Je vais me présenter pour avoir ma part de gâteau comme tous les autres et embêté qui je veux avec la corruption et rachwa
Car dans notre pays c est devenu normale
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Désole mon cher,les critères ne te sont pas favorables pour déposer ta candidature.
né avant 1942.
né quelques part du coté de l'....
avoir séjourné pendant la guerre de libération de l'autre coté des frontières
ne pas avoir suivi un cursus universitaire ou etre analphabete bilingue,trilingue recommandé
savoir manier la langue de bois
savoir dire non quand il faut et oui quand il faut pas
avoir une fratrie nombreuse
se faire parrainer par 3000 personnes de chaque wilayas
rouler en carosse
avoir beaucoup de sachet noir
Alors la !!
LAKO tu mérite une médaille d'or pour ce message
Vaut mieux en rire, que de se prendre la tête, parler politique c'est avoir mauvaise haleine par les temps qui courent.
Je n'ai pas pu resister à la lecture de cet edito de mon ami Kamel Daoud:
Saïdanisme patronal : Le FCE devient une Kasma !
par Kamel Daoud
Laissons de côté Gaïd avec Louiza, et parlons d'un autre cercle : les patrons. Ceux du FCE (Forum des Chefs d'Entreprise). Deux voix s'y prononcent déjà : celle qui parle d'indécentes pressions et de détournement de vocation d'une organisation et de menaces pures et celle qui appelle à un quatrième mandat. Pour cette dernière, le jeu est en grosse ficèle : en appelant à une AG extraordinaire une seconde fois après l'échec de la première, on rend caduque la condition du quorum et donc on peut «voter» sans les autres pour l'un des deux Bouteflika qui, aujourd'hui, mène ce pays par téléphone. Manœuvre aux temps des manœuvres. «La question est : existe-t-il des patrons en Algérie ?», dira un ami homme d'affaires au chroniqueur : «le seul secteur porteur est celui de la subvention : si vous travaillez dans le lait, le sucre, le pain, l'huile ou les prestations publiquesetc., vous êtes abonné au Système qui vous entretien par la subvention qu'il assure à ces produits de grande consommation ou au secteurs stratégiques. Le reste, c'est du virtuel. En gros, tous le monde est employé en Algérie : patrons et employés. Le régime paye en double ou en triple vos prestations ou vos importations nécessaires et vous assure l'amortissement des coûts et donc personne n'ira ouvrir la bouche pour dire du mal de la vache et de son maître.
Il n'y a pas de tissu industriel presque. Il n'y a que des chèques de l'Etat et les bons de commande. Tout le monde sait qu'il paye bien». Et surtout le silence. «Le pire est qu'avec cette entente sur la subvention ou la surfacturation, on ne gagne rien. D'abord on perd un pays et, ensuite, ce que vous gagner chez le régime, vous le distribuez plus tard pour le régime, pots-de-vin et commissions». Patrons clientélisés, rackettés, menacés ou «imposés» ou dans la course de «l'abus d'obéissance».
Aujourd'hui donc, c'est le tour du FCE de voter avant le vote. Par pressions, intimidations ou manœuvre à la FLN. Et c'est dommage pour cette organisation qui aurait pu jouer à la transcendance et garder la main haute, loin des urnes et des saidanismes, pour aider à diriger un pays au lieu d'embrasser une main monarchiste. Un patron crée de la richesse, pas des Kasma. En principe.
Résultat ? Le jeu est bien ficelé avant l'annonce de la candidature la plus surréaliste du siècle : de l'ANSEJ national pour cliéntéliser les coupeurs de routes, chômeurs, émeutiers, gisements ruraux d'électeurs et élites addictives de la gratuité ; de l'autre ANSEJ international avec la vente au rabais des licences de tabac, des gisements miniers, des grands contrats stratégiques. Restait l'ANSEJ patronal. Sous forme de paiement de subventions, marges, projets publics et obligations de lobbyistes ou menaces. Le tout sous la coupe de fidèles militaires et du FLN de Saïdani.
Du beau jeu en main. Grandiose technique mais qui ne repose sur rien et qui vend du vent. Car dans ce jeu, on sauvera une famille, pas ses entreprises et pas un pays. Des liens de sang, pas des liens de nation. Les Bouteflika sont-ils la stabilité ? Que non ! Juste du temps gagné sur le vieillissement, la maladie ou le procès de l'Histoire pour monarchisation d'une république. La clientélisation n'est pas l'économie et la prolongation n'est pas la relance et un homme malade n'est pas la stabilité. On aura plus de Saïdani, encore plus de coupeurs de routes, d'émeutiers, encore plus de kasma à la place du FCE et des patrons et plus de tuteurs occidentaux en positions de force et de colons. Et c'est tout.
Même après deux ou trois décennies, le patronat algérien reste otage. De lui-même, de ses stratégies «individuelles» ou régionalistes, de ses cupidités, de ses positions de clients et de ses divisions de basse Kasma malgré le brillant de certains de ses membres. Dans le tas des sigles de ce métier, seul le FCE a donné un peu espoir de voir émerger une troisième force médiane entre le baril et le FLN, avant de sombrer, aujourd'hui, dans le redressement et le saïdanisme. Et c'est dommage. Rien ne semble arrêter la machine du téléphone que Dieu ou un grand soulèvement. Et les deux existent.
http://www.chezmaya.com/gifs/personnages/PERSO4.gif
Je n'ai pas pu resisté au plaisir de vous montrer cette de notre "DRABKI" c'était en 1977 lors de la visite de Feu le président Houari Boumedienne a Biskra ( Saidani et le groupe tamazoul a l’arrivée du Président Boumedienne dans sa DS Noire
https://fbcdn-sphotos-e-a.akamaihd.n...62545039_n.jpg
صاحبهم في استقبال الراحل بومدين في ولاية بسكرة
Une des rares photo de Saidani Secrétaire Général du F.L.N. prise en 1977 lors de la visite de Feu président Houari Boumedienne a Biskra ( Saidani et le groupe tamazoul )a l’arrivée du Président Boumedienne dans sa DS noire N
PHOTO ENVOYÉE PAR UN AMI QUI TRAVAILLE AUX ARCHIVES DE LA WILAYA DE BISKRA
Algérie : Bouteflika dénonce les tentatives de déstabilisation de la présidence et de l'armée
Le Monde.fr avec AFP | 19.02.2014 à 00h20 • Mis à jour le 19.02.2014 à 00h22
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Le chef d'Etat algérien Abdelaziz Bouteflika a dénoncé, mardi 18 février, des tentatives de déstabilisation visant la présidence, l'armée et les services de renseignement qui font croire que l'institution militaire est en proie à des luttes intestines.
Cette déclaration intervient alors que l'armée, qui joue un rôle majeur en Algérie, se déchire par médias interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. « Les conflits fictifs (...) entre les structures de l'Armée nationale populaire (ANP) relèvent d'un processus de déstabilisation bien élaboré par tous ceux que le poids de l'Algérie et son rôle dans la région dérangent », a affirmé M. Bouteflika, cité par l'agence de presse APS.
Pour le chef de l'Etat « ce processus peut, malheureusement, être favorisé par le comportement irresponsable des uns et le manque de maturité des autres, sous l'influence des différents volets de la guerre médiatique menée présentement contre l'Algérie, la présidence de la République, l'ANP et le département du renseignement de la sécurité » (DRS, qui dépend de l'armée).
M. Bouteflika, 76 ans, n'a toujours pas annoncé s'il se présentait à la présidentielle du 17 avril, mais le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, répète que le président est le candidat de son parti. M. Saïdani a, en outre, accusé le patron du renseignement militaire, le tout puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, de vouloir empêcher M. Bouteflika de briguer un quatrième quinquennat.
Lire aussi : En Algérie, la présidentielle aura lieu le 17 avril
« L'HEURE N'EST PLUS À L'INSULTE »
Mais M. Bouteflika est monté au créneau mardi pour défendre le DRS, battant en brèche la thèse selon laquelle un conflit oppose le général Toufik et le chef d'Etat major de l'armée, le général Ahmed Gaid Salah, autour de son maintien aupouvoir.
« Le DRS, en tant que partie intégrante de l'Armée nationale populaire, doitcontinuer à exécuter ses missions et attributions », a-t-il indiqué à l'occasion de la commémoration de la journée nationale du chahid (martyr). « Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de se placer au dessus des dispositions de la Constitution et des lois de la République », a ajouté le président Bouteflika.
« Nul n'est en droit de régler ses comptes personnels avec les autres au détriment des intérêts suprêmes de la nation tant à l'intérieur qu'à l'extérieur », a-t-il ajouté. « L'heure n'est plus à l'insulte et aux invectives », selon le président.
« Ces quelques rappels ont pour objectif de réaffirmer clairement que, contrairement aux allégations et aux spéculations rapportées par voie de presse au préjudice de la stabilité de l'Etat et de l'Armée nationale populaire, le DRS reste pleinement mobilisé pour la bonne exécution des missions qui lui incombent, à l'instar des autres composantes de l'ANP », a-t-il encore dit.
Algérie : Bouteflika sera candidat pour un quatrième mandat présidentiel
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 22.02.2014 à 14h55 • Mis à jour le 22.02.2014 à 19h04
http://s1.lemde.fr/image/2013/09/29/...7e3648f5f6.jpgLe premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a annoncé, samedi 22 février, la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril, a rapporté la télévision nationale.
« Bouteflika sera candidat, a affirmé Sellal en déplacement dans la ville d'Oran. La décision de Bouteflika de se porter candidat a été prise sur l'insistance du peuple et à l'issue d'une profonde réflexion. »
Agé de 76 ans, au pouvoir depuis 1999, le président algérien été victime d'un accident vasculaire cérébral en avril dernier et n'a pu reprendre ses fonctions qu'à l'issue d'une longue hospitalisation en France. Il a poursuivi sa convalescence enAlgérie et n'est que rarement apparu en public depuis, sans prendre la parole.
Plus de 80 personnes, parmi lesquelles de vieux routiers de la vie politique, ont annoncé leur intention de se porter candidat au scrutin et les candidats ont jusqu'au 4 mars à minuit pour déposer leur candidature, qui doit recueillir le parrainage d'au moins 60 000 électeurs ou de 600 élus dans au moins 25 wilayas (préfectures). Le Conseil constitutionnel aura alors dix jours pour annoncer la liste des candidats retenus, et la campagne officielle s'ouvrira le 23 mars.
Mais plusieurs mouvements de l'opposition ont d'ores et déjà annoncé un boycott du scrutin. A commencer par le principal parti islamiste algérien, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), intégré à l'alliance présidentielle jusqu'en 2012, quidénonce « l'absence de véritable opportunité pour une réforme politique » et un manque de transparence.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), un parti d'opposition laïc kabyle, a également appelé au boycottage.
Lire (édition abonnés) : Les partis islamistes boycottent la présidentielle algérienne
Cette annonce met un terme aux interrogations, sur fond de tensions au sommet de l'Etat, sur les intentions réelles du président algérien.
Ces dernières semaines, l'armée s'est déchirée par médias interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. Le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, qui répétait depuis des semaines que le président était le candidat de son parti, a ainsi accusé le patron du renseignement, le tout-puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, d'y 'êtrehostile.
présidentiel
NOTRE PAYE EST MALADE DEPUIS LONGTEMPS OU VA LALGERIE DE 2014!????????????
http://s1.lemde.fr/image/2013/09/29/...7e3648f5f6.jpgLe premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a annoncé, samedi 22 février, la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril, a rapporté la télévision nationale.
« Bouteflika sera candidat, a affirmé Sellal en déplacement dans la ville d'Oran. La décision de Bouteflika de se porter candidat a été prise sur l'insistance du peuple et à l'issue d'une profonde réflexion. »
Agé de 76 ans, au pouvoir depuis 1999, le président algérien été victime d'un accident vasculaire cérébral en avril dernier et n'a pu reprendre ses fonctions qu'à l'issue d'une longue hospitalisation en France. Il a poursuivi sa convalescence enAlgérie et n'est que rarement apparu en public depuis, sans prendre la parole.
Plus de 80 personnes, parmi lesquelles de vieux routiers de la vie politique, ont annoncé leur intention de se porter candidat au scrutin et les candidats ont jusqu'au 4 mars à minuit pour déposer leur candidature, qui doit recueillir le parrainage d'au moins 60 000 électeurs ou de 600 élus dans au moins 25 wilayas (préfectures). Le Conseil constitutionnel aura alors dix jours pour annoncer la liste des candidats retenus, et la campagne officielle s'ouvrira le 23 mars.
Mais plusieurs mouvements de l'opposition ont d'ores et déjà annoncé un boycott du scrutin. A commencer par le principal parti islamiste algérien, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), intégré à l'alliance présidentielle jusqu'en 2012, quidénonce « l'absence de véritable opportunité pour une réforme politique » et un manque de transparence.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), un parti d'opposition laïc kabyle, a également appelé au boycottage.
Lire (édition abonnés) : Les partis islamistes boycottent la présidentielle algérienne
Cette annonce met un terme aux interrogations, sur fond de tensions au sommet de l'Etat, sur les intentions réelles du président algérien.
Ces dernières semaines, l'armée s'est déchirée par médias interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. Le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, qui répétait depuis des semaines que le président était le candidat de son parti, a ainsi accusé le patron du renseignement, le tout-puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, d'y 'êtrehostile.
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NO COMMENT sur cette candidature zombie