Re : Le dinar à un nouveau niveau plus bas historique
Salam
c est une chance pour les algérien. il faut travailler et produire sur le sol national, ainsi diminuer fortement toutes les importations.
Ce qui doit être consommé en Algérie doit être produit en Algérie 'llait ,viande meuble.auto
l Algérie est un eldorado ! tout est a faire
ps: il faut savoir que le prix de revient du baril en Algérie est de 15 $ est 5 $ en Arabie saoudite.
le prix actuel de 50 $ est voulue par les usa.
Ce que prévoit le nouveau projet de loi de finances 2016
A LA UNE ACTUALITÉ_Loi de finances 2016
13 Novembre 2015
Ce que prévoit le nouveau projet de loi de finances 2016
Après le premier avant-projet de la loi de finances 2016, la commission financière à l’APN travaille sur une nouvelle mouture du projet de loi de finances, 2016 dans lequel plusieurs changements importants
ont été apportés par rapport à la première version publiée dans la presse en septembre.
La commission des finances à l’APN travaille ces jours-ci sur le projet de loi de finances 2016, adopté en Conseil des ministres en octobre dernier. Une mouture différente de celle publiée dans la presse quelques semaines avant. Dans ce document dont El Watan Week-end a obtenu une copie,
plusieurs changements ont été introduits en comparaison avec la première version.
L’article 54 qui permettait «aux investisseurs étrangers de sortir, via la Bourse, lors de la cession de leur participation dans les entreprises algériennes, sans la présentation d’une attestation de renonciation à l’exercice du droit de préemption», ne paraît plus dans le nouveau projet de loi. Un assouplissement dans l’exercice du droit de péremption que le gouvernement avait promis
à l’issue de son Conseil des ministres tenu le 6 octobre 2015.
Mais les raisons pour lesquelles cet article a été retiré restent inconnues, surtout après la polémique suscitée par les 19 signataires de la lettre adressée au président de la République. Mais, selon certaines sources, le droit de préemption serait réintroduit dans le prochain code des investissements. Il est pourtant admis que «si un article apparaît dans un texte de loi, sa modification ou son abrogation doit se faire dans un texte parallèle ou supérieur», nous confie un membre de la commission des finances.
Autrement dit, la modification ou l’abrogation du droit de préemption «devrait intervenir par le biais d’une autre loi de finances», ajoute la même source, sachant qu’il a été introduit dans la loi de finances complémentaire de 2009. Lors de ces séances de travail qui ont réuni plusieurs ministres avec les membres de la commission, «nous n’avons pas encore tranché sur plusieurs articles sensibles, une dizaine restent en instance», nous informe un député membre de la commission.
Lors des deux séances qui restent à tenir par cette commission avant les plénières programmées pour les 22, 23 et 24 du mois en cours, les députés doivent trancher sur les articles. Les taxes sur les prix des carburants ont encore été revues à la baisse, car selon le même document la répercussion de ces dernières sur les prix à la pompe serait une augmentation de 5da/l pour l’essence super, 5da/l pour l’essence normal, 5da/l pour l’essence sans plomb et 2da/l pour le gazoil.
Et afin d’équilibrer les prix de ces produits, l’article 58 prévoit «d’exonérer des droits de douane l’essence et le gasoil réimportés dans le cadre des opérations de traitement du pétrole brut algérien à l’étranger, sous le régime économique douanier de l’exportation temporaire pour perfectionnement passif», car «au lieu de payer la valeur de l’essence et du gasoil sur le marché international et dans le cadre d’une opération d’importation ordinaire, Sonatrach ne payera à l’opérateur étranger que le coût de process», ce qui engendrera des économies pour Sonatrach d’environ 1,5 million de dollars pour 1 million de barils traités et une réduction des transferts de devises vers l’étranger.
- 49/51
Le mode de réalisation des investissements étrangers a aussi été revu. Avant, une société étrangère qui exerce dans le domaine de l’importation pouvait avoir jusqu’à 70% des parts de la société, et les 30% qui restent pour l’associé algérien. Si ce projet de loi est validé tel quel et sans modifications, la règle du 49/51 sera élargie pour ce type de sociétés. «L’exercice des activités de production de biens, de services et d’importation par les étrangers est subordonné à la constitution d’une société dont le capital est détenu
au moins à 51% par l’actionnariat national résident».
La chute des prix du pétrole a imposé certaines règles auxquelles le gouvernement s’était opposé auparavant, car dans le cadre du soutien de l’investissement, depuis 2009 il était obligatoire de se financer par des ressources locales en vue d’optimiser l’usage des ressources existantes et éviter d’alimenter les niveaux de pression d’endettement extérieur, mais dans l’article 59 on retrouve une confirmation de la déclaration du Premier ministre Abdelmalek Sellal, qui avait annoncé lors d’une réunion interministérielle que «si le gouvernement juge nécessaire de recourir au financement étranger, toutes les portes seront ouvertes devant nous.».
Bridage
Dans cet article, «le recours aux financements extérieurs indispensables à la réalisation des investissements stratégiques par des entreprises de droit algérien sont autorisées au cas par cas par le gouvernement et les modalités d’application de la présente disposition sont précisées, en tant que besoin, par voie réglementaire». Dans le domaine de la recherche et du développement, les entreprises «ont la possibilité de déduire du revenu ou du bénéfice imposable, jusqu’à concurrence de 10% du montant de ce revenu ou bénéfice, dans la limite d’un plafond de 100 millions de dinars, les dépenses engagées dans le cadre de la recherche et développement au sein de l’entreprise.
Cette déduction est conditionnée par l’obligation de réinvestissement des montants déduits dans le cadre de la recherche», prévoit le texte, mais pour Lies Kerrar, «cela dénote un bridage délibéré de toute ambition d’entrepreneuriat et innovation. Il y a des mesures fiscales pour la recherche et le développement, comme la déductibilité du crédit d’impôts souvent remboursable non plafonné allant jusqu’à 200% de la dépense dans plus de la moitié des pays du monde», explique-t-il. «Pour équilibrer le budget avec cette loi de finances, il faudra un baril à 108 dollars !» conclut Lies Kerrar.
Bouzid Ichalalene
L’éthique pour résister à la corruption au sein de l’administration
A LA UNE/ACTUALITÉ_Economie
le 16.11.15 | 10h00
L’éthique pour résister à la corruption au sein de l’administration
Comment les collectivités locales doivent-elles s’y prendre face à des appels à la rigueur et à la discipline budgétaire qui fusent de partout, et par quel moyen peuvent-elles adapter leur train de vie à des capacités sérieusement réduites et mettre un terme à des habitudes de consommation prises pendant la défunte embellie financière ? «Pour contrer les effets de ce nouveau choc pétrolier, le ministère de l’Intérieur a institué, à travers la LFC 2015,
un mécanisme de solidarité financière locale entre les communes de la même willaya.
Les communes financièrement à l’aise doivent aider celles qui le sont moins. Aussi, deux instructions ont été données en septembre dernier : elles concernent la rationalisation des dépenses locales et l’optimisation des ressources propres. Aussi, de nouvelles modalités d’élaboration des budgets des communes et des wilayas ont été mises au point», nous a répondu M. Ferari. Autant dire que le boulevard est, peut-être, en passe de se fermer aux pratiques douteuses
ayant longtemps entaché la gestion des affaires locales,
et ce, sous l’œil protecteur des assemblées et de l’administration centrale.
C’est du moins ce que laisse déduire le professeur et maître de recherche Messaoud Mentri, de la faculté de droit (Université Badji Mokhtar Annanba) : «Les administration et assemblées locales vont devoir faire face à une période qui s’ouvre bien plus contraignante, et ce, du fait de la raréfaction des fonds publics. L’utilisation souvent irrationnelle des deniers publics, l’absence de transparence dans la gestion des finances publiques, la multiplication des actes de corruption et de détournement de deniers publics doivent être soulignés et ne peuvent plus être tolérées dans une phase
de crise financière provoquée par la chute des cours du pétrole.»
Concilier liberté d’action et précautions, comment y parvenir ? «Le recours indispensable à l’éthique en tant que nouvel outil de gestion en mesure d’instituer une saine gouvernance de nos collectivités locales», recommande vivement le juriste Kamel Rahmaoui. Car, explique-t-il, «bien qu’un impressionnant dispositif légal et réglementaire ait été mis en place pour encadrer la gestion des collectivités locales, la corruption, la fraude, le gaspillage des fonds publics, les conflits d’intérêts, le népotisme, la collusion, les rumeurs sur les comportements des fonctionnaires publics, les pots-de-vin et même le blocage du fonctionnement des assemblées élues ne cessent
de miner la confiance des citoyens envers leurs élus locaux et les agents publics.»
La norme juridique n’étant donc, à ses yeux, pas en mesure de remédier à cette situation «fort préoccupante et qui handicape sérieusement le développement économique local voire du pays et menace même sa stabilité», s’inquiète-t-il. «La nouvelle loi sur la commune lui reconnaît le droit de contracter des prêts auprès des banques pour concrétiser des projets structurants et rentables. Les compétences adéquates et capables de mener ces projets, du début à la fin, en existe-il réellement, surtout lorsqu’on sait que les obédiences politiques pèsent beaucoup. L’élu local s’attache à défendre la ligne de son parti, et ce, quels que soient les résultats
des choix politiques de la formation dont il est issu ?», se soucie le Dr Rahmaoui.
Naima Benouaret
VIVENDI : BlackRock au-dessus des 5% du capital
L'Autorité des marchés financiers a indiqué que BlackRock, agissant pour le compte de clients et de fonds dont elle assure la gestion, a déclaré avoir franchi en hausse, le 12 novembre 2015, les seuils de 5% du capital et droits de vote de la société
Tous les voyants virent au rouge
A la une Actualité_Prévision de baisse des recettes pétrolières à 26,4 milliards de dollars en 2016
le 23.11.15 | 10h00
Tous les voyants virent au rouge
Egal à lui-même, le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, a une nouvelle fois plaidé,
hier, pour une optimisation des ressources et une gestion empreinte de vigilance des dépenses budgétaires.
Le ministre a reconnu, hier, lors de la présentation du projet de loi de finances 2016, l’existence de risques
à moyen et long termes sur les équilibres budgétaires. L’inquiétude est d’ailleurs motivée par
les prévisions d’indicateurs macroéconomiques qui devraient se dégrader en globalité durant l’année 2016.
C’est ainsi qu’en évoquant le cadrage macroéconomique de la LF 2016, le ministre des Finances parle
de la baisse des revenus issus de l’exportation d’hydrocarbures. Ces derniers devraient ainsi
s’établir à 26,4 milliards de dollars en 2016, contre une prévision de clôture de 33,8 milliards de dollars en 2015.
Cela ne sera sans doute pas sans impact sur le niveau des réserves.
A ce propos, le premier argentier du pays évoque le niveau des réserves de change qui risquent de passer
de 151 milliards de dollars en 2015 à 121 milliards à fin 2016. Un niveau qui représente 23 mois d’importations.
Des chiffres inquiétants certes, mais qui ne semblent pas entamer pour autant l’optimisme du ministre des Finances,
qui estime que ce niveau peut sembler minime au regard de ce qu’on s’est habitués à avoir,
mais qui est plus important que ce dont disposent de nombreux pays.
«Encore faut-il préserver ces réserves et ne pas alimenter les importations», a encore indiqué M. Benkhalfa.
Des arguments qui justifient d’ailleurs toute la démarche gouvernementale en termes de contrôle
des flux commerciaux et qui a pour finalité, selon les propos du ministre, de favoriser la production nationale
face aux produits et services étrangers. Il est également certain que la situation actuelle du marché aura
un impact sur le budget de l’Etat, qui sera marqué par un creusement du déficit.
Selon les chiffres présentés par le premier argentier du pays, le gouvernement table sur un déficit budgétaire de 12%.
Le FRR perdra la moitié de ses fonds en 2016
Si le ministre des Finances explique que le prix de référence du pétrole a été maintenu à 37 dollars pour
une prévision moyenne des cours à 45 dollars en 2016, il ne s’attarde pas sur l’impact de la situation actuelle
sur les dotations du Fonds de régulation des recettes (FRR)qui, rappelons-le,
participe en grande partie à éponger le déficit budgétaire.
Il n’en demeure pas moins que la commission des finances et du budget de l’APN a précisé que
l’épargne cumulée au sein du FRR devrait passer de 3081,9 milliards de dinars à fin 2015 à 1797,4 milliards de dinars
en 2016, perdant ainsi près de la moitié de ses dotations. Le ministre des Finances souligne la politique
de rationalisation budgétaire entreprise par le gouvernement pour faire face à la situation.
Insistant sur le fait que «la politique actuelle relève de l’orthodoxie financière
et non pas de la restriction budgétaire», M. Benkhalfa a expliqué que la finalité est l’optimisation
des ressources et la rationalisation budgétaire sans pour autant gripper le moteur de l’économie.
Il insiste ainsi sur le maintien de la commande publique dont dépend l’activité de dizaines d’entreprises algériennes
et l’emploi de milliers de travailleurs. Il explique aussi que la réduction des dépenses «sera sélective»,
la priorité étant donnée aux activités stratégiques et aux secteurs à portée sociale
comme l’éducation, l’enseignement supérieur, la santé et l’habitat.
Enfin, le ministre ponctue sur le maintien des subventions, qu’elles soient directes ou indirectes,
et des transferts sociaux. Selon le rapport de la commission des finances, le montant
des transferts sociaux budgétisés a atteint 1840,5 milliards de dinars dans le cadre du PLF 2016,
en hausse de 7,5% par rapport à la LFC 2015. De même qu’il estime le montant
des subventions indirectes à 2560 milliards de dinars, dont plus la moitié
au profit de l’énergie et à Sonelgaz. Globalement, les subventions budgétisées
et implicites représentent 26,4% du PIB.
Hausse de 6 DA des prix des carburants
Il n’est plus un secret pour personne que l’année 2016 sera marquée par une hausse
des prix des produits énergétiques et des carburants en particulier. Il est vrai
que le projet de loi de finances 2016 a prévu l’application d’un taux de TVA de 17%
sur la consommation de gaz dépassant les 10 000 thermies pas an
ainsi que sur celle d’électricité dépassant les 1000 KWh/an.
Des taxes qui n’affecteront en rien le pouvoir d’achat des ménages aux revenus les plus faibles,
selon le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, qui estime que 2 millions
de ménages ne seront pas touchés par la mesure en question.
Cependant, les prix des carburants seront affectés par les nouvelles dispositions,
au-delà de l’instauration du taux de TVA de 17% sur le gasoil, une nouvelle taxe
sur les produits pétroliers sera appliquée aussi bien sur l’essence que le gasoil.
Et si certains attendaient des députés de faire barrage à ces augmentations,
il n’en est rien ; bien au contraire, ils ont enfoncé le clou.
C’est ainsi qu’à la faveur des amendements apportés par la commission des finances,
l’essence normale sera plus chère de 5 DA le litre et de 6 DA pour le super et le sans plomb.
A contrario, les députés ont voté pour une baisse de TPP applicable au gasoil
qui a été revue à seulement un dinar au lieu de deux.
Notons que ces hausses ne seront pas les dernières, le ministre des Finances ayant évoqué,
hier lors de son exposé à la séance plénière de l’APN, une hausse graduelle des prix de l’énergie. M. R.
Roumadi Melissa
Re : Tous les voyants virent au rouge
Les producteurs de concerts redoutent l'onde de choc possible sur l'économie
Attentats: Les producteurs de concerts redoutent l'onde de choc possible sur l'économie du spectacle.
http://www.jeanmarcmorandini.com/sit...ic/concert.jpg
L'attentat au Bataclan n'a pas vidé les salles de spectacles parisiennes mais les producteurs de concerts redoutent l'onde de choc possible sur l'économie du secteur alors que les ventes de billets ont connu un sévère coup d'arrêt dans la capitale.
Les ventes de billets de concerts de musique actuelle et variétés à Paris ont accusé depuis les attentats une chute de l'ordre de 80% par rapport aux chiffres habituellement constatés à cette période de l'année, cruciale pour l'économie du spectacle, selon une première tendance communiquée vendredi à l'AFP par le Prodiss, syndicat des producteurs, diffuseurs et salles de spectacles.
Même si cette estimation ne porte que sur quelques jours, elle rend "les producteurs super-inquiets pour la suite", indique cette organisation regroupant quelque 340 entrepreneurs de spectacles.
"Il y a une baisse" des achats de billets, confirme un producteur de concerts rock. "Mais cette baisse concerne tout le pays, le luxe, le tourisme, on n'est pas les seuls", rappelle-t-il, en estimant que cette "baisse n'est que passagère".
Après avoir annulé ou reporté plusieurs concerts dans la foulée de l'attaque du Bataclan qui a fait plus de 80 morts en plein concert, les grandes salles parisiennes ont rouvert leurs portes mardi.
Plusieurs concerts ont fait le plein, comme Simply Red au Zénith ou la comédie musicale "Résiste" au Palais des sports.
Dans le cinéma, plus de 2,2 millions de spectateurs sont allés voir "007 Spectre", qui réussit le meilleur score pour un James Bond en France en dépit de la fermeture de la plupart des cinémas parisiens samedi.
Dans le théâtre privé, la fréquentation a chuté de 35 à 40% dans les premiers jours.
Même des pièces à succès comme "Le Mensonge" avec Pierre Arditi au théâtre Edouard VII et "Fleur de Cactus" avec Catherine Frot au Théâtre Antoine ont vu la salle de vider de plus du tiers.
Re : Tous les voyants virent au rouge
Grande-Bretagne: Le gouvernement investit dans la BBC
Grande-Bretagne: Le gouvernement investit dans la BBC pour accroître son influence.
Le gouvernement britannique a annoncé lundi qu'il allait investir 289 millions de livres (412 millions d'euros) dans les années à venir dans le service international de la BBC pour promouvoir les valeurs démocratiques et ainsi contribuer à améliorer sa sécurité.
Ces investissements au BBC World Service s'élèveront à 34 millions de livres pour l'exercice 2016-2017 (d'avril à avril) puis à 85 millions par an jusqu'en 2020 pour développer services numériques, radio et télévision.
Ils doivent contribuer à développer les services de BBC World en Corée du Nord, en Russie, au Proche-Orient et en Afrique.
"Les millions annoncés aujourd'hui aideront la BBC à honorer son engagement de défendre la démocratie à travers des informations précises, impartiales et indépendantes", s'est félicité le directeur général de la BBC Tony Hall, par ailleurs confronté à une cure d'austérité pour ses services au Royaume-Uni.
Pour le gouvernement, qui a annoncé lundi une série de mesures pour renforcer ses moyens militaires et répondre à la menace posée par le groupe Etat islamique, ces fonds doivent servir à promouvoir ses "valeurs et intérêts au niveau mondial", en parallèle de ses services diplomatiques et de ses engagements financiers en faveur du développement.
Le BBC World Service a une audience de 308 millions de personnes et vise les 500 millions d'ici 2022. Le service, fondé en 1932, est diffusé en 29 langues mais depuis 2006
la BBC a fermé 15 services en langue étrangère pour raisons budgétaires......
un nouveau billet de 20 euros en circulation mercredi
Le nouveau billet de 20 euros a été présenté ce mardi matin par la Banque de France. Plus coloré, il est surtout plus difficile à copier. Il est le plus utilisé en France mais aussi le plus contrefait. Il entrera en circulation le 25 novembre.
https://s.yimg.com/nn/fp/rsz/112415/...1448376054.jpg
Il va faire son entrée dans votre portefeuille dans quelques heures.Après le billet de 5 euros et celui de 10 euros, c’est au tour du billet de 20 euros de subir un petit rajeunissement. Dévoilé le 24 février dernier par la Banque centrale européenne (BCE), sa mise en circulation est prévue mercredi.
Sécurité et robustesse
Pour la Banque centrale européenne, l’objectif affiché est d’améliorer la "sécurité" et la "robustesse" des coupures. En effet, il représente environ 60% des billets contrefaits en circulation, devant celui de 50 euros (environ 25%). En 2014, 500.000 coupures de 20 euros avaient été retirées de la circulation par l’Eurosystème.
Les chances de l’Algérie pour diversifier son économie à court terme sont «nulles»
A LA UNE/ACTUALITÉ_Alors que la dégringolade des cours du brut se poursuivra
24 Novembre 2015
Les chances de l’Algérie pour diversifier son économie à court terme sont «nulles»
Le Conseil national économique et social (Cnes), a présenté, hier à Alger, en présence de son président Mohamed Séghir Babès et de membres du gouvernement, son rapport de conjoncture économique et sociale du 1er semestre 2015. Une conjoncture marquée, selon le rapport, par la poursuite de la baisse des cours des hydrocarbures qui ont fortement et frontalement impacté les indicateurs fondamentaux de l’économie nationale. Cela, alors que celle-ci, note le rapport, avait bien résisté au cours du deuxième semestre 2014, sachant que la chute des prix du pétrole a été amorcée dès le mois de juin 2014.
Younès Djama - Alger (Le Soir) - En somme, le rapport reprend les chiffres officiels qui tendent davantage à minimiser la crise qu’à la mettre en évidence. C’est ce qu’a d’ailleurs relevé Youcef Benabdallah, enseignant à l’Ecole nationale de la planification et de la statistique d’Alger et ancien chercheur au Cread.
«À l’écoute du rapport, on a l’impression que le pays n’est pas en crise. Nous avons un pays créancier sur le reste du monde, puisque sa dette est d’à peine 3 milliards de dollars alors qu’il dispose d’un stock de réserves de change évaluées à 160 millions de dollars, nous avons une épargne publique excellente, puisque l’Etat n’est pas endetté si on parle de dette nette. Peu de pays sont dans la situation de notre pays», a affirmé cet expert en guise de préambule. Alors, où est le problème ? D’où vient la peur, sur quoi nous interrogeons-nous ? «Personnellement, je ne vois pas d’éléments de crise, même le taux de croissance est à 3%, il y a peu de pays au monde qui font ce chiffre», a souligné l’expert qui tient à répondre à cette interrogation, en affirmant que l’Algérie a aujourd’hui peur que la situation s’aggrave dans les années à venir. La raison en est simple : elle n’a plus d’autres ressorts, celui sur lequel elle s’appuie jusque-là (les hydrocarbures) a fini par casser. «Aujourd’hui, nous avons peur de nous-mêmes, parce que nos graisses commencent à fondre. Nous avons peur de ne pas pouvoir les reproduire, et pour moi c’est là où se situe le vrai débat», a poursuivi M. Benabdallah sur un ton ironique.
Abordant la conjoncture mondiale, Youcef Benabdallah estime que l’économie mondiale est le «seul référent» devant la fin des Etats nationaux du point de vue économique. Où se situe l’économie algérienne au sein de cette économie mondiale de référence et quelles sont ses chances de diversification à court terme ? «Nulles», répond catégorique Benabdallah «parce que la diversification suppose une longue période durant laquelle il faut investir et faire des choix judicieux».
Ainsi, observe-t-il, l’industrie aurait pu aider le pays à mieux se diversifier et par là même le mettre à l’abri des soubresauts macroéconomiques qui lui viennent par le canal mondial. Est-il possible aujourd’hui de nous réindustrialiser ? «Pour une fois, il semble que le cap est clair au moins du point de vue du système d’incitation mis en place, quoique partiellement», note Benabdallah qui préconise d’aller vers l’économie mondiale, «car il va falloir y aller», une décision qui selon lui va au-delà du cadre politique, et qu’«à la volonté politique, il va falloir ajouter des choix judicieux».
Pour sa part, le vice-président du Cnes, Mustapha Mékidèche, a estimé que l’économie algérienne «a été insérée par le mauvais côté» dans l’économie mondiale. Il s’explique en donnant l’exemple du gel par le gouvernement d’un projet d’irrigation à partir de la région de Ménéa vers les Hauts-Plateaux, à la suite de la chute des prix du brut. Mékidèche prévient de procéder de la sorte. «En coupant dans le budget des infrastructures, nous risquons de nous retrouver dans le cas de l’Inde qui n’arrive plus à porter la croissance au niveau qu’elle veut parce que ses infrastructures sont insuffisantes et médiocres (en comparaison avec la Chine)». C’est le cas aussi de l’Afrique du Sud, pays hautement industrialisé avec une haute base technologique, qui est confronté à une forte pénurie d’eau potable.
Le choc pétrolier de 2015
«de plus grande amplitude que celui de 1986»
Par ailleurs, Mékidèche a estimé que la tendance baissière des cours du brut allait se poursuivre surtout avec la dernière déclaration du ministre saoudien du Pétrole et qui a dit que son pays compte mettre sur le marché 5 millions de barils/jour en réponse à celle du ministre iranien du Pétrole qui a mis en avant l’intention de son pays de reprendre, dans le cadre de sa reconstruction, sa position en tant que l’un des leaders en matière d’exportation des hydrocarbures.
S’agissant des répercussions sur l’Algérie, M. Mékidèche a souligné que le choc externe est, dans le cas de notre pays, «de plus grande amplitude» que celui de 1986. «Nous sommes dans une crise de cycle long, j’espère qu’elle ne durera pas comme celle de 1986», a-t-il affirmé.
De son côté, l’expert pétrolier Mourad Preure a déclaré que le scénario le plus probable est que les prix tourneront autour de 50 dollars le baril pendant une bonne partie de 2016, prévoyant que les prix s’apprécieront de 10 dollars durant le 4e trimestre.
Y. D.
Le Cnes favorable à un prêt extérieur
Dans son rapport de conjoncture, le Cnes estime «pertinent» que l’Algérie contracte des prêts auprès des institutions internationales et des partenaires et ce, «à des conditions avantageuses». Pour cette institution, la soutenabilité des indicateurs de la dette intérieure et externe conjuguée au niveau des réserves de changes situé à 160 milliards de dollars en juin 2015, a pu maintenir les équilibres extérieurs dans une position «appréciable» et dont, juge encore l’institution présidée par Babès, il serait pertinent de tirer profit pour contracter des prêts.
Y. D.
Re : Les chances de l’Algérie pour diversifier son économie à court terme sont «nulle
apple pay en chine pour fevrier
Le Wall Street Journal annonce dans son édition en ligne qu'Apple prépare un déploiement d'Apple Pay en Chine à partir de février prochain.
Le journal américain rapporte le fait qu'Apple a accéléré les négociations avec des banques locales pour lancer le service pour le 1er de l'an chinois, le 8 février prochain.
Le service de paiement sans contact d'Apple est actuellement disponible aux Etats-Unis, au Canada et en Grande Bretagne, depuis peu.
La Chine est le second marché d'Apple depuis peu, et l'arrivée d'Apple Pay serait certainement un tremplin pour ce service qui peine encore à convaincre les foules.
Rappelons qu'Apple Pay nécessite au moins un iPhone 6 et que le commerçant soit équipé en conséquence.
En Chine, différents système de paiement sans contact existent déjà dont ceux du géant du e-commerce Alibaba, ou encore de l'opérateur Tencent........!!