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Re : Insolite
Une histoire belge pas franchement drôle, rapportée par plusieurs médias du pays. Il y a quelques jours, un appel à témoin est lancé par la police fédérale. La photographie d’un homme présenté comme «dangereux», déambulant sur l'Avenue Louise à Bruxelles avec ce qui pourrait être une arme dissimulée, est relayée par tous les médias dans un contexte pesant de menace terroriste.
Le jeune homme en question est Assim Abassi, un Pakistanais scolarisé vivant légalement en Belgique avec ses parents et ses 4 frères et sœurs. Le jeune homme a été filmé par une caméra de surveillance alors qu’il se rendait à un match de cricket. L’arme suspecte? Une simple batte en bois enroulée dans un manteau pour la protéger de la pluie.
Forte mobilisation sur les réseaux sociaux
Assim Abassi se rend alors aux autorités pour dissiper tout malentendu. L’affaire aurait pu être étouffée. Mais entre-temps, le père du jeune homme a été débarqué de son poste à l’ambassade du Pakistan. Les passeports, retirés à tous les membres de la famille. Les Abassi sont priés de quitter le territoire dans les six jours.
«Nous perdons le privilège d'habiter en Belgique», témoigne Saoud, le frère d'Assim, à la RTBF. «Il a été prouvé que c'était une fausse information, mais ils ne le croient pas. Ils nous ont donné une mauvaise réputation. Au Pakistan, on pourrait avoir des problèmes avec la police à cause des photocopies des journaux qui ont été envoyées au pays».
Cette histoire incongrue a déclenché une mobilisation sur les réseaux sociaux. Selon 7sur7.be, le procureur fédéral devrait prendre contact lundi avec l'ambassade du Pakistan.
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Re : Insolite
Résurrection inexplicable d'une polonaise de 91 ans
Une femme polonaise de 91 ans a été déclarée morte et a passé plusieurs heures dans une morgue avant de se réveiller, au grand dame du personnel hospitalier et de ses proches. Sa disparition et sa résurrection lui ont apparemment ouvert l’appétit, car elle a mangé de la soupe et des crêpes.
Janina Kolkiewicz a été déclarée morte par des médecins locaux dans la petite ville de Ostrow Lubelski dans l’est de la Pologne, a rapporté la station de radio publique TVP. Elle n’avait plus de pouls, ne respirait plus et ses yeux ne réagissait pas à la lumière.
Mais 11 heures plus tard, elle se réveilla à l’intérieur de sa housse mortuaire dans la chambre froide de la morgue locale. L’événement dramatique s’est produit le 6 Novembre, mais l’information n’est apparue que jeudi dans la presse locale.
« J’étais certain qu’elle était morte, » a dit le docteur Wieslawa Czyz à TVP, qui a plus de 28 ans de pratique médicale derrière lui. « Je suis abasourdi, je ne comprends pas ce qui a bien pu se passer. Son coeur avait cessé de battre, elle ne respirait plus du tout. »
Kolkiewicz n’a pas d’enfants et ne s’est jamais mariée. C’était sa nièce qui s’occupait d’elle car elle était sénile.
« Ma tante n’a pas la moindre idée de ce qui est arrivé du fait qu’elle est atteinte de démence à un stade avancé, » a déclaré, choquée, la nièce Bogumila Kolkiewicz à Dziennik Wschodni, un journal local.
Bogumila ajouta que quand elle a ramené la vieille femme chez elle, Janina « était gelée et a demandé une tasse de thé. »
Puis elle a mangé un bol de soupe et deux crêpes, démontrant un bon appétit, ajouta sa nièce.
Les autorités policières ont ouvert une enquête quant à ce cas de «résurrection».
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Re : Insolite
Covoiturage entre une juge et des accusés : La magistrate s'en sort bien
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Ça roule pour elle. Une magistrate suppléante de la cour d'assises de l'Aveyron, qui avait transporté mi-novembre en covoiturage deux des dix-huit accusés qui comparaissaient notamment devant elle, ne subira aucune sanction, a-t-on appris lundi de source judiciaire à Montpellier.
Cette magistrate a été reçue par le premier président de la cour d'appel de Montpellier et a affirmé «n'avoir pas reconnu les deux hommes» qu'elle a chargé dans son véhicule, a indiqué cette source, précisant qu'il n'y avait «pas d'élément intentionnel» et «donc pas de sanction».
Pas un mot sur le procès pendant le trajet
Les deux accusés avaient trouvé sur un site internet dédié au covoiturage un conducteur acceptant, contre rémunération, de les acheminer de Montpellier, où ils avaient passé le week-end, à Millau, leur lieu de résidence.
Chemin faisant, les deux hommes ont réalisé que la conductrice n'était autre que la juge suppléante de la cour d'assises devant laquelle ils étaient jugés. Cependant, selon les propos rapportés par leurs avocats à l'AFP, les deux accusés n'auraient pas évoqué le procès avec la conductrice pendant le trajet.
Cette dernière, qui pouvait remplacer au pied levé l'un des trois magistrats professionnels du jury en cas d'indisponibilité soudaine, a assisté à l'intégralité du procès débuté fin septembre. En tant que suppléante, cette magistrate n'était pas censée prendre part au délibéré.
Rejet des demandes d'enquête
Les avocats de ce dossier ont déposé des conclusions demandant notamment une enquête mais lundi après-midi le président de la cour d'assises, Régis Cayrol, a rejeté cette demande et repris l'audience normalement, a encore indiqué la même source.
Débuté depuis six semaines, ce procès tente de faire la lumière sur l'assassinat le 8 mai 2010 à Millau (Aveyron) d'un jeune Antillais de 20 ans, Jean-Ronald d'Haity, lors d'une expédition punitive. L'avocat général doit prendre ses réquisitions jeudi ou vendredi, tandis que les jurés rendront un verdict à la fin du mois
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Re : Insolite
Un écureuil s’électrocute, 2.000 personnes dans le noir
Un écureuil qui s’est glissé dimanche dans un équipement électrique a provoqué une coupure de courant géante à Cupertino (Etats-Unis). Ce sont 2.000 abonnés de cette ville du comté de Santa Clara qui se sont ainsi retrouvés dans le noir, rapporte le San Francisco Chronicle.
L’électricité a été rétablie au bout de deux heures, en début de matinée. Seule victime du jour: l’animal. L’écureuil n’a pas survécu à la décharge électrique nourrie de milliers de volts. Une enquête a été ouverte par l’entreprise Pacific Gas & Electric Company pour déterminer les circonstances de cet incident.
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Re : Insolite
De l'ADN de Napoléon dans des montres suisses
http://img.20mn.fr/PliynoovTOWITmfhN...lorence-italie
De l'ADN de Napoléon dans votre montre... L'initative vient du fabriquant suisse DeWitt qui va lancer une série limitée, agrémentée de micro-fragments de cheveux de l'empereur, acquis lors d'une vente aux enchères en novembre. «Il y aura de l'ADN de Napoléon dans nos montres», a déclaré mardi à Genève, dans les locaux de sa manufacture, Viviane de Witt, dont l'époux est un descendant direct de Jérôme Napoléon (1784-1860), le plus jeune frère de Napoléon.
Ces cheveux, qui ressemblent pour certains plus à des poils, vont être coupés en tronçons d'un demi-millimètre. Seulement visible au microscope, chaque élement sera fixé sous le verre de la montre, par-dessus l'effigie de l'empereur, qui est le logo de la marque DeWitt. La première opération de ce type, d'une précision chirurgicale, a eu lieu mardi, en présence d'un huissier certifié, à la manufacture.
«Napoléon était déjà très adulé de son vivant»
DeWitt, qui fabrique environ 1.500 montres par an avec un effectif de 60 personnes, prévoit de fabriquer une série limitée de 400 à 500 montres avec l'ADN de Napoléon, dont le prix sera d'au moins 8.000 euros. «Napoléon était déjà très adulé de son vivant, quand il se faisait couper les cheveux, des admirateurs les ramassaient pour les conserver», a indiqué de Witt, qui est d'origine corse.
Les cheveux proviennent de deux lots acquis en novembre dernier par de Witt lors de la vente aux enchères de la collection de la famille princière de Monaco, pour respectivement 16.750 euros (estimation entre 3.000 et 5.000 euros) et à 12.880 euros (estimation entre 1.500 et 2.000 euros)
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Re : Insolite
Un salarié prêt à souffrir pour son entreprise. C'est, en somme, ce que recherche UK Paintballdans son appel à candidature. L'entreprise britannique propose en effet un poste de «testeurd'impact de balles» pour un salaire de 40.000 livres sterling par an (près de 50.500 euros).
Profil recherché: «des personnes ayant un seuil de douleur élevé et ceux à qui la peur est un concept étranger», indique l'annonce en question. Le salarié devra supporter les impacts deprojectiles multicolores -y compris sans tenue de protection-, lorsqu'il se tient debout sans bouger, mais aussi lorsqu'il marche, court ou grimpe sur des obstacles.
«Petit risque de douleur, d'inconfort et d'ecchymoses»
Ce job est plutôt destiné aux étudiants ou jeunes adultes qui souhaitent gagner de l'argent rapidement, puisque le poste est en fait à temps partiel (et le salaire au prorata): la période de travail ne durera que quelques jours, entre noël et le nouvel an. Pendant cette période, à raison d'une heure ou deux par jour, des professionnels formés et expérimentés tireront sur ce cobaye, comme le stipule l'annonce, qui précise que le travail comporte «un petit risque de douleur, d'inconfort et d'ecchymoses».
Selon le fondateur de UK Paintball, Justin Toohig, ce travail est «inhabituel» mais nécessaire, puisqu'il s'agit de tester les nouvelles balles de l'entreprise, basée à Londres, avant qu'elles ne soient proposées aux clients. «Nous devons connaître les dommages qu'elles peuvent causer à l'organisme», ajoute le directeur.
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Re : Insolite
Limoges: quatre agents secrets grillés par un hôtelier
http://img.20mn.fr/r6yZnTJZQeu0TBzXu...4-haute-vienne
Espions, mais pas trop. Quatre agents secrets descendus de Paris en marge d'une rencontre de basket-ball opposant le CSP Limoges au Maccabi Electra Tel-Aviv ont été démasqués par le patron de l'hôtel où ils résidaient, à Limoges.
Soucieux de conserver caché du matériel d'espionnage dans leur chambre, les quatre hommes ont, comme le relate le Populaire.fr, souhaité enfreindre le règlement de l'établissement, qui interdit strictement de quitter les lieux sans avoir préalablement déposé les clés à la réception.
«Pieds nickelés du renseignement»
Une attitude que n'a pas tolérée l'hôtelier qui, après avoir enfermé les agents de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le sas d'accueil de l'établissement, a tout simplement alerté la police locale. Pour la discrétion, c'était donc raté.
Et l'humiliation n'est pas terminée pour les quatre agents des services secrets, par ailleurs largement qualifiés de «pieds nickelés du renseignement» sur la toile : l'hôtelier leur délivre aujourd'hui une leçon de discrétion... en souhaitant garder le silence sur cette affaire.
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Re : Insolite
Une Australienne avalée par un trou en étendant du linge
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Étendre son linge comporte des risques. Une femme de 52 ans a été aspirée dans un trou, mardi 25 novembre, alors qu'elle accrochait des vêtements à un étendoir dans le jardin d'une amie, à Melbourne (Australie), rapporte le site du quotidien local The Age (en anglais). Cette mère de six enfants a chuté dans un trou de trois mètres de profondeur, se retrouvant à nager dans l'eau.
Un puits mal bouché
Vingt minutes après sa chute, un voisin a entendu ses cris et la femme de celui-ci a prévenu les secours. Des pompiers sont intervenus et ont pu l'extraire grâce à des cordes. "Après une douche, elle est devenue blanche et s'est évanouie", raconte une fille de la victime, témoignant de l'état de choc de sa mère après l'accident. Selon les autorités, le trou s'est formé sur le site d'un vieux puits qui aurait été mal bouché.
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Re : Insolite
Comment le film «Stuart Little» a permis de retrouver un tableau hongrois disparu
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Un tableau de maître hongrois considéré comme perdu pendant plus de 80 ans va être vendu aux enchères à Budapest après avoir été identifié tout à fait par hasard par un historien de l'art dans un décor du film américain Stuart Little, a-t-on appris jeudi.
Signée Robert Bereny (1888-1953), l'un des maîtres de l'avant-garde hongroise de l'entre-deux-guerres, la «Dame endormie au vase noir», une oeuvre dûment répertoriée, était considérée comme perdue depuis les années 1920. La toile, qui sera mise à prix environ 110.000 euros, le 13 décembre, aurait pu compter longtemps encore parmi les trésors perdus de l'art sans l'oeil averti de Gergely Barki, un expert travaillant pour le Musée national de Hongrie.
La toile pas remarquée depuis la sortie du film en 1999
Tout a commencé un beau jour de 2009, alors que Gergely Barki regardait avec sa fille de 3 ans le film Stuart Little, mettant en scène la souris éponyme aux côtés des acteurs Hugh Laurie et Geena Davis. «Je n'en ai pas cru mes yeux quand j'ai vu le chef d'oeuvre de Bereny que tout le monde croyait perdu accroché au mur à côté de Hugh Laurie!», a raconté Gergely Barki.
L'expert, aujourd'hui âgé de 43 ans, n'avait bien entendu jamais vu le tableau de ses propres yeux mais le connaissait par une vieille photo en noir et blanc publiée dans un catalogue de 1928. La toile n'avait été remarquée par aucun des millions de spectateurs qui avaient vu le film depuis sa sortie en 1999.
Acheté chez un antiquaire
Après un échange frénétique de mails avec Columbia et Sony Pictures, les producteurs du film, Gergely Barki finit par entrer en contact avec une ancienne scénographe qui avait travaillé sur le tournage aux Etats-Unis. «Elle m'a expliqué avoir vu le tableau chez un antiquaire de Pasadena, en Californie, et l'avoir acheté pour une bouchée de pain parce que son style d'avant-garde lui semblait bien convenir au salon de Stuart Little», explique l'historien.
La scénographe a par la suite racheté le tableau aux studios à titre privé, avant de le revendre après avoir découvert, grâce à Gergely Barki, qu'elle avait acquis une toile de prix. Selon l'expert, il est possible que le tableau ait été acheté avant-guerre par un collectionneur juif qui l'aurait emporté aux Etats-Unis face à la menace nazie. «Beaucoup de chef d'oeuvres se sont perdus dans les turbulences du 20e siècle», note Gergely Barki.
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Re : Insolite
Malaysia Airlines: Un tweet malvenu fait scandale
http://img.20mn.fr/iiJ9bACSRwCFhS8cl...ur-14-mai-2014
Après voir été impliquée cette année dans des catastrophes aériennes aux causes mystérieuses, Malaysia Airlines a présenté des excuses pour une campagne de promotion au slogan pour le moins maladroit.
Une campagne de publicité qui heurte après deux crashs meurtriers
"Vous voulez aller quelque part mais vous ne savez pas où?": Malaysia Airlines cherchait par ce tweet à attirer les clients pour ses offres de fin d'année. Mais les internautes ont rapidement fait le rapprochement avec la disparition en mars du vol MH370, toujours inexpliquée huit mois plus tard. Il y avait 239 personnes à bord de ce vol, qui pourrait s'être écrasé dans l'océan indien à des milliers de kilomètres de sa destination prévue de Pékin.
En juillet, un autre Boeing de Malaysia Airlines, assurant la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur, avait explosé en vol, vraisemblablement abattu par un missile pendant son survol de l'est de l'Ukraine. Il transportait 298 personnes.
Face aux critiques apparues sur Twitter sur sa dernière tentative publicitaire, destinée à compenser la chute des réservations observée depuis ces deux drames, Malaysia Airlines a été contrainte de réagir.
Le tweet controversé "visait à inciter les voyageurs à explorer de nouvelles offres et destinations durant cette période de vacances", a expliqué la compagnie dans un communiqué. "Malheureusement, il a involontairement heurté certaines personnes et le tweet a été retiré".