Les hommes n’ont pas à codifier les lois qui les gouvernent. Ils ont le devoir de se soumettre aux lois qu’Allah a édicté pour eux.
Légiférer est par conséquent un acte d’insubordination à Allah. Une offense à Allah punissable de la peine de mort.
Le fidèle musulman a une obligation absolue de ne pas exprimer le choix du régime qui convient à sa conception et sa vision du monde, faudrait-il qu’il en ait une. Seul Allah est censé en être pourvu.
Un soumis à sa foi et à la vie guidée par les seuls prescrits de son créateur ne doit pas être en mesure de tracer le cadre juridique dans lequel il doit évoluer avec des règles spécifiques pour chacun des domaines de la vie sociale, personnelle, économique, sexuelle, économique, sécuritaire, internationale, politique, culturelle, interpersonnelle, éducative.
Il ne peut y avoir d’autres fondateurs de lois en dehors d’Allah, ce qui en toute logique interdit aux musulmans de se substituer à Lui et de s’auto-octroyer ses attributs ses prérogatives.