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Re : Blague du jour
Les deux chiens
Une dame se promène dans un parc en compagnie de ses deux grands chiens.
En chemin elle rencontre un gamin ébahi devant la beauté de ses animaux.
– Tu veux caresser mes deux saint-Bernard ? demande la dame au gamin.
– Oh, oui madame, j’aimerai bien, mais je ne m’appelle pas Bernard !
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Re : Blague du jour
Lettre ouverte à mon patron
Ne me donnez jamais du travail le matin. Attendez toujours à 4h l’après-midi et apportez-moi le tout. Le challenge du dernière minute est toujours rafraîchissant.
Si vous me donnez un travail urgent, entrez dans mon bureau et interrompez-moi toutes les 10 minutes pour savoir où je suis rendu.
Ça aide beaucoup.
Ou, encore mieux, restez derrière moi, en me distrayant à chaque fois que je tape au clavier.
Quittez toujours le bureau sans dire à personne où vous allez et quand vous reviendrez.
Ça me donne la chance d’être créatif quand quelqu’un me demande où vous êtes.
Si j’ai les bras pleins de papiers, de boîtes ou de livres, n’ouvrez surtout pas la porte pour moi.
J’ai terriblement besoin d’apprendre comment s’y prend un paraplégique pour ouvrir une porte sans ses mains.
Si vous me donnez plus d’un travail à faire, ne me dite pas lequel je dois faire en priorité.
Je vais le lire dans ma boule de cristal.
Faites votre possible pour me garder le plus tard possible.
J’adore ce bureau et je n’ai vraiment pas d’autre endroit où aller ou autre chose à faire.
Je n’ai aucune vie autre que celle de mon travail.
Si j’ai fait un travail et que vous avez apprécié, gardez ça secret.
Si vous le dites, ça pourrait mener à une promotion.
Par contre, si vous n’aimez pas le travail que j’ai fait, dites-le à tout le monde.
J’adore entendre mon nom dans les conversations du bureau.
Je suis né pour me faire rabaisser.
Si vous avez des instructions spéciales pour un travail, ne me les dites pas.
En fait, gardez-les pour quand le travail sera terminé.
Inutile de me donner de l’information utile, tout d’un coup que ça me confondrait.
Ne me présentez jamais aux gens avec lesquels vous êtes. Je n’ai pas le droit de connaître personne.
Si vous me parlez d’eux plus tard, j’utiliserai mes déductions surnaturelles pour savoir de qui vous parlez.
Ne soyez gentils avec moi que si vous me donnez un travail à faire qui a une importance capitale.
Autrement, je n’ai pas besoin de gentillesse.
Racontez-moi tous vos petits problèmes.
Personne d’autre en a et c’est tellement agréable de savoir qu’il y en a des moins malchanceux.
En particulier des problèmes du genre que vous vous êtes fait enlever trop d’argent par l’impôt sur le chèque de bonus que vous avez obtenu.
Attendez l’évaluation annuelle des employés pour me dire qu’est-ce que j’aurais dû faire pendant l’année.
Donnez-moi une performance médiocre et n’augmentez surtout pas mon salaire.
Le coût de la vie augmentera, mais ce n’est pas grave, je ne suis pas ici pour l’argent de toute façon.
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Re : Blague du jour
La station de ski
Ce sont deux amis qui décident d’aller passer une semaine au ski.
L’année dernière, ils étaient allés dans une super station et donc il prennent la décision d’y retourner.
Arrivés sur place et une fois l’installation faites, ils vont s’inscrire à l’école de ski.
– Bonjour monsieur. Nous souhaiterions prendre des cours.
– Pas de problème. Quel est votre niveau ?
– Nous sommes plus ou moins débutants mais nous souhaiterions avoir le même moniteur que l’année dernière.
– Euh… Oui… Connaissez vous son nom ?
– Ben on s’en souvient plus mais il avait une combinaison grise et bleu.
– Tous les moniteurs de cette école ont une combinaison grise et bleu, monsieur.
– Attendez… Ah ! Il avait deux anus.
– Deux anus ?! Mais c’est n’importe quoi ?
– Si, si ! Je vous jure. A chaque fois qu’on croisait un autre moniteur, celui-ci lui demandait s’il s’en sortait avec ses deux trous du cul.
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Re : Blague du jour
Les ingénieux ingénieurs
Trois ingénieurs font une ballade en voiture : Il y a un électricien, un chimiste et un programmeur de chez Microsoft.
Ils devisent joyeusement, lorsque leur voiture tombe en panne. Ne connaissant rien à la mécanique, chacun y va de son commentaire.
L’électricien pense que ce doit être un problème électrique et qu’il serait bon de vérifier les contacts.
Le chimiste suggère que l’essence s’est peut-être émulsifiée et qu’il faudrait sûrement vidanger.
L’ingénieur Microsoft, qui ne connaît rien à rien propose :
– Nous allons fermer les fenêtres, sortir, rentrer, ouvrir les fenêtres et probablement que ça marchera !…
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Re : Blague du jour
Le bon coin
Un homme lit dans un magazine qu’il est possible de faire durer l’acte sexuel si on se masturbe avant.
Il décide de faire un petit essai le soir même. Problème : où le faire ?
– Il pense aux W-C…Non, trop fréquentés.
– Derrière son bureau ?…Non, trop risqué.
– Dans le jardin public ?…Non, trop d’enfants autour.
Et puis, en rentrant chez lui, il trouve la réponse : il va s’arrêter, se garer sur le bas côté, se glisser sur le dos sous sa bagnole (un 4×4) et faire semblant de vérifier en dessous. Il y va, baisse son froc, ferme les yeux et pense très fort à sa copine.
Juste au moment crucial, il sent quelqu’un tirer sur le bas de son pantalon. Ne voulant pas perdre son rythme si près du but, il garde les yeux fermés et continue. On tire encore sur le bas du pantalon. Toujours les yeux fermés et s’activant, il crie : Qui c’est ?
– Gendarmerie, lui répond-on. Qu’est-ce que vous faites ?
– Je vérifie l’essieu arrière ! Je pense qu’il est foutu.
– Bon, très bien, dit le gendarme. Et puisque vous y êtes, vérifiez aussi le frein à main : Votre voiture est à 200 mètres d’ici.
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Re : Blague du jour
Tricotage
Deux blondes sont en train d’essayer des vêtements :
– Au fait, tu savais qu’il fallait trois moutons pour faire un pull en laine ?
– Nooooon ? Je ne savais même pas qu’ils savaient tricoter !
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Re : Blague du jour
Le deuil
Madame Dupont est en deuil. Monsieur vient de passer. Les amis, la famille défilent au domicile pour lui présenter leurs condoléances et rendre un dernier hommage au disparu, or, à chaque visite, Marie, la servante claironne :
– Médéme ! C’est une visite pour le mort !
À la fin, madame Dupont en a assez, et elle prend la petite Marie à part :
– Écoutez, ma fille, vous pourriez avoir un peu de respect, en la circonstance ! La prochaine fois, au lieu de dire « mort », vous direz « monsieur », comme lorsque mon pauvre mari était encore vivant. C’est compris ?
– Oui médéme.
C’est alors qu’on sonne à la porte, Marie se précipite, ouvre et claironne :
– Médéme ! C’est le croque-monsieur !
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