Un rédacteur politique balance tout sur les États-Unis et la création de l’UE sur France 24
Le ministère de l’Intérieur clôt toutes les procédures pénales contre les membres du Secteur Droit
Le ministère ukrainien de l’Intérieur et le mouvement d’extrême-droite Secteur Droit ont convenu de coopérer, a annoncé lundi Anton Guerachtchenko, le conseiller du ministre de l’Intérieur Arsen Avakov, sur sa page Facebook.
Ukraine : la police et les radicaux conviennent de coopérer © REUTERS/ Valentyn Ogirenko
Selon lui, le ministre a rencontré lundi un membre du Secteur Droit, Borislav Bereza.« Les parties ont convenu de procéder à un échange régulier d’informations et de coopérer en vue de protéger l’Ukraine contre la menace terroriste dans le cadre de la législation en vigueur », a indiqué M. Guerachtechenko.Le Secteur Droit avait auparavant demandé au président ukrainien, Piotr Porochenko, de faire clore toutes les procédures pénales ouvertes contre les membres de cette organisation ultra nationaliste, menaçant en cas de refus de lancer une marche armée sur Kiev.
Les bilans humains des affrontements dans l'est de l'Ukraine ne cessent de s'alourdir. Dans un communiqué publié mercredi 20 août, l'administration locale affirme que les combats entre rebelles pro russes etarméeukrainienne ont tué au moins 34 civils dans la région de Donetsk ces dernières 24 heures. Le département santé de la région fait aussi état de 29 personnes souffrant de blessures « de gravité variable ».
LE CONVOI HUMANITAIRE TOUJOURS BLOQUÉ À LA FRONTIÈRE
L'acharnement ukranien n'est pas sans conséquence pour les populations. Les combats autour des fiefs rebelles entraînent en effet une dégradation des conditions de vie de leurs habitants.
A Louhansk, l'eau, l'électricité et le réseau téléphoniques sont coupés depuis plus de deux semaines. A Donetsk, l'eau courante semble en passe d'être rétablie après deux jours de pénurie.
Le convoi humanitaire envoyé par Moscou et destiné aux populations de ces zones sinistrées est quant a lui toujours bloqué du côté russe de la frontière, pour la septième journée consécutive. Les autorités ukrainiennes disent ne pas disposer des garanties de sécurité nécessaires pour acheminer ces camions sur leur territoire.
Dernière modification par edenmartine ; 20/08/2014 à 17h40.
Un rédacteur politique balance tout sur les États-Unis et la création de l’UE sur France 24
MH17 : LES RAISONS DU CRASH DU BOEING 777 CLASSÉES SECRET DÉFENSE !
La Hollande, La Belgique, L’Australie et l’Ukraine ont signé, il y a 10 jours, un « Accord de Non-Divulgation », qui interdit à ces pays de divulguer les résultats de l’enquête concernant le MH17 et leur donne un droit de veto les uns sur les autres.
L’accord signé le 8 août stipule que les progrès et les résultats de l’enquête sur le terrible accident survenu au Boeing 777 malaisien seront gardés secrets.Selon le correspondant de (l’Agence de presse) Unian, à un briefing à Kiev, le 10 août, le porte-parole du Procureur Général, Yuri Boychenko, a déclaré que l’enquête se poursuivait et que ses résultats ne seraient publiés que lorsqu’elle serait tout à fait terminée, et seulement si tous les signataires étaient d’accord.
Chaque signataire peut exercer son droit de veto, sans avoir à le justifier.
C’est seulement après avoir signé cet accord que le Conseil suprême d’Ukraine (Verkhovna Rada) a donné l’autorisation à des enquêteurs malaisiens d’aller inspecter le site du crash de l’avion de ligne de la Malaysian airlines dans la région de Donetsk.
Selon des experts internationaux, l’enquête sur le crash du Boeing 777 malaisien pourrait prendre plusieurs semaines.La seconde étape de recherche des corps des victimes sera discutée la semaine prochaine.Tout cela signifie que les résultats de l’enquête sont classifiés et que nous ne saurons jamais ce qui s’est vraiment passé (nous avons déjà connu cela), ou alors nous ne le saurons que dans quelques années, lorsque les causes politiques du désastre n’auront plus d’importance.
C’est bien simple, les résultats intermédiaires de l’enquête prouvaient sans conteste l’innocence de la Russie et/ou de la République populaire de Donetsk dans la mort des passagers de l’avion malaisien, et cela ne plaît pas du tout aux pays signataires.
Aux dernières nouvelles, la Malaisie aurait finalement refusé de signer l’accord.
Dernière modification par edenmartine ; 23/08/2014 à 07h33.
UKRAINE : Un jour il sera trop tard pour avoir honte….
Actuellement, selon l’ONU (drivée par les US) ce conflit en Ukraine aurait fait au moins 2000 victimes. et près de 5000 réfugiés. Certains sites, parlent de 6000 victimes, mais comme il n’y a pas de preuves officielles, on ne peut que rester dans le flou. C’est sans doute lorsque tout sera terminé qu’on criera au génocide.
Tous les Européens démocrates devraient être dans la rue ! Pourtant, personne ne bouge, on ferme les yeux et on laisse faire… Un jour, il sera trop tard pour avoir honte.
La situation humanitaire dans les villes de Louganks, Donetsk, Slaviansk est dramatique.*
Appel de la résistance de Donetsk et Slaviansk aux citoyens de l’Union européenne
« A la lumière des récents évènements dans le monde, nous voulons nous adresser aux habitants de l’Union européenne.
De nouveaux conflits apparaissent régulièrement. Hier, celui du Haut-Karabagh a été réactivé. On dit qu’il y a encore et toujours plus de mercenaires. Les soldats ukrainiens prétendent encore que nous sommes des mercenaires de la Fédération de Russie. Cependant, mes collègues et moi-même vous parlons de la ville où nous habitons. Je suis né ici et j’y ai grandi. J’ai servi dans l’armée ukrainienne pendant deux ans et demi. Nous ne sommes pas des mercenaires de Poutine. Nous sommes des gens ordinaires qui veulent seulement une vie normale.
A propos de l’origine de la catastrophe humanitaire et de la Mission de l’OSCE. La Mission de l’OSCE vient régulièrement, cherche quelque chose mais ne voit pas de désastre humanitaire.
Nous vous invitons à voir ce désastre humanitaire.
Aucun de vous n’a déjà vu une terre peuplée de zombies ; des villes et des villages vides, entièrement vides. Nous sommes les seuls à nous occuper des gens, à leur donner à manger. Ni l’armée ukrainienne ni personne d’autre ne fait ça. Ce n’est pas nous qui pilonnons de paisibles village à l’artillerie et au mortier chaque nuit. Le village de Pervomaisk est presque entièrement détruit. Je me demande comment le gouvernement va trouver l’argent pour reconstruire, en cas de victoire, comme il l’annonce et comment il va s’y prendre, tandis que pendant toute la période de l’indépendance ils n’ont rien construit, pas une seule maison neuve dans la région. Alors avec quels moyens vont-ils reconstruire toutes ces infrastructures anéanties ?
Je veux retenir l’attention des habitants de l’UE, et d’autres : vous allez devoir affronter cette question vous aussi. Ces gens ne pourrons pas vivre éternellement dans cette situation. Ce n’est simplement pas possible.
Vous entendez à travers les mass media que nous sommes des terroristes, des meurtriers. Pardon, mais est-ce que les armes qui sont pointées et qui tirent sur nos villes sont les nôtres, ou peut-être les vôtres ?
Nous n’utilisons pas [le symbole nazi de] la rune du loup, mais peut-être votre camp ?
Etes-vous attaqué par des missiles balistiques, ou est-ce nous qui le sommes ?
Nous voulons mettre cela au clair. Au moins une fois dites aux gens la vérité à propos des buts de guerre : le territoire. Kolomoïsky veut annexer la région de Lugansk à la région de Dniepropetrovsk et la gouverner comme un roi.
- Je voudrais demander à tous ceux qui ont le sens de la justice de simplement prendre conscience que nous menons une guerre de civilisations. C’est-à-dire une guerre dans laquelle chacun prend sa place. Je veux dire, le côté du bien ou le côté du mal.
- Pour vous il s’agit seulement de chiffres. Vous regardez la télévision, en écoutant les informations. Peut-être quelque part sur Internet vous parvenez à percevoir une partie de la vérité, peut-être à propos d’un endroit où nous opérons, peut-être par l’intermédiaire de quelqu’un qui s’intéresse à notre drame.
Pour vous, ces événements sont éloignés et inintéressants. Pour nous il s’agit de notre plus proche et de notre plus cher voisinage. Nous voyons ces enfants, ces grand-parents être assassinés. De terribles scènes. Je suis âgé de 30 ans et en quatre mois, j’ai vu presque davantage que pendant 30 ans. Je n’ai jamais cherché la guerre ou quelque chose comme ça. Je suis un homme de paix, mais il y a des circonstances où une personne ne peut pas rester à la maison et s’asseoir pour mériter son nom d’homme.
Je vous demande à vous, Européens, de ne pas nous considérer comme des numéros.
- Le gouvernement ukrainien ne s’arrêtera pas tant qu’il aura le soutien des anciens membres du Pacte de Varsovie. Cela ne va pas s’arrêter.
Autre question : après avoir accumulé autant d’armes, où les Ukrainiens vont-t-ils s’arrêter ? Après la destruction complète du Donbass ?
Nous en doutons parce que le thème de la « nation unique » est la devise des fascistes : « mort à l’ennemi. » Prenez garde, Européens, de ne pas devenir un jour les « ennemis » de l’Ukraine ! »
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L’Otan prête à déployer des troupes aux frontières de la Russie
L'Otan s'apprête à déployer pour la première fois des troupes à proximité des frontières russes sur fond de crise en Ukraine, a rapporté le journal Guardian se référant au porte-parole du secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen.
Selon M.Rasmussen, les troupes de l'Otan seraient déployées ces prochaines heures dans de nouvelles bases en Europe de l'Est pour "empêcher le président russe Vladimir Poutine d'importuner les républiques baltes issues de l'ex-URSS".
"Tout agresseur potentiel doit savoir que s'il envisage d'attaquer un pays allié de l'Otan, il fera face aux soldats de ce pays, mais aussi aux militaires de l'Alliance", a ajouté le secrétaire général.
A la question de savoir si l'Alliance entendait déployer un contingent international permanent en Europe de l'Est, M.Rasmussen a déclaré: "Oui, tant que cela sera nécessaire".
Selon le Guardian, le QG de l'Otan à Szczecin, en Pologne, peut devenir une base de réaction rapide en Europe de l'Est.
Les pays membres de l'Otan pourraient s'entendre sur le déploiement de troupes à la frontière russe lors du prochain sommet de l'Alliance programmé la semaine prochaine à Cardiff, au pays de Galles, en Grande-Bretagne. La France, l'Italie et l'Espagne sont hostiles à ces mesures proposées par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. L'Allemagne a une position neutre à ce sujet.
Arguant de la nécessité de garantir la sécurité des alliés, l'Otan a déjà intensifié ses patrouilles aériennes au-dessus des pays Baltes et a dépêché des renforts en mer Baltique et en Méditerranée. Des avions de reconnaissance de l'Alliance survolent régulièrement la Pologne et la Roumanie. L'Otan a en outre annoncé l'augmentation des effectifs, l'élargissement du programme d'exercices militaires, le renforcement de son système d'alerte précoce et de ses forces de réaction rapide.
La Russie a dénoncé l'augmentation sans précédent des activités militaires de l'Otan en Europe.
Des chars américains en Europe de l'Est
Les Etats-Unis vont envoyer des chars et des soldats en Europe de l'Est pour tenter de rassurer leurs alliés de l'Otanqui s'inquiètent de l'incursion de la Russie en Ukraine, ont indiqué aujourd'hui des responsables du Pentagone.
Environ 600 soldats de la 1ère brigade de la 1ère division de cavalerie doivent être déployés en octobre en Pologne et dans les pays baltes pour des exercices avec des membres de l'Alliance atlantique, en remplacement de parachutistes de la 173ème brigade aéroportée, a précisé une porte-parole du Pentagone, le lieutenant-colonel Vanessa Hillman. "Il s'agit d'une rotation de trois mois", a-t-elle ajouté. Les exercices porteront sur les petites unités et la formation au leadership.
La brigade des "Chevaux de fer"
Contrairement aux équipes qui vont être remplacées, les soldats de cette brigade dite des "Chevaux de fer" (Iron Horse) basée à Fort Hood, au Texas (sud), seront déployés avec des chars M-1 Abrams et des véhicules d'infanterie. L'armée américaine a organisé une série d'exercices à la frontière Est des pays de l'Otan afin de rassurer ses alliés inquiets du soutien de la Russie aux séparatistes pro-russes en Ukraine. Washington a aussi envoyé des avions de chasse F-16 en Pologne et a participé à des missions aériennes conjointes au-dessus des Etats baltes.
« Ne cherchez pas d’histoires à la puissance nucléaire qu’est la Russie »
La Russie est loin d’être mêlée à un conflit à grande échelle. Nous ne le voulons pas et nous n’avons pas l’intention de l’être. Mais naturellement, nous devons toujours nous tenir prêts à repousser toute agression contre la Russie. Les partenaires de la Russie doivent comprendre qu’il vaudrait mieux qu’ils ne nous cherchent pas d’histoires. Dieu merci, je ne pense pas que quiconque ait l‘intention de déclencher un conflit de grande échelle avec la Russie. Je souhaite vous rappeller que la Russie est l’une des plus grandes puissances nucléaires. »
Cette déclaration, c’est celle que le président russe Vladimir Poutine a faite lors d’une visite à un camp de jeunes, près de Moscou.
Il leur a expliqué que la prise de contrôle de la Crimée avait été ordonnée pour protéger la population à majorité russophone de la violence du gouvernement ukrainien, et que les combats permanents des séparatistes pro-russes en Ukraine orientale étaient dus au refus de négocier de Kiev.
Poutine semblait très à l’aise et il a répondu aux questions des élèves au sujet de la démographie et de l’histoire. Mais il s’est assombri en évoquant le conflit Ukrainien, et il a accusé les Etats-Unis et l’Europe d’avoir organisé la destitution «inconstitutionnelle» de l’ancien président soutenu par Moscou, Viktor Ianoukovitch, en faveur d’un gouvernement pro-européen.
Il a expliqué que l’Ukraine de l’Est n’avait pas accepté cette destitution et qu’elle était maintenant soumise à des « forces militaires brutes », des avions, des chars et de l’artillerie du gouvernement ukrainien.
« S’il s’agit là de valeurs européennes contemporaines, alors je suis déçu au plus haut point ». Le dirigeant russe a comparé l’opération militaire actuelle de l’Ukraine avec le siège nazi de Leningrad pendant la Seconde Guerre mondiale.
Une autre déclaration de Poutine se rapporte aux Etats-Unis : « Est-ce que vous vous souvenez de la blague Quoi que fassent les Russes, ils finissent toujours avec une Kalachnikov? J’ai l’impression que quoi que les Américains touchent, ils finissent toujours par la Libye ou l’Irak. »
Lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que l’Organisation des Nations Unies était encore un instrument efficace, Poutine a répondu:
L’organisation perdra son but si elle se limite à être un instrument au service des intérêts de politique étrangère d’un seul pays, ici, les Etats-Unis et ses alliés. Dans ce cas, elle n’est plus nécessaire. »
Les autorités de Kiev ont subi une défaite militaire dans l'est de l'Ukraine, estime un général de l'Otan cité par le magazine allemand Spiegel.
"Du point de vue militaire, Kiev a essuyé une défaite", a indiqué l'interlocuteur du journal qui occupe un poste important au sein de l'Alliance.
Selon l'hebdomadaire, les dirigeants de l'Otan ont dû réévaluer la situation dans l'est de l'Ukraine. D'après des sources proches du dossier, le président ukrainien "n'a aujourd'hui qu'à négocier pour libérer ses hommes de l'étau russe", Kiev ayant perdu le contrôle des régions de l'est.
L'Otan prête actuellement une attention particulière aux combats qui se déroulent à proximité de la ville industrielle et portuaire de Marioupol située sur le littoral de la mer d'Azov, écrit le journal.
Les autorités de Kiev mènent depuis le 15 avril une opération spéciale d'envergure visant à réprimer la révolte qui a éclaté dans le sud-est de l'Ukraine suite au renversement du régime du président Ianoukovitch le 22 février dernier. Les hostilités ont déjà fait plus de 2.600 morts et 6.000 blessés parmi les civils et ont entraîné d'importantes destructions.
La Russie qualifie cette opération de punitive et appelle les autorités de Kiev à y mettre fin.
Le premier ministre ukrainien déclare vouloir reconstruire le rideau de fer
Le premier ministre ukrainien déclare vouloir reconstruire le rideau de fer
Le Premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, a proposé, le 3 septembre 2014, de revoir la doctrine de Défense de son pays et de le protéger de la Russie en construisant un mur à son frontière orientale.
Jusqu’ici, Arseni Iatseniouk reprochait à l’URSS d’avoir isolé l’Ukraine derrière un « rideau de fer ».
Génocide : quand la junte de Kiev pro-occidentale rase un village en Ukraine
Un drone a été en mesure de filmer les conséquences des bombardements de la junte ukrainienne pro-occidentale soutenue par les forces atlantistes, en juillet. Dans ce village de la région de Donetsk, il y avait initialement 1500 personnes, à présent il n'en reste plus que deux.
Alex Jones : Les exercices de l'OTAN en Ukraine pourraient déclencher la 3e guerre mondiale
Alors que les combats entre l'armée ukrainienne et les rebelles font rage dans l'est de l'Ukraine, les préparatifs sont en cours à proximité de la frontière polonaise pour l'exercice militaire conjoint " Rapid Trident " qui se tiendra du 16 au 26 septembre avec plus de 1 000 soldats des États-Unis et de leurs alliés.
Cet exercice annuel, qui aura lieu dans le centre de formation Yavoriv près de la frontière entre l'Ukraine et la Pologne a été initialement programmé pour le mois de Juillet, mais il a été repoussé à cause de la crise dans la partie orientale du pays.
L'OTAN a intensifié l'activité militaire au sein de ses Etats membres en europe de l'Est après l'annexion de la Russie de la Crimée en Mars et cette semaine, lors du sommet au pays de Galles, elle devrait mettre au point un accord afin de créer une nouvelle force de réaction rapide de plusieurs milliers de soldats.
Outre l'organisation d'exercices avec l'Air Force, les États-Unis ont envoyé des chars et 600 soldats à la Pologne et les Etats baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) pour des manœuvres conjointes prévues en Octobre, en remplacement d'une force de parachutistes plus légèrement armée.
Rapid Trident entraînera le premier déploiement important de États-Unis et des autres contingents alliés en Ukraine depuis le début de la crise.
http://www.reuters.com/article/2014/09/02/us-ukraine-crisis-exercises-idUSKBN0GX23Q20140902//