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    Post L'Organisation Mondiale du Commerce (OMC)

    A LA UNE/ACTUALITE/Adhésion de l'Algèrie à l'OMC
    05 Août 2015|15h32

    L’évolution des négociations n'est pas « remarquable » selon le ministre


    Le processus de négociations entre l'Algérie et l'Organisation mondiale du Commerce (OMC)
    n'a pas évolué de manière remarquable, a estimé, mercredi à Alger, le ministre du Commerce,
    Bakhti Belaïb, en prônant une « vision claire » sur les droits que le pays doit revendiquer.



    « J'ai tenté, depuis quelques semaines, de faire le point sur ce dossier (adhésion de l'Algérie à l'OMC)
    et de faire un comparatif entre l'état où je l'ai laissé il y a plus 16 ans et celui d'aujourd'hui
    les évolutions ne sont pas remarquables », a-t-il souligné lors d'un atelier sur les Accords de l'OMC
    relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires et aux obstacles techniques au commerce.

    M. Belaïb, qui a été installé à la tête du département du Commerce en juillet dernier, avait déjà occupé
    ce poste ministériel entre 1996 et 1999, lui ayant permis de conduire, en 1998, la délégation algérienne
    pour la première réunion du groupe du travail de l'accession de l'Algérie à l'OMC, rappelle-t-on

    « A l'époque, quand j'avais la mission d'expliquer les accords de l'OMC et l'enjeu pour l'Algérie
    d'y adhérer, mon langage était incompréhensible car nous ne maîtrisions pas ce dossier »,
    a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d'intensifier les actions d'informations et de vulgarisation dans ce sens.

    Par ailleurs, dans sa déclaration à la presse en marge de cet atelier,
    le ministre s'est dit « satisfait » de voir l'Algérie ne pas vouloir adhérer « n'importe comment »
    à cette organisation mondiale, en considérant que le dossier de négociations doit encore être consolidé.

    Questionné sur la lenteur de ces négociations et leur non aboutissement,
    le ministre a indiqué que ce dossier ne concerne pas le gouvernement seul mais aussi le peuple algérien.

    « Il faudrait qu'à un moment, nous, entre Algériens, fassions un comparatif entre le coût de la non-adhésion
    et celui de l'adhésion. Je pense que c'est un travail que nous n'avons pas encore fait », selon lui.

    Interrogé sur la date du prochain round de négociations avec l'OMC, M. Belaïb, ne voulant pas donner de précisions,
    s'est contenté de dire: « Avant la prochaine réunion du travail, nous devrions d'abord avoir une vision claire
    sur notre façon de négocier et les droits que nous devrions revendiquer ».

    Il a indiqué, dans ce sens, que son département ministériel avait prévu l'organisation d'ateliers
    et de séminaires pour former les cadres algériens à mieux cerner les Accords de l'OMCet à mieux négocier.

    A ce propos, il a fait savoir que le groupe de travail algérien chargé des négociations pour l'accession
    à l'OMC allait être renforcé pour mieux mener ce processus et mieux défendre
    les droits de l'Algérie même après son accession à cette organisation mondiale.


    APS
    Dernière modification par zadhand ; 05/08/2015 à 18h20. Motif: L'Organisation Mondiale du Commerce (OMC)
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    Post L’Algérie poursuit les négociations d’adhésion à l’OMC

    L’Algérie poursuit les négociations d’adhésion à l’OMC


    20:05 mardi 19 juillet 2016


    Le ministre du Commerce, Bakhti Belaib a rencontré, lundi 18 juillet,
    le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
    Leur entretien a porté sur le processus d’adhésion de l’Algérie à cette
    organisation.
    Le Directeur général du commerce extérieur (DG Commex)
    au département du Commerce, Saïd Djellab a répondu aux questions de
    TSA, apportant des précisions sur l’intégration de l’Algérie à l’OMC.
    À quel stade est l’Algérie ?
    Interrogé sur les délais de l’adhésion du pays, M. Dejllab rappelle que le
    « processus continue » mais « il y a une procédure à respecter ». L’Algérie
    a reçu des questions de la part de pays membres et s’attèle à préparer les
    réponses, indique-t-il. Elles seront transmises « incessamment ». Par la suite,
    ces questions seront traitées en vue de la tenue du 13e round de négociation,
    en plus des rencontres bilatérales, précise le DG du commerce extérieur.
    Les questions adressées à l’Algérie portent sur la conformité des normes
    phytosanitaires par exemple, ou sur les licences d’importation et d’exportation.
    L’Algérie a donc donné des clarifications : « ces licences ont été conçues pour
    être conformes aux règles de l’OMC », soutient notre interlocuteur.
    En fin de compte, l’accession de l’Algérie est conditionnée par deux éléments, détaille la même source.
    Il s’agit de se mettre en conformité avec les normes systémiques de l’OMC et de
    signer des accords bilatéraux. Concernant ces derniers, l’Algérie en a déjà signé 6 et 12 autres sont en cours de finalisation, affirme Djellab.
    Quel intérêt d’adhérer à l’OMC ?
    Interrogé sur la pertinence d’une adhésion de l’Algérie à l’OMC, le DG du Commex
    s’est montré catégorique : « le commerce international se négocie à l’intérieur de l’OMC », avec 98% des échanges mondiaux réalisés entre les pays membres, rappelle-t-il.
    « Il faut être à l’intérieur pour pouvoir négocier et préserver nos intérêts nationaux, notamment sur les questions du pétrole et des marchés publics qui seront débattues
    au sein de l’OMC », insiste-t-il.
    « Il ne s’agit pas d’une zone de libre-échange. L’OMC permet d’ailleurs l’utilisation de mesures de sauvegarde, notamment pour protéger les industries naissantes », explique-t-il.Cela dit, l’OMC n’interdit pas le soutien des prix à
    la consommation interne, dès lors que ces subventions ne touchent pas de produits exportés, indique M. Djellab. Enfin, la question de la compétitivité et la conformité des produits est un défi interne afin de pouvoir les placer sur les marchés extérieurs,
    reconnait-il, mais cela n’a « rien à voir avec l’OMC », tranche-t-il.
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    Post Omc-relance des consultations avec l’algérie


    OMC
    RELANCE DES CONSULTATIONS AVEC L’ALGÉRIE

    21 août 2016 | 19:52

    Un nouveau président du groupe de travail pour l’accession de l’Algérie à l’Organisation mondiale
    du commerce sera désigné prochainement en remplacement de l’ambassadeur argentin
    Alberto D’Alotto, dont la mission auprès de l’OMC a pris fin en mai dernier.
    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **

    Selon un responsable au ministère du Commerce, « le mandat D’Alotto
    s’est achevé fin mai et les procédures sont en cours pour la désignation
    d’un autre président du groupe de travail chargé de l’accession de notre
    pays à cette organisation ».Cette désignation est une prérogative dévolue
    au Conseil général de l’OMC qui avant de nommer une personnalité doit
    consulter au préalable le pays concerné.
    Généralement, les présidents des
    groupes de travail sont désignés parmi les ambassadeurs des représentants
    permanents des pays membres auprès de l’OMC.
    Dans son dernier bulletin
    d’information, l’OMC a indiqué que les consultations sur la désignation
    continuent entre l’Organisation et les autorités algériennes. Il s’agira du
    6e président du groupe de travail pour l’accession de l’Algérie après
    l’Argentin D’Alotto (juillet 2012), le français François Roux
    (novembre 2011-juin 2012), l’Uruguayen Galmès Vallès (mai 2004-juillet 2010 ),
    Perez del Castillo, un autre Uruguyen qui exerça de juillet 1998 à mai 2004,
    alors que le premier fut un Argentin Juan Carlos Sanchez, qui officia de février
    1994 à juillet 1998.
    La même source a rappelé que lors d’une rencontre entre le
    directeur général de l’OMC Roberto Azevêdo et le ministre du Commerce
    Bakhti Belaib, ce dernier avait assuré que le gouvernement algérien présenterait
    dans les semaines à venir des contributions pour les négociations ( réponses aux questions émises par des pays membres, plan d’action législatif, etc). Cette
    rencontre a eu lieu le mois dernier dans la capitale kényane, Nairobi, en marge de
    la 14e session du CNUCED, (Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement).
    Rappelons que l’Algérie était candidate dès 1987 au GATT,
    l’organisation ancêtre de l’OMC. Il aura fallu attendre dix ans avant que le
    gouvernement algérien dépose sa première documentation sur son régime commercial.
    A ce jour, l’Algérie a mené 12 rounds de négociations multilatérales durant lesquels
    elle a traité presque 2 000 questions liées essentiellement à son système économique
    et son cadre législatif.
    Plus de 120 réunions bilatérales avec une vingtaine de pays ont
    été couronnées par la conclusion d’accords. Créée en janvier 1995, l’OMC a deux
    missions principales : définir de nouvelles règles du commerce international et régler
    les conflits et autres différends commerciaux entre ses pays membres. A ce jour, l’OMC compte 164 pays membres et 20 pays observateurs dont l’Algérie.
    Reste à savoir si le mandat du futur président du groupe de travail sera synonyme de succès pour l’adhésion de notre pays à l’OMC. Depuis quelques années, le gouvernement accélère le rythme
    de ses réformes économiques et commerciales, notamment dans les cadres législatif et juridique, afin de répondre positivement aux questionnements et autres interrogations
    des autres membres puissants de l’OMC.
    Toutefois, il semble aussi que le débat sur l’accession de l’Algérie à cette organisation mondiale n’a jamais été ouvert aussi bien
    par les pouvoirs publics, les partis politiques ou les organisations non gouvernementales, que par les élites universitaires et les organisations patronales et syndicales.
    On savait que notre pays avait levé le pied volontairement pour des raisons politiques,
    il y a une quinzaine d’années, avant de montrer, cette fois, sa disponibilité à négocier
    son accession dans les meilleures conditions.

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