Ahmad Shah Massoud
(2 septembre 1953 – 9 septembre 2001)
"S'il n'y a pas de chaise pour toi, assieds-toi par terre"
Ce furent des jours et des nuits de sang, de fureur et de larmes, où chaque afghan, quelle que soit son origine ethnique, considérait que son devoir suprême, face à Dieu et à son destin chevaleresque, était de lutter non seulement jusqu’à la mort, mais bien au-delà.
Par le rêve et le cauchemar justement, par la poésie insigne du sacrifice ultime, par l’amour de la patrie en péril.
"C'était le chemin qu'Allah avait étendu devant moi pour défendre mon peuple et leurs terres. Je ne pouvais suivre un sentier différent!"
Allah y rahmou