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Discussion: Economie

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    La crise a-t-elle réellement impacté les Algériens?

    DÉPENSES EXCEPTIONNELLES PENDANT LE RAMADHAN, GASPILLAGE, ACHATS DES VÊTEMENTS POUR L'AÏD..

    .Le goût prononcé de nos concitoyens pour la surconsommation durant le mois sacré n'indique pas que la société est mal en point, malgré l'alarmisme ambiant qui s'est emparé des pouvoirs publics et de la classe politique suite à la dégringolade des prix du pétrole.


    Les réserves de changes s'épuisent. La trésorerie du pays s'effrite. Les équilibres budgétaires sont menacés. Le gouvernement panique et annonce une nouvelle ère économique qui s'appuierait sur un modèle de croissance qui affranchirait le pays de son addiction à l'or noir. L'Algérien, lui, reste zen. Le goût prononcé de nos concitoyens pour la surconsommation durant le mois sacré n'indique pas, en effet, que la société est en crise malgré l'alarmisme ambiant qui s'est emparé des pouvoirs publics et de la classe politique suite à la dégringolade des prix du pétrole. Tout donne l'impression que le pouvoir d'achat de nos compatriotes ne s'est pas autant érodé que l'aurait voulu la flambée des prix, mais aussi, la dépréciation de la monnaie nationale par rapport aux autres devises étrangères, l'euro et le dollar en particulier, références des marchés financiers internationaux. Depuis l'effondrement des prix du pétrole, il y a deux ans, passés entre le mois de juin 2014 et aujourd'hui de quelque 115 dollars le baril à moins de 50 dollars actuellement, les voyants ont viré du vert au rouge. Les rapports des institutions financières, Fonds monétaire international et Banque mondiale, qui se sont succédé ont tous tiré la sonnette d'alarme. Leurs experts ont mis en exergue la fragilité des économies des pays producteurs de pétrole qui dépendent essentiellement des revenus de l'or noir comme ils leur ont conseillé plus de prudence quant à leurs dépenses tout en leur recommandant de diversifier leurs économies. L'Algérie n'y a pas échappé, même si la robustesse de son économie a été relevée. Sous d'autres cieux cela aurait suffi à déclencher un vent de panique. Le débat et les réactions ont certes, été vifs, mais pas au point d'en faire un sujet récurrent. Une fixation. Des mesures ont été prises par le gouvernement (réduction de la facture des importations, promotion de la production nationale, bancarisation de l'argent de l'informel, emprunt obligataire...) pour faire face à cette conjoncture économique annoncée comme dévastatrice. L'opposition a saisi l'occasion pour tirer à boulets rouges sur l'Exécutif. Les experts ont sorti de leurs tiroirs, leurs théories tout en prodiguant leur médication pour sortir de la dépendance au pétrole. Et les Algériens qu'ont-il changé à leurs habitudes? Pratiquement rien, si l'on se réfère à la fièvre acheteuse qui s'empare d'eux durant le mois de Ramadhan réputé pourtant comme la période où les prix des produits de consommation, les viandes, les fruits et légumes, s'envolent. Les dépenses sont exceptionnelles. Le gaspillage est toujours aussi important, si ce n'est plus durant le mois béni. 4 millions de baguettes de pain par jour sont jetées. En période de Ramadhan, il est entendu que l'on peut le multiplier par deux ou trois sans trop de risque de se tromper L'Expression du 22 juin 2016). Le budget consacré à l'achat des vêtements de l'Aïd est faramineux. «Le budget moyen consacré cette année par les ménages algériens aux vêtements de l'Aïd el-Fitr est de 8000 DA par personne», a indiqué le vice-secrétaire général chargé de l'information de l'Association pour la protection et l'orientation du consommateur et son environnement, Samir Elksouri. Où l'Algérien que l'on dit saigné aux quatre veines pendant le mois sacré trouve-t-il le moyen de faire face à une dépense aussi salée. Pour une famille de quatre personnes cela représenterait près de 50.000 DA! Une piste pourrait apporter en partie la réponse. La famille nucléaire algérienne continue de reposer sur un système de solidarité traditionnel. Les liens qui unissent les membres de la famille élargie n'ont pas éclaté au point de remettre en cause la cohésion du groupe. C'est probablement là que réside la force de la société algérienne pour amortir les impacts provoqués par les situations les plus délicates.

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    Post Tête-à-tête Issad Rebrab-Christine Lagarde

    Tête-à-tête Issad Rebrab-Christine Lagarde


    16es rencontres économiques d’Aix-En-Provence
    le 03.07.16 | 10h00

    Issad Rebrab et Christine Lagarde se sont entretenus sur
    «la conjoncture qui pèse sur l’économie mondiale»
    et le choc
    qu’elle fait subir à certaines économies du pourtour méditerranéen.



    Le PDG du groupe Cevital, Issad Rebrab, depuis hier à Aix-en-Provence,
    a été invité à prendre part aux 16es rencontres économiques qui portent
    le nom de cette ville française. Il a rencontré la patronne du FMI,
    Christine Lagarde, avec laquelle il a abordé la conjoncture économique
    mondiale et ses contrecoups sur certains pays, dont l’Algérie. Le patron
    du groupe Cevital, qui devait intervenir aujourd’hui sur la question de savoir
    «Quelle forme aura la puissance de demain ?», a eu hier un tête-à-tête avec
    la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) en marge des
    dites rencontres, invitée elle aussi à intervenir dans une session intitulée
    «Quel chemin vers la prospérité économique ?»

    Ainsi donc, Issad Rebrab et Christine Lagarde se sont entretenus sur
    «la conjoncture qui pèse sur l’économie mondiale» et le choc qu’elle fait
    subir à certaines économies du pourtour méditerranéen. Interrogé à l’issue
    de cette entrevue sur ce que pense le FMI de la tournure qu’a prise l’économie
    algérienne dans le sillage de la chute des cours pétroliers, Issad Rebrab
    explique que la patronne du FMI pense que le besoin d’évoluer dans les
    réformes est plus que jamais pressant.
    Il explique également que sur tout ce
    qui permet de faire sortir l’économie algérienne de sa dépendance aux recettes
    pétrolières, le FMI ne fait que tinter davantage la cloche à coups pressés.
    «Le FMI l’a déjà dit et attiré l’attention des responsables sur la nécessité
    d’évoluer dans les réformes», nous confie M. Rebrab, rencontré à
    Aix-en-Provence, en marge des 16es rencontres économiques.

    Le discours du FMI sur l’économie algérienne n’a donc pas changé d’un iota,
    remettant désormais la balle dans le camp du gouvernement duquel dépend
    la volonté de réforme. Même le PDG de Cevital estime que le temps presse et
    que des réformes structurelles s’imposent pour faire face à la crise.
    Issad Rebrab devrait intervenir aujourd’hui devant un panel dédié à entrevoir
    «la forme qu’aura la puissance de demain».
    De son point de vue,
    «la colocalisation est un levier de croissance et de développement permettant
    à des entreprises et à des pays d’être compétitifs». La colocalisation à travers
    Oxxo en est le meilleur exemple, selon Issad Rebrab. «Il est question de disposer
    des avantages comparatifs des deux rives nord et sud, les mélanger et permettre
    aux entreprises d’en profiter et aux pays de tisser une relation de gagnant-gagnant», explique le patron de Cevital, comme pour donner un avant-goût de ce que sera
    le contenu de sa conférence prévue aujourd’hui à l’université d’Aix-Marseille.

    Selon lui, un pays ne peut se refermer sur lui-même, mais s’ouvrir aux autres
    économies du globe. Il estime que l’Algérie dispose d’importants avantages
    comparatifs pour permettre l’émergence de grands groupes et d’une politique
    tournée résolument vers l’exportation, pour peu que «l’on libère les initiatives».
    Issad Rebrab voit en l’acquisition par son groupe des usines Brandt et des aciéries italiennes Lucchini la formule idoine permettant à des groupes d’émerger et à
    un pays d’exporter, tout en profitant des avantages comparatifs dont disposent
    les deux rives de la Méditerranée.
    Tout ceci représente pour lui une des formes
    qu’aura la puissance de demain. Il faudra repenser l’évolution de l’entreprise dans
    un écosystème de globalisation, de sorte à trouver de nouvelles recettes pour une meilleure dynamique. Issad Rebrab, rencontré en marge de ses one-to-one avec
    plusieurs décideurs et économistes, insiste sur l’importance de tirer profit des
    avantages comparatifs des deux rives de la Méditerranée pour se hisser au rang
    des économies compétitives.
    Un plaidoyer à l’heure où plusieurs économies de
    la planète se voient confrontées à des pannes de croissance et d’innovation.
    Outre la patronne du FMI, Issad Rebrab a rencontré également hier
    Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes, un réseau de réflexion
    qui réunit actuellement 30 économistes et universitaires, dont la mission est
    d’organiser et de promouvoir le débat économique, ainsi que Mario Monti,
    ex-président du Conseil des ministres italien.

    Ali Titouche
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    Post Décollage difficile

    Décollage difficile

    Bonjour , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg à l'occasion de l'Aid El-Fitr
    je présente mes meilleurs vœux,
    bonheur, de santé et de prospérité
    à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique


    CRÉDIT À LA CONSOMMATION
    05 Juillet 2016

    Annoncé en grande pompe en 2015 et opérationnel depuis janvier 2016,
    le crédit à la consommation est loin de connaître un engouement chez la
    population. Pour un grand nombre d’observateurs, le manque de visibilité
    dans sa mise en application serait à l’origine de cette situation. Explication.
    Abder Bettache - Alger (Le Soir)
    - Contrairement à l’année 2008, où une
    large campagne médiatique avait suivi son lancement, le crédit à la
    consommation semble marquer le pas au lendemain de son «retour» en 2016.
    Au niveau des banques, on enregistre, du moins pour le moment, peu
    d’engouement. A l’exception de quelques banques privées, les banques publiques semblent tourner le dos au crédit à la consommation. Un avis que ne partage pas
    un responsable d’une banque publique, en l’occurrence le CPA. Selon notre
    interlocuteur, la responsabilité de cette situation est imputée aux «citoyens qui ne
    semblent pas accorder de l’intérêt à cette opération». Les banques privées,
    les françaises particulièrement, ont quant à elles multiplié depuis le lancement de
    cette offre des campagnes publicitaires à l’adresse de leur clientèle. A ce propos,
    il est à noter que BNP Paribas El Djazaïr était la première banque à lancer le crédit
    à la consommation. «Nous avons conclu un partenariat avec Renault qui est notre partenaire au niveau mondial. Notre priorité est la Renault Symbol», avait expliqué
    le patron de la filiale algérienne du groupe bancaire français. BNP Paribas est la
    première banque à proposer le crédit à la consommation à ses clients, cinq jours seulement après la publication du décret fixant les produits éligibles. Il y a lieu de
    rappeler que les conditions et les modalités du crédit à la consommation aux ménages
    ont été fixées en vertu du décret exécutif 15-114 du 12 mai 2015 relatif aux conditions
    et aux modalités d'offres en matière de crédit à la consommation. Ce même décret
    précise que le crédit à la consommation concerne «les biens fabriqués par des
    entreprises exerçant une activité de production sur le territoire national et qui produisent
    ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers». Par ailleurs, le montant mensuel global de remboursement du crédit contracté par l'emprunteur «ne peut, en
    aucun cas, dépasser 30% de ses revenus mensuels nets régulièrement perçus, afin d'éviter le surendettement du client et que sa durée (crédit) est supérieure à 3 mois
    mais ne doit pas excéder les 5 années. Quelles sont les causes exactes du peu d’engouement pour cette formule ? Au niveau de l’UGTA, on évite de pointer du doigt,
    mais on reste convaincu «que la responsabilité incombe en premier lieu au
    gouvernement qui est resté muet sur le plan médiatique». «En tant que syndicat, nous avons accompagné cette décision à travers une campagne de sensibilisation auprès
    des travailleurs. Nous avons mené des campagnes auprès des travailleurs pour la consommation du produit algérien. Notre rôle se limite à ce niveau», nous explique un cadre fédéral de l’UGTA. Il est à noter que le Forum des chefs d’entreprises (FCE) avait
    lui aussi accompagné le retour du crédit à la consommation. D’ailleurs, plusieurs campagnes publicitaires ont été lancées, invitant les citoyens à consommer le «label algérien». Le FCE comme l’UGTA avaient beaucoup pesé dans la négociation quant au retour du crédit à la consommation.Ces deux organismes ont soutenu l’idée des produits éligibles au crédit à la consommation, en l’occurrence ceux fabriqués par des opérateurs nationaux répondant aux exigences réglementaires de fabrication ou d’assemblage en Algérie. Parmi ces produits, des véhicules particuliers, des équipements informatiques,
    des ordinateurs, des téléphones, de l’électroménager ou de l’ameublement.
    D’où vient donc ce dysfonctionnement ? S’agit-il d’un manque de communication
    de la part des parties concernées ?

    A. B.

    عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
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    Re : Economie

    Voici le nouveau billet de 50 euros

    La Banque centrale européenne (BCE) a présenté mardi un nouveau billet de 50 euros, une version plus sûre que la précédente. Il sera mis en circulation le 4 avril 2017.
    Le billet de 50 euros est la coupure la plus utilisée dans la zone euro puisqu'elle représente 45% du volume total de billets en circulation. Après les billets de 5, 10 et 20 euros, il s'agit de la 4e valeur à être adaptée dans une version baptisée 'série Europe', indique la BCE.
    Plus de sécurité
    Le nouveau billet se veut plus sûr. Il comportera une fenêtre portrait, un signe de sécurité qui avait été utilisé pour la première fois pour le billet de 20 euros de la même série 'Europe'. Lorsqu'on regarde le billet par transparence, une fenêtre située dans la partie supérieure de l'hologramme fait apparaître un portrait de la princesse Europe, personnage de la mythologie grecque, qui est visible sur les deux faces du billet. Le même portrait figure également dans le filigrane.
    Le recto du billet présente un nombre brillant qui change de couleur selon son inclinaison, passant du vert émeraude au bleu profond, et produit un effet de lumière qui se déplace de haut en bas et de bas en haut.
    "Grâce à ces signes de sécurité, il est facile de vérifier l'authenticité du nouveau billet de 50 euros à l'aide de la méthode consistant à toucher, regarder, incliner", souligne la BCE.


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    Changement de paradigme: Le digital comme fer de lance de l’économie algérienne

    L’effervescence autour des startups algérienne ne doit pas cacher le retard pris par nos entreprises et gouvernement en matière de numérisation.
    « La puissance des pays de demain est leur capacité à innover et développer l’économie de la connaissance et les talents » a dit en substance Eric Schmidt, Ceo d’Alphabet lors de la table ronde organisée par Viva Technologie qui s’est déroulé du 29 juin au 2 juillet dernier à Paris, au cours de laquelle 10 startups algériennes étaient présentes pour exposer leurs produits et services.
    Ne dit-on «Aux problèmes complexes, il faut des solutions simples.». Simple ici ne veut pas dire simpliste. Akram aurait immédiatement parler de «rasoir d’Ockham» et dans le langage courant, le rasoir d’Ockham pourrait s’exprimer par la phrase « Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? ». C’est là qu’entre en jeu le monde des startups qui doivent bénéficier plus que jamais du soutien du gouvernement. Sa priorité sera le numérique car attirer d’avantage d’entrepreneur est un enjeu stratégique.
    Ce déplacement, de l’avis de toutes les startups présentes, a été « extrêmement utile et nous a permis de faire notre évaluation » nous dit Adel Amalou, créateur du premier site de billetterie électronique en Algérie tout en ajoutant que « le digital est, en cette période de baisse du prix de pétrole et manque de pôles de croissance, un moteur de création de richesses». Le déplacement des dix startups algériennes a été possible grâce à E&Y mais aussi Djezzy et Rouiba sans oublier le Ministère de l’Industrie et des Mines. A la question de savoir si les startups sont en quête de financement ou bien de vendre leurs produits et services, la réponse unanime est « les deux ».
    « Une startup est avant tout une aventure » nous dit Ryad Bouziani, general manager de Alania CRM tout en ajoutant que «pour le moment, nos clients sont en Algérie». La voiture est le terrain de jeu de deux startups qui ont fait le déplacement. La première dirigé par Lamine Ghemati qui vient de lancer une entreprise de publicité sur voiture. «Le concept est de rémunérer les propriétaires du véhicule et en contre partie nous affichons de la publicité sur le voiture». L’autre startup est beaucoup dans la sécurité automobile. Son concepteur, Hamid Kacha, a conçu un système de sécurité pour une voiture qui arrête totalement le véhicule qu’il a présenté à des investisseurs saoudiens tout en disant que «à parti du moment où on est innovant, on est dans le radar des grandes entreprises ». En effet, c’est en bousculant des modèles établis que s’implante les «futur Uber», non sans fragiliser certain acteurs. Par contre sur la durée, ces nouvelles entreprises qui se créent devraient dégager de nouveaux services et de nouveaux emplois. Certes la vague numérique ne fait pas que donner naissance à de nouvelles entreprises, « c’est aussi un outil qui doit permettre d’améliorer la compétitivité des sociétés existantes. » nous dit Fouad Chennouf, CTO et Co-fondateur de Wilab Technology. Le digital permet de faire mieux qu’hier et d’inventer un nouveau demain.
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    Post Nouveau modèle de croissance économique

    Nouveau modèle de croissance économique

    L’Etat a une marge de manœuvre réduite
    le 28.07.16|10h00


    Le gouvernement, qui vient d’adopter un nouveau modèle de croissance
    économique, aura une marge de manœuvre très réduite pour diversifier
    son économie, alors que la crise financière, née de la chute drastique des
    prix du pétrole, s’aggrave.«Le premier obstacle actuel est le déficit budgétaire
    avec un Fonds de régulation des recettes qui s’épuise», a affirmé
    Mustapha Mekidèche, vice-président du Conseil national économique et social
    (CNES), joint hier par téléphone. Pour l’exercice 2016, le déficit budgétaire du
    pays devrait atteindre les 30 milliards de dollars, selon ses estimations.
    «A la fin de l’année en cours, je pense qu’il ne restera plus grand-chose. Le problème
    est comment financer le déficit budgétaire de 2017, 2018 et 2019 jusqu’à ce que les
    cours du pétrole se rétablissent. C’est une question très sérieuse», a-t-il analysé.

    En deux ans, les revenus pétroliers de l’Algérie ont baissé de 70%. Plus sombre
    encore, l’Algérie, dont le déficit budgétaire devrait se situer à près de 15% du PIB, sollicitera des financements extérieurs dès cette année pour couvrir ses dépenses,
    à en croire les prévisions du Fonds monétaire international.
    Face à la crise, le gouvernement a riposté en lançant un nouveau modèle de croissance économique,
    basé sur une politique budgétaire «rénovée», avec l’amélioration de la fiscalité ordinaire
    et une mobilisation de ressources financières supplémentaires tout en privilégiant l’investissement à forte valeur ajoutée.
    Ce nouveau modèle constitue-t-il une réponse judicieuse à la crise financière ? «De toutes les manières, il n’y a pas d’autre choix. Le problème est dans les conditions de la mise en œuvre de ce nouveau modèle de croissance.» «Je crois que ce qui est ressorti avant-hier avec un style extrêmement
    souple est primo : un investissement hors hydrocarbures pour diversifier une production nationale pour le marché local et pour l’exportation ; secundo : un réexamen des
    politiques budgétaires pour ne pas dire une rationalisation budgétaire.
    Ce sont là les
    deux grands aspects qui caractérisent ce nouveau modèle», a détaillé l’ancien conseiller au ministère de l’Energie, relevant que l’Etat doit engager une nouvelle politique
    budgétaire «moins expansive et plus rationnelle avec une remise à jour des politiques
    de redistribution et également un réexamen des formes d’investissement de l’Etat».

    Le nouveau modèle de croissance, adopté mardi en Conseil des ministres, table,
    rappelle-t-on, sur une croissance économique de 3,5% en 2016 et de 4% en 2017.

    Interrogé sur le manque d’objectifs chiffrés, notre interlocuteur a pointé du doigt
    «un souci de communication». «Il doit y avoir un chiffrage en termes d’objectifs de croissance, de couverture par la fiscalité ordinaire du budget de fonctionnement.
    Tout cela a fait, j’imagine, l’objet de simulations. Tous ces chiffres vont progresser
    au cours d’arbitrage des institutions et seront communiqués de toutes les manières
    dans le projet de loi de finances 2017», a expliqué Mustapha Mekidèche,
    en insistant sur l’urgence de la mise en œuvre des réformes contenues dans ce
    nouveau modèle de croissance.

    Hocine Lamriben
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    Post Débat Algérie-Banque mondiale fin août

    Débat Algérie-Banque mondiale fin août

    Perspectives économiques

    le 12.08.16|10h00

    L’Algérie et la Banque mondiale (BM) vont tenir fin août une discussion
    sur les perspectives de l’économie dans le sillage de la faiblesse des
    cours de pétrole, a rapporté hier l’APS, citant des sources proches
    l’institution financière internationale.

    Les discussions, qui vont se tenir par vidéoconférence et auxquelles prendra
    part l’économiste en chef de la BM pour la région MENA, Shanta Devarajan,
    seraient prévues pour le 29 août. Il sera question d’échanger sur l’analyse
    relative à l’économie de l’Algérie, publiée fin juillet dernier dans le bulletin
    trimestriel d’information économique de la région MENA. L’analyse avait souligné
    que la faiblesse des cours de pétrole a poussé l’Algérie à prendre une série de
    mesures correctives destinées à réduire les dépenses, augmenter les recettes
    et ajuster les tarifs de l’énergie. La faiblesse des cours de pétrole qui semble
    s’installer dans la durée a entraîné des changements dans les économies des
    pays pétroliers de la région MENA, confrontés à un recul des recettes dans un
    contexte d’endettement et de déficit budgétaire croissant, selon les observations
    de la BM. L’Algérie a pu résister jusque-là au choc grâce surtout à son faible
    endettement et son niveau de réserves. C’est d’ailleurs ce qu’a souligné avant
    hier, Jean-François Dauphin, chef de mission du FMI pour l’Algérie, estimant
    dans un entretien accordé au blog du FMI que l’Algérie avait une occasion
    exceptionnelle pour passer à une croissance durable et réduire sa dépendance
    aux hydrocarbures. Cela d’autant que les perspectives sur l’évolution des cours
    pétroliers à court terme sont loin d’être prometteuses.

    Or noir

    Dans son rapport mensuel publié hier, l’Agence internationale de l’énergie (AIE)
    a revu à la baisse sa prévision de croissance de la demande mondiale d’or noir
    en 2017 en raison de perspectives macroéconomiques plus sombres, sur fond
    de Brexit. La consommation mondiale de pétrole devrait croître de 1,2 million de
    barils par jour (mbj) à 97,5 mbj l’an prochain, alors que la précédente estimation
    tablait sur une hausse de 1,3 mbj. Elle sera de toute manière inférieure aux
    prévisions de l’AIE relative à cette année qui prédisent une hausse de la demande mondiale de 1,4 mbj pour atteindre 96,3 mbj. «Bien que supérieure à la tendance,
    la prévision pour 2017 est inférieure de 0,1 mbj par rapport à nos anticipations
    précédentes en raison de perspectives macroéconomiques plus faibles», a expliqué l’Agence.
    L’AIE note aussi que «le soutien sous-jacent apporté par des prix du pétrole
    bas diminuera» l’an prochain, alors que les cours ont rebondi depuis le plancher
    atteint en janvier, même s’ils restent contenus par des signes d’une offre élevée. La production a en effet augmenté de 0,8 mbj en juillet par rapport au mois précédent.
    Mais sur un an, elle a décliné de 215 000 barils/jour, la forte hausse au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n’ayant pas permis de
    compenser le déclin observé dans les pays non membres de l’organisation. L’Opep
    qui a d’ailleurs annoncé la tenue d’une rencontre informelle en septembre prochain
    à Alger, en marge du Forum international de l’Energie prévu du 26 au 28 septembre.

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    Post Complexe de KPlast

    Câblerie KPlast de Sétif
    Le groupe à l’épreuve de l’exportation
    Complexe de KPlast
    le 03.09.16 | 10h00


    Avec des installations de pointe, le groupe KPlast propose une gamme complète de câbles.

    Les câbles du groupe sont fabriqués selon les standards de sécurité très stricts

    Le nouveau complexe de KPlast, un groupe industriel basé à Sétif,
    produisant différents types de câbles électriques, est non seulement
    opérationnel mais tourne à plein régime. D’une capacité de 30 000
    tonnes de cuivre et d’aluminium, la câblerie KPlast, ayant nécessité
    un investissement de plus de 2,7 milliards de dinars, devrait à court
    terme employer plus de 280 personnes.
    Selon le patron du groupe,
    Djamel Keddad, la câblerie de la capitale des Hauts-Plateaux a été
    initiée et montée par des compétences algériennes. Lesquelles se
    sont directement impliquées dans l’étude d’engineering, le choix des
    fournisseurs, le mon-tage des équipements ainsi que le transfert de
    technologie. Avec des installations d’une technologie de pointe,
    la câblerie propose l’une des gammes les plus complètes allant de
    la basse tension à la très haute tension en passant par la moyenne
    tension.
    A noter que les câbles du groupe sont fabriqués selon les
    standards de sécurité très stricts. A ce propos, les câbles basse
    tension KPlast ont passé avec succès les épreuves d’homologation
    du Centre de recherche et de développement de l’électricité et du gaz
    (Credeg) de Sonelgaz. L’homologation des câbles de moyenne tension
    est en cours de validation par le centre précité.
    «La démarche de notre
    groupe, qui n’a pas opté pour la facilité, s’inscrit dans le processus de
    développement de l’industrie nationale du câble. Nous travaillons pour
    non seulement diversifier notre gamme, mais exporter une bonne partie
    de la production de moyenne tension (isolés et nus) qu’on ne doit plus
    importer, d’autant que la production nationale est excédentaire»,
    souligne Djamel Keddad. Le directeur du complexe, Salim Selmane,
    dresse quant à lui un tableau des objectifs tracés «Avec un produit de
    qualité, notre câblerie ambitionne de participer à la réalisation des lignes
    aériennes haute et très haute tension de 220 KV et 400KV, en fournissant
    les câbles almec de 366 mm2 et de 570 mm2.
    Nous faisons de
    l’approvisionnement du secteur de la distribution ainsi que celui des
    installateurs en fils et câbles domestiques basse tension l’autre priorité,
    sachant que les besoins du secteur de l’habitat en câbles basse tension
    (tous câbles confondus) sont estimés 38 000 tonnes. Fournir le secteur
    des hydrocarbures en câbles souples grosse section sans halogènes à
    flamme retardant est l’autre important challenge que s’est fixé KPlast,
    sachant que 90% de la demande en câble souple grosse section est
    importée pour plus de 12 millions d’euros/an.»
    Produit selon une technologie
    de pointe, les câbles haute tension isolés de 60 KV feront prochainement
    l’objet d’une homologa-tion de la part des experts du laboratoire hollandais
    Kema. Avec une telle certification, les câbles KPlast pourront facilement
    investir les marchés extérieurs.Avant de mettre le doigt sur l’importation des
    produits bas de gamme, nos interlocuteurs parlent des nouvelles perspectives
    «L’extension du complexe est lancée.
    Avec une capacité de production de
    100 000 tonnes (cuivre et aluminium), la nouvelle usine, d’un coût global de
    plus 4,8 milliards de dinars, tournera avec un effectif de 340 agents, produira
    des faisceaux automobiles, des fils (machine) de cuivre 8 mm à 99,99% de
    pureté, des câbles en fibre optique (télécommunications), des câbles de garde
    à fibre optique (OPGW-Optical ground wire) et des câbles souterrains de 30 KV
    à 400KV dont une bonne partie sera exportée.»
    Les managers de la câblerie KPlast tiennent par ailleurs à poser le problème de la concurrence déloyale imposée par l’importation de Tunisie et du Maroc du câble moyenne tension alors que la
    production nationale dépasse largement les besoins locaux. L’importation du
    câble d’antenne n’est pas éludée. Celle-ci menace, disent-ils, l’outil de production
    nationale et le gagne-pain de centaines de familles algériennes.
    Notons à toutes fins utiles que le groupe KPlast, spécialisé dans la transformation
    du bitume, la fabrication du fil de bobinage, des buses en béton et les tubes en
    PVC, emploie actuellement plus de 1000 personnes.

    Kamel Beniaiche
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    Pouvoir d’achat et production nationale

    Deux lignes rouges à ne pas franchir
    le 05.09.16 | 10h00

    Les modifications qui seront introduites dans le projet de loi de finances 2017 «pour améliorer
    la situation économique du pays», comme l’a affirmé, hier à l’APN, le Premier ministre
    Abdelmalek Sellal, ne manqueront pas, sans aucun doute, d’attiser l’hostilité des opérateurs
    économiques et leurs représentants parmi le patronat, qui n’ont cessé d’appeler à protéger l’opérateur économique national de tout ce qui nuirait à son activité et à la production nationale en général.


    Pour le président de la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA),
    Mohand Saïd Naït Abdelaziz, si ces augmentations s’avèrent vraies,
    «il serait à la limite de bonne guerre que le gouvernement recoure à ce
    genre de solutions dans une situation où il est nécessaire d’équilibrer
    nos finances.
    Mais il faut faire attention aux répercussions qu’elles peuvent
    avoir sur le pouvoir d’achat et l’effet négatif qui en résultera sur les prix
    de certains produits». Selon lui, compte tenu de la situation sociale actuelle,
    «il faudrait plutôt instaurer des taxes ou en augmenter d’autres sur les produits
    de luxe, de façon à ce que ces augmentations ne touchent pas l’ensemble
    des produits». Tout en insistant sur la nécessité de «faire la part des choses
    pour préserver le pouvoir d’achat des citoyens aux revenus faibles»,
    le président de la CNPA souligne que ces augmentations ne doivent pas
    «pénaliser l’acte de production». «Si la hausse de la TVA touche la
    production nationale, cela va certainement compliquer les choses.

    Elle doit nécessairement concerner les produits importés, notamment ceux
    n’étant pas de première nécessité», précise-t-il.Même son de cloche du
    côté de l’Association de protection et orientation du consommateur et son
    environnement (Apoce). Selon son président, le docteur Mustapha Zebdi, toute
    hausse de la TVA ou du prix de produits ou services se répercutera sur le
    pouvoir d’achat des Algériens.
    «On ne peut que défendre la stabilité des prix
    et nous ne pouvons accueillir avec joie ces taxations et ces hausses.» Et d’ajouter
    «Il y a des produits de première nécessité dont les prix doivent restés
    toujours subventionnés par l’Etat, jusqu’à ce que les conditions de
    levée de ces subventions soient bien mises en place, à savoir l’élaboration
    du fichier national des familles nécessiteuses et la mise ne place d’une
    grille de subventions directes au profit de ces familles.»
    Quant aux produits
    secondaires, de luxe ou superflus, l’Association affirme«Nous ne trouvons
    aucune gêne à ce qu’il y ait des taxations supplémentaires pour renforcer le
    Trésor public et diminuer les importations, d’autant que le pays traverse
    une période financièrement difficile.» Mieux encore, Mustapha Zebdi
    affirme avoir demandé, à maintes reprises, à ce qu’il y ait des dispositions
    imposant aux importateurs, eux-mêmes, de «financer l’importation de ces
    produits sans recourir aux devises des banques algériennes».
    Quant à
    l’électricité et au gaz, notre interlocuteur appelle à faire le distinguo entre
    les particuliers, les opérateurs économiques et les administrations.
    «Si les augmentations de prix ou de taxes touchent les administrations, cela
    serait justifié en ce sens que le gros du gaspillage d’électricité se situe
    au niveau des administrations. Les ménages devraient donc être épargnés,
    d’autant que le pouvoir d’achat des citoyens est actuellement en baisse en
    raison de la dépréciation de la valeur du dinar et de l’inflation», conclut M. Zebdi.

    Lyes M.
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    Loi de Finances 2017

    Réunion le 15 septembre entre Sellal, Haddad et Sidi Said

    19:43 mercredi 7 septembre 2016

    L’avant-projet de loi de Finances pour l’année 2017, dont les principales
    mesures ont été révélées par TSA, inquiète les patrons. Le FCE qui s’est
    réuni ce mercredi a abordé le sujet. « Nous avons abordé superficiellement
    le sujet. Il n’y a que des textes et ce n’est pas rassurant », explique un
    chef d’entreprise.Selon nos informations, la LF 2017 sera à l’ordre du jour
    d’une réunion le 15 septembre entre le Premier ministre Abdelmalek Sellal
    et des ministres se réuniront, jeudi 15 septembre, avec le FCE, l’UGA et
    l’Association des banques et des établissements financiers (Abef).
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