Rugby

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Un des quatre fantastique de Boudjellal connu?

Will Genia demi de mêlée de l’Australie aux 55 sélections pourrait peut être venir jouer en Top 14. En effet, le RCT et le LOU, fraîchement promu en Top 14 serait très intéressés par le joueur. Son contrat le lie avec la fédération Australienne jusqu’au terme de la coupe du monde 2015 qui aura lieu en Angleterre. Considéré comme l’un des meilleurs joueur du monde à son poste, cela serait un très gros coup pour les deux équipes. Le LOU dans sa quête d’évolution et le RCT qui ajouterai ainsi une star de plus dans son effectif. L’un des 4 fantastiques évoqué par le président Toulonnais il y a une semaine

Une nouvelle énorme recrue au Racing Metro

Après une saison correcte, le RM92 se doit de continuer sur cette dynamique positive.
Pour palier le départ de Jonathan Wiseniewski le Racing a réalisé un grand coup.
En effet, le jeune ouvreur des Cheetahs, Johan Goosen s’est engagé avec le club Parisien.

Castres fait ses courses à Montpellier

La fin de la saison a sonné, il est temps de peaufiner les effectifs des équipes pour préparer la saison prochaine.
Pour le vice-champion de France 2014 c’est à Montpellier que cela se passe. En effet le Castres Olympique fait signer trois joueurs provenant du MHR.
Le premier n’est autre que le 3e-ligne John Beattie, qui viendrait alors pallier le départ d’Antonie Claassen, en partance pour le Racing. Agé de 28 ans et 30 sélections ainsi que 3 essais avec le XV du Chardon à son actif, il s’est engagé avec le club tarnais pour trois saisons.
Le deuxième joueur qui rejoindra dès le 7 juillet les castrais est le pilier néo-zélandais, Paea Fa’anunu. Arrivé en tant que joker médical de Juan Figallo en novembre 2013 à Montpellier. Malgré le peu de temps de jeu que lui accorde le staff montpelliérain le joueur d’origine tongienne décide tout de même de rester en France. C’est ainsi qu’il paraphe un contrat de deux ans, le liant ainsi à Castres jusqu’en 2016.
Le dernier montpelliérain à rejoindre les rangs du CO est Thomas Combezou, un centre de 27 ans originaire de Tulle. Passant par Clermont dès 2006, puis s’engageant avec le Stade Rochelais en 2009, il jouait avec le MHR depuis 2011. Connu des finales de Championnat de France en Cadet ou en Espoir, il participe même à l’accession de La Rochelle en Top 14 en 2010. Remarqué très tôt il intègre des équipes nationales en -18, -19 et -21. Malheureusement son aventure avec le XV de France s’arrête là. Au niveau national sa dernière participation se fait en rugby à VII en 2008. Le joueur est prêté pour un an au Castres Olympique.

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Les nouveaux maillots du Top 14

Durant la semaine, trois clubs du top 14 ont dévoilé leurs maillots pour la saison prochaine. Ainsi, les supporters de Montpellier, du Stade Français et de Grenoble sont fixé sur la tunique que porterons leurs joueurs pour la saison 2014/2015 de Top 14.
Cette année, le stade Français a décidé de faire simple mais en changeant tout de même le maillot abandonnant la couleur noir au profit du blanc. Les éclairs roses, marque de fabrique du Stade Français sont toujours présents.


Le maillot du Stade Français

De son côté, le MHR garde les mêmes couleurs. Le maillot est composé de rayures asymétriques. De plus, une fleur de ciste en filigrane occupera toute l’étendue du maillot. Souhaitant « affirmer l’identité languedocienne du club » les commandements inscrit sur le col: « Va jusqu’au bout, Honore ton maillot, Vise l’exceptionnel » sont désormais écrites en occitan: « Onora ton malhòt », « Cerca l’excepcional », « Vai fins al cap »


Le maillot du MHR

Grenoble reste sobre et arbore les mêmes couleurs que l’an passé. Seulement, cette saison, les Grenoblois porterons un maillot spécial coup d’Europe couleur Chartreuse.


Le maillot domicile


Le maillot extérieur


Le maillot coupe d’Europe

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L'Angleterre y était presque

Battue de cinq points la semaine passée (15-20), l'Angleterre a échoué à un point de la Nouvelle-Zélande, samedi à Dunedin (27-28), au terme d'un match de haut niveau.


On attendait des Néo-Zélandais agressifs, revenchards car vexés après le match d'Auckland, conclu certes par une victoire (20-15), mais une victoire étriquée, arrachée dans les dernières secondes d'un match dominé par les Anglais. Cette agressivité, comme le niveau de jeu et la démonstration qui vont habituellement avec quand on joue sur ces terres du Pacifique, il aura fallu attendre la seconde période pour la voir, et regarder alors nos voisins britanniques s'écrouler face à l'intelligence, la justesse technique et à la vitesse retrouvées du XV de la fougère.

Car auparavant, ce sont des Blacks bien pâles qui foulaient la pelouse d'un Forsyth Barr Stadium que leurs invités connaissent bien, pour y avoir disputé trois matchs lors de la dernière Coupe du monde. Dominés en conquête, à la peine dans les rucks et sans cesse sur le reculoir, les hommes de Steve Hansen regardaient sans réagir Farrell ouvrir le score (2e), puis Yarde s'échapper entre McCaw et Cruden pour inscrire le premier essai du match (7e, 10-0). À 10-6 à la pause, après 40 minutes à l'avantage du XV de la rose, le match ressemble à s'y méprendre à celui de la semaine passée, avec une maîtrise anglaise qui laisse présager une fin différente.
Vingt minutes ont suffi

En 20 minutes d'éclat, les All Blacks ont fait la différence.

C'était enterrer bien vite des Néo-Zélandais dont on avait presque oublié les qualités. En 20 minutes, ils les ont rappelées à tout le monde - et en particulier à leurs adversaires. Le contre d'abord, avec un ballon perdu transformé en essai par Ben Smith (43e, 13-10). La force collective, ensuite, avec un gros travail de Conrad Smith dans le fermé, suppléé par ses avants dans les 22, avant que le renversement de jeu ne profite à Savea en bout de ligne (49e, 18-13). Le talent individuel, enfin, lorsque Conrad Smith déchire le rideau défensif avant de servir Nonu, lequel aplatit après deux crochets intérieurs parfaitement exécutés (63e, 28-13).


En 20 minutes d'éclat, les All Blacks ont fait la différence et pris une avance qui leur sera bien utile. Car l'Angleterre a du caractère et du répondant. À dix minutes du terme, Wilson et Brown résistent aux plaquages néo-zélandais, et l'arrière peut conclure (71e, 28-20). Dans les arrêts de jeu, le baroud d'honneur britannique est validé par Ashton, à l'issue d'une action splendide, au cours de laquelle les Anglais, à cinq mètres de la ligne, ont reculé de 40 mètres avant déborder la défense sur l'aile droite, (80e+2, 28-27). L'Angleterre échoue finalement à un point. Hamilton, qui accueille l'ultime affrontement samedi prochain, se frotte déjà les mains.


Samoa - Italie : 15-0
Deuxième défaite en deux matchs pour l'Italie, actuellement en tournée dans le Pacifique. Après le revers subit face aux Fidji (14-25), les Azzurri se sont inclinés 15 à 0, samedi à Apia, contre les Samoa. L'ancien joueur de Toulon Tusi Pisi a inscrit tous les points du match, au pied. Il s'agit de la 8e défaite de rang pour les hommes de Jacques Brunel.

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Harinordoquy à Toulouse
Imanol Harinordoquy, en fin de contrat à Biarritz, a choisi de rejoindre le Stade Toulousain. Le troisième ligne l'a annoncé lui-même sur son compte twitter. En Haute-Garonne, il pourrait se positionner en joker derrière Thierry Dusautoir, Yannick Nyanga et Louis Picamoles, trois joueurs concernés par la nouvelle convention LNR-FFF.

Huit recrues officialisées
Ce jeudi, le club de Montpellier a officialisé l'arrivée de huit recrues pour la saison prochaine. Le MHR avait déjà conclu certaines arrivées au préalable. Voici donc la liste complète : David Attoub (33 ans, pilier, Stade français), Tom Donnelly (32 ans, 2e ligne, Blues), Antoine Battut (30 ans, 3e ligne, Racing), Ben Mowen (29 ans, 3e ligne, Brumbies), Akapusi Qera (30 ans, 3e ligne, joker médical Toulouse), Teddy Iribaren (23 ans, demi de mêlée, Tarbes), Benjamin Fall (25 ans, ailier-arrière, Racing), et Samisoni Viriviri (26 ans, ailier-arrière, Fidji à 7).

La Rochelle pêche du gros

En faisant signer l'immense deuxième-ligne all black, Jason Eaton, le Stade Rochelais se donne les moyens de rivaliser dans l'alignement, la saison prochaine, dans l'élite.

Le Stade Rochelais poursuit son recrutement. Après avoir fait signer l'international fidjien Jone Qovu (1,96m, 117 kg) en provenance du Racing-Métro, les dirigeants charentais ont pêché du gros en prenant dans leurs filets l'immense All Black Jason «Pig» Eaton (31 ans, 2,03m, 118 kg, 15 sélections entre 2005 et 2009) qui peut jouer deuxième et troisième-ligne, connu pour ses barbes hirsutes.

La Rochelle pourra aussi compter sur le buteur springbok Peter «Bash» Grant (5 sélections en 2007 et 2008), qui évoluait avec les Stormers après un passage au Japon, et le Néo-Zélandais Alofa Alofa, trois-quarts polyvalent (1,85m, 95 kg) qui a débuté à XIII en Australie avant de rejoindre les Waratahs en 2013.

Les 9 recrues du Racing-Métro

Le staff francilien a dévoilé, vendredi matin, au Plessis-Robinson, la liste des joueurs qui allaient intégrer le groupe, cet été. Revue d'effectif.

Luke CHARTERIS (Pays de Galles), deuxième-ligne, 31 ans, 46 sélections.
Recruté pour pallier le départ de Karim Ghezal (un des capitaines de touche) pour le LOU, l’international (actuellement en tournée en Afrique du Sud) a signé un contrat de deux ans, parle couramment français (un argument de poids dans un effectif qui comprend beaucoup d’Anglo-Saxons) et connaît bien le Top 14 puisqu’il évoluait jusque là à Perpignan.

Antonie CLAASSEN (Afrique du Sud), troisième-ligne centre, 29 ans, 6 sélections avec l’équipe de France.
Un renfort indispensable après les départs de Matadigo (LOU) et de Qovu (La Rochelle). Très présent sur le troisième rideau, il s’est fait remarquer depuis longtemps pour sa capacité à fluidifier les liaisons avants – trois-quarts et à trier les ballons. Comme Dulin, il était un des hommes de base des Laurent(s) à Castres, il y a deux ans.

Anton PEIKRISHVILI (Géorgie), pilier, 26 ans, 12 sélections.
Capable d’évoluer à gauche comme à droite, il remplacera le Tongien Soane Tonga’uiha qui n’a pas réussi à s’adapter assez vite au sein de l’effectif francilien et qui quitte le RM92 pour rejoindre Oyonnax. Peikrishvili, privé de phase finale avec Castres pour cause de blessure (voûte plantaire), connaît très bien Labit et Travers.

Thibault DUBARRY (France), deuxième ou troisième ligne, 26 ans.
Passé par le pôle France, Brive et Biarritz, il arrive à maturité et pourra couvrir les postes de deuxième et troisième-lignes, souvent affaiblis en période de matches internationaux.

Goosen pour apporter de la créativité

Casey LAULALA (Nouvelle-Zélande), trois-quarts centre, 32 ans, 2 sélections.
Le club avait besoin d’un véritable numéro 13 en plus d’Henry Chavancy qui a disputé 27 rencontres (sur 28 possibles) en Top 14 avec le Racing, cette saison. De plus, il connaît bien Jamie Roberts avec qui il a été associé au centre au sein des Blues de Cardiff de 2009 à 2012.

Brice DULIN (France), arrière, 24 ans, 14 sélections.
Les entraîneurs Laurent Labit et Laurent Travers le connaissent bien puisqu’ils étaient allés le chercher à Agen pour le faire signer à Castres en 2012. Il apportera sa couverture en troisième rideau, sa précision du pied gauche et sa capacité de relance.

Johan GOOSEN (Afrique du Sud), demi d’ouverture, 21 ans, 4 sélections.
Actuellement en sélection avec les Springboks, il ne disputera pas le Four Nations et sera disponible dès le 13 juillet. Il évoluait au sein des Cheetahs et a signé un contrat de trois ans pour apporter une alternative plus créatrice au jeu de Jonathan Sexton. Il peut également buter et jouer au centre et à l’arrière.

Yoan AUDRIN (France), ailier ou centre, 32 ans.
Joueur polyvalent, il arrive de Montpellier mais connaît les entraîneurs depuis Montauban, en 2007. Il remplacera Fabrice Estebanez, qui a décidé de signer au LOU il y a quelques jours (notamment pour des raisons familiales).

Teddy THOMAS (France), ailier, 20 ans.
Repéré avec Biarritz lors du match retour contre Biarritz cette saison, cet espoir du rugby français, international juniors, a été recruté pour son gros potentiel.

[edenmartine]

les Bleus retrouvent des couleurs dans la défaite



L'Australien Israel Folau face à Damien Chouly, le 14 juin à Melbourne, lors du deuxième match test.

Le XV de France s'est incliné avec les honneurs, 6-0 (mi-temps : 0-0), contre l'Australie, samedi à Melbourne lors du deuxième test-match entre les deux équipes.
Même si c'est la deuxième défaite consécutive des Bleus face aux Wallabies, la configuration de la rencontre est loin de la déroute de Brisbane (50-23) samedi dernier.
Un troisième et dernier test est programmé le 21 juin à Sydney.

Certes, la « victoire fondatrice » face à une nation de l'hémisphère sud évoquée vendredi par le capitaine Thierry Dusautoir est encore remisée au placard.
Et la dynamique censée s'enclencher à moins de 15 mois du Mondial en Angleterre est encore bien toussotant.


DE LA MOELLE
Certes toujours, les Français ont encore balbutié leur jeu par moments et continuent de s'arracher les cheveux devant tant de stérilité une fois parvenus dans les zones de marque. En-avant, passes cafouillées, mauvais choix... Le manager Philippe Saint-André, bondissant dans sa petite cabine de l'Etihad Stadium, a eu droit à toute une palette d'erreurs qui ont probablement dû le faire passer par tous les états.
Mais au moins, ces Bleus ont prouvé qu'ils avaient de la moelle en tenant en joue des Wallabies bien moins flamboyants que la semaine dernière.
Après s'être repus d'un festin offensif au Suncorp stadium de Brisbane en inscrivant sept essais, les hommes de Ewen McKenzie se sont cette fois heurtés à un mur, quitte à frustrer la maigre assistance condamnée à un triste régime sans sel, illustré par un rare 0-0 à la mi-temps.


Sans surprise, le système de défense inversée, étrenné à Brisbane avec le succès que l'on sait, a été vite rangé au profit d'une organisation efficace et bien plus agressive dans les zones de contact.
L'adjonction massive de sang neuf – dix changements dans le XV de départ par rapport à Brisbane – a énormément soulagé l'équipe de France, lui offrant bien plus de garanties sur la ligne d'affrontement. Et les rentrées de Rémi Tales et Brice Dulin ont donné de l'air dans la gestion de la partie grâce à leur jeu au pied long.


Ce chambardement a donc permis d'accoucher de ce score étriqué, seulement nourri par deux pénalités en seconde période de Bernard Foley (53^e) puis Nic White (64^e).
Auparavant, les Français avaient sauvé les meubles en voyant un essai assez généreusement refusé par l'arbitre Wayne Barnes à Ben McCalman, en raison d'un plaquage sans ballon du centre Matt Tomua sur l'arrière Brice Dulin (22^e).
Constamment à la merci d'un essai français, les Wallabies ont cette fois été trop pénalisés (6 fois en première période). Mais bien leur en a pris de ne se mettre à la faute que loin de leurs poteaux, condamnant à l'échec les tentatives longue distance de Morgan Parra et Brice Dulin.
Il faudra cependant regretter que l'activité du talonneur Guilhem Guirado — auteur de deux belles percées — ou les quelques incursions de Brice Dulin ou Yoann Huget n'aient pas du tout été récompensées.
Comme l'an passé face aux All Blacks à Christchurch (30-0), les Bleus repartent fanny d'une rencontre.
Mais si l'on considère le net redressement qui s'est opéré en une semaine, ce résultat pourrait aussi être porteur d'espoirs qu'ils devront concrétiser à Sydney.

[edenmartine]

L'équipe de France a passé lundi sa première journée complète à Sydney, lieu de son troisième test face aux Wallabies, samedi.

annick Bru, l'entraîneur des avants de l'équipe de France, a effectué une longue séance vidéo lundi. (Frédéric Mons/L'Equipe)






Yannick Bru est sorti de l’hôtel des Bleus, posé à proximité du célèbre Harbour Bridge, le pont métallique en arc de cercle surplombant la baie de Sydney, en fin de matinée.
Il avait les yeux qui piquent. «Je viens de me taper quatre heures de vidéo, j’ai besoin de prendre le soleil.»
Le sélectionneur des avants tricolores a revu des séquences du deuxième test de son équipe contre l’Australie, samedi, perdu sur un score trop étriqué (0-6) pour ne pas laisser des regrets.
Parmi elles ? Les vingt-quatre touches françaises, pour la grande majorité (21) captées par ses sauteurs, mais très vite gâchées par l’incapacité de l’équipe de se structurer autour du porteur et d’organiser des ballons portées.
«Les Australiens ont vachement pris le couloir pour retomber sur nous, explique le deuxième-ligne Alexandre Flanquart. Ils ont bien joué le coup, puisqu’on n’a pas réussi les contrer. Samedi prochain, il faut trouver la parade. Yannick (Bru) est en train de bosser là-dessus.»

Fred Michalak a également regardé la télé lundi.
Ce qui explique son retard au point presse matinal où il était programmé. L’ouvreur français voulait absolument suivre en directle sacredes San-Antonio Spurs de Tony Parker face au Miami Heat (104-87).
Grand amateur de foot, Mathieu Bastareaud, lui, avait mis son réveil à cinq heures du matin (décalage horaire oblige) pour suivre le premier match de l’équipe de France de foot contre le Honduras (3-0), à la Coupe du monde au Brésil. Mais il a estimé plus sage de rester couché, à cinq jours du troisième test.
«Quand je me suis levé, j’avais plusieurs textos sur mon portable, raconte-t-il. Je me suis dit que la France avait dû gagner.»

Dans l’après-midi, les Bleus ont découvert leur pelouse d’entraînement, le North Sydney Oval, stade de la franchise australienne du Sydney Fleet.
Une enceinte de 20 000 places très cosy, avec des tribunes et des vestiaires aux couleurs et décors légèrement surannés.
Seulement seize joueurs se sont entraînés.
Parmi eux, un seul des titulaires du deuxième test, Morgan Parra, qui a passé la majorité de son temps à buter.
Les autres ? Partagés entre deux ateliers techniques. Les avants ont bossé la touche et les phases de ruck avec Yannick Bru, tandis que les trois-quarts ont révisé leurs gammes en travaillant la passe sous les yeux de Patrice Lagisquet.
L’entraîneur des arrières n’a pas été particulièrement tendre avec ceux qui ont balancé des ''pizzas'' à hauteur de chaussette.
«A hauteur d’épaule, les gars, ça, c’est de la merde !»

[edenmartine]

Benoît Bourrust à La Rochelle
Benoît Bourrust (29 ans) de retour en France. Le pilier droit des Cardiff Blues s'est engagé pour deux saisons avec La Rochelle, promu en Top 14. «Suite au départ de Gaëtan Guyon, nous recherchions un pilier droit pour le remplacer.
Nous avons rapidement ciblé Benoît qui est un joueur qui connait bien le Top 14, championnat dans lequel il a évolué 5 saisons (à Biarritz et à l'USAP) avant de rejoindre les Blues de Cardiff.
Il souhaitait relever un nouveau challenge en France», indique l'entraîneur en chef Patrice Collazo sur le site du club rochelais
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Dusautoir «dans l'histoire»
Samedi contre l’Australie, Thierry Dusautoir portera le brassard de capitaine du XV de France pour la 43^e fois de sa carrière. «Thierry Dusautoir va entrer dans l'histoire du rugby français en dépassant Fabien Pelous, a fait remarquer Philippe Saint-André en conférence de presse. L'équipe doit être présente sur ce test-match, par rapport à l'évenement marquant pour la carrière de son capitaine»
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Chris King à Montpellier
A deux jours de la reprise de l’entraînement, Montpellier a officialisé l'arrivée d'une neuvième recrue en la personne de Chris King. Le pilier néo-zélandais de 33 ans (1,86m, 120 kg) s'est engagé pour une saison

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Un joueur de VII à Brive
Brive a annoncé lundi sur son site internet avoir recruté pour les deux prochaines saisons l'ailier fidjien international à VII, Benito Masilevu.
Agé de 24 ans, ce dernier s'est signalé cette saison en terminant deuxième meilleur marqueur d'essais de la sélection fidjienne de rugby à VII avec 27 essais inscrits lors des 9 étapes du circuit mondial. Sans référence dans le rugby à XV, il rejoint en Corrèze une forte colonie fidjienne menée notamment par Sisaro Koyamaibole, Dominiko Waqaniburotu ou Malakai Radikadike

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[benatoo]

La prochaine Tournée d’automne à Marseille face aux Fidji !


Pour la prochaine tournée du XV de France, ce sera bien Marseille après avoir déjà été à Nantes, Montpellier, Lille ou encore Le Havre, les hommes de Philippe Saint André commenceront leur tournée le 8 juin au stade vélodrome, tout neuf et pouvant accueillir 67 000 personnes. La FFR a officialisé ceci hier sur son compte Twitter.

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Castres: Changements à Pierre Antoine


Le visage du stade Pierre Antoine à Castres change.
Des travaux de rénovations ont été entamé dès la fin de la phase régulière du championnat, à laquelle le Castres Olympique participait.
D’une part avec le changement de pelouse, puis d’autre part avec le déplacement de l’espace réceptifs et du chapiteau. En effet ce dernier va être agrandi et déplacé du côté de l’entrée principale du stade.
Mais le plus gros des travaux a commencé en ce début de semaine. Il s’agit de la rénovation de la tribune Gabarrou.
Le but est de moderniser le stade, d’améliorer l’accueil du public et d’augmenter la capacité de places assises (2800 places au lieu de 1446 places précédemment dans cette tribune) pour permettre au stade Pierre-Antoine de s’approcher des critères prévus par la LNR pour l’obtention du Label Stade (10 000 places assises).
De plus avec la création d’une vingtaine de loges permettra d’accueillir les partenaires du club dans de meilleures conditions.
La destruction et la reconstruction devrait être fait dans un temps record de 12 semaines. La fin des travaux est prévue au plus tard à la mi-octobre : quatre matchs de championnat devraient donc se jouer sans cette tribune, trois rencontres à Pierre-Antoine dans une configuration réduite et un match qui devra être délocalisé, probablement à Béziers en début de saison.

Une nouvelle recrue au RCT


Auteur d’une saison impeccable, le RCT compte visiblement ne pas en rester là.
En effet, aujourd’hui nous apprenons que Jimmy Yobo devrait s’engager dans les prochaines heures à Toulon.
Ce jeune centre de 22 ans jouait jusque là à Aurillac.

Le Maire de Béziers fait pression sur l’ASBH pour qu’il n’affronte pas le RCT



Le nouveau maire FN Robert Ménard qui est ancien journaliste a fait pression sur le club de rugby de Béziers pour interdire sa ville de jouer cet été au stade Maillol contre le double champion de TOP 14 et de HCUP.
Le maire aurait rappelé au dirigeant de l’ASBH que la mairie était aussi un financier du club et aurait menacé de leur couper cette aide.
Les dirigeants de l’ASBH devraient décider d’annuler la rencontre contre Toulon sous la pression de la mairie de Béziers.
Pourtant les recettes de ce match qui auraient été si palpitantes auraient été reversées à l’ASBH.

Toulon, une énorme recrue officialisée !


Pressenti depuis plusieurs mois sur la rade, l’info est enfin officielle !
Auteur d’une magnifique saison, le RCT vient de faire signer l’un des meilleurs joueurs du monde.
En effet James O’connor a officialisé sa venue en France aujourd’hui.

Le rugby du Laos consolidé par deux français


C’est l’histoire de deux français originaire du Laos qui grandissent en Île De France. Il s’agit de Gregory et de Dany. Ils ont commencé à jouer a Viry-Châtillon dans le 91. L’un étant 3/4 et l’autre avant. Ils sont totalement opposés (niveau physique).
Parlons du Laos , c’est un petit pays de 6,5 millions de personnes qui se trouvent en Asie. La plupart des personnes vivantes au Laos préfère le football au rugby. Le Laos compte trois équipes masculines et seulement une féminine ce qui laisse très peu de choix.
La fédération de rugby du Laos a été crée en 2001 ce qui est très tard pour une équipe de rugby nationale, pourtant cette équipe qui n’a pas eu beaucoup de budget a commencé en 5eme division et aujourd’hui en 3eme division asiatique ce qui est très difficile pour une équipe ayant un faible budget.
Ils ont remporté a plusieurs reprises l’Asian 5. Gregory étant demi de mêlée alors que Dany est un pilier. Ils ont contribué fortement au développement de cette équipe nationale. Le Laos ayant peu d’équipe et pour se maintenir en 3eme division a dû inclure dans sa compétition locale des équipes thaïlandaises.
La fédération ayant tellement peu d’argent les Français doivent payer la moitié du transport.
Peut être qu’un jour nous verrons le Laos disputer un match de niveau mondial.

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L’immense coup dur du Racing Métro

Le Racing-Métro se retrouve confronté a un grand problème en ce qui concerne une de ses recrues.
En effet le club francilien a profité de la présence des deux Laurent, anciennement entraîneur du Castres Olympique, club avec lequel ils se sont hissés au niveau de Champion de France en 2013, pour faire quelques courses chez les tarnais. On annonçait alors les arrivées de Brice Dulin, Antonie Claassen et Anton Peikrishvili dans les rangs du RM92.
Mais la venue du Géorgien Anton Peikrishvili semble comprmise.
Comme l’indique Midi Olympique, lors de sa visite médicale obligatoire à l’officialisation de son contrat, Anton Peikrishvili a été déclaré inapte à la pratique du rugby. Il souffre d’un écrasement du rachis au niveau des cervicales. Une blessure classée « G3″ qui ne l’autorise donc pas à avoir une licence. Le pilier devrait se faire opérer.
Le Racing-Métro n’a pas encore décidé du recours à un joker médical. La situation reste floue


Yannick Bru accuse le top 14 de provoquer les mauvaises performances du XV de France

3 matchs, 3 défaites, voila le constat simple que l’on peut tirer de cette tournée en Australie.
L’heure est aux excuses du côté de PSA…
Pour lui le TOP 14 est en partie fautif des mauvais résultats.
« Bien sûr qu’on va être critiqués. Mais quand on travaille, quelles sont les choses sur lesquelles on peut agir ? Qu’est-ce qui dépend de notre travail ? Qu’est-ce qu’on peut maîtriser ? Si vous voulez que je redise ce que tout le monde regrette, à savoir qu’il y a beaucoup trop d’étrangers dans notre Top 14, que le Championnat ne produit pas assez de jeu, que le temps de jeu effectif est très en dessous de celui du niveau international, que les clés de performance sont différentes, je peux me faire plaisir et le rappeler »


Voici l’équipe type du Top 14

Pilier gauche :
- Le titulaire : Yannick Forestier (Castres).
- La doublure : Thomas Domingo (Clermont).
- Le joker : Xavier Chiocci (Toulon).

Pilier droit :
- Le titulaire : Nicolas Mas (Montpellier).
- La doublure : Carl Hayman (Toulon).
- Le joker : Karena Wihongi (Castres).

Deuxième-ligne :
- Les titulaires : Bakkies Botha (Toulon) et Rodrigo Capó-Ortega (Castres).
- Les doublures : Alexandre Flanquart (Stade Français) et Juandré Kruger (Racing-Metro).
- Les jokers : Romain Taofifénua (Perpignan) et Joe Tekori (Toulouse).

Troisième-ligne aile :
- Les titulaires : Juan Smith et Steffon Armitage (Toulon).
- Les doublures : Yacouba Camara (Toulouse) et Gerhard Vosloo (Clermont).
- Les jokers : Antonie Claassen et Jannie Bornman (Castres).

Troisième-ligne centre :
- Le titulaire : Fritz Lee (Clermont).
- La doublure : Sisa Koyamaibole (Brive).
- Le joker : Louis Picamoles (Toulouse).

1/2 de mêlée :
- Le titulaire : Morgan Parra (Clermont).
- La doublure : Rory Kockott (Castres).
- Le joker : Dimitri Yachvili (Biarritz).

1/2 d’ouverture :
- Le titulaire : François Trinh-Duc (Montpellier).
- La doublure : Jonny Wilkinson (Toulon).
- Le joker : Rémi Talès (Castres).

Centres :
- Les titulaires : Matt Giteau (Toulon) et Rémi Lamerat (Castres).
- Les doublures : René Ranger (Montpellier) et Gaël Fickou (Toulouse).
- Les jokers : Félix le Bourhis (Bordeaux-Bègles) et Wandile Mjekevu (Perpignan).

Ailiers :
- Les titulaires : Hosea Gear (Toulouse) et Drew Mitchell (Toulon).
- Les doublures : Metuisela Talebula (Bordeaux-Bègles) et Napolioni Nalaga (Clermont).
- Les jokers : Marc Andreu (Racing-Metro) et Marcel Garvey (Castres).

Arrières :
- Brice Dulin (Castres).
- Hugo Bonneval (Stade Français).
- Jean-Marcellin Buttin (Clermont).

XV type :
Forestier – Szarzewski – Mas
Botha – Capó Ortega
Smith – Lee – Armitage
Parra – Trinh-Duc
Gear – Giteau – Lamerat – Mitchell
Dulin
XV bis :
Domingo – Mach – Hayman
Flanquart – Kruger
Vosloo – Koyamaibole – Camara
Kockott – Wilkinson
Talebula – Fickou – Ranger – Nalaga
Bonneval
XV tris :
Chiocci – Kayser – Wihongi
Taofifénua – Tekori
Bornman – Picamoles – Claassen
Yachvili – Talès
Andreu – le Bourhis – Mjekevu – Garvey
Buttin
Récompenses :
Notre meilleur joueur français : Dimitri Szarzewski (Racing-Metro).
Notre meilleur joueur étranger : Juan Smith (Toulon).
Notre meilleur espoir : Brice Dulin (Castres).
Notre meilleur staff : Serge Milhas et David Darricarrère (Castres).