Affichage des résultats 1 à 10 sur 29

Discussion: Radar de Maghreb-Sat

Vue hybride

Message précédent Message précédent   Message suivant Message suivant
  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 27/08/2014

    C'est ici que vous ne ratez rien.

    Mercredi, 27 Août 2014 09:50

    Un hommage a été rendu au défunt Ebossé

    Les jeunes de Ghardaïa, hôtes de La Radieuse à Oran

    Soixante jeunes de Ghardaïa et de Berriane sont actuellement les hôtes de l’association La Radieuse au mini-complexe sportif Reguieg-Abdelkader de Maraval, à Oran. Avant d’entamer un match de football, une minute de silence à la mémoire du défunt Ebossé a été observée.


    Une vingtaine de directeurs de l’éducation seraient remplacés

    Mme Nouria Benghebrit fait le ménage
    En cette veille de rentrée scolaire, fixée pour les enseignants le 2 septembre et pour les élèves le 7, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Mme Nouria Benghebrit, s’apprête, d’après nos sources, à procéder à de grands changements, notamment à la tête des structures décentralisées de son secteur. Ainsi, une vingtaine de directeurs de l’éducation seraient remplacés incessamment.




    Mercredi, 27 Août 2014 09:50

    Il est originaire d'Izoubaghen, une localité de Tizi Larbaâ

    Hommage à Abdelhamid Zouba à Draâ El-MizanL'association culturelle Amgud, en collaboration avec l'APC de Draâ El-Mizan, rendra un hommage, le 30 août au stade Mohamed-Boumghar de Draâ El-Mizan, à Abdelhamid Zouba, ancien joueur et entraîneur de l'équipe nationale.


    Interdit de fonctions officielles et exclu du FLN

    Belkhadem excommunié




    En instruisant le SG du FLN d’exclure Belkhadem, Bouteflika foule aux pieds les dispositions statutaires du parti.
    Comme l’ascension est si rapide, la chute est souvent brutale. L’ancien chef de gouvernement et proche du clan présidentiel, Abdelaziz Belkhadem, l’a appris à ses dépens. Il vient d’être limogé par le président Bouteflika. L’information a été donnée, hier, par l’agence de presse officielle APS en citant une source relevant de la présidence de la République.

    Hend Sadi : «Le printemps 1980 marque la fin de l’isolement de Mammeri»


    "La démagogie du pouvoir, qui s'alimentait de surenchères nationalistes, amoindries au fil du temps, s'est effon,drée avec les réunions du gouvernement algérien dans un hôpital militaire français", tance Hand Sadi, une des figures importantes du Printemps d'avril 1980 et auteur du livre "la colline emblématique".

    L’Etat maintient sa politique dépensière


    Un nouveau plan quinquennal d’un montant global de 21 000 milliards de dinars, soit l’équivalent de 262,5 milliards de dollars et de fortes dépenses d’équipement et de fonctionnement pour 2015, avec des hausses, respectivement de 43% et de 5,4% par rapport à l’exercice précédent.

    Mouloud Hamrouche à Boumerdès

    «Mes déclarations sur l’armée dérangent»



    Mes déclarations concernant le rôle de l’armée dans la vie politique dérangent et ont poussé certains à les exploiter pour leur propre intérêts», a déclaré, hier, Mouloud Hamrouche, ancien chef de gouvernement, lors d’un point de presse improvisé en marge de l’université d’été du Front du changement (FC) qui se tient à Boumerdès.

    Cession de 51% de Djezzy à l’état

    La décision sera prise aujourd’hui

    La cession de 51% de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy à l’Etat algérien sera officialisée aujourd’hui au Caire, en Egypte, lors de l’assemblée générale des actionnaires de Global Telecom Holding (GTH), qui commercialise la marque Djezzy. La réunion des actionnaires de GTH devrait déboucher sur l’approbation définitive de l’opération de cession au prix proposé par le gouvernement algérien.

    Décès du peintre et bédéiste Mohamed Bouslah

    Un ancien de “Liberté” s’en va
    Le peintre, caricaturiste, dessinateur de presse et de bande dessinée, Mohamed Bouslah, est décédé brutalement, le 20 août dernier, laissant derrière lui une famille sous le choc et de grandes œuvres qui le garderont pour toujours dans la mémoire de ses proches ...


    Equipe Nationale : Gourcuff convoque 27 joueurs


    Le sélectionneur national, Christian Gourcuff, a rendu publique, lundi, la liste des joueurs devant prendre part aux deux prochains matchs des Verts : contre l’Ethiopie le 6 septembre à Addis-Abeba et le Mali quatre jours plus tard à Blida, comptant pour les éliminatoires de la CAN-2015, prévue au Maroc.


    Belfodil, Boudebouz et Chaouchi de retour

    Zeffane dans le groupe des 27

    La liste des joueurs convoqués comporte 27 éléments parmi lesquels les revenants Benfodil, Boudebouz, Guedioura, Karaoui et le portier Chaouchi. En prévision de cette campagne africaine, le jeune joueur du FC Lyon (France), Medhi Zeffane, effectuera son baptême du feu sous le maillot national. En revanche, le sélectionneur des Verts a décidé de se passer des services de quatre joueurs, à savoir, Kadir, Yebda, Mostefa et Harek. La sélection nationale entrera en regroupement le 1er septembre au Centre technique national de Sidi Moussa jusque après le match contre le Mali, le 10 septembre prochain.


    A demain.


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 01/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .



    Annoncée pour la mi-septembre prochaine, une réunion tripartite (gouvernement, UGTA, patronat) devrait définir le nouveau salaire, suite à la décision d’abrogation de l’article 87 bis du code du travail.
    Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - C’est ce que le président de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Habib Yousfi, a indiqué hier lors d’une intervention sous l’égide de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA). Il s’agira lors de cette rencontre de «débattre des décisions à prendre pour aboutir à l'application de la décision de suppression de cet article», dira M. Yousfi. Soit l’opportunité de redéfinir les «éléments» du salaire liés notamment au salaire de base, les primes et autres paramètres d’imposition et de retraite, au-delà de l’ajustement de la grille salariale, observe-t-on. Et ce, dans la mesure où le projet de loi de finances pour l’année 2015 comporte la suppression de l’article 87 bis qui prévoit, rappelons-le, que le salaire national minimum garanti (SNMG) comprend le salaire de base, les indemnités et les primes, à l’exclusion des indemnités versées au titre de remboursement de frais engagés par le travailleur. Estimant que la décision du Conseil des ministres «a une portée politique, (celle) d’apaiser le front social», le président de la CGEA qui s’est montré soucieux de l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs mais aussi de celle de la productivité et de la création de richesses hors hydrocarbures, plaidera également pour une «construction» du SNMG sur une longue période. Et cela même si la revalorisation salariale attendue pourrait induire une hausse de l’inflation, un risque évident en l’absence de productivité selon le président de la CGEA. Néanmoins, la définition du nouveau salaire devra être également précisée dans le futur code du travail, celui-ci devant revoir le cadre des relations de travail ainsi que les droits des travailleurs et des employeurs, considère-t-on. D’où l’opportunité, selon Habib Yousfi, d’un dialogue, un «consensus» entre les divers partenaires socioéconomiques, d’une démarche mobilisatrice de tous. A charge cependant que la redéfinition du salaire puisse être efficiente et accompagnée d’une «contrepartie» en termes de productivité, productivité, mais aussi basée sur des paramètres technico-économiques, des mécanismes et des modèles d’analyse et d’évaluation des répercussions. Ce qui fait justement défaut pour paraphraser le chercheur et économiste, Mohamed Hamidouche, autre hôte de l’UGCAA et qui ne manquera pas de s’interroger sur l’existence d’une réelle volonté des pouvoirs publics d’opérer cette reconfiguration. Mettant en avant le risque d’inflation induit par la hausse des salaires mais aussi par les dépenses publiques, cet économiste plaidera ainsi pour une politique monétaire adéquate même si des instruments d’absorption des liquidités et instruments de régulation sont déjà à l’œuvre. Il s’agira pour la Banque d’Algérie d’œuvrer à ce que le taux d’inflation qui fluctue actuellement entre 3 et 4% ne dépasse pas les 2%, observe Mohamed Hamidouche qui estime également que les modes actuels de calcul de l’inflation sont «archaïques» et donc à revoir.
    C. B.

    Nombre de lectures : 16


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  3. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 04/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .

    La décision prise en Conseil des ministres de supprimer le fameux article 87 bis du code du travail, ce qui devra permettre la redéfinition du salaire national minimum garanti (SNMG), est saluée par les fédérations de l’UGTA. Réunies, hier au siège de la Centrale syndicale pour débattre du projet du nouveau code du travail, les 30 fédérations ont applaudi, à travers une motion spécifique, à la décision du chef de l’Etat.
    Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le secrétariat national de la Centrale syndicale n’a pas manqué, il faut le dire, l’opportunité de cette réunion de travail associant les représentants des structures verticales de l’organisation pour louer le geste de Bouteflika. Les fédéraux, convoqués pour débattre du projet du nouveau code du travail, se sont vu proposés, dès l’exposé liminaire, d’exprimer leur satisfaction de la suppression annoncée du 87 bis. Une satisfaction somme toute naturelle, tant est que l’abrogation de l’article en question fait partie des points saillants de la revendication syndicale depuis des années. L’abrogation du 87 bis, dont l’incidence financière sera, selon les calculs de l’UGTA, de l’ordre de 2 400 milliards de dinars, pourrait cependant ne pas profiter à l’ensemble des travailleurs. Si, en effet, la redéfinition du SNMG est aisément applicable dans la Fonction publique, il n’en est pas de même pour le secteur économique. D’ailleurs, le secrétaire national à l’UGTA chargé des questions socio-économiques, Telli Achour, qui a présidé la réunion d’hier, a reconnu qu’il y aura assurément des difficultés d’application dans le secteur économique. Selon lui, l’impact de la suppression du 87 bis sera fonction de la situation des entreprises. Des experts économistes prévoient en effet la hausse jusqu’à 15% des masses salariales des entreprises du fait de cette suppression du 87 bis. M. Telli a parlé d’une hausse oscillant entre 5 et 15%. Une situation qui ne sera supportable pour toutes les entreprises. Cela étant, les fédéraux UGTA ont eu, par ailleurs, à s’imprégner des dispositions du projet du nouveau code du travail. Riche de 661 articles, le document devra faire l’objet d’un débat au sein de ces structures de l’UGTA, lesquelles auront à mettre des propositions que le secrétariat national de l’UGTA devra synthétiser. La copie, finalisée en juillet, du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale propose, entre autres dispositions qui ne devraient pas agréer les syndicats, la généralisation du contrat à durée déterminée (CDD). Une disposition, si elle devait être ainsi votée, consacrera, de l’avis de nombreux syndicalistes, la précarité de l’emploi. Il est fort à s’attendre à un bras de fer entre d’un côté les syndicats et de l’autre le patronat et le gouvernement.
    S. A. I.

    Nombre de lectures : 9

    «IL NE FAUT PAS SE PRÉCIPITER DANS CETTE AFFAIRE DE RÉVISION DE LA CONSTITUTION»
    Surprenante sortie de Amar Ghoul
    Amar Ghoul appelle à «une conférence nationale sur la nouvelle Constitution». C’est ce qu’il a annoncé hier mercredi, à l’occasion d’une réunion du bureau politique de son parti, le TAJ, tenue dans son nouveau siège sis à Dely Brahim à Alger Suite...

    Pendant qu’Alger préfère honorer les artistes égyptiens

    Une place Slimane-Azem à Paris

    Par : Rubrique RadarLa reconnaissance à nos artistes vient toujours d’ailleurs. Cela s’est confirmé avec l’annonce de l'inauguration d’une place à Paris au nom d’un des piliers de la chanson algérienne, Slimane Azem, en l’occurrence. L’initiative revient à la ville de Paris, la mairie du 14e arrondissement, la CBF et l’association Ameslay. Au programme, des stands d'expositions avec des objets ayant appartenu à l’artiste, des originaux de disques, des photos de famille inédites, des poèmes récités par des enfants, un stand librairie, une projection-débat autour du documentaire Slimane Azem, une légende de l'exil de Rachid Merabet, et beaucoup d’autres surprises. Pour la petite précision, la place Slimane-Azem se situe dans le 14e, près de la place de Catalogne, au pied de l'église Notre-Dame-du-Travail, sur la rue Vercingétorix (M° Pernety, Gaîté ou Montparnasse). Forcé à l’exil par le régime de Boumediene, Slimane Azem avait été adopté par la ville de Paris où il est enterré. “Dhaghriv dhavarrani” (l’étranger ou l’exilé), chantait-il.




    Index de “vivabilité”

    Alger classée à la 135e place sur 140

    Par : Rubrique RadarAlger reste à la 135e place sur 140 dans le classement de l’index de vivabilité 2014 établi chaque année par The Economist Intelligence Unit. La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e). La capitale libyenne a un score en stabilité de 45, mais dépasse Alger aussi en matière d’infrastructures (51,8 contre 30,4). Le classement est dominé par les villes australiennes, notamment Melbourne qui décroche la première place pour la quatrième année consécutive. La dernière place est occupée par Damas, capitale de la Syrie. Ce classement de vivabilité du Economist détermine, comme l’explique le rapport, les endroits autour du monde qui offrent les meilleures et les pires conditions de vie. Les critères considérés incluent la stabilité, l’infrastructure, la santé, l’éducation, l’environnement et la culture. De nombreux mauvais élèves se situent dans des zones de conflit. Cela est dû à un mauvais score en stabilité, mais aussi, car les facteurs déterminant cette stabilité, indique le rapport, affectent d’autres critères comme l’infrastructure ou la santé.


    Mobilis

    La 3G, le sport et l’action citoyenne

    Par : Nabila SAIDOUNL’opérateur public fait parler de lui et s’impose sur l’échiquier de la téléphonie mobile.
    Il promet de couvrir les 48 wilayas en 3G en l’espace de 2 ans.

    Décidément Mobilis est sur tous les fronts et ne ménage aucun effort pour séduire le maximum de clients. C’est du moins le message que Saâd Damma, P-DG d’ATM Mobilis, a tenu à transmettre, lundi, à l’hôtel Hilton, lors de la cérémonie de signature d’un partenariat le liant au Comité olympique algérien (COA) jusqu’à 2020. Mobilis pénètre ainsi le monde du sport par la grande porte sans perdre de vue son métier de base. “Tout est lié”, nous a déclaré M. Damma en marge de la rencontre expliquant que “cette stratégie de vouloir occuper la scène n’est pas seulement pour le plaisir de faire parler de soi, mais aussi pour faire fructifier les énormes investissements consentis dans le cadre du développement de l’entreprise”.
    En d’autres termes, chaque sou dépensé par l’opérateur doit être récupéré et cela ne saurait arriver sans investir également sur l’image même de l’entreprise. Il s’agit là des règles de base de toutes les économies réussies que Damma veut “une réalité” et non “une simple chimère”. “Nous sommes une entreprise économique publique qui se donne les moyens pour être à la hauteur dans un domaine à très forte concurrence”, a-t-il insisté, soulignant avec force la pertinence de l’action citoyenne dont l’opérateur ne peut se défaire.
    Il semble que l’ambition affichée par l’équipe dirigeante actuelle porte ses fruits au regard des résultats financiers obtenus, mais aussi et surtout par rapport à l’image que renvoie l’opérateur public ces derniers mois, mais pas seulement. Mobilis arrive à s’imposer sur le marché comme un opérateur fort et vise, pourquoi pas, d’être leader. Selon le dernier rapport de l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile (GSMA) publié, il y a quelques jours, Mobilis est leader dans la 3G au 2e trimestre 2014. Quoi qu’il en soit, M. Damma promet que “le jour J, à savoir en l’espace de 2 ans et 1 jour depuis son lancement, Mobilis couvrira les 48 wilayas du pays et offrira la 3G à tous les Algériens et il sera le seul opérateur à pouvoir le faire. En attendant le 16 décembre prochain, nous allons rajouter à notre liste de couverture 16 wilayas pour arriver à un total de 35”.


    Des cartables scolaires, des ambulances et un espace pour le service pédiatrie de l’hôpital d’Hussein-Dey

    Il n’y a pas que le sport. L’aspect solidarité prime aussi chez l’opérateur qui se lance, dès la semaine prochaine, dans l’action citoyenne consacrant à certaines villes des Hauts-Plateaux une attention somme toute particulière.
    Aussi, Saâd Damma, qui ne perd pas le Nord, enchaîne sur une stratégie tout aussi payante et annonce le parrainage au profit de plusieurs associations qui activent dans le domaine de l’enfance, de la femme, de la jeunesse, etc. il réédite aussi des opérations menées l’année dernière et marque la rentrée scolaire à partir de Djelfa pour distribuer des cartables pleins d’articles scolaires au bénéfice des enfants démunis. L’autre action, qui mérite d’être soulignée avec force, émane des abonnés de l’opérateur (plus de 13 millions de clients) qui, au cours du Ramadhan dernier, ont été très sensibles à l’appel de solidarité lancé par l’opérateur pour y adhérer totalement. Cela consistait à retenir 10 DA sur chaque opération menée par le client.
    Résultat des courses, le gain obtenu permet aujourd’hui à Mobilis d’être en mesure d’offrir quatre ambulances équipées de matériel médical ainsi que l’aménagement d’un espace dédié au service pédiatrique de l’hôpital d’Hussein-Dey (Parnet). “Je suis très fier de mes clients pour lesquels je suis très redevable”, dira humblement M. Damma, annonçant dans la foulée : “Nous allons lancer pas mal de projets avec le Comité olympique pour mener une campagne de sensibilisation et lutter contre la violence dans les stades notamment après la perte tragique de l’attaquant de la JSK : Albert Ebossé.”
    N. S.

    À la mémoire de Mohamed Salah MENTOURI

    Cérémonie de recueillement vendredi 5 septembre

    Par : Rédaction Nationale
    Le 5 septembre 2010, notre cher et regretté Mohamed Salah Mentouri était ravi à l’affection de sa famille et de ses amis.
    L’engagement passionné pour l’Algérie tout au long de sa vie, et ce, dès son plus jeune âge, sa droiture et sa générosité restent à jamais gravés dans les mémoires. En ce jour de commémoration, la famille Mentouri demande à tous ceux qui l’ont connu et apprécié pour son intégrité, son patriotisme, sa compétence, son courage, mais également pour sa discrétion, sa disponibilité, d’avoir une pensée à sa mémoire. Repose en paix, Mohamed Salah, toi qui es mort debout comme tu as vécu.
    Tu n’es pas mort dès lors que tu es présent dans les mémoires de ceux qui restent attachés aux idéaux que tu as, avec d’autres, portés d’une Algérie forte, libre, attachée à ses racines et fière de son histoire, et résolument moderne.
    Une cérémonie de recueillement est prévue le vendredi 5 septembre à 10h au cimetière d’El-Alia.




    Crise politique : Pourquoi l’armée est-elle sollicitée






    Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons interpellent l’armée pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.


    Fortement sollicitée pour peser de tout son pouvoir en faveur d’un changement démocratique, le commandement militaire cristallise tous les regards. En raison du flou politique dominant et surtout d’un chef d’Etat absent renforçant une périlleuse impasse, alors que les rumeurs font rage au sein du sérail, l’armée est de plus en plus sollicitée pour assumer son rôle historique. Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons l’interpellent pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.
    La grande muette, dont le rôle a été de tout temps déterminant dans les choix politiques comme dans la désignation des chefs d’Etat, est ainsi mise aujourd’hui face à ses responsabilités en tant que dépositaire du pouvoir réel car c’est elle qui «donne la légitimité aux civils pour gouverner», dixit l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Et c’est précisément ce dernier qui, depuis la campagne pour reconduire Abdelaziz Bouteflika au poste de président de la République pour un quatrième mandat qui fait peser sur l’armée une forte pression pour rappeler sa mission historique. «Faire allégeance au pays et à l’Etat de droit en non pas aux hommes», l’invite-t-il.
    Le chef de file des réformateurs ne cesse depuis d’appeler à forger «un nouveau consensus national» dont l’armée serait un acteur majeur car, selon lui, sans elle «rien ne pourra se faire». M. Hamrouche, au double parcours militaire et politique, fait la démonstration qu’il n’est «pas dans l’intérêt de l’armée de rester figée dans la situation actuelle». D’autres acteurs politiques se rallient également à l’idée de s’appuyer sur l’institution militaire pour amorcer un processus de changement politique démocratique.
    De nombreuses formations politiques travaillent à l’élaboration d’un compromis historique et convient le pouvoir à aller vers un changement de régime. Mokrane Aït Larbi a ainsi apporté sa contribution au débat sur le rôle de l’armée dans «une transition démocratique et pacifique».
    Pour l’ancien dirigeant du RCD, il ne s’agit pas d’appeler à un coup d’Etat militaire, mais face à « un dialogue de sourds qui s’est installé entre le pouvoir et l’opposition, l’armée détient la clé de la solution». En rappelant que l’armée a eu depuis l’indépendance « un rôle politique qui a pesé dans les évènements à commencer par l’élection de l’assemblée nationale constituante en 1993 jusque au quatrième mandat.

    C’est le commandement militaire qui a fabriqué les présidents, de Ben-Bella à Bouteflika et c’est le même commandement qui a fixé les grandes lignes de l’Etat. L’armée a pesé dans les grands évènements positivement ou négativement et c’est elle qui déteint les moyens matériels et humains et les compétences capables de contribuer efficacement à un changement démocratique (…)».
    L’avocat poursuit son analyse en considérant que l’armée qui devrait être au « service de l’Etat, du peuple et de la nation en non pas au profit de d’un pouvoir, d’un groupe ou d’un système ne peut retourner aisément dans les casernes alors que l’Algérie est dans une crise multiformes. Dans le contexte actuel, son rôle est de convaincre le président de la république de la nécessité de parvenir à un accord impérieux entre le pouvoir et l’opposition autour d’un plate forme adoptée par tout le monde dans la perspective d’un changement pacifique et éviter une nouvelle tragédie».
    La grande muette restera-elle sourde ?
    Ces appels seront-ils entendus? La grande muette restera-elle sourde aux «appels patriotiques» ? S’il est admis que durant la période post-octobre 1988 l’armée était soudée autour d’un groupe de généraux puissants qui se sont jetés dans l’arène et façonné le paysage politique, aujourd’hui, après quinze ans de règne de Bouteflika c’est le paysage de l’institution militaire qui a sensiblement changé. La guerre que se sont livrée des segments du pouvoir à la veille du scrutin présidentiel du 17 avril a vigoureusement révélé les dissensions, les divisions et surtout les tensions qui caractérisent le pouvoir et son épicentre militaire.
    Une escalade qui avait dévoilé les désaccords entre les centres de décision. Le Département du renseignement et de la sécurité a été violemment secoué et son patron, le général Toufik, a été mis en cause et en «difficulté» par le clan présidentiel via le FLN. Des analystes estiment que le commandement militaire n’est plus un bloc homogène et hégémonique. «En trois mandats, Bouteflika et son clan ont réussi à asseoir leur pouvoir et l’élargir à mesure que les puissants chefs militaires quittaient leurs fonctions».
    Les rapports de force dans le sérail ne sont pas restés figés. Le règne de Bouteflika a donné naissance à d’autres groupes influents au sein du pouvoir s’appuyant sur l’informel dominant et surtout sur l’accumulation de grosses fortunes qui contrebalancent le poids des militaires et des politiques. L’apparition de cette «nouvelle force» à une capacité de nuisance certaine qui évolue en neutralisant d’autres forces et à leur tête celle de l’armée. Cette dernière faut-il le souligner est fortement sollicitée militairement en raison du contexte sécuritaire régional.
    Ses chefs sont pour la plupart au crépuscule de leur carrière. Les acteurs politiques les appellent à accomplir leur denier acte. «Sauver» le pays d’un chaos menaçant ! Les généraux- majors, Toufik et Gaïd Salah interpellés par Mouloud Hamrouche ont-ils la volonté et la possibilité de le faire, eux qui étaient «forcés à maintenir le statu quo» ?
    N’est-il pas illusoire d’accorder des vertus démocratiques à des prétoriens qui ont façonné un ordre autoritaire ? Ceux qui exhortent l’armée à assumer son rôle dans le changement démocratique tablent sur une situation d’urgence nationale. «Les décideurs militaire sont enclins à l’ouverture quand le danger se fait imminent», proclame un connaisseur du sérail. En somme, à court terme, une succession devrait s’ «organiser» à des niveaux différents au sein du pouvoir.
    L’inéluctable départ à la retraite des patrons du DRS, Mohamed Mediène, et du chef d’état-major, Ahmed Gaïd-Salah. Reste le chef de l’Etat dont l’état de santé est incertain, et qui focalise toutes les incertitudes. Ces départs vont-ils alors induire des changements profonds dans la nature du régime politique? En tout état de cause, la classe politique ,comme le reste de la société l’espèrent ardemment.

    Hacen Ouali

    Dernière modification par zadhand ; 04/09/2014 à 00h54. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #4
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 07/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .


    RENTRÉE SOCIALE
    Revoici les embouteillages
    C’est la rentrée, premier rituel, les embouteillages. La frénésie s’empare de la capitale «abandonnée » pendant le mois d’août, en raison des congés et des Suite...

    "Le trésor du FLN" et l’assassinat de Mohamed Khider


    Dans cette contribution, le fils du militant nationaliste Mohamed Khider, assassiné en janvier 1970 à Madrid, apporte quelques éclairages suite à un article publié par notre confrère El Watan.
    Mohamed Khider.
    L’article paru dans le journal El Watan "Du Trésor du FLN aux "casinos" de Sonatrach", bien documenté, nous permet d'apprendre les aboutissants d'une ancienne affaire qui a défrayé les chroniques de l’époque.Cette banque dont les fonds ont été collectés tout au long de la guerre de libération pour soutenir le combat pour l’indépendance puis, plus tard, celui de la démocratie, n’aura servi qu’à profiter aux affairistes qui se sont jetés sur notre pays blessé, épuisé par 132 ans de lutte contre le colonialisme, mais plein d’espoir à l’indépendance obtenue. Un million et demi de patriotes tombés et combien de leaders lâchement assassinés par une poignée de personnes cupides de pouvoir.En démissionnant de son poste de Secrétaire Général du FLN, Mohamed Khider décide de combattre les régimes de dictature de Ben Bella puis celui de Boumediene qui détruisent tous les rêves alors permis à l'indépendance. Les rêves d'une Algérie qui aspirait à la démocratie, au développement, à la liberté, à l'épanouissement que tout citoyen algérien avait droit.L'affaire des fonds du FLN dont mon père avait la charge est limpide par la transparence qu’il lui a donnée. Dès sa prise d'opposition il déclare haut et fort qu'il se battra contre la dictature et qu'il met les fonds dont il avait la charge à la disposition de tous opposants ou mouvements d'oppositions qui se joindraient à lui. 50 millions de francs suisses affectés à une cause patriotique, citoyenne, juste. Son combat s’arrête malheureusement le 3 janvier 1967.Après sa mort, sa famille se battra contre le régime de Boumediene qui, pour camoufler leur crime, cherche à le faire passer pour un simple règlement de comptes lié à une affaire sordide d’argent. Peine perdu, car le passé et la personnalité de Mohamed Khider plaident pour lui. Son passé de militant, ses multiples années de prison pour la cause, sa démission du poste de Secrétaire Générale du FLN, qui le plaçait au premier rang dans la direction du pays et qui lui aurait permis, s’il l’avait voulu, de bénéficier de tous les avantages et trésors du pays, sont autant de preuves du désintéressement qu’avait cet homme pour l’argent.L’intégrité de Mohamed Khider est prouvée par l’affectation qu’il a donnée aux fonds dont il avait la charge. L’Algérie hérite d’une banque en Suisse malgré la législation qui interdit à tout pays étranger d’avoir un établissement bancaire sur son sol s'il n'y a pas réciprocité. Malheureusement, comme le détaille l’article du journal El Watan, cette banque ne servira que de plate-forme pour des transactions frauduleuses menées par les protégés du régime.Combien de temps durera encore ce régime et l’impunité dont ses sbires bénéficient ?
    Tarik Khider




    Autour de "Toute femme est une étoile qui pleure" de Karim Akouche

    Depuis quelques années je pris le risque de me retirer sur une petite île de quinze mille âmes du sud d’Haïti là où je pensais déterrer des fauves, des dragons, des arcs-en-ciel humides. ... Lire l'article



    Algérie-Maroc: 20 ans après, les frontières plus fermées que jamais !

    Tranchées contre le trafic de carburant d’un côté, clôture pour se protéger du «terrorisme» de l’autre: 20 ans après, la ... Lire l'article



    L’adieu à Si Abdelmadjid, l’Adieu à une conscience vivante

    L’implacable destin a voulu qu’une multitude de malheurs frappent notre pays et endeuillent notre peuple en un court ... Lire l'article






    Un ministre algérien dévalorise le dinar !!!

    Tayeb Belaïz, le ministre de l'Intérieur, a lancé une déclaration mercredi de peu de goût pour les petites bourses, mais ... Lire l'article

    Réda Hamiani décidé à quitter la présidence du FCE


    Moins d’un an après sa réélection à la tête du Forum des chefs d’entreprises (FCE) pour un quatrième mandat, Réda Hamiani a annoncé, samedi, son désir de démissionner de son poste pour des raisons « purement personnelles ».
    Il a, à ce propos, indiqué que « je confirme mon souhait de quitter la présidence du forum mais pas le forum en tant qu’organisation. Je ne vais pas claquer la porte parce qu’il y a des désaccords entre nous (membres du FCE) ».
    Hamiani a souligné qu’il n’a pas encore déposé sa démission et nie l’existence de tout conflit interne l’ayant pousser à envisager son départ. « Je voudrais consacrer un peu plus de temps à ma famille et prendre soin de ma santé », a-t-il assuré, ajoutant qu’il préférait l’alternance à la continuité et qu’il était temps de céder la place aux jeunes.
    Hamiani a confirmé avoir fait part de ses intentions de quitter son poste de président du FCE à ses vice-présidents dans une réunion interne. « Je leur ai dit (vice-présidents) que j’étais fatigué et que je n’avais plus la force de poursuivre ma mission jusqu’à la fin de mon mandat en 2015″, a-t-il dit, expliquant que sa démarche s’inscrit dans le cadre de la préparation de l’Assemblée générale (AG) du forum prévu en début d’année prochaine.
    Le président du FCE s’est dit, toutefois, disposé à rester encore le temps qu’il faut (3 à 5 mois, selon lui) pour trouver un successeur. « Ce n’est pas une démission mais c’est un départ volontaire », a-t-il précisé ajoutant « je ne déposerai ma démission qu’une fois la solution trouvée ».
    Hamiani était, depuis plusieurs mois, la cible de critiques de la part de certains membres du FCE et des rumeurs sur sa destitution ont circulé pendant longtemps. Des rumeurs que M. Hamiani a réfuté catégoriquement. « Non, il n’y a rien de tout cela. Je suis président et si je constate que seulement deux ou trois des membres du forum ne sont pas satisfaits de mon travail, je quitte avant qu’on pense à ma destitution », a-t- déclaré.
    « C’est vrai on avait un désaccord avant les présidentielles en mai dernier et il y avait la démission de MM. Rebrab et Otmani mais tout est rentré dans l’ordre. La crise est passée », a-t-il assuré. Élu président du FCE en 2007, Réda Hamiani a été réélu à la tête de cette organisation patronale en 2009 et 2011 puis en 2013.


    La BM table sur une croissance de 3,3% pour l’Algérie en 2014


    Selon son nouveau rapport semestriel publié mercredi, la Banque mondiale prévoit une croissance économique de 3,3% pour l’Algérie en 2014, puis de 3,5% en 2015 et de 3,6% en 2016.
    Avec ces pronostics réactualisés sur les perspectives économiques mondiales, le BM maintient les mêmes prédictions de croissance du PIB algérien que celles faites en janvier dernier alors qu’elle a révisé en baisse ses prévisions pour la croissance mondiale.
    Cependant, les nouvelles prévisions de cette institution financière sur la croissance économique de l’Algérie sont inférieurs à celles du FMI lequel tablait, en avril dernier, sur une croissance du PIB algérien de 4,3% en 2014 et de 4,1% en 2015.
    En ce qui concerne la balance des comptes courants du pays, la BM l’a revue en baisse en la situant à +0,7% du PIB en 2014 (contre une prévision de +2,6% faite en janvier dernier) et à -1,7% en 2015 (contre une prévision de +0,1% faite en janvier) et à -3,4% en 2016.


    L’UNESCO rend hommage au Cheikh al-Alawî


    L’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a rendu un hommage appuyé au Cheikh Ahmad b. Mustafâ al-‘Alawî à l’occasion du 100e anniversaire de la fondation de l’ordre (Tarika) soufi alawî (1914), « Une école pour la tolérance et la convivialité interreligieuse » écrit en titre l’Organisation Onusienne.
    « L’ordre soufi alawî a été fondé par le Cheikh al-Alawî, ayant fait de la promotion du dialogue interreligieux sa priorité » indique d’emblée le texte de l’UNESCO.
    Les actions du fondateur de l’un des plus importants mouvements soufis du xxe siècle siècle, la tarîqa ‘Alawiyya, une branche de l’ordre Chadhiliyya sont ensuite précisées et admises pour leur dimension universelle, « L’ordre montre comment mieux servir l’humanité ; comment tenter d’harmoniser et d’embellir le monde » est-il écrit.
    Expliquant les fondements de la Tarika ‘Alawiyya, l’UNESCO note ainsi qu’ »Il (l’ordre) accepte et admet tout ce qui peut apporter à l’homme le confort matériel, mais toujours en étroite relation avec la dimension intérieure, dans un équilibre permanent entre le profane et le sacré ».
    Enfin, le texte de l’organisation internationale affirme que « L’ordre mise sur la fraternité aimante des hommes. Il invite, en effet, à ne pas rejeter la rationalité au détriment de la spiritualité, à ne pas s’enfermer dans une religiosité frileuse ».
    Par cet écrit, qui est une reconnaissance, certes tardive mais qui a le mérite d’exister aujourd’hui sous la forme d’un hommage à un grand maitre soufi, l’UNESCO considère ainsi le Cheikh al-Alawî et son oeuvre exotérique et ésotérique, comme un apport universel pour l’humanité.


    Egypte: Mohamed Morsi sera jugé pour des documents livrés au Qatar


    L'ancien président islamiste de l'Egypte avait été destitué par l'armée en juillet 2013.
    Le président égyptien destitué par l’armée Mohamed Morsi sera jugé avec 10 co-accusés pour la livraison présumée au Qatar de "documents relevant de la sécurité nationale", a annoncé samedi un communiqué du procureur général.
    La date de l’ouverture du procès n’a pas encore été fixée.

    L’ex-président islamiste encourt déjà la peine de mort dans plusieurs affaires et depuis sa destitution et son arrestation par les militaires en juillet 2013, ses partisans sont la cible d’une sanglante répression qui a fait plus de 1 400 morts.
    Mohamed Morsi est accusé "d’avoir livré des secrets relevant de la sécurité nationale aux services de renseignement du Qatar et à des dirigeants de la chaîne d’information Qatarie Al-Jazeera (...) en échange d’un million de dollars" (environ 772 000 euros), selon le communiqué du bureau du procureur publié par l’agence de presse Mena.

    Parmi les co-accusés de Mohamed Morsi figurent son ancien secrétaire Amine El-Serafi, ainsi qu’une personne présentée comme un rédacteur en chef d’Al-Jazeera, Ibrahim Mohamed Helal. Les relations entre l’Egypte et le Qatar se sont détériorées après la destitution de Mohamed Morsi, les autorités égyptiennes dénonçant le soutient apporté par le riche émirat aux Frères musulmans, alors que Doha condamne régulièrement la répression visant les pro-Morsi.
    Mohamed Morsi comparaît actuellement devant la justice dans trois affaires, dont un procès pour espionnage dans lequel il est accusé avec ses 35 co-accusés d’avoir comploté avec le mouvement islamiste palestinien Hamas et la République islamique d’Iran pour déstabiliser l’Egypte.


    Mort de Robin Williams: Hollywood rend hommage à son génie comique



    ROBIN WILLIAMS - L'annonce du décès --sans doute un suicide-- de Robin Williams, comique de génie et acteur de grand talent, a provoqué une onde de choc dans la profession mais bien au-delà, tant ce petit bonhomme, à l'énergie inépuisable, était adoré du public.
    De Ben Stiller à Ellen DeGeneres en passant par Barack Obama, ils ont été nombreux à dire leur tristesse et à lui rendre hommage.


    CAN-2015 (qualification- première journée-GR: B) : Ethiopie – Algérie 1-2

    L’Algérie a battu l’Ethiopie 2-1, mi-temps (1-0) samedi à Addis Abeba en match comptant pour la première journée des qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations CAN-2015.
    Les buts de la rencontre ont été inscrits par Hilal Soudani (35) et Yacine Brahimi (84) pour l’Algérie.
    Said (90+6 sp) pour l’Ethiopie. Dans l’autre match du groupe B, le Mali accueillera dans la soirée le Malawi .(Aps)
    Fiche technique du match
    Ethiopie- Algérie (1-2), mi-temps (0-1) disputé samedi à Addis Abeba pour le compte de la première journée des qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations CAN-2015 de football.
    Terrain: mauvais état – Temps : nuageux – Public: nombreux
    Arbitre : Bernard Camille (Seychelles)
    Buts : Ethiopie : Said ( sp 90+6)
    Algérie : Soudani (35), Brahimi (84)
    Avertissements : Soudani (33), Taider (68) Algérie
    Composition des équipes :
    Ethiopie : Temal, Adebaw, Natnael, Thok, Salaheddine Said, Alula, Bargicho, Cheneles, Tadel (Getn 46), Adawe (Menyahc 81), Omod.
    Sélectionneur : Mariano Barreto
    Algérie : M’Bolhi, Mandi, Mesbah, Belkalem, Medjani, Lacen, Feghouli, Brahimi, Taider (Guedioura 90+2), Soudani (Mahrez 76), Slimani (Belfodil 68).




    Sélectionneur : Christian Gourcuff.




    Football européen

    Les transferts ont coûté 3 milliards de dollars aux clubs européens

    La Premier League anglaise a dominé les débats sur le marché des transferts cet été, alors que le montant total des transactions en Europe s'élève à plus de 3 milliards de dollars, selon une étude publiée hier. Les 20 clubs de Premier League ont dépensé environ 835 millions de livres (1,38 milliard de dollars, 1 milliard d'euros), selon une étude du cabinet Deloitte, publiée après la fermeture, lundi à minuit, du marché estival. Les clubs de la Liga espagnole ont, quant à eux, dépensé un peu plus de 700 millions de dollars (535 millions d'euros), avec le Real Madrid et Barcelone à leur tête et les achats coûteux de Luis Suarez et James Rodriguez. La Seria A italienne arrive en troisième position européenne avec 450 millions de dollars (327 millions d'euros) dépensés, suivie par la Bundesliga dont le montant total des transactions s'élève à 415 millions de dollars (315 millions d'euros). La Ligue 1 française se positionne à la cinquième place avec 165 millions de dollars investis cet été (125 millions d'euros).





    Dernière modification par zadhand ; 07/09/2014 à 00h49. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #5
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 08/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .

    Ces «constantes nationales» qui divisent les Algériens

    Par Mustapha Benfodil
    Et revoilà les fameuses «constantes nationales» ! Remises au goût du jour à la faveur des dernières consultations sur la révision constitutionnelle. la suite

    Skikda : Fuite de gasoil au tunnel de l’îlot des chèvres

    Une fuite de gasoil a concerné, dans la matinée d’hier, le tunnel de l’îlot des chèvres qui abrite deux pipes desservant les bras de chargement du port mixte de Skikda.

    La fuite a été causée par la rupture d’un pipe de 16 pouces déversant des quantités non encore déterminées. L’alerte donnée à temps par un officier de la police des frontières du port de Skikda a été de suite suivie par le déploiement d’un dispositif de sécurité. Des camions anti-incendie de la Protection civile ainsi que des moyens de la raffinerie de Skikda ont été déployés pour parer à toute éventualité.
    Une opération de pompage du liquide a aussi été menée par Naftal et le sablage de la chaussée passant près de l’entrée du tunnel a également été effectué pour sécuriser les usagers de cette route très empruntée par les automobilistes de Skikda. A noter que le tunnel de l’îlot des chèvres abrite deux pipes de 16 et de 26 pouces qui desservent le quai pétrolier du port mixte.

    La gamme des Smartphones s'enrichit

    Samsung Algérie dévoile le Galaxy S5


    C’est au milieu du somptueux décor de la Résidence Nedjma (El Biar), qui offre une vue panoramique de la baie d’Alger qu’a été lancé, jeudi dernier en Algérie, le Samsung Galaxy S5.


    Des invités, dont les représentants des opérateurs de téléphonie mobile et des directeurs de journaux, ont assisté à cet événement. L’équipe de Samsung Algérie a dévoilé ainsi un nouveau bijou de haute technologie qui surpassera son prédécesseur, le Samsung S4, qui était déjà à la pointe de l’innovation et en avance dans bien des domaines sur ses concurrents.
    Le mot «bijou» est aussi adapté à son design très chic qui en fait un vrai accessoire de mode. Que peut-on demander encore à un smartphone ? Samsung offre une réponse avec ce modèle. Parmi les différentes fonctions novatrices, on peut citer sa caméra et les différentes options du traitement de l’image qu’elle propose, son optimisation pour le téléchargement et différentes options de sécurité pour protéger les informations confidentielles.
    Autre argument de vente : son indicateur de pouls et la résistance de l’appareil à l’eau, à la poussière et aux chocs. «Avec le Galaxy S5, Samsung se concentre sur ce qui importe le plus aux consommateurs de la région», a déclaré le directeur général de Samsung Electronics Algérie. «Les consommateurs sont à la recherche d’outils mobiles qui les inspirent, les soutiennent et qui améliorent leur quotidien. Le Galaxy S5 représente une conception emblématique avec des fonctionnalités essentielles et utiles pour se concentrer sur la vente du meilleur smartphone sur le marché d’aujourd’hui, à travers l’innovation inspirée par les utilisateurs.»
    La capture et l’enregistrement des souvenirs précieux sont les caractéristiques les plus importantes des smartphones d’aujourd’hui. Le nouveau Galaxy S5 offre des fonctionnalités d’appareil photo de qualité supérieure, comportant un appareil photo de 16 mégapixels doté d’un menu amélioré et d’une interface d’utilisateur qui permettent aux consommateurs de capturer, modifier et partager des photos facilement. Il comporte également un lecteur d’empreintes digitales, offrant un dispositif de verrouillage biométrique d’écran sécurisé, ainsi qu’une expérience de paiement mobile impeccable.
    Peur que vos enfants aient accès à des contenus inappropriés ou qu’ils suppriment des données importantes ? Samsung a mis en place un mode enfant afin de restreindre l’accès, le tout dans une interface colorée et adaptée à vos chers chérubins. Son prix chez les revendeurs est de 163 500 DA. Mais les opérateurs de téléphonie mobile le proposent à des prix moins chers :
    62 950 DA (Djezzy), 64 500 (Mobilis) et 67 000 DA (Ooredoo) ; les stocks sont limités. Le marché algérien de la téléphonie mobile est-il en train de s’orienter vers un «marché opérateur» ? Des signes portent à le croire, surtout après le lancement de la 3G en Algérie. Cela reste toutefois minime par rapport aux revendeurs, mais c’est une tendance qui se dessine depuis des semaines.

    Sonatrach : Haddad, Zerguine et le 4e appel d’offres

    Le limogeage du président-directeur général de Sonatrach au mois de juillet dernier, ainsi que le retard pris dans le processus d’attribution de nouveaux blocs d’exploration dans le cadre du 4e appel d’offres continuent à faire couler l’encre aussi bien en Algérie qu’en outre-mer.


    Malgré les signaux positifs émis par les autorités algériennes en direction des partenaires étrangers, certains facteurs ne sont pas pour redorer le blason de la destination Algérie. D’autant plus que l’influence grandissante de certains cercles d’affaires que l’on dit proches du pouvoir, inquiète. C’est le cas du magazine on-line Orient XXI, qui compte parmi ses collaborateurs des journalistes algériens et français ainsi que des sociétaires du CNRS et de l’Institut français du Proche-Orient et qui se penche sur la question. C’est ainsi qu’un article signé de l’ex-rédacteur en chef de L’Express, Jean Pierre Sérini, se penche sur l’influence présumée d’Ali Haddad, patron de l’ETRHB, sur le limogeage de Abdelhamid Zerguine du poste de PDG de Sonatrach.
    Le fait qu’on n’ait jamais réellement et officiellement expliqué ce limogeage donne lieu à diverses interprétations. La plus évidente étant la main de Ali Haddad. Le journaliste entame son enquête à partir d’un fait d’actualité, l’annonce par le tonitruant porte-parole du Parti des travailleurs, Mme Louiza Hanoune, concernant le désir de Ali Haddad de peser de tout son poids pour la nomination d’un homme acquis à sa cause à la tête de Sonatrach. Le fait est que l’ETRHB est la seule entreprise, avec le groupe KOU G.P., à avoir été préqualifiés pour l’exercice d’activités dans le secteur des hydrocarbures, celui-ci voudrait élargir ses activités au-delà de la simple transformation et distribution de bitumes.
    D’ailleurs il a clairement affiché ses ambitions concernant la réalisation d’une raffinerie pour un montant de 2 milliards de dollars. Haddad aurait aussi des vues sur l’amont pétrolier et voudrait peser pour l’attribution de blocs lors du 4e appel d’offres. Or, la loi sur les hydrocarbures stipule clairement que toutes les activités dans ce secteur stratégique doivent être initiées dans le cadre d’un partenariat où la Sonatrach serait largement majoritaire. Et c’est justement là que le bât blesse.
    Jean Pierre Serini, qui prend le soin de rappeler la guerre des nerfs et le cage à cage médiatique ayant pour objectif dans un cas de démontrer l’incompétence de Abdelhamid Zerguine et dans un autre de le défendre, suppose que le PDG de Sonatrach a traîné la patte pour finir par refuser de s’engager dans cette voie et par en payer le prix. L’auteur estime pourtant que le limogeage de Zerguine ne va pas forcément conduire à la nomination d’un successeur plus docile, d’autant plus, poursuit-il que les cadres de Sonatrach ont été échaudés par les scandales de corruption ayant décapité le management de l’entreprise ainsi que de nombreux cadres, aussi bien le PDG que la majorité des vice-présidents. Une situation qui retarde d’ailleurs de nombreuses décisions, précise Jean Pierre Serini, et qui nuit d’ailleurs aux rapports avec d’éventuels partenaires.
    En tout état de cause, les écrits qui se multiplient outre-mer et qui évoquent «un capitalisme de copinage» faisant rage dans notre pays, ne sont le reflet que d’un constat : si l’influence supposée de Ali Haddad fait aujourd’hui l’objet de nombreux récits réels ou fictifs et d’une véritable légende urbaine, celle-ci pourrait nuire gravement à l’image et au climat des investissement de l’Algérie.

    Un nouveau site Internet dédié à la santé mère-enfant

    Un nouveau site Internet dédié à la santé de la mère et de l'enfant a été lancé, hier, à Alger. Premier du genre en Algérie, le site offre des services et des conseils prodigués par des spécialistes sur la santé de la mère, de l'enfant et l'alimentation saine. Il comprend quatre rubriques outre une vidéo animée par Mme Dalila Yahiaoui, sage-femme au CHU Nafissa-Hamoud (ex-Parnet). Selon les initiateurs du projet, le site a pour objectif de prodiguer des conseils en matière d'éducation et d'alimentation de l'enfant et ne peut, aucunement, prescrire des médicaments aux malades ou orienter les mères vers des spécialistes par respect de la déontologie professionnelle, précisent ses initiateurs. Le site, disponible en arabe et en français, a été lancé par la société française de production de lait pour enfant Celia.



    Sports
    FOOTBALL
    AU LENDEMAIN DU SUCCÈS DES VERTS À ADDIS-ABEBA FACE À L’ÉTHIOPIE
    Maintenir le cap pour mater les Aigles
    Le premier pas est franchi. Pour les Verts et leur nouvel entraîneur Christian Gourcuff, réalistes à souhait lors de ce premier round des qualifications pour la CAN-2015 (Maroc, du 17 janvier au 8 février). Si l’Ethiopie n’est pas ce test révélateur pour savoir si l’EN a mûri depuis son brillant Mondial au Brésil, l’empoignade de ce mercredi, face Suite...

    COUPES DU MONDE 2018/2022
    Platini persiste : «pas une erreur de voter pour le Qatar»
    Le président de l'UEFA Michel Platini continue de défendre le choix du Qatar pour le Mondial-2022, qui «doit être disputé en hiver», tout en Suite...

    EURO-2016 (QUALIFICATION, 1re JOURNÉE)
    Au tour de l'Espagne et de l'Angleterre
    Deux grands d'Europe déçus de leur Mondial, l'Espagne et l'Angleterre, débutent ce soir leur parcours dans les éliminatoires de l'Euro- 2016, quiSuite...

    CROSS-COUNTRY : 56es MONDIAUX MILITAIRES
    L’Algérie sacrée au cross court et vice-championne au cross long
    La sélection algérienne militaire de cross-country a été sacrée championne du monde, en individuel et par équipes dans l'épreuve du cross court (5Suite...

    LA CÉRÉMONIE EST PRÉVUE CET APRÈS-MIDI
    Partenariat scellé entre la FAF et Mobilis
    Un mois après avoir été choisi nouveau sponsor de la FAF et de l’EN de football, l’opérateur public de téléphonie mobile, ATM Mobilis, Suite...

    CAN-2014 «DAMES» : LES CINQ JOUEUSES ÉMIGRÉES DEPUIS HIER À ALGER
    Début du 4e stage préparatoire de l’EN
    Les joueuses de la sélection algérienne de football ont commencé à rallier Alger dès hier matin, en prévision du 4e stage destiné à préparer la Suite...

    GOURCUFF L’A LAISSÉ ENTENDRE À LA FIN DU MATCH D’ADDIS-ABEBA
    Des changements attendus ce mercredi
    L'entraîneur de la sélection algérienne de football, Christian Gourcuff, n'a pas écarté l'idée de procéder à des changements dans le onze de Suite...

    IL EST LE PREMIER SÉLECTIONNEUR DEPUIS QUI ENTAME SA MISSION PAR UNE VICTOIRE
    Gourcuff «peut mieux faire»
    L’entraîneur de l'équipe algérienne Christian Gourcuff a réussi ses débuts à la tête des Verts en allant damer le pion à l’Ethiopie à Suite...

    IL A INSCRIT SON 12e BUT EN SÉLECTION
    Soudani rejoint Slimani au classement du meilleur buteur
    L'attaquant Hilal Soudani a inscrit son 12e but sous les couleurs de la sélection algérienne lors de la victoire sur le terrain de l'Ethiopie samediSuite...
    Dernière modification par zadhand ; 08/09/2014 à 00h39. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #6
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 12/09/2014

    Regain d’hostilités entre le RCD et le FFS

    Par Farouk Djouadi le 11/09/14 à 18h06 | mis à jour le 11/09/14 à 22h53


    « Le FFS n’a pas d’initiative. Il n'a que des paroles, un discours vide... », a déclaré Mohcine Belabbes à la presse. la suite


    L’opposition passe à l’offensive


    Le plan d’action du comité de suivi installé hier devrait être décliné aujourd’hui par un communiqué sanctionnant la rencontre.

    Il y avait du beau monde hier au siège national du RCD à El Biar. L’installation du solennel Comité de suivi, prévu par la conférence nationale pour la transition démocratique tenue le 10 juin dernier, a attiré les opposants politiques de tous poils, au propre et au figuré.
    L’ambiance au siège du RCD, caractérisée par un carrousel de voitures rutilantes déposant les leaders politiques, rappelait au bon souvenir les luttes démocratiques des années 1990.

    Les reporters et les photographes présents en force s’en étaient donné à cœur joie. Dès que la voiture d’un leader politique franchit le portail d’entrée, de nombreux journalistes l’accueillent (ou plutôt le cueillent) l’obligeant à improviser un point de presse avant même le début de la réunion. Particulièrement actif au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le chef du parti Jil Jadid, Soufiane Djilali, est le premier à pointer. Il rejoint directement le bureau de son homologue du RCD, Mohcine Belabbas, situé au premier étage.
    Annoncée initialement à 14h, la réunion tant attendue est reportée, nous dit-on, à 15h. La presse s’impatiente dans la petite cour du siège du RCD sous une chaleur étouffante. Mais l’arrivée (14h20) de Ali Benflis à bord d’un bolide allemand noir a réveillé tout le monde. «Ça commence à être sérieux apparemment… », glisse un confrère, un brin refroidi comme beaucoup par l’annonce de la défection de Sid Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche pour des raisons «d’indisponibilité».
    Tout le monde est là
    En complet noir, chemise blanche et cravate bleu nuit striée de points blancs, Ali Benflis répond avec beaucoup d’entrain aux nombreuses sollicitations des journalistes. Faisant face à une forêt de microphones, l’ex-chef de gouvernement a fait le tour de la question, l’air plutôt serein. Il débarque à cette réunion avec ses proches collaborateurs au sein du Front du changement que sont Djahid Younsi, Nourredine Bahbouh, Tahar Benbaibeche et Djamel Ben Abdesslam. «C’est une bonne chose que les partis d’opposition se rencontrent pour échanger des points de vue sur le meilleur moyen de régler la crise de légitimité dans notre pays», commente, d’emblée, l’ex-candidat à la présidentielle.
    Les questions fusent de toutes parts et sur tous les sujets. Il est même interrogé si Belkhadem allait rejoindre ce Comité de suivi, maintenant qu’il est en rupture de ban avec le pouvoir. «Il n’y a rien à signaler à ce sujet pour l’instant», balaie Ali Benflis. Mais il ne se prive pas de décliner sa vision du «changement politique en Algérie» et la solution de la «crise de légitimité qui passe, enchaîne-t-il, par un retour au processus électoral supervisé par une instance de surveillance indépendante». Sur sa présence à cette réunion, Ali Benflis estime que «pour le Pôle du changement, l’unité de l’opposition nationale constitue un objectif stratégique majeur pour l’ensemble de ses composantes soucieuses de hâter le dépassement de la grave crise de régime à laquelle notre pays est confronté». Visiblement à l’aise face à la presse, Benflis ravit la vedette à tous les autres leaders et a pratiquement improvisée une conférence de presse in situ.
    Benflis ravit la vedette
    Pendant ce temps, Ahmed Benbitour, également ancien chef de gouvernement, voulant visiblement éviter le «faux barrage» des journalistes, rejoint lui aussi furtivement Mohcine Belabbas et Soufiane Djilali au 1er étage. Mustapha Bouchachi, en rupture de ban avec le FFS, se dirige tout droit vers la salle de réunion. Benflis poursuit son speech dans la cour en embrayant sur la nécessité pour l’opposition de «souder ses rangs autour d’une vision rassembleuse de sortie de la crise politique actuelle».
    Ali Benflis sera ainsi happé par les journalistes jusqu’à ce que Kamel Guemazi, membre fondateur du FIS, vêtu d’un qamis blanc, la barbe bien fournie, fait son entrée dans les locaux du RCD en compagnie de Ali Djeddi lui aussi en qamis marron. Les journalistes tentent de leur soutirer une déclaration alors que le duo se dirige tout droit vers la salle de réunion. «Comme nous avons participé à la conférence de Zéralda le 10 juin dernier, nous sommes ici pour essayer de trouver la meilleure voie à un changement pour le bien de l’Algérie», déclare Kamel Guemazi.
    «Qu’est-ce que cela vous fait de vous retrouver au siège du RCD qui a toujours été votre adversaire politique ?» interroge un journaliste. «C’est une preuve que nous avons évolué dans notre réflexion et ce genre de rencontres permet d’échanger des points de vue entre partis et personnalités algériens sur ce qu’il faut faire pour sortir le pays de la crise», répond l’ex-maire FIS, d’Alger-Centre. Mokdad Sifi qui vient d’arriver dit à peu près la même chose : «Je suis ici pour participer à cette initiative politique et d’autres encore pour peu qu’elles visent à changer l’Algérie dans le bon sens.» 15h tapantes.
    Les organisateurs invitent les participants à rejoindre la salle pour une rencontre à huis clos. Les derniers arrivants, dont Abdelaziz Rahabi, Abderrazak Mokri et Karim Younes, pressent le pas vers le lieu de rencontre, échangeant des saluts avec des journalistes. Une petite photo de famille puis la porte de la salle se referme, laissant les leaders de l’opposition peaufiner leur plan de bataille face à un pouvoir qui ne leur fait pas de cadeau. Une feuille de route devrait faire l’objet d’un communiqué qui sera rendu public aujourd’hui, promet-on.

    Le FFS fait machine arrière
    Comme il fallait bien s’y attendre, le Front des forces socialistes (FFS) a fini par décliner l’invitation de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de participer à l’installation du Comité de suivi. Dans un communiqué publié sur son site web, ce parti dirigé désormais par Mohamed Nebbou justifie sa décision par son choix de «privilégier les contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales». «En application des résolutions de notre 5e congrès qui visent la reconstruction d’un consensus national, nous avons adopté une feuille de route en conséquence. Dans ce cadre, nous privilégions actuellement des contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales, en vue de réunir une conférence de consensus avant la fin de l’année. Nous ne souhaitons donc pas intégrer cette instance de suivi et de concertation», lit-on dans le communiqué du FFS.
    Et comme pour ne pas se fâcher avec tous ces partis et personnalités de l’opposition réunis au grand complet, ce parti les invite à «croire que nous continuons de suivre avec attention, respect et intérêt vos initiatives». Pas de quoi convaincre et l’opposition et l’opinion publique de la pertinence politique de cette décision qui privilégie curieusement une démarche en solo au lieu d’un front unitaire à même de créer un vrai rapport de forces au pouvoir. Question à un dinar symbolique : avec qui le FFS compte-t-il amorcer son «consensus national» alors qu’il joue le dissensus au sein de l’opposition ? (H. M.)


    Des partisans de Abdelaziz Belkhadem ont révélé l’information : Amar Saadani aurait été auditionné par la police française

    11 septembre 2001, 13 ans après

    Cette date qui a changé notre façon de voyager

    Par : Kezzar MouradAujourd’hui, 13 ans après les événements du 11 Septembre 2001, cette date reste comme une grande blessure dont les séquelles marquent toujours le quotidien des voyageurs par voie aérienne, dont les Algériens. Depuis cet événement, à l’instar des citoyens des autres pays, les Algériens, qui se déplacent par avion, sont astreints à des mesures de sûreté plus draconiennes que celles déjà introduites par les autorités algériennes à la suite du détournement de l’Airbus d’Air France en 1994 à l’aéroport d’Alger.
    En effet, sous la pression des USA, mais aussi dans le cadre de la concertation entre les pays menacés par le terrorisme ou engagés dans sa lutte, les Algériens qui prennent l’avion, que ce soit pour un vol domestique ou pour un vol international, sont astreints au respect de certaines règles et procédures sévères dites de sûreté.
    Déjà, lors de la réservation d’un billet d’avion, le passager est obligé de communiquer aux agents de la billetterie des informations considérées par le passé et avant cette date du 11 Septembre comme étant d’ordre privé. C’est la fameuse procédure Apis. Une fois à l’aéroport, le passager est soumis à une fouille systématique de ses bagages et une autre corporelle.
    Dans certains aéroports, la fouille corporelle devient quasi humiliante avec l’obligation de se déchausser, de retirer sa ceinture… Son enregistrement au vol ne devient effectif qu’une fois le contrôle des documents effectué. Une compagnie qui émet à titre d’exemple un billet à un Algérien à destination de la France sera soumise à des pénalités si le passager en question ne possède pas les preuves matérielles de son éligibilité d’entrée dans le territoire français.
    À partir de 2006, la nomenclature des objets admis dans le bagage en cabine a été réduite à sa plus simple expression. Désormais, sur la liste des produits prohibés, on retrouve, aussi, des liquides, à l’instar du miel et de l’huile d’olive. Les shampooings et même les biberons pour bébés sont concernés. Désormais, seuls les flacons de moins de 100 ml et contenant un liquide sont admis en cabine. Conséquences de ces mesures, les passagers sont obligés de suivre de longues files d’attente devant les portiques de sécurité ou même à l’entrée des aérogares, avant leur embarquement. Ils sont dans l’obligation d’expédier dans le bagage allant en soute des liquides précieux, tels que les parfums et les médicaments, ainsi que des équipements électroniques. Une situation qui fait exploser le nombre de vols lors de la manutention des bagages. À noter que les Algériens, par rapport aux citoyens d’autres pays, ont découvert les mesures de sûreté aérienne qui diffèrent des procédures de la sécurité aérienne au lendemain du détournement de l’Airbus d’Air France, soit le 26 décembre 1994, à l’aéroport d’Alger. Fouille corporelle, portiques de sécurité, reconnaissance des bagages, stérilisation des cockpits, soit leur fermeture une fois l’embarquement terminé, et la présence éventuelle de policiers en civil sur certains vols ont été découverts par les Algériens dès 1995. Mais à partir de 2001, ils seront astreints de vivre ces mesures, et d’autres plus sévères, dans des aéroports jusqu’ici réputés pour leur gestion fluide des passagers et des bagages.


    Révélé la semaine dernière à l’IFA de Berlin

    Le Galaxy Note 4 : une nouvelle dimension technologique

    Par : Nabila SAIDOUNLe n°1 mondial du mobile confirme sa suprématie sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note” qui sera commercialisé à partir d’octobre prochain.

    Le show ! Samsung soigne de plus en plus son image et met les petits plats dans les grands pour séduire technologiquement, mais aussi visuellement. Sa participation à l’IFA de Berlin, le rendez-vous annuel de la grande messe high-tech européenne qui s’est tenue la semaine dernière en Allemagne, prend des allures futuristes de celui qui pousse le défi à son paroxysme, notamment en cette période qui coïncide avec la révélation de l’Iphone 6 d’Apple et de sa phablette Iphone 6 plus. C’est indéniable, les yeux du monde sont encore fois braqués sur ces constructeurs qui osent, sans limites, mettre au défi le génie technologique et ne rien se refuser pour surprendre… pour séduire, et c’est loin d’être un jeu. L’industrie mobile rapporte et rapporte gros pour celui qui impose sa suprématie. Le géant sud-coréen ne s’embarrasse pas, d’ailleurs, pour placer la barre très haut et confirmer son leadership sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note”. Celui-ci sera commercialisé au niveau mondial à partir d’octobre prochain pour être introduit, un peu plus tard, en Algérie.

    La phablette : un segment en forte croissance
    Aux attributs technologiques des plus impressionnants, le Galaxy Note 4 se présente comme une véritable bête de course réunissant tout l'héritage de Samsung en matière d’expérience mobile Galaxy. Ses concepteurs l’ont doté de nouveautés de manière à se distinguer des versions précédentes présentant des arguments irréfutables pour son acquisition. DJ Lee, exécutive vice-président Samsung division Mobile, en a fait d’ailleurs la démonstration en conquérant. Si visuellement, le Galaxy Note 4 affiche peu de différences par rapport au Note 3, en réalité, un détail diffère et pas des moindres. La phablette 2014 de Samsung s’équipe d’un solide cadre en métal dans la veine de ce que propose déjà le Galaxy Alpha. Un matériau attendu depuis très longtemps chez Samsung et qui, à terme, pourrait bien remplacer totalement le plastique sur certains modèles. Le Galaxy Note 4 offre aussi des couleurs plus naturelles par rapport aux versions précédentes avec son extraordinaire écran Quad HD (2560x1440) Super Amoled de 5,7 pouces permettant de meilleurs angles de vue et des temps de réponse d’une vitesse d'un millionième de seconde. La fonctionnalité multi-fenêtres est à son tour améliorée et en mesure de maximiser l'expérience de l'utilisateur en lui fournissant la clé pour faciliter le multitâche. Il peut choisir la façon d’accéder à ses applications en mode plein écran, en écrans fractionnés ou instantanés, et de changer facilement la taille et le positionnement des applications sur l'écran avec une fonction “glisser” intuitive.
    Ce bijou technologique totalement irrésistible arbore également un système de caméra de pointe qui est capable de reproduire des images plus éclatantes et plus claires.
    L'appareil est équipé d'une caméra orientée vers l'arrière de 16 mégapixels avec un stabilisateur d'image optique intelligent qui contrebalance le tremblement de la caméra et prolonge automatiquement le temps d'exposition dans des endroits sombres. En outre, une caméra de face de 3,7 mégapixels dotée d’un F1.9 offre un angle de prise de vue de 90 degrés par défaut et un angle plus grand jusqu'à 120 degrés afin que les utilisateurs puissent prendre les meilleures photos de groupe avec des amis.
    Le Galaxy Note 4 propose également un Fingerprint Scanner amélioré, afin de sécuriser les données personnelles et le premier capteur UV au monde dans un appareil mobile. L’ultra haut de gamme de Samsung offre également aux utilisateurs un choix de plusieurs méthodes de prise de notes intégrées avec l’application S Note de Samsung, qui permet d’effectuer les tâches quotidiennes plus rapidement et plus facilement.


    Après le coup de jarnac de son ex-compagne Valérie Trierweiler

    L’avenir politique de François Hollande plus sombre que jamais !

    Par : Djamel BouattaClimat de rentrée calamiteux pour le chef de l'Etat français : croissance en berne, majorité divisée, fracturée même. Aucune de ses initiatives ne parvient à redresser la barre.
    Cerise sur le gâteau, le livre-brûlot de son ex-compagne qui dévoile un François Hollande pas du tout “normal” et même méprisant à l’égard de l’électorat populaire. Devenu le président le plus impopulaire de la Ve République française, donné comme battu au second tour de la présidentielle face à tous ses rivaux et même surtout Marine Le Pen, François Hollande pourra-t-il se représenter en 2017 ? Clairement non, affirme un sondage Ifop selon lequel 85% des Français ne souhaitent pas que le président postule à un second mandat. Ce serait la première fois qu'un président sortant ne serait pas en position de solliciter une deuxième fois la confiance des électeurs. Même chez les sympathisants socialistes, 65% ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Plus de la moitié des Français (55%) pensent qu’il ne sera d'ailleurs même pas candidat. En première ligne des reproches qui lui sont adressés viennent les promesses non tenues de sa campagne présidentielle, puis dans l'ordre décroissant le manque de résultats obtenus sur le plan économique, la manière dont il exerce la fonction présidentielle, la progression du nombre de chômeurs et l'exposition de sa vie privée.
    Le livre de son ex-campagne, Valérie Trierweiler, l’a encore enfoncé, décrivant un socialiste “bourgeois”, n'aimant pas les pauvres, qu'il appelle des “sans-dents”. Mais, hier François Hollande, a réfuté ces assertions en affirmant qu’il a vécu cela comme “un coup porté à vie tout entière” et dénoncé un “mensonge qui (le) blesse”, selon des confidences faites au Nouvel Observateur, à paraître aujourd’hui. “Cette attaque sur les pauvres, les plus démunis, je l'ai vécue comme un coup portée à ma vie tout entière (...). Dans toutes mes fonctions, dans tous mes mandats, je n'ai pensé qu'à aider, qu'à représenter ceux qui souffrent. Je n'ai jamais été du côté des puissants, même si je ne suis pas leur ennemi, mais je sais d'où je viens”, a déclaré le chef de l'Etat français. “Vous croyez que j'ai oublié d'où je viens ? Mon grand-père maternel, petit tailleur d'origine savoyarde, vivait avec sa famille dans un modeste deux-pièces à Paris. Mon grand-père paternel, lui, était instituteur, issu d'une famille de paysans pauvres du nord de la France. Et vous croyez que je pourrais mépriser le milieu d'où je tiens mes racines, ma raison de vivre ?”, s’est-il indigné. Lors de la conférence de presse qu'il a donnée à Newport (pays de Galles), à l’issue du sommet extraordinaire de l’Otan consacré à la coalition internationale sous le panache américain pour combattre le califat islamiste en Irak et en Syrie, il a martelé qu'il gouvernera jusqu'au bout et n'était qu'à la moitié du mandat que lui a confié le peuple français en mai 2012. Selon les politologues français, bien que protégé par les institutions, François Hollande devra néanmoins devoir prendre des initiatives politiques rapides pour éviter de sombrer dans la spirale d'impopularité qui le tire actuellement vers des niveaux d'impopularité jamais connus.
    La conférence de presse semestrielle prévue le 18 septembre sera-t-elle un moyen pour lui de reprendre l'offensive, comme l’assurent ses proches ? A regarder de prés le président français est le nez au mur. Outre l’offensive de la droite et du Front national dont la patronne est persuadée que son heure à elle est arrivée, François Hollande s’est mis à dos les verts de l’EELV, le Front de gauche et une bonne partie des militants du PS. Pour les plus optimistes, François hollande dispose encore assez de mou pour ne pas envisager des solutions extrêmes genre dissolution de l’Assemblée.

    PROJECTION DE AT (HOME) DE ELISABETH LEUVREY AUX RC DE BÉJAÏA

    L'être et le néant...

    Après la Traversée, film documentaire qui suit par bateau des milliers d'Algériens entre Alger et Marseille, la réalisatrice française quitte la mer Méditerranée en direction du Grand Sud algérien. ... Lire
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  7. #7
    Date d'inscription
    novembre 2014
    Messages
    314
    Thanks
    131
    Total, Thanks 380 fois
    Pouvoir de réputation
    131

    Re : Radar de Maghreb-Sat

    mabrouk pour nos amis tunisiens
    j'espere qu'il fairant quelques chose allez bon vent
    et tout ces jours qui passent plantent en mon coeur affligé chaqu'un une lance de regrets et d'angoisse

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •