Jeu d'Échecs

[zadhand]

3. La description des pièces et de la position initiale.

3.1 La description des pièces.

Il y a 6 sortes de pièces aux échecs : les rois, les dames, les tours, les fous, les cavaliers et les pions. Décrivons-les brièvement :

• Les pions sont tous pareils et sont habituellement les plus petites pièces du jeu. Ce sont les soldats.
• Le roi et la dame sont de plus haute taille que les autres pièces. Le roi porte une couronne masculine, et la dame une couronne féminine. C'est le couple royal.
• On reconnaît aussi les fous à leur coiffe, qui est la mitre. Se sont les conseillers du roi et de la dame.
• Les cavaliers sont habituellement représentés par une tête de cheval. Se sont les chefs d'armée.
• Les tours, finalement, ont la forme d'une tour de château. Ils représentent les murs de la forteresse.

Dans un livre ou une revue, les pièces sont représentées par une image ou une lettre. Cette lettre dépend de la langue dans laquelle on s'exprime. En français, R vaut pour roi, D pour dame, T pour tour, F pour fou et C pour cavalier. Le pion est quant à lui représenté par l'absence de lettre.

Nom de la pièce	Symbole graphique	Signification
Roi	ou ou R	couronne masculine
Dame	ou ou D	couronne féminine
Tour	ou ou T	donjon
Fou	ou ou F	mitre
Cavalier	ou ou C	tête de cheval
Pion	ou ou [ ]	fantassin

L'usage des lettres montre l'importance d'appeler une dame une dame et non une reine. Autrement, on ne saurait pas très bien si un R signifie « Roi » ou « Reine ».
3.2 La description de la position initiale.

Pour dresser correctement la position initiale, l'échiquier doit être placé entre les 2 joueurs assis l'un en face de l'autre, et orienté de façon à ce que le coin qui se trouve à la droite de chacun soit une case claire.
Si l'échiquier est numéroté, les pièces claires vont sur les rangées 1 et 2, et les foncées sur les rangées 7 et 8.
Au début de la partie, l'armée de chaque camp doit être disposée ainsi : les tours aux coins et les cavaliers à leurs côtés, suivi des fous et du couple royal, la dame étant sur une case de même couleur qu'elle ; enfin, les pions devant les pièces.
La position initiale
Attention ! L'échiquier doit être tourné de façon à ce qu'une case claire se trouve à la droite de chacun des joueurs, et les dames doivent se trouver sur des cases de mêmes couleurs qu'elles.


Bref, le roi et la dame, entourés de leurs conseillers (les fous) et de leur garde personnelle (les cavaliers), sont protégés par les murs de leur forteresse (les tours) et une rangée de soldats (les pions).


Pause…

Solution pour notre cher Pere Nno ( Saha aidék )
Ah vous ne l'avez pas trouvé c'est sur vous portez des lunettes noirs pendant le Ramadhan car moi depuis je les ôtés http://www.maghreb-sat.com/forum/f3/...-17833-14.html.


Père Nno
Animateurs


Date d'inscriptionjanvier 2013LocalisationBruxellesMessages1 596 Pouvoir de réputation9 Follows0Following0

Re : Fermeture du forum

Envoyé par zadhand
Bonsoir c'est maintenant que je suis tombé sur cette information que le forum va fermé je suis la et bon courage



salut zadhand tu devrais enlevé tes lunettes noirs
Voici la réponse :

Solution.

Depuis le 29 juin 2004, un nouveau problème est mis en ligne tous les mardis avant minuit, heure de Montréal/New York.
Problème du 20 mai 2008.

Le problème.



La solution.

1. Ra1 Dxc2 pat. Si 1... Rh6, alors 2. Dd2+ Rh7, 3. Dc2 montre que les noirs ne peuvent pas progresser.

La prochaine fois soyez prêt.
Cordialement.

Au prochain chapitre .

[zadhand]

J'arrête, je suis fatigué bonne nuit.

[zadhand]

CHAMPIONNAT DU MONDE DES JEUNES CATÉGORIES À KHANTY MANSISK
(11e RONDE ET FIN)

UN FORMIDABLE FINISH !

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Echecs
Publié le 5 octobre 2016

Quant à l’école algérienne qui s’est distinguée par son absence regrettable à plus d’un titre, il faut
dire que pour nos jeunes, qui collectionnent de nombreux titres au niveau arabo-africain, il leur est
impératif de voir et de revoir et analyser de fond en comble les parties de ce championnat du monde …
Par Benhadi Aziz Madani, instructeur de la Fédération internationale des échecs

Le rideau est tombé sur le championnat du monde des jeunes catégories jeunes
(-18 ans, -16 ans, -14 ans) filles et garçons, qui s’est déroulé à Khanty-Mansiysk,
la capitale du gouvernorat de l’Ugra Russie, du 22 septembre au 3 octobre 2016,
avec l’annonce des résultats finaux à l’issue d’une onzième et ultime ronde qui a
été riche en rebondissements et, de l’aveu même des participants, en miracles !
Cinq des leaders sur les six catégories se sont vus arrêtés net dans leur course au
sacre, alors que, généralement, cela n’était qu’une formalité assurée par la
confortable avance généralement acquise. Aussi, la fédération qui a perdu à ce jeu
est celle russe qui a vu glisser entre ses mains trois titres mondiaux, alors que ses
joueurs et joueuses ont fait l’essentiel de la domination dix rondes durant. Mais
comme on dit l’art des échecs, comme celui de la guerre, a ses propres secrets !
Le premier des miracles s’est passé chez les moins de 14 ans filles, alors que la
Chinoise Zhu Jiner, leader pendant huit rondes avec un style de jeu élégant, et qui
a perdu tout espoir en s’inclinant par deux fois, est revenue de très loin par d’abord
une victoire arrachée de haute lutte contre l’Indienne Vantika Agrawal, elle-même
candidate au sacre, mais aussi par la superbe victoire de la Russe Maltsevskaia
Alexandra, la meilleure classée Elo du tournoi contre la leader du moment et
surprenante américaine, Wang Annie. Ensuite, chez les moins de 14 ans garçons,
le Russe et maître FIDE, Lomasov Semen, qui était champion du monde une ronde,
a quand même subi une sévère défaite contre l’Arménien Sargsyan Shant et, de ce
fait, est rejoint par son compatriote Esipenko Andrey, ne pouvant que prétendre à
la seconde place ayant un départage désavantageux. Chez les moins de 16 ans filles, l’Indienne Aalanksha Hagawane, qui n’en croyait ses yeux d’être championne du
monde de sa catégorie, lutta lors de la dernière ronde pendant quatre-vingt-dix coups
et plus de six heures de jeu, avant de forcer son adversaire, la Polonaise
Alicja Sliwicka, à l’abandon. L’autre prétendante au titre, la Néerlandaise
Kazarian Anna Maja, n’a rien pu faire contre l’excellente Iranienne, Alinasab Mobina,
qui a gagné laborieusement la partie et la médaille d’argent. Chez les moins de 16 ans garçons, l’Arménien Martyrosyan Haik continua à gérer professionnellement, non sans quelques risques, sa place de leader avec une quatrième partie nulle, face au
Vietnamien Tran Minh Thang, en lui imposant une série d’échecs perpétuels, après
une partie bien disputée où le dernier nommé jouait son va-tout afin de « tourner la
table », car en cas de victoire, il aurait été ex-aequo avec trois joueurs et un goal-average supérieur. Chez les moins de 18 ans filles, la solidarité russe n’a pas marché cette fois-ci,
car le leader russe, Obolentsva Alexandra, fut stoppée par sa compatriote Drogovoz Irina
et ce, au profit de la Grecque Tsolaikidou Stavroula, vainqueur de la Mongole Uurintuya Uurtsaikh, dans un style technique de grande valeur. Enfin, un autre « miracle » chez les moins de 18 ans garçons, qui a vu le Russe Vavulin Maksim faire un ratage final, après
avoir dominé de bout en bout la compétition, a été tenu en échec par le Français d’origine algérienne, Bellahcène Billel, offrant le titre de champion du monde sur un plateau
d’argent à l’Arménien, Petrosyan Manuel, qui réussit à briser la résistance du Malgache Rakotomaharo Fy Antenaina. L’analyse de l’ensemble des résultats permet de conclure
à la supériorité de l’école russe dont les joueurs et joueuses ont dominé la majorité des compétitions, mais qui ont connu une fin catastrophique qui leur a fait perdre trois titres ! L’école arménienne montre sa bonne santé, alors que celles chinoise et indienne sont en
recul par rapport aux résultats des précédents championnats du monde, alors que la
victoire grecque n’est pas une surprise après le bon palmarès des joueuses de ce pays.
Un bon point aussi pour l’école iranienne dont les joueurs et joueuses se sont bien
distingués. Quant à l’école algérienne, qui s’est distinguée par son absence regrettable
à plus d’un titre, il faut dire que nos jeunes, qui collectionnent de nombreux titres au
niveau arabo-africain, il leur est impératif de voir et de revoir et analyser de fond en
comble les parties de ce championnat du monde, à dessein de tirer le maximum
d’expériences et d’enseignement, car, si leur niveau est loin du niveau mondial, il
n’en est cependant pas très éloigné. A l’image de la performance du joueur d’origine algérienne, Bellahcene Billel, qui réalisa une belle performance avec une huitième
place bien méritée.

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[zadhand]

FINALES CHAMPIONNAT DE RUSSIE
« MESSIEURS »ET « DAMES » AU MUSéE DE NOVOSSIBIRSK ( 6e RONDE)

Echecs/UNE TOUR « FOLLE » CHEZ LES DAMES !
Publié le 23 octobre 2016

…A noter la partie nulle par pat à l’aide du sacrifice spectaculaire
de la tour dite « folle » que Charochkina a imposé dans sa partie
contre Anastasia Bodnaruk…

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Chez les « messieurs », la sixième ronde de la finale du
championnat de Russie jouée le 21 octobre 2016 au musée
d’histoire locale de Novossibirsk Russie, s’est déroulée dans
l’ensemble sans anicroches, ce qui n’a pas changé l’ordre du
classement de la ronde précédente, même si les jeux ont été
intenses, avec une moyenne de quarante coups par partie,
les joueurs s’étant contentés de stratégies d’échanges en
espérant que l’adversaire commette l’erreur ! Ce qui a conduit
dans la plupart des cas à des positions équilibrées, sauf dans
la partie du représentant de Moscou d’origine kirghize,
Ernesto Inarkiev, qui a signé sa première victoire avec une
superbe domination à l’aile-dame, qui s’est soldée par le gain
d’un bon pion qui, peu à peu, la pression des pièces aidant, fut
concrétisé par le gain de la partie. A suivre la rencontre au
sommet de la 7e ronde entre les ténors et favoris Alexandre
Gritchouk et Peter Svidler, qui constitue un tournant dans ce
championnat de géants ! Chez les dames, Valentina Pogonina
a pris une excellente option pour le sacre avec une précieuse
victoire contre Alisa Galliamova en réfutant un sacrifice de
qualité intéréssant mais insuffisant pour le gain, rattrapant ainsi
au classement la leader Alexandra Kosteniouik qui n’a pu faire
valoir sa supériorité de trois pièces pour la dame dans une
position écrasante contre Girya Olga. A noter la partie nulle par
pat à l’aide du sacrifice spectaculaire de la tour dite « folle »
que Charochkina a imposé dans sa partie contre Anastasia
Bodnaruk. Lors de la prochaine et 7e ronde, la rencontre entre
Alisa Galliamova et Alexandra Kosteniouk pourrait être décisive,
vu que Natalia Pogonina a toutes les chances de l’emporter
contre Ubiennikh Ekaterina.

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(12 participantes)

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[zadhand]

MARATHON DE 22 RONDES !

CHAMPIONNAT DE CHINE DES CLUBS

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Publié le 7 décembre 2016

… Ainsi, c’était hier que s’est achevé ce marathon
avec la victoire du club de Shanghaï avec 36 points
de match et 70 points sur les échiquiers devant
le club de Pékin…
Le championnat de Chine des clubs qui se jouent avec douze clubs selon le système de double ronde tour complet a une double spécificité : la première est
qu’il regroupe en son sein des grands maîtres de renom comme les stars mondiales Shakhriar Mamedyarov (Azerbaïdjan, 2.768 points), les champions russe Andrey Dmitry (2.737 points) et Vladimir Malakhov (2.713 points), Inarkiev Ernesto (Elo 2.729 points), le champion d’Inde, Pentala Harikrishna (2.770 points), le 11e joueur mondial qui le propulse parmi les plus forts championnat de clubs de la planète après la Bundesliga, le championnat de Russie des clubs, le championnat d’Espagne. La seconde est que concourent en son sein les meilleures joueuses de la planète comme l’ex-championne du monde, la Bulgare Antoneta Stéphanova (2.512 points), 12e joueuse mondiale, la championne des Etats-Unis, Anna Zatonskih (2.450 points), l’Indienne Dronavali Harika (Elo 2.526 points), la jeune espoir iranienne Khademelsharieh Sarrassadat (Elo 2.429 points), le grand maître géorgienne Nona Dzagnidze (Elo 2.525 points), la Russe Olga Gyrya (Elo 2.444 points)... Cependant, le point le plus intéressant et ce qui explique en partie l’hégémonie des joueuses d’échecs chinoises sur la scène internationale avec en tête du classement international Hou Yifan (2.651 points) et Ju Wenyun (2.579 points) est que ce championnat se joue avec deux échiquiers féminins sur les cinq échiquiers engagés, cela assure, par conséquent, non seulement une grande activité et un entraînement pratique important tant pour les dames et les messieurs de par les vingt-deux rondes programmées du mois d’avril au mois de décembre en six phases, mais aussi promeut et encourage la pratique féminine.
Par sa répartition sur toute l’année, le nombre de rondes jouées et la qualité de ses participants et de ses participantes, le championnat chinois des clubs joue ainsi un rôle primordial dans l’élévation du niveau de ses joueuses et de ses joueurs, et constitue un espace idéal de préparation des équipes nationales dames et messieurs qui, entre autres, ont remporté les dernières Olympiades féminines de Bakou, en Azerbaïdjan, et leur homologues masculins les Olympiades de Tromso, en Norvège, en 2014. Le championnat marathon s’est achevé avec la victoire du club de Shanghaï avec 36 points de match et 70 points sur les échiquiers devant le club de Pékin avec 31 points de match et 65 points sur les échiquiers suivi du club de Shandong, avec 30 points de match et 63 points sur les échiquiers. Il faut dire que la victoire finale du club de Shanghaï n’a été effective que suite à la victoire lors de la 21e ronde contre le club de Pékin, où ce dernier fléchit sur les échiquiers féminins. Lors de la 22e ronde, le club de Shanghaï assura le titre par une victoire par la plus petite des marges sur le « Zhejiang » sur le score de 3 à 2, alors que le club de Pékin s’est fait tenir en échec par le « Guandong » mené par le grand maître indien Ganguly Surya Shekhar.

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