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    Post Conseil des Ministres ( Algérie )

    Banque d’Algérie
    Laksaci limogé

    mardi 31 mai 2016 à 19:34

    Mohamed Laksaci, gouverneur de la Banque d’Algérie, a été limogé mardi 31 mai
    après un Conseil des ministres présidé par le président Abdelaziz Bouteflika.

    Le Conseil des ministres a également nommé Mohamed Loukal au même poste.
    Ce dernier a jusqu’ici été le PDG de la Banque Extérieure d’Algérie (BEA).

    Critiqué par des hommes du pouvoir, Mohamed Laksaci se voit ainsi limogé après
    15 ans à la tête de la Banque d’Algérie.

    Il serait « responsable de la dévaluation de la monnaie algérienne, il est en partie
    responsable de la situation économique dans le pays » selon le secrétaire général
    du FLN Ammar Saidani qui a lancé une vive diatribe contre Laksaci en mars dernier.
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    Post La nouvelle loi sanitaire devant le Conseil des ministres

    La nouvelle loi sanitaire devant le Conseil des ministres



    ELLE SERA DISCUTÉE EN CE MOIS DE JUILLET

    03 Juillet 2016

    Le projet sur la nouvelle loi sanitaire sera discuté en Conseil des
    ministres ce mois de juillet. C’est ce qu’a annoncé, jeudi, le ministre
    de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. La mise
    en application de la nouvelle loi a été annoncée pour cette année,
    mais le projet n’est toujours pas passé en Conseil des ministres pour
    sa présentation devant les deux Chambres du Parlement.

    Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - En septembre dernier, le ministre
    de la Santé a annoncé déjà que 70% des textes d’application de la
    nouvelle loi sanitaire sont prêts.
    Le ministre a souligné avoir anticipé la
    préparation des textes d’application pour accélérer la mise en application
    de la nouvelle loi sanitaire dès son passage devant les deux Chambres
    du Parlement. Cependant, le projet de la nouvelle loi a été discuté en
    Conseil du gouvernement à deux reprises depuis le mois d’août dernier.

    Abdelmalek Boudiaf pensait présenter son projet devant le Parlement en
    septembre 2015 pour sa promulgation en décembre 2015. Un semestre
    après, le projet est toujours bloqué. Le ministre de la Santé a annoncé
    une énième date pour la présentation de ce projet devant le Conseil des
    ministres. Le projet de la nouvelle loi sanitaire qui devra remplacer
    l’actuelle loi sanitaire qui date de 1985 sera-t-il donc discuté durant ce
    mois de juillet ?
    Sur un autre, volet, le ministère de la Santé a annoncé
    aussi la signature d’un accord cadre de partenariat avec son homologue
    des Affaires religieuses et des Wakfs dans le cadre de la sécurité sanitaire.

    Ce partenariat touche à plusieurs domaines relatifs entre autres à la
    promotion du don du sang, d’organe, de tissus et de cellules humains,
    la prévention des maladies transmissibles et non transmissibles et épidémies,
    la promotion de la sécurité maternelle et la sécurité de l’enfant.
    Ainsi,
    le ministère des Affaires religieuse s’engage à renforcer l'activité des imams
    et des mourchidate dans leur travail de proximité, lié à la prise de conscience
    sanitaire; à contribuer aux campagnes sanitaires régulières, ponctuelles ou
    saisonnières du don du sang et d'organes ; à consacrer de manière régulière,
    les prêches du vendredi et sermons des mosquées, afin de contribuer à la
    sensibilisation aux questions d'ordre médical ; à veiller à propager la culture
    médicale par le biais du centre culturel islamique et de ses annexes de wilaya ;
    à affecter des guides religieux et mourchidate au niveau des établissements
    hospitaliers en vue de leur contribution à la prise en charge spirituelle des
    malades et à organiser des sessions de formation dédiées au perfectionnement
    des imams et mourchidate et leur habilitation dans le domaine de la santé.

    De son côté, le ministère de la Santé œuvrera à réunir les conditions favorables
    à la contribution des guides religieux et mourchidate à la prise en charge
    psychologique des malades ; à désigner des spécialistes aussi bien pour
    l'encadrement des sessions de formation et des rencontres scientifiques que pour l'animation des espaces d'information qu'organise le ministère des Affaires
    religieuses et des Wakfs, en matière de santé, à fournir l'assistance requise pour
    le succès du travail de proximité y afférent et à fournir la documentation médicale
    requise pour l'élaboration des divers supports de prise de conscience et de
    sensibilisation.
    Une commission mixte de supervision et de suivi sera
    installée pour la mise en œuvre de cette convention, a annoncé le ministère
    de la Santé dans un communiqué.

    S. A.
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    Post Communiqué du Conseil des ministres

    Communiqué du Conseil des ministres

    le 05.10.16 | 10h00

    Le Conseil des ministres s’est réuni, hier à Alger, sous la présidence du
    chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, et a rendu public un communiqué,
    dont voici le texte intégral : «Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika,
    président de la République, a présidé ce jour, mardi 4 octobre 2016,
    correspondant au 2 Moharrem 1438, une réunion du Conseil des ministres.
    Durant cette réunion, le Conseil des ministres a d’abord examiné et approuvé
    le projet de loi de finances pour 2017. Ce texte engage la mise en œuvre du
    premier segment de la ‘‘Trajectoire budgétaire 2017 à 2019’’ adoptée par le
    Conseil des ministres et qui accompagne le ‘‘Nouveau modèle de croissance’’.

    Ce faisant, il traduit la volonté des pouvoirs publics de soutenir, à la fois,
    la croissance de l’économie ainsi que l’effort de l’Etat pour le développement
    social et notamment le soutien aux couches défavorisées. Dinars son volet
    budgétaire, le projet de loi de finances vise la soutenabilité des finances
    publiques soumises, depuis plus de deux années, à une chute sévère des prix
    des hydrocarbures. Etabli sur la base d’un baril de pétrole à 50 dollars, le
    projet de budget affiche un montant de 5635,5 milliards de dinars de recettes,
    en hausse de près de 13% par rapport à l’exercice écoulé.
    La fiscalité ordinaire
    rapportera 2845,4 milliards de dinars en progression de 3,5%, alors que les
    revenus de la fiscalité pétrolière sont projetés à 2200 milliards de dinars. En
    dépenses, le projet de budget affiche un montant de 6883,2 milliards de dinars
    dont 4591,8 milliards de dinars pour le volet fonctionnement et 2291,4 milliards
    de dinars en crédits de paiement pour le volet équipement. Quant au solde
    global du Trésor, son déficit sera réduit de près de la moitié par rapport à 2016,
    passant de -15% à -8%. En dépit des contraintes financières qui entourent
    l’élaboration du projet de budget pour 2017, celui-ci reflète l’attachement de
    l’Etat à la justice sociale et à la solidarité nationale.
    Ainsi, 1630,8 milliards de
    dinars seront alloués aux transferts sociaux, soit 23,7% du budget de l’année.
    Sur ce montant, on relèvera notamment que 413,5 milliards de dinars sont
    destinés au soutien aux familles, essentiellement à travers la subvention des prix
    des produits de base (céréales, lait, sucre et huiles alimentaires), 330,2 milliards
    de dinars au soutien à la santé et 305 milliards de dinars aux programmes
    nationaux de logement. Par ailleurs, le projet de loi de finances contient plusieurs
    propositions de mesures législatives, avec pour finalité l’amélioration des recettes
    de l’Etat, l’encouragement de l’investissement, ainsi que davantage de
    simplification et d’allégement des procédures fiscales.
    Intervenant après
    l’approbation de ce projet de loi, le président de la République a relevé que
    l’Algérie, qui fait face à des tensions budgétaires comme d’autres pays producteurs d’hydrocarbures, bénéficie également de la dynamique de construction nationale
    engagée depuis plusieurs années et qui se poursuit encore, à l’image du taux de
    3,9% de croissance enregistré l’année dernière, et confirmé au premier semestre
    de cette année. Cette même dynamique a permis de faire reculer drastiquement le
    chômage de près de 30% en 2000 à moins de 10% au début de cette année, alors
    que la réponse à la demande sociale demeure robuste, comme l’illustre la
    distribution de 350 000 logements cette année, en même temps plus d’un million
    d’autres unités sont en chantier.
    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
    a ajouté que les importants crédits alloués aux secteurs en charge du développement
    humain, notamment l’éducation, l’enseignement, la santé ainsi que les montants
    alloués aux transferts sociaux confirment que la justice sociale et la solidarité nationale
    sont et demeureront les fondamentaux de la politique de l’Etat en Algérie.

    Soulignant que ce projet de loi de finances est le premier jalon de la programmation budgétaire arrêtée pour les années 2017 à 2019, le chef de l’Etat a invité le
    gouvernement à poursuivre l’effort pour la maîtrise des finances publiques et la
    rationalisation des dépenses, afin de permettre à l’Etat d’assumer pleinement ses
    missions au service des citoyens, notamment les plus démunis, et de diligenter la diversification économique, grâce à laquelle le pays se libérera, à moyen terme, de la dépendance aux hydrocarbures.
    Par ailleurs, le président Abdelaziz Bouteflika a
    demandé au gouvernement de s’atteler à la réforme de la fiscalité et des finances
    locales, pour accompagner les missions nouvelles dévolues aux collectivités locales
    en matière de promotion de l’investissement et d’accompagnement de l’activité
    économique. Le président de la République a conclu en insistant sur l’importance du
    dialogue avec les partenaires économiques et sociaux, et l’information régulière des
    citoyens sur les difficultés et les enjeux, ainsi que sur la démarche économique mise
    en œuvre, afin de rallier leur adhésion en cette période cruciale que traverse le pays.

    Le Conseil des ministres a également examiné et approuvé le projet de loi portant
    règlement budgétaire pour l’exercice 2014. Présenté conformément à la Constitution,
    ce texte expose les résultats de la mise en œuvre du budget voté par le Parlement pour
    2014 et pour lequel il a été enregistré en clôture 3890 milliards de dinars de recettes collectées, 7656 milliards de dinars de dépenses réalisées et un déficit de 3396 milliards
    de dinars.
    En outre, le projet fait état des impacts physiques de la dépense publique en
    2014 au bénéfice de la population, et dont nous citerons : 62 000 nouvelles places pédagogiques dans le cycle moyen et 91 000 autres au niveau du secondaire, 40 000
    places pédagogiques et 38 000 places d’hébergement dans le cycle supérieur, 355 000 logements réalisés, ainsi que 186 000 foyers raccordés au gaz et 23 000 autres à
    l’électricité. Poursuivant ses travaux, le Conseil des ministres a examiné et approuvé
    un avant-projet de loi modifiant et complétant le code des Douanes.
    Les amendements proposés faciliteront d’abord davantage les opérations d’exportation hors hydrocarbures.
    Ils renforceront aussi le contrôle et la lutte menée par les Douanes nationales contre la contrebande et les fraudes, notamment en développant l’échange d’informations et
    l’accès aux données entre administrations et autres services publics impliqués dans la
    lutte contre les fraudes et trafics illicites financiers, commerciaux et autres. Le projet de
    loi introduit également des dispositions fluidifiant davantage le contrôle douanier et
    renforçant les voies de recours au profit des agents économiques.
    En outre, le Conseil
    des ministres a examiné et approuvé un projet de loi relatif au système national de
    métrologie. Ce texte permettra la modernisation du dispositif national de métrologie,
    outil important d’une économie régulée de concurrence. Le projet de loi propose
    notamment la mise en place des méthodes, instruments et équipements de mesurages
    unifiés et conformes au système international de métrologie, de sorte à garantir
    également leurs validations à l’étranger, au bénéfice des produits locaux exportés. Par
    ailleurs, le texte propose l’institution d’un Conseil national chargé de définir et de
    coordonner la politique nationale de métrologie et de sa coordination, d’une entité
    nationale chargée du contrôle de l’application des normes de métrologie, ainsi que
    d’un réseau de laboratoires d’étalonnage, de référence et d’essai.
    Le Conseil des
    ministres a aussi examiné et approuvé le projet de loi relative à la santé. Ce texte
    reflète les acquis de la politique nationale de santé publique, ainsi que les innovations universelles dans le domaine de la santé. En ce qui concerne la politique de soins,
    le projet de texte propose notamment la consolidation de l’accès aux soins, en
    particulier pour les personnes en difficulté, l’introduction de la carte électronique de
    santé et du dossier électronique du patient pour faciliter son suivi médical, ainsi que
    le droit du patient d’avoir un médecin référent. Il propose aussi la mise en place de programmes spécifiques de santé pour certaines maladies ou catégories de patients,
    des règles régissant les transplantations d’organes, tissus, cellules, et assistance à la procréation, ainsi que l’interdiction du clonage.
    En ce qui concerne le système de santé publique, le projet de loi propose une organisation nouvelle intégrant le médecin
    référent, les soins et hospitalisation à domicile, ainsi que la mise en place d’un
    dispositif d’évaluation et d’audit des structures de santé publique avec le renforcement
    du contrôle et des inspections. Le texte propose, en outre, la suppression de l’activité complémentaire ainsi que la mutualisation des ressources humaines et matérielles avec
    le développement du jumelage et du parrainage entre établissements de santé.

    Par ailleurs, le projet énonce le soutien au secteur privé, complémentaire de la santé publique, et l’attribution de missions de service public aux structures et établissements
    privés, sur la base d’un cahier des charges. En ce qui concerne la régulation de la
    politique nationale de santé, le texte prévoit notamment la création d’un Conseil
    national de la santé chargé d’éclairer les pouvoir publics sur les questions inhérentes
    à la santé. Il propose aussi la mise sur pied d’un comité national de prévention et de
    lutte contre les maladies non transmissibles.
    Il propose enfin l’institution de
    programmes de santé nationaux, régionaux et locaux. Intervenant à l’issue de
    l’approbation de ce projet, le président de la République a rappelé que le droit des
    citoyens à la protection de la santé est un principe cardinal de la politique sociale de
    notre pays, et a relevé aussi que l’Etat consacre annuellement des montants
    importants au développement du système de santé publique.
    Le chef de l’Etat a
    insisté pour que la prise en charge médicale des citoyens soit à la hauteur de ces
    principes nationaux et de ces concours publics. Dans cet esprit, le président
    Bouteflika a déclaré que l’avènement d’une nouvelle loi relative à la santé devra s’accompagner d’une accélération de la réforme hospitalière visant une meilleure
    organisation des soins et une amélioration de leur qualité, ajoutant que la mise en
    œuvre de la contractualisation des soins dans les hôpitaux s’avère plus que jamais une nécessité.
    Poursuivant ses délibérations, le Conseil des ministres a examiné et adopté
    un décret présidentiel autorisant la participation de l’Algérie à l’augmentation du
    capital de l’Institution islamique pour le développement du secteur privé. Cette
    institution qui est affiliée à la Banque islamique de développement œuvre au soutien
    du développement économique des pays membres de la Banque, à travers l’octroi de financements à des projets du secteur privé, en accord avec les prescriptions de la charia. L’Algérie est le 13e actionnaire parmi les 53 Etats membres de l’Institution islamique
    pour le développement du secteur privé qui a décidé une augmentation de son capital.
    Notre pays prendra part à cette opération, pour un montant de 6,17 millions de dollars libérables par tranches étalées sur quatre années.
    En outre, le Conseil des ministres a
    examiné et adopté cinq décrets présidentiels portant approbation d’avenants à des
    contrats pétroliers. Ainsi, trois décrets concernant des avenants à des contrats
    pétroliers afin de prolonger de dix années chaque fois l’exploitation au niveau des
    périmètres de Zemoul El Kbar, blocs 403a et 403b, ainsi que des périmètres de
    Rhoude El Louh et de Sif Fatma.
    Les opérateurs concernés sont Sonatrach ainsi que
    les sociétés ENI et BHP. Le quatrième décret adopté par le Conseil des ministres
    approuve, au bénéfice de Sonatrach, l’accélération de la recherche au niveau de six
    périmètres situés à travers les wilayas de Ouargla, Djelfa, Tébessa et Laghouat, avec
    pour objectif d’augmenter rapidement le nombre de découvertes d’hydrocarbures.
    Quant au 5e décret, il approuve un avenant permettant à la société DEA, qui s’est
    substituée à la société RWE, de racheter les parts de cette dernière dans le périmètre
    Reggane-Nord où elle intervient en association avec Sonatrach.
    Par ailleurs,
    le Conseil des ministres a examiné et approuvé une réévaluation de l’autorisation de programme relative à la réalisation d’une galerie de liaison dans le projet de transfert
    d’eau du barrage d’Erraguene à Jijel vers la plaine sétifienne. Cette opération fait
    partie d’un système de transfert d’eau du barrage d’Erraguene, qui se déverse dans
    la mer, vers le barrage de Tabellout dans la wilaya de Jijel, puis le barrage de
    Draâ Ediss dans la wilaya de Sétif, pour l’alimentation en eau potable de 15
    communes et l’irrigation de 20 000 hectares dans la plaine d’El Eulma.
    Le projet enregistre la finalisation des barrages de Tabellout, ainsi que de plus de
    40 kilomètres de transfert en conduites et de 5 stations de pompage.
    Par contre,la galerie souterraine a connu plusieurs éboulements, amenant l’Agence nationale des barrages et transferts (ANBT) à retenir une solution mixte qui
    ajoutera aux
    5 km de galeries déjà creusés un contournement par pompage et conduites sur 21 km. Ce réaménagement sera achevé dans un délai de 30 mois
    avec une
    réévaluation de l’autorisation de programme pour un montant de 19 milliards de dinars. Le Conseil des ministres a conclu ses travaux par l’adoption
    de décisions
    relatives à des nominations et à des fins de fonctions et à des
    fonctions supérieures
    de l’Etat.»

    APS

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