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10 aliments comparés pour faire les bons choix nutritionnels
5.Oeuf poché ou oeuf cuit à la poêle ?
Pièce jointe 10040
En plus de s’apprêter de nombreuses façons, l’œuf est une excellente source de protéines et de sélénium, une bonne source de vitamines B2 et B12, de zinc et de fer ainsi qu’une source de vitamine D. Toutefois, la partie jaune est assez riche en cholestérol : environ 216 mg pour un œuf de 50 g. Ainsi, il est préférable d’opter pour un type de cuisson qui limitera l’apport supplémentaire de corps gras. L’œuf poché présente cet avantage puisqu’il est tout simplement cuit dans l’eau bouillante qui, contrairement à la cuisson à la poêle, ne nécessite pas l’ajout d’un corps gras. Un œuf poché de gros calibre contient environ 78 calories alors qu’un œuf cuit à la poêle renferme environ 170 calories.
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6.Cuisse ou poitrine de poulet ?
Pièce jointe 10046
Le poulet est un excellent choix alimentaire puisqu’il contient davantage de protéines et moins de gras que les viandes rouges, en plus d’être une excellente source de phosphore, de zinc, de sélénium, de vitamine B et de fer. Malgré tout, certaines parties de la volaille présentent un taux de gras plus élevé. La poitrine, sans la peau, est une option plus judicieuse puisqu’elle ne renferme que 4,5 g de gras par portion de 100 g. La cuisse et le pilon contiennent quant à eux 9,7 g de matières grasses pour une quantité équivalente.
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7.Croustilles, chips ou pop corn ?
Pièce jointe 10068
Si vous avez une forte tendance à grignoter, mieux vaut opter pour l'option la plus saine. Les croustilles, de toutes marques et de toutes saveurs confondues, sont très salées et riches en gras trans (= mauvais gras). Le maïs soufflé est une alternative intéressante puisqu’il apporte la texture croquante des croustilles, le gras et le sel en moins, si vous le choisissez sans ajout. Vous pouvez l'acheter « nature », ce qui vous permettra de doser vous-même les assaisonnements que vous y ajoutez. Pour équivaloir à une portion de féculent, ce qui représente une tranche de pain, vous pouvez manger jusqu’à 750 ml (3 tasses) de maïs soufflé. Cet aliment est en plus riche en fibres alimentaires.
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8.Jus de fruits ou boisson fruitée ?Pièce jointe 10090
La variété de jus, boisson et cocktail de fruits disponible sur le marché est impressionnante et il peut parfois être difficile de s’y retrouver. Pour qu’un jus de fruits soit considéré comme tel, la liste des ingrédients doit se limiter au fruit en question avec la mention 100% pur. Tous les types de boissons contiennent sensiblement la même quantité de sucre. Cependant, contrairement aux boissons et aux cocktails, le sucre contenu dans le jus provient exclusivement du fruit et contient des vitamines et minéraux. Toutefois, l’eau doit être votre principale boisson et le jus doit demeurer un produit consommé de manière occasionnelle.
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9.Riz ou quinoa ?
Pièce jointe 10119
Riz ou quinoa, les deux options sont intéressantes. Le riz est un aliment riche en nutriments, notamment en manganèse et en sélénium. Le riz et le quinoa ont les mêmes vitamines et minéraux en quantité légèrement différente. De plus, ils ne contiennent aucun gluten, ce qui fait d’eux un ingrédient clé pour les gens qui ont une intolérance. Cependant, il peut parfois être intéressant de substituer le riz au quinoa. Le principal avantage est qu’il contient beaucoup plus de protéines, de fer et de fibres, en plus de sa teneur en manganèse, phosphore, cuivre, magnésium, zinc et vitamine B2. Une portion, soit 125 ml (1/2 tasse) de quinoa cuit, vous fournira environ 75 calories. Alors qu’une quantité égale de riz blanc vous apportera 109 calories.
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10.Pain tranché ou croissant ?
Pièce jointe 10129
Au petit-déjeuner, vaut-il mieux choisir un croissant ou une rôtie de pain tranché ? La pâte du croissant est similaire à la pâte feuilletée. Elle est essentiellement composée de levures et de beurre, ce qui en fait un aliment très gras et peu nutritif. Un croissant moyen contient environ 4 g de protéines, 26 g de glucides et 11 g de lipides pour un apport total de 231 calories. Une tranche de pain de blé entier renferme plus ou moins 4 g de protéines, 15 g de glucides et 1 g de lipides pour un apport total de 86 calories. En plus de sa quantité moindre de sucre et de gras, le pain tranché est plus rassasiant que le croissant, sans compter qu’il contient plus de fibres alimentaires
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Re : Sante
5 conseils pour bien dormir…
Depuis le siècle dernier, nous avons perdu plus d’une heure de sommeil par nuit. Les conséquences ? Baisse des performances, nervosité, irritabilité, risques d’accidents, somnolence… Comment faire pour mieux dormir ?
Pièce jointe 10140
1. Un corps sain pour un sommeil réparateur
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Ce n’est pas nouveau : sommeil et hygiène de vie vont de pair. L’alcool, les drogues, la cigarette, le manque d’activité physique ou une mauvaise alimentation sont autant de facteurs qui contribuent à dégrader la qualité du sommeil.
C’est bien simple, pour bien dormir, il faut donc vivre sainement.
Plusieurs études ont montré que l’exercice physiqueest efficace pour réduire les troubles du sommeil et traiter l’insomnie chronique. L’efficacité est même comparable à celle des hypnotiques, sans effets secondaires ! Selon une étude parue en 2011 et menée auprès de 3000 personnes âgées de 18 à 85 ans, le fait de faire 150 minutes de sport par semaine (niveau d’activité modéré à intense) augmente la qualité du sommeil de 65 %.
Sans surprise, les plus actifs s’endorment plus rapidement, et dorment mieux.
Cependant, il est préférable de s’entraîner le matin, car l’activité physique le soir peut avoir un effet excitant chez certaines personnes. Un sport doux, comme la natation ou la marche, permet par ailleurs de réduire le niveau d’anxiété ; alors qu’un sport plus intense permettra de fatiguer l’organisme et de libérer des endorphines ayant un effet tranquillisant. Si possible, pratiquez une activité physique à l’extérieur : être exposé(e) à la lumière naturelle permet de réguler les rythmes circadiens, et surtout le rythme jour/nuit.
Côté alimentation, il faut là encore miser sur l’équilibre. Ne pas manger trop lourd le soir, ni trop sucré, le sucre étant un excitant, et éviter l’alcool, sont les mesures de base.
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2.Bannirles excitants pour un meilleur sommeil
Pièce jointe 10157
Tout le monde le sait, boire un café ou unthé le soir peut rendre difficile l’endormissement… Idem pour les sodas richesen caféine et le chocolat, dont certains alcaloïdes ont un effet excitant,Pourtant, 2 personnes sur 3 consommeraient des excitants après 17 heures !
Méfiez-vous aussi du thé vert qui peutcontenir beaucoup de caféine, de la nicotine et des aliments sucrés qui peuventdonner un pic d’énergie au moment de dormir.
Quant à l’alcool, il « assomme » etprovoque un endormissement rapide, mais il perturbe les cycles naturels desommeil. Il réduit notamment la durée du sommeil paradoxal.
Il faut donc proscrire ces produits après 16h,et même parfois dès 14h selon la sensibilité individuelle, très variable.
Attention aussi à certains médicaments et drogues comme les corticoïdes, lesamphétamines, les bêta-bloquants, la théophylline utilisée contre l’asthme etcertains antidépresseurs stimulants, car tous peuvent perturber le sommeil. Sic’est votre cas, il faut peut-être rediscuter de l’heure des prises avec votremédecin ou pharmacien.
Enfin, les comportements de la vie modernepeuvent interférer avec la détente et le déclenchement naturel du sommeil,comme l’ont montré plusieurs études.
Ainsi, tous les écranslumineux, qu’il s’agisse de la télévision, de l’I-pad, del’ordinateur ou des jeux vidéos, perturbent la sécrétion de mélatonine,« l’hormone du sommeil », qui régule les rythmeschronobiologiques.
Selon une étude récente du RensselaerPolytechnic Institute deTroy, dans l’État de New York, une exposition de deux heures à lalumière d’écrans peut faire baisser le taux de mélatonine d'environ 22 %.Avant l’heure du coucher, mieuxvaut donc créer une ambiance tamisée, propice au sommeil, et lire un bon vieuxlivre en papier…
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Re : Sante
5 conseils pour bien dormir…
3.Luttercontre l’anxiété pour bien dormir
Pièce jointe 10181
Nombreux sont les insomniaques qui ruminentleurs pensées, ont du mal à lâcher prise et à se détendre avant de dormir.
Il est conseillé de suivre un rituel propiceà la détente le soir, notamment en évitant les activités physiques etintellectuelles trop stimulantes après 17 heures.
Lecture, bain, musique douce, lumièrestamisées : l’ambiance avant le coucher doit être zen pour mieux préparerl’esprit (et le corps !) au sommeil.
L’anxiété est de manière générale, l’enneminuméro 1 du sommeil. Comment se défaire du stress de la vie quotidienne, ouaborder les petits tracas avec davantage de sérénité et de détachement ?Plusieurs méthodes ont fait leurs preuves, en particulier le yoga et la méditationde pleine conscience, qui sont des approches efficaces pourtraiter les insomnies chroniques. La relaxation, l’hypnose ou la sophrologie,qui visent à apprendre à la personne à se détendre seule, sont autant detechniques potentiellement efficaces.
Leurs effets sont durables, contrairement àceux des médicaments, et elles ont des répercussions positives sur biend’autres aspects de la vie quotidienne.
Autre conseil fréquemment donné : unefois au lit, la peur de ne pas dormir peut parfois prendre toute la place etfaire monter l’anxiété. Il faut donc apprendre à s’allonger« passivement », avec pour seul objectif de se détendre et de resteréveillé, sans s’efforcer à dormir à tout prix. C’est souvent dans cesmoments-là que le sommeil vient de lui-même…
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Re : Sante
Un tiers de la population mondiale est en surpoids ou obèse
http://md1.libe.com/photo/524421-une...8843&width=750
Loin de se cantonner aux pays riches, l’obésité touche de plus en plus les pays en développement.
Longtemps cantonnée aux pays développés, l’épidémie de surpoids et d’obésité touche désormais 2,1 milliards de personnes, soit près de 30% de la population mondiale, dont plus de 62% dans des pays en développement, selon une étude publiée jeudi.«L’obésité est un problème qui touche tout le monde, quel que soit l’âge ou le revenu, et n’importe où», résume le Docteur Christopher Murray, directeur de l’Institut d’évaluation de la santé de l’Université de Washington qui a mené une analyse des données disponibles portant sur 188 pays.
Entre 1980 et 2013, le pourcentage de personnes affichant un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25 - la limite au-delà de laquelle les gens sont considérés en surcharge pondérale - est passé au niveau mondial de 28,8% à 36,9% chez les hommes et de 29,8% à 38% chez les femmes, selon l’étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet. L’IMC est le rapport entre la taille et le poids, un indice supérieur à 30 étant considéré comme un signe d’obésité chez l’adulte. Pour un indice situé entre 25 et 30, on parle de surpoids.
Mais le phénomène est encore loin de toucher tous les pays de la même manière : les États-Unis, le Royaume Uni et l’Australie caracolent en tête des pays développés, avec plus de 60% de personnes de plus de 20 ans obèses ou en surpoids.
70% DES FEMMES CONCERNÉES EN EGYPTE OU EN LIBYE
Pour ce qui est des pays en développement, si l’obésité reste exceptionnelle dans certains pays d’Afrique comme le Burkina Faso ou le Tchad, d’autres au Moyen Orient, en Amérique latine ou en Océanie ont déjà dépassé les pays occidentaux. C’est notamment le cas de l’Égypte, de la Libye, de l’Arabie saoudite, d’Oman, de Bahreïn et du Koweït où le surpoids et l’obésité ont fortement augmenté, atteignant désormais plus de 70% des femmes de plus de 20 ans.
On retrouve cette tendance dans plusieurs pays d’Amérique latine (Mexique, Salvador, Costa Rica, Honduras, Chili, Paraguay) et surtout dans les micro-états du Pacifique (îles Tonga, Kiribati ou Samoa) où le taux dépasse 80% tant chez les hommes que chez les femmes de plus de 20 ans.
Non seulement il y a davantage de personnes en surpoids, mais elles le sont de plus en plus tôt : entre 1980 et 2013, le nombre d’enfants ou d’adolescents obèses ou en surpoids dans le monde a augmenté de 50%. Il atteint désormais 22% des filles et 24% des garçons dans les pays développés et environ 13% des enfants des deux sexes dans les pays en développement, avec une hausse particulièrement notable au Proche-Orient et en Afrique du nord, mais uniquement chez les filles. «Cette hausse est très inquiétante (...) dans la mesure ou l’obésité infantile peut avoir de graves conséquences sur la santé, notamment cardio-vasculaire, sur le diabète et de nombreux cancers», souligne Marie Ng, la chercheuse qui a coordonné l’étude.
LES ETATS-UNIS SUR LA PLUS HAUTE MARCHE DU PODIUM
Selon une étude publiée en 2012 dans The Lancet sur «la charge mondiale de la morbidité» (Global Burden of Disease), le surpoids et l’obésité auraient provoqué 3,4 millions de décès au cours de la seule année 2010.
Avec ses 160 millions de personnes concernées, les États-Unis sont le pays qui compte le plus de personnes obèses ou en surpoids dans le monde, devant la Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil et le Mexique. Le problème aux USA touche un peu plus de 70% des hommes et près de 62% des femmes de plus de 20 ans, ainsi que 30% des enfants et adolescents. Quant aux obèses proprement dits, ils représentent respectivement 32% des hommes adultes et 34% des femmes adultes aux États-Unis, contre 4% des adultes chinois ou indiens.
Et même si l’augmentation de l’obésité a légèrement ralenti depuis 2006 dans les pays développés, après avoir connu un boom dans les années 80 et 90, le constat des chercheurs est sans appel. «Au cours des trois dernières décennies, aucun pays n’a réussi à réduire son taux d’obésité et nous nous attendons à ce qu’il augmente régulièrement dans les pays à faibles et à moyens revenus, sauf si des mesures urgentes sont prises pour enrayer cette crise de santé publique», avertit le Dr Murray.