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    Post Baisse du dinar face au dollar

    Baisse du dinar face au dollar

    Marché des changes
    le 21.07.16|10h00

    La valeur du dinar a encore chuté sur le marché officiel des changes, selon
    des données publiées hier par la Banque d’Algérie. Sur le marché interbancaire,
    la monnaie américaine a gagné en valeur contre le dinar, s’échangeant désormais
    contre 110,91 DA à l’achat et 110,93 DA à la vente.Ainsi, la monnaie nationale
    enregistre un nouveau plus bas de sa valeur contre le billet vert. Sur le marché interbancaire, un euro valait hier 121,85 DA à l’achat et 121,90 DA à la vente.
    Comparées aux cotations de dimanche dernier, les valeurs publiées hier par la
    Banque centrale confirment une nouvelle dépréciation du dinar contre le dollar essentiellement.
    En effet, la valeur du dollar était fixée dimanche 17 juillet à
    108,66 DA à l’achat et à 115,29 DA à la vente ; la valeur de l’euro était quant à
    elle de 121,10 DA à l’achat et à 128,51 DA à la vente.
    Durant la semaine allant du10 au 16 juillet en cours, la valeur du dollar était fixée
    à 108,93 DA à l’achat et à 115,58 DA à la vente.

    R. E.
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    Post Une des conséquences majeures de la crise

    Une des conséquences majeures de la crise
    Quand les prix riment avec augmentation

    Dévaluation du dinar
    Des conséquences inéluctables

    le 24.08.16 | 10h00

    Nous sommes en train de vivre une réelle flambée des prix, la baisse de la valeur du dinar
    ayant une influence directe sur les coûts des produits.»

    Réaffirmée aujourd’hui par tous les commerçants, cette réalité a fini par
    devenir banale, justifiant même l’exagération dans les prix pratiqués.
    Il est vrai que le dinar a connu une dévaluation, mais par rapport à la
    baisse des prix sur les marchés internationaux, le marché national devrait
    connaître une certaine stabilité, voire une baisse des prix de certains
    produits, rétorquent les consommateurs.
    Les différentes statistiques établies
    par l’Office national des statistiques (ONS) montrent, depuis déjà une année,
    que la baisse de la valeur de la monnaie nationale a provoqué une hausse
    de 20 à 30%, voire plus, des prix de l’ensemble des produits de consommation
    en 2015 et au premier semestre 2016.
    Les économistes affirment que cette
    dévaluation est due essentiellement à la chute du prix des hydrocarbures, qui
    a entraîné, en 2 ans, la perte de plus de la moitié de nos revenus en devises.
    Dans la pratique, la politique de taux de change de la Banque d’Algérie permet
    d’ajuster la valeur du dinar en fonction des indicateurs économiques et leur
    impact sur les fondamentaux.
    Ainsi, la valeur de la monnaie nationale n’a cessé
    de se déprécier face à l’euro et au dollar particulièrement, depuis juin 2014,
    l’année durant laquelle les cours du brut ont commencé à s’enfoncer dans le
    rouge, atteignant des plus bas depuis 12 ans. Selon un raisonnement déductif,
    la valeur du dinar souffre elle aussi de la chute des prix du pétrole, les deux
    phénomènes étant fortement corrélés.
    La Banque centrale ne pouvait donc
    maintenir la valeur du dinar au-dessus du prix d’équilibre de son modèle de
    calcul, d’autant que les fondamentaux de l’économie du pays avaient nettement
    baissé depuis juin 2014. Elle devait ainsi intervenir, en réaction à la chute des
    recettes en dinar de la fiscalité pétrolière et à l’envolée de la valeur des
    importations. En variation annuelle, le dinar s’est fortement déprécié contre les
    principales devises, selon le tableau des cotations de la Banque d’Algérie.

    En juin dernier, la monnaie nationale a touché son plus bas niveau historique à
    110 DA pour un dollar. Face à l’euro, elle est restée également à des niveaux
    proches de ses plus bas niveaux historiques, à 122 DA au taux de change officiel.
    Le FMI avait prôné pour l’Algérie «une plus grande flexibilité du taux de change»
    qui «faciliterait l’ajustement au choc sur les cours du pétrole». Pour le FMI, le dinar
    «reste encore nettement surévalué».
    Maintes fois interpellée par les experts, mais
    surtout par les opérateurs économiques nationaux, la Banque d’Algérie justifie ses interventions sur le marché de change par le souci de «prévenir toute appréciation
    du taux effectif réel, jugé dommageable pour la stabilité macroéconomique à moyen terme». Mais face à une telle fluctuation, les entrepreneurs et les ménages affichent
    des inquiétudes, voire des pertes sur leurs pouvoirs d’achat respectifs.

    Lyes M.
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    Post Cours du Dinar-16-10-2016

    Cours du Dinar

    16-10-2016
    Cours du dinar
    Achat Vente

    US dollar 1 USD 110,5535 110,5685
    Euro 1 EUR 121,6862 121,7470

    Cours des matières premières
    Brent 52 dollars/baril
    Or 1 251 dollars
    Blé 163 euros/tonne
    Maïs 159 euros/tonne
    Cacao 2 251 livres sterling/tonne
    Robusta 2 044 dollars/tonne

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    Post La création de bureaux de change n'est pas une priorité pour la Banque d'Algérie

    La création de bureaux de change n'est pas
    une priorité pour la Banque d'Algérie


    le 26.10.16 | 17h30

    Le gouverneur de la Banque d'Algérie (BA),Sujet ici
    Mohamed Loukal, a indiqué mardi à Alger que la
    création de bureaux de change ne constituait pas
    une priorité actuellement.


    "L'ouverture de bureaux de changes n'est pas une priorité à l'heure
    actuelle. Il n'est pas question de faire une convertibilité précoce du
    dinar", a affirmé M. Loukal dans sa réponse à une question d'un
    membre de la commission des finances et du budget de l'Assemblée
    populaire nationale (APN) dans le cadre de l'examen du projet de
    loi de finances 2017.
    Pour le gouverneur de la BA, les bureaux de
    change ne sont pas d'une grande efficacité quand la monnaie locale
    n'est pas convertible et quand le flux touristique étranger est faible
    tel le cas de l'Algérie. M. Loukal a rappelé, tout de même, qu'un
    nouveau règlement portant élargissement du change manuel, de
    manière à expliciter les conditions d'éligibilité des personnes
    physiques ou morales pouvant ouvrir des bureaux de change en
    Algérie, a été finalisé en mars dernier par le Conseil de la Monnaie
    et du Crédit.
    "Ce règlement est prêt, mais (personnellement) je pense
    qu'il n'aura aucune performance car nous n'avons pas un mouvement
    de flux suffisant (de touristes étrangers) pour que ces bureaux de
    change soient rentables", a-t-il estimé.
    Pour rappel, l'instruction d'avril
    1997, régissant l'activité des bureaux de change, définit le change
    manuel comme "toute opération d'achat et/ou de vente de billets de
    banque et/ou de chèques de voyage libellés en monnaies étrangères
    librement convertibles contre de la monnaie nationale".
    Depuis cette
    date, 46 bureaux de change ont été agréés dont 27 ont fait l'objet
    d'annulation pour non ouverture de bureaux et 13 autres ont été
    institués mais annulés à la demande des bénéficiaires, selon les
    précisions de M. Loukal.
    Quant au reste, soit six (6) bureaux de
    change, ils sont opérationnels actuellement mais enregistrent un
    rendement très limité en raison du manque de touristes étrangers
    et des réticences des non résidents à utiliser le canal officiel, a-t-il
    expliqué. Pour lui, les agences bancaires, au nombre de 1.100 à
    travers le territoire national, jouent pleinement le rôle de ces bureaux.

    Interrogé sur une éventuelle augmentation de l'allocation devises
    pour les touristes algériens allant à l'étranger, M. Loukal a fait savoir
    que cette question n'était pas à l'ordre du jour notamment dans ce
    contexte de crise financière marquée par une baisse des réserves de
    change du pays.
    Mais M. Loukal n'a pas écarté une possible révision
    à la hausse de cette allocation en 2017 en cas d'amélioration de la
    situation financière du pays.
    Pour rappel, l'instruction de l'année 1997
    relative au droit de change pour voyage à l'étranger fixe le montant
    annuel du droit de change pour dépenses liées à des voyages à l'étranger
    à la contre-valeur en devises de 15.000 DA.

    APS
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    Post Bureaux de change agréés-Le cafouillage continue

    Bureaux de change agréés
    Le cafouillage continue


    le 06.11.16|10h00

    Annoncée en grande pompe il y a à peine quelques mois, l’organisation
    d’un marché formel de devises à travers l’autorisation de bureaux
    de change officiels demeurera finalement un simple vœu pieux.

    Alors même qu’un nouveau règlement a été édicté en mars dernier en
    vue de faciliter l’installation de bureaux de change agréés, cette ambitieuse
    réforme, qui devait permettre notamment de réduire le poids du commerce
    informel des devises, semble être d’ores et déjà enterrée, avant même d’être
    mise concrètement en place. Interpellé à ce sujet la semaine dernière par un
    membre de la commission finances et budget de l’APN, le gouverneur de la
    Banque d’Algérie (BA), Mohamed Loukal, a ainsi signifié très clairement
    qu’il n’est point question «de faire une convertibilité précoce du dinar»,
    l’ouverture de bureaux de change, a-t-il tranché, n’étant désormais plus une
    priorité. En guise d’argument, le premier responsable de la Banque centrale
    avance que les bureaux de change ne peuvent être d’une grande efficacité
    quand la monnaie locale n’est pas convertible et quand le flux de touristes
    étrangers est faible, comme c’est le cas bien évidemment pour l’Algérie.
    Mohamed Loukal, qui a tout de même réaffirmé que le nouveau règlement
    relatif aux conditions d’ouverture de bureaux de change a été finalisé depuis
    déjà plus de sept mois, insiste en définitive sur le fait qu’en l’état actuel des
    choses, de telles structures officielles ne peuvent être ni performantes ni
    rentables. Pourtant, à peine quelques mois plus tôt, le gouvernement
    développait un tout autre discours où il était question de tout mettre en œuvre
    pour permettre l’émergence rapide d’un circuit officiel de change, qui
    permettrait à la fois de drainer quelques devises vers les caisses de l’Etat et
    d’ouvrir la voie par la même à une possible résorption du marché parallèle. En
    mars dernier, faut-il en effet rappeler, l’ex-ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, affirmait haut et fort que la Banque centrale allait désormais tout
    mettre en œuvre pour que des bureaux de change officiels puissent à la fois
    exister et bien fonctionner. Faisant allusion aux échecs des expériences tentées
    depuis vingt ans dans ce domaine, l’ancien ministre avait même assuré que tous
    les enseignements avaient été tirés du fait que la mise en place de bureaux de
    change officiels n’a jamais fonctionné par le passé. Et voilà qu’à peine sept mois
    plus tard, tout est de nouveau remis en cause, tandis que le marché informel des
    devises continue à prospérer au vu et au su des pouvoirs publics. Inapte à mener
    une quelconque réforme structurelle à bon port, surtout pas celle de sa sacro-
    sainte politique de change, le gouvernement continue donc à cafouiller sur autant
    de questions stratégiques qui engagent pourtant le devenir même de l’économie nationale, au moment où la rente pétrolière tend dangereusement à s’épuiser.

    Akli Rezouali

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