L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)
Le 11-Septembre 2001
Les attentats du 11 septembre 2001 ( abr�viations : 11/9, 11 Septembre ou 11-Septembre et, en anglais, 9/11 ),
le plus grand attentat terroriste jamais perp�tr� dans l'Histoire, frapp�rent New York et Washington � l'aide
d'avions de ligne d�tourn�s, dans la matin�e du jour �ponyme.Le terme regroupe une s�rie d'�v�nements synchronis�s
qui se d�roul�rent dans le nord-est des �tats-Unis d'Am�rique : trois avions commerciaux (sur quatre d�tourn�s)
furent pr�cipit�s sur des immeubles repr�sentatifs de la puissance am�ricaine, �conomique pour les tours jumelles du World Trade Center � Manhattan, New York, et militaire pour le le Pentagone, si�ge du minist�re de la D�fense des �tats-Unis, � Washington. Les "Twin Towers" s'effondr�rent spectaculairement moins de deux heures apr�s les impacts,
ainsi qu'une troisi�me tour proche dite WTC7, le Pentagone fut endommag�.
Les victimes ont �t� chiffr�es � 2 997 morts et disparus pr�sum�s morts, plusieurs milliers de personnes bless�es et dizaines de milliers d'autres, notamment parmi les sauveteurs, atteintes de maladies induites par l'inhalation de poussi�res toxiques. Si l'on excepte la sanglante bataille d'Antietam (1862), le 11 septembre 2001 est la journ�e la plus meurtri�re de l'histoire des �tats-Unis, dont le territoire avait �t� �pargn� depuis la fin de la guerre de s�cession. Souvent compar� � l'agression japonaise sur Pearl Harbour (7 d�cembre 1941), l'�v�nement a �t� plus meurtrier, et a surtout touch� des civils, de surcro�t � un centre n�vralgique de l'Am�rique.
La th�se du complot terroriste islamiste fut imm�diatement pr�sent�e par les grands m�dias et les autorit�s am�ricaines, puis soutenue par le rapport de la commission charg�e d'enqu�te (Commission Kean). Selon cette th�se, les dix-neuf pirates de l'air qui ont effectu� ces attentats-suicides �taient membres d'Al-Qaida. Jamais officiellement revendiqu�s, ils ont �t� condamn�s par tous les �tats de la plan�te, sauf l'Irak baasiste.
Ev�nement sans pr�c�dent comparable, les attentats du 11 septembre ont �t� v�cus presque en temps r�el par des centaines de millions de t�lespectateurs � travers le monde. La surprise et, pour beaucoup, le choc psychologique ont �t� consid�rables, notamment en Am�rique et en Occident. Ils ont g�n�r� de part le monde des effets puissants et persistants, notamment politiques, psychologiques et �conomiques. Le gouvernement des �tats-Unis a adopt� un comportement s�curitaire. Les �trangers pr�sents sur le sol am�ricain sont soumis � des mesures de surveillance sp�cifiques. Sur le plan de la politique �trang�re, les �l�ments les plus visibles de la suite donn�e par l'administration am�ricaine aux attentats sont le lancement de la guerre contre le terrorisme (dont la guerre d'Afghanistan en 2001), la d�nonciation de l' � Axe du Mal � et, bien qu'aucun lien n'ait �t� officiellement �tabli entre Bagdad et les auteurs de l'attentat, le lancement de la guerre en Irak en 2003.
Comme de coutume la cible les islamistes ? a mon avis c'est une machination on laisse l'avis aux experts .
Les origines de l'attentat du 11 septembre 2001
Il n'y a pas de livre d'Histoire plus passionnant, plus riche, plus indispensable, pour comprendre les secrets du 11 septembre, que � La route vers le nouveau d�sordre mondial � de Peter Dale Scott.
J'ai d�couvert ce livre il y a six mois environ et j'ai aussit�t souhait� le faire conna�tre mais la difficult� de rendre une telle �uvre, quasi Proustienne par sa richesse, tant de d�tails, tant d'humanit� aussi, m'a bloqu�e, un peu comme un surfeur au moment d'aborder une vague immense. Le r�sumer c'est un peu le perdre privant le lecteur de son rythme insens� de r�v�lations, de ces incursions, comme des plong�es,
au c�ur de l�Etat profond Am�ricain.
Depuis cinquante ans, les hommes et les forces qui sont � l��uvre dans le secret des � shadow cabinet � ont pr�par� in�luctablement le 11 septembre.
En ce qui concerne les raisons et les coupables de cet attentat, c'est notre ignorance de l'Histoire qui nous emp�che les nommer. Qui ignore l�Histoire ne peut comprendre le pr�sent.
Quand on lit ce livre, comme nous paraissent d�risoires toutes les explications que nous entendons
pour sauver cette fameuse VO. Comme tout est clair d�sormais.
Je dirai, pour faire une comparaison : imaginons quelqu�un qui apprend que Barbe-Bleue est soup�onn� d�avoir tu� sa femme. Il dira : "C'est impossible, je le connais. C�est un homme qui est incapable de faire �a." C�est cet homme que Scott prend par la main, am�ne dans la chambre de Barbe-Bleue, ouvre le placard et lui fait d�couvrir le corps de ses autres �pouses tu�es. Et l�, devant les corps, devant les faits, lui montre Barbe-Bleue assassinant la derni�re. Que peut-il dire ? Le temps des r�veries est pass�.
Ainsi, ces gens qui nous r�pondent quand nous parlons de ces fameuses deux heures o� aucun avion d�tourn� n'a �t� intercept� : "Oui, mais c'�tait nouveau et personne n'a su comment r�agir ! �, ignorent la v�ritable r�ponse qui tombe comme un couperet sur toutes les h�sitations. Oui, le 11 septembre a aussi �t� un coup d'Etat d'une partie du gouvernement am�ricain.
Qui ? Comment ? Pourquoi ?
L'habilet� de Scott est de nous dire : Ne croyez pas que le 11septembre soit, dans l'histoire des Etats-Unis, un �v�nement soudain et unique. 50 ans de politique l'ont amen�, pr�par�, construisant une situation monstrueuse qui ne pouvait que le produire.
Et il nous entra�ne dans ces secrets.
On descend dans l'Enfer de Dante.
Le labyrinthe des cercles du pouvoir o� le pire n'est jamais qu'une strat�gie.
"Le 11 septembre doit �tre envisag� comme le point culminant d'un m�canisme � l'�uvre depuis un demi-si�cle, conduisant � des d�cisions prises en secret par de petites coalisations, � la militarisation du maintien de l'ordre, � des plans pr�voyant la s�questration des dissidents, ainsi qu'� des op�rations, des transactions et des actifs gouvernementaux �chappant au contr�le de nos repr�sentants et enfin par la gouvernance de ceux qui financent les partis politiques plut�t que par ceux qui s'y impliquent."
Ces fatales cinquante ann�es o� la d�mocratie Am�ricaine va peu � peu dispara�tre sous l�influence d�une oligarchie voit se succ�der Nixon (R), Ford, (R), Carter (D), Reagan (R), Bush �, Clinton (D) et Bush (R).
Mais les ma�tres r�els des Etats-Unis, seront Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Brzezinski. Ce sont eux, obs�d�s d�ennemis ext�rieurs et int�rieurs, redoutant le peuple et la d�mocratie, qui ont cr�� un monde qui, bien avant le 11 septembre, est d�j� celui du Patriot act. Le secret prend le pas sur la transparence. La d�mocratie Am�ricaine, tant vant�e par Tocqueville a v�cu.
Dick Cheney et Donald Rumsfeld font leur apparition en novembre 1975, apr�s la d�mission de Nixon et les premi�res heures du gouvernement Ford. Ils apparaissent au c�ur d�un mini coup d�Etat : � le massacre d�Halloween �, neuf personnalit�s du gouvernement ayant �t� contraintes de d�missionner. Ils occupent en 75 les m�mes positions dominantes qu�en septembre 2001. C�est �galement � ce moment-l� que Bush p�re devient directeur de la CIA. La fine �quipe est au pouvoir.
Leur premier objectif va �tre de soustraire la maison Blanche et la CIA au Congr�s. Bush va d�sormais avoir
sa CIA perso qui sera hors registre et hors-pays.
La politique de ces trois l� peut se r�sumer en un mot : Mater ! Mater le congr�s, mater le peuple, mater les grands ennemis plan�taires, les communistes et les Islamistes ! Go !
Un de leurs grands d�fauts va �tre, pour �tablir leur puissance, de se lier avec les mafias, les gangsters et les terroristes.
Donnons un exemple qui reprend un nom que vous d�j� d� entendre : Adam Khashoggi. Dans les ann�es 70, Khashoggi cr�e le � Safari club � qui va permettre de faire de la politique �trang�re en �chappant au contr�le du Congr�s. Ce club r�unit la France, l�Egypte, l�Arabie saoudite, le Maroc et l�Iran. Tout ce joli monde est re�u dans une de ses propri�t�s du Kenya. Comme on a besoin d�argent pour jouer au Monopoly des puissants, Bush permet la cr�ation d�une banque d�origine Pakistanaise, la � Bank of cr�dit and commerce international �,qui devient une machine internationale de blanchissement d�argent, achetant des banques � travers le monde afin de cr�er le plus grand r�seau clandestin de l�histoire. Bush a sa CIA priv�e. Les op�rations genre escadrons de la mort de l�op�ration Condor peuvent fleurir sponsoris�es, entre autres, par les p�trodollars d�Arabie saoudite.
Tout ce monde frelat� qui va pousser au 11 septembre, pour plus d�argent, pour plus de p�trole, pour plus de pouvoir, se met en place.
Ah ! Les f�tes sur le yachts de Khashoggi avec toutes les putes du coin ! (Jouaient-ils � violer des femmes de chambre ?)
Passons � Brzezinski.
Brzezinski, polonais, d�testait les Russes. Tout vient de l�. L�histoire est en route. Comment leur nuire ? En utilisant la situation des populations islamistes. Et je te fais distribuer des Coran et je te cr�e des factions et des rebelles, et je te fais na�tre Ben Laden ,le chouchou de Bzrezinski, jusqu�� la fameuse chute de l�empire sovi�tique.
Mais est-ce un gain de remplacer un ennemi par une autre ?
En fait les islamistes sont les putes des Etats-Unis. Ils les utilisent quand ils en ont besoin, les mettent sur les trottoirs o� ils seront les plus utiles, aujourd�hui en Libye, les paient, les droguent, les envoient au combat, les l�chent. Et si certains se r�voltent
ce sont vraiment de sales arabes. M�pris de l�humain.
Les vrais terroristes musulmans font de petits attentats � la voiture pi�g�e. Les grandes machines, les grands attentats en technicolor et cin�mascope, ils n�en ont pas les moyens. Quelqu�un imagine-t-il ce qu� a pu co�ter le 11 septembre ? Non. Pas seulement un lot de cutters de chez Leroy-merlin. (Cutters tr�s efficaces si l�on s�en tient � la derni�re bande propos�e par les t�l�s, hier, o� l�on apprend, de la bouche m�me de l�h�tesse de l�air du AA11, que tout le monde a �t� assassin�. L��quipage �tait de 11 personnes, plus 81 passagers, cela fait, si je compte bien, moins elle qu�ils ont laiss�e vivante pour qu�elle informe ses chefs, 91 cadavres au cutter. Chapeau la qualit� de la lame ! Vu les circonstances on ne comprend pas pourquoi Atta leur demande quelques instants apr�s de rester tranquilles. Mais, nous ne sommes pas �tonn�s, apr�s la mort de Ben laden jet� � l�eau, ce sont les cr�ations de � Disney Washington �. Sc�nars toujours tr�s faibles !)
Bzrezinski fut un d�mon pour les Russes, les afghans et tous les islamistes qui n��taient pas de son bord
mais aussi pour les braves citoyens am�ricains.
D�une part il shoota une bonne partie de la jeunesse avec sa super h�ro�ne made in l�-bas. Suite � son grand int�r�t pour la production du pavot qui lui assurait de remarquables revenus, � New-York, les morts, suite � l�arriv�e sur le march� de la drogue afghane, augment�rent de 77%.
D�autre part il cr�a la fameuse FEMA qui a pour but de s�occuper du peuple en cas de trag�die nationale, climatologique, genre Louisiane, ou terroriste. C�est la Fema qui s�occupera de mettre tout le monde dans des camps pour les prot�ger. Ils l�ont d�j� fait avec des Japonais pendant la derni�re guerre et �a marche tr�s bien. Quiconque a vu � Super huit �, le dernier film produit par Spielberg et Jackson, a compris � quel point il �tait facile d�embarquer toute une ville vers des camps sans que personne ne s��meuve outre mesure. On allume un feu derri�re la ville puis on envoie l�arm�e avec des cars qui dit � tous � Montez et suivez-nous, on vous prot�ge ! �. Et personne ne dit rien. C�est pli� en quelques heures�
A ce sujet Huttington a �crit dans son livre � Crisis in democraty � destin� � la Trilat�rale : � Un gouvernement qui manque d�autorit�, n�aura pas la possibilit�, sans une crise cataclysmique, d�imposer � son peuple les sacrifices n�cessaires. Il existe des limites � l�extension de la d�mocratie. �
Ce que soulignera en rouge Bzrezinski dans son livre � Le grand �chiquier �
� La d�mocratie est inamicale � la mobilisation imp�riale. �
Tout est dit.
Oui, mater le peuple qui aurait l�id�e de ne pas trop appr�cier les nouvelles tendances d�un gouvernement qui se gave et le laisse crever.
Cette id�e est ch�re � bon nombre d� Am�ricains. Ce grand peuple est un peuple de droite. Avec un esprit de droite qui m�prise le peuple
et le redoute. Et s�il se r�voltait ? Comme les Noirs autrefois ?
D�s 68, sous Nixon, le plus parano�aque des pr�sidents, cro�t et embellit la guerre psychologique. ( Par propagande, mensonges, v�rit�s, semi-v�rit�s, fausses preuves, faux t�moignages , donn�es erron�es ou trompeuses) Tout ce que nous voyons donc dans la presse aux ordres est une tactique qui date du bon vieux temps. Un agent de la CIA dira : � Vous pouvez avoir un journaliste pour moins cher qu�une bonne prostitu�e. � (Est-ce le tarif de M. Joffrin qui, dans le nouvel Obs d�hier, �crit un �ditorial qui a provoqu� une lev�e de boucliers
� Pourquoi les complotistes sont des ennemis de la d�mocratie � ?)
Ils iront m�me plus loin avec ce qui fut appel� : le contr�le des esprits (projet MK Ultra mis en oeuvre par la CIA de 50 � 90 et visant � manipuler par injections de substances psychotropes.) Plus de trente institutions dont des universit�s US particip�rent � ce programme.
Plus loin encore, nous rappelant ici, l�Europe se mettant peu � peu au go�t du jour, cette fameuse Eurogenfor cr��e par la merveilleuse MAM. Alors que la loi dite du � Posse Comitatus � �tablissait que l'arm�e n'a pas le droit d'intervenir dans le gouvernement civil, en 75 le programme � Cable Spicer � adapta � un usage national les proc�dures utilis�es par l'arm�e au Vietnam.
Plus encore. Le programme cointelpro du FBI cr�a de faux mouvements r�volutionnaires. En particulier dans des r�serves d'indiens. L'arm�e et la police iront m�me jusqu'� fournir des armes � des gangs de droite interdits. Oui, la fr�quentation de l'extr�me-droite et son utilisation ne datent pas d'aujourd'hui. L'arm�e a pris l'habitude de contrer la gauche en armant la droite. Rien de nouveau sous le soleil.
Mais revenons � Rumsfeld et Cheney. Leur contribution immense aux �v�nements du 11 septembre sera la cr�ation, dans les ann�es 80, du COG � Continuity of gouvernement � en cas d��v�nement grave. Cette disposition permet � un homme et un seul d�avoir tous les pouvoirs en p�riode troubl�e. Cet homme , le 11 septembre, ce sera Rumsfeld lui-m�me et cette d�cision va co�ter aux US trois mille vies et trois tours.
Qui a mont� l�attentat ? Al Qa�da ? Les US ? Le Mossad ? L�arabie saoudite ? Le Pakistan ?
Ces cinq l� sont un peu les fr�res Dalton. Ils bossent ensemble.
Al qa�da , en particulier est l�enfant de la CIA. C�est une r�alit� historique. Certes AlQa�da pr�pare des attentats mais, manque de bol avec des instructeurs arabes incorpor�s dans l�arm�e am�ricaine. En particulier le fameux Mohamed qui faisait partie des services de renseignement am�ricains et entra�nait tout Al Qa�da ! Les bandits sont form�s par les gendarmes !
Ceci n�est qu�un d�tail si l�on consid�re que le monde est d�sormais dirig� par une coalition qui n�a aucun souci de race ou de religion. Seules sa puissance et sa perennit� lui importent. Dans ce supra monde il y a des faucons, des banquiers, des chr�tiens, des juifs, des musulmans d�Arabie Saoudite, pays impliqu� au premier chef dans les attentats, Ben Laden est prince saoudien et quinze des dix-neuf pirates de l�air �taient saoudiens. Mais Bush �tait grand ami de la famille Ben Laden qui a �t� la seule autoris�e � quitter les Etats-Unis apr�s les �v�nements. L� encore, comme pour Al Qa�da, il y a les Ben Laden gentils et m�chants.
Tout ce petit monde travaille la main dans la main. Oui, le Pakistan, l�arabie saoudite, aid�s par le Mossad sont fortement
soup�onn�s de s��tre occup�s de la partie technique des attentats.
Mais il fallait bien que ces avions, p�n�trant sur le territoire am�ricain, puisent arriver jusqu�aux tours ce qui �tait tout de m�me d�licat.
C�est l� que l�action de Rumsfeld a �t� capitale. Il a ouvert le ciel de son pays � ses amis-ennemis.
Et l� il n�y a plus de conditionnel. C�est un fait historique.
Robert Bowman, ancien lieutenant-colonel de l�arm�e de l�air d�clara en 2005 :
Si notre gouvernement n�avait tout simplement rien fait et avait permis le d�roulement des proc�dures normales ce matin du 11 septembre, les tours jumelles seraient encore debout et des milliers de victimes Am�rcaines seraient encore en vie. �
Mais c��tait impossible. En vertu des dispositions du COG. En cas de probl�me grave, le pr�sident est court circuit�. Un seul peut donner des ordres. Le 11 septembre ce seul l� �tait le secr�taire de la d�fense Rummsfeld.
Comment en �tait-on arriv� l� ?
Le 8 mai 2001, Bush demanda � Cheney de superviser la mise au point d'un effort coordonn� au niveau national contre les terroristes et les armes de destruction massive. Ce groupe "National Preparedness review � relan�ait la COG. Un autre coquin leur fut adjoint. Joe Allbaugh fut nomm� directeur de la fema. C�est Allbaugh qui avait g�r� la campagne de Bush en 2000 et avait �t� impliqu� dans les magouilles �lectorales de Miami.
Un expert en "coups tordus ", indispensable en pr�vision du 11 septembre..
En juin 2001, le pentagone �mit un nouveau document d�cr�tant que toute interception a�rienne devrait �tre
approuv�e par le secr�taire de la d�fense. M Donald Rumsfeld.
La Vo ne s'interroge pas pour savoir pourquoi ce m�mo a �t� promulgu� 10 semaines avant le 11 sept et restaur�e en dec 2001. Quel dommage...
Le 6 ao�t la Cia transmis � Bush un m�mo disant que Ben Laden se pr�parait � attaquer.
Bush le lut et partit � la p�che. Ce n��tait pas son probl�me. Il y en avait beaucoup d�autres sur le coup. A lui la p�che et l�inauguration des �coles.
Ainsi, seul Rumsfeld pouvait donner ce jour l� des ordres d�interception et � aucun moment il ne l�a fait, m�me quand on lui a signal�, minute apr�s minute, l�approche de l�avion qui devait s��craser sur le Pentagone. Mais pas du c�t� o� il �tait. Ouf !
Que Rumsfeld ne soit pas jug� et en prison jusqu�� la fin de ses jours , lui que l�on a vu sur une vid�o, coinc� dans un ascenseur et trait� d�assassin par des Am�ricains bien inform�s, voil� qui nous laisse mieux comprendre ce qu�est l�Am�rique actuelle.
L�Am�rique d�Obama, qui refuse aux secouristes de Ground z�ro qui ont contact� des cancers lors de leurs travaux de d�blayage d��tre pris en charge et qui ne les invite pas aux c�r�monies de comm�moration car il n�y pas assez de place.
Quand il fallait bosser, vite, sur les d�combres pour faire tout dispara�tre le plus rapidement possible, l�, il y avait de la place !
Le m�me Obama qui prot�ge Bush de toute action judiciaire et qui met en garde son pays d�une �ventuelle intervention d�Al Qa�da. Mais quelle Al Qa�da , M Obama ? Les pauvres malheureux qui font sauter leurs slips et leurs chaussettes parce qu�on les a gentiment laiss� monter dans des avions ? Ou vos amis Saoudiens ? Ou vos amis Libyens ? Ou vos amis de la CIA1 qui noyaute la CIA2 ?
Et qui dirige la COG en ce moment ? Rumsfeld ? Bis repitatia non placent. Vous allez y laisser quoi l� ?
Combien d�Am�ricains sont pr�vus au compteur des d�g�ts collat�raux ?
Obama, la marionnette de Chicago, le valet des banques. La honte des noirs et de tous les hommes conscients des r�alit�s de cette histoire.
Il y en a de plus en plus. Quelqu�un hier sur le fil , suite � mon article � L�attentat fasciste du 11 septembre � me disait que la preuve que la VO �tait vraie est que j��tais encore vivante. Il faut dire que si la Cia voulait me d�zinguer (mais laquelle ???), il y en aurait bcp d�autres avant moi : Scott, Alex Jones, Meyssan, qu�ils ont eu sous la main en Libye, et les milliards d��tres humains qui doutent , et de plus en plus, de cette mise en sc�ne, certes de qualit�, mais qui nous enfonce, h�las, dans la noyade la plus tragique. Nous vivons la fin du � Titanic � au ralenti.
C�est cette clique qui actuellement met l�Afrique et l�Europe � genoux, poussant vers un chaos qu�ils ne ma�trisent pas, la plan�te tout enti�re. Toujours le p�trole. Toujours le fric. Toujours leur putain de r�ve de domination universelle.
L�Europe, l�Afrique, sont les nouvelles tours qui vont s�abattre.
Je voudrais simplement terminer sur ces fameuses bandes qui sont donn�es � entendre � la t�l�. Pourquoi les ont-ils choisies ? (On les devine facilement.) Parce que beaucoup disent en effet qu�il est incroyable que ces avions n�aient pas �t� arr�t�s. Ils veulent donc faire comprendre au bon peuple niveau Texan de Dallas que, ce matin l�, il y a avait vraiment un grand d�sordre dans le ciel !
Que l�arm�e de l�air, qui doit �tre verte quand elle entend �a, ne savait � quel saint se vouer :
-Oh ! Ils ont touch� une tour !
-Oh ! Les tours s�effondrent !, ces deux phrases se suivant dans la foul�e. Non seulement ils n�y comprenaient rien
mais encore ils avaient un bandeau sur les yeux !
Et bien, braves gens de Dallas et d�ailleurs, maintenant quand on vous dira : � Oui, ils �taient perdus, ils ne savaient que faire, voil� pourquoi ils ne sont pas intervenus ! �, vous pourrez r�pondre : � Non. C�est parce qu�une disposition, le COG, vot�e dix semaines auparavant interdisait toute interception sans ordre de Rumsfeld et que celui-ci a abandonn� son pays aux terroristes ses amis. �
J�esp�re que je vous aurait donn� envie de lire le livre de Scott , cet article n��tant que l�ombre de l�ombre du quart du milli�me de son admirable �tude. Elle commence par ces mots :
� L'Am�rique, comme nous l'avons connue et aim�e, peut-elle �tre sauv�e ?
Il faudra beaucoup de courage. N�en doutons pas. Mais ce courage pour nous et nos enfants, nous l�avons.
Vous souvenez vous de cette question que vous vous �tes, sans doute, pos�e autrefois
� Qu�aurais-je fait pendant la guerre ? Aurais-je eu le courage de faire partie de la r�sistance ? �
C�est � cette m�me question � laquelle il nous faut r�pondre aujourd�hui.
Mais avons-nous le choix ?