Vrai ou faux ?

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2015 Vendredi 06 Mars 2015
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La première école de formation à Oran
Entretien du réseau téléphonique

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Par Salah C.

Le projet portant sur la création d'une école de formation de personnel spécialisé dans l'entretien du réseau téléphonique qu'a initié il y a plus de deux ans Lineda Haouas, une Algérienne établie en France, est enfin une réalité. Rencontrée en marge du salon national de l'emploi qu'a abrité récemment Oran, la porteuse du projet explique que le but recherché est l'insertion professionnelle des jeunes d'autant qu'une expérience tentée en France parmi les jeunes délinquants a été concluante. Ces jeunes bénéficient de cette formation de trois mois avant qu'ils montent leurs propres micro-entreprises en groupe de 4 et seront financés dans le cadre du dispositif ANSEJ. Quant au plan de charge, il sera assuré par Algérie Telecom, a précisé Mme Haouas. Une fois sur le terrain à partir d'avril prochain, ces jeunes agents seront spécialisés dans les interventions sur le réseau téléphonique et satisferont les clients d'AT. Le choix de ce créneau s'explique par le fait qu'il est porteur et durable et ce à travers tous les pays du monde. Selon note interlocutrice, le marché a besoin de cette main-d'œuvre spécialisée et après la sortie de cette première promotion, l'entame d'une autre formation similaire dépend des besoins exprimés par les utilisateurs. Mme Haouas estime qu'il ne s'agit pas de former pour former mais de former ces jeunes pour qu'ils puissent s'insérer sur le plan professionnel et éviter qu'ils bénéficient de crédits bancaires sans être actifs comme tous ceux qui ont opté pour des créneaux non concluants. Concernant l'encadrement, l'école fonctionne grâce à des formateurs locaux encadrés par 5 spécialistes étrangers. L'essentiel est de permettre à l'encadrement local de bénéficier du savoir-faire et de le pérenniser. L'école ne compte pas se spécialiser uniquement dans les télécoms, mais de s'impliquer dans d'autres créneaux avec comme constante, la récupération des jeunes.

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2015 Jeudi 12 Mars 2015
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Skikda
Prochaine réception de la Maison de la culture

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La réception de la nouvelle Maison de la culture de Skikda aura lieu avant la fin du deuxième trimestre 2015, a indiqué le directeur de la culture, Abdelali Koudid, à l’APS. Le gros des travaux de réalisation de cette infrastructure culturelle a été achevé, et il ne reste que des retouches de finition à l’intérieur de la salle de conférences de 600 places, a souligné le responsable.
S’étendant sur une surface de 5 000 mètres carrés (m2), cette infrastructure culturelle dont la réalisation a accusé un grand retard pour des raisons liées à la compétence des entreprises de réalisation et des réévaluations financières, notamment, a nécessité un investissement public de 600 millions de dinars, a précisé le responsable. La future maison de la culture de Skikda implantée à la cité Saker au centre-ville comprendra un laboratoire de langues, un autre de photographie, un espace dédié aux beaux-arts, une bibliothèque pour enfants et une autre pour adultes, en plus d’une salle de conférences, dix (10) ateliers et une salle d’expositions. Cette infrastructure culturelle offrira 50 postes de travail permanents, a précisé M. Koudid, faisant part de l’impact qu’aura cette maison de la culture dans la redynamisation de la vie culturelle dans cette wilaya.

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Actualités
2015 Jeudi 22 Mars 2015
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L’IDEE SERA DÉBATTUE LORS DU PROCHAIN SOMMET DE LA CNLTD
Une délégation «citoyenne» pour voir Bouteflika

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La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique compte vérifier de «près» la santé du président de la République.
Ceci via une «délégation citoyenne» qui aura à solliciter une audience au Premier magistrat du pays. L’idée «inédite» sera débattue, selon le président de Jil Jadid, lors du sommet de la CNLTD prévu au tout début du mois d’avril prochain.
Pour Soufiane Djilali, qui animait hier samedi une conférence de presse, il s’agira concrètement de choisir parmi la société civile un panel de personnes et de personnalités réputées pour leur sagesse, leur probité et leur intégrité qui auront à demander à rencontrer le président de la République. L’objectif étant, reconnaîtra-t-il, loin d’être inavoué puisqu’il s’agira de voir «si le président est en bonne santé, s’il accomplit convenablement ses missions».
Une idée née du dernier message du président de la République de jeudi dernier qui, de par sa virulence peu coutumière à l’endroit de l’opposition et de la presse, a fait douter plus d’un quant à la paternité d’une telle allocution. «Ce n’est pas le style du président.
C’est un discours de guerre qui met le feu aux poudres», estime Soufiane Djilali pour qui, «la conjonction entre l’opposition et la société civile scellée lors de la dernière manifestation de Ouargla et les slogans brandis à l’occasion ont créé une panique en haut lieu». Et d’ajouter que le citoyen n’est plus anesthésié, ce qui fait peur au pouvoir» qui a face à lui «une opposition et pas «plusieurs oppositions». Estimant que le «pouvoir admet d’être critiqué mais pas d’être compris», le président de Jil Jadid a répondu au secrétaire général du FLN et ne manquera pas de répliquer au patron du FLN qui venait de le qualifier d’intellectuel dont le parti ne pèse pas. «Au moins moi, je suis un universitaire, pas un... drabki», se contentera-t-il de dire. Par ailleurs, le président de Jil Jadid appelle à des états généraux de l’éducation.
Et d’ores et déjà, le parti a établi un rapport que le conseil national devra étudier et adopter prochainement à l’effet de le proposer à cette rencontre qui se veut une alternative parmi d’autres à l’échec patent de notre système éducatif.
M. K.

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Actualités
2015 Vendredi 27 Mars 2015
Publié à 15H24
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Moussa Touati à Bouteflika
«Partez, vous avez méprisé et affamé le peuple»


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Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA), a demandé, ce vendredi 27 mars à partir de Mascara, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de quitter le pouvoir.


Il lui a imputé la responsabilité de la situation qualifiée de «critique» que traverse le pays notamment l’avenir sombre qui lui est prédit.
Moussa Touati a également reproché à Bouteflika d’avoir «favoriser les étrangers, encourager la classe bourgeoise et mépriser et affamer le peuple».
Devant ses militants réunis à la salle de cinéma El-Feth de Mascara, M. Touati qui a relaté que «toutes les décisions concernant l’avenir de notre pays sont prises après concertation avec des parties étrangères», a tenu à déclarer que «l’Algérie, pour le Gouvernement français, est considérée comme un département d’outre-mer».
Moussa Touati a justifié ses déclarations par la décision de François Hollande portant sur l’interdiction de l’exploration et de l’exploitation du gaz de schiste sur le territoire français. «Les sociétés qui avaient payées les autorisations de permis d’exploration du Gaz de schiste en Franceont été purement et simplement orientéesvers l’Algérie», a souligné M. Touati.
M. Touati a, en outre, déclaré que «les gens qui sont au pouvoir n’accordent aucun intérêt aux revendications du peuple, Ils n’obéissent qu’aux ordres émanent de l’étranger» au point où, a-t-il ajouté, «nous sommes devenus des indigènes dans notre propre pays».

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Actualités
Dimanche 29 Mars 2015

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Nestlé inaugure une nouvelle unité à Oued Smar
Les marques Nescafé et Nesquik seront produites localement


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Les marques Nescafé et Nesquik du groupe Nestlé, leader mondial de l’industrie agroalimentaire, seront produites localement et destinées, à terme, à l’exportation.
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir)
Filiale de la société basée en Suisse, Nestlé Industrie Algérie (NIA) a lancé hier une nouvelle unité de production à Oued Smar (Alger), avec la présence notable du Président du Conseil des Etats de la Confédération Suisse, Claude Hêche, en visite en Algérie, du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Abdelwahab Nouri, et de l’ambassadeur de Suisse en Algérie, Mme Muriel Berset Kohen. D’un volume de production de 10 à 12 000 tonnes par an de produits laitiers (Gloria et Nespray) et de 1500 à 2000 tonnes par an pour les marques Nescafé (3 en 1 Crem) et Nesquik, cette nouvelle unité représente un investissement de l’ordre de 2 millions de francs suisses (plus de 2 millions d’euros).
C’est le second investissement que NIA, l’une des trois entités implantées par Nestlé en Algérie et dans laquelle Nestlé SA détient une participation principale, a engagé après le lancement dès janvier 2011 d’une première ligne de conditionnement de lait en poudre (Gloria et Nespray), pour un investissement de plus de 3 millions de francs suisses.
Des produits réputés de qualité, innovants et adaptés aux spécificités algériennes qui suscitent «la confiance» d’«un million de consommateurs algériens au quotidien», dira le directeur général de NIA, Denis Bouquay, lors de la cérémonie d’inauguration. L’élargissement de la gamme renforce ainsi le partenariat industriel et économique algéro-suisse, le président de l’instance parlementaire helvétique Claude Hêche saluant l’«alchimie», l’«alliance» entre la firme de Vevey et l’entreprise algérienne et l’implication concrète des entreprises étrangères à «produire» localement. De fait, cette extension conforte la dynamique de relance industrielle, promotion de la production locale et de substitution à l’importation enclenchée en Algérie, estimera-t-on. C’est ce que le directeur général de NIA considérera, en indiquant que les nouveaux produits pourront être exportés «en premier temps sur le marché maghrébin». Le Maghreb, où le marché algérien offre «le plus d’opportunités», observe Denis Bouquay qui indique que la firme helvétique qui y opère depuis plus de quatre ans enregistre un développement continu de ses activités et une bonne croissance.
Au-delà de la création d’emplois (plusieurs dizaines de postes d’emplois) et du développement de la formation, la consolidation industrielle impulsée hier devrait permettre à terme à Nestlé Algérie de conforter son positionnement et de pouvoir enregistrer une «croissance positive» en 2015 après deux ans de croissance «flat» (faible, relativement stationnaire).
Notons que Nestlé est représentée en Algérie par trois entités, NIA, Nestlé Waters (qui commercialise la marque Vie Pure) et Nestlé Algérie (fabrication de boissons et produits alimentaires), avec un effectif de 400 employés.

C. B.

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Actualités
Lundi 30 Mars 2015

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Selon le ministère de l’intérieur
Le passeport biométrique bientôt délivré en 10 jours


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Bonne nouvelle pour les demandeurs du passeport biométrique. En croire le ministère de l’Intérieur, le délai de livraison de ce fameux document de voyage sera réduit au plus tard à 10 jours.
Salah Benreguia - Alger (Le Soir)
Pour le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, l’immense retard connu dans la livraison du passeport biométrique depuis sa mise en place, est dû au «rush» enregistré en novembre et décembre derniers dans les daïras.
D’ailleurs, après avoir passé cette «vague», le département de Tayeb Belaïz s’attend à une «accalmie» et prévoit même un délai ne dépassant pas les 10 jours pour se faire octroyer le fameux document de voyage. C’est en tout cas ce qu’a promis le directeur général de la modernisation et des archives au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Abderrazak Henni qui s’exprimait hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale a, en effet, fait savoir que les délais de livraison du passeport biométrique seront bientôt réduits à une semaine, ou à 10 jours au plus tard. Selon lui, actuellement entre 22 000 et 25 000 passeports biométriques sont confectionnés par jour. «4 500 000 passeports biométriques ont déjà été livrés. Les passeports seront renouvelables même au delà du 24 novembre 2015, date à laquelle les anciens passeports ne seront plus valables», a-t-il précisé. Dans le même ordre d’idée, l’invité de la rédaction a annoncé le lancement, dès la semaine prochaine, d’un site web afin de «permettre aux citoyens de suivre l'acheminement de leur dossier de passeport biométrique». «Une nouvelle disposition a été prise en vertu de laquelle, les parents ne seront plus obligés de présenter leurs enfants de moins de 12 ans à la daïra. Une photo classique qui sera scannée suffira pour leur demande de passeport biométrique», selon M. Henni. À ce propos, la même source a tenu à préciser que «les retards enregistrés par la communauté algérienne vivant à l'étranger sont dus à la prise d'empreinte ou de la photo». À propos du permis de conduire biométrique, ce responsable a annoncé qu’il ne sera pas délivré avant l'année 2016. «Le travail a commencé pour le permis de conduire biométrique. Mais il ne sera pas délivré avant l'année 2016. Le fichier national du permis de conduire sera finalisé dans un mois», a-t-il noté, ajoutant que pour le cas de la carte grise, «le fichier national existe déjà».
Enfin, la même source s’est contentée de dire que, pour le cas de la carte nationale d'identité biométrique, «tout est fait pour être dans les délais».
S. B.

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Actualités
Mercredi 15 Avril 2015

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Logement
Accord entre les ministères de l'Habitat et des Finances sur le certificat négatif


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Le ministère de l'Habitat, de l'urbanisme et de la ville a annoncé mercredi avoir convenu avec le ministère des Finances de procéder en interne à la vérification de la possession ou non de biens immobiliers par les souscripteurs aux programmes publics de logements, une procédure qui tend à dispenser les citoyens du retrait du certificat négatif auprès des services de la conservation foncière.

Le ministère de l'Habitat enregistrera les données relatives aux listes des souscripteurs aux programmes LPP et AADL de 2001, 2002 et 2013 sur des CD qui seront transmis aux services compétents du ministère des Finances (conservation foncière et domaines de l'Etat) pour recueillir les informations nécessaires sur les souscripteurs et s'assurer que ces derniers ne possèdent pas un logement ou un lot de terrain à bâtir, précise un communiqué du ministère de l'Habitat.
Cet accord entre les ministères de l'Habitat et des Finances vise à faciliter les procédures administratives aux souscripteurs concernant le retrait du certificat négatif, exigé dans le dossier de demande de logement, précise la même source.
Ainsi,les souscripteurs n'auront pas à se rendre aux services de la
conservation foncière, conclut le document.

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