Sante de MaghrebSat_12 Juillet 2015
MaghrebSat Santé du 12 Juillet 2015
La santé
Ce que l'on risque à force de se retenir d'uriner |
Dans un article pour le magazine américain Men's Health, un urologue alerte sur les troubles urinaires sérieux que l'on risque à force de se retenirSuite... |
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Cœur : buvez 1 verre de jus de pamplemousse par jour |
Une étude française montre que boire un verre de jus de pamplemousse par jour contribue à améliorer la santé du cœur.
Crise cardiaque, arythmie, Suite... |
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Le saviez-vous...? |
Les abricots secs sont un excellent aliment pour les muscles ? Ce sont de parfaits anti-crampes. Ils sont bénéfiques pour l’appareil Suite... |
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Sachez que... |
La pastèque (delaâ) est composée de 92% d'eau d'où son deuxième nom de «melon d'eau». Elle est donc idéale quand il fait très chaud pour éviterSuite... |
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Préparation de la semaine
Boisson qui élimine le cholestérol rapidement |
Tous les ingrédients de cette boisson sont ultra-sains et aident le corps à combattre de nombreuses maladies, mais lorsque c’est combiné de la bonne Suite... |
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Sante de MaghrebSat_19 Juillet 2015
MaghrebSat Santé du 19 Juillet 2015
La santé
Sachez que...
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Les raisins rouges sont les plus conseillés pour prendre soin de votre santé rénale, car ils contiennent davantage d’antioxydants que les blancs. Suite... |
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Le saviez-vous...?
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Riches en sels minéraux, acides gras oméga-6 et en protéines, les graines de pastèque favorisent le bon équilibre entre le bon et le mauvais Suite... |
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Préparation de la semaine
Sérum à la vitamine C contre les rides
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En fin de compte, rien ne vaut l’efficacité d’un sérum à la vitamine C fait maison et peu cher. Voici donc les instructions pour le Suite... |
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Veines et artères3 infusions médicinales pour les renforcer
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L’obstruction progressive des artères (artériosclérose) est un problème silencieux dont nous ne nous rendons pas compte avant qu’il ne soit tropSuite... |
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Re : Sante de MaghrebSat_19 Juillet 2015
3 conseils pour des cheveux colorés sublimes tout l’été
Ce n'est pas la saison préférée des cheveux colorés ! Ils sont particulièrement sensibles au soleil, au chlore ou encore au sel. Voici nos conseils et un choix de bons produits pour les aider à conserver beauté, éclat et brillance...
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Objectif n°1 : Je protège
Sous les rayons UV du soleil, nous oublions trop souvent notre chevelure, pourtant tout autant agressée par l'exposition solaire. Et les cheveux colorés, déjà sensibilisés par la coloration, sont encore plus vulnérables aux rayons. Les UVA pénètrent en profondeur la fibre capillaire et détériorent ses constituants, tandis que les UVB agissent négativement sur la surface du cheveu, les rendant secs, plus fragiles et moins brillants. Mais ça n'est pas tout, car le chlore des piscines pénètre plus facilement un cheveu coloré, ses particules bleutées agissent sur les pigments jaunes et peuvent faire apparaître des reflets verts... Le sel de l'eau de mer, quant à lui, altère le film hydrolipidique rendant les cheveux fragiles et secs. Il peut également provoquer des démangeaisons.
Ce qu'il faut faire
« Appliquez un soin pour les cheveux contenant un filtre solaire toutes les deux heures et à chaque sortie de l'eau pour faire écran aux rayons nocifs » explique Frédéric Mennetrier, créateur de l'Atelier blanc. Le chapeau de paille est également conseillé. Ca tombe bien, il est très tendance !
Attachez vos cheveux pour leur éviter d'être agressés par le vent ou le sable.
Rincez vos cheveux à l'eau claire après chaque bain pour les débarrasser des particules de chlore ou de sel. Les shampooings dit clarifiants sont conseillés après une journée de piscine pour bien éliminer les résidus de produits chimiques.
Ce qu'il faut éviter
Les cheveux mouillés, qui sèchent au soleil ! Car l'eau a un effet loupe et le risque de brûlure est réel. En outre, l'eau fait gonfler la tige, les écailles s'ouvrent, et les UV s'engouffrent alors profondément, attaquant la kératine et délavant les pigments de la coloration. Mieux vaut donc bien sécher ses cheveux avec une serviette après chaque bain !
Objectif N°2 : Je répare
Pour éviter à nos cheveux de trop souffrir des agressions de l'été, il faut les nourrir beaucoup plus que le reste de l'année. Shampooings doux, masques nourrissants, huiles nutritives... On ne lésine pas côté réparation !
Ce qu'il faut faire
Ajoutez une étape à votre rituel du soir avec l'huile avant shampooing. Appliquez votre masque réparateur sur les longueurs, puis couvrez-les avec de l'huilevégétale. Cette dernière va optimiser les effets nourrissants. Laissez poser un bon moment, puis lavez vos cheveux comme d'habitude.
Faites un shampooing quotidien, c'est impératif ! Frédéric Mennetrier conseille d'utiliser un shampooing pour cheveux très secs l'été, même si ce n'est pas votre habitude. « Bourré de corps gras, il va gainer et protéger la fibre capillaire ».
Utilisez un jour sur deux, en alternance avec votre shampooing doux, un shampooing protecteur de couleur. Ce type de shampooing contient des antioxydants qui limitent le délavage, et les produits au pH acide permettent de refermer la cuticule et de sceller les pigments.
« Ne lésinez pas sur les masques très nourrissants. Ils sont éliminés à chaque bain, donc même s'ils rendent notre chevelure un peu grasse, ce n'est pas grave. Une ou deux noisettes de produit qu'il n'est pas nécessaire de rincer, et qu'on garde pour la plage, c'est parfait ! Les actifs nutritifs pénétreront davantage avec le soleil » conseille Frédéric Mennetrier. Une fibre capillaire bien nourrie laisse moins « filer » les pigments de la coloration. Les cheveux colorés ayant déjà les écailles ouvertes, ils sont donc particulièrement réceptifs aux soins.
Ce qu'il faut éviter
Les plaques lissantes et autres accessoires chauffants qui agressent les cheveux. Cela risque de sensibiliser encore plus la fibre capillaire. Mieux vaut opter plutôt pour un séchage naturel, qui donne une chevelure souple et ondulée, très tendance.
Objectif N°3 : Je sublime
Rassurez-vous, l'été c'est aussi l'occasion pour les cheveux blonds de s'éclaircir joliment, pour les boucles de s'épanouir, et pour les châtains de se réchauffer. « Le soleil est un excellent coloriste ! », note Frédéric Mennetrier. Il convient juste de suivre ces quelques conseils pour l'aider à embellir notre chevelure.
Ce qu'il faut faire
Appliquez un soin repigmentant après-shampooing une à deux fois par semaine. Il permet de limiter la « fuite » des pigments, intensifiée par les multiples bains.
Deux fois par semaine, remplacez votre masque par un soin fixateur qui va lisser les écailles et sceller les pigments dans la fibre capillaire. « Un soin nuanceur brun froid est particulièrement conseillé aux châtains, car il va recharger les cheveux en pigments, limitant ainsi le côté rouge / orangé que l'on veut à tout prix éviter » explique Christophe Robin, spécialiste de la couleur.
Terminez votre shampooing avec quelques gouttes de vinaigre (ou un soin de rinçage), qui va refermer la cuticule et fixer les pigments de la couleur.
Faites un bain d'huile hebdomadaire pour reconstituer le film hydrolipidique de la fibre capillaire. Après le shampooing, appliquez une huile végétale des racines aux pointes et enroulez vos cheveux dans une serviette pour la nuit. Au réveil, ils seront brillants, doux, plus épais...
Choisissez une huile pailletée pour soigner et sublimer votre chevelure le soir. L'effet est très discret, et on adore ce petit côté glamour !
Ce qu'il faut éviter
Tous les traitements chimiques qui agissent sur la structure du cheveu et le fragilise comme les colorations ou les lissages chimiques.
Certains sérums et huiles qui ne sont pas faits pour la période d'exposition solaire. Ils risquent de faire « cuire » littéralement les cheveux.
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Couples stériles_Les hommes de plus en plus touchés
21 Juillet 2015
Couples stériles
Les hommes de plus en plus touchés
Dans la majorité des couples stériles, l’homme est le plus souvent mis en cause.
Pièce jointe 17709
En Algérie 10 à 15% des couples rencontrent des difficultés à concevoir un enfant pourtant désiré. Dans plus d’un tiers des cas, l’infertilité masculine est à l’origine de ce problème. Ces 20 dernières années, la baisse de la fertilité est incontestable, selon les spécialistes. Des études internationales ont démontré cette tendance qui risque de s’accentuer dans les prochaines années. Les perturbateurs endocriniens sont pointés du doigt. Il s’agit de certaines substances chimiques qui provoquent un dérèglement des équilibres hormonaux, comme le plastique,
les pesticides et autres agents chimiques.
Ces produits, tels certains pesticides, sont déjà identifiés comme perturbateurs du système hormonal et sont retirés du marché mondial, mais beaucoup d’autres sont encore en circulation. «Ces substances bloquent l’activité des hormones androgènes responsables du développement du système reproducteur mâle», expliquent les chercheurs. Une liste de 66 perturbateurs endocriniens a été établie en 2005 par la communauté européenne, comptant plusieurs catégories de composés, dont le plastique, 4-n-nonylphénol, le bisphénol A,
les phtalates, les PCB, les pesticides, les POP....
Les composés comme les phtalates, le nonylphénol ou le bisphénol A sont très souvent présents dans les emballages des produits alimentaires et ils passent dans les aliments. Selon une étude américaine, le bisphénol A, par exemple, est retrouvé dans les urines de 95% de la population. «Le stress, le tabac et l’alcool contribuent aussi largement à cet état de fait», indique le professeur Derguini, chef du service gynéco-obstétrique à l’hôpital de Kouba. Il signale que certains métiers exposent ceux qui les pratiquent à plus de risques de faiblesse de mobilité des spermatozoïdes, comme les agriculteurs, les boulangers, les soudeurs. Dans certains cas,
un traitement médical suffit pour régler le problème.
Il y a aussi d’autres causes liées à des soins médicaux tels que la chimiothérapie et la radiothérapie, affirme le praticien. Dans ces cas précis, il est important de se prémunir, surtout avant le mariage, et penser à recourir à cryoconservation (congélation du sperme, des tissus ovariens et des gamètes), conseille le praticien.
La plupart des études internationales montrent que la quantité et la qualité des spermatozoïdes sont en baisse depuis au moins 50 ans. Les hommes sont de plus en plus infertiles, car leurs spermes deviennent déficients et insuffisants. Leur spermatogenèse se trouve dérangée par la pollution, l’alcool et la cigarette. Le taux d’infertilité dans les couples algériens est inquiétant, bien qu’aucune étude nationale
sur ce problème n’ait été réalisée à ce jour.
Les centres de procréation médicalement assistée (PMA) implantés à travers le territoire national ne désemplissent pas. Nombre de jeunes et de moins jeunes sont candidats à la PMA sous toutes ses formes, malheureusement il n’est pas toujours sûr que cela réussisse à la première tentative. La PMA est en plein essor en Algérie. De plus en plus de bébés naissent grâce aux techniques de procréation médicalement assistée qui a encouragé et redonné espoir à des centaines de couples souffrant de l’infertilité. Des taux de réussite de 25 à 30% sont enregistrés, une moyenne proche des normes et des résultats au niveau international,
à travers les centres de PMA.
Les plus performants maîtrisent aujourd’hui les techniques (fécondation in vitro, stimulation ovarienne, micro-injection) alors que les couples, par contre, rencontrent d’énormes difficultés pour assurer leur prise en charge. Les traitements ne sont pas encore pris en charge par la Sécurité sociale. Le procédé de fécondation in vitro n’existe pas également dans les chapitres des «pathologies» prises en charge par la Sécurité sociale.
Fatima, 38 ans, mariée depuis trois ans, est l’une de ces femmes rencontrée dans un centre de PMA à Alger qui désire tant prendre son bébé dans ses bras. «J’ai pourtant consulté rapidement. Au premier traitement, je suis tombée enceinte, mais la grossesse s’est interrompue malgré un bilan satisfaisant, selon les médecins. On nous a proposé alors la fécondation in vitro que mon mari et moi avons tentée, mais qui a aussi échoué. Nous avons changé de médecin qui nous a encore mis sous traitement en attendant de voir ailleurs,
peut-être en Tunisie ou en Espagne», nous confie-t-elle.
Et d’appeler les autorités sanitaires à se pencher sur ce problème et contribuer au remboursement d’au moins deux tentatives, ne serait-ce qu’à 50%, pour tous ces couples qui vivent un drame social. Yasmine en est à sa troisième tentative de FIV dans un centre de PMA et espère tomber enceinte cette fois-ci. Agée de 34 ans et mariée depuis quatre ans, elle est aujourd’hui préparée pour une intervention (ICSI) dans laquelle elle place tous ses espoirs, tout en sachant que le problème de stérilité est plutôt du côté de son mari.
Djamila Kourta