salam Jeloul,
Encore plus que Hitler, 38-45 c'était une guerre, certes, toutes les guerres sont sales, Sabra et Chatila, c'est un massacre, tu auras remarqué que j'ai utilisé le présent, à mon avis que tant que Sharon est vivant, même comateux, j'entends et je vois, toujours son crime ou plutôt le massacre des innocents...... , pour l'enfoiré Sharon et les autres enfoirés, les soldats, même palestiniens, je le comprends, mais LES FEMMES ET ENFANTS, c'est impardonnable. Quil reste un peu plus sur cette terre, pour les autres se rappellent encore et encore de Sabra et Chatila, inchAllah.
Le massacre de Sabra et Chatila — deux camps de réfugiés palestiniens de Beyrouth-Ouest — a été perpétré du 16 au 18 septembre 1982 par des phalangistes libanais chrétiens, sur ordre de leur chef Elie Hobeika, afin de venger l'assassinat du président libanais, Bachir Gemayel 1,2, commis deux jours avant par un chrétien pro-syrien, Habib Tanious Chartouni. Des troupes mixtes musulmanes et chrétiennes commandées par le Général Saad Haddad auraient aussi pris part à ce massacre.
Ces camps étaient encerclés par l'armée israélienne, qui y envoya les phalangistes afin d'en extraire 2 000 combattants palestiniens présumés tout en les mettant en garde de ne pas s'attaquer à la population civile, des tirs nourris ayant été tirés en provenance de ces camps lors de l'invasion de Beyrouth-Ouest par l'armée israélienne3,4,5.
Le nombre de victimes varie suivant les sources entre 700 et 3 5006.
À la suite de l'émotion provoquée aussi bien au niveau international qu'israélien, une commission d'enquête, la Commission Kahane, fut chargée par le gouvernement israélien d'enquêter sur le massacre. Elle conclut à la responsabilité directe des Phalangistes comme seuls auteurs des tueries. Néanmoins, elle condamna plusieurs dirigeants de l'armée israélienne pour leur responsabilité indirecte lors de la conduite de cette opération, notamment pour la faute de jugement consistant à avoir laissé entrer les phalangistes dans les camps, et pour être restés inactifs devant le carnage malgré les alertes7,8. En 1982, une Commission indépendante menée par Sean McBride considère Israël comme « directement responsable du massacre du fait de sa position d'occupant » 9,10.
Trente ans après les faits, aucune condamnation pénale n'a été prononcée à l'encontre des responsables de ce massacre. La responsabilité morale de dirigeants militaires et politiques israéliens a été reconnue tandis que les miliciens des factions libanaises auteurs de ce massacre ont été exemptés rétroactivement de toute responsabilité pénale.
Pour ne pas avoir de la peine pour l' enfoiré qu'il était et qu'il le sera à tout jamais