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    Post WORLD TRADE CENTER -(11 Septembre 2001)

    L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)

    Le 11-Septembre 2001


    Les attentats du 11 septembre 2001 ( abr�viations : 11/9, 11 Septembre ou 11-Septembre et, en anglais, 9/11 ),
    le plus grand attentat terroriste jamais perp�tr� dans l'Histoire, frapp�rent New York et Washington � l'aide
    d'avions de ligne d�tourn�s, dans la matin�e du jour �ponyme.Le terme regroupe une s�rie d'�v�nements synchronis�s
    qui se d�roul�rent dans le nord-est des �tats-Unis d'Am�rique : trois avions commerciaux (sur quatre d�tourn�s)
    furent pr�cipit�s sur des immeubles repr�sentatifs de la puissance am�ricaine, �conomique pour les tours jumelles du World Trade Center � Manhattan, New York, et militaire pour le le Pentagone, si�ge du minist�re de la D�fense des �tats-Unis, � Washington. Les "Twin Towers" s'effondr�rent spectaculairement moins de deux heures apr�s les impacts,
    ainsi qu'une troisi�me tour proche dite WTC7, le Pentagone fut endommag�.
    Les victimes ont �t� chiffr�es � 2 997 morts et disparus pr�sum�s morts, plusieurs milliers de personnes bless�es et dizaines de milliers d'autres, notamment parmi les sauveteurs, atteintes de maladies induites par l'inhalation de poussi�res toxiques. Si l'on excepte la sanglante bataille d'Antietam (1862), le 11 septembre 2001 est la journ�e la plus meurtri�re de l'histoire des �tats-Unis, dont le territoire avait �t� �pargn� depuis la fin de la guerre de s�cession. Souvent compar� � l'agression japonaise sur Pearl Harbour (7 d�cembre 1941), l'�v�nement a �t� plus meurtrier, et a surtout touch� des civils, de surcro�t � un centre n�vralgique de l'Am�rique.
    La th�se du complot terroriste islamiste fut imm�diatement pr�sent�e par les grands m�dias et les autorit�s am�ricaines, puis soutenue par le rapport de la commission charg�e d'enqu�te (Commission Kean). Selon cette th�se, les dix-neuf pirates de l'air qui ont effectu� ces attentats-suicides �taient membres d'Al-Qaida. Jamais officiellement revendiqu�s, ils ont �t� condamn�s par tous les �tats de la plan�te, sauf l'Irak baasiste.
    Ev�nement sans pr�c�dent comparable, les attentats du 11 septembre ont �t� v�cus presque en temps r�el par des centaines de millions de t�lespectateurs � travers le monde. La surprise et, pour beaucoup, le choc psychologique ont �t� consid�rables, notamment en Am�rique et en Occident. Ils ont g�n�r� de part le monde des effets puissants et persistants, notamment politiques, psychologiques et �conomiques. Le gouvernement des �tats-Unis a adopt� un comportement s�curitaire. Les �trangers pr�sents sur le sol am�ricain sont soumis � des mesures de surveillance sp�cifiques. Sur le plan de la politique �trang�re, les �l�ments les plus visibles de la suite donn�e par l'administration am�ricaine aux attentats sont le lancement de la guerre contre le terrorisme (dont la guerre d'Afghanistan en 2001), la d�nonciation de l' � Axe du Mal � et, bien qu'aucun lien n'ait �t� officiellement �tabli entre Bagdad et les auteurs de l'attentat, le lancement de la guerre en Irak en 2003.

    Comme de coutume la cible les islamistes ? a mon avis c'est une machination on laisse l'avis aux experts .

    Les origines de l'attentat du 11 septembre 2001

    Il n'y a pas de livre d'Histoire plus passionnant, plus riche, plus indispensable, pour comprendre les secrets du 11 septembre, que � La route vers le nouveau d�sordre mondial � de Peter Dale Scott.
    J'ai d�couvert ce livre il y a six mois environ et j'ai aussit�t souhait� le faire conna�tre mais la difficult� de rendre une telle �uvre, quasi Proustienne par sa richesse, tant de d�tails, tant d'humanit� aussi, m'a bloqu�e, un peu comme un surfeur au moment d'aborder une vague immense. Le r�sumer c'est un peu le perdre privant le lecteur de son rythme insens� de r�v�lations, de ces incursions, comme des plong�es,
    au c�ur de l�Etat profond Am�ricain.
    Depuis cinquante ans, les hommes et les forces qui sont � l��uvre dans le secret des � shadow cabinet � ont pr�par� in�luctablement le 11 septembre.
    En ce qui concerne les raisons et les coupables de cet attentat, c'est notre ignorance de l'Histoire qui nous emp�che les nommer. Qui ignore l�Histoire ne peut comprendre le pr�sent.
    Quand on lit ce livre, comme nous paraissent d�risoires toutes les explications que nous entendons
    pour sauver cette fameuse VO. Comme tout est clair d�sormais.
    Je dirai, pour faire une comparaison : imaginons quelqu�un qui apprend que Barbe-Bleue est soup�onn� d�avoir tu� sa femme. Il dira : "C'est impossible, je le connais. C�est un homme qui est incapable de faire �a." C�est cet homme que Scott prend par la main, am�ne dans la chambre de Barbe-Bleue, ouvre le placard et lui fait d�couvrir le corps de ses autres �pouses tu�es. Et l�, devant les corps, devant les faits, lui montre Barbe-Bleue assassinant la derni�re. Que peut-il dire ? Le temps des r�veries est pass�.
    Ainsi, ces gens qui nous r�pondent quand nous parlons de ces fameuses deux heures o� aucun avion d�tourn� n'a �t� intercept� : "Oui, mais c'�tait nouveau et personne n'a su comment r�agir ! �, ignorent la v�ritable r�ponse qui tombe comme un couperet sur toutes les h�sitations. Oui, le 11 septembre a aussi �t� un coup d'Etat d'une partie du gouvernement am�ricain.
    Qui ? Comment ? Pourquoi ?
    L'habilet� de Scott est de nous dire : Ne croyez pas que le 11septembre soit, dans l'histoire des Etats-Unis, un �v�nement soudain et unique. 50 ans de politique l'ont amen�, pr�par�, construisant une situation monstrueuse qui ne pouvait que le produire.
    Et il nous entra�ne dans ces secrets.
    On descend dans l'Enfer de Dante.
    Le labyrinthe des cercles du pouvoir o� le pire n'est jamais qu'une strat�gie.
    "Le 11 septembre doit �tre envisag� comme le point culminant d'un m�canisme � l'�uvre depuis un demi-si�cle, conduisant � des d�cisions prises en secret par de petites coalisations, � la militarisation du maintien de l'ordre, � des plans pr�voyant la s�questration des dissidents, ainsi qu'� des op�rations, des transactions et des actifs gouvernementaux �chappant au contr�le de nos repr�sentants et enfin par la gouvernance de ceux qui financent les partis politiques plut�t que par ceux qui s'y impliquent."
    Ces fatales cinquante ann�es o� la d�mocratie Am�ricaine va peu � peu dispara�tre sous l�influence d�une oligarchie voit se succ�der Nixon (R), Ford, (R), Carter (D), Reagan (R), Bush �, Clinton (D) et Bush (R).
    Mais les ma�tres r�els des Etats-Unis, seront Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Brzezinski. Ce sont eux, obs�d�s d�ennemis ext�rieurs et int�rieurs, redoutant le peuple et la d�mocratie, qui ont cr�� un monde qui, bien avant le 11 septembre, est d�j� celui du Patriot act. Le secret prend le pas sur la transparence. La d�mocratie Am�ricaine, tant vant�e par Tocqueville a v�cu.
    Dick Cheney et Donald Rumsfeld font leur apparition en novembre 1975, apr�s la d�mission de Nixon et les premi�res heures du gouvernement Ford. Ils apparaissent au c�ur d�un mini coup d�Etat : � le massacre d�Halloween �, neuf personnalit�s du gouvernement ayant �t� contraintes de d�missionner. Ils occupent en 75 les m�mes positions dominantes qu�en septembre 2001. C�est �galement � ce moment-l� que Bush p�re devient directeur de la CIA. La fine �quipe est au pouvoir.
    Leur premier objectif va �tre de soustraire la maison Blanche et la CIA au Congr�s. Bush va d�sormais avoir
    sa CIA perso qui sera hors registre et hors-pays.
    La politique de ces trois l� peut se r�sumer en un mot : Mater ! Mater le congr�s, mater le peuple, mater les grands ennemis plan�taires, les communistes et les Islamistes ! Go !
    Un de leurs grands d�fauts va �tre, pour �tablir leur puissance, de se lier avec les mafias, les gangsters et les terroristes.
    Donnons un exemple qui reprend un nom que vous d�j� d� entendre : Adam Khashoggi. Dans les ann�es 70, Khashoggi cr�e le � Safari club � qui va permettre de faire de la politique �trang�re en �chappant au contr�le du Congr�s. Ce club r�unit la France, l�Egypte, l�Arabie saoudite, le Maroc et l�Iran. Tout ce joli monde est re�u dans une de ses propri�t�s du Kenya. Comme on a besoin d�argent pour jouer au Monopoly des puissants, Bush permet la cr�ation d�une banque d�origine Pakistanaise, la � Bank of cr�dit and commerce international �,qui devient une machine internationale de blanchissement d�argent, achetant des banques � travers le monde afin de cr�er le plus grand r�seau clandestin de l�histoire. Bush a sa CIA priv�e. Les op�rations genre escadrons de la mort de l�op�ration Condor peuvent fleurir sponsoris�es, entre autres, par les p�trodollars d�Arabie saoudite.
    Tout ce monde frelat� qui va pousser au 11 septembre, pour plus d�argent, pour plus de p�trole, pour plus de pouvoir, se met en place.
    Ah ! Les f�tes sur le yachts de Khashoggi avec toutes les putes du coin ! (Jouaient-ils � violer des femmes de chambre ?)
    Passons � Brzezinski.
    Brzezinski, polonais, d�testait les Russes. Tout vient de l�. L�histoire est en route. Comment leur nuire ? En utilisant la situation des populations islamistes. Et je te fais distribuer des Coran et je te cr�e des factions et des rebelles, et je te fais na�tre Ben Laden ,le chouchou de Bzrezinski, jusqu�� la fameuse chute de l�empire sovi�tique.
    Mais est-ce un gain de remplacer un ennemi par une autre ?
    En fait les islamistes sont les putes des Etats-Unis. Ils les utilisent quand ils en ont besoin, les mettent sur les trottoirs o� ils seront les plus utiles, aujourd�hui en Libye, les paient, les droguent, les envoient au combat, les l�chent. Et si certains se r�voltent
    ce sont vraiment de sales arabes. M�pris de l�humain.
    Les vrais terroristes musulmans font de petits attentats � la voiture pi�g�e. Les grandes machines, les grands attentats en technicolor et cin�mascope, ils n�en ont pas les moyens. Quelqu�un imagine-t-il ce qu� a pu co�ter le 11 septembre ? Non. Pas seulement un lot de cutters de chez Leroy-merlin. (Cutters tr�s efficaces si l�on s�en tient � la derni�re bande propos�e par les t�l�s, hier, o� l�on apprend, de la bouche m�me de l�h�tesse de l�air du AA11, que tout le monde a �t� assassin�. L��quipage �tait de 11 personnes, plus 81 passagers, cela fait, si je compte bien, moins elle qu�ils ont laiss�e vivante pour qu�elle informe ses chefs, 91 cadavres au cutter. Chapeau la qualit� de la lame ! Vu les circonstances on ne comprend pas pourquoi Atta leur demande quelques instants apr�s de rester tranquilles. Mais, nous ne sommes pas �tonn�s, apr�s la mort de Ben laden jet� � l�eau, ce sont les cr�ations de � Disney Washington �. Sc�nars toujours tr�s faibles !)
    Bzrezinski fut un d�mon pour les Russes, les afghans et tous les islamistes qui n��taient pas de son bord
    mais aussi pour les braves citoyens am�ricains.
    D�une part il shoota une bonne partie de la jeunesse avec sa super h�ro�ne made in l�-bas. Suite � son grand int�r�t pour la production du pavot qui lui assurait de remarquables revenus, � New-York, les morts, suite � l�arriv�e sur le march� de la drogue afghane, augment�rent de 77%.
    D�autre part il cr�a la fameuse FEMA qui a pour but de s�occuper du peuple en cas de trag�die nationale, climatologique, genre Louisiane, ou terroriste. C�est la Fema qui s�occupera de mettre tout le monde dans des camps pour les prot�ger. Ils l�ont d�j� fait avec des Japonais pendant la derni�re guerre et �a marche tr�s bien. Quiconque a vu � Super huit �, le dernier film produit par Spielberg et Jackson, a compris � quel point il �tait facile d�embarquer toute une ville vers des camps sans que personne ne s��meuve outre mesure. On allume un feu derri�re la ville puis on envoie l�arm�e avec des cars qui dit � tous � Montez et suivez-nous, on vous prot�ge ! �. Et personne ne dit rien. C�est pli� en quelques heures�
    A ce sujet Huttington a �crit dans son livre � Crisis in democraty � destin� � la Trilat�rale : � Un gouvernement qui manque d�autorit�, n�aura pas la possibilit�, sans une crise cataclysmique, d�imposer � son peuple les sacrifices n�cessaires. Il existe des limites � l�extension de la d�mocratie. �
    Ce que soulignera en rouge Bzrezinski dans son livre � Le grand �chiquier �
    � La d�mocratie est inamicale � la mobilisation imp�riale. �
    Tout est dit.
    Oui, mater le peuple qui aurait l�id�e de ne pas trop appr�cier les nouvelles tendances d�un gouvernement qui se gave et le laisse crever.
    Cette id�e est ch�re � bon nombre d� Am�ricains. Ce grand peuple est un peuple de droite. Avec un esprit de droite qui m�prise le peuple
    et le redoute. Et s�il se r�voltait ? Comme les Noirs autrefois ?
    D�s 68, sous Nixon, le plus parano�aque des pr�sidents, cro�t et embellit la guerre psychologique. ( Par propagande, mensonges, v�rit�s, semi-v�rit�s, fausses preuves, faux t�moignages , donn�es erron�es ou trompeuses) Tout ce que nous voyons donc dans la presse aux ordres est une tactique qui date du bon vieux temps. Un agent de la CIA dira : � Vous pouvez avoir un journaliste pour moins cher qu�une bonne prostitu�e. � (Est-ce le tarif de M. Joffrin qui, dans le nouvel Obs d�hier, �crit un �ditorial qui a provoqu� une lev�e de boucliers
    � Pourquoi les complotistes sont des ennemis de la d�mocratie � ?)
    Ils iront m�me plus loin avec ce qui fut appel� : le contr�le des esprits (projet MK Ultra mis en oeuvre par la CIA de 50 � 90 et visant � manipuler par injections de substances psychotropes.) Plus de trente institutions dont des universit�s US particip�rent � ce programme.
    Plus loin encore, nous rappelant ici, l�Europe se mettant peu � peu au go�t du jour, cette fameuse Eurogenfor cr��e par la merveilleuse MAM. Alors que la loi dite du � Posse Comitatus � �tablissait que l'arm�e n'a pas le droit d'intervenir dans le gouvernement civil, en 75 le programme � Cable Spicer � adapta � un usage national les proc�dures utilis�es par l'arm�e au Vietnam.
    Plus encore. Le programme cointelpro du FBI cr�a de faux mouvements r�volutionnaires. En particulier dans des r�serves d'indiens. L'arm�e et la police iront m�me jusqu'� fournir des armes � des gangs de droite interdits. Oui, la fr�quentation de l'extr�me-droite et son utilisation ne datent pas d'aujourd'hui. L'arm�e a pris l'habitude de contrer la gauche en armant la droite. Rien de nouveau sous le soleil.
    Mais revenons � Rumsfeld et Cheney. Leur contribution immense aux �v�nements du 11 septembre sera la cr�ation, dans les ann�es 80, du COG � Continuity of gouvernement � en cas d��v�nement grave. Cette disposition permet � un homme et un seul d�avoir tous les pouvoirs en p�riode troubl�e. Cet homme , le 11 septembre, ce sera Rumsfeld lui-m�me et cette d�cision va co�ter aux US trois mille vies et trois tours.
    Qui a mont� l�attentat ? Al Qa�da ? Les US ? Le Mossad ? L�arabie saoudite ? Le Pakistan ?
    Ces cinq l� sont un peu les fr�res Dalton. Ils bossent ensemble.
    Al qa�da , en particulier est l�enfant de la CIA. C�est une r�alit� historique. Certes AlQa�da pr�pare des attentats mais, manque de bol avec des instructeurs arabes incorpor�s dans l�arm�e am�ricaine. En particulier le fameux Mohamed qui faisait partie des services de renseignement am�ricains et entra�nait tout Al Qa�da ! Les bandits sont form�s par les gendarmes !
    Ceci n�est qu�un d�tail si l�on consid�re que le monde est d�sormais dirig� par une coalition qui n�a aucun souci de race ou de religion. Seules sa puissance et sa perennit� lui importent. Dans ce supra monde il y a des faucons, des banquiers, des chr�tiens, des juifs, des musulmans d�Arabie Saoudite, pays impliqu� au premier chef dans les attentats, Ben Laden est prince saoudien et quinze des dix-neuf pirates de l�air �taient saoudiens. Mais Bush �tait grand ami de la famille Ben Laden qui a �t� la seule autoris�e � quitter les Etats-Unis apr�s les �v�nements. L� encore, comme pour Al Qa�da, il y a les Ben Laden gentils et m�chants.
    Tout ce petit monde travaille la main dans la main. Oui, le Pakistan, l�arabie saoudite, aid�s par le Mossad sont fortement
    soup�onn�s de s��tre occup�s de la partie technique des attentats.
    Mais il fallait bien que ces avions, p�n�trant sur le territoire am�ricain, puisent arriver jusqu�aux tours ce qui �tait tout de m�me d�licat.
    C�est l� que l�action de Rumsfeld a �t� capitale. Il a ouvert le ciel de son pays � ses amis-ennemis.
    Et l� il n�y a plus de conditionnel. C�est un fait historique.
    Robert Bowman, ancien lieutenant-colonel de l�arm�e de l�air d�clara en 2005 :
    Si notre gouvernement n�avait tout simplement rien fait et avait permis le d�roulement des proc�dures normales ce matin du 11 septembre, les tours jumelles seraient encore debout et des milliers de victimes Am�rcaines seraient encore en vie. �
    Mais c��tait impossible. En vertu des dispositions du COG. En cas de probl�me grave, le pr�sident est court circuit�. Un seul peut donner des ordres. Le 11 septembre ce seul l� �tait le secr�taire de la d�fense Rummsfeld.
    Comment en �tait-on arriv� l� ?
    Le 8 mai 2001, Bush demanda � Cheney de superviser la mise au point d'un effort coordonn� au niveau national contre les terroristes et les armes de destruction massive. Ce groupe "National Preparedness review � relan�ait la COG. Un autre coquin leur fut adjoint. Joe Allbaugh fut nomm� directeur de la fema. C�est Allbaugh qui avait g�r� la campagne de Bush en 2000 et avait �t� impliqu� dans les magouilles �lectorales de Miami.
    Un expert en "coups tordus ", indispensable en pr�vision du 11 septembre..
    En juin 2001, le pentagone �mit un nouveau document d�cr�tant que toute interception a�rienne devrait �tre
    approuv�e par le secr�taire de la d�fense. M Donald Rumsfeld.
    La Vo ne s'interroge pas pour savoir pourquoi ce m�mo a �t� promulgu� 10 semaines avant le 11 sept et restaur�e en dec 2001. Quel dommage...
    Le 6 ao�t la Cia transmis � Bush un m�mo disant que Ben Laden se pr�parait � attaquer.
    Bush le lut et partit � la p�che. Ce n��tait pas son probl�me. Il y en avait beaucoup d�autres sur le coup. A lui la p�che et l�inauguration des �coles.
    Ainsi, seul Rumsfeld pouvait donner ce jour l� des ordres d�interception et � aucun moment il ne l�a fait, m�me quand on lui a signal�, minute apr�s minute, l�approche de l�avion qui devait s��craser sur le Pentagone. Mais pas du c�t� o� il �tait. Ouf !
    Que Rumsfeld ne soit pas jug� et en prison jusqu�� la fin de ses jours , lui que l�on a vu sur une vid�o, coinc� dans un ascenseur et trait� d�assassin par des Am�ricains bien inform�s, voil� qui nous laisse mieux comprendre ce qu�est l�Am�rique actuelle.
    L�Am�rique d�Obama, qui refuse aux secouristes de Ground z�ro qui ont contact� des cancers lors de leurs travaux de d�blayage d��tre pris en charge et qui ne les invite pas aux c�r�monies de comm�moration car il n�y pas assez de place.
    Quand il fallait bosser, vite, sur les d�combres pour faire tout dispara�tre le plus rapidement possible, l�, il y avait de la place !
    Le m�me Obama qui prot�ge Bush de toute action judiciaire et qui met en garde son pays d�une �ventuelle intervention d�Al Qa�da. Mais quelle Al Qa�da , M Obama ? Les pauvres malheureux qui font sauter leurs slips et leurs chaussettes parce qu�on les a gentiment laiss� monter dans des avions ? Ou vos amis Saoudiens ? Ou vos amis Libyens ? Ou vos amis de la CIA1 qui noyaute la CIA2 ?
    Et qui dirige la COG en ce moment ? Rumsfeld ? Bis repitatia non placent. Vous allez y laisser quoi l� ?
    Combien d�Am�ricains sont pr�vus au compteur des d�g�ts collat�raux ?
    Obama, la marionnette de Chicago, le valet des banques. La honte des noirs et de tous les hommes conscients des r�alit�s de cette histoire.
    Il y en a de plus en plus. Quelqu�un hier sur le fil , suite � mon article � L�attentat fasciste du 11 septembre � me disait que la preuve que la VO �tait vraie est que j��tais encore vivante. Il faut dire que si la Cia voulait me d�zinguer (mais laquelle ???), il y en aurait bcp d�autres avant moi : Scott, Alex Jones, Meyssan, qu�ils ont eu sous la main en Libye, et les milliards d��tres humains qui doutent , et de plus en plus, de cette mise en sc�ne, certes de qualit�, mais qui nous enfonce, h�las, dans la noyade la plus tragique. Nous vivons la fin du � Titanic � au ralenti.
    C�est cette clique qui actuellement met l�Afrique et l�Europe � genoux, poussant vers un chaos qu�ils ne ma�trisent pas, la plan�te tout enti�re. Toujours le p�trole. Toujours le fric. Toujours leur putain de r�ve de domination universelle.
    L�Europe, l�Afrique, sont les nouvelles tours qui vont s�abattre.
    Je voudrais simplement terminer sur ces fameuses bandes qui sont donn�es � entendre � la t�l�. Pourquoi les ont-ils choisies ? (On les devine facilement.) Parce que beaucoup disent en effet qu�il est incroyable que ces avions n�aient pas �t� arr�t�s. Ils veulent donc faire comprendre au bon peuple niveau Texan de Dallas que, ce matin l�, il y a avait vraiment un grand d�sordre dans le ciel !
    Que l�arm�e de l�air, qui doit �tre verte quand elle entend �a, ne savait � quel saint se vouer :
    -Oh ! Ils ont touch� une tour !
    -Oh ! Les tours s�effondrent !, ces deux phrases se suivant dans la foul�e. Non seulement ils n�y comprenaient rien
    mais encore ils avaient un bandeau sur les yeux !
    Et bien, braves gens de Dallas et d�ailleurs, maintenant quand on vous dira : � Oui, ils �taient perdus, ils ne savaient que faire, voil� pourquoi ils ne sont pas intervenus ! �, vous pourrez r�pondre : � Non. C�est parce qu�une disposition, le COG, vot�e dix semaines auparavant interdisait toute interception sans ordre de Rumsfeld et que celui-ci a abandonn� son pays aux terroristes ses amis. �
    J�esp�re que je vous aurait donn� envie de lire le livre de Scott , cet article n��tant que l�ombre de l�ombre du quart du milli�me de son admirable �tude. Elle commence par ces mots :
    � L'Am�rique, comme nous l'avons connue et aim�e, peut-elle �tre sauv�e ?
    Il faudra beaucoup de courage. N�en doutons pas. Mais ce courage pour nous et nos enfants, nous l�avons.
    Vous souvenez vous de cette question que vous vous �tes, sans doute, pos�e autrefois
    � Qu�aurais-je fait pendant la guerre ? Aurais-je eu le courage de faire partie de la r�sistance ? �
    C�est � cette m�me question � laquelle il nous faut r�pondre aujourd�hui.
    Mais avons-nous le choix ?




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    Re : L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)

    Salam
    c'est la plus grande arnaque de tout les temps, et la rampe de lancement pour la guerre contre l'Islam et pour mieux etablir leur "New World Order"



    Il faut se reveiller , pour ceux qui gobent ce qu'on leur dit a la t�t�

    Amicalement
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    Re : L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)

    اقتباس المشاركة الأصلية كتبت بواسطة Django مشاهدة المشاركة
    Salam
    c'est la plus grande arnaque de tout les temps, et la rampe de lancement pour la guerre contre l'Islam et pour mieux etablir leur "New World Order"


    Il faut se reveiller , pour ceux qui gobent ce qu'on leur dit a la t�t�

    Amicalement
    salam django

    tu as tout dit, et je rajouterai seul l'Islam s'oppose au nouvel ordre mondial,

    voil� sans doute la r�ponse avec un point d'interrogation (repris du texte).

    Qui a mont� l�attentat ? Al Qa�da ? Les US ? Le Mossad ? L�arabie saoudite ? Le Pakistan ?

    Ces cinq l� sont un peu les fr�res Dalton. Ils bossent ensemble.

    Al qa�da , en particulier est l�enfant de la CIA. C�est une r�alit� historique. Certes Al Qa�da pr�pare des attentats mais, manque de bol avec des instructeurs arabes incorpor�s dans l�arm�e am�ricaine. En particulier le fameux Mohamed qui faisait partie des services de renseignement am�ricains et entra�nait tout Al Qa�da ! Les bandits sont form�s par les gendarmes !





    peut �tre qu'on pourrait dire aussi, ceux sont eux les instigateurs du 11 septembre

  4. #4
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    Re : L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)

    Salam et Choukrane : quel labyrinthe!!! C'est un v�ritable puzzle ."L'histoire est une science qui se consomme froide meme si elle a �tait brulante"

  5. #5
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    Re : L'ATTENTAT TERRORISTE DU WORLD TRADE CENTER - (11 Septembre 2001)

    salut
    voici les �v�nements du 11 Septembre 2001 expliqu� en 5 minutes avec ironie et humour

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    Post 11 Septembre 2001 c��tait il y a 15 ans

    11 Septembre 2001 c��tait il y a 15 ans


    Hommage aux 343 pompiers tu�s � New York le 11 septembre 2001
    Publi� le 10 septembre 2016 � 19h41
    Mis � jour le 10 septembre 2016 � 19h41

    Les 343 pompiers qui ont perdu la vie il y a 15 ans dans les attentats
    contre les tours jumelles � New York ont �t� honor�s, samedi, lors
    d'une c�r�monie � la cath�drale Saint-Patrick d�di�e � ceux qui ont
    fait preuve d'h�ro�sme durant cette journ�e catastrophique. Des gestes
    que �la plupart d'entre nous ne peuvent comprendre�, a dit le maire
    de New York.
    Des centaines de proches des pompiers qui sont morts et
    de ceux qui ont surv�cu aux attaques ont assist� au service comm�moratif
    pr�sid� par le cardinal Timothy Dolan. Le nombre de pompiers morts le
    11 septembre 2001 est le plus �lev� en une seule journ�e de toute l'histoire
    des �tats-Unis.
    La procureure g�n�rale et ministre de la Justice Loretta Lynch
    a lu une lettre du pr�sident Barack Obama d�crivant les cons�quences sur
    le pays de l'attaque contre les deux tours de 110 �tages du World Trade Center.

    �Nous nous souvenons qu'aucun acte de terreur ne peut �galer le caract�re
    de notre pays, changer ce que nous sommes en tant qu'Am�ricains, ni vaincre
    notre d�termination � �tre le protecteur de l'autre autant en temps de crise qu'en
    p�riode de calme�, disait la lettre du pr�sident.
    Le maire de New York, Bill de
    Blasio, a soulign� que les pompiers ayant p�ri dans les attentats repr�sentaient
    toutes les g�n�rations, puisqu'ils �taient �g�s de 22 � 71 ans.
    Il a d�clar� que
    toutes les personnes qui se trouvaient � New York ce jour-l� avaient souffert,
    mais pas autant que les membres du Service des incendies de New York (NYFD).

    �Nous nous souvenons de ce que les membres du NYFD ont fait face � un
    �v�nement qui d�passait l'entendement. Ils ont fait preuve d'altruisme. Ils ont
    fait preuve de courage, a-t-il dit. Lorsque nous avons eu le plus besoin d'eux,
    ils nous ont montr� le meilleur c�t� de l'humanit�.�
    M. De Blasio a estim� que
    le 11 septembre 2001, les pompiers avaient �fait des choses que la plupart d'entre
    nous ne peuvent comprendre�.
    �Ils se sont pr�cipit�s vers le danger plut�t que de
    s'en �loigner�, a-t-il rappel�.
    Le maire a �galement not� que certains pompiers
    avaient ensuite succomb� � des maladies li�es � l'air contamin� auquel ils ont �t�
    expos�s durant la catastrophe, et que d'autres �taient toujours en vie, mais
    souffrants.
    La grande cath�drale Saint-Patrick �tait remplie au maximum de sa
    capacit� pour le service comm�moratif. De nombreux repr�sentants de la
    municipalit�, des pompiers et des proches des victimes �taient pr�sents.
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    Post Les familles des victimes du 11 Septembre pourront poursuivre l�Arabie Saoudite

    Les familles des victimes du 11 Septembre pourront poursuivre l�Arabie Saoudite

    le 30.09.16 | 10h00

    C�est une premi�re : depuis l�arriv�e de Barack Obama � la Maison-Blanche il y a huit ans, jamais le
    Congr�s n�avait rejet� un de ses vetos (il en a fait passer douze). C�est en cela et sur le pr�c�dent que
    la loi va cr�er que le vote de la Chambre des repr�sentants et du S�nat, mercredi, est une d�cision historique.


    Le Congr�s am�ricain a rejet� mercredi un veto de Barack Obama sur une
    loi autorisant les proches des victimes du 11 Septembre � poursuivre l�Arabie
    Saoudite. Le S�nat, dans un premier temps, a vot� (par 97 voix) pour entraver
    le veto contre une seule voix soutenant l�initiative de Barack Obama, celle de
    Harry Reid, chef de la minorit� d�mocrate � la Chambre haute. Les �lus de la
    Chambre des repr�sentants se sont ensuite prononc�s � 348 voix pour rejeter
    le veto et 77 voix soutenant le chef de l�Etat. De nombreuses familles pensent
    que le gouvernement saoudien est impliqu� dans le financement et l�organisation
    des attentats.
    Quinze des 19 auteurs des attentats ayant fait pr�s de 3000 morts
    le 11 septembre 2001 aux Etats-Unis �taient des ressortissants saoudiens.
    La responsabilit� de l�Arabie Saoudite n�a cependant jamais �t� d�montr�e. Mais
    les d�fenseurs du Justice Against Sponsors of Terrorism Act (Jasta) ont insist� sur
    la n�cessit� pour les proches des victimes de pouvoir r�clamer justice. Ils estiment
    que la position de l�Administration Obama est avant tout li�e � la crainte de
    provoquer la col�re de Riyad.
    �Le veto du pr�sident Obama t�moigne d�un profond
    m�pris envers les familles des victimes du 11 Septembre�, a de son c�t� accus� le
    Parti r�publicain apr�s le vote. Le candidat r�publicain � la pr�sidentielle,
    Donald Trump, �n�a jamais oubli� l�impact tragique de cette journ�e et il s�assurera
    que ceux qui ont subi des pertes inimaginables puissent obtenir la justice qu�ils
    m�ritent�, poursuit le parti. �C�est une erreur�, a r�agi le pr�sident am�ricain en
    d�non�ant sur CNN un �vote politique� de parlementaires qui jouent pour beaucoup
    leur r��lection, le 8 novembre.
    Barack Obama juge que ce texte affaiblirait le principe d�immunit� qui prot�ge les Etats (et leurs diplomates) de poursuites judiciaires et risquerait, par un effet boomerang, d�exposer les Etats-Unis � des poursuites devant
    divers tribunaux � travers le monde.Ce texte �ne prot�gera pas les Am�ricains
    d�attaques terroristes et n�am�liorera pas non plus l�efficacit� de notre r�ponse en cas
    de telles attaques�, avait-il mis en garde dans une lettre adress�e aux chefs d�mocrate
    et r�publicain du S�nat. En vain.
    Le directeur de la CIA, John Brennan, a aussi estim�
    qu�un tel vote �aura de graves implications sur la s�curit� nationale des Etats-Unis�
    et des cons�quences pour �les employ�s du gouvernement qui travaillent � l��tranger�.
    Il �marque un dangereux pr�c�dent�, a encore affirm� Barack Obama sur CNN,
    rappelant que le chef d��tat-major interarm�es am�ricain, le g�n�ral Joseph Dunford,
    ainsi que le ministre de la D�fense, Ashton Carter, estimaient �galement qu�il s�agissait d�une �mauvaise id�e�.

    R�actions
    Le texte a d�ores et d�j� provoqu� une lev�e de boucliers dans les monarchies du Golfe,
    qui entretiennent des relations tendues avec l�Administration Obama � qui elles reprochent, entre autres, d�avoir r�int�gr� l�Iran, grand rival chiite, dans le jeu diplomatique. L�Arabie Saoudite, qui ressent ce vote comme �un coup de poignard
    dans le dos�, pourrait riposter en r�duisant sa coop�ration avec Washington, notamment dans le contre-terrorisme, selon des experts.
    �J�ai peur que cette loi ait des implications strat�giques catastrophiques� sur les relations historiques entre Washington et Riyad, avertit Salman Al Ansari, pr�sident du Saprac, un comit� priv� pour la promotion des relations saoudo-am�ricaines. La relation Washington-Riyad, nou�e il y a plus de 70 ans,
    a �t� fond�e jusqu�ici sur un �change de la s�curit� am�ricaine contre le p�trole saoudien.

    Les relations Washington-Riyad se sont refroidies en 2014-2015, lorsque le pr�sident am�ricain a amorc� une ouverture vers T�h�ran, qui s�est concr�tis�e par l�accord sur le nucl�aire iranien. Mais cela n�a apparemment pas emp�ch� la coop�ration antiterroriste saoudo-am�ricaine de rester solide. Elle �a permis aux autorit�s am�ricaines d�avoir des renseignements pr�cis ayant contribu� � d�jouer des attentats�, selon Salman Al Ansari.
    En coulisses, Riyad a fait pression pour que le projet de loi soit supprim�. Un prince saoudien aurait menac� de retirer ses milliards de dollars des actifs am�ricains si la loi venait � passer. Mais les officiels saoudiens se sont d�marqu�s de ces propos.
    �L�Arabie a �t� poignard�e dans le dos par cette loi irr�fl�chie et irr�aliste�, a
    confi� Salman Al Ansari � l�AFP. �Comment pouvez-vous poursuivre un pays qui collabore contre ce m�me terrorisme dont il est accus� sans fondement�, s�interroge-t-il.
    Le royaume de Bahre�n, proche alli� de l�Arabie Saoudite, a aussi d�j� vivement r�agi
    en affirmant que les parlementaires am�ricains avaient �d�coch� une fl�che�
    sur �leur propre pays�.

    Mel. M. avec agences
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