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  1. #1
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    Re : Élection Présidentielle Américaine

    Bon voilà le dénouement, Trump vainqueur!!!

    Voilà qu'en on est trop confiant.

    Ce qui est le plus inquiétant avec ce résultat c'est qu'un type avec la personnalité de Trump va diriger l'une des puissances mondiales.

    Si ce genre de type aurait remporter des élections au Zambie, en Ouzbékistan, aux Pays-Bas, etc ça ne poserait pas de problèmes mais là on parle des USA!!!

    Après le choix des américains était compliqué choisir entre la peste et le choléra, le choix était difficile.

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    Un poids lourd supporté par un groupe devient un poids plume
    Il vaut mieux que l’œil ne voit pas pour que le cœur ne s'attriste pas.
    Il y a cinq degrés pour arriver à être sage : se taire, écouter, se rappeler, agir, étudier ...


    S'aimer soit même c'est se lancer dans une histoire d'amour qui durera toute la vie.

  2. #2
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    Post Élection Présidentielle Américaine

    Citation Envoyé par kobayachi Voir le message
    Bon voilà le dénouement, Trump vainqueur!!!

    Voilà qu'en on est trop confiant.

    Ce qui est le plus inquiétant avec ce résultat c'est qu'un type avec la personnalité de Trump va diriger l'une des puissances mondiales.

    Si ce genre de type aurait remporter des élections au Zambie, en Ouzbékistan, aux Pays-Bas, etc ça ne poserait pas de problèmes mais là on parle des USA!!!

    Après le choix des américains était compliqué choisir entre la peste et le choléra, le choix était difficile.

    Bonsoir ; je suis tout à fait d'accord mais sachez que le peuple est
    fatigué des promesses , l'injustice etc... c'est un vote sanction et tu
    me donne l'opportunité pour la fameuse citation d'Enzo de "Woody Allen"
    [Si Dieu existe,j'espère qu'il a une bonne excuse] je l’identifie beaucoup
    plus au temps car je crois en lui c'est le véritable juge .
    Bon courage.
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  3. #3
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    Post Un vote sanction contre les élites mondialisées

    Un vote sanction contre les élites mondialisées

    10 Novembre 2016

    Les élites mondialisées dont l'establishment américain est le «nec plus ultra»
    ont jusqu'au bout de la campagne électorale de la présidentielle étasunienne
    affiché la conviction que l'électorat américain exaucerait leur vœu de voir la
    démocrate Hillary Clinton, la candidate qu'elles ont soutenue contre le
    républicain Donald Trump, succéder à Barack Obama à la présidence du pays.
    En ne les suivant pas, les électeurs leur ont irrévocablement signifié qu'ils sont
    en rupture avec leur vision de la mondialisation dont elles sont les seules
    bénéficiaires. Les électeurs américains n'ont pas voté Trump parce qu'ils
    pensent que son programme électoral est la panacée à leurs problèmes et à
    ceux de l'Amérique mais pour s'être dressé comme ils le sont contre ces « élites »
    dont l'arrogance et la suffisance ont fini par devenir insupportables pour eux.
    Que Trump ait mené une campagne électorale populiste ne fait aucun doute.
    Le fait n'exonère pas pour autant l'establishment américain d'être par les
    politiques qu'il a inspirées aux précédents présidents dont il a assuré les élections responsable des frustrations et terribles déconvenues qu'elles ont occasionnées à l'Amérique profonde qui lui ont fait préférer la « policée » et formatée candidate démocrate au décrié par elles champion des républicains. L'élection de
    Donald Trump est la résultante de la sourde révolte de cette Amérique profonde
    qui a fini par se rendre compte que les élites dont elle a si longtemps accepté
    d'avaliser les choix est d'un cynisme lui ayant fait payer le prix fort de leurs
    errements. C'est pourquoi l'on peut la qualifier de vote sanction contre
    l'establishment américain et par voie de conséquence contre les élites mondialisées
    qui à travers le monde ont prié pour celle d'Hillary Clinton leur représentante.
    Il faut se garder de faire chorus avec ces élites mondialisées avec leur présentation apocalyptique de ce que va devenir l'Amérique et avec elle le monde suite à l'élection
    de Donald Trump. Son programme électoral qu'il a promis de respecter s'il devenait président des Etats-Unis a certes d'inquiétants aspects dont la formulation par
    Trump a constitué sa réponse aux interrogations et angoisses qu'il a su déceler existantes et formulées par une majorité de l'opinion américaine. Mais tout comme Barack Obama son prédécesseur a remisé certaines de ses promesses électorales une fois arrivé à la Maison Blanche, Donald Trump en fera probablement de même par
    « pragmatisme » prenant en compte ce qu'il lui est impossible de faire accepter à la société américaine et le rapport de force à l'international qui s'est établi entre
    l'empire américain déclinant et ses compétiteurs. Pour cette partie de l'opinion internationale qui ne se fait plus d'illusion sur l'exemplarité du rôle dirigeant que l'Amérique s'est arrogé, l'élection de Donald Trump n'apparaît ayant un aspect
    salutaire que par la remise en cause de ses élites par l'Amérique profonde
    auxquelles elle a signifié que leurs conception et vision qui leur ont fait régenter
    les affaires de l'Amérique et du monde ont généré un chaos qu'elle ne supporte
    plus et que peu lui importe par qui les remplacer.



    Dernière modification par zadhand ; 12/11/2016 à 19h59.
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    Post La défaite d'Hillary Clinton relance le débat sur le système électoral

    La défaite d'Hillary Clinton relance le débat sur le système électoral

    Publié le 12 novembre 2016 à 13h05
    Mis à jour à 13h05


    La défaite de la démocrate Hillary Clinton face au populiste Donald Trump
    est d'autant plus amère pour ses partisans qu'elle a gagné en nombre de
    voix mais pas en nombre de grands électeurs, relançant le débat sur une
    réforme du système électoral américain.
    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **

    L'ancienne secrétaire d'État a perdu l'élection présidentielle, dont le
    résultat est décompté État par État, mais au niveau national, elle a
    obtenu, à ce jour, environ 400 000 voix de plus que son adversaire,
    selon des résultats provisoires publiés par les médias américains.


    Une goutte d'eau à l'échelle des quelque 130 millions de bulletins
    glissés dans les urnes, mais qui lui permet de s'enorgueillir d'avoir
    été davantage plébiscitée. Quelque 60,4 millions d'Américains l'ont
    choisie, 60 millions ont préféré Donald Trump.
    Au suffrage direct,
    l'ancienne Première dame aurait donc été élue à la Maison-Blanche
    (48% contre 47%). Mais aux États-Unis, c'est le nombre de grands


    électeurs,attribué dans chacun des 50 États et dont le nombre varie
    en fonction de la population, qui détermine la victoire finale.
    Emporter par exemple la Californie, État le plus peuplé, assure 55
    grands électeurs au vainqueur, quand bien même la victoire se serait
    jouée dans un mouchoir de poche.De ce fait Donald Trump a écrasé

    la course, remportant 290 grands électeurs contre 228. Il en fallait 270,
    soit la majorité des 538 en jeu, pour accéder au Bureau ovale.

    Démocratique ?
    «Cela pose la question: à quel point notre système est-il démocratique?»,
    se demande Robert Schapiro, professeur de sciences politiques à
    l'université Columbia de New York. Si la règle du «une personne,une voix»


    est un pilier de la démocratie, le suffrage indirect à un tour modifie la donne,
    selon lui.
    Ce système «affaiblit le principe d'égalité politique», a renchéri
    samedi sur CNN Douglas McAdam, professeur de sociologie à l'université
    de Stanford.«Dans un système de grands électeurs, chaque voix ne pèse pas


    autant que les autres. Les voix dans les États clés, qui sont une demi-douzaine
    et décident de l'élection, comptent clairement davantage que les voix dans les
    États acquis aux démocrates ou aux républicains», explique le sociologue.

    Dénonçant ces travers, une pétition, lancée sur le site Change.org et signée
    samedi par près 3,5 millions de personnes, demande au collège des grands
    électeurs, qui se réunira le 19 décembre, de choisir non pas M. Trump mais Mme Clinton.
    Techniquement cela est possible, mais en réalité cette demande a
    peu de chances d'aboutir. Car les grands électeurs sont choisis avec soin par les
    partis auxquels ils restent loyaux. Leur vote est une simple formalité. Les grands


    électeurs pourraient élire Clinton au risque de payer une «petite amende»,
    estiment les initiateurs de la pétition, qui jugent Trump «inapte» à gouverner.


    Donald Trump a lui aussi maintes fois dénoncé pendant la campagne un système «truqué» et menacé de ne pas reconnaître les résultats de l'élection.Mais depuis

    sa victoire il n'a plus critiqué le scrutin. Hillary Clinton non plus ne l'a pas contesté
    et a concédé sa défaite, en dépit des critiques exprimées par ses partisans.


    Modifier la Constitution
    Une refonte du collège électoral demanderait de modifier la sacro-sainte
    Constitution, une tâche délicate, selon M. Schapiro.
    Les partisans des grands
    électeurs font valoir que si l'élection s'avérait serrée dans plusieurs États, un
    nouveau décompte des voix deviendrait un cauchemar.George W. Bush s'était


    imposé en 2000 face à Al Gore sans remporter la majorité des voix: 48,4%
    pour le démocrate, 47,9% pour l'ex-président américain, et le second décompte
    des voix en Floride avait duré plusieurs jours.Mais pour M. McAdam, ces seconds

    décomptes doivent être possibles «compte tenu des technologies actuelles».
    Sans modifier la Constitution, les États pourraient adopter à leur niveau des lois
    pour attribuer leurs grands électeurs au candidat ayant obtenu le plus de suffrages
    au niveau national. Mais ce genre d'initiative n'a pour l'instant rien donné.


    Rob Richie, directeur de l'organisation FairVote, qui prône plusieurs réformes du système électoral américain, suggère notamment de redécouper les cartes électorales
    ou de réformer le scrutin, hautement décrié par les républicains anti-Trump, des primaires, par lesquelles les militants de chaque parti choisissent leur candidat à la présidentielle.Il suggère aussi d'abaisser la majorité électorale à 17 ans, dans un pays


    où la participation est particulièrement faible. Seuls 56,9% des Américains ont voté mardi, selon le spécialiste Michael McDonald, professeur à l'université de Floride.
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