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    Post Autorité de Régulation de l’Audiovisuel (ARAV)

    A la une Actualité_Chaînes de télé privées
    le 23.12.15 | 10h00

    Nouvelles mises en garde de l’ARAV

    L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV), présidée par Miloud Chorfi,
    met en garde des chaînes privées, sans les citer, contre des
    «dépassements dangereux et des atteintes à la dignité humaine,
    à la sécurité nationale et à l’ordre public».

    Dans un communiqué transmis hier à notre rédaction, l’ARAV appelle ainsi
    ces chaînes privées à la «retenue» et au «respect des normes de la profession,
    de l’éthique et de la déontologie». «L’ARAV avertit ces chaînes qui usent de l’insulte
    et de la personnalisation comme moyens de capter plus de spectateurs,
    semant la fitna entre les Algériens», lit-on dans ce communiqué de deux pages.

    L’ARAV appelle ces chaînes, qu’elle ne cite pas, à s’éloigner du langage de l’insulte
    et de la diffamation dans les programmes qu’elles diffusent notamment en direct,
    considérant cela comme une transgression des textes législatifs en vigueur.
    L’Autorité de régulation invite ces chaînes de télévision à faire preuve
    de «responsabilité» dans les programmes qu’elles diffusent.

    Elle les appelle à respecter l’éthique et à éviter la bipolarisation du débat,
    notamment en ce qui concerne les interviews politiques.

    Aussi, l’ARAV demande aux journalistes de «rester neutres» et d’«éviter de prendre parti»
    pour telle ou telle personne afin de ne pas encourager «la culture de la violence verbale
    contraire aux lois algériennes et aux valeurs de notre peuple». «Nous affirmons ainsi
    que nous n’allons pas tolérer l’insulte et la calomnie en direct, car cela est contraire
    au principe du respect des points de vue des uns et des autres».

    L’ARAV insiste sur la nécessité de travailler à créer l’équilibre dans les programmes diffusés
    par ces télévisions privées en diversifiant leur contenu.

    Elle leur demande de n’exclure personne dans les débats politiques. «Les émissions consacrées
    au débat politique doivent respecter les principes et les fondamentaux de la démocratie
    consacrée par la Constitution», ajoute l’autorité dirigée par l’ex-député RND, Miloud Chorfi,
    appelant ainsi à «élever le niveau du débat politique». L’ARAV rappelle que ces chaînes,
    qui diffusent depuis l’étranger, sont soumises à la loi algérienne. Elle assure que la loi sera
    appliquée dans toute sa rigueur s’il s’agit de la sécurité, la stabilité et l’intérêt public.
    Ce qui constitue une menace à peine voilée de fermeture des «chaînes récidivistes».
    L’avertissement de l’ARAV intervient après la diffusion d’interviews de personnages politiques
    qui ont versé dans l’invective et la diffamation. 

    Mokrane Ait Ouarabi
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    Post Le dindon de la farce

    A la une/Vu à la télé
    le 21.01.16 | 10h00

    Le dindon de la farce

    De nouveau, l’Autorité de régulatation de l’audioviuel (ARAV) menace les chaînes privées qui brûlent les lignes rouges. De nouveau des sanctions sont brandies pour tenter de ramener les récalcitrants à la raison. Le refrain est connu. Il se trouve que ce sont toujours les mêmes qui sont destinataires des mêmes rappels à l’ordre sans jamais obtempérer. Ces écrans, au nombre de deux ou trois, sont facilement identifiables
    à travers notamment leurs dérives et les scandales à répétition
    à forte dose de provocation qu’ils signent, sans se soucier de leurs retombées dans la société.

    Ils ont choisi de faire volontairement dans le sensationnel infect pour les besoins de l’audience et n’ont jamais dérogé à leur marque de fabrique malgré la série d’avertissements qu’ils ont reçus à rythme continu. Mais pourquoi changeraient-ils d’attitude face à un organisme de régulation qui semble totalement ligoté et qui donc doute lui-même sur
    ses capacités d’intervention quand ce n’est pas carrément sur le but de sa mission ?

    Depuis sa création, l’ARAV, en effet, n’a encore rien entrepris de concret qui puisse édifier le monde de la télé sur ses intentions réelles ou ses engagements à structurer les contours d’un cadre professionnel livré à toutes sortes de convoitises
    dont celle liée à l’affairisme sauvage n’est pas des moindres, et auquel elle n’arrive pas à
    appliquer des règles du jeu claires et juridiquement contrôlables.

    C’est au demeurant fort de la réalité de cette faiblesse chronique à ne pas pouvoir agir conséquemment sur le terrain que traîne l’institution de supervision que les chaînes privées marquées au fer rouge se confortent à l’idée que rien de grave ne pourrait
    leur arriver malgré les sérieuses atteintes qu’elles font subir aux principes d’éthique et de déontologie.

    Entre l’ARAV et ces écrans libres qui semblent défier en toute impunité sa compétence, l’échec de la politique d’organisation mise en place par l’Etat pour limiter la courbe d’influence du potentiel télévisuel privé paraît à première vue consommé. Sinon comment expliquer qu’avec toute la force de persuasion que lui a confiée le Pouvoir politique l’organe de régulation se montre incapable de prendre des décisions radicales
    allant dans le sens d’un assainissement du secteur qui doit passer
    par des mesures coercitives lorsque la situation l’exige ?

    Beaucoup pensent que quand une télé verse dans les manipulations politiques les plus sordides, porte atteinte à la dignité des familles, sème le trouble par ses mensonges et ses accointances tendancieuses, alimente en permanence les foyers de discorde,
    aggrave les tensions sociales et sécuritaires, plus aucune circonstance atténuante n’est permise.

    Or, paradoxalement, c’est précisément ce tableau des extrêmes qui s’offre à nous avec, d’un côté, certaines télés dites de gros calibre qui narguent l’autorité dans toute son expression, et, de l’autre, un organe officiel réduit au formalisme de la tergiversation devant des déviations flagrantes qui incitent à la fermeté et à l’intransigeance de la loi. Le dernier communiqué de l’ARAV mettant les chaînes indociles
    au pied du mur est encore la preuve de l’impuissance de celle-ci à dépasser
    le stade du constat pour donner un sens plus rigoureux à sa responsabilité.

    A vrai dire, si la loi était appliquée dans toute sa rigueur et sans préjugés ni a priori sélectif, les écrans ciblés aujourd’hui pour dépassements et fautes professionnelles graves auraient depuis longtemps mis la clé sous le paillasson. Pourquoi ont-elles donc échappé à chaque fois aux sanctions extrêmes qui s’imposaient vis-à-vis de la loi alors que ces mêmes sanctions n’ont pas été totalement ignorées pour d’autres, plus vulnérables parce que pas protégées ? En fait, toute la question est là : si l’ARAV fait du simple chahut devant les télés privées insoumises, c’est qu’elle a ses raisons, dont la principale étant de ne jamais se mettre à dos leurs influents sponsors tapis dans les travées du Pouvoir.
    Les connivences entre les hautes instances du sérail et ces chaînes n’étant plus à démontrer, il va sans dire qu’une telle proximité n’arrange pas les affaires du premier responsable de l’Autorité de régulation qui doit à chaque fois trouver une foultitude d’arrangements pour maintenir l’équilibre de l’allégeance, quitte à perdre la face et à décrédibiliser la tutelle qu’il représente. En vérité, le patron de l’ARAV ne perd pas de vue que le Pouvoir a besoin de ces télés pour sa propre propagande. Face à la déconsidération de la télévision publique, il trouve en ces chaînes privées qui se mettent à
    son service le canal idéal pour faire passer officieusement ses messages.

    De plus, ces chaînes par la liberté de ton qui leur est accordée se mobilisent corps et âme pour défendre ses points de vue, ses décisions, et apporter la contradiction à ses détracteurs. En somme, des écrans qui font la sale besogne à la place des hommes du Pouvoir et qui bénéficient en retour de l’assurance d’outrepasser sans risques d’être inquiétées les contingences éthiques et de recevoir une manne publicitaire
    confortable qui leur permet de prospérer dans un milieu
    où l’essentiel n’est pas garanti, à savoir la possession d’un statut de droit algérien.

    Au même titre que le ministère de la communication qui patauge dans ce paysage médiatique où tout est à refaire, l’ARAV prend de plus en plus conscience que c’est elle qui constitue le dindon de la farce sur le dos duquel sont instrumentalisées les pires combines.
    A moins d’un sursaut de vanité de sa part pour prouver qu’elle vaut plus qu’une formalité politique,
    ce qui par les temps qui courent paraît peu probable.

    Abderezak Merad
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    Post L’énième mise en garde de l’ARAV

    A la une/Actualité_Programmes des chaînes de télévision privées
    le 01.02.16 | 10h00

    L’énième mise en garde de l’ARAV
    Alors que son président, Miloud Chorfi, vient de la quitter pour rejoindre le tiers présidentiel
    du Sénat, l’ARAV lance un nouvel avertissement aux chaînes de télévision privées.

    L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) vient de mettre en garde, à nouveau,
    les chaînes de télévision privées contre les dépassements et la transgression des lois régissant
    le champ audiovisuel. Dans un communiqué répercuté par l’agence officielle APS, le énième du genre,
    l’ARAV somme «les dirigeants et encadreurs du secteur à observer les lois et règles d’éthique le régissant».
    «La diversité du champ audiovisuel doit constituer un atout pour mettre en valeur la nature
    de la société algérienne,mais pas un moyen pour impacter négativement les aspects sécuritaire, politique
    et socioéconomique du pays»,a souligné l’ARAV, qui prévient contre les conséquences du maintien
    des «programmes anarchiques».
    Cette instance, qui vient de se séparer de son président Miloud Chorfi,
    nommé hier sénateur du tiers présidentiel, estime que «le champ audiovisuel est marqué par l’émergence massive
    de chaînes de télévision, bien que constituant une plus-value dans moult domaines et divers aspects du quotidien
    du citoyen» ; mais elle regrette que «ces chaînes se caractérisent par des grilles de programmes anarchiques»,
    truffés de «fautes et défaillances dans la forme et le fond».L’ARAV, qui admet qu’il y a un problème de manque
    d’expérience, considère que «la diffusion à grande échelle d’émissions de proximité à caractère social et politique,
    laisse entrevoir un mépris flagrant des règles de déontologie professionnelle et des règles d’usage dans
    le domaine de l’audiovisuel».
    Toujours vague dans ses mises en garde, ses remarques et ses avertissements,
    l’ARAV estime que «plusieurs chaînes se sont transformées en tribunes de l’invective et de la diffamation pour
    des raisons qui, souvent, ne servent ni le citoyen ni la République mais profitent à des cercles réduits
    et des intérêts personnels». Des chaînes que cette instance ne cite
    bien entendu pas. «Les lois sont claires et précises, d’autant que de telles pratiques sont étrangères à nos us
    et à nos valeurs ancestrales», prévient l’ARAV, qui parle ainsi de
    «comportements qui favorisent la violence, sèment la discorde et déstabilisent notre société et notre pays».

    L’ARAV avertit ainsi les responsables de ces chaînes en leur rappelant la nécessité de respecter le public,
    les lois de la République et les règles de déontologie professionnelle en vigueur dans le monde.
    «La liberté n’est pas synonyme de transgression des lois et des us ; la liberté implique l’observation des lois d
    e la République qui ont favorisé l’évolution du champ médiatique dans notre pays», soutient cette instance, qui
    fait état de l’obligation faite à ces chaînes d’«assumer leur responsabilité dans ce qu’elles diffusent et publient
    et s’en tenir à leur conscience professionnelle, dans le respect de l’éthique professionnelle
    et des institutions de la République».
    «Les dépassements enregistrés relèvent d’une transgression flagrante des règles
    de déontologie et tombent sous le coup des lois sur l’information et de l’audiovisuel», insiste l’ARAV,
    qui brandit la menace de lourdes sanctions pouvant aller jusqu’à la fermeture

    en cas de «persistance de telles défaillances et pratiques irresponsables».
    L’ARAV a déjà sanctionné une chaîne de télévision en fermant ses bureaux à Alger à cause de la diffusion
    d’un entretien de l’ex-émir de l’AIS, Madani Mezrag, et a obligé une autre chaîne
    à supprimer de sa grille de programmes une émission satirique. Mais d’autres télévisions dites proches
    des cercles de décision demeurent intouchables, malgré leurs grilles de programmes qui sont loin
    des règles de l’éthique et de la déontologie recommandée par l’ARAV.

    Mokrane Ait Ouarabi
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    Post Le paysage audiovisuel algérien privé dans le flou

    L'audiovisuel algérien passe ses derniers jours par une période difficile, l'absence de la publicité, le manque d'investissements et surtout le risque de fermeture à tout moment par les autorités compétentes fait planer le doute sur l'avenir de ces chaînes. L'absence de l'Autorité de régulation, va constituer un handicap certain pour certaines chaînes en difficulté d'orientation. Certaines chaînes comme Dzair TV, Dzair News, Echourouk TV et Ennahar TV ont déjà investi dans les studios et dans le matériel de diffusion, alors que d'autres chaînes continuent à ramer et à chercher des investissements pour mieux attaquer l'avenir. C'est le cas notamment d'El Djazairia TV, qui est dirigée par l'ancien DG de l'Entv Hamraoui Habib Chawki, qui a instauré une nouvelle politique dans la chaîne privée.
    Même la chaîne Numidia News de Mahiedine Tahkout a commencé à faire le ménage en supprimant des émissions inutiles. D'ailleurs, le big boss de la chaîne n'a pas hésité à recruter un ancien directeur de chaîne pour tenter d'améliorer la qualité de celle-ci. Pour le reste, la majorité des chaînes est dans le flou et dans l'inconnu. Après la fermeture de la chaîne El Watan TV et la mise en examen de son directeur et après l'emprisonnement du directeur de la chaîne El Adjwa TV, le paysage audiovisuel algérien privé est plus que jamais dans le rouge. En l'absence de cahier des charges régulant le secteur, les chaînes de télévisions sont livrées à elles-mêmes et aux différents lobbys qui pullulent autour du secteur de l'audiovisuel privé. Dans sa dernière recommandation, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a souligné l'importance de faire de la diversité du champ audiovisuel un atout au service de la société et d'éviter d'exploiter cet acquis pour impacter négativement les aspects sécuritaires, politiques et socio-économiques du pays. Le champ audiovisuel qui a permis l'émergence massive de chaînes de télévision et bien que constituant une plus-value dans moult domaines et divers aspects du quotidien du citoyen, celles-ci se caractérisent par des grilles de programmes anarchiques, avait estimé l'Arav qui affirme relever encore «des fautes et défaillances dans la forme et contenu des programmes» bien que le problème ait été imputé lors de rencontres avec des directeurs de ces structures à un manque d'expérience. En effet, plusieurs chaînes se sont transformées en tribunes de l'invective et de la diffamation pour des raisons qui, souvent, ne servent ni le citoyen ni la République, mais profitent à des cercles réduits et des intérêts personnels. Pour l'Arav, les «lois sont claires et précises d'autant plus que de telles pratiques sont étrangères à nos us et à nos valeurs ancestrales». Après plusieurs années d'attente, il est regrettable de constater le manque de professionnalisme de certaines chaînes privées.

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    Dernière modification par zadhand ; 12/02/2016 à 22h07.
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    Post Pas de radios privées pour l’instant !

    HAMID GRINE
    PAS DE RADIOS PRIVÉES POUR L’INSTANT !

    5 juin 2016|19:13

    Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a indiqué que l’ouverture
    du champ médiatique relatif aux radios privées n’est pas
    encore à l’ordre du jour de son département.



    « Pour les radios, c’est autre chose. Je ne sais pas quand,
    mais c’est une décision gouvernementale qui fixera l’heure d’ouverture »,
    a-t-souligné, hier à Alger, en marge d’une journée de formation ayant
    pour thème « La révolution numérique ».

    S’exprimant sur le sort des chaînes de télévision privées, qui sera, dit-il,
    déterminé « avec sagesse » par l’Autorité de régulation de l’audiovisuel
    (ARAV), M. Grine s’est gardé de donner une échéance pour les radios,
    en dépit du fait que cette question ne cesse d’être posée aux différents
    ministres qui ont eu à prendre en charge le ministère de la Communication.

    Les professionnels ne comprennent pas, en effet, qu’une soixantaine de
    chaînes de télévision, souvent d’une manière anarchique, aient pu voir le jour
    alors que la radio attend désespérément qu’on lui donne le quitus d’émettre.

    Si l’on se réfère à Abdelkader Messahel, l’un des prédécesseurs de Hamid Grine
    à la tête du ministère de la Communication, l’Algérie aurait déjà eu ses radios
    privées en 2015 ou, au plus tard, durant l’année en cours. Ce ministre, qui a
    repris entre temps le ministère délégué aux Affaires africaines, avait déclaré
    le 23 octobre 2013, lors d’une visite à Sidi Bel Abbès, que les radios privées
    verraient le jour « avant 2 ou 3 ans ».
    « L’ouverture au privé, c’est d’abord
    le respect des règles du jeu, de la loi et du cahier des charges », poursuiva-t-il,
    soulignant que le plus important en matière technique est la disponibilité des
    fréquences. « Si pour la télé le problème ne se pose pas vraiment, ce n’est pas
    le cas pour la radio », a-t-il souligné, invoquant des contraintes « objectives »
    susceptibles de retarder l’ouverture des ondes au privé.

    L’Enrs possède une quarantaine de radios, toutes publiques, soumises à un cahier
    des charges « répondant aux intérêts suprêmes de la nation ». Il convient de signaler
    que certains hommes des médias se sont lancés dans la webradio, telle que celle
    appartenant au groupe de presse Maghreb Emergeant, dirigé par Al-Kadi Ihsane.
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    Post Chaînes TV non agréées : l'Autorité de régulation va trancher

    C'est la fin de la récréation pour les médias en marge de la réglementation. Selon le ministre de la Communication, Hamid Grine, l'Arav prend les choses en main.

    C'est finalement à l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) qu'échoit le dossier des chaînes de télévision non agréées. Hamid Grine, ministre de la Communication, a annoncé comme imminente la nomination de ses neuf membres... en attendant celle de son président par le chef de l'État Abdelaziz Bouteflika. Faut-il le rappeler ? Le précédent, Miloud Chorfi, est récemment devenu sénateur. De l'avis des observateurs, tout laisse penser que les instructions du Premier ministre vont être appliquées. Le 23 mai dernier, Abdelmalek Sellal était allé dans le sens de la fermeture des médias évoluant en marge de la réglementation. « Maintenant, l'Autorité de régulation va séparer le bon grain de l'ivraie », a en effet indiqué le ministre de la Communication, pour qui « il revient au gouvernement d'agir pour mettre fin au désordre ambiant ».

    Les chaînes prosélytes dans le collimateur

    Le paysage audiovisuel algérien compte une soixantaine de chaînes de télévision privées. Selon l'agence Ecofin, elles ont le « statut de chaîne de droit étranger » pour la plupart et seules cinq sont agréées par les autorités. « Les autres bénéficient de la tolérance », précise l'agence. Dans la ligne de mire des autorités, les chaînes qui font dans le prosélytisme. « Ce sont celles-ci qui sont visées », a précisé le ministre de la Communication. « Pour les autres chaînes non agréées, il sera possible de trouver un terrain d'entente à travers un cahier des charges », ajoute Hamid Grine, qui précise : « Quand ça ne touche pas les fondamentaux de la République, on peut toujours s'arranger. »


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    Dernière modification par zadhand ; 10/06/2016 à 11h26.
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    Post Une autorité à l’épreuve de l’anarchie

    Une autorité à l’épreuve de l’anarchie



    Sellal installe les membres de l’ARAV
    le 21.06.16 | 10h00

    Après plusieurs mois d’ajournement, le gouvernement a fini par
    installer les membres de la fameuse Autorité de régulation de
    l’audiovisuel prévue par la loi portant organisation de l’activité
    audiovisuelle promulguée en 2014.Cette instance, qui aura en
    charge de réguler et d’organiser le secteur des médias lourds,
    est présidée par le journaliste, communicant et ancien directeur
    général de la Radio nationale, Zouaoui Benhamadi. Cette
    «autorité indépendante» compte neuf membres, dont des
    universitaires et des journalistes, nommés pourtant par
    décret présidentiel.
    Aucun membre n’est proposé par les médias.
    Cinq membres dont le président de l’Arav sont désignés par le
    président de la République, alors que deux membres sont choisis
    par le président du Conseil de la nation et deux autres sont proposés
    par le président de l’Assemblée populaire nationale. Le Premier
    ministre Abdelmalek Sellal, qui a procédé hier à l’installation de
    l’ARAV, a affirmé que cet organe «est indépendant et son action n’est
    encadrée que par les seules dispositions de la loi». M. Sellal n’hésite
    cependant pas à donner des instructions et injonctions aux membres
    de l’ARAV. «Les actes de diffamation, de chantage et d’appels à la
    violence et à la fitna seront également et fermement combattus et
    sanctionnés», dit-il aux membres de l’Autorité fraîchement installés,
    censés être les seuls juges et contrôleurs de l’activité audiovisuelle.

    Le Premier ministre qui, il y a quelques semaines avait déjà pris la
    décision de procéder à la fermeture de plusieurs chaînes de télévision
    non «autorisées» par ses services, souligne encore dans son allocution
    que le gouvernement et l’ARAV «soutiendront et seront aux côtés des
    médias qui s’inscriront dans cette démarche vertueuse, dans le respect
    de la loi et de la liberté d’information et d’expression».

    Et d’ajouter «La loi sera strictement appliquée pour protéger les droits
    des journalistes et des artistes qui travailleront dans ce domaine, veiller
    au respect de la législation et de la réglementation en vigueur et sévir en
    cas d’atteinte à la mémoire collective, aux référents religieux, à l’identité
    nationale ou à la cohésion de la société.» Le Premier ministre donne ainsi
    la feuille de route à suivre par l’ARAV. «Nous attendons de ses membres
    une action volontariste, pour veiller au libre exercice de l’activité audiovisuelle,
    à l’impartialité, à l’objectivité, à la transparence, à la promotion des langues
    nationales et au respect des valeurs et des principes de la société algérienne»,
    indique encore M. Sellal. La mission de l’ARAV est ardue.
    L’anarchie règne dans
    le secteur de l’audiovisuel où les chaînes privées sont tolérées et non autorisées
    à travailler dans la légalité. Un secteur où les marques d’allégeance au pouvoir
    font passer les graves dérives et atteintes à la déontologie. Alors que le moindre
    signe de critique de la politique gouvernementale peut valoir à la chaîne une
    menace de fermeture. L’ARAV est appelée à mettre de l’ordre dans un secteur
    piégé par l’instrumentalisation politique.Comment réagira-t-elle sur l’affaire KBC ? Comment fera-t-elle face aux incessants dérapages assumés par les télévisions
    privées dites proches du cercle présidentiel ? Assumera-t-elle les critères d’allégeance
    au pouvoir dans le choix des chaînes autorisées à émettre ?
    Un grand chantier attend les membres de l’ARAV.

    Liste des membres

    Désignés pour un mandat de 6 ans non renouvelable, les membres de
    l’ARAV ne doivent jouir d’aucun mandat électif, emploi public,
    activité professionnelle ou responsabilité exécutive dans un parti politique.

    Ces mêmes membres «ne peuvent percevoir, directement ou indirectement,
    des honoraires ou toute autre forme de rémunération, sauf pour services
    rendus avant leur entrée en fonction. Ils ne peuvent aussi détenir,
    directement ou indirectement, des intérêts dans une entreprise ayant pour
    objet une activité audiovisuelle, de cinéma, d’édition, de presse, de publicité
    ou de télécommunications». La loi leur interdit aussi d’exercer une activité liée
    à l’audiovisuel durant les deux années suivant la fin de leur mandat à l’ARAV.


    Zouaoui Benhamadi : journaliste, communicant, gestionnaire d’organismes publics
    Zahir Ihaddadène : journaliste, historien
    Zaïm Khenchelaoui : anthropologue, chercheur
    Abdelmalek Houyou : haut fonctionnaire, gestionnaire d’organismes publics
    Dr Ahmed Bayoud : universitaire, haut fonctionnaire
    Aïcha Kassoul : professeur, universitaire, diplomate
    Zouina Abderrezak : professeur des universités
    El Ghaouti Mekamcha : professeur des universités et ancien ministre de la Justice
    Lotfi Cheriet : journaliste.
    Nadjia Bouaricha

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    Les dossiers qui attendent l'Arav

    Après plusieurs mois d'attente et de tergiversations l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a été officiellement installée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Comme nous l'avions annoncé dans nos précédentes éditions, M.Zouaoui Benamadi, qui est considéré comme un sage, a été installé comme président de cette autorité en remplacement de Miloud Chorfi. La composante de cette autorité hétéroclite est composée essentiellement d'anciens cadres de l'Etat. Zahir Ihaddaden, journaliste et historien, Zaïm Khenchelaoui, chercheur dans le domaine des religions, Abdelmalek Hoyou, ancien DG du TDA (La télédiffusion algérienne), Dr Ahmed Bayoudh, cadre supérieur et prof d'université, Aïcha Kassoul, professeure d'université, diplomate et animatrice à la Chaîne III, Zouina Abderrazak, professeure d'université et ancien membre du Conseil constitutionnel et Ghaouthi Mekamcha, professeur d'université, ex-ministre de la Justice. Beaucoup de noms ont été écartés à plusieurs reprises de cette liste de l'Arav. On a d'abord écarté les membres affiliés au FLN, puis ceux affiliés au RND. On a également écarté les personnalités issues du monde de l'audiovisuel et de la radio. Même la presse écrite avait avancé les noms de Lounakel, Brahim Seddiki ou encore de Bouazara. Mais il n'en est rien. La liste est restée bloquée au niveau du Premier ministre et aucun nom n'avait filtré, par peur d'interventions. Sur les neuf membres, seuls deux ont travaillé dans le domaine de la télévision. Lotfi Cheriet, Abdelmalek Houyou, alors que Benamadi a eu à gérer la Radio nationale. Autrement dit, l'Arav est une autorité composée de juristes, qui ont comme objectif de réguler le champ audiovisuel. Beaucoup de dossiers lourds attendent cette autorité, à commencer par le cas KBC dont le directeur général Mehdi Benaissa, a été interpellé et présenté devant le procureur. Le studio de l'émission «Ki Hna ki Nass» a été fermé par les services de sécurité.
    Le cas de la chaîne Adjwa qui continue de travailler alors que son directeur est en prison. Le cas de la chaîne Beur TV, dont les attaques contre les opérateurs économiques et les personnalités du gouvernement sont nombreuses. Une dérive qui a conduit l'associé de Réda Mehigni, Nacer Kettane, de demander à la justice d'intervenir. L'Arav devra également se pencher sur les cas de propriétaires des chaînes détenues par des groupes économiques, comme c'est le cas de Numidia News, Dzair TV et El Djazairia TV. Zouaoui Benamadi connu pour son autorité devra également rencontrer les directeurs des chaînes de télévisions accréditées pour leur exposer le cahier des charges et entamer un nettoyage du paysage audiovisuel algérien privé.

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    Post Première réunion consacrée au plan d'action à venir

    Première réunion consacrée au plan d'action à venir



    ARAV
    le 24 - 06 - 2016

    L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a tenu, jeudi dernier,
    sa première rencontre, sous la direction de son président,
    Zouaoui Benhamadi, consacré au « plan d'action à venir »,
    a-t-on appris de source proche de cette instance.
    Cette première réunion a été consacrée au « plan d'action à venir »,
    notamment les instances prévues (commissions), le cahier des
    charges et les différents textes relatifs au secteur audiovisuel
    ainsi que sa relation avec les différents médias du champ
    audiovisuel national, a précisé la même source. Les membres
    de l'Arav, une institution prévue par la loi relative à l'activité
    audiovisuelle de 2014 pour réguler le champ audiovisuel
    en Algérie et consolider la mission du service public, ont été
    installés lundi dernier par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

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    ZsFa

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    Post L’ARAV adopte le cahier des charges élaboré par le gouvernement

    L’ARAV adopte le cahier des charges élaboré par le gouvernement



    Audiovisuel

    le 27.06.16 | 14h44

    L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a adopté le cahier
    des charges élaboré par le gouvernement après débat, a annoncé
    lundi à Tipasa le ministre de la Communication, Hamid Grine.

    "L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a tenu sa première
    réunion et adopté le cahier des charges élaboré par le gouvernement
    après débat", a indiqué M. Grine qui était l'invité de la radio de Tipasa
    à l'occasion de d'une visite de travail dans cette wilaya. Jeudi dernier,
    l'ARAV avait tenu sa première réunion présidée par Zouaoui Benhamadi,
    son président, consacrée au "plan d'action à venir".

    L'ARAV prévue par la loi relative à l'activité audiovisuelle adoptée par le
    parlement en 2014 pour réguler le champ audiovisuel en Algérie et
    consolider la mission du service public, a été installée le 20 juin dernier
    par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.
    Cette autorité indépendante
    assumera ses prérogatives à la fois en tant que garant et gardien de
    la liberté d'exercice de la profession. L'ARAV est composée de 9 membres
    nommés par décret présidentiel: cinq membres dont le président sont
    désignés parle président de la République, deux membres non parlementaires
    proposés par le président du Conseil de la Nation et deux membres non
    parlementaires proposés par le président de l'Assemblée populaire nationale (APN).

    APS
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