Une bonne histoire

[morocco]

Cette gymnaste sans jambes a une soeur, devinez qui

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​Par: rédaction
10/09/14 - 12h04 Source: YouTube

Par: rédaction
10/09/14 - 12h04 Source: YouTube
Jennifer Bricker avait un rêve d'enfant: devenir gymnaste. Tout comme son idole, la championne olympique Dominique Moceanu. Née sans jambes, le défi à relever n'était pas gagné d'avance. Pourtant, Jennifer devient gymnaste et même championne du monde de tumbling. Sa carrière va de surprise en surprise et l'intrépide jeune fille s'essaie contre toute attente au football et au basket, avec succès. Mais la plus grande surprise de sa vie allait arriver à ses 16 ans...
Née sans jambes, Jennifer est abandonnée toute petite par ses parents biologiques en raison de son lourd handicap. Par bonheur, elle est adoptée par une famille pleine d'amour qui ne se formalise pas de recevoir un enfant sans membres inférieurs. Chez les Brickers, qui vivent dans un petit village de l'Illinois, une seule règle prévaut: "Ne dis jamais que tu ne peux pas y arriver".

Du trampoline dans le jardin à Britney Spears
Mais malgré toute la ténacité qu'on lui a inculquée, l'objectif de Jennifer pose un problème purement technique: elle veut faire de la gymnastique acrobatique. Des saltos pour une cul-de-jatte? L'idée en aurait fait rire beaucoup, mais la famille d'accueil de Jennifer tient bon et, conformément à ses principes, la soutient pleinement. Elle s'entraîne sans relâche en commençant tout simplement avec son père adoptif à faire des saltos sur le trampoline familial. La petite fille n'a qu'une chose en tête: marcher sur les traces de son idole, la médaille d'or de gymnastique des Jeux olympiques de 1996 à Atlanta, Dominique Moceanu.

Et à force d'entraînement et de détermination, elle réussit son pari. Elle devient championne de gymnastique acrobatique de l'état d'Illinois et joue au baseball et au basket. Pour l'anecdote, elle fera partie des acrobates de la tournée "Circus" de la chanteuse Britney Spears.

Un handicap? Quel handicap?
"Handicapée? Elle ne se sent pas 'handicapée'. Lorsque quelqu'un lui a dit qu'elle l'était, elle a répondu que ce n'était pas le cas. Quand cette personne lui a dit qu'elle était quand même en chaise roulante, elle a répondu: 'Seulement pour ne pas me salir'...", se souvient Gerald, le père de Jennifer.

Le jour de ses seize ans, comme beaucoup d'enfants adoptés, elle est pleine de questions sur sa famille biologique. Elle demande donc à sa mère Sharon: "Y a-t-il quelque chose que je doive savoir sur mon adoption, mes parents naturels ou quelque chose que vous ne m'ayez encore jamais dit?". Sa mère opine et lui conseille de s'asseoir. "Mais je suis toujours assise Maman", répond l'adolescente avec philosophie. "Donne-moi plutôt mon véritable nom de famille". "Justement, tes parents biologiques s'appellent Moceanu", lui annonce sa mère.

De l'adoration au lien fraternel
Ce jour-là, Jennifer Brickers apprend non seulement qu'elle porte le nom de son héroïne mais qu'elle est en plus sa soeur. Avec le recul, la ressemblance entre les deux femmes est frappante, et son admiration pour son aînée s'explique. Jennifer écrit immédiatement une lettre à sa soeur biologique à laquelle elle joint les documents officiels de son adoption et une photo en guise de preuves. Dans un premier temps sous le choc, la championne olympique ne doute cependant pas un seul instant que Jennifer est sa soeur. "Elle ressemble comme deux gouttes d'eau à ma soeur cadette, Christina", confirme l'athlète.

"Parler avec votre idole de jeunesse, c'est déjà très particulier. Mais apprendre qu'en plus c'est votre soeur, c'est incroyable", explique Jennifer. "Dans sa lettre, Jennifer m'explique qu'elle est athlète, acrobate", explique pour sa part Dominique Moceanu. "Plus tard, au téléphone, elle ajoute comme un détail de la conversation: 'Oh, et je n'ai pas de jambes'. J'ai énormément de respect pour elle. Son acharnement pour réaliser son rêve et tous les obstacles qu'elle a surmontés, c'est formidable. Et c'est ma soeur!", s'exclame la championne olympique.

[morocco]

Il refuse de quitter la prison car c'est le jour des frites à Lantin13





© thinkstock.Entre le juge et les frites, ce détenu gourmand n'a pas hésité longtemps.
Un détenu de Lantin qui devait comparaître mercredi devant le tribunal correctionnel de Liège a refusé de quitter la prison car c'était le jour des frites à la cantine, rapporte La Meuse.

L'homme, âgé d'une trentaine d'années, était attendu devant le juge Theunissen pour répondre d'un vol de voiture, commis en juillet dernier alors qu'il sortait à peine du bureau du juge avec une citation à comparaître. L'individu est en effet multirécidiviste puisqu'il a déjà été condamné à 17 reprises, dont 16 fois pour des faits de vol.

Mercredi matin, préférant les frites de la cantine au tribunal - elles sont servies le mercredi et le dimanche à Lantin, le détenu a demandé à son avocat de le représenter. "L'appel des frites a été plus fort!", a déclaré, choqué, le substitut du procureur du Roi au journal liégeois. Une peine de 20 mois de prison a été requise à son encontre.

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Alors qu’il quittait la maison familiale, Phil Brace, un jeune Californien père de deux enfants, est revenu sur ses pas parce qu’il avait oublié d’embrasser sa fille. Son geste a eu des conséquences inespérées.
Phil Brace, mari et père exemplaire, quittait le domicile familial ce jour-là comme il le fait chaque matin. A un détail près. Il avait en effet oublié d’embrasser sa fille avant de partir.
Il fait donc demi-tour et, à l’approche de la maison, appelle sa femme. Etonné qu’elle ne réponde pas, il entre dans sa maison où il la découvre allongée sur le sol et inconsciente.
Rachel Brace, à 32 ans, mère de deux enfants, vient de subir un accident vasculaire cérébral.

Le rapport médical
Rapidement transportée à l’hôpital, Rachel est sauvée par les médecins. Selon le journal anglais Metro, sans la réaction immédiate de son mari, l'AVC aurait du être fatal.
"Mon mari est mon héros parce qu’il m’a trouvée et m’a sauvé la vie. Le problème c’est que beaucoup de gens ne connaissent pas les signes et les symptômes qui annoncent l’attaque cardiaque", s'enthousiasme la miraculée.

Depuis, le couple Brace aide une association qui lutte contre les attaques cardiaques. Ce problème, le couple Brace est désormais bien décidé à l’affronter. Saine et sauve, la jeune femme et son mari ont décidé d’aider à la récolte de fonds pour l’association Stroke.
Cette association a pour but de faire connaître de tous les symptômes d'un AVC et les gestes à adopter en conséquence.
Dans le film de campagne de l’association, sont décrits les symptômes les plus courants. Act FAST, acronyme clé de l'association, signifie que si notre visage s’immobilise, que l’on perd la sensibilité de nos bras et que l’on a du mal à parler, il est temps d’appeler les secours. (Face, Arms, Speech, Time to call).