Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole se maintient au-dessus de 50 dollars aidé par le dollar
Les cours du pétrole ont terminé en petite hausse jeudi à New York, soutenus par l'affaiblissement du dollar et après des stocks américains en demi-teinte.
Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, a progressé de 26 cents à 50,44 dollars sur le contrat pour livraison en novembre au New York Mercantile Exchange (Nymex)."Le dollar s'est affaibli au cours de la journée et c'est probablement le principal moteur", a expliqué Kyle Cooper de IAF Advisors. Le brut, libellé en dollar devient moins onéreux et donc plus attractif pour les opérateurs utilisant d'autres monnaies quand le cours du billet vert baisse.Par ailleurs, le ministère américain de l'Energie (DoE) a publié jeudi des chiffres hebdomadaires en demi-teinte. "Le chiffre du brut, le plus scruté a fortement augmenté", a expliqué Kyle Cooper.Lors de la semaine achevée le 7 octobre, les réserves commerciales de brut ont augmenté de 4,9 millions de barils, ce qui est plus marqué que les attentes des analystes. Les stocks d'essence et de produits distillés ont en revanche cenregistré un recul plus important qu'anticipé. Ces deux mouvements s'expliquent par "une baisse inattendue de l'utilisation des raffineries", a indiqué Tim Evans de Citi dans une note.Au total, tous produits confondus, les réserves américaines de pétrole sont en recul, ce qui a pu apporter un peu de soutien aux cours. Principal facteur encourageant parmi les chiffres du DoE, la demande reste forte aux Etats-Unis pour le brut et pour l'essence, en hausse par rapport à l'année dernière.AFP
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole termine en baisse à New York, à 50,35 dollars le baril
Les cours du pétrole ont terminé en très légère baisse vendredi sur le marché new-yorkais Nymex, pénalisés par la hausse du dollar.
Le très attendu rapport de Baker Hughes sur le nombre de forages actifs aux Etats-Unis a monté que celui-ci avait encore augmenté cette semaine, de quatre à 432.
Le nombre de forages actifs n'a plus baissé depuis 16 semaines d'affilée, la troisième série la plus longue depuis 1987 après 19 semaines en 2011 et 17 semaines en 2010.
Le contrat novembre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a perdu 9 cents (0,18%) à 50,35 dollars le baril.
L'échéance décembre sur le Brent a cédé 8 cents (0,15%) à 51,95 dollars le baril.Reuters
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole ouvre en hausse à New York.
Les prix du pétrole évoluaient en hausse vendredi à l’ouverture à New York, toujours portés par l’annonce d’une réduction de la production de l’Opep et par des stocks américains jugés dans l’ensemble rassurants.
Le cours du baril de «light sweet crude» (WTI), référence américaine du brut, prenait 24 cents à 50,68 dollars sur le contrat pour livraison en novembre au New York Mercantile Exchange (Nymex).
«En toile de fond, la possibilité d’une réduction de la production, combinée à la baisse des stocks de produits raffinés, constatée dans les chiffres des stocks hier (jeudi), apporte du soutien au marché», a résumé un analyste.
Les réserves américaines de brut ont certes augmenté de 4,9 millions de barils lors de la semaine achevée le 7 octobre, mais les stocks d’essence et de produits distillés (gazole, fioul de chauffage, etc.) ont fortement baissé.
«La principale raison à cela est le déclin prononcé de la transformation de brut», ont expliqué des experts.
Aux Etats-Unis, la saison d’entretien des raffineries a débuté, ce qui nécessite l’arrêt d’une partie des installations et diminue la quantité de brut raffiné.
Sur le plan international, «avec tout ce qui s’est passé autour de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole), il est normal que le marché ne veuille pas vendre», a ajouté l’expert.
Fin septembre, l’Opep a annoncé une réduction de sa production, dont les termes exacts doivent être finalisés le 30 novembre lors d’une réunion de l’organisation à Vienne.
D’ici là, la volonté affichée lundi par la Russie, important producteur non membre de l’Opep, de se joindre à cet effort a apporté un regain d’optimisme.
La Russie, ainsi que d’autres pays producteurs non membres de l’Opep, ont été conviées à une réunion technique sur le sujet fin octobre.
By Algerie 360
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole recule, les productions iranienne et américaine inquiètent
By HuffPost
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Cours du pétrole
https://www.algerie1.com/media/sourc...ee-petrole.jpg
En attendant la réunion de l’OPEP à Vienne le 30 novembre 2016 ou tout reposera sur une entente entre la Russie et l’OPEP, et supposant que les pays de l’OPEP respectent leurs quotas, le cours du Brent a été coté le 18 octobre 2016 à 51,46 dollars et le Wit à 50,05 dollars. Le cours du gaz naturel a été coté à 3,25 dollars le MBTU.
Le cours du dollar a été coté à un niveau extrêmement bas 1,0989 un euro pénalisant doublement les exportateurs de pétrole qui le vendent en dollars (1)
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole au plus haut depuis un an à New York après les stocks US
Les cours du pétrole ont fortement monté mercredi pour finir à un niveau sans précédent depuis plus d'un an à New York, les investisseurs envisageant une résorption durable de la surabondance d'or noir après l'annonce inattendue d'une baisse des réserves américaines
Le prix du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, a gagné 1,31 dollar à 51,60 dollars sur son contrat pour livraison en novembre, un niveau qu'un cours de référence n'avait pas atteint à la clôture depuis juillet 2015.A Londres, le cours du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a pris 99 cents à 52,67 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE), sans dépasser lui son plus haut niveau de clôture de l'année, atteint la semaine précédente à plus de 53 dollars. "Le marché a été tiré vers le haut par une baisse inattendue et conséquente des stocks de pétrole brut" aux Etats-Unis, a mis en avant Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
Alors que les analystes tablaient sur une hausse hebdomadaire des réserves de brut, le département américain de l'Energie (DoE) a annoncé mercredi un recul de plus de cinq millions de barils et accentué l'élan d'un marché déjà encouragé la veille au soir par des estimations semblables de la fédération American Petroleum Institute (API).
A l'exception d'un rebond la semaine précédente, ces stocks déclinent de façon continue depuis plus d'un mois et demi aux Etats-Unis, ce que les investisseurs commencent à percevoir comme une tendance lourde. Ces chiffres "laissent croire à un rééquilibrage du marché mondial", expliquait Phil Flynn, de Price Futures Group, avant même que le DoE confirme les estimations de l'API. "Cela va bien finir par nettement réduire la surabondance de pétrole aux Etats-Unis et dans le monde."La Libye scrutée
Certains observateurs restent néanmoins prudents, car ils pointent que le déclin des réserves est plus dû à des importations en berne qu'à un recul de la production, d'ailleurs en petit rebond la semaine dernière, ce qui ne résout pas la situation mondiale.
Sur ce plan aussi, toutefois, "il y a de nouveaux signes encourageants quant au fait que les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et des pays extérieurs vont continuer à collaborer sur une baisse de leur production", a rapporté M. Flynn.
Au moment où le marché profite des spéculations sur la mise en oeuvre d'un accord encore préliminaire de baisse de l'offre au sein du cartel, annoncé fin septembre, l'Arabie saoudite, membre dominant de l'Opep, a assuré mercredi par la voix de son ministre de l'Energie que des progrès avaient été faits en ce sens la semaine dernière lors de discussions à Istanbul.
"Chaque jour, on a l'impression de patauger dans la semoule à subir le barrage quotidien de rhétorique de l'Opep", a minimisé dans une note Matt Smith, de ClipperData, soulignant qu'il fallait "juxtaposer les propos du cartel avec ses actions". De fait, différentes estimations ont fait état ces dernières semaines d'une production toujours élevée au sein des membres de l'Opep.
Mercredi encore, "on dirait que la Libye continue à accélérer sa production avec le redémarrage du gisement de Waha", a écrit Tim Evans, de Citi. Sujette à une complexe guerre civile, "la Libye fait toujours face à de grosses divisions politiques mais, pour le moment, l'attitude qui semble domine, c'est +les affaires sont les affaires+", a-t-il ironisé.
Enfin, les investisseurs ont digéré des chiffres relativement positifs de la Chine, deuxième consommateur de pétrole après les Etats-Unis, dont la croissance est restée stable au troisième trimestre, rassurant sur la demande, et dont la production d'or noir a, elle, chuté de 10% sur un an le mois dernier.AFP
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole finit en légère hausse, entre doutes et espoirs sur une réduction conséquente de l'offre
Les cours du pétrole ont légèrement monté vendredi, sans grosse prise de risque par les investisseurs à l'issue d'une semaine une nouvelle fois marquée par les doutes et les espoirs sur une réduction conséquente de l'offre par l'Opep et d'autres producteurs.
Le prix du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, a gagné 22 cents à 50,85 dollars sur le New York Mercantile Exchange pour le contrat pour décembre, dont c'était le premier jour comme cours de référence.
"On dirait que l'on manque de direction", a reconnu Gene McGillian, de Tradition Energy.
Les cours du pétrole, qui avaient déjà beaucoup hésité lors des précédentes séances, sont successivement passés vendredi dans le rouge et le vert, restant proches de niveaux sans précédent depuis l'été 2015.
"On reste au-dessus de 50 dollars", a souligné Bart Melek, de TD Securities.
Beaucoup d'observateurs voient un signe d'optimisme général dans le fait que les cours se maintiennent au-dessus de ce seuil symbolique.
Pour l'heure, néanmoins, "l'embellie des cours semble provisoirement stoppée par les incertitudes quant à savoir si l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) va ou non rééquilibrer l'offre et la demande sur le marché", a expliqué M. McGillian.
L'Opep a relancé fin septembre le marché en annonçant un accord de principe sur une baisse de la production entre ses membres, qui doivent encore le concrétiser lors du sommet de novembre et que les investisseurs espèrent voir rejoindre par la Russie.
"La réalité, c'est que beaucoup d'investisseurs pensent qu'il va y avoir un accord sur l'offre et que le marché va rebondir", a assuré M. Melek.
Avant une rencontre ce week-end entre les ministres russe et saoudien de l'Energie, Ryad étant l'acteur dominant de l'Opep, Moscou a néanmoins semblé temporiser, alors que le marché avait déjà souffert la veille de propos jugés peu engageants du géant public pétrolier Rosneft.
"Avant de rencontrer son homologue saoudien Khaled al-Faleh, le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak a de nouveau affirmé sa volonté de geler la production de son pays, avant de donner un indice sur ce niveau", ont rapporté les analystes de PVM. "Il a en effet déclaré que la Russie devrait produire en moyenne 11 millions de barils par jour en 2017, ce qui est proche des niveaux actuels."
By Maghreb Emergent
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Marchés pétroliers : Les doutes sur l’Opep plombent les cours
Les cours du pétrole ont ouvert en baisse, hier en cours d’échanges européens, de même qu’à New York où les investisseurs ont anticipé une augmentation des réserves de brut aux Etats-Unis, avec un certain doute planant toujours sur une éventuelle réduction de l’offre par les pays producteurs.
Le cours du pétrole brent a atteint, sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, son plus bas depuis trois semaines à 49,70 dollars le baril, avant de gagner un peu moins d’un dollar, vers 16h GMT, s’établissant à 50,56 dollars le baril. Le prix du light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, perdait vers 13h20 GMT, 79 cents à 49,17 dollars au New York Mercantile Exchange (Nymex) sur le contrat pour décembre.
Très attendus par les investisseurs, les chiffres sur les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis, publiés hier par le département de l’Energie (DoE) ont finalement révélé une légère baisse, de façon inattendue.
Le DoE a enregistré, en effet, un recul des réserves commerciales de brut à hauteur de 600 000 barils à 468,2 millions de barils, alors que les experts tablaient sur une hausse de 2 millions de barils. Les chiffres officiels du DoE viennent également à l’encontre des estimations de la fédération privée American Petroleum Institute (API) qui tablait mardi soir sur une hausse encore plus marquée des réserves de brut la semaine dernière. Beaucoup d’observateurs ont évoqué, par ailleurs, «le doute qui s’installe lentement sur une possible réduction de l’offre par les principaux pays producteurs».
Depuis le début de la semaine, les cours de l’or noir, soutenus fin septembre par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui avait annoncé un probable accord pour réduire sa production, ont commencé à reculer, aidés par «l’Irak et la Russie qui ont sapé la confiance que le marché avait dans l’accord conclu par l’Opep à Alger le mois dernier», affirment encore des analystes.
Selon Bloomberg, la chute des prix s’explique ainsi par «le refus de la Russie de coopérer pour limiter la production», mais aussi par l’Irak qui vient de demander à être exempté d’un gel de sa production pour conserver les revenus du pétrole et lui permettre de lutter contre l’organisation Etat islamique. Le secrétaire général de l’Opep, Mohammed Barkindo, s’est précipité à Baghdad pour régler la situation, mais ses efforts n’ont pour l’instant visiblement pas abouti.
Il n’en demeure pas moins que beaucoup de pays producteurs de pétrole nourrissent toujours l’espoir de voir, à court terme, le marché pétrolier se rééquilibrer. Même la Banque mondiale, dans sa dernière édition du Commodities Markets Outlook, table sur une hausse progressive des prix du pétrole, soit un baril à 55 dollars en 2017, en raison de la récente décision de l’Opep de limiter sa production. Le ministre saoudien de l’Energie, Khaled Al Faleh, a estimé, dimanche dernier, que le cycle de baisse des prix du pétrole touchait à sa fin, dans un contexte d’amélioration des fondamentaux du marché. Les pays producteurs doivent se réunir fin novembre pour décider puis officialiser un gel de la production.
Lyes M.
Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole
Le pétrole en légère hausse en Asie
Les cours du pétrole étaient orientés vendredi en légère hausse en Asie, mais les gains étaient limités par les faibles espoirs sur la portée d'un accord international de réduction de la production de brut. Peu après 04h00 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en décembre, progressait de 4 cents à 49,76 dollars. Le baril de Brent, référence européenne du brut, pour livraison en décembre, gagnait 3 cents à 50,50 dollars. "Le pétrole a connu un timide rebond à New York jeudi grâce à des déclarations saoudiennes sur la baisse de la production", a observé Jeffrey Halley, analyste chez OANDA.
Le pétrole recule, l'Opep ne convainc pas
Le pétrole recule, l'Opep ne convainc pas
Publication 31/10/2016 13h01
Mis à jour il y a 3 heure
Les prix du pétrole poursuivaient leur recul lundi en cours d'échanges
européens, la réunion de travail de l'Organisation des pays exportateurs
de pétrole (Opep) à Vienne s'étant achevée ce week-end sans grandes
avancées sur l'accord de gel de la production.
Vers 11H05 GMT (12H05 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord
pour livraison en décembre, dont c'est le dernier jour de cotation, valait
49,36 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en recul
de 35 cents par rapport à la clôture de vendredi. Dans les échanges
électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de
light sweet crude (WTI) pour la même échéance perdait 25 cents à 48,45
dollars.Les prix du pétrole, qui avaient fortement reculé la semaine dernière,
poursuivaient leur descente à l'issue d'une réunion de l'Opep, qui a planché
ce week-end sur l'accord de gel de la production. Lundi en début d'échanges
en Asie, le baril de Brent a atteint 49,29 dollars et celui de WTI 48,17 dollars,
à leur plus bas depuis un mois. Aucune annonce forte n'est venue redonner
confiance aux investisseurs, qui doutent depuis la semaine dernière que cet
accord pourra se concrétiser.Le communiqué de l'Opep après deux jours de négociations était un chef d'oeuvre d'insignifiance, rempli d'allusions à des conversations productives et à la collaboration mais sans aucune mention de
baisse ou de gel (de la production), tranchait David Hufton, analyste chez
PVM. nSelon l'analyste, trois options sont désormais possibles lors de la
prochaine réunion officielle de l'Opep, le 28 novembre une absence d'accord,
un accord ambitieux mais dont la réalisation serait peu crédible, ou un accord
réaliste mais qui ne permettrait pas de rééquilibrer le marché. Les marchés
devraient donc continuer de scruter les annonces des dirigeants de
l'Organisation avant cette réunion. Jusque là, les investisseurs pourraient
également se concentrer à nouveau sur les fondamentaux de l'offre et de la
demande,et observer avec attention les niveaux des réserves, estimait pour sa
part Naeem Aslam, analyste de Think Markets.