Bouteflika a quitté la France
A la une Actualité_Président Abdelaziz Bouteflika-Clinique d’Alembert à Grenoble
le 05.12.15 | 14h23
Pièce jointe 20121
Bouteflika a quitté la France
Le président de la république M. Abdelaziz Bouteflika a quitté, ce samedi,
le sol français après deux jours d’hospitalisation à la clinique d’Alembert à Grenoble.
Le chef de l'Etat algérien a quitté peu après midi le service de cardiologie du
Groupe hospitalier mutualiste, où exerce son cardiologue, Jacques Monségu.
Abdelaziz Bouteflika avait déjà été hospitalisé dans cette clinique e novembre 2014.
Il a ensuite été conduit, sous escorte, à l'aéroport de Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs (Isère),
près de Grenoble, où il a quitté la France, affirme BFM TV
qui s’appuie entre autres sur les sources consultées par AFP.
Le journal local "Le Dauphiné Libéré" a aussi rapporté que Boutefklika a bel et bien
quitté la clinique qu’il a rejoint pour y passer des examens médicaux au sein
du service de cardiologie où exerce son médecin, le docteur Monségu.
Mina Adel
Le Président Bouteflika décrète un deuil national de huit jours
A la une/Actualités_Décès de Hocine Ait Ahmed
e 24.12.15 | 13h24
Le Président Bouteflika décrète un deuil national de huit jours
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décrété jeudi
"un deuil national de huit (08) jours
sur l'ensemble du territoire national, à compter de vendredi
25 décembre 2015, à la suite du décès
du moudjahid Hocine Ait Ahmed, l'un des dirigeants de
la Révolution du 1er novembre 1954", indique
un communiqué de la Présidence de la République.
APS
Re : Abdelaziz Bouteflika
le deuil national il fallait le décréter lors de la mascarade présidentiel de 1999 quand feu ait ahmed et les autres candidats tenez vous bien (talab ibrahimi,djaballah,mokdad sifi,youcef khatib,mouloud hamrouche) l'on boycotter sauf notre sir.....mais ça c'est encore de l'histoire me diriez vous
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Des images peu rassurantes
A LA UNE/Actualité_Santé de Bouteflika
le 12.04.16 | 10h00
Des images peu rassurantes
Les images de l’entretien accordé par Bouteflika au Premier ministre français, dimanche dernier,
montrent un Président très amoindri physiquement. L’opinion choquée et indignée s’interroge sur
l’état de santé du premier magistrat du pays, alors que les officiels s’entêtent
à affirmer qu’il est en possession de tous ses vwmoyens.
On savait le président Abdelaziz Bouteflika malade. Survivre à un accident vasculaire cérébral (AVC)
qu’il a eu en avril 2013 — , tous les médecins vous le diront, relève du miracle. D’ailleurs, tout le monde
était surpris de le voir briguer, dans l’état de santé qui était le sien et dans des conditions très contestées,
un quatrième mandat. On le savait, en effet, très malade. Mais les récentes images du Président,
dont celle tweetée hier par le Premier ministre français, Manuel Valls, choquent, irritent, humilient et inquiètent.
Elles montrent un Président très fatigué, amoindri par la maladie. Le regard hagard et perdu, prononçant
difficilement quelques mots, presque impotent devant un hôte visiblement très gêné. La problématique de
la capacité du locataire du palais d’El Mouradia d’assurer les charges de la fonction présidentielle est plus
que jamais d’actualité.Dans un article publié à la veille de la visite du Premier ministre français à Alger,
le Journal du dimanche a indiqué qu’«une source diplomatique informée de la rencontre (la semaine dernière)
à Alger entre Jean-Marc Ayrault et le raïs algérien lui a confié que ce dernier ne parvient plus à faire entendre
le son de sa voix, avec ou sans micro». «Le Président, ajoute le journal français, serait apparu plus affaibli que
lors de ses derniers entretiens avec des émissaires français, avec une apparente difficulté à bouger
les membres supérieurs.»La photo du président Bouteflika on ne peut plus éloquente, mise en ligne par
Manuel Valls, renseigne sur la grande fatigue et l’ampleur des séquelles inévitables que peut entraîner un AVC.
Sur les réseaux sociaux, la dernière image du chef de l’Etat a fait le buzz. Son état de santé alimente des craintes
légitimes chez les Algériens qui se demandent de quoi sera fait demain. En plus du sentiment d’humiliation et
de colère provoqué par le tweet de Valls, la santé du premier magistrat du pays suscite aussi maintes interrogations
sur la manière dont sont gérées les affaires publiques. On a du mal à imaginer qu’un Président aussi malade et
amoindri puisse avoir la capacité de veiller au bon fonctionnement de l’Etat. Survient alors la question qui fâche
et qui fait jaser ceux qui tirent profit d’une telle situation.Qui détient la réalité du pouvoir ? Qui gouverne en Algérie ?
Qui décide ? Le Président était-il au moins au courant de toutes les décisions qui ont été prises depuis sa reconduction
lors de l’élection présidentielle d’avril 2014 ? Les partis de l’opposition parlent de «vacance du pouvoir»,
certains de ses amis proches — qui ont créé le Groupe des 19 pour demander audience au président Bouteflika
qui avait, d’ailleurs, l’habitude de les recevoir — se demandent si le chef de l’Etat était au courant
des décisions politiques prises.La démarche de Zohra Drif, Khalida Toumi, Louisa Hanoune et autres personnalités
nationales n’a à ce jour pas abouti. Pis, pour avoir osé lui demander audience pour l’informer de «choses graves»
dans la gestion du pays faites en son nom, elles ont eu droit à un chapelet de critiques et même d’insultes de la part
de ceux qui pensent être en droit de défendre l’institution présidentielle, entre autres le secrétaire général du Front
de libération nationale (FLN), Amar Saadani.La dernière image du Président fait douter le commun des mortels
de ses capacités à gérer des dossiers aussi lourds que la crise financière et économique qui frappe l’Algérie après
l’échec de toutes les politiques mises en œuvre depuis son arrivée au pouvoir en 1999, des scandales de corruption
que le pays ait connus depuis son indépendance en 1962, des menaces pesantes d’un contexte sécuritaire explosif
dû à un voisinage instable à tout point de vue. Les dernières images du président Bouteflika, les Algériens
jetez un coup d’œil sur les réseaux sociaux — en pleurent, s’inquiètent, se sentent humiliés et prient que
«Dieu protège l’Algérie». Nos partenaires étrangers, eux, en rient sous cape et des médias français trouvent
matière à se gausser d’un pays qui a payé chèrement son indépendance au terme d’une fabuleuse Révolution.
Said Rabia
Re : Abdelaziz Bouteflika
c'est dommage pour notre president et pour l’Algérie
cette image n'honore ni l’Algérie ni le president
à quand la faim de la mascarade.!?
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Le Président Bouteflika à Genève pour des contrôles médicaux
LA UNE/ACTUALITÉ_La Présidence de la République
le 24.04.16|14h08
Le Président Bouteflika à Genève pour des contrôles médicaux
Le président de la République Abdelaziz Bouteflika s'est rendu dimanche à
Genève (Suisse) pour "une visite privée" durant laquelle il effectuera des
"controles médicaux périodiques", a annoncé la présidence de la République
dans un communiqué transmis à l'APS. Le président Bouteflika a été admis à
la clinique Genolier, dans la commune du même nom, non loin de Genève,
en Suisse. Selon une source sur place, contactée par nos soins, Bouteflika
a bien séjourné dans cette clinique, mais "il n'est plus chez nous". Ce qui laisse
entendre que le communiqué de la présidence de la République a été fait après
la sortie de Bouteflika de la clinique suisse.Interrogé sur les soins prodigués à
Bouteflika, notre interlocuteur dira : " je ne suis pas autorisé à donner ce type
d'information, mais le président Bouteflika n'est plus chez nous. Il faudrait
éventuellement voir d'autres établissements". Il a évoqué un établissement hospitalier à Lyon.
Elwatan.com
Re : Etat de santé de Bouteflika
Santé de Bouteflika : les graves interrogations de Jean-Louis Debré*
Dans son livre qui vient de paraître sous le titre, «*Ce que je ne pouvais pas dire »,Jean-Louis Debré raconte le contenu de son entretien avec le président Bouteflika le 9 décembre 2015 à Alger.*L’ancien président du Conseil constitutionnel français (2012-2016) se pose plusieurs graves questions notamment*sur la capacité du président Abdelaziz Bouteflika à diriger l’Algérie.« Il est tassé dans son fauteuil, très essoufflé, la voix faible »Il écrit :*« Il m’accueille dans son palais, situé un peu en dehors du centre d’Alger, très fortement et visiblement protégé.Une résidence médicalisée, me dit-on. Il est tassé dans son fauteuil, très essoufflé, la voix faible.*Un petit micro collé contre sa bouche permet de mieux entendre ce qu’il dit. Il a bien des difficultés pour s’exprimer.*À plusieurs reprises, il doit s’interrompre pour boire une gorgée d’eau. Il me faut être particulièrement attentif pour réussir à le comprendre.Il m’indique avoir toujours eu beaucoup d’estime pour mon grand-père et aussi pour mon père.*Évoquant ses nombreux désaccords avec ce dernier, il me précise qu’il respectait ‘l’homme de convictions et de loyauté*: quand il disait oui c’était oui et non c’était non’. Il m’avait déjà raconté cela lors de notre rencontre de 2007 ».« Bouteflika est-il encore en capacité de diriger l’Algérie ? »Jean-Louis Debré s’interroge : « Bouteflika est-il encore en capacité de diriger l’Algérie ?C’est la question que je me pose tout au long de cette soirée. Il est à l’évidence bien informé des affaires internationales.Mais cet homme épuisé après moins d’une heure d’entretien, à l’élocution difficile, n’est-il qu’un paravent derrière lequel*se cachent des hommes ou des clans soucieux de garder le pouvoir le plus longtemps possible ? »En conclusion, l’ancien président du Conseil constitutionnel français, écrit :*« En le maintenant à la tête du pays, ne cherchent-ils pas à différer une guerre de succession qui achèverait de fragiliser*une Algérie déjà promise, avec l’effondrement des prix du pétrole, à de grandes difficultés économiques et sociales.Un pays où la montée de l’islamisme radical est manifeste ».
Sujet Fusionné.
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Mesures de grâce du président Bouteflika
Mesures de grâce du président Bouteflika
Pièce jointe 24920
À L'OCCASION DE LA FÊTE DE L'INDÉPENDANCE
le 05-07-2016 10:00
Bonsoir , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a promulgué
deux décrets présidentiels portant mesures de grâce et de remises
de peine à l'occasion de la célébration du 54e anniversaire de la fête
de l'Indépendance de l'Algérie, a indiqué hier un communiqué de la
présidence de la République. “Conformément aux prérogatives qui lui
sont conférées par la Constitution, notamment son article 91-7, Son
Excellence Monsieur le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
a promulgué deux décrets présidentiels portant mesures de grâce et de
remises de peine”, a précisé la même source. Ces mesures concernant
“les personnes détenues et non détenues condamnées définitivement et
les personnes détenues condamnées définitivement qui, à l'issue d'une
formation durant leur détention, ont subi avec succès des examens scolaires,
universitaires ou de formation professionnelle au titre de l'année 2015-2016”,
a ajouté la même source. Toutefois, ne sont pas concernées par ces mesures
de grâce et de remises de peines “les personnes condamnées définitivement
pour actes terroristes subversifs, assassinat, homicide volontaire, enlèvement,
viol, attentats à la pudeur commis sur mineurs avec ou sans violence,
détournement de deniers publics ou privés, corruption, contrebande, contrefaçon
de monnaie,et trafic de stupéfiants”, a expliqué le communiqué de la présidence
de la République. “Ne sont pas concernées aussi par ces mesures de grâce
les personnes récidivistes condamnées pour vols, et vols qualifiés, ou pour coups
et blessures avec port d'arme”, a encore ajouté la même source.
عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
يا من احبهم في الله .. ويا من احن واشتاق اليهم كل يوم .. لا املك سوى الدعاء لكم بالصحة والعافية وللجزائر والامة الإسلامية بالخير والمن والبركات .. يارب الف رحمة على أرواح موتانا، والشفاء للمرضى واللطف بذوي الحاجة.. يارب
Aid moubarak 2016.jpg
Mouvement dans le corps de la magistrature
Mouvement dans le corps de la magistrature
Nominations et permutations
le 20.07.16|10h00
Pièce jointe 24920
La présidence de la République a annoncé, hier,
un important mouvement dans le corps de la magistrature.
«Conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution et de l’article 49
de la loi organique n°04-11 du 6 septembre 2004 portant statut de la magistrature,
Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République,
président du Conseil supérieur de la magistrature, a procédé ce jour à un
mouvement dans le corps de la magistrature», précise un communiqué de la
Présidence. Ce mouvement, lit-on dans ce document, a concerné 11 présidents
de cour, 6 procureurs généraux, 5 présidents de tribunal administratif et
9 commissaires d’Etat. Ce mouvement a été plus important à Alger où le président
de la cour, Abdi Benyounès, cède sa place à Benharadj Mokhtar qui était jusque-là président de la cour de Ouargla. Le procureur général près la cour d’Alger, Brahmi Lachemi, qui avait été nommé récemment à ce poste en remplacement de Belkacem Zeghmati, laisse sa place à Benikhetir Benaïssa qui occupait le poste de conseiller
à la Cour suprême. Pour sa part, le procureur adjoint près la cour d’Alger,
Nacef El Hocine, bénéficie d’une promotion ;il est nommé en qualité de procureur
général près la cour de Aïn Defla. Que signifie ce mouvement ? Des juristes que nous avons contactés le qualifient d’«ordinaire», en tout cas a priori.
Communiqué de la présidence de la république
Conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution et de l’article 49
de la loi organique n°04-11 du 21 Rajab 1425, correspondant au 6 septembre 2004,
portant statut de la magistrature, Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika,
président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature,
a procédé ce jour à un mouvement dans le corps de la magistrature portant
1. Nominations au niveau des cours
- Smati Saïd, président de chambre à la cour de Bordj Bou Arréridj, en qualité
de président de la cour de Batna ;
- Zilabdi Houria, conseiller au tribunal administratif d’Alger, en qualité de présidente
de la cour de Béjaïa ;
- Benahmed Lakhdar, président de la cour de Saïda, en qualité de président de
la cour de Tlemcen ;
- Benharadj Mokhtar, président de la cour de Ouargla, en qualité de président de
la cour d’Alger ;
- Boualem Mohamed Bouchaala, président de chambre et vice-président de la cour
de Béchar, en qualité de président de la cour de Saïda ;
- Bendellaa Ahmed, président de la cour de Aïn Defla, en qualité de président de la
cour de Sidi Bel Abbès ;
- Saadoune Abdelkader, avocat général près la Cour suprême, en qualité de président
de la cour de Annaba ;
- Bouchrite Mokhtar, président de la cour de Béjaïa, en qualité de président de la cour
de Guelma ;
- Anteur Menouar, président de chambre et vice-président de la cour de Blida,
en qualité de président de la cour de Ouargla ;
- Maameria Lazhari, conseiller à la cour de Médéa, en qualité de président de la
cour d’Illizi ;
- Bouhalloufa Farid, président de la cour de Sidi Bel Abbès, en qualité de président
de la cour de Aïn Defla ;
- Aït Challal Mourad, procureur général adjoint près la cour de Blida, en qualité
de procureur général près la cour de Blida ;
- Tagraret Nceur, procureur général adjoint près la cour d’El Oued, en qualité de
procureur général près la cour de Tamanrasset ;
- Beniketir Benaïssa, conseiller à la Cour suprême, en qualité de procureur général
près la cour d’Alger ;
- Rahim Ahmed, conseiller d’Etat au Conseil d’Etat, en qualité de procureur général
près la cour de Annaba ;
- Nacef El Hocine, procureur général adjoint près la cour d’Alger, en qualité de
procureur général près la cour de Aïn Defla ;
- Nabout Mohamed, président de chambre à la cour d’Oran, en qualité de procureur général près la cour de Relizane.
2. Nominations au niveau des tribunaux administratifs
- Belbraouate Mohamed, conseiller au tribunal administratif de Saïda, en qualité de président du tribunal administratif de Béchar ;
- Makadem Aïssa, président de chambre au tribunal administratif de Guelma, en
qualité de président du tribunal administratif de Tamanrasset ;
- Aouak Saliha, conseiller au tribunal administratif d’Alger, en qualité de présidente du tribunal administratif de Tizi Ouzou ;
- Lebcir Fatna, présidente de chambre au tribunal administratif de Constantine,
en qualité de présidente du tribunal administratif de Sétif ;
- Sandali Mohamed Lhabib, conseiller au tribunal administratif d’El Oued, en qualité de président du tribunal administratif d’Illizi ;
- Herouadji Bachir, conseiller au tribunal administratif de Médéa, en qualité de
commissaire d’Etat près de tribunal administratif de Laghouat ;
- Libair Abdelkader, procureur de la République près le tribunal de Laghouat, en
qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif d’Oum El Bouaghi ;
- Bezaoucha Abdelhalim, président de chambre et vice-président de la cour de
Tizi Ouzou, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Bouira ;
- Sayoud Saadi, commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Ouargla, en
qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Sétif ;
- Boutemeur Boukhalfa, commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Sétif,
en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Annaba ;
- Ghani Afif, conseiller au tribunal administratif de Relizane, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Ouargla ;
- Facih Ammar, conseiller au tribunal administratif de Jijel, en qualité de commissaire
d’Etat près le tribunal administratif d’Illizi ;
- Ouadhi Djilali, conseiller au tribunal administratif de Mostaganem, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Bordj Bou Arréridj ;
- Amrani Kamel, procureur de la République près le tribunal de Biskra, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif d’El Oued.
Source APS
M. M.
Le président Bouteflika félicite le souverain marocain à l'occasion du 17ème ....
Le président Bouteflika félicite le souverain marocain à l'occasion du
17ème anniversaire de son accession au trône
30/07/2016 - 14:51
Pièce jointe 24920
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
a adressé un message de vœux au souverain marocai le
Roi Mohamed VI à l'occasion du 17ème anniversaire de
son accession au trône, dans lequel il lui a réaffirmé
sa volonté d'œuvrer, avec lui, à la promotion
des relations bilatérales pour la réalisation des
aspirations des peuples des deux pays à vivre dans
un cadre de solidarité et de fraternité.
«Il m'est agréable au moment où le peuple marocain
célèbre le 17ème anniversaire de votre accession au
trône, de vous adresser au nom du gouvernement et
du peuple algériens et en mon nom personnel,
nos chaleureuses félicitations et nos vœux les
meilleurs, priant Dieu Le Tout Puissant de vous accorder
santé et bien-être afin de réaliser les aspirations de
votre peuple frère à davantage de prospérité et
de progrès», a écrit le président Bouteflika dans son message.
«Je tiens en cette heureuse occasion à vous réaffirmer
notre ferme volonté d'œuvrer avec vous à la concrétisation
de nos objectifs communs dans le cadre bilatéral et
maghrébin, et à la promotion de nos relations à la
hauteur des aspirations des peuples de la région à
la paix, la stabilité et le développement», a souligné
le président Bouteflika. «Je tiens par ailleurs à
vous réitérer notre détermination à renforcer les
liens d'amitié existant entre nos deux peuples»,
a ajouté le chef de l'Etat. «En cette heureuse occasion,
je prie Dieu Le Tout Puissant de guider nos pas
vers la concrétisation des espoirs de nos deux peuples
frères et l'édification du socle de l'union de notre
grand Maghreb arabe», a conclu le président de la République.
APS