Affichage des résultats 1 à 10 sur 212

Discussion: Soit dit en passant

Vue hybride

Message précédent Message précédent   Message suivant Message suivant
  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Vous allez sanctionner ? Vraiment ?

    Vous allez sanctionner ? Vraiment ?

    SOIT DIT EN PASSANT
    02 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]


    Il est des jours comme ça où lorsque élèves et enseignants partent en
    vacances, on se demande lequel des deux corps a le plus mérité de lever
    le pied. Les premiers bien entendu ! Même si, parmi les seconds, beaucoup
    auraient le droit de planter leur parasol joyeusement et, surtout, la conscience
    tranquille. Autant il est normal que l’on parle encore de fraude au bac, autant
    le fait que l’on n’évoque presque jamais le niveau des enseignants a de quoi
    laisser perplexe ! C’est vrai qu’en contraignant les vacataires à passer un
    concours pour intégrer la fonction publique, cela a sans doute aidé à mieux
    percevoir la compétence et la vocation. Cela me rappelle qu’à l’époque où je
    fréquentais encore le lycée, on sentait chez nos professeurs ce feu sacré que
    l’on a, aujourd’hui, bien du mal à détecter chez une majorité de ceux censés
    éclairer leurs élèves sur l’avenir qui leur est promis. N’ayons donc aucune
    pudeur à dire, que le concours qui a provoqué tellement de remous et auquel
    beaucoup ont refusé de se soumettre aura, espérons-le, permis de filtrer un peu
    mieux en faveur du talent dans un domaine où l’on a tellement de mal à préférer
    le bon grain et à se défaire des mauvais génies qui font en sorte que l’ivraie
    puisse, toujours, régner en maître absolu dans un monde où le moindre petit
    retard peut compromettre l’avenir de jeunes générations qui n’ont pas d’autre
    choix pour s’en tirer que de réussir.Beaucoup de ceux incapables de porter ou
    même d’inspirer la réussite s’appuient sur des représentants aux profils familiers
    des leurs. Une faune qui choisit la protestation pour ne pas que soit levé le voile
    sur son incapacité à transmettre le savoir.Le concours imposé par la fonction
    publique étant insuffisant, pourquoi ne pas contraindre, par exemple, les directeurs
    d’établissement à remplacer les absents, à signaler le manque de professeurs
    dans les classes d’examen en particulier et dans les autres en général ?
    Souvent le laxisme ou la complicité entre les uns et les autres génère la fraude et
    les saboteurs. Entre les premiers et les seconds, le système éducatif a-t-il encore
    des chances de s’en sortir ?

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Patience, il y en aura pour tout le monde !

    Patience, il y en aura pour tout le monde !

    SOIT DIT EN PASSANT
    06 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme ça où lorsque j’entends dire que des milliers de
    familles vont enfin être relogées, je me réjouis à l’idée que l’environnement
    perde quelque peu de sa laideur. Quand les pouvoirs publics prétendent
    éradiquer l’habitat précaire et disent vouloir en finir avec la façon hideuse
    dont les bidonvilles ont ceinturé la capitale au fil du temps, vous pensez à
    tous ces couples qui, depuis des années, ont versé de l’argent à l’AADL ou
    au LPP. Tous attendent depuis des lustres qu’on veuille bien leur annoncer
    la fin du calvaire. Patienter encore et toujours ! Lorsque l’on s’engage dans
    une aventure pareille, on ne se figure pas que l’on aura à attendre d’avoir
    les cheveux blancs avant d’affirmer avec certitude que le meilleur reste à venir.
    L’objet de ce billet n’était pas de critiquer la lenteur mise à satisfaire les
    prétendants à une vie plus décente. Parce que pour accéder à l’objet de leurs
    rêves ils devront attendre, comme nous l’avons sus-évoqué, de vieillir un peu
    plus et surtout que l’argent investi par eux génère du profit et permette de loger
    aussi une partie de ceux qui n’ont pas les moyens de payer et qui n’en
    réclament pas moins de s’élever socialement. Je ne sais pas pourquoi je pense
    du coup à cette anecdote rapportée, un jour, par un couple de cadres supérieurs
    de mon entourage. Un homme et son épouse qui ont choisi de ne pas faire plus
    de deux enfants de façon à répondre plus aisément à leurs attentes. Un matin,
    l’ami croise un voisin dans les escaliers de l’immeuble. Il s’arrête pour les
    politesses d’usage et voilà qu’au cœur de l’échange, celui qui, contrairement à
    lui, a bien agrandi sa famille au fil du temps, s’exclama sur un ton dépité
    «Quelle chance tu as quand même, tu vis bien, tes enfants ne manquent de rien.
    Nous, à la maison on a perdu jusqu’au goût de la viande. La vie est vraiment injuste !»
    Ce qui est injuste en vérité, c’est de vouloir culpabiliser ceux qui planifient plus sérieusement leur avenir. Mais comment en convaincre les parasites qui gravitent
    autour ? Et dire que je voulais parler de ces cités jolies et hideuses à la fois

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  3. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Cités de recasement ou futures poudrières ?

    Cités de recasement ou futures poudrières ?

    SOIT DIT EN PASSANT
    07 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme çà où, plutôt que de me concentrer sur un thème précis,
    je cède à des digressions qui m’écartent presque totalement de l’objet initial
    de la chronique. Le billet d’hier avait pour but d’évoquer ces nouvelles cités
    dortoirs, livrées, au fur et à mesure qu’elles sont viabilisées, à des êtres dont on
    a, parfois, pour certains d’entre eux, la méchante impression qu’ils ont été
    transférés là, à partir du néant. Un univers étrangement inquiétant, dont ceux qui
    ont conçu les sites n’ont pas prévu qu’ils seraient porteurs d’une violence
    d’un genre nouveau et où la raison du plus fort ferait force de loi. Dans ces
    nouveaux espaces, qui, aussitôt occupés, instaurent leurs propres règles et
    promettent de vite se transformer en zones interdites et de non-droit, on a
    entassé des familles issues d’horizons divers. Un monde équivoque où,
    lorsque les humeurs s’entrechoquent, on ameute la bande et on s’affronte au
    sabre jusqu’à un point de non retour pour trancher sur celui dont on ne discutera
    plus la force sur les lieux. Certains lecteurs penseront que je noirci la situation à
    dessein. Je me base juste sur les témoignages crédibles de certaines
    familles qui expliquent pourquoi elles craignent le pire et hésitent à s’y implanter.
    Cela fait quelques décennies que l’Etat tente, sans grand succès, de combler le
    manque en même temps qu’explosent les naissances, le chômage, l’exclusion
    et les populations qui vivent sous le seuil de pauvreté.La résistance au changement
    ayant eu raison de cet avenir moins glauque, auquel les nouveaux sites
    étaient prédestinés, certains parrains se sont empressés de marquer leur territoire
    et d’en calquer les codes sur ceux du précédent.En pensant améliorer le sort des
    gens, on a négligé l’essentiel : les regrouper par affinités et faire en sorte
    qu’ils se retrouvent en fonction des quartiers qu’ils ont quittés. Au lieu ce cela, on a
    voulu confondre les mentalités de Bab El Oued avec celles d’El Harrach. Résultat
    des petits ghettos au cœur du grand se sont érigés pour en découdre avec
    l’adversaire au moindre battement de cils ou geste déplaisant.

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #4
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Oui, c’est sale et ça sent mauvais !

    Oui, c’est sale et ça sent mauvais !

    SOIT DIT EN PASSANT
    10 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme ça où après avoir fait ses éloges et dit son
    attachement à son pays, on revient à ce qui fait notre désagréable
    réalité. Et quelle est-elle cette réalité que l’on contribue tous,
    chacun à sa manière, à enlaidir ? Lequel d’entre nous n’a pas eu
    un matin, en sortant de chez lui, à croiser des poubelles qui
    fuient de partout ? Qui n’a jamais eu la nausée en parcourant
    certaines rues de la capitale ? Je me demande régulièrement
    comment se débrouillent ceux qui font leurs besoins dehors pour se
    protéger du regard des autres ? Et dire que certains ont le toupet de
    prétendre le contraire ! La mauvaise foi étant la langue maternelle
    de pas mal d’entre nous, on finit par apprendre à la lecture de
    certains messages envoyés, pour me signifier que l’on conteste
    mes propos, que l’on a affaire à un margoulin qui joue toute honte
    bue à celui qui aime son pays plus que tout au monde.Ceux-là,
    je ne les trouve pas forcément fatigants. Parce que, une fois
    abandonnée la lecture savoureuse, on se dit que d’où qu’elle vienne
    et quoi qu’elle vise, la critique reste malgré tout constructive.Oui,
    c’est sale et ça sent mauvais ! Et il n’y a pas que les pouvoirs
    publics qui en sont responsables mais aussi, et beaucoup, les citoyens.
    Comment admettre que l’on puisse avoir tort de le raconter quand on
    a envie de rendre à chaque coin de rue ? Comment concevoir que
    l’on puisse nier les faits parce que l’on ne peut pas s’empêcher de
    courir à la soupe dès que l’on croit entendre le son du sifflet !Pourquoi
    s’étonner que les choses se dégradent à une allure aussi
    déconcertante ? Qui en se déplaçant n’a jamais craint d’être écrasé
    sous un balcon qui menace de s’écrouler ? Il y en a qui ne s’intéressent
    pas à ce que l’on dit parce qu’ils jugent nos propos futiles et improductifs.
    Ah, oui ? Y en aurait-il par hasard qui aimeraient que l’on fasse le ménage
    à leur place ? Lorsque vous êtes douchés par de l’eau pas sale,c’est
    qu’il s’agit de celle des climatiseurs que l’on ne prend pas la peine de
    récolter.Pourquoi faire alors qu’elle peut laver le balcon, la rue et les
    gens qui ont la mauvaise idée de passer par là ?

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #5
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post La peine de mort au menu !

    La peine de mort au menu !
    SOIT DIT EN PASSANT
    14 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme ça où, lorsqu’une fillette de 4 ans est enlevée
    puisretrouvée morte deux semaines après, personne ne s’étonne que le
    triste évènement déchaîne autant les passions. La Toile, solidaire du
    désarroi puis de la douleur des parents, crie sa colère et en appelle dans
    sa majorité à une mise à mort publique du ou des coupables. Et tandis
    que les uns interpellent la raison, les autres déclarent ne plus supporter
    que les auteurs de kidnappings, d’abus sexuels et autres crimes perpétrés
    contre un monde fait d’innocence, ne reçoivent pas le châtiment qu’ils méritent.
    Chacun fera part de la sanction qu’il juge la mieux appropriée pour rendre justice
    aux parents endeuillés. Parmi ceux qui refusent de céder à la fureur lorsqu’elle
    se veut aveuglément assassine, il y en a qui m’ont écrit. Voici un exemple très
    nerveux de ce qui m’a été adressé m’accusant presque de travailler à un
    embrasement généralisé.«Face à cette hystérie qui est en train d’amplifier en
    faveur de la peine de mort, on ne vous entend pas. Y a-t-il quelqu’un pour
    expliquer que la peine de mort n’a jamais et ne sera nullement dissuasive quel
    que soit le crime commis ? Les opinions publiques étant toujours avides de sang, aujourd’hui la demandent pour les ‘‘tueurs d’enfants’’ et demain pour quel autre
    délit vont-ils l’exiger ? Les USA en sont l'exemple. La peine de mort existe mais
    les crimes de sang sont toujours en augmentation. Et que fait-on en cas d'erreur
    judiciaire ?» ,Dans ce court message, presque toutes les questions sont abordées
    par une personne qui n’est pas seule à dire ses craintes face à une volonté
    fermement revendiquée de répondre à une violence par une autre violence!
    Personne ne dit si l’enfant a été abusée sexuellement. Chez nous ce sont des
    choses que l’on répugne à évoquer publiquement. Tout ce qui tourne autour du
    sexe est tabou.Il l’est davantage lorsque l’abus est commis sur le corps d’une petite
    fille.Et quand le comble de l’horreur est atteint et que celui-ci est décapité, les
    délibérations autour de l’épineuse question que pose la peine de mort se font
    plus brutales. Il faut en reparler !

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #6
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Pour ou contre la peine de mort ?

    Pour ou contre la peine de mort ?
    SOIT DIT EN PASSANT
    15 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme ça où lorsqu’une frange, non négligeable,
    de l’opinion se montre intraitable à l’égard de pédophiles et autres
    bourreaux d’enfants, rares sont ceux qui estimeront indispensable
    de remettre en cause cette propension à crier vengeance à chaque
    fois que l’émotion prend le pas sur la raison. A croire que la barbarie,
    qu’ils ont côtoyée pendant plus d’une décennie, les a immunisés
    contre la violence. La facilité avec laquelle beaucoup d’entre nous
    osent se prononcer en faveur de la peine de mort est déconcertante
    à plus d’un titre. La triste affaire de l’enlèvement puis de l’assassinat
    de la petite Nihal a suscité un pétage de plombs quasi général, sur
    les réseaux sociaux. C’est à l’ombre de pareilles tragédies que se
    construisent des positions et que s’instruisent de terribles procès en
    faveur de mises à mort.
    Allez savoir pourquoi me reviennent en mémoire
    ces journées accablantes où nous enterrions nos amis égorgés ou
    exécutés à bout portant sous le regard de leurs femme et enfants ? il s’en
    trouvait toujours qui pour se rassurer sur leur propre sort justifiaient
    systématiquement chacun des meurtres.Je me souviens de ce temps
    maudit où l’opinion conquise par ce qu’elle qualifiait d’action héroïque
    applaudissait à chacun des crimes commis contre l’intelligence. C’était au
    temps où l’on se gardait bien de parler d’acte terroriste. Et voilà
    qu’aujourd’hui, des condamnations qui trouvent toujours une justification
    quand elles doivent conduire à l’irréparable reviennent en force. Comme
    si la vie d’un individu fut-il la plus abjecte des créatures n’avait pas plus
    de valeur que cela. Comme si elle ne pesait plus rien. Comme si la mort
    faisait ami-ami avec une société civile pourtant bien éprouvée par tout ce
    qu’elle a eu à vivre durant l’innommable décennie noire.
    Régulièrement les
    gens s’interrogent et régulièrement ils s’affichent soit pour, soit contre. Ce
    n’est pas tant le fait que l’actualité nous interpelle sur la question qui m’inquiète
    mais bien parce que bientôt, au rythme où vont les choses, on ne trouvera
    plus personne pour défendre les droits humains au sens le plus large du terme.


    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  7. #7
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Et la médaille alors ?

    Et la médaille alors ?
    SOIT DIT EN PASSANT
    18 Août 2016

    Par Malika Boussouf
    journaliste, écrivaine


    Malika Boussouf.jpg

    [email protected]

    Il est des jours comme ça où lorsque les esprits ont besoin de rompre
    avec un quotidien chargé d’émotions autres que celles suscitées par
    les Jeux olympiques, ils se blindent, mentalement, pour mieux
    accompagner les acteurs qui animent l’évènement. C’est là que l’on
    applaudit l’idée, que la compétition, dont il s’agit, ne pense à
    s’organiser qu’autour de valeurs saines. Ces disciplines qui nous
    donnent l’envie de célébrer la performance au cœur du sport et
    nous font, durant, tout le temps que nos cœurs palpitent
    autour des diverses manifestations, la démonstration que le monde
    sait se détourner de la brutalité quotidienne et se détacher des
    répliques qui s’aiguisent à son contact. Pendant quelques
    semaines, la performance physique, qui s’élève à l’ombre
    d’un équilibre mental indispensable au succès, va faire barrage
    à la fameuse pulsion de mort et l’empêcher de prendre le contrôle.
    Si cette dernière prend le dessus, la pulsion de vie fait naufrage
    alors que le but recherché par ceux qui concentrent leur énergie
    sur les médailles à décrocher est que rien ne perturbe leur besoin
    de gloire.Sur le tableau, que l’on parcours, histoire de se mettre
    à jour, on cherche. On cherche, pour aller à l’essentiel, non pas un
    nom mais un drapeau. On cherche, en vain, un emblème, sans
    réfléchir au fait que pour compter parmi les vainqueurs, il faut
    n’avoir eu à penser qu’à la victoire !Abandons, qualifications,
    repêchages, éliminations, médailles ? Les jours se suivent et
    se ressemblent pour les nôtres dont on va s’empresser de juger
    l’absence de combativité, d’énergie ou carrément de talent.
    Il est tellement plus aisé de clouer au pilori les athlètes plutôt que
    le staff sportif censé les conduire à la victoire. Plus facile de
    vouer aux gémonies des dirigeants sportifs au lieu de s’en prendre
    à leur tutelle respective car c’est là que commence la tambouille
    dont tout le monde parle mais dont personne n’a le courage
    de dénoncer l’absence d’engagement.
    Même les pronostiqueurs d’occasion se montrent incohérents dans
    la conduite à tenir face à l’échec. Qui faut-il blâmer ? Celui qui échoue
    ou le responsable de l’échec ?

    M. B. 
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •