et conformément à l’article 8 du code des taxes sur le chiffre d’affaires – TCA —, le chiffre d’affaires global à considérer chaque année est celui réalisé durant l’année précédente. Ainsi, les contribuables soumis au régime du réel et qui ont réalisé par exemple en 2014 un chiffre d’affaires inférieur à 30 000 000 DA sont exclus du champ d’application de la TVA durant toute l’année 2015, quel que soit le montant du chiffre d’affaires réalisé.
    Heureusement que cet alinéa a été introduit, sinon les contribuables soumis au régime du réel qui dépasseraient en cours d’année le seuil du chiffre d’affaires de 30 000 000 DA seraient dans l’obligation de régulariser en annulant toutes les factures établies sans TVA pour les remplacer par d’autres incluant la TVA à collecter auprès de leurs clients. Ce qui aurait suscité de nombreux mécontentements.

    3- Les professions libérales exclues de l’IRG :
    L’impôt sur le revenu global des personnes physiques a été institué en 1991. Il représente un impôt annuel unique applicable aux revenus ou bénéfices que le contribuable réalise ou dont il dispose chaque année. Jusqu’en 2014, les revenus assujettis à l’IRG et énumérés à l’article 2 du code des impôts directs et taxes assimilées comprenaient, entre autres, les bénéfices des professions non commerciales – BNC. La loi de finances pour 2015 a supprimé du champ d’application de l’IRG les bénéfices des professions libérales, en abrogeant les articles 22 à 29 du code des impôts directs et taxes assimilées relatifs à cette catégorie de bénéfices. C’est-à-dire que les médecins, avocats, architectes, commissaires aux comptes, experts comptables, comptables agréés, notaires, huissiers de justice et autres professions libérales sont soulagés de la déclaration annuelle de détermination de leur bénéfice dite G13 et bénéficient de l’exonération de l’IRG qu’ils versaient auparavant avant le 30 avril de chaque année. Et même, aucune obligation comptable ne leur est prescrite.
    En effet, les articles 26, 28 et 29 du code des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 6 de la loi de finances pour 2015, disposaient que les contribuables qui perçoivent des bénéfices non commerciaux sont soumis au régime de la déclaration contrôlée, en ce qui concerne le mode de détermination du bénéfice à retenir dans les bases de l’impôt sur le revenu global. Ils sont tenus de souscrire, au plus tard le 30 avril de chaque année, une déclaration spéciale mentionnant le montant exact de leur bénéfice net appuyée de toutes les justifications nécessaires et doivent tenir un livre journal côté et paraphé par le chef de l’Inspection des impôts de leur circonscription, qui retrace le détail de leurs recettes et de leurs dépenses professionnelles.
    Ainsi, les professions libérales ne figurent plus parmi les contribuables assujettis à l’IRG sur le fondement de l’article 10-2 du code des impôts directs et taxes assimilées qui dispose que «le revenu net global annuel servant de base à l’impôt sur le revenu est déterminé en totalisant les bénéfices ou revenus nets visés aux articles 11 à 76…». Et comme l’article 6 de la loi de finances pour 2015 a abrogé les articles 22 à 29 et 32, désormais l’IRG ne concerne que les bénéfices ou revenus nets visés aux articles 11 à 20 et de 33 à 76, à savoir les bénéfices industriels et commerciaux, les revenus agricoles, les revenus fonciers provenant des propriétés bâties et non bâties louées, les revenus des capitaux mobiliers et les traitements, salaires, pensions et rentes viagères. Ainsi, les professions libérales soumises au régime du réel deviennent exonérées de l’IRG. Par contre, celles qui sont soumises au régime du forfait sont imposables à l’impôt sur le revenu inclus dans l’IFU. Nous ne retrouvons leur présence que parmi les contribuables assujettis à l’IFU tel qu’il est précisé à l’article 13 de la loi de finances pour 2015.
    Au terme de notre contribution, nous estimons que ces nouvelles dispositions fiscales devaient être communiquées et expliquées pour permettre aux opérateurs économiques et aux membres des professions libérales de s’imprégner de leurs droits et leurs nouvelles obligations fiscales et comptables et pour permettre aux structures de l’administration fiscale d’accomplir efficacement leurs missions.
    Ce qui aurait évité l’application de dispositions abrogées telles que le taux proportionnel de l’IRG à 20% au lieu du taux progressif défini à l’article 104 du code des impôts directs et taxes assimilées, et évité également la présentation de la déclaration annuelle des professions libérales dite G 13 suite à l’abrogation de l’article 28 du même code.
    S. L.

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    Post Le crédit à la consommation attendra

    Actualités :A la une Economie
    le 15 Mars 2015

    Relancé dans la loi de finances 2015
    Le crédit à la consommation attendra

    Relancé dans la loi de finances 2015, le crédit bancaire à la consommation ne risque pas d’être octroyé de sitôt, la nature des produits nationaux éligibles n’étant pas encore définie officiellement et la nouvelle centrale des risques de la Banque d’Algérie n’étant pas opérationnelle, la baisse des prix du pétrole ne constituant pas un facteur propice.

    Cherif Bennaceur - Alger (Le Soir)

    Décidée par l’exécutif et avalisée lors des deux réunions tripartites (gouvernement- Centrale syndicale-patronat), tenues l’année dernière, la relance de l’octroi de crédits bancaires à la consommation avait été entérinée par la loi de finances pour 2015.
    Dans son article 88, modifiant et complétant l’article 75 de la loi de finances complémentaire pour 2009, la loi de finances 2015 stipule que «les banques sont autorisées à accorder, en sus des crédits immobiliers, des crédits à la consommation destinés à l’acquisition de biens par les ménages».
    Suspendue depuis la mi-2009, les pouvoirs publics mettant en avant alors le souci de réduire les sorties de devises et de juguler l’envolée des importations, l’allocation des crédits à la consommation est ainsi réimpulsée plus de six ans dans «le cadre de la relance des activités économiques», comme le précise l’article 88.
    Selon ses promoteurs, la réintroduction de ce crédit vise à booster la consommation de produits fabriqués localement, permettant ainsi de satisfaire la demande domestique mais aussi stimulant l’activité industrielle et de prestation de services en élargissant les carnets de commandes des entreprises.
    Toutefois, la loi de finances 2015 prévoit que «les modalités d’application du présent article sont fixées par voie réglementaire». Or, deux mois et demi après l’entrée en vigueur du texte législatif, cette mesure n’est pas encore entrée en application.
    En effet, le texte réglementaire, un décret exécutif, n’a pas encore été promulgué, au moins jusqu’à la date d’hier, même s’il est censé avoir été finalisé. Sera-t-il finalisé, signé et publié au Journal officiel à temps ? Le sera-t-il à court ou à moyen terme ? Car élaboré au niveau d’un groupe de travail représentatif des partenaires socioéconomiques, des banques et des départements ministériels, ce décret doit fixer les conditions exactes ainsi que les modalités de mise en œuvre de la relance.
    Ainsi, le décret attendu définit le type et les conditions du crédit à la consommation, son montant et sa durée. Comme déjà rapporté, le décret prévoirait une durée du crédit de trois à 60 mois, un financement bancaire égal au maximum à 70% du bien à acquérir pour une quotité de remboursement qui ne devra pas dépasser 30% du revenu mensuel.
    Néanmoins, la nature des produits et services éligibles au «crédit-conso» n’est pas encore définie officiellement, tant par ce décret que par le biais d’arrêtés ministériels et interministériels, escomptés en cours de maturation et liés à la promulgation dudit décret. Cela même si les produits électroménagers, électroniques et d’ameublement, les matériaux de construction, voire le véhicule Renault assemblé à Oran, sont réputés concernés.
    En fait, les critères définissant la production éligible, l’identité des entreprises concernées ainsi que le taux d’intégration adéquat ne sont pas encore connus. Cela même si les partenaires socioéconomiques convergent sur le principe de la territorialité, tout ce qui est créé ou assemblé sur le sol algérien méritant le label de produit national comme le relevait récemment un dirigeant du Forum des chefs d’entreprises, ainsi que sur l’inopportunité de fixer un taux d’intégration unique. Or, les banques ne pourront octroyer de tels crédits aux postulants dans la mesure où les produits concernés ne sont pas identifiés et que les conditions financières et modalités pratiques ne sont pas encore précisées.
    Cela même si nombre d’établissements bancaires assuraient l’année dernière de leur disponibilité à mettre en œuvre une telle mesure, étant déjà prêts en termes logistiques et ayant déjà offert des prestations dans ce domaine, durant la période antérieure à l’ordonnance de juillet 2009. Mais l’aptitude des banques à prester concrètement risque d’être encore incertaine, bridée au-delà de leurs capacités d’engagements et aux niveaux de liquidités par le fait que la Centrale des risques d’impayés des entreprises et ménages ne soit pas encore opérationnelle au niveau de la Banque d’Algérie.
    Inscrite dans le processus de modernisation de la gestion des risques, l’installation définitive de la nouvelle Centrale des risques avait été annoncée pour le second semestre 2015. Une échéance que le gouverneur de la Banque d’Algérie avait évoquée à maintes reprises ces derniers temps mais qui s’avère encore incertaine, voire lointaine.
    De fait, l’impulsion d’une telle instance à même de contrôler, freiner le risque d’endettement des ménages s’avère contrainte, au-delà des facteurs logistiques et autres malgré les initiatives de l’autorité bancaire, par l’absence d’engagement réel des pouvoirs publics. Un engagement que le contexte financier et économique actuel, marqué par les velléités du gouvernement de stimuler la production et l’entreprise nationales mais aussi par la baisse accentuée des cours du pétrole, risque en fait de brider. Dans la mesure où les finances publiques sont à l’orange, imposant une gestion rigoureuse et moins dépensière, une visibilité et lisibilité meilleures de la conduite économique mais que les pouvoirs publics peinent cependant à concrétiser, à assumer, le risque de voir la mise en œuvre du crédit à la consommation reportée à terme, voire aux calendes grecques est patent.
    En d’autres termes, le dispositif de rationalisation des dépenses publiques, annoncé par l’exécutif et dont l’application s’avère assez chaotique, pourrait se traduire par une remise en cause tacite, plus ou moins partielle, de la disposition législative. Dans la mesure où des produits éligibles au crédit-conso sont fabriqués localement mais assemblés à partir d’intrants et composants importés, l’exécutif pourrait imposer directement ou indirectement des mesures contraignantes à l’égard de ces importations. Ce que d’aucuns pourraient, certes, interpréter comme indu de la part des pouvoirs publics mais une pratique «normale» au vu des us de la gouvernance économique et financière en œuvre depuis des décades en Algérie.
    En somme, les pouvoirs publics ayant souvent propension à atermoyer, la Centrale des risques n’étant pas encore opérationnelle, la nature des produits éligibles n’étant pas encore publiée, le tout dans un contexte de baisse des cours de l’or noir, la relance du crédit à la consommation n’interviendra pas de sitôt.
    C. B.

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    Post «En prévision d’un assèchement de la liquidité, la Banque d’Algérie est en train de

    Actualités :A la une Economie
    le 19 Avril 2015

    Abderrezak Trabelsi. Délégué général de l’Abef
    «Les banques ne sont plus en situation de surliquidité»



    trabelsi-cl_2603097_465x348.jpg

    Abderrezak Trabelsi

    «En prévision d’un assèchement de la liquidité, la Banque d’Algérie est en train de mettre en place un instrument qui existait et que l’on a un peu oublié, le refinancement.»

    L’Algérie se prépare à faire face aux retombées du choc pétrolier qui grève lourdement les ressources depuis la chute des cours, en juin de l’année dernière. Il est clair que les réserves de change fondent et que les déficits du Trésor risquent de se creuser encore plus.
    Cependant, si les pouvoirs publics pensent à recourir aux financements bancaires pour maintenir certains de leurs projets d’équipements publics, il n’en demeure pas moins que la sphère bancaire risque, elle aussi, d’être touchée. Il y a quelques semaines, le gouverneur de la Banque d’Algérie lançait l’avertissement suivant : si les ressources des banques n’ont pas encore été affectées par la contraction des revenus induits par l’activité du secteur des hydrocarbures, elles vont l’être à partir de 2015.

    Le délégué général de l’Association professionnelles des banques et établissements financiers (ABEF), Abderrezak Trabelsi, est quant à lui plus tranchant. Dans un entretien à bâtons rompus, M. Trabelsi pense que le marché bancaire n’est plus en surliquidité. Il estime certes que le marché ayant fait face à des surliquidités structurelles durant de nombreuses années, induites par les dépôts du secteur des hydrocarbures et du produit de la fiscalité pétrolière injecté dans le circuit et alimenté par un baril à plus de 110 dollars, la situation a aujourd’hui changé.
    Le fait que des transactions ont été enregistrées sur le marché interbancaire il y a un peu plus de deux mois démontre que le marché n’est plus en situation de surliquidité. Le délégué général de l’ABEF précise aussi qu’«en prévision d’un assèchement plus accru de la liquidité, la Banque d’Algérie est en train de mettre en place un instrument qui existait et que l’on a un peu oublié, le refinancement». Il précise ainsi que la Banque d’Algérie se prépare à rouvrir les canaux de refinancement et qu’«un nouveau texte — qui n’a pas encore été publié mais a été approuvé par le Conseil de la monnaie et du crédit — redéfinit les règles d’accès au refinancement».
    Equipements publics VS entreprise…
    M. Trabelsi explique dans ce sens que cela ne veut en aucun cas dire que des banques sont défaillantes ou risquent de l’être, mais que la place bancaire va de plus en plus se diriger vers un fonctionnement normal et que les banques devront désormais assurer la fonction qui est la leur : chercher de la ressource pour financer le crédit.
    De même qu’il estime qu’en rouvrant les canaux de réescompte et de refinancement des effets des banques, la Banque d’Algérie, par le biais de la politique monétaire, aura un effet sur l’économie réelle. Il va sans dire que la Banque d’Algérie, en tant qu’autorité monétaire qui accompagne une politique économique, aura une incidence sur le financement des activités économiques. Interrogé sur le cas du financement des opérations d’importation, M. Trabelsi explique que ces dernières ne sont pas éligibles au réescompte et au refinancement par la Banque d’Algérie, qui agira désormais en tant que prêteur en dernier recours.
    De même qu’il estime qu’il est normal de voir la Banque d’Algérie agir en tant qu’accompagnateur d’une politique économique qui a pour objectif d’inciter au financement des investissements productifs au détriment des importations. C’est ainsi que la Banque d’Algérie a édicté, en décembre, un règlement divisant pas deux le plafond des engagements externes des banques ainsi qu’un règlement, au mois d’avril 2014, tendant à rendre moins rentable le financement des importations, visant à inciter les banques à financer l’investissement.
    Il va sans dire qu’à l’orée de la crise, les banques de la place sont appelées à jouer un rôle dans le financement d’une partie des programmes d’équipement public. Le délégué général de l’ABEF explique ainsi qu’avec la diminution des ressources budgétaires, les pouvoirs publics ont opté pour une rationalisation des dépenses avec un recours au financement bancaire. «Or, les ressources du crédit bancaire sont là pour financer l’économie réelle, à savoir les entreprises publiques et les entreprises privées», a-t-il estimé.
    Relèvement des taux d’intérêt
    Selon M. Trabelsi, les banques sont aujourd’hui face au défi de mobiliser de nouvelles ressources pour pouvoir financer les équipements publics de l’Etat et continuer à financer les entreprises aussi bien publiques que privées. Sans cela, poursuit-il, il risque d’y avoir un phénomène d’éviction de certaines opérations jusque-là couvertes par le crédit bancaire.
    M. Trabelsi rappelle que la circulation fiduciaire a atteint plus de 37 milliards de dollars et, pour que les banques puissent mobiliser ces ressources, elles doivent être dotées d’outils leur permettant d’offrir des incitations aux épargnants. Ce qui passera certainement par un relèvement des taux d’intérêt créditeurs pour attirer les épargnants et pas forcément des taux débiteurs, pour ne pas gêner l’activité économique. Il estime que la mobilisation de ressources nouvelles permettra de réduire son coût, ce qui permettra de limiter la hausse des taux d’intérêt débiteurs. Quoi qu’il en soit, M. Trabelsi considère que la sphère bancaire ne peut, à elle seule, répondre aux besoins de financement du marché.
    Il estime ainsi nécessaire le développement d’un marché financier. S’il dément les rumeurs selon lesquelles l’opération de rachat de Djezzy aurait contribué, à elle seule, à assécher la surliquidité bancaire, M. Trabelsi estime qu’il aurait préféré voir cette opération passer par le marché financier par l’émission d’obligations qui aurait sans doute éveillé l’intérêt des opérateurs pour un secteur très rentable. Il affirme que les pouvoirs publics ont une lourde responsabilité et qu’ils se doivent de donner un signal fort en introduisant de grandes entreprises publiques et des banques en Bourse.
    Il reconnaît toutefois que le marché financier ne peut se développer tant que le crédit bancaire demeure bon marché. Interrogé sur la capacité des banques à poursuivre le financement de crédits à taux bonifiés, notamment dans le cadre des dispositifs d’aide à l’emploi, le délégué de l’ABEF estime que la question se pose en termes de capacités du Trésor public, dans la situation actuelle, à supporter le coût de la bonification. Il note, dans ce sens, que ces dispositifs d’emploi aidés n’ont pas pour vocation de durer, mais juste d’amorcer la machine économique et qu’ils devront à terme s’arrêter.
    En tout état de cause, M. Trabelsi pense que toute politique économique se doit de se centrer sur l’entreprise car «c’est l’entreprise qui fait l’économie» et que «les pouvoirs publics ainsi que l’autorité monétaire ont pour mission d’édicter des règles et de mettre en place des incitations afin de faciliter l’activité des entreprises qui investissent et produisent au détriment des importateurs». «On est loin de cette situation», conclut-il.

    Roumadi Melissa



    Dernière modification par zadhand ; 19/04/2015 à 22h55. Motif: «En prévision d’un assèchement de la liquidité, la Banque d’Algérie est en train de mettre en place un instrument qui existait et que l’on a un peu oublié, le refinancement.» L’Algérie se prépare à f
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    Post Le crédit à la consommation après septembre

    A la une/actualite_Le crédit à la consommation
    08 Septembre 2015|14h15

    Le crédit à la consommation après septembre


    L'entrée en service de la nouvelle centrale des risques de
    la Banque d'Algérie est prévue pour la mi septembre 2015,
    permettant ainsi de contribuer à la relance du crédit à la consommation,
    a annoncé mardi le gouverneur de la Banque centrale algérienne, Mohamed Laksaci.


    "L'entrée en production de la nouvelle centrale des risques de
    la Banque d'Algérie est prévue pour la mi septembre 2015",
    a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des principales tendances financières et monétaires durant le premier semestre 2015. La nouvelle centrale des risques qui constituera
    "un important outil d'aide à la gestion des risques
    de crédits" par les banques de la place,
    contribuera aussi "à la reprise effective du crédit à la consommation",
    a affirmé M. Laksaci.

    Le retour du crédit à la consommation avait été décidé par la Tripartie de février 2014 (Gouvernement-UGTA-patronat) après avoir été suspendu en 2009
    pour ne pas alourdir la facture des importations et encourager la production nationale.

    Le crédit à la consommation aux ménages, dont les conditions et les modalités
    ont été fixées en vertu d'un décret exécutif publié au journal officiel en mai dernier,
    concerne les biens fabriqués par des entreprises exerçant une activité de production
    ou de service sur le territoire national et qui produisent
    ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers.

    Ces entreprises doivent être, précise le texte,
    en règle avec les impôts et les organismes de sécurité sociale,
    doivent être bancarisées et vendre avec factures.

    Le taux d’intégration des biens qui pourront être acquis
    grâce à un crédit à la consommation
    doivent être fixés par arrêté ministériel.
    APS
    Dernière modification par zadhand ; 08/09/2015 à 17h11. Motif: Le crédit à la consommation après septembre
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    Comment Google a gagné 65 milliards de dollars en un jour

    65 milliards de dollars, (60 milliards d'euros) soit l'équivalent du déficit français selon les derniers chiffres... c'est la valeur qu'a gagné Google en une seule journée vendredi. En effet, l'entreprise a battu vendredi un record détenu jusqu'ici par son grand rival Apple, en gagnant plus de 65 milliards de dollars de valeur en bourse en une seule séance, du jamais vu auparavant pour une entreprise américaine.
    L'action du géant internet a clôturé à un plus haut historique de 699,92 dollars, soit un bond de 16,26% comparé à la veille, dopée par l'annonce par la nouvelle directrice financière Ruth Porat de son intention de mieux maîtriser les dépenses, ainsi que de résultats meilleurs que prévu grâce notamment à la filiale de vidéos en ligne YouTube.
    Plus que la valeur estimée de Ford
    Selon Howard Silverblatt, chez S&P Dow Jones Indices, Google a ainsi «facilement établi un record» en engrangeant 65,1 milliards de dollars de capitalisation en une seule journée, portant la valorisation de l'ensemble du groupe à 468,3 milliards de dollars.
    A titre de comparaison, le gain de Google représente davantage que la valeur estimée en Bourse de l'ensemble du constructeur automobile Ford (quelque 58 milliards de dollars) ou du groupe informatique Hewlett Packard (près de 55 milliards).
    Et les co-fondateurs de Google en profitent
    Le précédent record était détenu jusqu'ici par le groupe informatique Apple avec 46 milliards de dollars gagnés en une seule séance en avril 2012, a rappelé Howard Silverblatt.
    La marque à la pomme reste en revanche largement en tête en terme de capitalisation totale (746,7 milliards vendredi soir), suivi par Google puis le géant des logiciels Microsoft (378 milliards). La séance boursière record de Google a parallèlement permis à ses co-fondateurs, Larry Page et Sergey Brin, d'ajouter plus de 4 milliards de dollars à leurs fortunes personnelles, relève l'agence Bloomberg.


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    Re : Economie

    il y a le feu en la demeure allah yastar
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  10. #10
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    ca va tomber sur les zaoualis comme toujours

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