Real madrid infos_ News - Noticias

[xeres]

Attends Xeres je fais des youyou pour le meilleur joueur de l'année 2014,

Pièce jointe 16551

l'autre c'est un avar y a latif Mechehah(AVARE)

MDRRRRR Excellent tu as tout dit (en parlant de vomito)

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36 eme journée LIGA BBVA REAL 2 2 VALENCE_006_.jpg Le REAL malgré beaucoup d'occasions et une domination nette n'a pu prendre 3 points à l'équipe de Valence sauvé par son gardien Alves et les poteaux dommage juste 1 point pris ce qui nous laisse à 4 points du Barça . A noter les belles prestations de Bale qui a jouait son match en guerrier, Chicharito, Isco auteur du 2eme but .On a mérité de gagner mais c'est ça le foot quand ça veut pas...ça veut pas L'abscence de Benzema et Modric handicape beaucoup le Real ce qui complique un peu la stratégie de jeu de Mister Carlo.

Occasion de Chicharito sauvé par Alves le gardien de Valence

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Entrainement des blancos ce dimanche 10 mai sur le site de Valdebedas à Madrid pour la prparation du match retour de la ligue des champions contre la Juventus ce mercredi au stade Santiago Bernabéu .

[Mimiche]

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Toni Kroos est de retour a l'entrainement d'aujourd'hui

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Ancelotti suspendu deux matches





Carlo Ancelotti, l’entraîneur du Real Madrid, sera suspendu pour les deux dernières journées du Championnat, si celles-ci ne sont pas perturbées par la grève prévue par la Fédération. La commission de discipline s’est appuyée sur le rapport de l’arbitre, qui relatait le comportement du coach madrilène et ses applaudissements sarcastiques envers les arbitres lors de la rencontre opposant le Real à Valence (2-2), le week-end dernier.


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CE SOIR MATCH RETOUR LIGUE DES CHAMPIONS STADE SANTIAGO BENARBEU MADRID 20H 45

[xeres]

Déception mercredi soir le Réal est éliminé de la ligue des champions tenue en échec sur ses terres par la Juventus 1 - 1, malgré le pénalty concrétisé par CR7, une faute imaginaire contre Ramos a permis à la juve de marquer et ironie du sort c est un ancien madrilène qui marque, Morata.
Il y a des changements à faire pour la saison prochaine et recruter. Varane et Bale doivent partir, Varane est trop tendre et Bale trop égoïste et gâche énormément d occasions que celà en devient scandaleux pour un joueur à 100 millions € d ailleurs il sort ces derniers temps du terrain sous les critiques et les insultes du public madrilène.
Ramos ces derniers temps est trés décevant d ailleur il a déclaré aux journalistes espagnols aprés le match "à 1 - 0 on s'est dit que le match était plié " ....une déclaration trés étonnante !
Beaucoup de choses à revoir à mon avis pour la saison prochaine. HALA MADRID

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Les médias espagnols ne sont pas tendre avec le Real Madrid après l'élimination contre la Juventus de Turin...

Les journaux et sites espagnols tirent à boulets rouges sur le Real Madrid jeudi matin. L'élimination en demi-finale de la Ligue des champions contre la Juventus de Turin mercredi soir n'est pas seulement vue comme une déception. C'est une vraie catastrophe. Le quotidien madrilène Marca titre ainsi « Le Fiasco du siècle » en une de son édition, avec une photo de Cristiano Ronaldo en larmes.

En dessous de ce titre fracassant, trois lignes qui font mal : « Madrid fait naufrage à Bernaubeu et gâche l'opportunité historique de disputer la mère de toutes les finales contre Barcelone. Le pire cauchemar possible : être éliminé par un but de l'ex-madrilène Morata ». L'identité du bourreau fait aussi très mal du côté de l'autre quotidien madrilène, AS, qui titre : « Morata, il fallait que ce soit lui ».

Chez le journal généraliste El Pais, on est forcément moins dans l'émotion, même si on regrette de devoir faire une croix sur « la finale rêvée ». Pour le journal, tout s'est joué dans l'entre-jeu, dénonçant dans un article un « naufrage dans l'océan du milieu de terrain ».

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LIGA BBVA 37 eme journée Dimanche 17 mai



ESPANYOL BARCELONE - REAL MADRID

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Le Real Madrid, une élimination synonyme de révolution?




Le rêve du Real Madrid, réaliser le doublé sur la scène européenne, s'est envolé mercredi soir. L'élimination face à la Juventus contre laquelle la Maison Blanche avait la faveur des pronostics et des statistiques, laisse place désormais à un vaste chantier. Si la place de Carlo Ancelotti ne tient plus qu'à un fil, ce sont beaucoup d'autres cadres du Real qui pourraient s'en aller.


Carlo Ancelotti pourra toujours se consoler en se disant que lui a réussi à remporter deux fois de suite la Ligue des champions. Pas sur un banc, mais sur le terrain puisqu'il était membre de l'équipe du Grande Milan de Arrigo Sacchi, qui a triomphé sur la scène européenne en 89 et 90. Ancelotti l'entraîneur a donc échoué là où Ancelotti le joueur a réussi. Et cet échec pourrait bien être synonyme de la fin de son aventure en Espagne. A Madrid, Ancelotti a pourtant ramené la paix dans un vestiaire en flamme dans les derniers mois de l'ère Mourinho. Pour réinstaurer le calme dans l'institution, "Carletto" - surnom donné par Gennaro Gattuso - avait été identifié comme l'homme de la situation par Florentino Pérez. Et cela a fonctionné. La paix est revenue dans la capitale espagnole, Cristiano Ronaldo a retrouvé le sourire et à continué à empiler les buts, Iker Casillas a retrouvé sa place dans les buts et son brassard, Sergio Ramos est redevenu l'aboyeur et même Pepe s'est calmé. Ancelotti s'est même offert l'immunité en ramenant au Real, la 10e Ligue des champions du club.

La "Decima", ce rêve que Pérez désirait plus que tout et où Mourinho avait échoué. Après ce triomphe, arraché dans les ultimes secondes avec ce but égalisateur de Sergio Ramos, Ancelotti était intouchable. Adoré par ses joueurs, apprécié de la presse et respecté par les supporters, l'Italien faisait l'unanimité. Mais, à Madrid plus qu'ailleurs, rien ne dure et ici comme partout, l'adage éculé mais vérifié "dans le football, tout va très vite" se vérifie. A l'automne 2014, Ancelotti et ses troupes règnent sur le monde - victoire en championnat du monde des clubs - et s'offrent une série historique de 22 succès de rang. Mais l'édifice est bancal et les multiples confrontations face à l'Atletico Madrid viennent le rappeler : deux défaites en championnat dont une très lourde 4-0, défaite en Supercoupe d'Espagne. Au début de l'année 2015, Valence met fin à la fabuleuse série et quelques mois plus tard, ce sont encore les Valencians qui privent du titre les Madrilènes (2-2). Eliminé par la Juve en C1, le Real peut voir son ennemi juré, le Barca réaliser le triplé avec la complicité du voisin madrilène. Les Catalans affrontent l'Atletico dans ce match pour le titre, quand le Real se déplace à l'Espanyol.

Un recrutement déséquilibré


Comment en est-on arrivé là? Tout Madrid doit se poser la question au lendemain de cette élimination qui signifie une saison blanche pour la "Maison Blanche". S'il sait que sa fin est proche, Carlo Ancelotti, lui, connaît les réponses. Les étoiles et les dieux du football, d'abord, ont abandonné le Real dans cette dernière ligne droite, là où tout se décide. Il y a un an, en finale de C1, Ramos catapultait de la tête un ballon dans les filets de Thibaut Courtois et emmenait le Real en prolongation. On connaît la suite. Cette fois, il n'y a pas eu de miracle. "Il a manqué très peu de choses, de petits détails, nous n'avons pas eu beaucoup de chance, contrairement à l'an dernier", a philosophé l'Italien. Mais il sait aussi que la saison s'est joué bien avant. A l'intersaison justement. Il voit arriver James Rodriguez et Toni Kroos, deux joueurs qui ont brillé au Mondial, mais perd deux pions essentiels du onze qu'il a mis des mois à échafauder : Xabi Alonso et Angel Di Maria.

Les deux nouveaux devaient les remplacer, mais le Colombien n'est pas l'Argentin et l'Allemand n'est pas l'Espagnol. James est brillant offensivement, mais n'a pas la même activité et le même acharnement au pressing que Di Maria, et Kroos a la qualité de passe d'Alonso, mais pas son sens tactique.
Il a suffit de la grave blessure de Luka Modric, le vrai régulateur du jeu madrilène, au printemps pour que le château de cartes s'écroule. Avec un Sami Khedira sur le départ, un Lucas Silva arrivé cet hiver et Asier Illarramendi pas au niveau, sans oublier un Isco trop offensif, Ancelotti, malgré un effectif pléthorique, n'avait plus les armes pour reconstruire.

Reconstruire encore

Quand les résultats sportifs vont mal, Florentino Pérez a l'habitude de mettre la main au portefeuille pour calmer les supporters et redonner espoir à la maison madrilène. Cet été, il faut donc s'attendre à une révolution. Car le Real ne peut pas vivre deux saisons sans titre. Car Florentino Pérez n'a pas dû apprécier le niveau affiché par son équipe lors de cette double confrontation face à la Juventus. Sans idée, sans imagination, son Real s'est cassé les dents sur la défense turinoise et a multiplié des centres vains. Le Real a perdu son jeu, tout simplement. Pour le retrouver, des changements sont attendus. Et de grosses surprises pourraient survenir. Iker Casillas est clairement sur le départ, après une saison compliquée où il a été régulièrement pris à partie par les supporters. Le Real Madrid a d'ailleurs déjà jeté son dévolu sur David De Gea, le portier de Manchester United. En défense, Dani Carvajal va voir débouler un concurrent en la personne du Brésilien Danilo. L'axe ne devrait pas trop bouger, même s'il va falloir gérer le cas Varane. Le Français a prolongé jusqu'en 2020, mais n'acceptera peut-être pas une autre saison dans l'ombre du duo Ramos-Pepe. Au milieu, Pérez rêve de Pogba, le Français qui a fait mal au Real à Santiago Bernabeu, ou de Marco Verratti.

Mais c'est surtout en attaque que Madrid pourrait faire sa mue. Gareth Bale est sur la sellette. Entre la sortie de son agent et son match retour où il a tenté et beaucoup échoué (1 tir cadré sur 7), Bale semble isolé et est dans le collimateur des supporters. Chouchou de Pérez, il veut rester et son président veut le garder, mais les millions prêts à être dépensés par Manchester United pourraient faire changer d'avis le président madrilène.


Place à Zidane ?

Avant de s'attaquer à l'édifice, Florentino Pérez va devoir se pencher sur les fondations et régler le sort de Carlo Ancelotti. L'Italien a déjà été plusieurs fois sous la menace d'un limogeage au cours de ses deux saisons à Madrid : si le Real n'avait pas gagné sa Decima il serait parti, et se trouvait à deux doigts de la porte après le revers 4-0 contre l'Atletico Madrid. Mais, les résultats et son vestiaire l'ont sauvé. Il continue à avoir le soutien indéfectible de ses joueurs. C'est d'ailleurs la seule chose qui pourrait le maintenir. Car Florentino Pérez à une idée en tête depuis la prise de fonction de Carlo Ancelotti, nommer son ancien protégé, Zinédine Zidane à la tête de l'équipe première. L'Italien aurait ainsi préparé le terrain à l'ancien numéro 5 du Real. Zidane, lui, est prêt, il a validé ses diplômes et attend désormais son heure. L'entourage de Pérez freine toutefois la finalisation de ce scénario par peur que le Français se brûle les ailes à un poste des plus exposés au monde. Mais Pérez est convaincu que Zidane peut être le Guardiola que Madrid attend. Clin d'oeil de l'histoire, le début de l'histoire de Zidane entraîneur du Real Madrid, aura peut-être débuté le soir d'une défaite contre son ancien club, la Juventus.


PS :

Carlo Ancelotti pourrait remplacer Manuel Pellegrini sur le banc de Manchester City. L'entraîneur du Real Madrid, dans la place est menacée après l'élimination en demi-finale de Ligue des champions, aurait signé un précontrat avec le club anglais pour assurer ses arrières. Il ne serait pas obligé toutefois de rejoindre les Citizens attendant de voir quel sort lui est réservé en Espagne.

[xeres]

37 eme Journée LIGA




CR7 26 EME TRIPLE EN LIGA ET LE 5 EME DE LA SAISON !









LIGA BBVA ESPAGNE classement : (les 5 premiers)

N°	Équipe	MJ	G	N	P	BP	BC	DB	PTS
1	FC BARCELONE	37	30	3	4	108	19	89	93
2	REAL MADRID	37	29	2	6	111	35	76	89
3	ATLETICO MADRID	37	23	8	6	67	29	38	77
4	VALENCE	37	21	11	5	67	30	37	74
5	SEVILLE	37	22	7	8	68	43	25	73