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Discussion: Les Patriotes

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    Post Après le terrorisme, le poison

    Gardes communaux de Laghouat
    Après le terrorisme, le poison
    le 17.06.16 | 10h00

    Même le terrorisme n’a pas réussi à nous exterminer contrairement aux
    PCB (polychlorobiphényles, produits toxiques) qui ont déjà tué plusieurs
    de mes anciens camarades, les gardes communaux.»



    Saïfeddine Boufateh, 38 ans, père de six enfants, est l’un des
    150 gardes communaux qui ont assuré la garde d’un entrepôt
    de produits toxiques entre 1995 et 2004, à Bordj Nili, à plus de 60 km
    au sud de la wilaya de Laghouat. Dépêchés de Hassi Delaa,
    de Hassi R’mel, de Nacer Ben Chohra et de Ksar El hiran,
    communes voisines du sud de Laghouat, ces gardes communaux
    racontent qu’«ils passaient parfois plus de 20 jours sans
    la moindre protection dans cet endroit implanté au milieu du désert».

    Code:
    la suite
    


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    Post Coordination Nationale de la Garde Communale (CNGC)

    La marche des gardes communaux réprimée

    Coordination Nationale de la Garde Communale (CNGC)
    Des dizaines de personnes interpellées hier à Alger
    le 27.07.16|10h00

    La marche à laquelle a appelé, hier, la Coordination nationale de la garde
    communale (cngc) a été violemment réprimée par les services de police à Alger.

    Venus de plusieurs wilayas, des gardes communaux ont été interpellés et emmenés
    aux commissariats, a affirmé Hakim Chouib, coordinateur national des gardes
    communaux, joint par téléphone, en soulignant que des centaines de personnes ont
    été arrêtées et embarquées à bord de fourgons de police au niveau de la gare routière d’Alger et devant le siège de l’Assemblée populaire nationale.
    «D’autres ont été
    acheminés à bord de bus mobilisés par la police en direction des wilayas de Bouira,
    Blida et Tipasa», dénonce M. Chouib, en rappelant que l’action à laquelle a appelé la Coordination nationale de la garde communale est réussie, dès lors que des centaines
    de personnes sont venues exprimer leur ras-le-bol en se joignant à cette marche.

    Quand aux revendications de nouveau exprimées par les gardes communaux, elles
    sont relatives à la revalorisation des indemnités, à la pension de retraite et à la prise en charge des blessés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. «Nous exigeons un dialogue sérieux avec les autorités en charge de notre dossier. Plusieurs points
    soulevés auparavant ne sont pas encore pris en charge, à l’image des cas des gardes communaux licenciés abusivement», a martelé M. Chouib, en précisant que la
    coordination nationale envisage d’autres actions de rue pour dénoncer le mutisme
    des pouvoirs publics.

    Amar Fedjkhi
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  3. #3
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    Post Les Patriotes en appellent à Bouteflika et à Gaïd Salah

    Ils dénient à Sellal et à Ouyahia le droit de parler en leur nom
    Les Patriotes en appellent à Bouteflika et à Gaïd Salah

    Organisation Nationale pour la Défense des Droits des Patriotes (ONDDP)
    le 17-10-2016|10:00

    Exaspérés par les “promesses non tenues”, les Patriotes font
    état de leur situation sociale précaire et dénoncent leur
    “exploitation politicienne”, notamment par le RND.

    Près d’une soixantaine de délégués des Patriotes et autres groupes
    d’autodéfense (GLD), issus de trente-sept wilayas ont tenu, hier,
    une réunion à Birkhadem, à Alger, sous la présidence de
    Mourad Taâmallah, de l’Organisation nationale pour la défense des
    droits des Patriotes (ONDDP).L’objet de la réunion étant de débattre
    des textes réglementaires les régissant et restés en suspens. Ainsi,
    dans une déclaration liminaire distribuée à la presse, les Patriotes se
    disent “marginalisés” par le gouvernement qui rechigne à appliquer
    les dispositions contenues dans le décret présidentiel n°68 et
    promulgué dans le Journal officiel en 2013 qui stipule dans son article
    77 que “tout citoyen ayant participé à la lutte antiterroriste et ayant
    par conséquent fait partie des forces combinées de sécurité a le droit
    à la retraite et autres avantages attachés à cette qualité”.Refusant de
    s’inscrire dans un nouveau cycle d’actions de protestations, Taâmallah
    constatera, néanmoins, que les maigres “acquis” obtenus jusque-là,
    en termes de satisfaction des revendications sociales, par cette frange
    de résistants, n’ont été rendus possibles que grâce à leur forte
    mobilisation. Et de rappeler, ainsi, le sit-in de la place des Martyrs, à
    Alger, ou encore la marche de Boufarik, des démonstrations vite
    réprimées, du reste, par les forces de l’ordre. Exaspérés par les
    “promesses non-tenues”, les Patriotes font appel aujourd’hui au
    premier magistrat du pays ainsi qu’à Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre
    de la Défense. Et s’ils en réfèrent au chef de l’État car signataire,
    lui-même, du décret en question, le choix porté sur la personnalité
    du chef de l'état-major de l'ANP revient au fait que “l’armée a
    toujours constitué le principal partenaire des Patriotes”.L’exploitation
    politicienne, voire électorale, de leur situation sociale précaire a été,
    en outre, mise en exergue, notamment lors des élections
    présidentielles lorsque le directeur de campagne du Président-sortant,
    Abdelmalek Sellal, s’était montré très avenant avec les Patriotes.Depuis,
    plus rien ; le Premier ministre est, selon eux, toujours aux abonnés
    absents. Il en est de même pour Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), qui prétend, lui, que la
    base militante de son parti est constituée de Patriotes. “Cela n’est pas
    vrai ! Nous ne faisons pas de politique. Notre parti, c’est l’Algérie. Nous
    refusons qu’Ouyahia continue encore à parler au RND des Patriotes.
    En revanche, il devrait, en sa qualité de directeur de cabinet de la
    présidence de la République, plutôt appliquer la loi, notamment ce
    fameux décret nous régissant”, a martelé Mourad Taâmallah.Tentant
    d’expliquer la valse-hésitation des pouvoirs publics à leur égard ainsi
    que la discrimination dont ils font l’objet, l’orateur n’exclut aucunement
    des pressions provenant de la mouvance islamiste qui présente à ce
    jour les Patriotes comme de vulgaires “milices” de tueurs et de
    kidnappeurs. Face à ce retour de la propagande “qui-tue-quiste”, les
    Patriotes signent et persistent : “Nous n’avons fait que combattre le
    terrorisme. Nous avons défendu et les institutions de la République et
    le peuple. Certains d’entre nous ne trouvent même pas de quoi manger
    aujourd’hui, et pourtant, ils continuent à porter les armes.”

    Mohamed-Chérif Lachichi




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