Re : Le Baccalauréat Algérien
Bac 2016 : fin de la période des recours ce mardi, début des inscriptions jeudi prochain
http://www.radioalgerie.dz/news/site...?itok=fvg2eJPL
Fin, ce mardi, de la période des recours pour les bacheliers, alors que plus de 55% d’entre eux ont été orientés vers des filières universitaires de leurs premiers choix.
Selon Djamel Edine Boukhezata, directeur de la formation supérieur au ministère de l’Enseignement supérieur et la recherche scientifique, contacté par le chaine 3, seuls 9 273 recours ont été introduits, dont 6 187 se sont manifesté et 2 130 ont accepté le choix que le traitement informatique. Le même responsable s’est félicité du bon déroulement des étapes jusque-là franchies.« Pour le reste, il existe une commission au niveau de l’Ecole supérieur d’informatique (ESI) qui se réunit dès demain trouver une issue et assurer une place pédagogique », a-t-il déclaré. Les inscriptions définitives débuteront jeudi prochain et se poursuivront jusqu’au 9 août.
Re : Le Baccalauréat Algérien
Baccalauréat : les inscriptions universitaires des lauréats se dérouleront du 4 au 9 août
Les inscriptions auprès des universités, des lauréats ayant passé avec succès les épreuves du baccalauréat débutent, ce jeudi, et se poursuivront jusqu’au 9 août courant.Le directeur de la formation au ministère de l’enseignement supérieur, M. Djamal Boukhezata, invite, à cet effet, les nouveaux bacheliers à se déplacer auprès des établissements universitaires qui leur ont été indiqué à la suite de leur choix, pour y effectuer leur inscription.Celui-ci, précise que ces derniers devront présenter « un dossier très léger », constitué de leur attestation de succès à l’examen du bac, de deux photos d’identité et d’une somme, dont il n'a pas spécifié le montant, destinée à s’acquitter de leur droit d’inscription.M. Boukhezata indique, en outre, que ceux-ci pourront entamer, sur place, les procédures relatives à leur inscription aux œuvres universitaires.
Re : Le Baccalauréat Algérien
Ce que prévoit le projet de réforme du BAC
La ministre de l’éducation nationale, Nouria Benghebrit, a annoncé au mois de juillet dernier, qu’il y aura des modifications dans l’examen du Bac. Elle présentera le 24 août prochain au premier ministre, le projet de réforme qui sera validé en conseil des ministres.Comme le rapporte le site d’informationTSA, parmi les réformes proposés, on retrouve la modification de la durée e l’examen « Les concepteurs du projet de réforme du baccalauréat ont notamment planché sur la durée de l’examen et ont proposé de la réduire de cinq à trois jours à partir de 2017. « On pourrait aller aussi vers un examen d’une durée de deux jours seulement », assure notre interlocuteur. »
Pourquoi raccourcir le temps de l’examen ? l’interlocuteur de TSA explique « « On a beaucoup travaillé sur l’identité des différentes filières. Nous avons démarré d’un constat simple : un candidat peut très bien décrocher un baccalauréat de sciences mathématiques grâce à des matières hors spécialité », explique-t-il. Pour éviter de telles situations, les concepteurs du projet proposent que les épreuves du baccalauréat se concentrent donc autour de ces matières de spécialité de la filière qui peuvent être facilement déterminées. L’arabe et la philosophie sont des matières transversales qui concernent toutes les filières. Ces deux matières seront obligatoires pour tous les candidats quelles que soient leurs filières. »
Par ailleurs, l’article explique que le contrôle continue comptera dans la note finale « Les matières qui ne figureront plus dans l’examen seront toutefois prises en compte grâce au contrôle continu. « En fait, nous allons prendre en compte le contrôle continu qui s’effectue tout au long de l’année (pour les autres matières). Nous voulons revaloriser l’évaluation pédagogique de l’enseignant et lui redonner du sens ».
D’autre part, les questions du baccalauréat feront appel à l’analyse et non plus au sens de la mémorisation des candidats « le contenu des épreuves qui devrait progressivement porter sur des questions qui exigent beaucoup plus l’analyse que la mémorisation. « Cela nous permet notamment de diminuer le bachotage et les cours privés. C’est aussi un moyen de contrer les tentatives de fraude ». »
Enfin, le projet ne réintroduira pas le rattrapage « Le document ne propose pas de réintroduire le système de rattrapage. La moyenne de 10/20 pour l’obtention du baccalauréat sera maintenue. »
La réorganisation technique de l’examen est actuellement étudiée au niveau du ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication « Le projet de réforme du baccalauréat n’aborde pas la réorganisation technique de l’examen. La question est actuellement étudiée par une commission mixte (ministère de l’Éducation/ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication). »
Le baccalauréat en Algérie, un parcours heurté et inachevé
Le baccalauréat en Algérie, un parcours heurté et inachevé
le 15.09.16 | 10h00
«Il n’y a que les sociétés vieillies, impuissantes à s’arrêter au
bord de la décadence vers laquelle elles glissent, qui aient l’idée de
tourner en dérision ces choses saintes le travail, l’étude, la science»
(Charles Jeanmaire(2), recteur de l’Académie d’Alger). discours prononcé
le jeudi 3 novembre 1887, lors de la rentrée solennelle des 4 écoles supérieures.
Le baccalauréat en Algérie 1850-1962
Dès les années 1850, il était possible de passer ses baccalauréats
en Algérie. En 1854-1855, le lycée d’Alger (plus tard lycée Bugeaud
et à l’indépendance, lycée Emir Abd El Kader(3)préparait aux examens
du baccalauréat es-lettres et ès-sciences. En l’absence de facultés,
les candidats passaient les épreuves devant des «jurys ambulatoires»
composés de professeurs de la faculté d’Aix qui se déplaçaient à Alger.
Le premier jury «ambulatoire» s’est rendu à Alger en 1856. Ce n’est
qu’à partir de 1879, avec la création des écoles préparatoires de
sciences et de lettres, que les examens pour les baccalauréats
ès-lettres et ès-sciences sont subis en Algérie.
1 pièce(s) jointe(s)
Affaire des fuites du baccalauréat 2016-Le procès reporté au 10 novembre
Le procès reporté au 10 novembre
Affaire des fuites du baccalauréat 2016
PUBLIE LE 29-10-2016
Le tribunal correctionnel de Sidi M'hamed a décidé, jeudi, de reporter
au 10 novembre l'examen de l'affaire des cadres de l'Office national
des examens et des concours (Onec), poursuivis dans le cadre du scandale
des fuites des sujets du baccalauréat session juin 2016.
«Cet ajournement a été décidé suite à l'absence de certaines personnes
à la dernière audience, qui a eu lieu le 27 octobre, à savoir le représentant
du ministère de l’Education nationale», avait justifié la présidente de cette
instance. C'est en audience spéciale que va se dérouler le prochain procès.
Une demande de liberté provisoire avait été sollicitée par le défenseur,
requête rejetée par le juge. Les avocats assurant la défense des accusés
prévoyaient un procès en leur faveur en raison, ont-ils avancé, de l'absence
de preuves matérielles confirmant que les fuites du baccalauréat provenaient
de l'office.«Il n'y a aucune preuve matérielle qui établit l'implication des cadres
de l'Onec, ceci d’autant plus que ces cadres n'ont pas de mobile pour commettre
un tel forfait», avait déclaré, en septembre, l'avocat de Nadjib Yaïche, inspecteur
de l'éducation nationale, présumé impliqué dans cet affaire. Selon lui, «les
enquêteurs n'ont fait que des constatations mais, ils ne les ont pas accusés
directement». Pour sa part, Me Mostefa Bouchachi avait soutenu, lors d'un point
de presse animé en septembre, que «Nadjib Yaïche et ses trois autres collègues
n'étaient que des ‘’boucs émissaires’’ pour calmer l'opinion publique et lui
redonner confiance». Cela, tout en remettant en cause la manière avec laquelle se
sont «précipitées» les poursuites a-t-il déploré. Actuellement en détention
provisoire, les quatre mis en cause sont accusés d'abus de fonction et de
divulgation de secrets et délit de coalition. Pour sa part, la famille de l'Education
avait indiqué que cette affaire et les préjudices qui en ont découlés, visaient à
ternir l'image de l'école. Il y a lieu de rappeler que quatre personnes exerçant au
centre d'impression de l'Onec de Kouba ont été soupçonnées d'être impliquées
dans les fuites des sujets du bac. Ces personnes ont été arrêtées, suite à une
enquête menée par les services de la gendarmerie. D'après les résultats des investigations menées, des membres la commission de lecture et de correction
ont commis des infractions par rapport aux dispositions prévues pour sécuriser
les sujets, dont l'interdiction d'avoir des appareils électroniques durant leur
présence dans le centre. Il y a lieu de souligner que la session du baccalauréat
2016, a été ébranlée par ce que la presse a qualifié de «scandale». Plusieurs sujets
du baccalauréat ont massivement fuité sur Facebook, entraînant l’annulation
partielle des examens pour 38 % des 818.000 lycéens. Cette fuite, qui avaut eu lieu
dans la semaine du 30 mai, a été qualifiée d’«atteinte à la sécurité nationale» par le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal. A la demande des syndicats
d’enseignants algériens, la ministre de l’Education, Nouria Benghebrit avant
annoncé, lundi 6 juin, l’organisation d’une nouvelle session pour les épreuves
touchées par la fraude pour quelque 311.000 candidats des filières scientifiques, mathématiques et gestion/économie. Sarah A.Benali Cherif
Re : Le Baccalauréat Algérien
Fuites du bac : de lourdes peines requises contre les accusés
Le procureur la république près le tribunal Sidi M’hamed d’Alger a requis, jeudi, de lourdes peines contre les mis en cause dans les scandales des fuites du bac de juin 2016, a appris Algérie1 de source judiciaire. "Considérant que ces fuites ont discrédité l’examen et porté atteinte à l’image de l’éducation nationale", le procureur a eu la main très lourde. Ainsi, le principal accusé A. Abdelmalek est condamné à 7 ans de prison ferme et 500.000 dinars d’amende. Les trois autres accusés, à savoir K.Lakhdar, inspecteur de physique à Bejaia, M Mohamed Amine, directeur au niveau de l’ONEC, Y. Nadjib, inspecteur de physique à Constantine sont condamnés chacun à quatre ans de prison ferme et 200.000 dinars d’amende. Le jugement est mis en délibéré et le verdict est attendu pour le 21 novembre.Pour rappel, le ministère de l’éducation s’est constitué partie civile dans cette affaire de fuites, qui ont contraint les autorités à organiser quasiment une session bis pour les filières concernées par les fuites des sujets.
By Algerie1