Formule 1

Les tops et les flops du Grand Prix d’Italie

Entre une course relativement ennuyante, un Lewis Hamilton méconnaissable au départ et une Scuderia retrouvée, Yahoo Sport distribue, comme à chaque course, les bons et les mauvais points.
Les Tops :
1. Nico Rosberg : L’Allemand a parfaitement géré sa course. Profitant du départ raté de Lewis Hamilton, Rosberg a pris les commandes de la course. Certes, aucun fait de course n’est venu le contrarier. Mais même son passage aux stands manqué (près de 4sec d’immobilisation) ne l’a pas inquiété. Il a tranquillement mené son petit bonhomme de chemin jusqu’à sa première victoire en Italie. Revenu à deux longueurs d’Hamilton au championnat, le vice-champion du monde s’est même offert le luxe de se mettre les tifosi dans la poche sur le podium.
2. Ferrari : A domicile, la Scuderia a, semble-t-il, retrouvé des couleurs. Arrivée à Monza avec une nouvelle évolution moteur, l’écurie italienne a retrouvé son statut de deuxième force du plateau. Tout au long du week-end, les hommes en rouge ont été abonnés aux 3e et 4e places. Si le Cheval cabré reste 3e au championnat constructeur, il a refait une partie de son retard sur Red Bull. Reste à savoir si ce regain de forme se confirmera sur des circuits bien différents de Monza.
Les Flops :
1. Lewis Hamilton : Certes, le triple champion du monde a bien rattrapé le coup. Mais son départ loupé reste le fait marquant de ce Grand Prix. Il a traîné ce handicap une bonne moitié de course, avant de profiter de la stratégie des Ferrari pour grimper sur le podium.
2. Le spectacle : Après un Grand Prix de Belgique animé, on espérait autant d’animation sur le tracé de Monza. On en a été pour nos frais. Hormis le départ raté du leader du championnat, la course fut franchement calme.
3. Esteban Gutiérrez : Le pilote Haas a connu une course compliqué. Qualifié en Q3, il s’élançait de la 10e place sur la grille. A l’aise avec sa monoplace depuis le début du week-end, le Mexicain n’a pourtant pas semblé en mesure de tenir le rythme en course. Il termine finalement 13e.

Liberty Media rachète la Formule 1

Voilà, c'est fait. On attendait l'annonce mardi. Elle n'est arrivée que jeudi. Mais le groupe de média américain Liberty Media va bien prendre le contrôle des droits commerciaux de la Formule 1 pour un montant de 4,4 milliards de dollars.
Dans un premier temps, Liberty Media va acquérir 18,7% des parts de Delta Topco, la holding qui gère la F1, pour 746 millions de dollars. Puis progressivement, sa participation sera portée à 100%.
Mais les dépenses de Liberty Media ne s'arrêtent pas là. Le groupe US va également racheter les dettes de la Formule 1, pour un montant de 4,1 milliards de dollars, portant la valeur d'entreprise de la catégorie reine du sport automobile à environ 8 milliards de dollars.
Si le rachat de la discipline posait la question de l'avenir de Bernie Ecclestone, le grand argentier de la F1 peut souffler. Liberty Média l'a confirmé au poste de CEO de Delta Topco. Il travaillera en collaboration avec Chase Carey, l’actuel vice-président de 21st Century Fox, qui a été nommé au poste de président du conseil d’administration de Delta Topco. Âgé de 62 ans, l’Américain dispose d’une riche expérience dans l'univers des médias.
Pour les écuries, ce rachat annonce également du changement. Liberty Media a fait savoir aux équipes qu’elles allaient pouvoir devenir actionnaires du sport.
Lorsque la nouvelle structure aura été mise en place, la société américaine spécialisée dans les médias proposera aux écuries engagées en F1 d’acquérir des parts.
“Les équipes se verront offrir l’opportunité d’investir dans la Formule 1. Les termes exacts de cet investissement seront précisés en temps voulu”, a indiqué Liberty Media dans un communiqué.
“Certaines équipes ont déjà exprimé un intérêt à investir dans le sport lorsque l’acquisition de la F1 par Liberty Media aura été réalisée.”

Grand Prix de Singapour : Nico Rosberg domine facilement la deuxième séance d'essais libres
Nico Rosberg (Mercedes) a été le plus rapide lors de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Singapour, vendredi. Il a devancé Kimi Räikkönen (Ferrari) et les Red Bull de Max Verstappen et Daniel Ricciardo.

Nico Rosberg (Mercedes), qui prendra dimanche son 200e départ en F1, a réalisé le meilleur temps de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Singapour. Le pilote Allemand a bouclé le meilleur de ses 34 tours en 1'44"152, devant Kimi Räikkönen (Ferrari, +0"275). Les Red Bull de Max Verstappen (+0"380) et de Daniel Ricciardo (+0"405), qui avaient signé les meilleurs chronos de la première séance, suivent juste derrière.

Sebastian Vettel (Ferrari), quadruple vainqueur à Singapour (2011, 2012, 2013, 2015), a réalisé le cinquième chrono (+1"009) tandis que Lewis Hamilton, leader du Championnat, a pris la septième place en ne parcourant que 10 tours à cause d'un problème hydraulique (+1"123). Romain Grosjean (Haas) a pris la 19e place, Esteban Ocon (Manor) la 22e. Comme lors de la première séance, le pilote Haas a eu des complications (12 tours seulement). Pas idéal pour se mettre en confiance sur un circuit aussi exigeant et fatigant.

Nico Rosberg signe sans trembler la pole à Singapour

Nico Rosberg (Mercedes) a signé la pole à Singapour samedi, devant Daniel Ricciardo (Red Bull) et Lewis Hamilton (Mercedes)

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Une seule tentative en Q3 à suffi à Nico Rosberg (Mercedes) pour s'assurer la pole à Singapour, la 29e de sa carrière. L'Allemand était largement un cran au-dessus de la concurrence samedi, et notamment de son coéquipier, Lewis Hamilton, obligé de piloter au-delà de ses limites pour essayer de rester dans le coup. Avec un premier chrono en 1'42"584, Rosberg n'a laissé aucune chance à son rival pour le titre de le battre, et c'est même Daniel Ricciardo (Red Bull) qui a réussi à s'intercaler entre les deux Mercedes. Revenu à deux points après ses deux succès en Belgique et en Italie, Rosberg a l'occasion de passer en tête au championnat dimanche (départ à 14h00).


Vettel en dernière position

Les Red Bull étaient attendues, et elles n'ont pas déçu, puisque Max Verstappen a terminé quatrième des qualifications, à 744 millièmes de Rosberg, et à deux dixièmes de son coéquipier. En revanche, Ferrari, qui visait la victoire en terre asiatique, aura bien du mal à voir son voeu exaucé. Kimi Räikkönen a cédé face aux Mercedes et Red Bull et doit se contenter de la cinquième place. Quant à Sebastian Vettel, il est resté bloqué en Q1 (22e) après un souci de suspension arrière.

Quelques surprises émaillent cette grille de départ, avec notamment les sixième et septième places des Toro Rosso de Carlos Sainz et Daniil Kvyat, ou la neuvième place de Fernando Alonso (McLaren). Aucune des deux Williams n'est passée en Q3 : Valterri Bottas est 11e, Felipe Massa 12e. Côté français, Romain Grosjean (Haas) a réussi à se placer en Q2 avant de subir une violente sortie de piste. Il partira 15e dimanche. Esteban Ocon (Manor) partagera lui la dernière ligne avec Vettel..

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Felipe Massa prendra sa retraite en fin de saison_17/09/16
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Felipe Massa a décidé de quitter la Formule 1 à la fin de cette saison, a annoncé son écurie Williams Racing jeudi. Le Brésilien, vice-champion du monde en 2008 avec Ferrari, a gagné 11 Grand Prix durant sa carrière. Il occupe la 10e place du classement des pilotes cette saison.
A 35 ans, Felipe Massa a décidé de s'arrêter après 14 années de carrière en F1. Il a roulé pour trois écuries. Ses débuts le furent chez Sauber de 2002 à 2005, roulant son premier Grand Prix en Australie le 3 mars 2002. Son passage chez Ferrari aura duré 8 ans. C'est en 2014 qu'il rejoint l'écurie Williams.
Avant le Grand Prix d'Italie à Monza qui se dispute dimanche, Felipe Massa a pris le départ de 242 courses de F1, remportant 11 Grand Prix, dont le dernier remonte à 2008 lors de son meilleur championnat (2e, un point seulement derrière Lewis Hamilton, Ferrari fut champion du monde des constructeurs) au cours duquel il a gagné 6 Grand Prix dont le Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps.
"Je suis très fier de ma carrière. Même si j'ai perdu le championnat d'un point, je suis très fier. J'ai beaucoup d'amis dans la F1. Je suis très heureux", a confié Felipe Massa.
Il a décroché la pôle 16 fois et est monté à 41 reprises sur le podium.




Les cinq couacs de la carrière de Felipe Massa
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Felipe Massa a annoncé sa retraite en fin de saison. Vice-champion du monde chez Ferrari, le Brésilien a remporté 11 Grand Prix dans une carrière où il fut souvent dominé par ses équipiers. Retour sur 5 moments difficiles de la carrière du Pauliste.

1. Des débuts trop fougueux
Soutenu par Ferrari, Felipe Massa débute sa carrière en 2002 à 20 ans chez Sauber, écurie fortement liée à l'équipe italienne à cette époque. Dès son premier GP en Australie, il est impliqué dans un crash derrière l'impressionnant vol plané de Ralf Schumacher au départ. Trop agressif, trop fougueux, Felipe Massa collectionne les petites erreurs. Après une saison, le Brésilien n'est pas reconduit par Sauber et c'est Ferrari qui lui propose un poste de pilote d'essai afin de le canaliser et d'améliorer son pilotage. Saison de transition utile pour le petit Brésilien qui réintègre Sauber avant de passer chez Ferrari en 2006.
https://youtu.be/E8qG3qWIjx8

2. La vie sans Schumi
Difficile de vivre dans l'ombre de Michael Schumacher chez Ferrari. Rubens Barichello peut en témoigner et écrire de nombreux livres. A la différence de son compatriote, Massa n'a évolué qu'une saison en compagnie du pilote le plus titré de l'histoire, remportant deux victoires en fin de saison. Schumi poussé à la retraite, Massa peut enfin démontrer toute l'étendue de son talent. Sauf qu'après l'Allemand, c'est Kimi Raikkonen qui débarque dans les pattes du Brésilien. Plus talentueux, plus régulier, le Finlandais termine surtout la saison en boulet de canon (3 victoires sur les 4 derniers GP) pour coiffer le titre au nez et à la barbe des McLaren empêtrées dans une lutte interne entre Fernando Alonso et un jeune rookie nommé Lewis Hamilton.
https://youtu.be/WIMPjPtaPv4

3. Champion du monde pendant quelques secondes
Le Grand Prix du Brésil en 2008 constituera le chant du cygne du pilote brésilien. A la lutte avec Lewis Hamilton pour le titre de champion du monde, le rêve de Felipe Massa sera brisé en quelques secondes. Au départ, les choses sont claires. Massa, en pole, doit gagner et espérer que Lewis Hamilton ne finisse pas cinquième. Dans une course marquée par des averses et des pilotes évoluant en pneus pluie ou slicks, Hamilton est 6e dans l'avant-dernier tour. Toujours premier, Massa gagne le grand prix et s'adjuge le titre de champion du monde devant son public, son père et son frère faisant la fête dans le stand Ferrari. Sauf que... Dans le dernier virage, Hamilton dépasse Timo Glock à l'agonie avec ses pneus et décroche le petit point qui lui permet d'être le plus jeune champion du monde à l'époque (dépassé depuis par Sebastian Vettel). La famille Massa est alors stoppée dans son euphorie par un mécanicien Ferrari, le champagne ne sera pas débouché. Sur le podium, Felipe Massa est en pleurs, ce sera sa dernière victoire en F1.
https://youtu.be/mlJWwuV9eBw

4. Touché en pleine tête
La Ferrari largué par la Brawn du futur champion 2009 Jenson Button, Massa et les Rouges connaissent une saison en demi-teinte marquée par un seul podium avant un accident qui aurait pu lui être fatal. Lors des qualifications en Hongrie, Felipe Massa est touché à pleine vitesse par un ressort qui s'est détaché de la Brawn de son compatriote Rubens Barichello. Atteint à la tête, Massa s'encastre dans le mur de pneus avant d'être secouru et emmené à l'hôpital. Dans le coma, le Brésilien souffre de graves lésions au crâne et à l'œil. Heureusement pour lui, il ne connaitra aucune séquelle de son accident et pourra reprendre la compétition en 2010. Mais après le titre perdu en 2008, c'est peut-être le coup du sort qui achève la carrière et les ambitions de Massa.
https://youtu.be/MYwtp6M7nU4

5. Massa bascule chez les vieux
Après avoir été dominé par Fernando Alonso chez Ferrari, Massa trouve refuge chez Williams en 2014 pour laisser place à son ancien coéquipier Kimi Raikkonen. Dès le premier grand prix en Australie, Felipe Massa s'illustre par des propos dignes de la « vieille génération aigrie ». Troisième sur la grille, le pilote Williams s'accroche avec la McLaren du débutant Kevin Magnussen, un incident de course assez commun. Pas pour le Brésilien : « c'est de la faute de Kevin » dira-t-il, estimant que le jeune Finlandais aurait dû...freiner pour le laisser passer. Il fustigera aussi « ces petits jeunes qui veulent gagner la course dès le premier virage ». A 33 ans, Massa passe pour un vieux... pour ne pas dire autre chose.
https://youtu.be/FMn43oSLxuc

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Violent accrochage au départ, Hülkenberg abandonne_18/09/2016_13h16
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Coup de théâtre d’entrée lors du Grand Prix de Singapour. Quelques secondes après le départ, un violent accrochage impliquait notamment Nico Hülkenberg, contraint à l’abandon avec de sévères dommages sur sa monoplace (voir tweet ci-dessous). Le pilote allemand est toutefois sorti indemne de cet accident. Carlos Sainz a déboîté sur la droite pour éviter Max Verstappen, qui a démarré doucement. Hülkenberg, bloqué par Daniil Kvyat, n’a rien pu faire pour éviter l’accident. Les premiers tours de la course ont été effectués derrière la safety car.

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Chase Carey : «La F1 doit sortir de la dictature»_19/09/2016 à 14h52
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Le futur patron de la Formule 1 ne mâche pas ses mots sur son prédécesseur, Bernie Ecclestone. Interrogé sur la gestion de la compétition, Chase Carey répond qu'il ne veut plus de «la dictature qui régnait jusqu'à présent».
«Le plus gros de mon travail pendant les prochains mois va être d'écouter ce que chaque acteur de la Formule 1 a à dire et de trouver un compromis, a expliqué Chase Carey en interview sur le sie officiel de la compétition. Bien sûr, on ne peut pas rendre heureux tout le monde, mais nous devons comprendre ce qu'ils veulent. On ne peut plus se permettre de gérer cela comme une dictature, même s'ils sont probablement habitués...»







Schumacher «ne peut pas marcher»_19/09/2016 à 14h58
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Des nouvelles de Michael Schumacher. L'avocat de la famille a déclarer que l'ancien pilote de F1 victime d'une chute en ski en décembre 2013 «ne peut pas marcher, pas même avec l'aide des médecins». Cette déclaration fait suite à la plainte déposée par la famille Schumacher contre le magazine allemande Bunte après de fausses révélations concernant l'état de santé de l'ancien pilote Ferrari.

Son style de vie peut-il faire perdre le titre à Hamilton ?

Pour plusieurs personnalités du paddock, la raison de la baisse de forme du Britannique depuis la reprise est à chercher du côté extrasportif.
Après avoir dominé la Formule 1 au printemps et au début de l’été, Lewis Hamilton semble marquer le pas depuis le retour des vacances, face à un Nico Rosberg au sommet de sa forme. Après la Belgique et Monza, l’Allemand s’est à nouveau imposé à Singapour, reprenant au passage la tête de championnat.
Un coup de mou sur lequel est revenu Jackie Stewart. « Peut-être que vous pouvez toucher le fond, a-t-il déclaré. Cela peut arriver après une série de succès parce qu’alors, tout peut sembler facile. Soudainement, les choses se passent moins bien. Vous surconduisez, vous n’avez pas toute votre tête, ou vous vivez une vie qui vous distrait d’une façon ou d’une autre. Si vous êtes au sommet, vous pouvez être porté par le succès. Ensuite, quelqu’un d’autre arrive et conduit mieux que vous, ou est plus constant. »
https://66.media.tumblr.com/a9c34bc7...urvxx0_540.png“Trop rappeur”

« Rosberg me donne l’impression d’être plus détendu depuis Spa, a poursuivi le Britannique, triple champion du monde. Il a l’air d’être plus en forme et plus stable. Je le vois en tête du classement à la fin de la saison, il est le nouveau champion du monde. »
https://65.media.tumblr.com/5eb66ad0...urvxx0_540.jpgUn point de vue sur l’extrasportif que partage Flavio Briatore. « Rosberg semble avoir remis ses idées à l’endroit, juge le fantasque Italien. Hamilton a un talent formidable, mais il fait un peu trop ‘rappeur’, et si vous voulez gagner, vous devez vous concentrer sur cela. Si j’étais lui, je regarderais un peu moins de musique et un peu plus de F1. »

Si tout reste ouvert pour le championnat, les spécialistes, comme les passionnés, commencent de plus en plus à envisager sérieusement l’hypothèse d’un premier titre pour Nico Rosberg.
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http://corigif.free.fr/drapeau/img/malaisie.gifMalaysiaGP
Q1 : Ça passe pour pour Grosjean, pas pour Ocon_ 01/10/2016 à 10h30
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Romain Grosjean disputera la Q2. L’intéressé a signé le 11^e temps de la Q1 ce samedi matin, à Sepang, lors des qualifications pour le Grand Prix de Malaisie. L’autre pilote tricolore en lice, Esteban Ocon, a quant à lui dû se contenter du 20^e chrono et reste donc à quai. Il est éliminé, au même titre qu’Ericsson, Nasr, Palmer et Wehrlein. Rappelons que Fernando Alonso, en raison des pénalités dont il fait l’objet, partira en dernière position dimanche matin, lors du Grand Prix de Malaisie. A noter que Lewis Hamilton a signé, pour le moment, le meilleur temps. Juste devant son coéquipier chez Mercedes Nico Rosberg.
Pilotes éliminés en Q1 :
Ericsson, Nasr, Palmer, Ocon, Wehrlein, Alonso.






Q2 : Bottas à la trappe, Grosjean aussi
Valtteri Bottas est le premier non-qualifié pour la Q3. Le pilote finlandais n’a signé que le 11^e temps de la Q2 et s’arrête donc là pour ce samedi matin. 12^e, le Français Romain Grosjean est éliminé aussi. Ça passe en revanche pour le Britannique Jenson Button, entre autres. Lewis Hamilton est toujours le plus rapide en piste, devant son coéquipier chez Mercedes, Nico Rosberg.
Les pilotes éliminés en Q2 :
Bottas, Grosjean, Gutierrez, Magnussen, Kvyat, Sainz.

Lewis Hamilton en pole en Malaisie_01/10/16 - 14h04
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Le triple champion du monde (2008, 2014, 2015), le Britannique Lewis Hamilton (Mercedes) a signé la 57e pole de sa carrière (la 8e de la saison) samedi à Sepang, à l'issue des essais qualificatifs du Grand Prix de Malaisie, la 16e des 21 manches du championnat du monde. Hamilton visera dimanche (départ à 9h00 belges) une 50e victoire (et/ou un 100e podium) à l'occasion de son 183e Grand Prix.
Hamilton compte 8 points de retard au championnat sur son équipier l'Allemand Nico Rosberg qui reste sur trois victoires consécutives. Il a signé le meilleur temps absolu sur cette piste 1:32.850. Rosberg a réussi le 2e chrono à 414/1000es de son équipier.
Le Néerlandais Max Verstappen (P-B/Red Bull-TAG Heuer), 19 ans depuis vendredi, a pris la 3e place à 570/1000es devant son équipier l'Australien Daniel Ricciardo 4e à 617e/1000es.
Les Ferrari de l'Allemand Sebastian Vettel et du Finlandais Kimi Räikkönen occuperont les 5e et 6e places sur la grille. "Mon équipier a fait du meilleur travail que moi lors des derniers GP (Rosberg vient d'aligner trois victoires, ndlr), à moi d'inverser la tendance", a confié Hamilton.
Rosberg, qui ne s'est jamais imposé en Malaisie, pense pouvoir y signer un premier succès. "Lewis a signé un super temps mais sans une erreur dans le dernier virage de mon ultime tentative, j'aurais pu l'inquiéter. La voiture est parfaite, je peux être optimiste pour demain (dimanche)", a-t-il déclaré.
Mercedes pourraient décrocher le titre constructeur dès ce week-end. "Pour inquiéter les Mercedes, il faudra un peu de chance et sans doute aussi compter sur la pluie", a estimé Vettel vendredi.
Le Grand Prix qui était programmé en mars et avril a été déplacé au mois d'octobre afin d'éviter la saison des pluies. Mais les prévisions notent qu'un orage ne sera pas à exclure dimanche.
L'Espagnol Fernando Alonso (McLaren-Honda) s'élancera lui de la dernière position. Ayant utilisé le nouveau moteur "évolué" Honda, l'Espagnol a été condamné à 45 places de pénalité et partira loin des meilleurs. Il n'a effectué qu'un tour lors des qualifications pour épargner ses pneus, ce qui pourrait constituer un avantage dimanche.





Hamilton : «Ma voiture est fantastique»_01/10/2016 à 14h23
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«L'important sera de réaliser un bon départ. J'estime que je m'améliore dans cet exercice, même s'il y a eu des soucis par le passé. Et, en général, quand je pars en pole, cela se passe plutôt bien pour moi. Pourvu que cette tendance perdure. Je ne devrai pas uniquement me concentrer sur Nico (Rosberg). Les Red Bull, juste derrière nous, sont très proches en terme de performance. Et sur ce tracé très long, ce seront de réelles menaces. Mais ma voiture est fantastique», a déclaré Lewis Hamilton après sa pole position obtenue samedi.