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    Post Cours du Dinar-16-10-2016

    Cours du Dinar

    16-10-2016
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    Post La création de bureaux de change n'est pas une priorité pour la Banque d'Algérie

    La création de bureaux de change n'est pas
    une priorité pour la Banque d'Algérie


    le 26.10.16 | 17h30

    Le gouverneur de la Banque d'Algérie (BA),Sujet ici
    Mohamed Loukal, a indiqué mardi à Alger que la
    création de bureaux de change ne constituait pas
    une priorité actuellement.


    "L'ouverture de bureaux de changes n'est pas une priorité à l'heure
    actuelle. Il n'est pas question de faire une convertibilité précoce du
    dinar", a affirmé M. Loukal dans sa réponse à une question d'un
    membre de la commission des finances et du budget de l'Assemblée
    populaire nationale (APN) dans le cadre de l'examen du projet de
    loi de finances 2017.
    Pour le gouverneur de la BA, les bureaux de
    change ne sont pas d'une grande efficacité quand la monnaie locale
    n'est pas convertible et quand le flux touristique étranger est faible
    tel le cas de l'Algérie. M. Loukal a rappelé, tout de même, qu'un
    nouveau règlement portant élargissement du change manuel, de
    manière à expliciter les conditions d'éligibilité des personnes
    physiques ou morales pouvant ouvrir des bureaux de change en
    Algérie, a été finalisé en mars dernier par le Conseil de la Monnaie
    et du Crédit.
    "Ce règlement est prêt, mais (personnellement) je pense
    qu'il n'aura aucune performance car nous n'avons pas un mouvement
    de flux suffisant (de touristes étrangers) pour que ces bureaux de
    change soient rentables", a-t-il estimé.
    Pour rappel, l'instruction d'avril
    1997, régissant l'activité des bureaux de change, définit le change
    manuel comme "toute opération d'achat et/ou de vente de billets de
    banque et/ou de chèques de voyage libellés en monnaies étrangères
    librement convertibles contre de la monnaie nationale".
    Depuis cette
    date, 46 bureaux de change ont été agréés dont 27 ont fait l'objet
    d'annulation pour non ouverture de bureaux et 13 autres ont été
    institués mais annulés à la demande des bénéficiaires, selon les
    précisions de M. Loukal.
    Quant au reste, soit six (6) bureaux de
    change, ils sont opérationnels actuellement mais enregistrent un
    rendement très limité en raison du manque de touristes étrangers
    et des réticences des non résidents à utiliser le canal officiel, a-t-il
    expliqué. Pour lui, les agences bancaires, au nombre de 1.100 à
    travers le territoire national, jouent pleinement le rôle de ces bureaux.

    Interrogé sur une éventuelle augmentation de l'allocation devises
    pour les touristes algériens allant à l'étranger, M. Loukal a fait savoir
    que cette question n'était pas à l'ordre du jour notamment dans ce
    contexte de crise financière marquée par une baisse des réserves de
    change du pays.
    Mais M. Loukal n'a pas écarté une possible révision
    à la hausse de cette allocation en 2017 en cas d'amélioration de la
    situation financière du pays.
    Pour rappel, l'instruction de l'année 1997
    relative au droit de change pour voyage à l'étranger fixe le montant
    annuel du droit de change pour dépenses liées à des voyages à l'étranger
    à la contre-valeur en devises de 15.000 DA.

    APS
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    Post Bureaux de change agréés-Le cafouillage continue

    Bureaux de change agréés
    Le cafouillage continue


    le 06.11.16|10h00

    Annoncée en grande pompe il y a à peine quelques mois, l’organisation
    d’un marché formel de devises à travers l’autorisation de bureaux
    de change officiels demeurera finalement un simple vœu pieux.

    Alors même qu’un nouveau règlement a été édicté en mars dernier en
    vue de faciliter l’installation de bureaux de change agréés, cette ambitieuse
    réforme, qui devait permettre notamment de réduire le poids du commerce
    informel des devises, semble être d’ores et déjà enterrée, avant même d’être
    mise concrètement en place. Interpellé à ce sujet la semaine dernière par un
    membre de la commission finances et budget de l’APN, le gouverneur de la
    Banque d’Algérie (BA), Mohamed Loukal, a ainsi signifié très clairement
    qu’il n’est point question «de faire une convertibilité précoce du dinar»,
    l’ouverture de bureaux de change, a-t-il tranché, n’étant désormais plus une
    priorité. En guise d’argument, le premier responsable de la Banque centrale
    avance que les bureaux de change ne peuvent être d’une grande efficacité
    quand la monnaie locale n’est pas convertible et quand le flux de touristes
    étrangers est faible, comme c’est le cas bien évidemment pour l’Algérie.
    Mohamed Loukal, qui a tout de même réaffirmé que le nouveau règlement
    relatif aux conditions d’ouverture de bureaux de change a été finalisé depuis
    déjà plus de sept mois, insiste en définitive sur le fait qu’en l’état actuel des
    choses, de telles structures officielles ne peuvent être ni performantes ni
    rentables. Pourtant, à peine quelques mois plus tôt, le gouvernement
    développait un tout autre discours où il était question de tout mettre en œuvre
    pour permettre l’émergence rapide d’un circuit officiel de change, qui
    permettrait à la fois de drainer quelques devises vers les caisses de l’Etat et
    d’ouvrir la voie par la même à une possible résorption du marché parallèle. En
    mars dernier, faut-il en effet rappeler, l’ex-ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, affirmait haut et fort que la Banque centrale allait désormais tout
    mettre en œuvre pour que des bureaux de change officiels puissent à la fois
    exister et bien fonctionner. Faisant allusion aux échecs des expériences tentées
    depuis vingt ans dans ce domaine, l’ancien ministre avait même assuré que tous
    les enseignements avaient été tirés du fait que la mise en place de bureaux de
    change officiels n’a jamais fonctionné par le passé. Et voilà qu’à peine sept mois
    plus tard, tout est de nouveau remis en cause, tandis que le marché informel des
    devises continue à prospérer au vu et au su des pouvoirs publics. Inapte à mener
    une quelconque réforme structurelle à bon port, surtout pas celle de sa sacro-
    sainte politique de change, le gouvernement continue donc à cafouiller sur autant
    de questions stratégiques qui engagent pourtant le devenir même de l’économie nationale, au moment où la rente pétrolière tend dangereusement à s’épuiser.

    Akli Rezouali

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