Page 17 sur 90 PremièrePremière ... 715161718192767 ... DernièreDernière
Affichage des résultats 161 à 170 sur 897

Discussion: Sante

  1. #161
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 342 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Mal de dents : cherchez la cause !
    L'irruption des dents de sagesse : douleurs à prévoir
    7 mal-de-dent-sagesse.jpg

    Les dents de sagesse sont lestroisièmes molaires, les dernières en arrière sur l’arcade dentaire. Leurséruptions se font en général entre 16 et 25 ans, mais elles ne sont passystématiques et certaines personnes n’en ont pas. Comme chez les enfants, la percéede ces dents peut provoquer des douleurs. Il s’agit alors d’un simple processuséruptif physiologique. Dans ce cas, un topique antalgique (comme le pansoral)ou un antalgique systémique (comme du paracétamol) peut suffire à réduire lesdouleurs.
    Dans certains cas, cependant, la gencive recouvrant la couronne d’une dent desagesse s’infecte. C’est ce que l’on appelle une péricoronarite.Des bactéries pénètrent sous un volet de gencive entourant la dent encorepartiellement sortie, et provoquent l’infection. La gencive gonfle, et lesdouleurs rendent difficile l’ouverture de la bouche.

    Comment la traiter ?
    Si la péricoronarite est limitéeà la dent de sagesse, un rinçage de la bouche avec de l’eau tiède salée peutatténuer les douleurs. Si l’infection a gagné la joue, il est impératif deconsulter un dentiste au plus vite. En attendant, la prise d’aspirine oud’ibuprofène est recommandée.

  2. # ADS
    Sante
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Localisation
    Monde des annonces
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #162
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    västerås.
    Messages
    2 671
    Thanks
    0
    Total, Thanks 9 548 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    et de boire entre 17h Et 19h est le plus important car le rein se régénère a ce moment...

    1620687_650598118319827_1985873883_n.jpg



  4. #163
    Date d'inscription
    janvier 2013
    Messages
    3 346
    Thanks
    2
    Total, Thanks 9 596 fois
    Pouvoir de réputation
    155

    Re : Sante


    L’hirudothérapie : se soigner avec les sangsues médicinales


    

    Les sangsues médicinales sont remises au goût du jour dans les cabinets de naturopathie comme dans les services de chirurgie des grands hôpitaux.

    Cette pratique ancestrale s’accorde avec les dernières avancées de la médecine moderne, comme les greffes de peau ou d’organes. Les bienfaits des sangsues s’étendent à de nombreux domaines, notamment pour traiter vos troubles de la circulation.

    Apprenez à mieux connaître les vertus de ces petites bêtes, aujourd’hui à la Clinic Alternativ de Genève, et connues depuis la plus haute Antiquité.


    La sangsue médicinale

    La Sangsue Médicinale est un animal invertébré appartenant à la famille des vers annelés (avec anneaux) : les annélides. C’est une cousine de notre lombric des jardins.

    Une sangsue adulte, de 3 à 4 ans, pèse 3g et mesure environ 10 cm en longueur sur 1,5 cm de large. Elle peut se rétracter pour prendre une forme d’olive, et mesure alors la moitié de sa longueur.
    Sur 600 sortes de sangsues, à peine 15 sont utilisées en médecine. La plus utilisée en thérapeutique est lasangsue médicinale ou Hirudo medicinalis, qui donne son nom à l’hirudothérapie. La sangsue verte et la sangsue grise sont de qualité égale en thérapie.

    L'Hirudo medicinalis est reconnue pour ses vertus thérapeutiques. Le principe est simple, le petit animal joliment irisé, s’agrippe à la peau des êtres humains pour leur permettre d’éliminer une petite quantité de sang et beaucoup de toxines.Pendant le processus, la sangsue augmente considérablement en taille et finalement, lorsqu’elle est saturée, elle se détache.

    L’effet des sangsues est tellement bénéfique que de nombreux hôpitaux les utilisent, y compris le Centre Hospitalier et Universitaire Vaudois, et la Clinique Universitaire de Genève. En Suisse, l’hirudothérapie est largement développée. En Allemagne, elle est pratiquée au sein même des hôpitaux.De nouveau très à la mode, des chaires d’enseignement se sont ouvertes en Allemagne, en Angleterre, en Russie.

    L'hirudothérapie fait toujours partie de la médecine traditionnelle de nombreux pays, comme la Russie, la Turquie ou l'Inde, pour tenter de traiter les varices, les tendinites, les arthroses, les hématomes, les furoncles et même les attaques cérébrales.
    En France, l'utilité des sangsues est reconnue par l'industrie pharmaceutique, et surtout par la chirurgie réparatrice, lors de réimplantations d'organe et de greffes de peau.


    Alors que la Sangsue fait un retour progressif chez les médecins et les pharmaciens, elle a, depuis une trentaine d’années, acquis sa place dans les services de chirurgie réparatrice et traumatologique. Aux Etats-Unis, on appelle les sangsues des « auxiliaires médicales ». La pose de sangsues permet d’éviter le risque de nécrose par congestion veineuse le temps que la circulation sanguine reprenne normalement dans le greffon.

    Les applications pratiques de l’hirudothérapie relèvent aussi de pathologies beaucoup plus courantes qui peuvent être soignées dans le cabinet d’un médecin ou d’un naturopathe. Mais cette approche reste encore très novatrice en France et peu de thérapeutes la pratiquent. De façon générale, on n’en est encore qu’au début de la renaissance de cette thérapie en France. À peine une vingtaine de thérapeutes l’utilisent de façon sérieuse.

    L’hirudothérapie

    Dominique Kaehler Schweizer est docteur en médecine, spécialiste en psychothérapie et médecine traditionnelle européenne. Elle pratique en Suisse depuis plus de 30 ans et a su concilier les traditions naturopathiques germanique et française.

    Diplômée en formation pour adultes, elle enseigne la phytothérapie et les techniques drastiques de dépuration (hirudothérapie, saignées et ventouses) dans son propre institut et dans plusieurs écoles naturopathiques suisses. Elle se consacre aussi à la diffusion des sangsues médicinales en Suisse. C’est elle qui a formé les thérapeutes de la Clinic Alternativ, qui pratiquent les soins d’hirudothérapie.


    « Ces véritables «pharmacies ambulantes» s’étaient éclipsées à la fin du XIXe siècle, à l’avènement de la médecine cellulaire; en compagnie de la médecine humorale, elles ont été chassées d’un grand coup de balancier. «Aujourd’hui, constate Dominique Kaehler Schweizer, le balancier a retrouvé son équilibre, les humeurs retrouvent leur place aux côtés des cellules!»

    « Les sangsues, explique la doctoresse, font un remarquable travail de dépuration, de nettoyage entre les cellules, là où stagnent les déchets dumétabolisme et de l’environnement. Mieux, leur salive a des effets anticoagulants, anti-inflammatoires et anesthésiants. » (Extrait de La Tribune de Genève du 17 octobre 2009, « Les sangsues reviennent en force »)

    En suçant le sang, les sangsues injectent des substances pharmacologiques actives et bénéfiques. Au début, elles produisent un anesthésiant qui leur permet de "mordre" à travers la peau sans causer de douleur. La morsure de la bestiole ressemble à une piqûre d’ortie qui persiste quelques minutes puis la douleur s’efface. Ensuite, elles secrètent une salive complexe dont la formule n’est, de nos jours, qu’incomplètement connue.

    Action dépurative


    Le premier effet mis en évidence de l’hirudothérapie est le bienfait de la saignée. L’effet de la saignée estdépuratif, décongestionnant, anti- inflammatoire et relaxant.

    De plus, elle produit une hémodilution, diminue la pléthore, augmente le flux lymphatique et enfin stimule la production des globules sanguins.

    Sous l’action anticoagulante, l’effet décongestionnant se poursuit pendant 12 à 14 heures. Les résultats sont rapides et impressionnants. Après le traitement, les saignements continuent de 2 à 12h, et le patient perd à peu près la même quantité de sang que celui absorbé par la sangsue.

    Action thérapeutique


    L’effet « saignée » est très intéressant à lui seul, mais il est tout-à-fait secondaire en comparaison des bienfaits de la salive que la sangsue injecte dans le corps de son hôte.
    Cette salive contient plus de 60 enzymes aux nombreuses propriétés : des substances anti-inflammatoires, antibiotiques, analgésiantes.

    Une de ses enzymes, l’Hirudine, est aujourd’hui synthétisée et utilisée couramment comme médicament anti-coagulant.
    La Destabilase, autre substance bénéfique de la sangsue médicinale, dissout la fibrine, principal composant descaillots sanguins. La salive de sangsue peut donc, non seulement, empêcher la formation de thrombose mais elle peut aussi dissoudre un caillot déjà formé.

    Les sangsues sont utiles pour remédier aux situations de congestions, d’inflammations, de douleurs. Environ 120 malaises et maladies peuvent être traités avec les sangsues.


    - les congestions et pléthores comme les varices, les hématomes, les hémorroïdes…

    - les inflammations comme le zona, les furoncles, les tendinites, l’arthrose

    - les douleurs comme dorsalgies et névralgies, les stases veineuses

    - mais aussi migraines, otites, acouphènes, troubles gynécologiques, traumatologie post-opératoire, hypertension...

    Les résultats sur les troubles que cette thérapie ancestrale peut résoudre sont souvent spectaculaires. L’arthrose du genou en est le meilleur exemple : « avec 80% de réussite, les sangsues sont le meilleur traitement avant la prothèse », confie le Dr Kaehler Schweizer.

    Une séance d’hirudothérapie dure vingt minutes pour un furoncle; jusqu’à une heure et demie pour les traitements les plus longs. Aujourd’hui les sangsues sont issues d’élevage de laboratoire contrôlé.Une fois la thérapie terminée, la sangsue nourrie et rassasiée est détruite par congélation ou renvoyée au laboratoire où elle finit sa vie dans un aquarium pour sangsues à la retraite.

    La première indication : le traitement des maladies veineuses.

    « Grâce à ses propriétés d’hémodilution, d’anticoagulation et de vasodilatation, la sangsue s’avère être une thérapeute de premier choix, surtout pour les cas de mauvaise circulation sanguine locale. Lessangsues sont employées pour soigner les troubles circulatoires et de maladies veineuses (varices, phlébites) ou pour soigner les patients qui ont eu un infarctus ou une attaque cérébrale. En outre, comme elle active la circulation, l'hirudothérapie peut accélérer la guérison. » Arte.tv, « Les Sangsues au service de la Médecine »

    Du fait de leur capacité à décongestionner les capillaires où il y a une stase, les sangsues sont préconisées en cas de varices et de thrombophlébites. La première pose se fera d’abord au niveau dubassin pour faciliter la remontée du sang par les jambes.
    Les sensations de jambes lourdes et les thromboses superficielles disparaissent.

    Par ailleurs, les sangsues ne seront pas suffisantes pour traiter des thromboses profondes. Mais surtout parce qu’aujourd’hui le traitement par anticoagulants, systématique, est antinomique avec la pose de sangsues.
    (Extrait de Pratiques de Santé, le Journal de la Médecine Naturelle)

    N’hésitez pas à vous renseigner auprès des thérapeutes de la Clinic Alternativ de Genève.


    Les sangsues médicinales à travers l’Histoire

    L’utilisation thérapeutique de la sangsue fait partie des plus anciennes connaissances de l’humanité. Son utilisation est ainsi attestée en Inde, en Chine, en Egypte, parfois pour des périodes se situant 3500 ans avant J.-C.

    Dans un tombeau de Thèbes En Egypte, datant de 1600-1300 avant J.-C., une peinture murale représentait un médecin appliquant une sangsue sur le front d’un malade.

    L’usage des sangsues est également décrit par un grand nombre de médecins grecs, latins et arabes. La première référence écrite date du second siècle avant J.-C. pour le traitement des morsures venimeuses.
    Pline l’Ancien (23 à 7
    9 après J.-C.) conseillait cette médication dans le traitement des phlébites et des hémorroïdes.

    A l’époque de la médecine des humeurs, basée sur l’équilibre des liquides dans notre organisme, les médecins avaient recours aux sangsues pour éliminer du corps les substances antipathiques et restaurer ainsi la balance des quatre humeurs (sang, phlegme, bile jaune, bile noire), altérée dans la maladie. Cette pratique fut généralisée par Avicenne.

    Jusqu’à la fin du Moyen-Age, les médecins traitèrent de nombreuses maladies par des applications de sangsues ; le mot « sangsue » prit alors plusieurs sens : il désigna un traitement, un cataplasme, une drogue et même l’apothicaire qui procurait l’animal.

    En s’ouvrant sur le monde, les Européens ont découvert que toutes les sociétés «primitives» en Afrique, dans les îles d’Asie ou d’Océanie connaissaient l’usage des sangsues. En Australie, des bains de purification par les sangsues dans une fontaine d’eau naturelle se pratiquaient chaque année pour prévenir toute maladie.

    A la Renaissance, l’usage de sangsues tombe en défaveur par rapport à celui de la saignée pratiquée à la lancette –couteau chirurgical-, bien connue chez Molière.

    Au XVIIIème siècle, les sangsues ont été remises à l’honneur en particulier dans le traitement des phlébites et des hémorroïdes. A l’époque de la Révolution, faute de chirurgiens, elles étaient utilisées pour réaliser les saignées.

    Le XIXème siècle est le siècle du grand retour de la sangsue. La sangsue est de nouveau perçue comme un outil thérapeutique unique. L’influence de Broussais (1772-1838), chirurgien de l’armée napoléonienne a été décisive pour la sangsue et pour son commerce.

    Broussais préconisait l’application de sangsues de préférence sur l’abdomen et une diète stricte, pour soigner toutes les maladies, qui n’étaient que des variantes de l’inflammation de l’estomac. L’engouement médical et populaire pour la pose des sangsues est extraordinaire : il se fit sentir jusque dans la mode au début des années 1820, avec les « robes à la Broussais » dont les garnitures simulaient des sangsues, ainsi que dans la littérature : Balzac, dans la « Physiologie du mariage ».

    La quantité de sangsues utilisée entre les années 1830 et 1840, aurait été d’environ 60 millions par an. Dans le même temps, la Russie consommait annuellement 30 millions de sangsues pour traiter des affections aussi diverses que la tuberculose, l’épilepsie ou les rhumatismes.

    L’usage massif entraîna ainsi progressivement le dépeuplement des marais français. Dans un premier temps, la France dut recourir aux pays voisins, jusqu’en Hongrie ou en Turquie.Des voitures sillonnaient la France, renfermant des sacs continuellement abreuvés d’eau, et remplis de millions de sangsues.

    Les hôpitaux parisiens, à eux seuls, en utilisaient plus d’un million par an. Favorisé par l’amélioration du transport, le commerce de la sangsue a pris, à cette époque, une dimension mondiale. Les Etats-Unis furent aussi de gros clients pour l’Europe.

    Le commerce des sangsues devint ainsi une activité majeure des apothicaires.

    Parmi les activités issues de cette inflation, le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales cite le rôle des femmes gardes-malades qui prennent en main la pose des sangsues et vont lesappliquer à domicile. Les médecins gardent le privilège de l’indication thérapeutique et délèguent àces gardes-malades l’application du traitement. Ce même dictionnaire considère qu’il s’agit là d’unenouvelle profession.

    Une nouvelle activité apparut aussi, celle de l’hirudiniculture ou culture contrôlée de sangsues dans des étendues d’eau artificielles ou remodelées. Rolland, pharmacien à Sens, proposa de substituer l’hirudiniculture à la pisciculture dans un certain nombre d’étangs !

    Après l’épidémie de choléra de 1834, le prestige de l’hirudothérapie déclina. Pasteur et l’avènement de l’asepsie achevèrent l’engouement pour les sangsues, celles-ci apparaissant comme de grands vecteurs de germes.

    La découverte de l’hirudine par Haycraft en 1884 leur fait souvent préférer, par la suite, les extraits de sangsues. Haycraft a découvert l’hirudine et son pouvoir anti- coagulant. Il est, dès cette époque, amplement démontré que ce n’est pas à la petite saignée locale, provoquée par la succion de la sangsue, qu’il faut attribuer les heureux effets de cette thérapeutique, mais bien à la pénétration dans l’organisme de la protéine qu’elle sécrète : l’hirudine. Aujourd’hui, des préparations à base d’extrait de sangsues existent sur le marché comme Hirucrème® qui se recommande pour les affections veineuses, varices, ecchymoses, hémorroïdes…

    Les sangsues disparaissent du Codex français en 1938, et donc des officines, comme dans la plupart de nos pays voisins. Les nouveaux concepts émergents de la médecine, l’apparition des nouvelles molécules de l’industrie pharmaceutique entachèrent leur réputation tant auprès des thérapeutes qu’auprès des patients. C’était l’avènement de la médecine cellulaire.

    Pourtant les recherches sur les sangsues continuent. P.-E. Morhardt, conclut en 1949 : «Les indications de la sangsue concernent d’abord les maladies du système veineux, notamment des thromboses et embolies, les phlébites, les hémorroïdes, de même la ménopause surtout compliquée de troubles circulatoires… ».

    Le dictionnaire des spécialités pharmaceutiques Vidal de 1960 mentionne encore en une pleine page les indications thérapeutiques des sangsues médicinales.
    La sécurité sociale cessa de rembourser leur utilisation en 1972.

    Mais dans le même temps, la sangsue retrouvait les faveurs de la médecine, et plus précisément celles de la chirurgie, dans les services de chirurgie plastique et traumatologique des hôpitaux et cliniques. Parallèlement, la naturopathie les réhabilite dans leur rôle thérapeutique.

    La sangsue est de nouveau au cœur de l’actualité car elle effectue un retour remarqué même dans les cabinets des médecins généralistes pour le traitement de différentes affections : phlébites, arthrose, intoxications sanguines….

    Les références de cette Histoire des sangsues sont tirées du livret Les Sangsues, de Sylvain Malassis et du site sangsue-medicinale.com


    Article : L

  5. #164
    Date d'inscription
    janvier 2013
    Messages
    3 346
    Thanks
    2
    Total, Thanks 9 596 fois
    Pouvoir de réputation
    155

    Re : Sante


    Des asticots pour soigner les plaies






    Ils sont blanchâtres, visqueux et se nichent généralement dans les aliments gâtés… Les asticots sont peu ragoûtants, et pourtant, ils représentent un traitement de choix pour certaines plaies infectées. C’est la conclusion d’une étude française menée à l’hôpital de Caen.


    Des asticots pour soigner les plaies
    Imaginez des dizaines d'asticots grouillant dans une plaie infectée... Un cauchemar pour beaucoup. Un espoir pour des médecins français qui viennent de tester l'efficacité de l'"asticothérapie", aussi appelée "larvothérapie" pour accélérer la cicatrisation des plaies infectées. Avec des résultats étonnants publiés dans la revue en ligne Archives of Dermatology(1).


    Menée depuis 2008 dans le service de dermatologie du CHU de Caen, cet essai mené sur 120 patients a comparé l'efficacité de pansements contenant une vingtaine de larves de mouches à des pansements traditionnels sur des plaies dites "fibrineuses". Habituellement, ces plaies infectées, recouvertes d'une croûte jaunâtre de tissus nécrosés, doivent être décapées manuellement pour favoriser le processus de cicatrisation. "Les larves de mouches", indique le Dr Anne Dompmartin, dermatologue et coordonnatrice de l'étude, "se sont montrées plus efficaces qu'une infirmière pour réaliser ce travail de décapage".
    Pour ne pas heurter les âmes sensibles, les asticots ne sont pas posés à même la peau. Ils sont prisonniers d'un pansement qu'il faut humidifier deux fois par jour. Et c'est à travers le tulle que la larve libère sa salive. Cette salive contient des enzymes qui vont détruire les cellules mortes, stimuler la production de tissus cicatriciels et même lutter contre certaines souches bactériennes résistantes aux antibiotiques.


    L'utilisation des asticots en médecine n'est pas nouvelle. Les larves de mouches sont utilisées en Europe depuis l'Antiquité. En France, le célèbre Ambroise Paré, père de la chirurgie moderne, fut le premier à décrire l'effet bénéfique des asticots sur les plaies des soldats au cours de la bataille de Saint-Quentin (1557). Tombés dans l'oubli avec l'avènement des antibiotiques au XXe siècle, les asticots pourraient bien refaire surface pour traiter les plaies. Chassez le naturel, il revient en grouillant...
    1. Maggot Therapy for Wound Debridement, A Randomized Multicenter Trial


    Kristina Opletalová, MD; Xavier Blaizot, PhD; Bénédicte Mourgeon, RN; Yannick Chêne, MS; Christian Creveuil, PhD; Patrick Combemale, MD; Anne-Laure Laplaud, MD; Ingrid Sohyer-Lebreuilly, MD; Anne Dompmartin, MD, PhD Arch Dermatol. Published online December 19, 2011. doi:10.1001/archdermatol.2011.1895


    Des asticots pour soigner les plaies : Allodocteurs.fr

  6. #165
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    83 506
    Thanks
    287
    Total, Thanks 42 506 fois
    Pouvoir de réputation
    237

    Re : Sante

    Arrêt du tabac : zoom sur les substituts nicotiniques

    La Haute autorité de santé vient de le rappeler dans ses recommandations : les traitements nicotiniques de substitution doivent être les premiers à être prescrits dans une démarche d'arrêt du tabac. Pour l'instant, pas question de les remplacer par la cigarette électronique. Le point sur les substituts disponibles sur le marché.



    Substituts nicotiniques : soulager les symptômes de sevrage

    Gommes à mâcher, comprimés à sucer, inhalateurs, patchs... tous ces substituts nicotiniques ont pour objectif de soulager les symptômes de sevrage lorsqu'on a envie d'arrêter de fumer. Ils permettent en effet de continuer à bénéficier d'un apport quotidien en nicotine en évitant la toxicité des cigarettes. Les traitements nicotiniques de substitution (TNS) ne sont toutefois pas anodins car ils peuvent entraîner certains effets indésirables : céphalées, nausées, hoquet, dyspepsie, altération du goût, hypersécrétion salivaire, brûlure des lèvres ou sécheresse de la bouche.

    Quel dosage pour commencer ?

    Pour savoir à quel dosage débuter le traitement, certains médecins utilisent l'équivalence suivante : 1 cigarette = 1 mg de nicotine. Donc si vous fumez en moyenne 20 cigarettes par jour, vous recevrez un patch de 21 mg/jour pour commencer. Mais si vous fumez encore 7 cigarettes par jour avec ce patch, alors le médecin ajoutera un patch de 7 mg et ainsi de suite. Mais cette équivalence est donnée à titre indicatif et le médecin évalue également votre niveau de dépendance avant de prescrire un dosage.

    Substituts nicotiniques : les patchs

    L'administration de la nicotine par les patchs (ou timbres transdermiques) a l'avantage d'obtenir une nicotinémie (c'est-à-dire une concentration de nicotine dans le sang) relativement constante car la vitesse d'absorption du produit est faible. Ce n'est pas son seul avantage. Comme il est facile à utiliser, le timbre permet une meilleure observance du traitement.
    Il existe des timbres pouvant être portés 24h qui délivrent une dose de 7, 14 ou 21 mg de nicotine par jour et des timbres qui peuvent être portés pendant 16h qui délivrent une dose de 10, 15 ou25 mg de nicotine.

    Effets indésirables :

    une intolérance cutanée peut parfois apparaître. Pour diminuer la réaction de la peau, il faut changer régulièrement l'endroit où l'on applique le timbre. Et ne pas hésiter à changer de marque.

    Substituts nicotiniques : les inhalateurs
    Il s'agit d'un dispositif médical : une cartouche contient 10mg de nicotine et sa durée d'utilisation peut varier de 20 minutes (en une seule utilisation intensive et continue) à quatre fois 20 minutes si son utilisation est peu intensive et discontinue. L'inhalateur est utilisé durant les intervalles libres de tabagisme pour les faire durer le plus longtemps possible et réduire ainsi au maximum la consommation de cigarettes.

    Effets indésirables :

    son usage est bien toléré mais on peut observer parois une irritation de la bouche, une toux ou une rhinite. La durée de traitement recommandée est de 12 mois maximum.

    Substituts nicotiniques : les gommes et les pastilles

    Les gommes à mâcher existent en deux dosages : 2 et 4 mg mais la dose de nicotine libérée est approximativement de 1 mg pour les gommes de 2 mg et de moins de 2mg pour les gommes de 4 mg. Les comprimés et pastilles à sucer existent en plusieurs dosages allant de 1 à 4 mg et ils libèrent le même dosage en nicotine.
    Pour les gommes comme pour les pastilles, la nicotine est absorbée par la muqueuse buccale : l'efficacité est donc optimale lors de la mastication et non lors de la déglutition.

    Effets indésirables :

    En début de traitement, on peut présenter une irritation de la bouche, des brûlures d'estomac et une salivation augmentée. Du fait de la déglutition de la salive contenant de la nicotine, les personnes sensibles peuvent présenter des troubles digestifs légers ou des crises de hoquet. Quant aux fumeurs qui n'inhalaient pas la fumée du tabac, ils peuvent souffrir de nausées.

    Substituts nicotiniques : les pulvérisateurs buccaux

    Les sprays buccaux ont l'avantage de permettre une absorption plus rapide de la nicotine : chaque pulvérisation permet de délivrer 1mg de nicotine. Un spray délivre 150 doses mais il est conseillé de ne pas dépasser 4 pulvérisations maximum par heure et 64 pulvérisations par tranche de 24 heures. Son avantage est qu'il enlève l'envie irrépressible de fumer assez rapidement (au bout de 60 secondes environ).

    Effets indésirables : en général , il est déconseillé d'utiliser un pulvérisateur buccal pendant plus de 6 mois.

  7. #166
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 342 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    6 aliments riches en calcium
    News30-01.jpg
    Essentiel à la santé des os et des dents, le calcium est le sel minéral le plus abondant dans l’organisme : il représente 2 % de la masse corporelle.
    Il est également indispensable au bon fonctionnement de l’ensemble des cellules du corps, aux fonctions rénales, à la coagulation sanguine et à plusieurs autres processus enzymatiques. L’apport nutritionnel recommandé varie en fonction de l’âge : un adulte âgé entre 19 et 50 ans doit consommer 1000 mg de calcium quotidiennement.

    En plus des produits laitiers, PasseportSanté vous propose de découvrir 6 produits qui aideront à combler vos besoins en calcium.

    1. Les amandes
    2013-05-08-6-produits-faire-plein-calcium1.jpg
    En collation, en accompagnement avec les plats de poisson ou les salades, ou encore en boisson, l’amande est un excellent choix nutritionnel puisqu’elle contient de nombreux minéraux, desphytostérols, des acides gras monoinsaturés, des protéines végétales, des fibres solubles et des vitamines. Une consommation de 30 g, soit environ 24 amandes, vous fournira 70 mg decalcium1. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis recommande de manger des amandes sur une base régulière, voire quotidienne. De plus, de nombreuses études ont démontré les bienfaits de ce fruit à écale et oléagineux : effet hypocholestérolémiant, diminution du risque de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2, diminution du risque de calculsbiliaireset d’ablation de la vésicule biliaire, et diminution du risque de cancer du côlon chez la femme.

  8. #167
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Localisation
    alger algerie
    Messages
    17 596
    Thanks
    80
    Total, Thanks 51 873 fois
    Pouvoir de réputation
    10

    Re : Sante

    Se laver le nez est le meilleur geste anti- rhume

    Pendant la période hivernale, nous prenons facilement froid et le rhume apparait très vite. Le remède le plus efficace pour s'en débarrasser est le lavement des fosses nasales. Si vous avez donc le nez bouché, pulvérisez dans vos narines un jet d'eau salée.

    Cette technique naturelle de soulagement et d'apaisement est adaptée à tout le monde : adulte, enfants ou nourrissons. Pour les bébés, l'idéal est de pratiquer le lavement avant le repas. Il faut le mettre sur le dos et tourner sa tête d'un côté. L'instillation va se faire dans la narine supérieure, en faisant en sorte que le liquide sorte dans l'autre narine. Pour se débarrasser des sécrétions qui restent, utilisez un mouche-bébé. Pour les adultes, le lavement nasal permet d'extraire les sécrétions enfouies profondément dans les narines. Vous n'avez qu'à vous pencher la tête au-dessus du lavabo et pulvérisez votre nez avec la solution pour le nez.

    Pour information, le travail de la muqueuse nasale est de filtrer des milliers de litres d'air par jour pour que les virus, les bactéries ou les allergènes ne viennent pas directement dans les poumons. Vu le nombre d'agressions quotidiennes dans nos fosses nasales, notre nez peut également être touché par diverses inflammations, à l'instar des écoulements, des éternuements et d'un excès de production de mucus à l'origine d'une gêne respiratoire.



    Atlas HD100 et 200 V B118/134 F400/F401./GN2000HD PLUS v1.88
    TV Android Iris55'/.TV Condor 32"/ TV samsung 40' serie6/pc amd./ pc LG/tablette samsung GT./Condor obsolète
    Appli iptv :Pzefect player et Iptv extreme serveur magsat
    Abonnez vous à nos pages facebook et twitter



  9. #168
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Messages
    6 881
    Thanks
    0
    Total, Thanks 10 887 fois
    Pouvoir de réputation
    159

    On sait enfin où naît la maladie d’Alzheimer

    Grâce à une technologie d’imagerie à haute résolution, des chercheurs états-uniens ont pu observer pour la première fois la naissance et la progression de la maladie d’Alzheimer dans le cerveau humain. Cette étude pourrait déboucher sur un diagnostic et un traitement plus efficaces de cette pathologie invalidante de plus en plus présente dans nos vies.

    Avec le vieillissement de la population, la maladie d’Alzheimer progresse. Cette forme de démence s’accompagne d’un déclin des fonctions cognitives qui conduit peu à peu à une perte d’autonomie. Selon l’Inserm, 860.000 Français étaient touchés par cette pathologie neurodégénérative en 2010, un chiffre qui devrait tripler d’ici l’année 2050. La maladie d’Alzheimer représente ainsi un défi de santé publique majeur contre lequel il faut à tout prix lutter.
    C’est en 1906 que le médecin Aloïs Alzheimer décrivit la maladie pour la première fois lorsqu’il observa des plaques suspectes dans le cerveau d’une de ces patientes décédées. Ces structures, appelées ensuite plaques séniles, découlent de l’accumulation de la protéine bêta-amyloïde dans le cerveau. Elles apparaissent naturellement avec le vieillissement mais sont présentes en quantité beaucoup plus importante chez les personnes atteintes d’Alzheimer. Plus récemment, les scientifiques ont montré qu’une autre protéine, appelée Tau, s’accumulait à l’intérieur des neurones et conduisait à leur dégénérescence progressive.

    En utilisant une technique d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle à haute résolution, des chercheurs ont montré que la maladie d'Alzheimer prennait naissance dans le cortex entohrinal (jaune) et progressait vers d’autres régions cérébrales (rouge) comme le cortex perirhinal et le cortex pariétal posterieur. © Scott Small, centre medical de l’univesité Columbia.

    Malgré les recherches intensives sur cette pathologie, de nombreuses questions restent encore sans réponse. Des chercheurs du Centre médical de l'universitéColumbia viennent de faire une avancée importante sur le sujet. Ils ont étudié la maladie à un stade très précoce et ont mis le doigt sur la zone cérébrale où elle débute et s’étend ensuite vers le reste du cerveau. Leurs résultats, publiés dans la revue Nature Neuroscience, permettent de mieux connaître ce trouble neurologique et d’envisager des solutions de traitement plus ciblées.
    Le cerveau en haute résolution pour dépister Alzheimer

    « Nous savons depuis plusieurs années déjà qu’Alzheimer commence au niveau du cortex entorhinal, une région située au-dessous de l’hippocampe et qui influence certaines fonctions cognitives comme la mémoire, explique Scott Small, le codirecteur de l’étude. Le cortex entorhinal est composé de deux zones distinctes, une médiane et une latérale, nous ignorions jusqu’ici laquelle des deux était touchée en premier. »
    Pour le savoir, les chercheurs ont utilisé une technologie d’imagerie par résonancemagnétique fonctionnelle (IRMf) à haute résolution. Ils ont pu suivre et cartographier le métabolisme des différentes régions du cerveau de 96 adultes sains pendant trois ans et demi. « Cette méthode d’IRMf nous a permis d’observer l’activité du cerveau avec beaucoup de précision, raconte Scott Small.Nous avons pu identifier des signes très précoces de la maladie d’Alzheimer chez certains patients. » En effet, au cours de l’expérience, 12 des candidats ont vu diminuer le volume sanguin de leur cerveau, une indication de la progression de cette pathologie. Le cortex entorhinal latéral (LEC) commence par s’affaiblir puis les troubles s’étendent vers d’autres régions cérébrales, en particulier vers le cortex pariétal, impliqué dans la mémoire spatiale et l’orientation.
    Deux protéines pour déclencher la maladie d'Alzheimer

    Quels sont les rôles respectifs des protéines Tau et bêta-amyloïde dans l’apparition et la progression de la maladie d’Alzheimer ? Pour répondre à cette question, les scientifiques ont fabriqué trois types de souris mutantes : un possédant des taux élevés de Tau, un autre présentant beaucoup de bêta-amyloïdes et un dernier contenant en abondance les deux types de protéines. En utilisant la même méthode d'IRMf, ils ont alors montré que les dysfonctionnements au niveau du LEC se manifestaient uniquement chez les souris qui produisent les deux protéines en excès. « Le LEC est une région particulièrement vulnérable à l’apparition d’Alzheimer car il accumule déjà la protéine Tau en temps normal, explique Karen Duff, la codirectrice de l’étude.Lorsque les protéines bêta-amyloïdes s’amassent aussi, la maladie d’Alzheimer peut commencer à s’installer. »
    Ces découvertes permettent de mieux connaître la maladie d’Alzheimer et ouvrent la voie vers des traitements curatifs. « Maintenant que nous savons où elle commence et que nous pouvons observer certains signes précoces par IRMf, nous pouvons espérer dépister la maladie d’Alzheimer très tôt avant qu’elle n’envahisse le cerveau », conclut Scott Small.

    N’oubliez pas, plus on partage, plus on possède...

  10. #169
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Messages
    6 881
    Thanks
    0
    Total, Thanks 10 887 fois
    Pouvoir de réputation
    159

    La dépendance au tabac renforcée chez les porteurs d'une mutation génétique 2

    Des chercheurs de l'Institut Pasteur, du CNRS et de l'UPMC - Université Pierre et Marie Curie viennent de prouver chez la souris que le besoin de nicotine, principale substance addictive du tabac, était fortement régulé par une mutationgénétique (La génétique (du grec genno γεννώ = donner naissance) est la science qui étudie l'hérédité et les gènes.) très fréquente dans la population humaine. Cette mutation, qui affecte le récepteur neuronal à la nicotine, perturbe son fonctionnement et provoque en conséquence une inactivation partielle du "circuit de la récompense". Les individus porteurs de cette mutation ont donc besoin (Les besoins se situent au niveau de l'interaction entre l'individu et l'environnement. Il est souvent fait un classement des besoins humains en trois grandes...)d'augmenter leur consommation de tabac pour en ressentir les effets. Ces résultats, publiés en ligne dans Molecular Psychiatry le 3 décembre, ouvrent la voie au développement de traitements de sevrage tabagique destinés aux individus porteurs de cette mutation.

    Lorsque le tabac est consommé, la nicotine qu'il contient se fixe aux récepteurs nicotiniques, ce qui entraine l'activation (Activation peut faire référence à du "circuit de la récompense". Il s'agit d'un système neuronal, qui dans un état fonctionnel normal, favorise entre autre la sensation de bien-être (Le bien-être ou bienêtre est un état qui touche à la santé, au plaisir, à la réalisation de soi, à l'harmonie avec soi et les autres. René Dubos...) de l'individu (Le Wiktionnaire est un projet de dictionnaire libre et gratuit similaire à Wikipédia (tous deux sont soutenus par la fondation Wikimedia).). C'est l'effet de la nicotine sur le cerveau(Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux. Le cerveau traite les informations en provenance des sens, contrôle de nombreuses fonctions du corps, dont la motricité...) qui comble le manque ressenti par les fumeurs en cas de privation de tabac. En conséquence, la consommation de tabac d'un individu est fortement liée à la sensibilité de ces récepteurs nicotiniques.



    Les équipes de Uwe Maskos, responsable de l'unité Neurobiologie intégrative des systèmes cholinergiques, Institut (Un institut est une organisation permanente créée dans un certain but. C'est habituellement une institution de recherche. Par exemple, le Perimeter Institute for...) Pasteur/CNRS, et de Philippe Faure,chercheur (Un chercheur (fem. chercheuse) désigne une personne dont le métier consiste à faire de la recherche. Il est difficile de bien cerner le métier de chercheur tant les domaines de recherche sont...) CNRS (Le Centre national de la recherche scientifique, plus connu sous son sigle CNRS, est le plus grand organisme de recherche scientifique public français (EPST).) au laboratoire "Neurobiologie des processus adaptatifs" (CNRS /UPMC), viennent de faire une découverte qui prouve que la dépendance au tabac peut être influencée par le patrimoine génétique de l'individu. Chez la souris (Le terme souris est un nom vernaculaire ambigu qui peut désigner, pour les francophones, avant tout l’espèce commune Mus musculus,...), les chercheurs ont montré qu'une mutation génétique avait pour conséquence d'abaisser fortement la sensibilité à la nicotine. Les porteurs de cette mutation ont donc besoin d'une dose de tabac plus importante pour obtenir la même quantité (La quantité est un terme générique de la métrologie (compte, montant) ; un scalaire, vecteur, nombre d’objets ou d’une autre manière de dénommer la valeur d’une...) de plaisir qu'un individu non porteur de cette mutation (environ 3 fois supérieure).


    La mutation caractérisée par les chercheurs affecte une partie du récepteur nicotinique. Lorsqu'elle est présente, le fonctionnement de ce dernier est perturbé et le "circuit de la récompense" est en conséquence partiellement inactivé. Cette mutation est fréquente chez l'homme (Un homme est un individu de sexe masculin adulte de l'espèce appelée Homme moderne (Homo sapiens) ou plus simplement « Homme ». Par distinction, l'homme prépubère est appelé un garçon,...), d'autres études suggèrent qu'elle est présente chez 35% des européens et près de 90% des gros fumeurs. Ces découvertes ouvrent la voie au développement de traitements de sevrage "personnalisés", destinés aux individus porteurs de cette mutation génétique.

    N’oubliez pas, plus on partage, plus on possède...

  11. #170
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 342 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    6 aliments riches en calcium
    2.Le soja (soya)
    2013-05-08-6-produits-faire-plein-calcium2.jpg
    Grain sacré au même titre que le riz, le blé, l’orge et le millet, le soja a servi à l’expansion de l’Asie, région d’où il provient. Ce n’est qu’à partir du XIXème siècle que l’on commence à reconnaitre sa valeur. On lui confère alors de nombreuses utilisations : moulée pour animaux, peinture, encre d’imprimerie, alimentation, etc.
    L’usage culinaire actuel présente le soya sous différentes formes : lait, tofu, farine, sauce, etc. Le lait de soya représente une alternative intéressante au lait de vache, principalement pour les gens souffrant d’intolérance au lactose.
    Généralement enrichis de vitamine D facilitant l’absorption du calcium par l’organisme, 250 ml (1 tasse) de cette boisson fournissent entre 320 et 370 mg de calcium.
    Le tofu est également appréciable pour sa teneur en calcium qui est de 350 mg pour 100 g, mais également pour sa teneur en protéines végétales.
    Cet aliment peut donc remplacer la viande ou les poissons dans certains plats.

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •