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Discussion: Algèrie-France

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    Post Manuel Valls attendu à Alger les 8 et 9 avril

    A la une/ Algérie-France
    publié le 15.03.16 | 10h00
    Manuel Valls attendu à Alger les 8 et 9 avril

    Manuel Valls
    Premier ministre français

    Manuel Valls premier ministre français.jpg

    Manuel Valls, né le 13 août 1962 à Barcelone en Espagne,
    est un homme politique français. Il est Premier ministre
    depuis le 31 mars 2014.
    Naissance : 13 août 1962 (53 ans), Barcelone, Espagne
    Épouse : Anne Gravoin (m. 2010)
    Parti : Parti socialiste
    Parents : Luisangela Galfetti, Xavier Valls
    Enfants : Benjamin Valls, Joachim Valls, Ugo Valls, Alice Valls
    Livres : La laïcité en face: entretiens avec Virginie Malabard, plus…


    Manuel Valls, accompagné d’une forte délégation
    de chefs d’entreprise franco-algériens, viendra à Alger,
    les 8 et 9 avril prochain, pour parapher avec Abdelmalek Sellal
    cinq projets d’envergure.


    Le Premier ministre français, Manuel Valls.jpg

    C’est le «scoop» de ce forum ayant regroupé 300 chefs d’entreprise,
    annoncé avant-hier à l’hôtel Renaissance de Tlemcen, lors du forum
    économique Algérie-France, par Kaci Aït Yala, président de
    la Chambre algérienne de commerce et d’industrie France (CACI).
    Une diaspora qui regroupe près de 50 000 chefs d’entreprise
    d’origine algérienne à travers l’Hexagone. «La baisse du prix du
    baril de pétrole est une aubaine pour nous. Une crise qui nous incite
    à venir au pays pour ramener… de l’espoir», a souligné presque
    avec emphase M. Aït Yala, avant de préciser : «Les poches sont pleines
    de projets qu’on va présenter pendant la rencontre entre Sellal et Valls !»
    Cinq projets d’envergure parmi les 32 identifiés seront signés en avril
    prochain pendant le sommet Sellal-Valls, dans le cadre de ce partenariat
    avec le FCE algérien, représenté à Tlemcen par Hocine Metidji en l’absence
    de Ali Haddad. Il s’agit de la numérisation des hôpitaux et de la gestion
    des banques, du recyclage des déchets à Oued Tlélat, dans la wilaya d’Oran,
    de la fabrication des matériaux agricoles dont le site n’a pas été annoncé,
    un software pour la gestion des malades au niveau des institutions hospitalières
    et de leurs domiciles et enfin d’un autre ayant trait au gaspillage du pain.
    Dans cette euphorie qui caractérise généralement ce genre de rencontres,
    il subsiste cependant du scepticisme et un climat de méfiance chez les opérateurs
    économiques. Un sentiment que M. Metidji a tenu à balayer dans son allocution
    «L’Algérie vient d’adopter une nouvelle Constitution qui consolide la liberté
    d’entreprendre et d’investir. Cette Loi fondamentale scelle en outre l’engagement
    de l’Etat à œuvrer à l’amélioration du climat des affaires et à l’épanouissement
    de toutes les entreprises, qu’elles soient publiques ou privées (…).
    En outre, l’Algérie a entrepris depuis des mois la reconfiguration du cadre juridique
    régissant l’investissement pour baliser la pression fiscale, améliorer l’accès
    au financement et au foncier, moderniser l’administration et assouplir toutes
    les procédures, favoriser la compétitivité des entreprises algériennes
    et étrangères implantées en Algérie…»
    Kaci Aït Yahia a indiqué qu’«en France, il y a un climat d’investissement de
    450 milliards de dollars. Une opportunité pour nous d’en faire profiter notre pays…»
    Les 800 entreprises activant sous l’égide du FCE, présidé par Ali Haddad,
    cumulent un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars
    et emploient plus de 250 000 salariés.Approché, le consul général de France
    à Oran a rappelé le réchauffement des relations entre les deux pays
    «C’est la symbiose des deux chefs d’Etat pour contribuer puissamment à
    ce réchauffement et c’est ce qui a permis au président Bouteflika de dire
    au président Hollande que jamais les relations n’ont été aussi bonnes.
    C’est une volonté de deux chefs d’Etat qui s’appuie sur une amitié profonde
    entre les peuples… Et puis, il y a une diaspora algérienne très importante
    en France…» Cette diaspora contribuera-t-elle à sauver l’économie nationale
    en cette période de vaches maigres ?

    Chahredine Berriah


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    Post Jean-Marc Ayrault attendu à Alger mardi prochain

    A la une/Actualité_Algérie-France
    le 25.03.16 | 16h24

    Jean-Marc Ayrault attendu à Alger mardi prochain


    Le ministre français des Affaires étrangères et du développement international,
    Jean-Marc Ayrault, se rendra à Alger le 29 mars prochain,
    a annoncé le Quai d’Orsay, aujourd’hui vendredi.

    Jean-Marc Ayrault à Alger en décembre 2013..jpg

    Ayrault, qui sera reçu par son homologue Ramtane Lamamra, « s’entretiendra avec
    les plus hautes autorités algériennes ».Cette visite intervient pour « préparer le comité
    intergouvernemental de haut niveau qui se tiendra en avril prochain à Alger sous
    la présidence des deux Premier ministres ».
    Ce comité intergouvernemental permettra de renforcer la coopération bilatérale dans
    plusieurs domaines dont « la sécurité et lutte contre le terrorisme et le développement
    industriel à travers des projets concernant les transports, la santé ou l’énergie », précise le Quai d'Orsay.
    Farouk Djouadi


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    Post Alger-Paris_ La tension

    A la une/Actualité_Alger-Paris
    le 07.04.16 | 10h00
    La tension

    Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a convoqué hier l’ambassadeur
    de France à Alger pour lui signifier le mécontentement des autorités algériennes provoqué par
    la «campagne hostile» menée par les médias français.



    La publication de la photo du président Bouteflika en une du journal Le Monde, illustrant un article où
    il est question de Abdessalem Bouchouareb, ministre de l’Industrie, éclaboussé par le scandale planétaire
    Panama Papers, semble la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.Une première mise au point a été adressée
    au quotidien, qui l’a publiée en précisant qu’effectivement, il «ne visait pas Bouteflika, mais plutôt
    son entourage», suivie d’une série d’articles dans la presse française critiquant la visite du Premier ministre
    français Manuel Valls à Alger, les 9 et 10 avril, allant jusqu’à suggérer son annulation pour éviter de serrer
    la main à Bouchouareb.Hier, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a convoqué à son département
    l’ambassadeur de France à Alger, Bernard Emié, pour lui exprimer sa «protestation énergique» contre «la campagne
    de presse hostile à l’Algérie et à ses institutions, menée en France dans différents médias et à travers
    d’autres activités publiques».Dans le communiqué diffusé par l’APS, le ministre «a fait valoir le fait que ladite campagne
    malveillante et fallacieuse — que l’invocation de la liberté de la presse ne saurait aucunement justifier — a atteint son
    paroxysme avec des manipulations diffamatoires délibérément dirigées contre l’institution présidentielle». Mieux,
    à travers cette «protestation», M. Lamamra souligne «la nécessité morale et politique que des autorités françaises qualifiées
    marquent clairement leur réprobation de cette campagne qui est incompatible avec la qualité et le niveau
    des relations algéro-françaises».Visiblement, le chef de la diplomatie algérienne est en colère. Comme il l’a été il y a
    quelques jours seulement, lors de la visite de Jean-Marc Ayrault, en déclarant : «Entre amis, on se dit les choses franchement»,
    avant de lancer au visage de son hôte ses quatre vérités, sortant de fait du protocole diplomatique qui lui est connu.
    Crispation au sujet du Sahara Occidental
    M. Lamamra avait surpris le parterre de journalistes en déclarant : «Monsieur Jean-Marc Ayrault est ministre depuis quelques
    semaines» alors que la crise du Sahara occidental «dure depuis près de 40 ans». Il a beaucoup parlé de «responsabilité»
    et de «devoir devant l’histoire», déclarant «espérer que l’administration Hollande contribuera à aider la région» et permettra
    «une sortie de crise». «Il faut prendre les décisions qui s’imposent pour arriver à l’autodétermination du peuple sahraoui.
    La question du Sahara occidental relève d’un processus de décolonisation.» C’est la première fois qu’un ministre algérien
    des Affaires étrangères use de ce langage à l’égard d’un représentant d’un pays comme la France, un client aussi prioritaire
    que privilégié mais qui reste non reconnaissant.L’affaire Bouchouareb, qui est en soi très grave, ne peut cependant à elle seule
    justifier, pour les autorités, la campagne menée par une grande partie de la presse française contre la visite de Manuel Valls
    à Alger. En effet, plusieurs journaux et chaînes de télévision veulent mettre dans l’embarras le chef de l’Exécutif français,
    allant jusqu’à lui reprocher «de serrer la main» à Bouchouareb, éclaboussé par les Panama Papers.
    Dans sa version en ligne, L’Observateur, sous le titre «De la friture sur la ligne Alger-Paris», écrit que «ce sommet n’avait pas besoin
    de sujets supplémentaires de crispation à quelques jours de sa tenue. C’est pourtant ce qui vient de se produire avec le scandale
    Panama Papers». Selon L’Observateur, la première raison est liée à la précision adressée par les autorités au journal Le Monde,
    qui avait publié la photo du président Bouteflika à la une, pour évoquer ses proches cités dans les Panama Papers.
    «La seconde raison, souligne le journal en ligne, est à chercher du côté français où les rencontres au sommet prévues à Alger risquent
    de ne pas coller à l’image que le gouvernement souhaite véhiculer : au centre du volet économique de ce sommet de deux jours doit
    en effet avoir lieu une entrevue entre le ministre français de l’Economie, Emmanuel Macron, et son homologue de l’Industrie,
    Abdessalem Bouchouareb. Or, ce dernier est en première ligne des Panama Papers algériens».
    La presse française met la pression sur valls
    Pour l’hebdomadaire Le Point, «il est à se demander si l’idée de voir le Premier ministre français Manuel Valls et dix membres de son gouvernement rencontrer Bouchouareb dérangerait-elle en raison de l’évocation de ce dernier dans le volet algérien des Panama Papers».
    Le Figaro trouve, pour sa part, que la visite du Premier ministre français à Alger «pourrait être écornée car une rencontre qui était
    prévue (jusqu’à lundi) entre Emmanuel Macron et Abdessalem Bouchouareb, avec de possibles signatures de contrat à la clé».
    Le Figaro revient sur le ministre de l’Industrie et le présente ainsi : «Très en vue auprès du pouvoir d’Alger, le sulfureux ministre
    a notamment déjà été cité dans le scandale financier Khalifa.Ami d’enfance du président Bouteflika, dont il a dirigé la communication,
    son nom est régulièrement cité dans la presse pour un poste de Premier ministre. Il reste le pivot incontournable de l’implantation
    des milieux d’affaires français en Algérie, une problématique déterminante alors que la Chine a ravi à la France la place de
    premier partenaire commercial.» Mais, conclut Le Figaro, «affichant une détermination face à la fraude fiscale à Paris,
    Manuel Valls et Emmanuel Macron pourraient donc avoir à serrer la main, à Alger, d’un client présumé des
    sociétés-écrans panaméennes».La chaîne de télévision RTL, sur sa version en ligne, a titré : «Comment le scandale Panama Papers
    s’invite dans le voyage de Manuel Valls à Alger», et commence en lançant : «Le week-end prochain, le Premier ministre français
    sera à Alger. Il rencontrera le président Bouteflika et, probablement, devra serrer la main d’un homme impliqué dans
    le scandale Panama Papers. Il s’agit de Abdessalem Bouchouareb. Ce proche du président Bouteflika a fait fortune dans
    les pommes de terre (dans la purée et les chips, pour être précis) (...).C’est un partenaire incontournable pour la France, qui cherche
    à reconquérir sa place de premier fournisseur du pays. C’est avec lui que les entreprises françaises, comme Renault et Peugeot,
    discutent pour signer des contrats.» Des analyses critiques et acerbes, sur un fond de tension qui ne dit pas son nom.
    Salima Tlemçani
    Dernière modification par zadhand ; 07/04/2016 à 17h09.
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    Post Comité Intergouvernemental de Haut Niveau (CIHN)

    A LA UNE/ACTUALITÉ_Comité Intergouvernemental de Haut Niveau (CIHN)
    le 08.04.16 | 14h00


    Algérie-France
    Plusieurs accords seront signés entre les deux pays dimanche à Alger


    Plusieurs accords vont être signés par l'Algérie et la France dans le cadre de la tenue dimanche
    à Alger de la 3e session du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN), qui sera co-présidé
    par les Premiers ministres des deux pays, Abdelmalek Sellal et Manuel Valls, a appris l'APS de
    source diplomatique à Paris. Cette session, qui réunira des membres des deux gouvernements, "permettra
    de dresser un bilan des progrès effectués dans la feuille de route bilatérale retenue aussi bien dans lors
    des deux précédentes sessions du CIHN que dans le cadre du COMEFA (Comité mixte économique
    franco-algérien) et de fixer de nouveaux objectifs ambitieux dans l'ensemble des volets de la relation bilatérale",
    a indiqué la même source.Elle "devrait être sanctionnée par la signature de plusieurs accords touchant des
    domaines aussi divers que l'éducation, l'emploi, la jeunesse et sport, ainsi que d'autres accords de partenariat
    économiques", précise-t-on. Les projets "prêts à la signature" concernent la production d'isolateurs électriques
    de haute tension et celle des vannes hydrocarbures.Il est prévu également la création d'une joint-venture dans
    le domaine de l'engineering industriel et systèmes de gestion et d'une autre dans le domaine du consulting et
    des services du numérique.D'autres projets "potentiels" peuvent faire l'objet, sous réserve, d'une signature
    en marge du CIHN, indique-t-on, parmi lesquels figurent le projet phare de l'implantation en Algérie de l'usine
    Peugeot-Citroën PSA, ceux ayant trait à la valorisation du phosphate et à la production de gaz industriel,
    ainsi qu'au transport ferroviaire.Trois accords de partenariat seront probablement signés au titre de
    la convention-cadre du 26 octobre dernier à Paris, lors des travaux de la COMEFA, entre le groupe algérien
    GICA et le groupe français Lafarge.Ils concernent la remise à niveau de la cimenterie de Raïs Hamidou (Alger),
    la réalisation d'un pôle technologique et la réalisation d'une plateforme d'exportation de ciment.
    En marge de ce rendez-vous important, un forum d'affaires algéro-français, le troisième, sera organisé,
    dimanche et lundi, auquel sont conviés près de 300 acteurs économiques des deux côtés de la Méditerrannée.
    L'objectif de cet évènement, précise la même source, "est d'identifier, d'encourager et de multiplier
    les partenariats productifs et d'accompagner ces entreprises et opérateurs économiques jusqu'à la signature
    d'un premier accord". Les domaines ciblés par ce forum touchent aux secteurs du BTP, de la sous-traitance mécanique,
    de l'agroalimentaire, du numérique, de la santé, de la co-localisation, de la formation professionnelle et de la de la finance.
    Le Comité intergouvernemental de haut niveau, rappelle-t-on, est un cadre mis en place à la faveur de la Déclaration
    d'Alger sur l'amitié et la coopération entre l'Algérie et la France, signée en décembre 2012, par le président de l
    a République, Abdelaziz Bouteflika, et son homologue français, François Hollande, à l'issue de la visite d'Etat
    en Algérie de ce dernier. La session du CIHN est précédée par les travaux du COMEFA.
    APS
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    Post Une visite sur fond de malaise

    A LA UNE ACTUALITÉ_Le premier ministre français à Alger
    le 09.04.16 | 10h00
    Une visite sur fond de malaise

    Le Premier ministre français arrivera aujourd’hui à Alger à la tête d’une délégation forte
    de dix ministres pour discuter coopération avec les autorités algériennes, alors que les relations
    entre les deux pays connaissentun nouvel épisode de crispation.


    Tension ou couac de circonstance dans les relations entre Alger et Paris ?
    Le Premier ministre français, Manuel Valls, entamera dans la soirée une visite en Algérie, deux jours après
    la convocation de l’ambassadeur de France par le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
    La publication par le journal Le Monde de la photo du président Bouteflika pour illustrer le dossier sur les révélations
    des Panama Papers a fait réagir d’abord la Présidence par l’envoi d’une mise au point au journal, puis
    la diplomatie algérienne pour montrer «l’inconfort» de la situation dans laquelle a été mis Abdelaziz Bouteflika
    par une campagne médiatique jugée «hostile à l’Algérie».Hier encore, le refus d’octroi de visas à des journalistes devant
    accompagner Manuel Valls, malgré l’intervention de ce dernier auprès de Sellal, a fait monter d’un cran les signes d’un réel malaise.
    Les épisodes de «je t’aime, moi non plus» entre les deux pays ont souvent émaillé les visites d’officiels français. Le ton monte
    et descend au gré des conjonctures, suivant les baromètres de popularité ou d’impopularité des dirigeants des deux pays auprès
    de leurs populations respectives.Mais les brouilles entre les deux Etats ont toujours trouvé matière à compromis dans les affaires.
    Cette nouvelle brouille finira-t-elle noyée dans la signature d’alléchantes transactions ? Le «pragmatisme» des intérêts économiques
    l’emportera-t-il encore une fois sur la gêne des autorités algériennes ?
    Un agenda centré sur la coopération économique
    A voir l’agenda de cette visite, orientée principalement sur la coopération économique, il y a peu de place pour le doute,
    même si la gêne sera décelable chez les officiels des deux pays.De nombreux accords sectoriels seront signés, annoncent déjà
    les deux parties, à la faveur de cette troisième rencontre entre les deux gouvernements.
    Il sera aussi question de la tenue d’un Forum sur le
    partenariat économique.
    Accompagné d’une dizaine de ministres, Manuel Valls prendra part demain à ce Forum auquel participeront une centaine de chefs
    d’entreprises français, ainsi qu’aux Assises de la formation professionnelle, avant de présider avec son homologue,
    Abdelmalek Sellal, la réunion du Comité intergouvernemental de haut niveau.
    «La France a confiance en l’avenir de l’Algérie»
    La rencontre du Comité intergouvernemental sera consacrée à l’examen de la coopération bilatérale dans les secteurs de l’industrie,
    de l’agriculture, de l’hydraulique et de l’environnement, de l’éducation, des transports, de l’intérieur et de la justice,
    de l’enseignement supérieur, de la culture et des affaires religieuses.
    «Ce Comité sera l’occasion de conclure de nouveaux partenariats économiques, des pactes d’actionnaires, des accords sur des projets
    de long terme, créateurs d’activités et d’emplois. La France dit ainsi sa confiance en l’avenir de l’Algérie», a indiqué Manuel Valls
    dans un entretien accordé à El Watan.Défendant le bilan des investissements français en Algérie, M. Valls dit souhaiter que
    «les entreprises françaises puissent avoir de la visibilité, évoluer dans un environnement clair, sécurisé, en particulier sur le plan juridique».
    Plus qu’un souhait, cette phrase prend le ton d’une critique directe du climat des affaires en Algérie, jugé «inadapté».
    La signature d’accords, il en sera toutefois question.Outre ceux dans les domaines de l’éducation, de l’emploi et de la santé,
    il sera question du projet de production d’isolateurs électriques et de vannes hydrocarbures, en sus de la création d’une joint-venture
    dans le secteur de l’engineering industriel.Le projet d’implantation de l’usine Peugeot-Citroën figure au menu des discussions,
    ainsi que celui relatif à la valorisation du phosphate et à la production de gaz industriels.
    Le groupe Lafarge discute aussi la réhabilitation de la cimenterie de Raïs Hamidou, à Alger,
    ainsi que la réalisation d’une plateforme d’exportation de ciment.
    Nadjia Bouaricha
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    Post Accords de partenariat Algéro-Français signés à Alger

    A la une/Algérie-France_Accords de partenariat Algéro-Français signés à Alger
    10/04/2016 - 11:29


    signature de 9 accords de coopération institutionnelle
    et 15 protocoles d’accord entre entreprises


    L'Algérie et la France ont signé, ce dimanche à Alger, neuf (9) accords de coopération dans les domaines
    de la Justice, l'Education, l'Enseignement supérieur et les Assurances sociales, à l'issue de la 3ème session
    du Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN).
    Il s'agit d'un accord additionnel au protocole judiciaire algéro-français signé à paris le 28 aout 1962.
    Cet accord a été paraphé par le ministre de la Justice, Garde des sceaux Tayeb Louh
    et son homologue français Jean jaques Urvoas.
    Dans le domaine de l'Education, trois documents de coopératon bilatérale ont été également signés.
    Il s'agit de trois avenants : un lié à l'accord entre les deux pays relatif au lycée international Alexandre Dumas
    d'Alger, signés à Alger le 21 octobre 2001, alors que le second avenant est lié à l'accord entre l'Algérie
    et la France relatif à l'ouverture, à Alger, d'une Ecole primaire destinée à la scolarisation d'enfants
    de cadres d'expatriés d'entreprises signé en juillet 2006.
    Le troisième avenant signé par la ministre de l'Education national, Mme Nouria Benghebrit,
    et la ministre française de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche,
    Mme Najat Valaud-Belkacem, est relatif au programme d'actions du 19 juin 2013 entre les ministères
    de l'Education des deux pays.Par ailleurs, une convention cadre de partenariat pour la formation doctorale
    d'exellence en mathématiques entre le ministère algérien de l'Enseignement supérieur et de
    la Recherche scientifique, et le ministère français de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur
    et de la Recherche a été signée.Ce document a été paraphé par M.Tahar Hadjar, ministre de l'Enseignement
    supérieur et de la Recherche scientifique, et la ministre française de l'Education nationale,
    de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. M. Hadjar et Mme Valaud-Belkacem ont également paraphé
    un avenant à l'accord entre les gouvernements des deux pays relatif à la création de l'Ecole supérieure des affaires,
    signé à Alger le 13 juillet 2004.Dans le domaine de la Santé, les deux parties ont signé un arangement administratif
    entre le ministère algérien de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et le ministère français
    des Affaires sociales et de la Santé. Ce document a été paraphé par le ministre de la Santé M. Abdelmalek Boudiaf
    et son homlogue française, Mme Marisol Touraine.D'autre part, un protocole de soins annexe à la convention générale
    entre les gouvernements algérien et français sur la sécurité sociale du 1er octobre 1980 a été signé ainsi
    qu'un arrangement administratif relatif aux modalités d'application du protocole de soins annexe à la convention
    générale entre les deux gouvernements sur la sécurité sociale du 1er octobre 1980.
    Ces deux documents ont été paraphés par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale,
    Mohamed El Ghazi, et la ministre française des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine.
    Signature de 15 protocoles d’accords entre des entreprises algériennes et françaises
    Au total quinze protocoles d’accord de partenariat ont été signés dimanche à Alger entre des entreprises
    algériennes et françaises publiques et privées dans différents domaines de coopération.
    Douze accords de coopération portant notamment sur la mécanique, le numérique, la formation et
    la logistique ont été signés dans l’après-midi, en marge des travaux du forum d’affaires algéro-français
    ouvert mardi par le Premier ministre Abdelmalek Sellal et son homologue français Manuel Valls.
    Parmi ces accords, un accord a été signé entre le Forum des chefs d’entreprise (FCE) et le groupe français
    d’ingénierie, de montage de projets et d’exploitation (EGIS) pour « la réalisation sur le long de l’autoroute
    Est-Ouest d’un parc industriel de 3.000 hectares au minimum », a déclaré à l’APS M. Mehdi Bendimerad,
    vice-président du forum.« Ce sera un parc industriel moderne à l’instar des parcs qui existent dans les autres
    pays développés. Il comprendra une zone industrielle avec tous les aménagements autour pour permettre
    un cadre adéquat aux entreprises et à l’investissement en Algérie », a-t-il ajouté. Plus tôt, dans la matinée
    trois protocoles d’accords ont été signés.Ces accords portent sur la création d'une joint-venture pour
    la production d'engrais phosphatés et l'aliment de bétail, l'extension de l'activité de l'usine de l'assemblage
    et la maintenance de tramways (Cital) et la création dune usine pour la production industrielle,
    le conditionnement et la commercialisation en Algérie et à l'international des produits de la marque
    Lesieur (groupe Avril) (agroalimentaire).
    APS

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    Post Patrick Mennucci, Président du groupe parlementaire d’amitié France-Algérie

    Patrick Mennucci, Président du groupe parlementaire d’amitié France-Algérie
    le 02.06.16|11h54

    «Nos relations bilatérales sont trop profondes, trop fondamentales,
    pour être tributaire des remous de l’actualité au quotidien»


    Patrick Mennucci, député des Bouches-du- Rhône et président du groupe
    parlementaire d’amitié France-Algérie a défendu en mars dernier la volonté
    du président français François Hollande de commémorer le cessez-le- feu
    de la guerre d’Algérie. Se disant très attaché à l’Algérie où il compte de nombreux
    amis, il fait partie de la délégation parlementaire conduite par le président de
    l’Assemblée française, Claude Bartolone, qui est attendue aujourd’hui à Alger.
    A cette occasion, Patrick Mennucci, a bien voulu nous faire le point sur l’état
    des relations parlementaires entre l’Algérie et la France.


    Propos recueillis
    Par Zine Cherfaoui

    Peut-on connaitre, monsieur Mennucci, l’objet de votre visite en Algérie ?
    Tout d’abord, c’est toujours un honneur et un plaisir pour moi de me rendre
    dans votre pays auquel je suis très attaché par des liens aussi bien politiques
    que personnels et affectifs. Ensuite, en tant que président du groupe
    parlementaire d’amitié France-Algérie, il est normal que j’accompagne.
    Le Président Bartolone, qui présidera avec son homologue M. Ould Khalifa
    les travaux de la grande commission parlementaire algéro-française.

    Quel est l’état de la coopération parlementaire entre l’Algérie
    et la France ? Quels sont les principaux dossiers que vous aborderez
    avec vos homologues algériens ?

    La coopération parlementaire est un élément essentiel des relations bilatérales
    entre nos deux pays car elle est moins sujette aux fluctuations liées à l’actualité
    immédiate. Par ailleurs, depuis 4 ans, j’ai noué des relations de confiance et
    d’amitié avec mes homologues algériens, en particulier le Président du groupe
    parlementaire algérien M. Belkacem Bellabes. Ce climat de confiance et de respect
    mutuel a donné des résultats appréciables, par exemple le fait d’être arrivés,
    à notre initiative, à une reconnaissance commune des massacres du 8 mai 1945
    à Setif, Guelma et kherrata. Enfin, nous avons pesé en coulisses pour faire
    avancer de nombreux dossiers, en matière sécuritaire et économique notamment.

    Justement, vous nous avez récemment indiqué qu’il sera aussi question
    lors de vos échanges avec vos collègues députés algériens de la sécurité
    en Afrique. Au niveau parlementaire, cela est assez inédit.
    De quoi parlerez-vous exactement ?

    Comme vous le savez, la France est engagée sur plusieurs théâtres d’opération
    en Afrique afin de lutter contre notre ennemi commun, je veux bien sûr parler du
    terrorisme. Il est clair que l’Algérie est la clef de voûte de la sécurité pour une
    grande partie du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Par ailleurs, vous savez
    que notre constitution prévoit que le parlement doit être consulté en matière
    d’opérations militaires extérieures, notamment si celles-ci doivent se prolonger.
    Notre intervention dans ce domaine est donc parfaitement légitime dans le respect
    des prérogatives du Président, du gouvernement et des forces armées.

    Évoquerez-vous plus généralement la question de la coopération sécuritaire
    entre l’Algérie et la France ? De votre point de vue, elle en est où actuellement ?

    Bien sur, et cela constitue même le thème central de ma communication devant la grande commission. Actuellement, la coopération sécuritaire entre nos 2 pays est excellente
    pour la bonne et simple raison que nous faisons face ensemble à la barbarie terroriste.
    La France a connu les attentats barbares que vous savez, quand au peuple algérien,
    il a expérimenté dans sa chair cette horreur durant la décennie noire.
    Les perspectives de coopération resteront, je le crois, excellente, jusqu’à ce que
    l’hydre terroriste soit définitivement mise hors d’état de nuire.

    Des observateurs pensent que le conflit du Sahara occidental, dans le cas
    où il venait à perdurer, pourrait déteindre sur les relations algéro-françaises
    qui n’ont probablement jamais été aussi bonnes (Du moins, cela jusqu’au
    tweet du Premier ministre français, Manuel Valls). Cela, disent-ils, en raison
    du soutien franc accordé par la France au Maroc. Qu’en pensez-vous ?

    Tout d’abord, permettez-moi d’adresser par votre intermédiaire mes plus sincères
    condoléances au peuple sahraoui suite à la disparition de leur leader
    M. Mohamed Abdelaziz. J’ai eu l’occasion de le rencontrer lorsque je me suis rendu
    au camp de réfugiés en septembre 2014. Je garde le souvenir d’un homme
    entièrement habité par la cause qu’il défendait et représentait. Ensuite, sur votre
    question je vous répondrai que je ne suis pas un observateur, mais un acteur politique,
    et à la place qui est la mienne, je n’ai pas à commenter des commentaires.
    Ceci dit, la position française est connue, basée sur le respect du droit international,
    et non pas dictée par des considérations conjoncturelles. J’ai, d’ailleurs, moi même
    récemment prononcé le discours d’ouverture d’un colloque de soutien au
    peuple sahraoui qui s’est tenu le 19 Avril 2016 à l’Assemblée Nationale. Enfin, comme
    je l’ai indiqué au début de notre entretien, la relation bilatérale est trop profonde,
    trop fondamentale, pour être tributaire des remous de l’actualité au quotidien.

    Z.C

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    Post Franco Algériens soutiennent l’Algérie

    La France accepterait-elle que des franco-algériens soutiennent
    l’Algérie lors d’un match entre les deux pays ?

    lundi 11 juillet 2016 21:54

    La France accepterait-elle que des franco-algériens d’origine algérienne supportent
    l’Algérie en cas de finale de coupe du Monde entre la France et l’Algérie ?
    La question a été posée à Rama Yade, l’ex-secrétaire d’État chargée des Sports par
    le journaliste Claude Askolovitch.Rama Yade a répondu « Non, je ne pense pas »,
    avant de préciser que « certains pyromanes qui aiment souffler sur les braises des
    divisions, aiment créer de l’identité là où il n’y en a pas » et de conclure que
    « le passé par rapport à l’Algérie n’est pas encore passé ».Lors de la finale de l’Euro
    2016 entre le Portugal et la France, des franco-portugais d’origine portugaise ont
    supporté les camardes de Christiano Ronaldo.
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    Post Conseil de la Nation et le Sénat Français

    Algérie-France-parlement
    Bensalah en visite officielle lundi en France

    Forum de Coopération Parlementaire entre
    le Conseil de la Nation et le Sénat Français

    le 18.09.16 | 16h38

    Le président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah effectuera
    les 19 et 20 septembre (lundi et mardi) une visite officielle en France à
    l'invitation de son homologue français Gérard Larcher et ce à l'occasion de
    la tenue du 1er forum de coopération parlementaire entre
    le Conseil de la nation et le Sénat français.


    Cette visite intervient après celle effectuée par le président
    du Sénat français en Algérie du 8 au 11 septembre 2015
    et suite aux rencontres parlementaires et ministérielles
    entre les représentants des deux pays que ce soit en
    Algérie ou en France. Elle s'inscrit également dans le cadre
    de l'échange de délégations et de visites, devenu une tradition
    entre les deux pays qui sont liés par des " relations fortes
    et diversifiées".
    Ce forum parlementaire prévu demain lundi
    s'inscrit dans le cadre de "la mise en £uvre du protocole
    de coopération parlementaire" signé entre les deux institutions
    à Alger en septembre 2015. Outre l'évaluation de la coopération
    entre les deux institutions parlementaires et l'examen des
    moyens de "la consolider", le forum sera l'occasion de passer
    en revue les relations bilatérales et d'échanger les vues sur
    les questions régionales et internationales d'intérêt commun,
    conclut la même source.

    APS
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