bonjour..
pauvre Algerie,wallah j'ai honte poor vous et tout ce que vous représenter….tebahdila
et nous voila pour cinq années sous le règne d'un véritable zombie…..
Pièce jointe 7760
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bonjour..
pauvre Algerie,wallah j'ai honte poor vous et tout ce que vous représenter….tebahdila
et nous voila pour cinq années sous le règne d'un véritable zombie…..
Pièce jointe 7760
http://oumma.com/sites/default/files...outef-clip.jpg
Rien de tel qu’un petit clip promotionnel ou plutôt de propagande pour se refaire la cerise, faire avaler de grosses couleuvres au bon peuple et tenter de faire taire la clameur de contestation citoyenne qui monte dans la rue et les réseaux sociaux, le revenant Abdelaziz Bouteflika, soutenu à bout de bras par ceux qui ont intérêt à ce que sa longévité présidentielle soit éternelle, a donné le coup d’envoi de sa campagne dans un film à sa gloire de 55 secondes, véritable carte postale de l’Algérie qui affiche, elle, une santé éclatante…
Appelés à glisser le bon bulletin dans les urnes en reconduisant sur son trône, pour son quatrième mandat consécutif, un président de 77 ans qui n’est plus que l’ombre de lui-même, les électeurs algériens sont exhortés à « rester soudés et à faire le bon choix » dans ce tour d’horizon panoramique alternant des vues d’Alger, de monuments, avec l’image d’une petit fille algérienne, des Fennec en liesse après avoir obtenu leur visa pour la Coupe du Monde au Brésil, et de Bouteflika lui-même qui n’y apparaît pas qu’en subliminal.Diffusé sur Facebook, le clip intitulé « Construire aujourd’hui l’Algérie de demain » a produit son petit effet, générant pas moins de 2 000 commentaires, et parmi eux, le quotidien El Watan, qui a reconnu la musique du film « Intouchables », a osé faire un parallèle très politiquement incorrect entre le handicap du premier rôle interprété par François Cluzet et l’état de santé du fantôme d’Alger.
Clip contre clip, c’est tout naturellement en paroles et en musique que le rappeur algérien, Lofti Double Kanon, a fissuré cette belle vitrine de l’Algérie qui construit, qui entreprend, qui se projette dans l’avenir en souriant, pour dénoncer une autre réalité, nettement moins idyllique sous le titre qui ne fait pas rêver : « Kleouha », « Ils ont mangé l’Algérie ».
http://www.youtube.com/watch?feature...;v=nvsP_Z7XuqY
Le clip de campagne d
Par esprit d'egalitè tu aurais du mettre les 2 clips cliccables :D
.
salut rino
http://www.youtube.com/watch?v=zJOgx0n9TY0
obligé de passer par youtube
▶Clip 2014 campagne électorale du président Bouteflika - YouTube
Merci j'ais regardè les 2, juste regardè parce que comprendre le rappeur.........
salut rino
tu as vu, il ne parle pas.........
Bouteflika défend sa candidature
http://images.lpcdn.ca/641x427/20140...idature-22.jpgAgrandirDepuis l'annonce de sa candidature le 22 février, les manifestations de rue se sont multipliées dans le pays, les problèmes de santé du président alimentant les doutes sur sa capacité à continuer à diriger le pays.
PHOTO PIERRE ANDRIEU, AFP
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a affirmé, à quelques heures du début dimanche de la campagne électorale, que ses ennuis de santé ne l'empêchaient pas de briguer un 4e mandat au scrutin du 17 avril, pour lequel il est donné favori malgré une contestation inédite.
Dès l'annonce de sa candidature le 22 février par le premier ministre d'alors Abdelmalek Sellal, les manifestations de rue se sont multipliées contre un nouveau quinquennat de M. Bouteflika, et sa capacité à continuer à diriger le pays a provoqué une polémique au sein de la hiérarchie militaire.
Au pouvoir depuis 15 ans, le président sortant, 77 ans, apparaît considérablement amoindri par les suites d'un AVC en avril 2013 qui avait nécessité son hospitalisation à Paris.
Il s'était finalement exprimé publiquement lors du dépôt de son dossier le 3 mars au Conseil constitutionnel. Il avait alors, d'une voix à peine audible, annoncé sa candidature pour un nouveau quinquennat sous le slogan «Notre serment pour l'Algérie».
Face à la contestation et aux appels à renoncer à un nouveau mandat, M. Bouteflika a adressé samedi soir une lettre aux Algériens, reproduite par l'agence APS, dans laquelle il défend sa candidature.
«Les difficultés liées à ma santé ne semblent pas me disqualifier à vos yeux ou plaider en faveur de ma décharge des lourdes responsabilités qui ont eu raison d'une bonne partie de mes capacités», a-t-il dit.
M. Bouteflika a affirmé qu'il ne pouvait que «répondre positivement» aux «appels» lui demandant de se porter candidat et d'expliquer: «je ne suis jamais, ma vie durant, dérobé à aucun devoir au service de ma patrie».
Le 17 avril, il affrontera cinq adversaires mais son principal challenger sera son ancien homme de confiance qui fut aussi son rival à la présidentielle de 2004, Ali Benflis, 69 ans. Cet ex-patron du Front de libération nationale (FLN, au pouvoir) se présente comme «indépendant».
Campagne par procuration
Quatre autres candidats vont de nouveau tenter leur chance à la magistrature suprême: Louisa Hanoune qui dirige le Parti des Travailleurs (gauche), le président du Front national algérien (nationaliste), Moussa Touati, et le chef d'un parti nationaliste, Ahd (Serment) 54, Ali Fawzi Rebaïne. Enfin le dernier et plus jeune candidat est Abdelaziz Belaid, 50 ans, un ancien du FLN qui a fondé en 2012 le Front El Moustakbel.
Fait inédit: le favori ne devrait pas participer en personne à la campagne électorale, vu son état de santé.
Ce sera M. Sellal, devenu son directeur de campagne, qui donnera le coup d'envoi des 22 jours de campagne en se rendant à Tamanrasset, fief des Touaregs dans le Sahara.
M. Bouteflika sera aussi soutenu dans sa campagne par deux ex-premiers ministres ramenés au coeur du pouvoir -Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem- et par les ministres Amara Benyounes et Amar Ghoul.
M. Benflis, lui, entraînera ses partisans à Mascara (350 km à l'ouest d'Alger), ville de l'émir Abdelkader, considéré comme le fondateur de l'État moderne algérien.
La perspective d'un nouveau mandat pour M. Bouteflika a provoqué une polémique au sein de la hiérarchie militaire, le général à la retraite Hocine Benhadid l'ayant appelé en février à partir «dignement», au nom de plusieurs collègues.
Il s'en est pris particulièrement au frère du président, Saïd Bouteflika, «premier et principal acteur» du clan, ainsi qu'à un autre de ses membres, le chef d'état-major Ahmed Gaïd Salah accusé de n'avoir «aucune crédibilité».
Manifestations et boycottage
La rue n'est pas non plus restée silencieuse.
Depuis plus d'un mois, les rassemblements contre un 4e mandat se sont multipliés.
Jusqu'à la semaine dernière, la police dispersait à coups d'interpellations ces manifestations. Elle a changé de tactique et se contente désormais de les encadrer.
Cinq partis d'opposition et l'ex-chef du gouvernement, Ahmed Benbitour ont pour leur part créé une Coordination nationale pour le boycottage du scrutin. Ils ont réuni vendredi des milliers de partisans dans une salle d'Alger.
Enfin, pour la première fois depuis son retrait de la présidence en 1999, Liamine Zeroual, est sorti de son silence en réclamant l'«alternance du pouvoir» et en critiquant la révision de la Constitution qui avait permis à M. Bouteflika de briguer en 2009 un 3e mandat.
Six candidats à la présidentielle du 17 avril
Six candidats se présentent à la présidentielle du 17 avril en Algérie dont la campagne électorale débute ce dimanche, avec pour favori le président Abdelaziz Bouteflika qui brigue un 4e mandat.
- Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, élu en 1999, puis en 2004 et en 2009 après avoir modifié la Constitution qui limitait la présidence à deux mandats, avait fait du retour à la paix en Algérie, déchirée par plus de dix ans de guerre civile et 200000 morts, son principal cheval de bataille.
Né le 2 mars 1937 à Oujda (Maroc) d'une famille originaire de Tlemcen (ouest algérien), il s'engage en 1956 dans l'Armée de libération nationale contre le colonialisme français. À l'indépendance en 1962, il est député de Tlemcen puis à 25 ans ministre de la Jeunesse et des Sports. Il est nommé chef de la diplomatie sous les présidences Ben Bella et Boumedienne jusqu'en 1978. Sous Chadli Bendjedid, il est écarté et se retrouve en 1983 accusé d'irrégularités dans sa gestion mais disculpé deux ans plus tard. Après six ans passés à l'étranger, il refuse en janvier 1994 la présidence mais l'accepte en 1999. Après un AVC en 2013, il est hospitalisé à Paris pendant 80 jours et depuis son retour il n'a jamais pris la parole en public et n'a tenu que deux conseils des ministres. Sa candidature est contestée dans la rue.
- Ali Benflis, né le 8 septembre 1944 à Batna dans les Aurès (est), est Magistrat de formation. Il devient ministre de la Justice en 1988, après avoir co-fondé la Ligue algérienne des Droits de l'Homme. Elu député du Front de Libération nationale (FLN) en 1997, il est chargé en 1999 de diriger la campagne électorale d'Abdelaziz Bouteflika dont il devient rapidement l'homme de confiance, jusqu'à devenir son chef de gouvernement (2000-2003). Resté à la tête du FLN, il se présente en 2004 contre son mentor mais ne recueille que 6,42% des voix. Il disparaît de la scène politique durant dix ans jusqu'à sa nouvelle candidature à la magistrature suprême en 2014.
- Louisa Hanoune, qui dirige le Parti des travailleurs (gauche), est candidate pour la troisième fois à la présidentielle. Née le 7 avril 1954 à Jijel (est), cette licenciée en droit est l'une des fondatrices et présidente de l'Association pour l'égalité devant la loi entre les femmes et les hommes, en 1989. À Alger, elle rejoint l'Organisation socialiste des travailleurs (OST, clandestine) et est arrêtée deux fois (1983, 1988). En 1989, avec le multipartisme, elle est membre fondatrice du Parti des travailleurs dont elle devient secrétaire générale en 2003 tout en étant élue trois fois députée.
- Moussa Touati, 60 ans, président du Front national algérien (FNA, nationaliste) qu'il a créé en 1999, est pour la troisième fois consécutive candidat à la tête de l'État. Né le 3 octobre 1953 à Médéa (centre), il entre dans l'armée à la sortie du lycée. Après avoir été formé en Syrie et en Libye, il intègre les Douanes et préside durant quelques années la CNEC (Coordination nationale des enfants des martyrs de l'indépendance).
- Ali Fawzi Rebaïne, chef du parti Ahd 54, 59 ans, en est aussi à sa 3e candidature consécutive. Né le 24 janvier 1955 à Alger, cet opticien est un co-fondateur de la première Ligue des droits de l'Homme en 1985 et du comité national contre la torture en 1988. Fils d'une famille de révolutionnaires, il est arrêté à deux reprises, dont en juillet 1985 pour «atteinte à la sûreté de l'État et constitution d'association illégale». Condamné à 13 ans de prison, il est libéré en 1987 par grâce présidentielle. En 1991, il co-fonde AHD 54.
- Abdelaziz Belaid, 50 ans, plus jeune candidat, se présente pour la première fois à la présidentielle. Né le 16 juin 1963 à Batna, il est titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit. Membre du Front de Libération nationale (FLN) dès l'âge de 23 ans, il est élu deux fois député du parti historique mais le quitte en 2011 pour créer en 2012 le Front Moustakbel.
Fusion
(AFP) - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, affaibli par la maladie depuis un AVC en 2013 et dont l'état de santé fait l'objet de rumeurs récurrentes, a été hospitalisé en France, près de sept mois après sa réélection pour un 4e quinquennat. Son hospitalisation à Grenoble (est de la France) a été confirmée par une source gouvernementale française qui n'en a pas précisé le motif. Contactée par l'AFP, la clinique n'a rien voulu dire de son état de santé.
M. Bouteflika avait été soigné durant près de trois mois l'année dernière à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, à la suite de son AVC.
Interrogée sur son hospitalisation à Grenoble, la présidence algérienne ne l'a pas confirmée, se bornant à indiquer qu'un communiqué serait publié dans la soirée.
En fin de matinée, l'agence de presse algérienne APS avait fait état d'un message, lu ensuite au journal télévisé de 19H00 (18H00 GMT), adressé par M. Bouteflika au président palestinien Mahmoud Abbas à l'occasion du 26e anniversaire de la proclamation de l'Etat de Palestine.
Selon le quotidien régional français Le Dauphiné Libéré, M. Bouteflika est hospitalisé dans un service de cardiologie et maladie vasculaire de la clinique Alembert, un établissement privé. Tout un étage de la clinique lui serait réservé pour des raisons de sécurité.
Une source policière a assuré que le président algérien serait arrivé discrètement jeudi à Grenoble, par avion. Les abords de la clinique ont été protégés par la police vendredi après-midi.
Quelque 35 CRS étaient postés devant les entrées principales et filtraient les entrées, ainsi que l’approche de la clinique depuis la rue où un barrage est installé.
La clinique est composée de deux bâtiments. Le chef de l'Etat algérien serait dans le principal, d'après le service d'ordre, car l'autre n'est pas sécurisé.
- Rares apparitions publiques -
Depuis le début de son 4e mandat fin avril dernier, le président Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
Le 1er novembre, il avait effectué une visite au cimetière d'El Alia, dans la banlieue-est d'Alger, pour se recueillir sur les tombes de "martyrs" de la guerre d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran.
Selon des images diffusées par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant au cimetière où sont inhumés les plus grandes figures de la guerre d'indépendance.
Si ses sorties sont parcimonieuses, ses apparitions à la télévision le sont moins. On le montre recevant ses invités -- chefs d'Etat et ministres étrangers, ambassadeurs, membres du gouvernement algérien -- dans une résidence à Zéralda, station balnéaire à l'ouest d'Alger, qui semble être devenue son bureau.
Le dernier hôte a été reçu mercredi. Il s'agit du ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, avec lequel il a parlé des prix du pétrole.
Lundi, il avait reçu le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et son collègue de l'Economie, Emmanuel Macron, partis en Algérie pour assister à l'inauguration d'une usine Renault.
Juste avant ces rendez-vous, M. Bouteflika a reçu une quinzaine d'ambassadeurs venus lui présenter leurs lettres de créances. "Il est apparu très lucide et très informé des dossiers", a confié l'un d'entre eux.
A chacune de ces apparitions, M. Bouteflika affiche des difficultés d'élocution, s'exprimant d'une voix faible. "Rani (je vais) beaucoup mieux", avait-il assuré début octobre au diplomate Lakhdar Brahimi après des rumeurs alarmantes sur son état de santé.
La résidence de Zéralda où il reçoit est "entièrement aménagée, avec de vastes couloirs et de larges ascenseurs permettant au patient de se déplacer en chaise roulante", a confié à l'AFP un photographe qui a pu s'y rendre.
"Elle dispose d'une bibliothèque et d'une cafétéria. La salle de réception est équipée d'une sonnerie pour annoncer aux invités le début et la fin des entretiens avec le chef de l'État", a-t-il détaillé.