Rapporté par Abou Hourayra, le Prophète SAW rase dit: «Je méprisais, méprisé, il méprisait ce qu'il atteigne l'âge que l'un ou ses deux parents et n'entre pas dans le paradis."
(Rapporté par Mouslim)![]()
Rapporté par Abou Hourayra, le Prophète SAW rase dit: «Je méprisais, méprisé, il méprisait ce qu'il atteigne l'âge que l'un ou ses deux parents et n'entre pas dans le paradis."
(Rapporté par Mouslim)![]()
Hadith du jour
Le Prophète Muhammad (sur lui la grâce et la paix) a dit: La tendresse ne fait défaut que dans le coeur d'un damné.
La guerre sainte :
Le Messager de Dieua dit : "Les femmes sont tenues de faire une guerre sainte où l'on ne s'entretue pas : Le grand pèlerinage et le petit "
(Rapporté par Ibn Khouzeyma)
Aïcha(Que Dieu soit satisfait d'elle) rapporte qu'elle a demandé : "Ô Messager d'Allah, nous voyons que la guerre sainte est l'action la plus louable. Ne pouvons nous y participer ? - la réponse du Prophète
fut : "Un grand pèlerinage sincère est encore plus louable"
(Rapporté par Al Boukhari)
le Prophète - Que Dieu lui accorde Sa Grâce et Sa Paix - a dit : « La première chose dont l'homme aura à rendre compte, au jour de la résurrection, sera la prière. S'il l'avait accomplie à la perfection, il sera un bienheureux ; mais s'il l'avait manquée ou négligée, il sera un perdant et un malheureux » .
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Qui peut encore douter après voir lu ce verset: "Nous allons aujourd'hui épargner ton corps, afin que tu deviennes un signe à tes successeurs." Sourate 10: Yoûnous - (JONAS) : 92).
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Explications (Charh des 40 hadiths de l'imam Al - Nawawi)
Hadith Nawawi - Hadith 34 à consulter ici: Hadhith et Dou3ae du jour
- L’obligation de changer le mal en respectant les étapes précités sachant que le changement du mal par la main n’incombe qu’au
détenteur de l’autorité [ Sultan ]. Le changement par la langue incombe aux propagateurs de la foi [ Du‟âtu-lkhayr ] qui ont suffisamment
de savoir pour expliciter aux gens ces choses blâmables et leur caractère illicite.
- Celui qui ne peut pas changer le mal ni par la force ni par la languie, doit obligatoirement le désapprouver en son for intérieur.
- La loi islamique facilite la tâche et allège les contraintes pour les musulmans en fondant ces obligations sur la capacité.
- La foi est de différents degrés, elle peut être faible chez certains, forte chez d’autre. C’est là un des fondements du credo
des Gens de la Sunna et de la communauté [ Ahl Sounna wa Al Djama‟a], il est fondé par plusieurs arguments
dans al Qour’an et dans la tradition [ As-Sunna ].
- Les étapes du changement du mal se présentent sous 3 aspects : La prédication qui consiste à ce que le prédicateur, dans
les Mosquées ou dans d’autres lieux de rassemblement, explicite aux gens le mal et les met en garde contre lui, explicite le bien
et les encourage à le faire.
- L’ordre du convenable et l’empêchement du blâmable en disant aux gens : « Faites ceci et ne faites pas cela ».
- Le changement direct consiste à ce que l’homme ( qui a le pouvoir) change directement le mal quand il constate que les gens
ne répondent ni à la prédication, ni aux ordres, ni aux interdictions.
Dernière modification par Sam221 ; 29/04/2014 à 06h58.
Prophète a dit:
"Il ya sept qu'Allah va ombre mettre sur Son Trône sur le Jour du Jugement, un jour où il n'y aura pas d'ombre sauf son ombre: un chef juste, le jeune homme qui a grandi adoration d'Allah tout-puissant, un homme dont le cœur est attaché aux mosquées, deux hommes qui sont recherchés pour l'amour d'Allah, réunis pour cela et sont attribués, l'homme qui est appelé par une femme d'une beauté et la position (d'effectuer des rapports avec elle), mais il dit: «Je crains Allah», la personne qui donne à la charité et peaux, que sa main gauche ne sait pas ce que la main droite donne et la personne qui invoque Allah dans la solitude et les yeux son pleurer ". Boukhari et Mouslim![]()
Hadith du jour
Le Prophète Muhammad (sur lui la grâce et la paix) a dit: ''La pitié n'est que le noble caractère.''
L’agrément du Seigneur est dans l’agrément du père Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
D'après 'Abdallah Ibn 'Amr (qu'Allah les agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit « L’agrément du Seigneur est dans l’agrément du père et la colère du Seigneur est dans la colère du père ».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°1899 et authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi)
عن عبد الله بن عمرو رضي الله عنهما قال رسول الله صلى الله عليه و سلم : رضا الرَّبِّ في رضا الوالدِ وسخطُ الرَّبِّ في سخطِ الوالدِ
(رواه الترمذي في سننه رقم ١٨٩٩ و صححه الشيخ الألباني في تحقيق سنن الترمذي)
Dernière modification par morocco ; 29/04/2014 à 14h24.
Les femmes peuvent fréquenter les mosquées :
D'après Ibn `Umar
(qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophètea dit :
"Lorsque la femme de l'un d'entre
vous lui demande l'autorisation
de se rendre à la mosquée,
qu'il ne l'en empêche pas".
(Sahih Moslim n°666)
Explications (Charh des 40 hadiths de l'imam Al - Nawawi)
Hadith Nawawi - Hadith 35 à consulter ici: http://www.maghreb-sat.com/forum/f67...19630-109.html
- L’interdiction d’envier : il s’agit-là d’une interdiction formelle qui la rend illicite.
L’envie comporte trois grands méfaits : Celui qui envie c’est qu’en fait, il n’accepte pas le destin d’Allah بَؼَرََُِٗذْجُع- et Sa prédestinée. Il commet une
agression contre son frère. Chaque fois que les bienfaits de son frère grandissent, les remords le rongent davantage, ce qui fait que sa vie devient
pénible.
- L’interdiction de la vente par enchère simulée [ munajasha ] en raison de ce qu’elle comporte comme agression contre autrui et ce qu’elle cause comme
haines (envers les vendeurs).
- L’interdiction de se tourner le dos les uns des autres : Il est interdit au musulman de tourner le dos d’un musulman, c’est contre la fraternité dans la foi.
- L’interdiction au musulman de pratiquer des ventes sur les ventes de son frère et, de façon analogue, na pas pratiquer un achat sur l’achat de son frère ( en
proposant un prix supérieur au vendeur ), ni de demander en mariage une femme déjà demandée par son frère, etc.
- L’obligation de développer la fraternité dans la foi conformément à ce qu’a dit le Prophète Prophète صيٚ ا لله ػيٞٔ ٗعيٌ
: « Le musulman est le frère du musulman ».
- L’exposé de la position que doit avoir le musulman vis-à-vis de son frère : il ne lui fait pas d’injustice, ne l’abandonne pas quand il a besoin du soutien, ne lui
ment pas, ne le méprise pas. Tout cela va à l’encontre de la fraternité dans la foi.
- La place de la piété est dans le cœur, quand le cœur est pieux, les sens le deviennent également. Aussi, faut-il souligner que quand certaines personnes
commettent un péché et qu’on leur fait la morale, ils disent : « de toute façon, la piété est ici désignant leur cœur ». Certes, c’est une parole de vérité, mais qu’ils
l’ont fait servir à l’erreur, car s’il y avait vraiment une piété dans leur cœur, leurs sens manifesteraient immanquablement cette piété, le Prophète صيٚ ا لله ػيٞٔ ٗعيٌ,
dans ce sens, a dit : « N’est-ce pas qu’il y a dans le corps humain un morceau de chair [ mudgha ] qui, s’il est bon, tout le corps le sera et s’il est corrompu, tout
le corps le sera ? N’est-ce pas que c’est le cœur ? ».
Dernière modification par Sam221 ; 30/04/2014 à 07h25.
Un dirham a dépassé cent mille dirham Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit: « Un dirham a dépassé cent mille dirham ».
Un homme a dit: Comment cela ô Messager d'Allah ?
Le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit: « Un homme avait beaucoup d'argent duquel il prit cent mille dirham qu'il a donné en aumône et un autre homme n'avait que deux dirham, il en a pris un et l'a donné en aumône ».
(Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°2526 et authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Nasai)
عن أبي هريرة رضي الله عنه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : سبق درهم مائة ألف درهم ؟
فقال رجل : و كيف ذاك يا رسول الله ؟
قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : رجل له مال كثير أخذ من عرضه مائه ألف درهم تصدق بها و رجل ليس له إلا درهمان فأخذ أحدهما فتصدق به
(رواه النسائي في سننه رقم ٢٥٢٦ و حسنه الشيخ الألباني في تحقيق سنن النسائي)