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    Post Economie Européenne & Internationale

    Actualités/A la une Economie_Europe-Bourse
    24 Août 2015.
    Vent de panique sur les Bourses européennes

    Les Bourses européennes ont fini en très forte baisse lundi après avoir creusé
    leurs pertes dans la foulée de l'ouverture de Wall Street et dans le sillage de l'Asie,
    les investisseurs s'inquiétant d'une contagion
    du ralentissement chinois sur la croissance mondiale.


    La Bourse de Paris a terminé en très forte baisse de 5,35% après avoir perdu jusqu'à 8,28% en séance.
    Francfort a chuté en clôture de 4,70%, Londres de 4,67% et Madrid de 5,01%. L'indice Eurostoxx 50,
    qui regroupe les grandes entreprises de la zone euro, finissait la séance en repli de 5,35%.

    Les Bourses européennes avaient commencé la journée sur des fortes baisses,
    qui se sont accélérées après l'ouverture de Wall Street. Le Dow Jones a chuté de 5,75%
    peu après l'ouverture tandis que le Nasdaq cèdait 7,98%. Sur le marché de la dette,
    les taux d'emprunt des pays du sud de la zone euro se tendaient, tandis que celui de l'Allemagne,
    dont les obligations font office de valeur refuge, se stabilisait.
    Les marchés européens déjà déstabilisés depuis une dizaine de jours par
    la mauvaise passe de la place boursière chinoise, ont vu la Bourse de Shanghai
    plonger lundi de presque 8,5%, sa plus forte baisse journalière depuis huit ans.

    La débâcle des marchés boursiers se double d'une chute du prix du pétrole,
    le brut américain étant repassé sous la barre des 40 dollars.
    Les investisseurs s'inquiètent de la fragilité de l'économie chinoise et de
    son impact sur la croissance mondiale, alors que les mesures prises
    par les autorités du pays ne suffisent pas à rassurer.

    Pékin a notamment annoncé dimanche que le gigantesque fonds
    de pension chinois allait être autorisé à investir une partie
    de ses colossaux actifs dans les Bourses locales.
    Les investisseurs "espéraient une intervention massive de la banque centrale
    chinoise alors que la Chine pourrait être contrainte de dévaluer encore le yuan",
    remarque le courtier Aurel BGC.

    Les doutes sur l'économie mondiale interviennent au moment où
    la croissance reste poussive en zone euro,
    comme en témoignent les chiffres pour le deuxième trimestre publiés récemment.

    Les investisseurs sont également dans le flou concernant la politique
    monétaire de la banque centrale américaine (Fed), qui a jusqu'à présent été
    un facteur de soutien très important au marché.

    La Fed entend remonter ses taux d'ici la fin de l'année mais cette initiative pourrait être
    contrariée par la Chine et la faiblesse de l'inflation.

    "En d'autres termes, après tant d'argent mis sur la table par les banques centrales,
    tant d'argent public dépensé par les Etats, et après avoir endetté les ménages des pays émergents,
    doit-on craindre une rechute non maîtrisée de l'économie mondiale ?", s'interroge Crédit Mutuel-CIC.

    Les stratégistes ne privilégient toutefois pas ce scénario "grâce
    à l'autonomie de la croissance aux Etats- Unis et aux marges de manoeuvre
    qui subsistent en Chine pour stabiliser l'économie".


    AFP
    Dernière modification par zadhand ; 24/06/2016 à 16h01.
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    Post Après le Brexit, l'économie mondiale dans l'incertitude

    Après le Brexit, l'économie mondiale dans l'incertitude



    AFP
    le 24.06.16 | 16h31

    Ralentissement de la croissance, retour du protectionnisme,
    remise en cause des accords de libre-échange ou encore
    doutes sur la stabilité européenne l'économie mondiale,
    toujours fragileaprès la crise de 2008, plonge dans
    une profonde période d'incertitudeaprès le Brexit.



    "Nous sommes en train d'entrer dans un territoire complètement
    inconnu où la seule certitude est l'incertitude", a affirmé Jean-Michel Six,
    chef économiste pour l'Europe de l'agence de notation SP Global Ratings,
    après la décision britannique de sortir de l'Union européenne.

    Avant le référendum historique de jeudi, des institutions comme le FMI
    avaient prévenu des dangers d'un Brexit pour l'économie mondiale.
    L'OCDE avait également alerté sur "les incidences pour tous" ses membres,
    "en particulier en Europe". La patronne du FMI Christine Lagarde avait aussi
    mis en garde contre les effets aux Etats-Unis, première économie mondiale,
    mentionnant "une appréciation probablement inévitable du dollar".

    Désormais confirmé, le Brexit pourrait se traduire par un effet domino qui finirait
    par atteindre une économie mondiale fragilisée. Déjà bien poussive, la croissance européenne pourrait être fragilisée et ne pourrait prendre le relais attendu des
    économies émergentes, qui ont soutenu l'économie mondiale depuis la crise de
    2008, avant de s'effondrer ces dernières années avec la chute des prix des matières premières.
    Le Mexique a annoncé vendredi une réduction de ses dépenses
    budgétaires de 1,680 milliard de dollars pour faire face au Brexit. Face aux fortes turbulences sur les marchés financiers, les ministres des Finances et présidents
    des banques centrales du G7 sont d'ailleurs montés au front pour mettre en garde
    contre les possibles "effets néfastes" sur la stabilité économique des mouvements
    de change "excessifs", dans la foulée de l'annonce de la victoire du "non"
    britannique à l'Union européenne.

    La croissance est "compromise"
    "La sortie de crise et le retour durable à la croissance semblent désormais
    compromis après une telle succession d'événements sur les marchés financiers",
    regrette Christopher Dembik, économiste de la banque danoise Saxo Bank.
    Après le résultat britannique, l'Europe est devenue un risque. "Avant le Brexit,
    l'UE était vue comme un pôle de stabilité dans le système international",
    a expliqué à l'AFP Thomas Gomart, directeur du centre de recherche français IFRI.
    "Mais avec la crise grecque, la crise migratoire, le Brexit et la montée des
    populismes, l'Europe est en train de passer d'un statut de contributeur à la stabilité internationale à alimenter l'instabilité internationale", a expliqué l'auteur d'une récente
    étude sur "le retour du risque géopolitique".
    "C'est le pire scénario qui est en train
    de se réaliser", a admis Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur-crédit Euler Hermes, même s'il est convaincu qu'il "ne s'agit pas de l'apocalypse". "Cela va
    remettre en question l'Europe en bloc, notamment lors des négociations du traité
    de libre-échange avec les Etats-Unis (TTIP) et aussi sur la voix que les européens
    peuvent porter au G7", a reconnu M. Subran.
    Une situation qui pourrait "encourager
    des pays comme la Chine à chercher à établir directement des relations bilatérales
    avec les pays européens", plutôt que de négocier avec Bruxelles, constate M. Gomart.

    Selon le directeur de l'IFRI, c'est le concept même de mondialisation qui est remis en cause aujourd'hui. "On voyait la mondialisation comme une convergence inexorable
    des modèles. En réalité, on est plutôt maintenant dans une divergence des modèles,
    avec probablement des retours de formes de protectionnisme", a-t-il souligné.
    Et l'affaiblissement du "commerce mondial a déjà pesé sur la croissance mondiale
    ces dernières années", a estimé vendredi Larry Summers, l'ancien secrétaire d'Etat américain au Trésor.

    Sur les marchés, il y a urgence.
    Le gestionnaire d'actifs Candriam n'écarte pas une "récession européenne"
    si les "gouvernements européens ne parviennent pas à trouver un accord avec les Britanniques dans les prochains mois et pour maintenir l'activité", a-t-il prévenu dans
    une note.
    "Nous attendons du reste de l'UE qu'elle s'engage à rendre l'Europe plus
    efficace. Mais vu les expériences précédentes (...), nous doutons que cela ait beaucoup
    de crédibilité sur les marchés", a prévenu la banque américaine Goldman Sachs.


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    Le poids de l'économie collaborative pourrait être multiplié par vingt d'ici 2025

    En Europe
    le poids de l'économie collaborative pourrait être multiplié par vingt d'ici 2025

    Mis à jour le 05/09/2016 | 21:01
    publié le 05/09/2016 | 21:01

    Une étude du cabinet d'audit PwC publiée lundi met en avant la croissance phénoménale que
    devraient connaître les sociétés d'économie collaborative en Europe, le montant des
    transactions pourrait atteindre les 570 milliards d'euros d'ici dix ans.
    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **
    Et si les sociétés milliardaires de demain s'appelaient Blablacar, Airbnb ou
    encore Ulule ? D'après une étude diffusée lundi 5 septembre par le cabinet
    d'audit PwC (PricewaterhouseCoopers), le montant total des transactions
    générées par l'économie collaborative atteindra les 570 milliards d'euros d'ici
    dix ans rien que sur le continent européen. C'est vingt fois plus qu'aujourd'hui.
    Le chiffre équivaut au PIB de l'Argentine.

    Un chiffre d’affaire qui devrait atteindre les 83 milliards d’euros d’ici 2025
    Si l'économie collaborative est une façon de consommer qui fait de plus en
    plus d'adeptes, elle pourrait donc aussi devenir une énorme source de
    richesses. Elle bénéficierait d'abord aux particuliers : d'après PwC, 85% des
    revenus générés par ces plateformes collaboratives finiront dans la poche
    de leurs utilisateurs. "Ces plateformes mettent en relation des particuliers avec
    d'autres particuliers, explique Jean-François Marti, le responsable de cette
    étude. Elles organisent donc une économie où l'essentiel des flux se fait entre
    particuliers. Et sur une échelle qui n'existait pas avant."
    Quant aux plateformes collaboratives, elles vont bien sûr elles aussi largement en profiter. Blablacar,
    Airbnb... Leurs revenus pourraient passer de 4 milliards d'euros aujourd'hui à...
    83 milliards en 2025 !
    Comment encadrer et imposer fiscalement ces pratiques ?

    Cette croissance phénoménale devrait toucher "tout ce qui est lié aux locations de logements, aux déplacements en véhicule comme le covoiturage, aux échanges
    de services de particulier à particulier", détaille Jean-François Marti.
    Cette étude de PwC a été commandée par la Commission européenne avec un
    objectif encadrer légalement ces nouvelles pratiques d'économie collaborative et
    savoir comment l'imposer fiscalement.
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    Post Indices-le 08.10.16

    Indices
    le 08.10.16 | 10h00

    Les risques et l’incertitude menaçant l’économie mondiale ont
    «augmenté» en raison d’élections à venir dans plusieurs grandes
    puissances, dont les Etats-Unis, et des conséquences encore
    floues du Brexit, a mis en garde hier la présidence chinoise du
    G20. «L’incertitude et les risques auxquels l’économie mondiale
    fait face ont augmenté au moment où plusieurs grandes économies
    entrent dans une période d’élections générales et alors que les
    conséquences du Brexit restent incertaines», a déclaré Lou Jiwei,
    le ministre des Finances de la Chine qui assure la présidence
    tournante du G20, lors d’une conférence de presse à Washington.
    Le Fonds de pension public de la Norvège, plus gros fonds souverain
    au monde, a affiché au troisième trimestre son meilleur rendement
    depuis un an et demi grâce aux actions, a indiqué hier la Banque
    centrale. Selon la Banque de Norvège, qui gère ce Fonds alimenté
    par les revenus pétroliers de l’Etat, le rendement a atteint 4,0%, le
    plus élevé depuis le premier trimestre 2015. Cependant, la valeur
    totale du Fonds a baissé à 7119 milliards de couronnes
    (793 milliards d’euros) du fait, d’une part, de l’appréciation de la
    couronne norvégienne, et, d’autre part, d’une ponction de 30 milliards
    de couronnes par le gouvernement.
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    Post Indices-le 29.10.16

    Indices
    le 29.10.16 | 10h00

    La confiance économique dans la zone euro s’est encore
    améliorée plus nettement que prévu en octobre pour le
    deuxième mois consécutif, selon les données publiées hier
    par la Commission européenne. L’indice du sentiment
    économique de la Commission européenne s’est inscrit en
    octobre à 106,3 points, en hausse de 1,4 point, par rapport
    au mois de septembre, montre l’étude mensuelle réalisée
    dans les 19 pays de la zone euro, alors que les économistes
    tablaient sur une baisse de la confiance économique en
    octobre à 104,8. Cet indice du sentiment économique est
    ressorti en septembre à 104,9 contre 103,5 en août et un
    consensus le donnant inchangé. L’indice se détache ainsi
    encore un peu plus de la moyenne à long terme de 100 points.

    La croissance économique aux Etats-Unis a accéléré plus
    que prévu au troisième trimestre et atteint son rythme
    d’expansion le plus fort depuis deux ans, selon la première
    estimation du ministère du Commerce publiée hier à dix jours
    de l’élection présidentielle. Grâce à un bond des exportations
    et à un retour des investissements dans les stocks, le Produit
    intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a crû de 2,9% en rythme
    annualisé et en données corrigées des variations saisonnières.
    Les analystes tablaient sur 2,5% pour cette première évaluation
    de la croissance de l’été, un des derniers indicateurs économiques importants publié avant les élections du 8 novembre, avec les
    chiffres de l’emploi pour octobre qui doivent paraître le 4
    novembre.L’euro montait un peu face au dollar hier dans un
    marché hésitant avant la décision de politique monétaire de la
    Réserve fédérale américaine (FED) la semaine prochaine et à
    moins de deux semaines de l’élection présidentielle aux Etats-
    Unis. L’euro valait au matin 1,0912 dollar contre 1,0898 dollar
    jeudi soir. La monnaie européenne gagnait également du terrain
    face à la monnaie nippone, à 114,90 yens contre 114,64 yens
    jeudi. Le dollar aussi montait face au yen, à 105,28 yens, contre
    105,20 yens jeudi. Les mouvements sont actuellement faibles
    sur le marché des devises, dans un contexte «de volatilité réduite globalement alors qu’approche l’élection présidentielle aux
    Etats-Unis», observaient les analystes.
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    Post Indices-le 12.11.16

    Indices
    le 12.11.16|10h00

    Relations FMI-administration trump

    Le Fonds monétaire international (FMI) a indiqué, jeudi, avoir hâte de travailler avec la
    prochaine Administration américaine, mais sans se prononcer sur les politiques avancées
    par le président américain élu Donald Trump. «Le FMI a hâte de travailler avec la
    prochaine Administration américaine pour aider à résoudre les défis auxquels font face
    les économies américaine et mondiale», a indiqué, Gerry Rice, porte-parole du FMI, lors
    d’un point de presse régulier. M. Rice a également noté que le FMI s’attend à ce que sa
    «relation excellente» avec les autorités américaines continue dans le futur. En outre, le
    porte-parole du FMI a souligné qu’il est «trop tôt pour spéculer sur des politiques
    spécifiques». Avant toute estimation sur un sujet en particulier, «nous devons voir
    comment le nouveau gouvernement américain définira ses priorités politiques et les actions
    qu’il voudra mettre en place après avoir pris ses fonctions», indique le FMI.
    Chute des bourses mexicaine, brésilienne et argentine

    Les places boursières mexicaine, brésilienne et argentine ont chuté pour la seconde journée
    d’affilée jeudi, réagissant toujours négativement, comme leurs devises nationales respectives,
    à l’élection du républicain Donald Trump à la présidence des Etats-Unis mercredi. -4,57%
    pour la Bourse de Mexico, -3,5% pour celle de Sao Paulo, -4,66% pour la place de Buenos Aires
    le mouvement de baisse était général à travers les principaux marchés boursiers latino-américains,
    toujours sous le coup de la victoire de Donald Trump face à la démocrate Hillary Clinton. Du
    côté des devises l’évolution était la même, notamment pour le peso mexicain, en baisse de 2,88%
    encore jeudi face au dollar, après une dégringolade de 7,18% mercredi. La devise mexicaine
    souffre des menaces du candidat Trump contre l’économie du pays, notamment la volonté affichée
    par le milliardaire américain durant sa campagne de remettre en cause le traité de libre-échange
    (Alena) entre les Etats-Unis, le Mexique et le Canada.

    Métaux de base en hausse
    Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) ont grimpé la semaine
    dernière, accentuant leurs gains après la victoire de Donald Trump aux présidentielles américaines.
    Les cours des métaux s’inscrivaient déjà en hausse en début de semaine quand l’élection du candidat
    républicain, qui défend un investissement soutenu dans les infrastructures, a fait s’envoler certains
    marchés. Les gains du début de semaine se justifiaient par l’optimisme ressenti par les investisseurs
    lors de la LME Week, rendez-vous annuel des acteurs du secteur, qui s’est tenue à Londres la semaine
    dernière. Le plomb a atteint, hier, 2198 dollars la tonne, à son plus haut niveau depuis plus d’un an.
    L’étain a atteint 22 000 dollars la tonne lundi, son plus haut depuis 15 mois.Le nickel a atteint 11 930
    dollars la tonne hier, au plus haut depuis 16 mois. Le zinc a atteint 2580 dollars hier, au plus haut depuis
    cinq ans. Le cuivre a atteint son plus haut niveau depuis près d’un an et demi à 6025,50 dollars la tonne.




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    Post Dollar recule légèrement, le pétrole remonte

    Bourses européennes à l'ouverture aujourd'hui
    le dollar recule légèrement, le pétrole remonte

    Publié le 22 - 12 - 2016

    Les cours du pétrole remontent légèrement, à respectivement 52,66 dollars
    le baril pour le brut léger américain et 54,70 dollars pour le Brent, malgré
    la hausse inattendue des stocks de pétrole brut aux Etats-Unis la semaine
    dernière. Les principales Bourses européennes ont ouvert jeudi en légère
    baisse dans un marché relativement calme à l'approche de la fin d'année.
    A Paris , l'indice CAC 40 perd 0,03% (-1,54 point) à 4.832,28 points à
    08h24 GMT. A Francfort, le Dax recule de 0,11% et à Londres, le FTSE
    baisse de 0,12%. L'indice EuroStoxx 50 de la zone euro abandonne 0,05%
    et le FTSEurofirst 300 .FTEU3 et le Stoxx 600 0,14% chacun. Si aucun
    indicateur économique majeur ne figure à l'ordre du jour en Europe, les
    investisseurs prendront connaissance à 13h30 GMT des chiffres définitifs
    de la croissance américaine au troisième trimestre, qui pourraient peser
    sur la tendance. Du point de vue sectoriel, pratiquement tous les indices
    sont dans le rouge, celui des ressources de base affichant la plus forte baisse
    (-1,02%). Le cuivre CMCU3, en repli de 1% à 5.461 dollars la tonne, a
    touché un creux d'un mois. Aux valeurs, Banca Monte dei Paschi Di Siena
    chute de 7,5% après avoir perdu déjà 12% mercredi. La plus vieille banque
    encore en activité a annoncé jeudi que, dans le cadre de son augmentation
    de capital, la levée de fonds via la conversion de dette en actions s'élèverait
    au maximum à 2,069 milliards d'euros, ce qui devrait la contraindre à un
    renflouement par l'Etat. Dans la pharmacie, le français Sanofi gagne 1,73%,
    meilleure performance du CAC 40, et le suisse Actelion ATLN.S bondit de
    plus de 5%, plus forte progression du Stoxx 600. La biotech suisse a annoncé
    mercredi soir des négociations exclusives avec Johnson & Johnson en vue
    d'une "possible transaction stratégique", au détriment de Sanofi. A la baisse,
    Nokia NOKIA.HE chute de 4,15%, signant la pire performance du Stoxx 600.
    L'équipementier télécoms finlandais a annoncé mercredi avoir porté plainte
    contre Apple pour violation de brevets. Sur le marché des changes, le dollar
    recule légèrement par rapport à l'euro à 1,0444 et il est pratiquement stable
    comparé à un panier de devises de référence.Les cours du pétrole remontent
    légèrement, à respectivement 52,66 dollars le baril pour le brut léger américain
    et 54,70 dollars pour le Brent, malgré la hausse inattendue des stocks de pétrole
    brut aux Etats-Unis la semaine dernière.

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    Post Cours du blé-baisse des prix suite... de hausse des récoltes en Argentine

    Cours du blé baisse des prix suite à des prévisions
    de hausse des récoltes en Argentine


    23/12/2016 - 14:58

    Le cours du blé était orienté à la baisse, vendredi, sur le
    marché européen, en raison notamment, de nouvelles prévisions
    de récoltes en Argentine.

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    Sur Euronext, la tonne de blé perdait 75 centimes sur mars à 166,50 euros
    et 1 euro sur mai à 168,75 euros, dans un volume de transactions à moins
    de 3.000 lots échangés.
    "Il y a peu de monde aux commandes, le marché
    se détend gentiment", commentait Gautier Le Molgat, analyste pour le
    cabinet Agritel, pour qui "les Argentins et leurs récolte pèsent", contribuant
    à "remettre en doute la tendance haussière qu'on avait vu tout au long du
    mois de décembre".
    "En Argentine, au fur et à mesure de l'avancée de la
    récolte, les opérateurs revoient à la hausse leur prévision de récolte de blé",
    estimait de son côté le cabinet Inter-Courtage.
    "Le ministère de l'agriculture
    a confirmé les bons rendements relevés en rehaussant son estimation de
    production à 15,7 millions de tonnes(Mt) contre 14,9 Mt estimées précédemment, nettement supérieur aux 11,3 de l'an dernier", précisait Inter-Courtage.
    La
    tonne de maïs, elle, était stable, gagnant 25 centimes sur janvier à 167,25 euros
    et en perdant autant sur mars, à 168,75 euros, dans un volume d'échanges
    inférieur à 180 lots.

    APS










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