Re : Tentative de coup d’État en Turquie
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Coup d'État en Turquie: l'armée annonce avoir pris le pouvoir_ 15/07/16 - 22h19
Des coups de feu sont entendus dans la capitale turque. Le chef d'état-major a été pris en otage par des militaires putchistes. Erdogan aurait été emmené "en lieu sûr".
Twitter, Facebook et YouTube ont été bloqués en Turquie vers 22h50 heures locales après un soulèvement militaire surprise. La télévision d'Etat TRT ne diffuse plus ses programmes.
Des coups de feu ont été entendus dans la capitale turque Ankara vendredi soir. La ville est actuellement survolée à basse altitude par des avions et des hélicoptères militaires turcs. Les deux ponts du Bosphore séparant les rives asiatique et européenne de la ville sont fermés à la circulation.
Le Premier Ministre a dénoncé "une action militaire illégale" et estime qu'il ne s'agit "pas d'un coup d'Etat". "La Turquie ne permettra aucune initiative qui briserait la démocratie", a-t-il déclaré et promet aux auteurs de ce soulèvement qu'ils paieront "le prix le plus élevé".
Sur les réseaux sociaux, l'armée annonce avoir pris le pouvoir du pays. Selon une agence progouvernementale, le chef d'état-major a été pris en otage par des militaires putchistes. Certains font état d'affrontements entre la police et l'armée. Des coups de feu sont entendus dans les rues.
Tous les vols partant de l'aéroport Ataturk d'Istanbul ont été annulés selon un témoin cité par l'agence Reuters.
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Coup d'État en Turquie: l'armée annonce la loi martiale et un couvre-feu_ 15/07/16 - 22h30
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Des coups de feu sont entendus dans la capitale turque. Le chef d'état-major a été pris en otage par des militaires putchistes. Erdogan aurait été emmené "en lieu sûr".
Twitter, Facebook et YouTube ont été bloqués en Turquie vers 22h50 heures locales après un soulèvement militaire surprise. La télévision d'Etat TRT ne diffuse plus ses programmes.
Des coups de feu ont été entendus dans la capitale turque Ankara vendredi soir. La ville est survolée à basse altitude par des avions et des hélicoptères militaires turcs. Les deux ponts du Bosphore séparant les rives asiatique et européenne de la ville sont fermés à la circulation.
Le Premier Ministre a dénoncé "une action militaire illégale" et estime qu'il ne s'agit "pas d'un coup d'Etat". "La Turquie ne permettra aucune initiative qui briserait la démocratie", a-t-il déclaré et promet aux auteurs de ce soulèvement qu'ils paieront "le prix le plus élevé".
Sur les réseaux sociaux, l'armée annonce avoir pris le pouvoir du pays. Selon une agence progouvernementale, le chef d'état-major a été pris en otage par des militaires putchistes. Certains font état d'affrontements entre la police et l'armée. Des coups de feu sont entendus dans les rues.
Tous les vols partant de l'aéroport Ataturk d'Istanbul ont été annulés selon un témoin cité par l'agence Reuters.
Loi martiale et couvre-feu
Vers 23h20 (heure belge), la chaîne publique turque de télévision a diffusé vendredi soir un communiqué émanant des "forces de armées turques" faisant état de la proclamation de la loi martiale et d'un couvre-feu sur l'ensemble du territoire turc.
"Nous ne permettrons pas que l'ordre public soit dégradé en Turquie. (...) Un couvre-feu est imposé sur le pays jusqu'à nouvel ordre", a indiqué notamment dans un communiqué le "Conseil de la paix dans le pays"
Coup d'état en Turquie-l'armée aurait pris le pouvoir
Coup d'état en Turquie : l'armée aurait pris le pouvoir
Une télévision turque annonce que l'armée affirme avoir pris le pouvoir dans le pays. Le premier ministre dénonce une "tentative illégale" de coup d'état.
Source AFPModifié le 15/07/2016 à 22:57 -Publié le15/07/2016 à 22:23| Le Point.fr
http://www.lepoint.fr/images/2016/07...60_660x281.jpg
L'armée turque procède à l'arrestation de civils qui circulent dans Istanbul Un coup d'état orchestré par les forces armées turques a été dénoncé par le Premier ministre Binali Yildirim, vendredi soir à Ankara, en Turquie.
22h47 - Le chef d'état major retenu en otage
L'armée turque a annoncé vendredi soir avoir pris le pouvoir dans un communiqué publié sur le site internet de l'état-major des armées. Le chef d'état-major serait l'"otage" des militaires putschistes, ont affirmé des chaînes de télévisions et l'agence pro-gouvernementale Anatolie. "Le général Hulusi Akar, chef d'état-major des armées est retenu en otage par un groupe de militaires qui tentent un soulèvement", a précisé l'agence citant des "sources crédibles".
22h24 - Des tirs auraient été entendus
Selon un témoin sur place, des hélicoptères de l'armée auraient ouvert le feu sur le bâtiment des services de renseignement.
Bonsoir ; je vous suis trés reconnaissant pour votre contribution.
Sujet déplacé et fusionné.
Bon courage.
1 pièce(s) jointe(s)
URGENT-L'armée turque affirme dans un communiqué avoir pris le pouvoir
URGENT
L'armée turque affirme dans un communiqué avoir pris le pouvoir
Le président turc Recep Tayyip Erdogan apparaît via Facetime
à la télévision, en plein coup d'État
Pièce jointe 25110
Publication15/07/2016 22h43
Mis à jour: il y a 8 minutes
(Reuters)
Mis à jour le 15/07/2016 22:49
publié le 15/07/2016 | 22:13
La situation est confuse en Turquie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan
dénonce, dans la soirée du vendredi 15 juillet, un "soulèvement d'une minorité
au sein de l'armée" et il appelle les Turcs à se rassembler dans la rue pour
résistera la tentative de coup d'Etat militaire. Peu de temps auparavant,
la chaîne publique turque de télévision a diffusé un communiqué émanant des
"forces de armées turques" faisant état de la proclamation de la loi martiale et
d'un couvre-feu sur l'ensemble du territoire. Le Premier ministre a averti ceux
impliqués dans cette action "illégale" qu'ils paieraient "le prix le plus élevé".
Le président Recep Tayyp Erdogan ne s'est pas exprimé dans l'immédiat.
L'armée turque a annoncé vendredi soir avoir pris le pouvoir dans un communiqué
publié sur le site internet de l'état-major des armées tandis que le chef d'état-major
était l'"otage" des militaires putschistes, ont affirmé des chaînes de télévisions et
l'agence pro-gouvernementale Anatolie. "Le général Hulusi Akar, chef d'état-major
des armées est retenu en otage par un groupe de militaires qui tentent un
soulèvement", a précisé l'agence, citant des "sources crédibles".Des chaînes
d'information turques ont fait état de leur côté d'une "tentative de coup d'Etat".
La chaîne d'information CNN-Türk a rapporté une mobilisation "extraordinaire"
devant le siège de l'état-major des armées. Dans le même temps, des avions de
chasse survolaient à basse altitude Ankara suivis d'hélicoptères, a constaté l'AFP
et des ponts enjambant le Bosphore à Istanbul ont été partiellement fermés dans
le sens Asie-Europe, selon une chaîne de télévision.Le consulat de France à Istanbul
a envoyé un SMS aux Français présents sur place leur recommandant de rester chez eux.
Re : Tentative de coup d’État en Turquie
Sa va etre une journèe tres longue en Turquie.
C'est lâche de la part d'erdogan enfermè et en securitè de pousser les gens à sortir dans les rues pour se faire tirer dessus juste pour garder le pouvoir
Re : Tentative de coup d’État en Turquie
https://www.nzonscreen.com/content/i...pg.180x180.jpgCoup d'État en Turquie: "Les responsables le paieront cher"_16/07/16 - 06h07
http://static3.7sur7.be/static/photo...ll_8883852.jpg
Les responsables de la tentative de putsch intervenue vendredi soir en Turquie paieront un lourd prix pour leur trahison, a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan lors d'une allocution télévisée tôt samedi matin. Il a annoncé le début d'une opération visant à "nettoyer l'armée de ses éléments traîtres".
Dans son discours, M. Erdogan a accusé les putschistes d'être de mèche avec Fethullah Gülen, un imam exilé depuis des années aux Etats-Unis qui avait auparavant été son allié. Le chef d'Etat a également affirmé que l'hôtel où il se trouvait sur la côte turque a été bombardé après son départ et qu'il ignorait om se trouvait actuellement le chef de l'armée.
"Il y a en Turquie un gouvernement et un président élus par le peuple qui sont au pouvoir et si Dieu le veut nous allons surmonter cette épreuve", a-t-il dit avant de féliciter les Turcs pour être descendus "par millions" dans les rues pour défendre la Nation.
Des explosions et des coup de feu sporadiques étaient toujours entendus au petit matin dans le centre-ville d'Ankara où le Parlement a été bombardé, ainsi qu'à Istanbul.
Au moins 60 morts et 754 arrestations
Au moins 60 personnes, dont de nombreux civils, ont été tuées, a indiqué un responsable turc. Un total de 754 militaires ont été arrêtés en lien avec cette tentative. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions sur ordre du ministre de l'Intérieur Efkan Ala, Rien qu'à Ankara, au moins 42 morts sont à déplorer, selon un bilan provisoire officiel.
Putsch
Un groupe de putschistes de l'armée a tenté de prendre le pouvoir en Turquie, entraînant une violente riposte d'Ankara dans la nuit de vendredi à samedi avec des affrontements qui ont fait au moins 60 morts, civils et policiers.
La situation dans ce grand pays de 80 millions d'habitants, membre-clé de l'Otan, restait confuse six heures après l'annonce de la tentative de coup d'Etat. Des coups de feu sporadiques étaient toujours audibles au petit matin dans plusieurs quartiers d'Ankara et d'Istanbul, après une nuit marquée par des explosions causées, selon les médias, par des bombardements aériens.
"Ceux qui sont descendus avec des chars seront capturés car ces chars ne leur appartiennent pas", a ajouté M. Erdogan. Il a félicité les Turcs pour être descendus "par millions" dans les rues pour défendre la nation, notamment sur l'emblématique place Taksim à Istanbul, noire d'opposants au putsch.
Le Premier ministre Yildirim a ordonné samedi à l'armée d'abattre les avions et les hélicoptères se trouvant aux mains des militaires putschistes, a indiqué un responsable turc. "Des avions de combat ont décollé de leur base d'Eskisehir", dans l'ouest de la Turquie, pour combattre les appareils rebelles, a précisé ce responsable.
Foule de sympathisants
A son arrivée à l'aéroport d'Istanbul, où l'attendait une foule compacte de sympathisants, M. Erdogan a dénoncé tôt samedi "une trahison" menée depuis plusieurs heures par des soldats putschistes, qu'il a accusés d'être liés à son ennemi juré Fethullah Gülen, un imam exilé depuis des années aux Etats-Unis.
Le mouvement de ce dernier a condamné, dans un communiqué, "toute intervention armée" et fustigé les commentaires "irresponsables" du pouvoir turc. "J'ignore pour l'instant le sort du chef d'état-major", qui selon les médias serait prisonnier des putschistes à Ankara à son quartier général, a indiqué M. Erdogan.
Devant la presse à l'aéroport Atatürk, le chef de l'Etat a affirmé que l'hôtel où il se trouvait en vacances à Marmaris, station balnéaire du sud-ouest de la Turquie, avait été bombardé après son départ.
Retour à la normale?
Le Premier ministre Yildirim a fait état de 120 arrestations liées à la tentative de coup d'Etat "idiote" et "vouée à l'échec". Vers 03H00, il a affirmé que la situation était "largement sous contrôle" à la télévision NTV. Un porte-parole du service de renseignements a également évoqué un "retour à la normale".
Le Parlement, autour duquel des chars ont été déployés, a été bombardé dans la capitale Ankara, où 17 policiers ont été tués, a annoncé l'agence Anadolu. A Istanbul des soldats ont ouvert le feu sur la foule, faisant des blessés, a constaté un photographe de l'AFP. Des avions de chasse F-16 ont abattu un hélicoptère des putschistes, selon la télévision turque, après qu'un couvre-feu et la loi martiale ont été instaurés.
Deux heures environ après l'annonce du coup d'Etat, le président Erdogan avait prédit son échec, la voix blanche à la télévision et s'exprimant depuis un endroit non précisé, avec un portable via FaceTime.
'Prise de pouvoir totale'
La chaîne publique turque de télévision avait diffusé peu avant minuit (21H00 GMT) un communiqué émanant des "forces armées turques", faisant état de la proclamation de la loi martiale et d'un couvre-feu sur l'ensemble du territoire national.
"Nous ne permettrons pas que l'ordre public soit dégradé en Turquie (...) Un couvre-feu est imposé sur le pays jusqu'à nouvel ordre", a indiqué un communiqué signé par le "Conseil de la paix dans le pays", qui dit avoir "pris le contrôle dans le pays".
Les ponts enjambant le Bosphore entre l'Asie et l'Europe à Istanbul ont été fermés dans les deux sens. A Istanbul, des grandes artères menant notamment à la place Taksim, dans le centre de la première métropole de Turquie, étaient bloquées par les forces de l'ordre et la présence policière était importante dans les rues.
Les télévisions ont montré des foules importantes réunies près de l'aéroport Atatürk à Istanbul, se réjouissant de la tentative de coup d'Etat. Mais d'autres, notamment place Taksim, protestaient en masse contre le putsch.
De nombreux habitants semblaient saisis d'inquiétude, voire de panique, et se sont précipités dans les magasins pour acheter bonbonnes d'eau et nourriture et aux distributeurs d'argent pour retirer des liquidités.
"Restaurer la démocratie"
Les putschistes ont, dans un communiqué publié sur le site internet de l'état-major des armées, justifié leur "prise de pouvoir totale dans le pays" par la nécessité "d'assurer et de restaurer l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits de l'Homme et les libertés et laisser la loi suprême du pays prévaloir".
"Tous nos accords et engagements internationaux restent valides. Nous espérons que nos bonnes relations continueront avec les autres pays", poursuit le texte.
Le président américain Barack Obama a appelé à soutenir le gouvernement turc "démocratiquement élu", "faire preuve de retenue et éviter violence ou bain de sang". La chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini a également exhorté à la "retenue" et au "respect des institutions démocratiques". Son homologue russe Sergueï Lavrov, dont le pays vient de se réconcilier avec la Turquie, a demandé d'éviter "tout affrontement meurtrier". Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a jugé "crucial de réinstaurer le pouvoir civil et l'ordre constitutionnel rapidement et pacifiquement". En Iran voisin de la Turquie, le ministre des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a exprimé sa "grande inquiétude".
Erdogan soupçonné d’avoir fomenté le putsch
Erdogan soupçonné d’avoir fomenté le putsch
Turquie
le 17.07.16|12h27
Le prédicateur en exil Fethullah Gülen, accusé par Ankara d'avoir fomenté
le putsch avorté en Turquie, a nié toute implication samedi dans un entretien
au New York Times, suggérant que le président turc Recep Tayyip Erdogan
pourrait être lui-même l'instigateur.M. Gülen, 75 ans, vit en reclus dans le
nord-est des Etats-Unis depuis 1999 et n'accorde pratiquement jamais d'interview,
mais il est à la tête d'un mouvement puissant en Turquie, qui compte des écoles,
des ONG et des entreprises sous le nom d'Hizmet (Service, en turc).
Il est un ennemi juré du président turc Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier l'a accusé samedi d'avoir organisé le coup d'Etat militaire avorté de vendredi soir, au cours
duquel au moins 265 personnes sont mortes, et a demandé aux Etats-Unis de
l'extrader. "J'ignore qui sont mes partisans", a déclaré M. Gülen au New York Times depuis sa maison, lorsque des journalistes du quotidien lui ont demandé si certains
de ses sympathisants avaient participé à la tentative de prise du pouvoir par un
groupe de soldats rebelles. "Etat donné que je ne les connais pas, je ne peux pas m'exprimer sur leur quelconque implication", a-t-il expliqué. "Cela pourrait avoir été organisé par l'opposition ou des nationalistes. Je vis loin de la Turquie depuis 30 ans
et je ne suis pas cela", a-t-il ajouté. Peu après le début du putsch, M. Gülen avait condamné les agissements des soldats rebelles "dans les termes les plus forts".
Dans une interview au journal britannique The Guardian, il a estimé qu'il y avait également "une possibilité que ce soit un faux coup d'Etat monté de toutes pièces pour pouvoir amplifier les accusations" à son encontre et celle des partisans d'Hizmet.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a assuré que Washington aiderait
Ankara à enquêter sur le putsch déjoué et a invité le gouvernement turc à
fournir des preuves contre M. Gülen.
AFP
Re : Tentative de coup d’État en Turquie
Je me surprends a penser comme les "complotistes" parfois :o
A qui profite c'et espece de coup d'etat tres soft? ;)
Tentative de coup d’État en Turquie
Citation:
Envoyé par
Enzo
Je me surprends a penser comme les "complotistes" parfois :o
A qui profite c'et espece de coup d'etat tres soft? ;)
Bonsoir Enzo ; si vous étiez avec moi vous l'aurez entendu que c'est une machination
hélas je n'est pas les moyens grandioses pour véhiculer le message ( plus au moins à mon niveau)
En laps de temps très court putsch avorté ? m'avait laissé perplexe.
Qui sait en ce temps-là.
Retrait de licence à des radios et télévisions
Retrait de licence à des radios et télévisions
le 21.07.16|10h00
Le Haut-Conseil turc de la radio et de la télévision (RTÜK) a annoncé,
mardi, avoir retiré leur licence aux chaînes de télévision et radios proches
du prédicateur Fethullah Gülen, accusé par Ankara d’être derrière la tentative
de putsch.Dans un communiqué publié sur son site internet, le Haut-Conseil
indique avoir annulé «tous les droits de diffusion et licences délivrés par le
RTÜK à toutes les organisations (radios et télévisions) (...) liées, en relation et
soutenant le FETÖ/PDY», des acronymes désignant le mouvement de M. Gülen,
en exil aux Etats-Unis. Selon l’agence de presse progouvernementale Anadolu,
cette décision concerne au total 24 chaînes. Anadolu a également rapporté que
34 journalistes considérés proches de M. Gülen s’étaient vu retirer leur carte de
presse. Les médias proches de ce prédicateur ont déjà été la cible des autorités.
Le quotidien Zaman et l’agence de presse Cihan ont été saisis en mars et
leur direction confiée à des administrateurs de l’Etat.