Page 4 sur 18 PremièrePremière ... 2345614 ... DernièreDernière
Affichage des résultats 31 à 40 sur 180

Discussion: Economie

  1. #31
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post La Banque d’Algérie veut tester sa résistance face à une probable crise financière

    A LA UNE/ECONOMIE_La Banque d’Algérie

    06 Septembre 2015

    La Banque d’Algérie veut tester sa résistance face à une probable crise financière


    La Banque des banques envisage de lancer une opération d’évaluation de la capacité de résistance (stress testing), du système bancaire dans les situations de crise.

    Mohamed Laksaci _Un large exercice de stress testing sera conduit au quatrième trimestre 2015 ..jpg

    « Un large exercice de stress testing sera conduit au quatrième trimestre 2015 pour évaluer le degré de résilience du secteur bancaire face aux développements économiques récents », a annoncé le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci, aujourd’hui dimanche à Alger.

    Ce stress testing, exercice consistant à simuler des situations de crise économiques et financières vraisemblables, intervient dans une conjoncture délicate. L’Algérie se trouve à deux doigts d’une crise financière réelle. La chute brutale des prix du pétrole a été suivie, naturellement, de l’amenuisement de l’épargne du pays. Les réserves de changes de l’Algérie ont atteint 159,92 milliards de dollars en mars dernier,
    contre 178,94 milliards de dollars à fin 2014.


    Laksaci, cité par APS, a tenté cependant de rassurer en avançant que le système bancaire algérien est loin d’être fragile. « Une évaluation des indicateurs de solidité financière à fin 2014 montre que la solidité du secteur bancaire algérien est relativement préservée en dépit de la phase ascendante du cycle de crédits », a assuré le gouverneur de la BA qui s’exprimait à l’ouverture d’une session de formation
    au profit des cadres des banques centrales africaines.


    Cette « stabilité relative » est le résultat, selon lui, du renforcement des outils macro prudentiels. Le Conseil de la monnaie et du crédit a fixé, l'année dernière, le ratio de solvabilité minimum
    par rapport au "tier one" à 9,5%.
    Le ratio de solvabilité minimum par rapport
    aux fonds propres réglementaires a été fixé à 12%.


    Le système bancaire algérien compte 20 banques dont 6 banques publiques et 14 banques privées, filiales ou succursales des banques étrangères.
    Cela en plus de 9 établissements financiers dont six publics.


    Farouk Djouadi
    Dernière modification par zadhand ; 06/09/2015 à 23h35. Motif: La Banque d’Algérie veut tester sa résistance face à une probable crise financière
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. # ADS
    Economie
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #32
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Le crédit à la consommation après septembre

    A la une/actualite_Le crédit à la consommation
    08 Septembre 2015|14h15

    Le crédit à la consommation après septembre


    L'entrée en service de la nouvelle centrale des risques de
    la Banque d'Algérie est prévue pour la mi septembre 2015,
    permettant ainsi de contribuer à la relance du crédit à la consommation,
    a annoncé mardi le gouverneur de la Banque centrale algérienne, Mohamed Laksaci.


    "L'entrée en production de la nouvelle centrale des risques de
    la Banque d'Algérie est prévue pour la mi septembre 2015",
    a indiqué M. Laksaci lors de la présentation des principales tendances financières et monétaires durant le premier semestre 2015. La nouvelle centrale des risques qui constituera
    "un important outil d'aide à la gestion des risques
    de crédits" par les banques de la place,
    contribuera aussi "à la reprise effective du crédit à la consommation",
    a affirmé M. Laksaci.

    Le retour du crédit à la consommation avait été décidé par la Tripartie de février 2014 (Gouvernement-UGTA-patronat) après avoir été suspendu en 2009
    pour ne pas alourdir la facture des importations et encourager la production nationale.

    Le crédit à la consommation aux ménages, dont les conditions et les modalités
    ont été fixées en vertu d'un décret exécutif publié au journal officiel en mai dernier,
    concerne les biens fabriqués par des entreprises exerçant une activité de production
    ou de service sur le territoire national et qui produisent
    ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers.

    Ces entreprises doivent être, précise le texte,
    en règle avec les impôts et les organismes de sécurité sociale,
    doivent être bancarisées et vendre avec factures.

    Le taux d’intégration des biens qui pourront être acquis
    grâce à un crédit à la consommation
    doivent être fixés par arrêté ministériel.
    APS
    Dernière modification par zadhand ; 08/09/2015 à 17h11. Motif: Le crédit à la consommation après septembre
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #33
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Dispositions fiscales relatives à l’impôt sur le bénéfice et l’impôt forfaitaire

    A la une/actualite_Loi de Finances Complémentaire 2015
    09 Septembre 2015


    Dispositions fiscales relatives à l’impôt sur le bénéfice et l’impôt forfaitaire


    Par Sarrab Larbi, consultant économiste/financier
    [email protected]


    L’ordonnance n°15-01 du 23 juillet 2015 portant loi de finances complémentaire (LFC)
    pour 2015 a introduit de nouvelles dispositions relatives à l’Impôt sur le bénéfice
    des sociétés (IBS) et à l’impôt forfaitaire.

    Ces nouvelles dispositions méritent d’être exposées parce qu’elles concernent deux impôts annuels dont les mesures fiscales y afférentes au titre de l’année 2015 ont déjà été prises par les contribuables et l’administration fiscale. Dans ce cas, à quoi serviront les nouveaux taux de l’IBS modifiés au mois de juillet 2015, alors que sa déclaration et son paiement ont déjà eu lieu avant le 30 avril 2015 ? Quant à l’impôt forfaitaire, est-il possible de remettre en cause tous les travaux réalisés pour sa détermination par l’administration fiscale au titre des années 2015 et 2016, et d’inviter les centaines de milliers des contribuables concernés à payer cet impôt sur la base du chiffre d’affaires qu’ils ont fixé eux-mêmes, tel que défini dans la LFC 2015 ?

    Les sociétés à activités multiples astreintes à tenir 2 ou 3 comptabilités pour l’IBS
    La LFC 2015 a introduit trois taux différents de l’IBS selon la nature d’activité de la société.
    Ils sont fixés à 19% pour les activités de production de biens, 23% pour les activités de bâtiment, de travaux publics et d’hydraulique ainsi que les activités touristiques et thermales à l’exclusion des agences de voyages et à 26% pour les autres activités. Mais au cas où une société exerce concomitamment plusieurs activités, elle doit tenir une comptabilité séparée, pour déterminer la quote-part des bénéfices pour chaque activité à laquelle le taux
    de l’IBS approprié doit être appliqué.

    Le non-respect de la tenue d’une comptabilité séparée entraîne systématiquement l’application du taux de 26%. Ce type de disposition relative à plusieurs taux d’IBS a été remis en cause par la loi de finances 2015, parce qu’il a été constaté que la multitude de taux d’IBS peut, d’une part, être une source de fraude et d’autre part, donner lieu à des abus en cas de régularisation des sociétés ayant appliqué de bonne ou de mauvaise fois l’un des taux. Ce sont les griefs portés à l’instauration de taux différents, formulés dans le projet de loi de finances pour 2015 et ce qui a motivé la décision d’unifier le taux d’IBS à 23%. Quelques mois après, on est revenu sur ces griefs pour réintroduire ce qui a été écarté et soulignons que la modification des taux de l’IBS au mois de juillet compliquera davantage la tâche aux sociétés astreintes à tenir deux ou trois comptabilités, parce qu’elles seront obligées d’annuler toutes les opérations comptabilisées depuis le 1er janvier 2015 et de les reprendre à nouveau suivant les nouvelles exigences dont le respect relève de l’impossible. Déjà, tenir une seule comptabilité pour observer ses obligations fiscales relève de l’impossible depuis 2010 parce que le nouveau système comptable mis en œuvre – le Système comptable financier – est déconnecté des règles fiscales.

    IBS impôt annuel, ses taux modifiés deux fois en 2015
    Cependant, l’IBS est un impôt annuel. Au titre de l’année 2015, toutes les sociétés assujetties à cet impôt l’ont déjà déclaré et payé. Le dernier délai est fixé légalement au 30 avril de chaque année. Et le prochain IBS à payer n’interviendra qu’en 2016, et à ce moment-là une nouvelle loi de finances sera promulguée et qui pourrait remettre en cause les taux d’IBS fixés dans la LFC 2015.
    Si cette éventualité se produit, alors les changements de taux d’IBS introduits au milieu de l’année 2015 n’auraient servi à rien. Dans ce cas, la LFC 2015 aura été chargée de dispositions inutiles. Elles auront plutôt servi à déstabiliser certains opérateurs économiques en créant en eux un sentiment d’injustice et pour d’autres la crainte de subir injustement des sanctions fiscales eu égard à l’impossibilité pour une société de tenir deux comptabilités séparées pour appliquer à chaque comptabilité le taux d’IBS prévu pour chaque activité.

    L’impôt forfaitaire n’est plus à déterminer par le fisc
    L’Impôt forfaitaire unique (IFU) a été institué par la loi de finances pour 2007 pour regrouper l’IRG, la TVA et la TAP auxquels étaient assujettis les artisans et les personnes physiques commerçantes de détail et prestataires de services dont le chiffre d’affaires n’excède pas 3 000 000 DA. La loi de finances pour 2015 a d’un côté relevé le seuil d’application de l’IFU à un chiffre d’affaires de 30 000 000 DA, et d’un autre côté, élargi son champ d’application aux professions libérales, aux personnes des sociétés en nom collectif (SNC) et des sociétés civiles, aux sociétés assujetties à l’impôt sur le bénéfice des sociétés : SARL et SPA. Tous ces contribuables auront un impôt unique à verser soit par tranche trimestrielle soit une fois par an, au cours du mois de septembre, et qui regroupe TVA, TAP, IRG ou IBS.
    L’impôt à payer était déterminé pour lesdeux années à venir par l’administration fiscale et faisait l’objet d’une notification au contribuable concerné. L’avis de notification deviendra un contrat relatif à l’IFU désigné par l’administration fiscale sous le code Cn°9, et sera présenté au receveur des impôts à chaque échéance de paiement de l’impôt fixée trimestriellement ou au cours du mois de septembre. Ces travaux viennent d’être réalisés pour des centaines de milliers de contribuables au titre des années 2015 et 2016.Mais l’ordonnance n°15-01 du 23 juillet 2015 portant loi de finances complémentaire (LFC) pour 2015 a remis en cause les prérogatives de l’administration fiscale qui consistent à déterminer l’impôt forfaitaire à payer par chaque contribuable,
    pour laisser ce dernier calculer lui-même son propre impôt.

    En effet, l’article 2 du code des procédures fiscales qui exigeait que l’impôt forfaitaire à payer soit déterminé par l’administration fiscale a été abrogé par l’article 33 de la LFC 2015 et conformément à l’article 23 de la même loi ; ce sont, désormais, les contribuables eux-mêmes qui présentent au cours du mois de janvier, sur leur déclaration désignée sous le code G.12, l’impôt forfaitaire qu’ils paieront au cours de l’année.
    Une fois l’année écoulée, et au cas où le contribuable décèle que son chiffre d’affaires a dépassé celui qui a servi à calculer et à payer son impôt, il est tenu de régulariser et de régler, au cours de la deuxième quinzaine du mois de janvier, l’impôt complémentaire relatif au montant du dépassement. Ce n’est qu’après ce délai que l’administration fiscale peut user de son droit de communication auprès des banques ou tout autre organisme ou tiers, en vue de déceler des insuffisances de déclaration et faire procéder aux paiements complémentaires, à titre d’exemple d’investigation, se déplacer dans tous les tribunaux et cours de justice de l’Algérie pour relever toutes les affaires traitées par un avocat et les comparer à l’impôt forfaitaire qu’il a déclaré.
    S. L.
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #34
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Loi de Finances Complémentaire 2016

    A la une/actualite_Loi de Finances Complémentaire 2016
    15 Septembre 2015

    La gestion sous contrainte est désormais de rigueur

    C’est à un exercice de gestion sous contrainte que le gouvernement algérien, qui avait longtemps refusé d’admettre la réalité d’une crise pourtant inéluctable, est depuis quelques semaines forcé de se soumettre. Ce ne sera, à l’évidence, pas une tâche facile tant nos gouvernants — assurés, quinze années durant, de la disponibilité de recettes pétrolières prodigieuses — se sont habitués à dépenser sans compter.


    Même si quelques membres du gouvernement persistent à croire que les cours du pétrole vont prochainement repartir à la hausse en raison de la baisse des stocks d’hydrocarbures que ne manquera pas d’engendrer la fermeture de nombreux puits non rentables à travers le monde, ils ne sauraient feindre — sans risque de se le voir énergiquement reproché par la population — l’avènement d’une grave crise financière qui s’installe progressivement avec le risque de perturber, à terme, la quiétude économique et sociale des Algériens. Même si beaucoup d’entre eux en rêvent encore, un retournement plus favorable de la conjoncture pétrolière semble définitivement écarté par nos gouvernants au profit d’une nécessaire préparation à la gestion sous contrainte, voire même à une certaine austérité.
    A travers le projet de loi de finances pour l’année 2016 qu’un Conseil interministériel vient d’endosser, le ton de cette gestion budgétaire sous contrainte est largement donné, même si l’on refuse encore de parler d’austérité, comme pour exorciser le pays d’un éventuel syndrome grec. Au regard des anticipations budgétaires présentées par chacun des responsables de départements ministériels, on note une extrême prudence quant à la mobilisation de recettes disponibles.
    «Seuls les chantiers déjà lancés seront éligibles au financement, ceux qui ne le sont pas étant contraints d’attendre autant que nécessaire d’hypothétiques jours meilleurs» semble être la devise d’un gouvernement contraint d’abandonner son habit de cigale au profit de celui de la fourmi. Dépenser parcimonieusement et au gré de l’argent disponible est désormais de rigueur. Il s’agit de passer d’une gestion laxiste et exagérément prodigue des années fastes à une gestion sous contrainte, dont l’objectif est d’éviter le pire à un pays qui risque de s’appauvrir considérablement faute de recettes pétrolières.
    Le niveau des recettes budgétaires ayant toujours été tributaire des produits de la fiscalité malheureusement en déclin, il faudra désormais faire avec ce qui est disponible en évitant, autant que possible, de susciter des remous au sein d’un système politique et d’une société habitués à vivre au dessus de leurs moyens. Il ne pourrait y avoir, durant tout ce cycle de baisse des recettes fiscales, d’autre voie que celle de l’austérité, à moins d’une fuite en avant vers l’épuisement des réserves de change et l’accroissement démesuré de l’endettement extérieur.
    L’austérité devrait toutefois épargner l’investissement productif et la formation qualifiante que l’Etat serait bien avisé de soutenir, en usant notamment des ressources budgétaires encore disponibles et, chaque fois que possible, de avoirs privés. Ce sont surtout le train de vie de l’Etat, les surcoûts des chantiers, les transferts sociaux de complaisance, les détournements de fonds et les surfacturations liées aux importations que les pouvoirs publics devront s’atteler à éradiquer.
    A défaut, le déficit budgétaire déjà très important aujourd’hui (environ 50 milliards de dollars) sera si grand qu’il ne permettra plus à l’Etat de payer régulièrement sa pléthore de fonctionnaires et, encore moins, investir dans la réalisation de nouvelles infrastructures. Faute de plans de charge pour les entreprises et de revenus salariaux, la croissance économique serait alors ramenée à la portion congrue avec tout le cortège de chômeurs additionnels, de fermetures de chantiers et d’unités de production et, bien entendu, les graves dérapages politiques et sociaux qui en seraient induits.
    C’est une situation que l’Algérie a déjà vécue à la fin des années 1980 à la suite d’un effondrement des cours pétroliers qui l’avait surprise au moment où elle était déjà considérablement affaiblie par un surendettement extérieur. Ce n’est heureusement pas le cas aujourd’hui pour le pays, qui ne souffre pas d’endettement et qui, de surcroît, dispose encore d’un confortable matelas de devises lui permettant de tenir au minimum cinq années en conservant le train de vie actuel.
    Il ne reste à l’Etat qu’à tirer intelligemment profit de la manne financière encore disponible (147 milliards de dollars de réserves de change, les 30 milliards du Fonds de régulation des recettes, mais aussi et surtout, l’argent des opérateurs privés) pour amorcer le virage de l’après-pétrole en soutenant le plus vigoureusement possible la relance des secteurs pourvoyeurs de richesses et d’emplois que sont l’industrie, l’agriculture, le tourisme et la formation qualifiante. 

    Nordine Grim

    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #35
    Date d'inscription
    septembre 2013
    Messages
    1 076
    Thanks
    4
    Total, Thanks 1 926 fois
    Pouvoir de réputation
    143

    Reprise économique ? Crise terminée ? Le Baltic Dry Index indique le contraire !

    salam

    Et oui on est pas sorti de l auberge !
    Zgemma S2 openATV 6.0 hybrid c est l avenir.

  7. #36
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Economie algérienne La course contre la montre

    A LA UNE/ECONOMIE_ Repères économiques
    21 Septembre 2015


    Economie algérienne La course contre la montre

    Nous sommes à une phase décisive de l’évolution de notre économie. Face aux incertitudes sur le volume et la durée restante de la rente – y compris une éventuelle exploitation du gaz de schiste—, le rythme de construction d’une nouvelle économie diversifiée est-il en adéquation avec la disponibilité des ressources ? Il ne reste pas grand-chose comme revenus et les exigences de la construction d’une économie émergente exigent d’énormes moyens. Serons-nous en mesure de bâtir une économie forte et diversifiée avant la déplétion des ressources ? Toute la problématique réside dans les scénarios construits autour de ces questionnements. La population est en droit de s’interroger. Que nous réserve l’avenir ? A quelle période connaîtrons-nous les pires conséquences de l’effondrement du prix de l’énergie ?
    Nous ne sommes pas la seule économie à subir cette situation. Le Venezuela se trouve dans une position encore plus critique ; il va aller à l’endettement bien avant nous. Mais il faut surtout analyser les pays qui ont réussi à construire une économie diversifiée avant l’épuisement des recettes provenant des hydrocarbures. L’Indonésie et la Malaisie étaient dans une situation identique. Mais ces pays ont réussi à opérer un virage important dans leur politique économique, juste avant
    la réduction drastique de leurs exportations pétrolières.

    Cependant, leurs approches ont été très différentes des nôtres. Ils ont financé ce que l’on appelle les «facteurs-clés de succès» (FCE). Nos plus hautes autorités sont en train de consulter nos meilleurs experts, à travers le CNES. Il est temps de faire un changement profond au sein de nos politiques économiques. Nous ne pouvons pas faire une autre erreur et nous en sortir. Par le passé, nous avions toujours une autre décennie pour corriger les errements du passé. Mais nous faisons face à notre dernière chance.
    La Question de la Durée
    En fait, combien de temps nous reste-t-il pour épuiser nos ressources disponibles et recourir à l’endettement international ? Bien sûr que cela dépend de l’évolution de beaucoup de paramètres économiques et géopolitiques. Mais une saine planification stratégique consiste à travailler sur le scénario le plus pessimiste.
    Certains de nos spécialistes en énergie s’attendent à une remontée des prix entre 60 et 80 dollars dans trois ans. Peut-être ! Mais en matière d’énergie, nul ne le sait. Un cabinet d’études britannique a interrogé une trentaine de personnes et d’institutions qui avaient fait les meilleures prévisions sur les prix pétroliers par le passé. Leurs anticipations variaient de 30 à 140 dollars pour les dix prochaines années. Preuve que l’incertitude est totale ! Lors d’une conférence que j’ai donnée pour le Forum des chefs d’entreprises (FCE), il y a trois ans, je préconisais de travailler sérieusement sur un scénario de réduction drastique des prix pétroliers.
    Un des plus grands experts de la question pétrolière contesta, disant qu’il était impossible que les prix pétroliers chutent sur les dix prochaines années. Puisque personne ne sait, travaillons sur le scénario le plus pessimiste. En juin 2015, nos réserves frôlaient les 160 milliards de dollars suite à une chute de plus de 34 milliards de dollars. Si on faisait une comptabilité plutôt pessimiste, on tablerait sur 30 milliards de dollars de recettes par an. Les importations de biens et de services peuvent se situer à 60 milliards. Il faut bien laisser au moins 20 milliards en réserves. Si la situation ne change pas, fin 2018, on commencera à penser aux problématiques financements extérieurs.
    Bien sûr que beaucoup de décisions peuvent être prises pour allonger la période ou faire mieux : changer radicalement d’approche, prendre la trajectoire de l’émergence et déconnecter progressivement l’économie de la dépendance des hydrocarbures. On peut réduire les importations d’une manière significative et allonger les délais. On analyse la nomenclature des postes importants pour y consentir des investissements de substitution. On rénove nos politiques d’exportation. Pour cela, il faut libérer réellement les initiatives, celles des entreprises publiques et privées, surtout celles qui réussissent.
    Trois ans et après ?
    Le citoyen dira mais on a trois ans devant nous et après, les solutions peuvent surgir de toutes parts. Trois ans dans la vie d’une nation ne sont qu’un clin d’œil. Les moins jeunes se rappellent l’indépendance, 53 ans auparavant, comme si c’était hier. Il nous faut prendre conscience de nos problèmes fondamentaux pour les éradiquer. Il n’y a pas mieux qu’un diagnostic profond et indépendant. Toutes les recherches internationales indépendantes que j’ai lues sur notre pays arrivent à la même conclusion.
    En jargon économique, on dit : «Le pays souffre d’une productivité globale des facteurs très faible et déclinante». En termes plus simples, nos entreprises et nos institutions sont si mal gérées qu’elles ne savent pas transformer les ressources en richesses durables. Autrement dit, elles vont dilapider la plupart des moyens qu’on leur donne. C’est pour cela qu’en 2003, j’ai déclaré à maintes reprises que l’argent injecté par les «futurs plans de relance» nous donnerait 20 à 30% des infrastructures financées, le reste ira en restes à réaliser, corruption, malfaçons, etc. On se rend bien compte, maintenant, que c’est ce qui s’est passé.
    Alors allons-nous gagner la course contre la montre, comme la Malaisie et l’Indonésie, ou allons-nous échouer une fois de plus ? Toutes les recherches internationales, parfois à coups d’équations économétriques, parfois par de simples ratios comparatifs, aboutissent aux mêmes conclusions. Quand le gouvernement injecte 3 à 4 dollars dans notre économie, cette dernière nous en produit moins
    d’un dollar (33% du PIB injectés pour avoir moins de 4% de croissance).

    En Chine, avec un dollar injecté par l’Etat, l’économie fabrique 3 dollars de biens et de services. C’est là le défi de notre pays. Comment faire pour que notre appareil économique se transforme en un ensemble qui crée de la richesse au lieu d’en dilapider ? Il ne faut pas continuer à donner de l’argent aux institutions, mais les réparer d’abord. Lorsqu’on a un moteur de véhicule défectueux, on le répare d’abord ; on ne le remplit pas uniquement d’huile et d’essence. Toute la problématique de la course contre la montre est là. Allons-nous continuer à mettre de l’huile et de l’essence
    dans un moteur défectueux ou le réparer d’abord ?


    Abdelhak Lamiri




    Dernière modification par zadhand ; 21/09/2015 à 19h40. Motif: Economie algérienne La course contre la montre
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  8. #37
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Qu’est-ce qui en retarde le lancement ?

    A la une/actualite_Le crédit à la consommation
    28 Septembre 2015|

    Qu’est-ce qui en retarde le lancement ?

    Dans la mesure où la nouvelle Centrale des risques des entreprises et ménages est opérationnelle et que les banques primaires sont censées être prêtes, qu’est-ce qui pourrait retarder encore le lancement concret de l’octroi de crédits à la consommation ? Est-ce l’incertitude sur la nature des biens et services concernés ? Les marques de véhicules sont-elles toutes éligibles à ce type de financement ?

    Cherif Bennaceur - Alger (Le Soir)

    Suspendu par une disposition de la loi de finances complémentaire de 2009,
    l’octroi du crédit à la consommation aux ménages a été relancé
    lors de la réunion tripartite (gouvernement-UGTA-patronat) de février 2014.
    Une suspension motivée alors par le souci de juguler l’envolée des importations
    et la sortie de devises et par l’objectif de soutenir la production domestique.

    Relancé officiellement par une disposition de la loi de finances 2015 dans le but justement de promouvoir la consommation de la production nationale, ce type de financement bancaire
    a été entériné par un décret exécutif pris au mois de mai de cette année.

    Ce texte définit le crédit à la consommation en tant que «toute vente de bien dont le paiement est échelonné, différé, ou fractionné». Il précise en fait les conditions et les modalités d’octroi du crédit pour les biens fabriqués localement. Ainsi, ce type de crédits peut être accordé aux particuliers, pour une durée supérieure à trois mois et n’excédant pas soixante mois. Soulignons toutefois que l'octroi du crédit à la consommation
    est réservé exclusivement aux nationaux résidents.

    Ce crédit permet l’acquisition de produits d’entreprises qui exercent une activité de production ou de service sur le territoire national, produisent ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers,
    sont en règle avec l’administration fiscale
    et les organismes de Sécurité sociale, sont bancarisées et vendent avec factures.

    En outre, l'offre du crédit doit comporter des informations sincères et loyales précisant notamment les éléments de l'offre, les modalités de son octroi ainsi que les droits et obligations des parties au contrat de crédit.
    Le montant mensuel global de remboursement du crédit contracté, par l'emprunteur, ne peut en aucun cas, dépasser 30% des revenus mensuels nets régulièrement perçus. Ceci, dans le but d’éviter le surendettement du client. Un risque que la mise en place au niveau de la Banque d’Algérie d’une nouvelle Centrale des risques des entreprises et ménages (Crem) est censée permettre de juguler. Or, cette Centrale, une base de données qui collecte et restitue toutes les données relatives aux crédits bancaires octroyés et à la situation financière des demandeurs dont les défauts de paiement, est opérationnelle sur le plan technique.
    Entrée en production dès le 15 septembre 2015, après une année de réalisation et de tests techniques, la Centrale est accessible en ligne par les banques et les établissements financiers
    de la place ainsi que les succursales de la Banque d’Algérie.

    Dès la fin septembre, en fait le début d’octobre, ces banques pourront déclarer ces données à la Centrale
    des risques qui commencera à les centraliser et à les restituer tout au long du mois.

    Ainsi, la Banque d’Algérie a été au rendez-vous en mettant en place la Crem. Ce faisant, les banques primaires sont également prêtes à octroyer ce type de financement.
    Ce qui relève au demeurant de leurs prérogatives et non de la Banque centrale.

    En effet, ces banques ont été informées officiellement, via une correspondance de la Direction générale du crédit et de la réglementation bancaire, de la réception opérationnelle de la Centrale. Comme les banques ont dû mettre en place au niveau de leur réseau d’agences les conditions adéquates
    en termes d’ingénierie et d’information en interne.

    A charge cependant que les agents de banques soient au fait des produits et services éligibles au crédit à la consommation. Ce qui n’est pas évident et pourrait peut-être retarder la relance effective du crédit. Certes, le décret exécutif indique que les biens éligibles sont ceux fabriqués par des entreprises de production
    ou de service exerçant sur le territoire national,
    par des sociétés de production ou d’assemblage de biens destinés à la vente aux particuliers.

    Toutefois, l’identité des entreprises concernées n’est pas encore connue.
    Jusqu’à nouvel ordre, aucun texte réglementaire, aucun document officiel n’a été rendu public et identifiant clairement les entreprises éligibles, les produits concernés. De même, le taux d’intégration des produits concernés – déterminant le volume de composants importés dans le volume global — reste flou, même si le décret exécutif cité plus haut indique que «les biens éligibles peuvent répondre à un taux d'intégration fixé, en tant que de besoin, par arrêté ministériel». Or, les biens éligibles doivent-ils répondre à un taux d’intégration précis, de l’ordre de 5% ou de 10% ? De 30% ou 45% ? Ou plus ? Ce taux sera-t-il fixé comment et par qui ? C’est encore l’incertitude. En effet, le grand public ignore si une quelconque commission ministérielle, interministérielle ou multisectorielle a été mise en place en ce sens, s’est réunie et aurait établi la liste des biens ou fixé un taux précis.
    Ce qui ouvre la voie tant à l’arbitraire qu’à l’incertitude et permet à tout opérateur économique, même exerçant une simple activité de production ou de montage,
    de prétendre être éligible en arguant de la disposition réglementaire suscitée.

    Sachant que le dispositif du crédit à la consommation avant sa suspension en 2009 concernait essentiellement les véhicules et à un degré moindre l’électroménager et l’ameublement, en sera-t-il également le cas dans quelques jours ? Suffira-t-il qu’un produit, notamment un véhicule automobile soit assemblé localement, même avec un taux d’intégration quasi nul, pour qu’il bénéficie automatiquement du label production algérienne et soit éligible de facto ? Les marques de véhicules sont-elles toutes éligibles au dispositif ? Tel produit électroménager ou d’ameublement serait-il davantage éligible qu’un autre, parce fabriqué sur la base d’un tel ou tel taux d’intégration ? Un questionnement qui se pose dans la mesure
    où la nature des biens concernés reste encore méconnue
    et que le discours des pouvoirs publics est quelque peu flou à ce propos.

    Notons que le ministre de l’Industrie et des Mines avait considéré, la veille de l’entrée en production de la Crem, que «quand la Banque d’Algérie aura fait son travail, les entreprises auront à étudier» les modalités de ce dispositif. Ce qui n’a pas été donc encore enclenché. Dans la mesure où justement la Banque centrale est au rendez-vous et que les banques primaires sont prêtes, qu’est-ce qui pourrait constituer une contrainte, un facteur de retard dans le lancement effectif du crédit ? A moins de l’indisponibilité des liquidités bancaires, une éventualité pourtant relativement nulle, et nonobstant les questions de rentabilité,
    aucune raison ne justifierait donc un quelconque retard. Mais serait-ce le cas ?

    C. B.


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  9. #38
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post 3e session du Comité mixte économique

    A LA UNE/ACTUALITÉ_ COOPÉRATION ALGÉRO-FRANÇAISE
    25 Octobre 2015

    3e session du Comité mixte économique

    La troisième session du Comité mixte économique algéro-français se tient cette fois-ci à Paris le 26 octobre, soit demain. La délégation algérienne sera coordonnée par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et son collègue de l’Industrie, Abdesselam Bouchouareb. Du côté français, c’est le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et Emmanuel Macron, patron de l’économie, qui conduiront les travaux. Hamid Grine n’est apparemment pas du voyage, mais Bouchouareb le sera.
    Il est à parier que l’enjeu pour la France ce sont les contrats juteux en cours et en perspective malgré la fin chez nous de l’embellie financière. La bataille est menée par la France qui ne désespère pas pour reprendre à la Chine la première place de fournisseur de notre pays. Toute cette donne fera que la délégation algérienne sera reçue avec les honneurs dus à un pays aussi généreux et qui sait passer l’éponge sur l’essentiel.
    Si l’on confirme aujourd’hui la tenue de cette rencontre, d’un côté comme de l’autre, l’on fait comme si rien de nouveau n’est venu assombrir le ciel algéro-français et comme si l’épisode de la fouille à Orly et du tollé provoqué dans l’opinion algérienne n’avait jamais existé. Il est vrai qu’à propos de la dernière victime des fouilles policières d’Orly, en l’occurrence Hamid Grine (après les deux précédents ministres, Bouchouareb et Tebboune ayant fait l’objet du même traitement), une source du MAE algérien aurait déclaré à un confrère : «Pour nous, tout est rentré dans l’ordre.» Tout porte à le croire. Il aura suffi que Bernard Cazeneuve exprime par lettre à Grine, non pas des excuses mais de profonds regrets, pour clore l’épisode.
    Pour s’en convaincre, il suffit de savoir que le bal des délégations arrivant sur Alger ou celles algériennes se rendant en France n’a pas connu de répit. Aujourd’hui même, Najat Vallaud-Belkacem, ministre française de l’Education, est dans nos murs. Aujourd’hui également, le sénateur français Gérard Collomb va entamer une tournée dans le pays. En sens inverse et hormis les voyages de notre MAE, l’on n’apprend les voyages à Paris des autres ministres, que très accidentellement, lorsque, par exemple, un pépin se produit au vu de témoins.
    Demain donc la troisième session du Comité mixte économique algéro-français (Comefa), organisme créé en 2013, s’ouvrira dans la capitale française par une séance plénière qui regroupera les entreprises des deux pays engagés dans «un partenariat», dixit la partie française. Le fait saillant de la journée de demain sera naturellement la signature d’accords. Ces derniers sont au nombre de huit et concerneront les secteurs des transports, de l’agriculture, de la propriété intellectuelle et la mobilité des jeunes diplômés.
    L’après-midi sera consacrée à des «ateliers sectoriels sur le numérique, la sous-traitance et l’agroalimentaire». Dans la foulée, nous apprenons que le lendemain, soit le 27 octobre, des tables rondes auront lieu au Sénat et porteront sur la «mobilisation des collectivités locales au service de la coopération industrielle».
    Si l’on apprend aussi que «les Français vont mettre la pression sur le dossier Aigle Azur pour libérer les 28 millions bloqués par la Banque d’Algérie» à l’encontre du transporteur français, du côté algérien, non seulement aucune information n’est fournie sur cette rencontre (à l’heure où nous mettons sous presse) et même si nous l’étions pourrions-nous penser un instant qu’avec la France aujourd’hui, nos gouvernants actuels peuvent exiger quoi que ce soit ?
    Khedidja Baba-Ahmed

    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  10. #39
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    165

    Post Le retour du crédit à la consommation reporté à 2016

    A la une/actualite_Le crédit à la consommation
    05 Novembre 2015|15h08

    Le retour du crédit à la consommation reporté à 2016


    Après les retards liés à la mise en place de la centrale des risques
    de la Banque d’Algérie, le retour du crédit à la consommation
    doit attendre maintenant la finalisation de la liste des produits concernés.

    La liste des produits concernés sera annoncée « dans un mois ou deux ».jpg

    « Le système est concrétisé au niveau des banques. Il reste à finaliser la liste des produits concernés par ce crédit », a déclaré le ministre du Commerce Bakhti Belaib, hier mercredi à Alger. Cette liste qui comprendra « les produits fabriqués en Algérie et ceux ayant un taux élevé de valeur ajoutée localement » sera annoncée « dans un mois ou deux », a précisé le ministre qui s’exprimait en marge
    de la cérémonie de lancement du label d’origine
    Algérie garantie « Bassema Djazaïria»,
    organisée par le FCE, hier dans la soirée à l’hôtel El Aurassi.

    Le crédit à la consommation a été suspendu
    dans le cadre de la LFC 2009.
    La centrale des risques des entreprises et ménages est opérationnelle
    depuis septembre dernier, selon la BA.

    Farouk Djouadi



    Dernière modification par zadhand ; 05/11/2015 à 21h13.
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  11. #40
    Date d'inscription
    juin 2015
    Messages
    5 585
    Thanks
    1 445
    Total, Thanks 8 526 fois
    Pouvoir de réputation
    126

    Le dinar à un nouveau niveau plus bas historique

    Le Dinar algérien ne se remet plus en santé devant les devises mondiales et continue sa chute libre menaçant ainsi l’économie algérienne, qui ne peut tenir d’autres coups avec un prix du baril de l’or noir sous les 50 dollars dont le FMI prédit son maintien à ce niveau pour de longues années. En effet, le dinar perd de valeur encore devant le dollar et se met à un nouveau niveau bas historique. Le dollar américain marque un pic face à la monnaie algérienne, à 107,73 dinars, dans les cotations officielles, alors que l’Euro perd de quelques dinars, avec 116 dinars pour 1 euro.
    XIAOMI MI BOX MDZ 16-AB V 8.0>> IPTV EXTREME V.82 / MS IPTV MAGSAT

    IMPORTANT

    mettre un avatar et une signature

    Présentation type à respecter

    Présentation Obligatoire pour tout nouveau membre

Page 4 sur 18 PremièrePremière ... 2345614 ... DernièreDernière

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •