salam
il faut que tous le peuple algérien soit solidaire avec l’armée ,et contre ses monstres!!!
Rahoum ykhaoufou fina
rien n'est impossible avec ces rapace
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A LA UNE/ACTUALITE/Arabie Saouditele 06.08.15 | 13h41
17 policiers tués et des dizaines de blessés dans un attentat suicide en Arabie Saoudite
17 policiers tués et des dizaines de blessés dans un attentat suicide en Arabie Saoudite.jpg
Dix-sept personnes ont été tuées et plusieurs dizaines d’autres on été blessées dans un attentat à la bombe, ce jeudi, dans une mosquée fréquentée par la police à Abha dans le sud de l’Arabie saoudite.
Les personnes tuées seraient toutes des policiers.
Le bilan n’est pas définitif et aucune organisation n’a pour l’heure revendiqué l’attentat.
Toutefois, la télévision l’a qualifié de “terroriste”. Elle n’a pas donné d’autres détails.
Dernière modification par zadhand ; 06/08/2015 à 16h54. Motif: 17 policiers tués et des dizaines de blessés dans un attentat suicide en A-Saoudite
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A LA UNE/Série d’attentats en Turquie
10.08.2015 à 04h58 • Mis à jour le 10.08.2015 à 14h27
"Le pays est entré dans un cycle de violences"
Depuis qu’Ankara a lancé une offensive contre l’EI et le PKK, la Turquie est entrée dans un processus de violences, selon un spécialiste de l'Anatolie. Lundi, des attentats ont frappé le pays, dont l'un revendiqué par un groupe d'extrême gauche.
Lundi noir en Turquie. Un groupe d'extrême gauche a revendiqué l’attentat perpétré ce 10 août contre le consulat américain à Istanbul, tandis que les séparatistes kurdes étaient pointés du doigt dans deux autres attaques, l’une dans la capitale économique de la Turquie et l’autre dans le sud-est du pays, qui ont fait six morts parmi les forces de sécurité.
Ces violences interviennent alors que la tension monte avec l'intensification de la campagne du gouvernement contre la guérilla du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et le déploiement en Turquie des chasseurs F-16 de l’armée américaine dans le but de combattre le groupe État islamique (EI).
Peu après minuit, un kamikaze présumé a fait exploser une voiture piégée devant un poste de police du quartier de Sultanbeyli, sur la rive asiatique du Bosphore, à Istanbul. Dix personnes ont été blessées dont trois policiers, selon un communiqué du bureau du gouverneur. Une bataille rangée a ensuite opposé les assaillants à la police toute la nuit. Outre le kamikaze, deux militants ont été tués dans ces affrontements, selon le bureau du gouverneur.
VAGUE D’ATTENTATS EN TURQUIE : "LA TRÊVE DE 2013 A TOTALEMENT ÉTÉ ROMPUE"
Dans le même temps, deux femmes ont ouvert le feu tôt lundi matin sur le consulat, très protégé, des États-Unis, situé dans le quartier d'Istinye, sur la rive occidentale du Bosphore. L'une des assaillantes, blessée, a été arrêtée par la police, toujours selon le bureau du gouverneur. Il s'agit de Hatice Asik, une militante du DHKP-C (Front révolutionnaire de libération du peuple), a annoncé l'agence officielle Anatolie.
Un groupe d’extrême gauche classé "terroriste"
Le DHKP-C a confirmé l'identité de la femme sur son site web et promis que "la lutte continuera jusqu'à ce que l'impérialisme et ses collaborateurs quittent notre pays et que chaque pouce de notre territoire soit libéré des bases américaines", a-t-il affirmé. Ce groupe radical classé terroriste par les États-Unis et l'UE avait revendiqué, en 2013, un attentat-suicide contre l'ambassade des États-Unis à Ankara qui avait fait un mort. Il est considéré par le pouvoir turc comme proche du PKK.
"Il s’agit d’un groupe qui fait partie de cette nébuleuse d’extrême gauche en Turquie qui perdure malgré la répression et a commis au cours de ces dernières années plusieurs attentats de ce type en s’attaquant généralement à des intérêts américains, comme les ambassades ou les consulats", affirme à France 24 Jean Marcou, professeur à Science-Po Grenoble, spécialiste de la Turquie. Depuis la politique antiterroriste qui a été engagée en juillet par le gouvernement turc, ses militants ont été poursuivis et certains arrêtés, comme d’ailleurs ceux de l’État islamique et du PKK. Le groupuscule se réveille et refait parler de lui. Mais il n’y a pas de preuves que le DHKP-C ait mené ses actions de façon coordonnée avec le PKK."
>> À voir dans le Débat de France 24 : "La Turquie prise au piège de l'organisation État islamique"
Dans ce contexte extrêmement tendu, quatre policiers ont également été tués, lundi matin, par une bombe dans la province de Sirnak, dans le sud-est de la Turquie. Un attentat attribué par les médias locaux aux rebelles kurdes. En outre, un soldat turc a été tué lorsque des militants kurdes ont attaqué au lance-roquette un hélicoptère militaire qui transportait du personnel dans le secteur de Beytussebap à Sirnak, selon l'agence Dogan.
Des raids concentrés sur la guérilla kurde
"Ces actions entrent dans le processus de violences qui se développent depuis le 20 juillet, jour où 32 militants kurdes qui voulaient contribuer à la reconstruction de la ville de Kobané ont été tués à Suruç dans un attentat attribué à l’EI. Depuis, le PKK, qui considère que le pouvoir est en partie responsable de cette attaque, mène des actions de représailles. Des actions qui ont justifié à leur tour les bombardements entrepris par le gouvernement depuis le 24 juillet. La Turquie est entrée dans un cycle de violences qui a fait a peu près 30 morts depuis juillet", explique Jean Marcou.
Ankara a lancé le 24 juillet une "guerre contre le terrorisme" visant simultanément le PKK et les combattants du groupe EI en Syrie. Mais les dizaines de raids aériens qui ont suivi se sont concentrés sur la guérilla kurde, seuls trois d'entre eux ayant été jusqu'à présent officiellement signalés contre l'EI.
Dimanche, l'agence gouvernementale Anatolie a affirmé qu'environ 390 combattants du PKK ont été tués et 400 autres blessés en deux semaines de raids de l'aviation turque contre des bases rebelles situées dans le nord de l'Irak. Il n'était cependant pas possible de confirmer ces informations.
La guérilla kurde a de son côté rompu un cessez-le-feu unilatéral datant de 2013 et repris ses attaques contre les forces de sécurité turques, qui ont fait depuis 28 morts selon un décompte de l'AFP. Un haut responsable du PKK, Cemil Bayik, a affirmé, lundi, à la BBC, que la Turquie tentait de protéger l'EI en combattant son ennemi juré, le PKK. "Ils le font pour affaiblir la lutte du PKK contre l'EI. La Turquie protège le groupe EI," a-t-il affirmé.
Avec AFP
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Dernière modification par zadhand ; 10/08/2015 à 23h26.
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A LA UNE/Attentats au Nigeria
11 août 2015 à 17h52 — Mis à jour le 11 août 2015 à 19h29
Au moins 47 morts dans un attentat contre un marché dans le Nord-Est
Au moins 47 personnes ont été tuées et une cinquantaine blessées dans une explosion
mardi sur un marché dans le nord-est du Nigeria, fréquemment visé par Boko Haram.
Une explosion mardi sur un marché dans le nord-est du Nigeria.jpg
« Nous avons reçu 47 cadavres et au moins 50 [personnes] avec des blessures transportées
depuis le marché de Sabon Gari où l’explosion a eu lieu cet après-midi à une heure de grande affluence »,
a déclaré une infirmière à l’hôpital général de Biu dans l’État de Borno. D’après une source militaire,
un premier bilan officiel fait état d’au moins 47 morts et 52 blessés.
Dernière modification par zadhand ; 11/08/2015 à 20h02. Motif: Nigeria_47 morts dans un attentat contre un marché dans le Nord-Est
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A LA UNE/APRÈS LES DERNIERS ATTENTATS À KABOUL
12 août 2015
Le Pakistan dans la ligne de mire du Président afghan
Le Président afghan, Ashraf Ghani, a pour la première fois accusé hier le Pakistan voisin d'envoyer un «message belliqueux» à son pays, après une série d'attentats des talibans à Kaboul qui remettent en cause la reprise rapide des pourparlers de paix avec les insurgés.
Lors de son accession à la présidence, en septembre, M. Ghani s'était démarqué de son prédécesseur Hamid Karzaï en opérant un rapprochement avec Islamabad pour tenter de mettre fin à la rébellion talibane qui ensanglante l'Afghanistan depuis 2001. Mais, lors d'une conférence de presse organisée hier quelques heures après un nouvel attentat des talibans à Kaboul qui a fait cinq morts, le chef de l'Etat s'est montré sous son jour le plus critique envers le Pakistan. «Nous espérions la paix, mais c'est un message belliqueux que nous envoie le Pakistan», a-t-il lancé. Selon lui, les attaques de Kaboul prouvent que le Pakistan abrite toujours des «camps d'entraînement de kamikazes et des fabriques de bombes». «Si notre peuple continue à être tué, notre relation avec le Pakistan perdra son sens», a-t-il prévenu dans cette mise en garde directe à son voisin. «Qu'aurait fait le gouvernement pakistanais si le massacre de Shah Shahid (attentat qui a fait 15 morts jeudi soir à Kaboul, ndlr) s'était déroulé à Islamabad et les responsables étaient en Afghanistan ?», s'est-il demandé. Le Pakistan, qui a encouragé les talibans dans les années 1990, est régulièrement accusé de continuer à souffler le chaud et le froid sur l'insurrection, bien qu'il s'en défende et affirme désormais œuvrer à la réconciliation afghane. Pour prouver sa bonne foi, le Pakistan a organisé les premiers pourparlers de paix directs entre les talibans et le gouvernement afghan en juillet, mais un second round prévu à la fin du même mois a été reporté sine die après l'annonce de la mort du mollah Omar, qui a aussitôt été remplacé par le mollah Akhtar Mansour à la tête des insurgés. Selon des observateurs, ce dernier, auquel une partie de la rébellion nie toute légitimité, pourrait vouloir asseoir son autorité par la série d'attentats qui ont ensanglanté Kaboul et ainsi montrer sa détermination à poursuivre le «jihad». Le dernier attentat-suicide revendiqué par les talibans a eu lieu lundi à un barrage filtrant l'accès à l'aéroport de la capitale afghane, à une heure de pointe. L'attaque a tué cinq civils et en a blessé une dizaine d'autres, selon un porte-parole de la police de Kaboul, Ebadullah Karimi. «Elle était destinée à faire de nombreuses victimes parmi les civils», a-t-il ajouté. Selon un responsable de l'aéroport international de Kaboul, qui s'exprimait sous couvert d'anonymat, tous les vols ont été suspendus «pour les prochaines heures». Et l'autorité pakistanaise de l'aviation civile a annoncé que les vols prévus entre Kaboul et le Pakistan voisin étaient suspendus en raison de cette attaque. L'attentat a été revendiqué auprès de l'AFP par Zabihullah Mujahid, le porte-parole habituel des insurgés islamistes, selon lequel «deux véhicules appartenant à des troupes étrangères» étaient visés. Les soldats de l'Otan, mais aussi et surtout la police et l'armée afghanes, sont les cibles de prédilection des talibans depuis la chute de leur régime en 2001, bien que les civils soient les premières victimes de ces violences. D'après la mission de l'ONU dans le pays (Unama), 1 592 civils ont été tués et 3.329 blessés durant les six premiers mois de l'année 2015 dans des violences qui sont en hausse. Les talibans sont à l'origine d'au moins deux autres attaques meurtrières commises à Kaboul dans le cadre de cette première vague d'attentats frappant la capitale afghane depuis l'avènement du mollah Mansour. Vendredi soir, un attentatsuicide contre l'académie de police de Kaboul a tué 27 personnes et l'assaut d'une base des forces spéciales américaines a fait 9 morts, dont 8 Afghans et un soldat étranger.
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Peur sur la France. Selon le quotidien anglais The Telegraph les risques d'une attaque terroriste qui pèsent sur la France seraient en augmentation. Le journal évoque un "11 septembre" possible. Et décrit ces menaces : "des fusils d'assaut de type Kalachnikov –comme ceux utilisés par l'homme dans le train [le Thalys reliant Amsterdam à Paris] et les terroristes islamistes qui ont tué dix-sept personnes à Paris en janvier– et des missiles anti-tanks sont maintenant facilement disponibles en France".
Des informations que les journalistes ont obtenu de sources anonymes, mais qu'ils décrivent comme réelles.
Et de poursuivre sur ces missiles : "Beaucoup d'entre eux ont été introduits en contrebande depuis l'ex-Yougoslavie après les guerres des Balkans dans les années 1990. Plus d'armes sont arrivées de Libye, ont expliqué les sources, ajoutant que le crime organisé et les groupes terroristes travaillaient ensemble pour se les procurer." The Telegraph parle également des risques d'une attaque par missile contre un avion de ligne, et affirme que les services de renseignement auraient même prévenu les compagnies aériennes de tels dangers.
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A LA UNE/ACTUALITE_Cameroun/Attentat de Kerawa
Publié le 04-09-2015 Modifié le 04-09-2015 à 18:42
Le bilan des attentats de Kerawa s'alourdit à 42 morts et une centaine de blessés
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Au moins 42 personnes ont été tuées et une centaine d'autres blessées dans deux explosions dues à des attentats-suicides meurtriers survenus jeudi, jour de marché à Kerawa, localité de la région de l'Extrême-Nord du Cameroun à la frontière avec le Nigeria,
selon un nouveau bilan communiqué par des sources sécuritaires.
Un précédent bilan a fait état de 30 morts. «Le bilan s'est alourdi. On dénombre actuellement au moins 42 morts et une centaine de blessés», a rapporté l'une de ces sources.
Les deux attentats ont été commis par deux femmes kamikazes originaires du Nigeria ayant franchi la frontière camerounaise, a expliqué le colonel Didier Badjeck, chef de la division de la communication au ministère de la Défense à Yaoundé.
«Géographiquement, Kerawa est située au niveau de la frontière.Et c'est aussi le cas du marché de cette localité.Les gens sont arrivés et ont frappé, ça veut dire qu'ils sont en train de fuir le dispositif que nous avons mis place.
Comme ce dispositif sécurisé est bien tissé à l'intérieur du territoire, autour des grandes villes, ils cherchent à nous disperser», a précisé le responsable militaire.
La première des deux kamikazes déclarés s'est justement fait exploser, provoquant une violente explosion, apprend-on, en plein coeur du marché de Kerawa aux environs de 11h30 (10h30 GMT). Les premières faisaient état de 11 morts, essentiellement des civils,
selon le bilan provisoire communiqué par le colonel Badjeck.
Le deuxième attentat a quant à lui causé 4 morts, a-t-il précisé en outre. Cette attaque a eu lieu au moment où des secours spontanés étaient organisés pour transporter les victimes de la première explosion criminelle au centre de santé militaire de Kerawa, ont par ailleurs indiqué des sources indépendantes qui ont font état d'un bilan total d'environ 30 morts pour les deux attaques.
Les deux kamikazes, qui ont également péri dans les explosions, sont soupçonnés d'être des membres de la secte nigériane Boko Haram. Ces attaques portent à sept le nombre d'attentats-suicides enregistrés au Cameroun en l'espace de trois mois.
Les deux premiers avaient eu lieu vers mi-juillet à Fotokol, autre localité camerounaise frontalière du Nigeria, suivis deux semaines plus tard par trois autres à Maroua,
la principale ville de la région de l'Extrême-Nord.
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A LA UNE/L’Armée nationale populaire (ANP)
19 Septembre 2015|16h39
Les soldats de l'ANP ont éliminé huit "dangereux" terroristes
Les unités poursuivent leur traque des terroristes islamistes.jpg
Huit "dangereux" terroristes ont été neutralisés et deux autres ont été arrêtés durant le mois d'août
par les forces de l'Armée nationale populaire (ANP) qui ont récupéré également
une grande quantité d'armes et de munitions, indique un bilan de la revue El-Djeich
dans son numéro du mois de septembre.
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A LA UNE/Egypte_Attentat-Suicide
21 Septembre 2015
Un policier et un civil blessés dans l'explosion d'une bombe au Caire
Un policier et un civil ont été blessés hier dans l'explosion
d'une petite bombe sur une artère animée du Caire,
près de locaux administratifs du ministère des Affaires étrangères,
a indiqué un responsable de la police.
Depuis que l'armée a destitué le Président islamiste Mohamed Morsien juillet 2013,
des groupes djihadistes ont multiplié les attentats visant les forces de l'ordre.
Hier, dans un quartier animé de l'ouest du Caire, une petite bombe a explosé près
du Bureau des homologations dépendant du ministère des Affaires étrangères,
blessant légèrement un policier et un civil, a indiqué un responsable
de la police sous couvert de l'anonymat.
Les attaques les plus meurtrières ont été perpétrées dans le nord de la péninsule
du Sinaï bastion de la branche égyptienne du groupe djihadiste Etat islamique (EI).
Mais la capitale n'a pas été épargnée. Le 20 août, 29 personnes, dont six policiers,
avaient ainsi été légèrement blessées par un attentat à la voiture piégée perpétré
par l'EI contre un bâtiment de la police dans un quartier populaire du nord du Caire.
Les djihadistes avaient lancé leur campagne d'attentats
à l'été 2013 aprèsla sanglante répression des pro-Morsi.
Plus de 1 400 personnes ont été tuées et des dizaines de milliers emprisonnées
dans le cadre de la répression. Des centaines, dont M. Morsi lui-même,
ont par ailleurs été condamnées à mort dans des procès de masse expéditifs.
Dernière modification par zadhand ; 21/09/2015 à 21h43. Motif: Un policier et un civil blessés dans l'explosion d'une bombe au Caire
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