A LA UNE/ACTUALITE_Dégâts matériels et familles sinistrées
24 Août 2015
Fortes averses à l’est du pays
Plusieurs wilayas de l’est du pays ont connu, ces dernières 48 heures,
de fortes précipitations ayant occasionné des dégâts matériels.
A Bordj Bou Arréridj, Khenchela ou Batna, des quartiers ont été inondés et des familles se sont retrouvées sans toit. La ville de Batna et ses environs ont frôlé, samedi soir, la catastrophe naturelle.
A cause d’une averse saisonnière qui a duré quelques heures, plusieurs quartiers de la ville étaient sous les flots, notamment ceux de Bouzourane et Selsabil, où les sapeurs pompiers ont effectué plusieurs opérations de pompage d’eau.
En effet, selon un communiqué de presse de la Protection civile, le rez-de-chaussée de cinq blocs à Bouzourane ont été inondés, l’eau atteignant parfois 1,5 mètre, selon des témoins.
«Quatre familles sont maintenant sinistrées à cause de deux entreprises qui ont fait des travaux dans le quartier avec des engins. Elles ont fermé les avaloirs et les regards d’assainissement et écrasé les buses. L’eau n’avait pas où aller et a inondé tout le quartier», a dit un habitant de ce quartier.
Des propos étayés par ceux de Abdelkrim Maroc, président de l’APC de Batna, qui s’était déplacé sur les lieux avec les moyens matériels dont dispose la commune. Il pointe du doigt les entreprises de réalisation, notamment Cosider, qui a laissé derrière elle des tas de terre bloquant l’écoulement de l’eau.
«La responsabilité d’entretenir les avaloirs incombe à l’Office national de l’assainissement (ONA), qui a entamé une opération de nettoyage des avaloirs avec l’aide des services de l’APC»,
a affirmé Abdelkrim Maroc.
Les eaux se sont aussi engouffrées dans trois habitations du quartier Parc à fourrage, dans quatre autres maisons dans la commune d’Ayou Laassafir, au centre de formation professionnel de la commune d’El Mader, au nord-est du chef-lieu de wilaya.
A Bordj Bou Arréridj, les oueds Bourji et Benharoune n’ont pas supporté le flux d’eau et ont débordé sur la chaussée et dans les champs.
Plusieurs routes, dont la RN103, la RN103A et le CW141, ont été coupées à la circulation, gênant la mobilité des personnes.
Le trafic routier a été totalement paralysé, causant l’isolement de la ville de Ras El Oued.
L’intervention rapide et en force des éléments de la Protection civile a permis de sauver 19 personnes coincées dans
11 véhicules.
«Aucune victime», selon le commandant Abdellah Benkhelifa de la Protection civile, mais des dégâts matériels importants ont été enregistrés.
A Khenchela, au moins vingt habitations ont été infiltrées par les eaux et des familles sont sans abri après la pluie qui s’est abattue sur plusieurs communes, notamment Babar, N’sigha et Tamza.
Selon des témoins, dans le douar Tmagra, dans la commune de Tamza, à 30 km au chef-lieu de wilaya, plusieurs maisons ont subi des dégâts considérables. Il est aussi recensé d’importantes pertes de récoltes agricoles
et des dizaines de têtes de cheptel emportées par les eaux.
S. Methni, M. Taïbi et A. B.
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comme toujours le malheur des uns fait le bonheur des autres
les baigneurs bsahatkoum
et tout ces jours qui passent plantent en mon coeur affligé chaqu'un une lance de regrets et d'angoisse
A LA UNE/ACTUALITÉ_Constantine sous le chaos des eaux.
26 Août 2015
Négligence coupable !
La wilaya a tenté de trouver la solution en créant un organisme chargé de prendre
en charge la nouvelle ville Ali Mendjeli, mais cette structure n’a jamais été visible.
Constantines sous le chaos.jpg
L’espoir s’était alors porté sur le nouveau découpage administratif, espérant au moins un statut de commune pour Ali Mendjeli,
mais le gouvernement en a décidé autrement.
Quand un orage fait l’effet d’un cataclysme, cela appelle immanquablement le questionnement. Les intempéries qui ont frappé mortellement à Constantine, lundi dernier, ont jeté le deuil et la stupeur parmi la population prise de court.
Deux heures de précipitations ont produit l’irréparable : des morts, des blessés, des familles sinistrées et un bilan cauchemardesque, qu’on estime disproportionné face à un orage qui a été certes long et violent, mais n’avait rien d’exceptionnel.
Comment est-ce possible ? L’orage a touché essentiellement la ville nouvelle Ali Mendjeli et, à un degré moindre, El Khroub dont elle dépend administrativement. Les nombreuses images de catastrophe prises par des citoyens et relayées sur les réseaux sociaux montrent une ville dévastée.
Pourtant, Ali Mendjeli est une ville nouvelle et son système d’évacuation ne peut être usé puisqu’il n’a que quinze ans d’âge. Sauf si ce système souffre de «malformation congénitale» ou de malheureux défauts de fabrication.
Dans l’UV9, l’on a déploré le décès d’une jeune femme, alors qu’au niveau de l’accès principal, le carrefour a été noyé par les eaux qui sont montées jusqu’à engloutir des véhicules de conducteurs effrayés et fuyant désespérément.
Pourquoi les systèmes d’assainissement n’ont pas fonctionné ? Tout simplement parce qu’ils n’existent pas, alerte Noureddine Khelfi, architecte et ancien cadre à l’Urbaco. «Tout ce qui est assainissement des eaux pluviales et drainage est absent dans
de nombreuses unités de voisinage et sur le boulevard principal.
Cette nouvelle ville ne répond à aucun critère, elle ne possède même pas un plan Orsec», s’indigne le spécialiste, qui confirme une vérité devenue une lapalissade depuis que le Premier ministre a reconnu l’erreur de conception de Ali Mendjeli.
Laxisme
Sauf que pour faire sérieux, il ne suffit pas de reconnaître l’erreur, mais surtout de cerner les failles, désigner les responsables pour les exclure des projets et, enfin, établir un plan de redressement.
A ce sujet, N. Khelfi rappelle ce qui s’est passé lorsqu’il était question d’exécuter le plan d’urbanisme de Ali Mendjeli : «L’Urbaco a conçu la planimétrie, soit la projection générale de la nouvelle ville, mais au moment de l’exécution, l’administration a fait appel à un bureau d’études local pour exécuter l’altimétrie et ce bureau est responsable de tous les défauts de conception.» En effet, il est curieux de constater l’absence d’avaloirs à travers des pans entiers de cette ville. A défaut, l’eau de pluie se débrouille en surface...
Et pourquoi n’a-t-on pas procédé à la réparation de ce grave défaut dans l’infrastructure de base ? Faut-il que des morts soient enregistrés pour y remédier ? Le fait est que le statut administratif, l’autre défaut de Ali Mendjeli, fait obstacle.
En effet, cette ville de 300 000 habitants a le statut d’une simple cité et dépend administrativement de la commune d’El Khroub, qu’elle a pourtant dépassé aussi bien en termes de population qu’en taille géographique.
Elle devient par conséquent une charge impossible à supporter pour la commune de Khroub qui est loin d’avoir les moyens d’assurer les tâches simples liées à l’entretien de la ville. La wilaya a tenté de trouver une solution en créant un organisme chargé
de prendre en charge Ali Mendjeli, mais cette structure n’a jamais été visible.
L’espoir s’était alors porté sur le nouveau découpage administratif, espérant au moins un statut de commune
pour Ali Mendjeli, mais le gouvernement en a décidé autrement.
Nouri Nesrouche
Dernière modification par zadhand ; 26/08/2015 à 11h22. Motif: Négligence coupable !
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A LA UNE/ACTUALITE_Drame effroyable à Tamanrasset
19 Septembre 2015
Douze personnes, dont neuf migrants, emportées par les eaux
Les autorités locales ont mis en place le plan Orsec et procédé à l’installation
d’une cellule de crise afin de suivre la situation et d’évaluer les dégâts occasionnés
par les pluies torrentielles qui se sont abattues durant la nuit de mercredi à jeudi sur le Hoggar.
Neuf migrants clandestins et trois Algériens ont péri, jeudi dernier, près de Tamanrasset,
emportés par les crues de l’oued Amsel suite aux précipitations diluviennes
qui se sont abattues sur la région. Les victimes subsahariennes ont été repêchées
à quelques encablures du village d’Azerzi (15 km au sud de la ville de Tamanrasset),
où elles auraient été abandonnées par leur passeur, a-t-on appris d’une source locale,
qui précise que les corps sans vie ont été retrouvés en différents endroits.
Les corps des migrants ont été transférés vers la morgue de l’hôpital d’Amechouen
pour identification. Ces victimes auraient tenté de remonter vers le chef-lieu de la wilaya
en traversant l’oued en furie au péril de leur vie, indique notre source.
Et d’ajouter que l’itinéraire aurait été choisi pour contourner les points
de contrôle et le barrage de sécurité dressé à l’entrée sud de la ville de Tamanrasset.
L’opération de sauvetage s’est poursuivie hier ; les équipes d’intervention s’activaient
à dégager la boue et les objets charriés par les eaux pour libérer les tronçons routiers
reliant les villages affectés par les fortes averses.
Les recherches ont été intensifiées afin de retrouver d’éventuels cadavres
faisant partie du même groupe, à la demande des habitants ayant prêté main-forte
aux unités d’intervention. Fort heureusement, aucune autre victime n’est à déplorer.
Les autorités locales ont vite mis en place le plan Orsec et procédé à l’installation
d’une cellule de crise afin de suivre la situation et d’évaluer les dégâts occasionnés
par les pluies torrentielles qui se sont abattues durant la nuit de mercredi à jeudi sur le Hoggar.
Selon les services météorologiques, les pluies ont atteint 22 mm à Tamanrasset
et 11 mm dans la zone de l’Assekrem. Si le niveau des eaux pluviales
est moins important comparativement aux quantités enregistrées récemment
dans certaines wilayas du pays, il n’en demeure pas moins que les dégâts sont considérables.
Le bilan arrêté reste le plus lourd des intempéries enregistrées
depuis trois ans dans cette région à fortes précipitations saisonnières.
C’est l’alerte générale. A la direction de la Protection civile de la wilaya,
on a indiqué qu’une trentaine d’agents ont été mobilisés et de gros moyens matériels déployés
pour les opérations d’intervention qui se sont étendues jusqu’aux localités traversées
par l’oued en question, à savoir Abalessa, Tazrouk et Idelès,
distantes respectivement de 100, 270 et 200 km de Tamanrasset, où
l’on a enregisté de nombreux dégâts. Les informations recueillies auprès de services de la wilaya
font également état des villages isolés du fait des pannes occasionnées sur le réseau électrique,
nécessitant la réquisition d’agents de l’unité locale de distribution
de gaz et d’électricité pour rétablir l’approvisionnement.
Ravah Ighil
Dernière modification par zadhand ; 19/09/2015 à 20h36. Motif: Douze personnes, dont neuf migrants, emportées par les eaux
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A LA UNE/ACTUALITÉ_Intempéries
22 Octobre 2015
Alger sous les eaux
Dès les premières pluies, la capitale est inondée.
De manière récurrente et aux mêmes endroits.
Les autorités tardent à solutionner le problème. Hier,
Alger était encore sous les eaux.
Des inondations qui ont provoqué des difficultés
de circulation durant toute la journée.
d-alger-sous-les-eaux-1de85Des pluies torrentielles se sont abattues sur Alger, bloquant la circ.jpg
Les fortes chutes de pluie enregistrées dans la nuit de mardi à mercredi, à Alger, n'ont fait ni victimes ni dégâts matériels, indique un bilan de la Protection civile. La Protection civile d'Alger a effectué, dans la nuit de mardi à mercredi, 12 interventions pour faire face à des inondations et des infiltrations d'eau, ainsi qu'à d'autres incidents en lien avec les intempéries ayant affecté la wilaya, a souligné le capitaine Saïdj Belkacem, chargé de communication à la direction de la Protection civile de la wilaya d'Alger.
Les interventions des unités des sapeurs-pompiers ont commencé mardi à 19h et ont pris fin mercredi à 7h, selon la même source. Sur les 12 interventions de la Protection civile de la wilaya d'Alger, 4 ont concerné des inondations et des infiltrations d'eau enregistrées dans plusieurs communes dont Birtouta, Bab El-Oued, Bordj El-Bahri et Bologhine, ajoute la même source.
Les sapeurs-pompiers ont également effectué d'autres interventions liées aux chutes de câbles électriques et des déracinements d'arbres. À Kahouat Chergui, dans la commune de Bordj El-Bahri, la hauteur du niveau des eaux a atteint 40 centimètres.
Ces fortes chutes de pluie, suivies d'inondations de certaines artères urbaines, ont également provoqué l'arrêt des dessertes du tramway d'Alger, a constaté l'APS. Pour rappel, le 14 octobre dernier, 38 interventions ont été effectuées par des unités de la Protection civile de la wilaya d'Alger à cause d'importantes chutes de pluie, accompagnées de rafales de vent, qui ont provoqué des inondations et des infiltrations d'eau sur les grandes artères d'Alger.
Désagréments en chaîne et familles secourues
Les dernières pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région d’Aïn Témouchent n’ont pas fait que des heureux parmi les fellahs, car ayant coïncidé avec le début de la campagne labours-semailles. Ces eaux ont été à l’origine de la coupure provisoire de certaines routes et des infiltrations dans certains groupements d’habitations précaires dans les localités d’El-Amria, El-Malah, Béni Saf, Hammam Bou-Hadjar et Aïn El-Arba, qui ont nécessité l’intervention des agents de la Protection civile qui ont réussi à sauver pas moins de 45 familles des inondations.
À Béni Saf, 15 habitations n’ont pas échappé à la furie des eaux dès les premières heures de la matinée de mardi, alors que les pompiers sont parvenus à les évacuer. Ces eaux n’ont pas épargné certaines rues de la ville qui se sont transformées en points noirs, à l’exemple de la voie reliant la cité Béni-Khaled et le quartier Ennahda, ou encore la route menant vers la plage du puits qui a été inondée par les crues.
À noter l’arrivée des agents de la Protection civile qui ont réussi à dégager ces voies, ainsi que la RN96 reliant la plage de Sidi Djelloul et le chef-lieu de wilaya Aïn Témouchent, envahies par les eaux et ayant perturbé la circulation toute la matinée.
À Hammam Bou-Hadjar, l’obstruction des avaloirs, qui n’ont pas été curés au moment voulu, ont provoqué des débordements dans certaines rues à l’intérieur du tissu urbain.
Les habitants d’Oran et de sa région, qui attendaient depuis des mois les premières averses de la saison, ont failli le regretter ce mardi, ayant été pris au piège aux ronds-points et autres trémies inondées et avaloirs obstrués. Et comme à chaque hiver, les précipitations, qui n’ont duré qu’une matinée, ont été à l’origine de beaucoup de désagréments provoquant la colère de certains habitants, comme dans la commune d’Es-Sénia.
Durant toute la matinée, les automobilistes ont trouvé un mal fou à circuler sur la quasi-majorité des grands axes, rendus impraticables par les eaux de pluie qui les ont submergés, envahissant les trémies, les trottoirs. Dans des quartiers anciens, comme Bastille, El-Barki, Usto, St-Eugène, il a fallu que des citoyens se mobilisent pour tenter de déboucher les avaloirs, d’ouvrir les bouches d’égouts obstruées. Et c’est là un mal profond.
Alors que l’été a joué les prolongations, le manque d’entretien des réseaux d’évacuation des eaux de pluie est à l’origine des dégâts. Il est encore à déplorer que des routes et axes importants sont réalisés sans respect des normes, sans évacuations des eaux, d’où les problèmes récurrents de chaussées impraticables à la moindre averse.
De même, le trafic du tramway a été interrompu après l’envahissement de la plateforme par les eaux qui ont débordé là aussi. Les services de la Protection civile ont été sollicités à maintes reprises, mais souvent pour dégager des véhicules ou aider des familles dont les habitations ont vu l’eau monter.
À Tlemcen, les dernières précipitations qui se sont abattues ont été à l’origine du débordement de plusieurs oueds qui ont causé aux automobilistes des difficultés de circulation sur les axes routiers menant notamment à Sebdou, Sebra, El-Aricha, Béni Snous et Ouled Mimoun.
Dernière modification par zadhand ; 23/10/2015 à 00h04. Motif: Alger sous les eaux
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A la une/Actualité_Neige à Guelma le 17.01.16 | 21h14
Des automobilistes lancent des appels de détresseUn appel de détresse qui n’a pas manqué de faire réagir les invités d’une émission
Des automobilistes bloqués par la neige depuis plus de 24 h sur la RN 80 tronçon routier
Ain Sandel dans la wilaya de Guelma et Sedrata wilaya de Souk ahras, ont lancé aujourd’hui dimanche,
vers 15 heures, des appels au secours sur les ondes de Guelma Fm.
dédiée justement aux intempéries. « Je suis chauffeur de taxi de la wilaya de Guelma.
Je suis bloqué avec mes passagers depuis plus de 24 heures sur la RN 80.
Nous sommes dans une situation critique ! Sur route il y a plus d’un mettre de neige ».
Visiblement étonnés par cet appel, les invités dont des représentants de la gendarmerie nationale,
protection civile, direction des travaux publics etc, ont vite fait de réagir et de demander
au chauffeur de taxi d’indiquer sa localisation avec exactitude. « Ce que je peux vous dire
c’est que nous ne sommes pas seul dans cette situation, il y a un bus,
et d’autres véhicules bloqués comme nous », conclut-il.
Au moment ou nous mettions en lgne, des échos de ce tronçon fortement enneigé, indiquaient
la présence d’élément de l’ANP, venus en renfort sur cet axe routier.
Une famille dont un bébé a été secourue. La deuxième file de véhicules bloqués
n’a pas été encore atteinte, précisent nos sources.
Karim Dadci
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La pluie fait des dégâts à Naâma et Tissemsiltle 07.05.16|15h40
Plusieurs personnes ont été secourues et des véhicules ont été dégagés par les services de
la protection civile, la nuit du vendredi à samedi, des oueds en crue au sud de Naâma suites
aux intempéries provoquées par les fortes précipitations qui se sont abattues ces dernières 24 heures sur la région,
a-t-on appris samedi auprès des services de la Protection civile (PC).
Ces importantes averses ont été à l’origine des perturbations du trafic routier notamment
au niveau de la RN-6, au sud de la wilaya suite aux débordements d’oueds sur cet axe routier,
avant que la circulation revienne à la normale après le recul du débit des eaux, a-t-on indiqué .
Ces services sont également intervenus pour secourir deux personnes âgées de 35 ans et 40 ans
et dégager leur camion emporté par les crues en furie de l’oued de Tirkount, sur le territoire de
la commune d’Ain Sefra (60 km au Sud de Naâma), et prêter aide à un sexagénaire encerclé par
les eaux en crue.Ces intempéries qui ont également été à l’origine de perturbations du trafic routier
sur le même axe (à 45 km d’Ain-Sefra) vers la commune de Mograr, ont causé le renversement de
deux véhicules touristiques et un camion emportés par les eaux de l’oued Bouarfa en furie,
sans déplorer de perte humaine après intervention pour sauver deux personnes (28 ans et 40 ans),
a-t-on ajouté de même.Une personne à bord de son véhicule a été également repêchée des inondations
provoquées par l’oued Rossaf, commune de Tiout, (8 km au Sud d’Ain-Sefra), a relevé la PC de Naâma,
qui a fait part du sauvetage et de la prise en charge, au niveau de l’hôpital Mohamed Boudiaf d’Ain-Sefra,
de trois personnes (deux hommes et une femme, 39 ans et 68 ans), suite au dérapage de leur véhicule
au niveau de oued Rossaf.
23 habitations affectées à Tissemsilt
Les infiltrations des eaux pluviales ont affecté 23 habitations, situées dans les communes de Khemisti
et Layoune (Tissemsilt) suite aux inondations provoquées vendredi soir par de fortes précipitations suivies
de rafales de vent, a-t-on appris, samedi, du directeur de wilaya de la protection civile.
Le Commandant Mourad Bensalem a indiqué à l’APS, que les infiltrations d’eaux de pluies ont affecté
20 habitations au niveau de Haï El Badr dans la ville de Khemisti, et causant des dégâts au niveau de
trois autres habitations, outre les stagnations d’eaux au niveau de la gare de transport de voyageurs
de Laayoune.Les intempéries ont cause la perte de 4.500 poulets dans une ferme avicole, au village
"Aïn Ferradja", ainsi que la détérioration de 15 quintaux d’aliment de bétail.
Ces importantes averses ont été à l’origine des perturbations du trafic routier notamment au niveau de
la RN-6, au sud de la wilaya suite aux débordements d’oueds sur cet axe routier, avant que la circulation
revienne à la normale après le recul du débit des eaux, a-t-on indiqué . Ces services sont également
intervenus pour secourir deux personnes âgées de 35 ans et 40 ans et dégager leur camion emporté par
les crues en furie de l’oued de Tirkount, sur le territoire de la commune d’Ain Sefra
(60 km au Sud de Naâma), et prêter aide à un sexagénaire encerclé par les eaux en crue.
Ces intempéries qui ont également été à l’origine de perturbations du trafic routier sur le même axe
(à 45 km d’Ain-Sefra) vers la commune de Mograr, ont causé le renversement de deux véhicules
touristiques et un camion emportés par les eaux de l’oued Bouarfa en furie, sans déplorer de perte
humaine après intervention pour sauver deux personnes (28 ans et 40 ans), a-t-on ajouté de même.
Une personne à bord de son véhicule a été également repêchée des inondations provoquées par
l’oued Rossaf, commune de Tiout, (8 km au Sud d’Ain-Sefra), a relevé la PC de Naâma, qui a fait part
du sauvetage et de la prise en charge, au niveau de l’hôpital Mohamed Boudiaf d’Ain-Sefra,
de trois personnes (deux hommes et une femme, 39 ans et 68 ans), suite au dérapage de leur véhicule
au niveau de oued Rossaf. 23 habitations affectées par les eaux pluviales Les infiltrations des
eaux pluviales ont affecté 23 habitations, situées dans les communes de Khemisti et
Layoune (Tissemsilt) suite aux inondations provoquées vendredi soir par de fortes précipitations
suivies de rafales de vent, a-t-on appris, samedi, du directeur de wilaya de la protection civile.
Le Commandant Mourad Bensalem a indiqué à l’APS, que les infiltrations d’eaux de pluies
ont affecté 20 habitations au niveau de Haï El Badr dans la ville de Khemisti, et causant des dégâts
au niveau de trois autres habitations, outre les stagnations d’eaux au niveau de la gare de transport
de voyageurs de Laayoune. Les intempéries ont cause la perte de 4.500 poulets dans
une ferme avicole, au village "Aïn Ferradja", ainsi que la détérioration de 15 quintaux d’aliment de bétail.
APS
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Près de 130 morts dans des inondationsBonsoir , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique
Chine
- 05.07.2016 19:00
Des inondations ont également touché d'autres pays du sud-est asiatique
cette semaine, faisant au moins 33 morts au Pakistan et 25 en Inde.
Les pluies torrentielles de la mousson, qui se sont abattues,
ces derniers jours, dans le centre de la Chine, ont provoqué de
puissantes inondations qui ont coûté la vie à 128 personnes, selon
l’AFP qui cite, ce mardi, l’agence officielle Chine Nouvelle. A ce drame,
s’ajoute le risque de la survenue imminente d’un typhon à l’est du pays.
Ces averses sans ininterrompue de plusieurs jours ont affecté près de
16 millions de personnes, entraînant l’inondation de vastes zones autour
du premier fleuve de Chine, le Yangtsé, a indiqué cette même source qui
cite également le journal Xin Jingbao (Beijing News).Par ailleurs, la montée
des eaux de l’immense lac Taihu, à leur plus haut niveau depuis 1954 et
l’annonce de l’arrivée du typhon dans cette zone, font craindre le pire à ses
habitants.Dans l’est de la Chine, de nombreuses infrastructures ont été
submergées par la montée des eaux, à l’exemple de l’immense stade du
Hubei (centre) transformé en « baignoire géante ».Des inondations ont
également touché d’autres pays du sud-est asiatique cette semaine, faisant
au moins 33 morts au Pakistan et 25 en Inde.
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14 morts et plus de 46.000 sinistrés dans des inondationsNiger
le 12-08-2016, 16h35
Les pluies diluviennes qui se sont abattues ces dernières semaines sur
le Niger ont fait au moins 14 morts, cinq blessés, 46.296 sinistrés et
occasionné d'importants dégâts matériels à l'échelle nationale, a annoncé
jeudi soir le gouvernement nigérien.Pour répondre à cette urgence
humanitaire, l'Etat a envoyé 326 tonnes d'aide alimentaire, tandis que l'aide
non alimentaire «est en cours d'acheminement en rapport avec les partenaires
techniques et financiers», a précisé un communiqué du gouvernement.Le Niger,
pays sahélien très pauvre et sec, est souvent confronté à de sévères crises
alimentaires dues à la sécheresse ou à des inondations. La saison des pluies
dure au plus trois mois, de juillet à septembre. L'Autorité du Bassin du Niger
(ABN) a attiré l'attention des autorités en début de semaine sur des risques réels d'inondations à Niamey, la capitale, et ses environs suite aux fortes précipitations enregistrées particulièrement dans la zone du fleuve Niger depuis près d'un mois,
et qui ont fait largement dépasser la cote d'alerte du débit des eaux.
En août 2012, les inondations provoquées par les pluies torrentielles au Niger
avaient fait au total 70 morts, plus de 70.350 foyers sinistrés et affecté environ
500.000 personnes sur l'ensemble du territoire national.
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